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Bohemian like you - Merlin&Bleuenn

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Bohemian like you - Merlin&Bleuenn - Ven 8 Juin - 19:13

I really love, your hairdo yeah. I'm glad you like mine too. See what looking pretty cool.
Will get ya. So what do you do ? Oh yeah I wait tables too. No, I haven't heard your band. Who's that guy. Just hanging at your pad. He's looking kinda bummed. Yeah you broke up. That's too bad. I guess it's fair. If he always pay the rent. And he doesn't get bent. About sleeping on a coach.

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Seule, planquée dans la pénombre de ta piaule, tu soupires et fixe ton reflet. Tes filets généralement d’un blond de paille arborent à présent une teinte diaphane. Un blanc immaculé qui t’a presque arraché un cri de stupeur au réveil. « C’est très étrange, comme phénomène. » Voilà comment les médecins avaient justifié la dépigmentation de ton cuir chevelu. Oh bah faut croire que ça arrive. Connerie ! Et te voilà, trois jours plus tard, les prunelles brouillées et le cœur en vrac à cause des cases manquantes. Tes souvenirs partent en couille. Ton palpitant massacre pratiquement ta cage thoracique et ta langue passe sur tes lèvres trop pâles. Les trois mois que tu as loupés semblent te filer sous les doigts alors que ta mémoire te joue des tours. Ta dextre accroche l’ourlet de ton t-shirt et tu tires pour observer ton abdomen légèrement dessiné. Tes efforts ont pratiquement fondus, adieu musculature et re-bonjour salle de sport à pas d’heure. Là où une cicatrice très nette devrait barrer ta peau, tu ne vois qu’un filet à peine perceptible. Le son significatif d’un téléphone portable qui glisse contre ton bureau te fait redresser le menton et tu tournes les talons, agrippe l’appareil et jauge l’écran.  « On fête ton retour ce soir. Interdiction de te défiler, Oliphant ! ». Un sourire peiné déforme ton faciès mélancolique. La raison voudrait que tu réfutes la convocation et retourne faire le taco vivant sous ta couverture. Ton cœur lui, continue de maltraiter ta poitrine.

Le cœur l’emporte sur la raison.

****

La sueur perle le long de ta carne moite. Tu sautes, tourne, ondule et exalte d’un rire tonitruant. Les visages souriants sont salutaires. Lénifiants. Affectueux. Ton réveil est un prodige et tu comptes bien en profiter. L’énergie ardente qui anime ta silhouette chaloupée est exaltante. Grisante. Un rire mutin roule sur tes lèvres et s’évapore sur la piste mouvante. La chaleur t’étouffe presque et la soif commence à se faire sentir. Tes filets désormais aussi blonds qu’avant la descente aux enfers ondulent sur tes épaules, tantôt transportés par la gravité, tantôt aussi fouillis qu’un champ de bataille. Ta sénestre s’agite devant les mirettes d’un de tes comparses et tu lui fais signe en pointant l’index vers le bar. Sans même attendre d’approbation, tu tournes les talons et fonce vers le comptoir en attachant ta crinière indomptable pour quémander une nouvelle bière fraîche. L’air alourdi par la masse humaine commence à te tourner la caboche. Tu files aussitôt à l’extérieur avec ton verre, là où plusieurs badauds roucoulent, décuvent ou conversent avec animation.  Rien ne vient perturber ta consommation en solitaire, si ce n’est un ou deux courageux qui pensent avoir une ouverture.

Tu souris. Tu dodelines de la tête avec négation. Tu congédies lorsque les ivrognes insistent grâce à une nouvelle assurance éphémère. Si, d’habitude, tu aurais joué le jeu du flirt pour passer un peu de bon temps, l’idée ne te séduit pas en cette nuit tiède. T’as uniquement besoin de souffler et de te retrouver. Tu n’as besoin que de toi. Et à la limite, des amis qui t’ont poussée à sortir ou de ta famille.  Tes prunelles agrippent quelques scènes insolites et tu passes de grimaces en grimaces. Tes azures s’agrandissent alors que deux soulards sortent en trombe du bar à ambiance pour finalement se vautrer sur l’asphalte. Et ça dodeline sur place, s’invective et crache des insanités aux relents d’alcool. Le miasme trop fort du Rhum te revient aux naseaux et tu fronces le nez avec une moue de désapprobation. Un poing rencontre une joue au lieu du nez visé et le petit malin tourne sur lui-même avant de s’écraser à nouveau au sol. Le spectacle fait tellement pitié que la plupart des clients décident de rentrer dans le bar. Mais toi, ton regard brille avec malice et une grimace amusée déforme tes lippes.

Ces types sont vraiment ridicules. C’en est jouissif.

« - Eh bah, faut croire que les mauvais crus font quand même les bonnes cuites », tu ricanes en reculant légèrement pour éviter les deux types.

Comment appelle-t-on un ivrogne en apnée ?
Un saoul-marin !


T’éclates de rire à ta propre vanne complètement conne et réalise avec un train de retard l’avoir prononcée à voix haute. Et visiblement, un brun qui te dépasse d’une tête et aux traits encore juvéniles a aussi décidé d’assister lui aussi au spectacle. Tant pis pour ta couverture de fausse blondinette sage comme une image.

T’as bu combien de verres, déjà ?

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Bohemian like you - Merlin&Bleuenn - Sam 9 Juin - 16:42

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Les rires se mélangent aux chants, à la décadence. Les corps ondulent, se mêlent. Les bras levés vers le ciel, elle ne se soucie de rien, elle est belle. Assis dans un coin, Merlin la fixe du regard, amoureux. Elle est belle, libre dans sa tête. Parfaitement consciente des regards qui s’attardent sur son corps de déesse, elle sourit. Ses mouvements, lancinants, obsèdent, fascinent. Elle ne se soucie de rien, ne pense à rien… Merlin l’envie. Doucement, elle se tourne vers lui et lui sourit, taquine. Amusé, Merlin sourit à son tour. Elle est tellement belle. Tellement parfaite. Se laissant bercer par la musique, elle laisse ses bras se perdre au dessus de sa tête, balançant avec élégance sa chevelure flamboyante. Son charme est indéniable, sans faille. Avec un rire que Merlin imaginait sans mal, elle lui fit signe d’approcher. Amusé par le quiproquo, Merlin rit avant de finalement se redresser.

Délicatement, poliment, il se faufile parmis au milieu de ces corps qui continuent de se frotter l’un à l’autre. La chaleur, elle l’étouffe. Pourtant, il continue d’avancer, ignorant tant bien que mal cette angoisse qu’il sent nouer son estomac. Finalement à quelques mètres de son obsession, il sourit. Sans un mot, elle le prend par la main et l’amène contre elle. Bercé par ses mouvements et son parfum fruité, il coopère, se laisse faire. Se laissant guider, il la laisse se coller à lui. Enivré par l’alcool et la musique, il promène ses mains sur sa taille qui continue de bouger au rythme de la musique. Amusée, la jeune fille rit une nouvelle fois avant de mener ses lèvres aux oreilles du demi-dieu. « Mon mec te trouve mignon… » Doucement, le sourire de Merlin s’élargit. « Il est près du bar… » Sans même avoir à chercher, il laisse ses prunelles bleues se poser sur le mec en question. Assis au bar, il le fixe, le regard baigné d’envie. Une envie que Merlin partage et qui le fait sourire, espiègle. Apparemment ravi de la réaction du dieu du vent, l’apollon se redresse et fend la foule. Silencieux et un brin dominateur, il se place derrière Merlin sur lequel il n’hésite pas à placer ses mains. Incapable de garder pour lui cette excitation qui sent monter au rythme des caresses, il se mord le coin des lèvres. Il se sent bien. Libre. Perdu. Rapidement, l’excitation laisse place à la panique. Ancrée en lui, elle le ronge et se nourrit de ses peurs, de son mal-être. Renier ses sentiments, se perdre dans la luxure, ce n’est pas lui. Plus maintenant. Autour de lui, les corps se compressent, se mêlent. Il étouffe. Pas assez d’air, pas assez d’espace, il se sent pris au piège. Tout en s’excusant, il tente de s’échapper. Sur sa nuque, la sueur le frigorifie. Il panique. La tête lui tourne. Il a besoin d’air…

Les portes s’ouvrent avec fracas. Sans réellement se soucier des regards qu’il sent se poser sur lui, il déambule, titube jusqu’à un coin de mur qui n’a pas encore été pris d’assaut par les nombreux soulard et fumeurs qui s’étaient apparemment donné rendez-vous près des bennes à ordures. Doucement, surement, il reprend son souffle. L’air, ici, n’a rien de frais mais cela lui suffit. Le dos plié, une main contre le mur de briques rouges il inspire, puis expire. Doucement, ses idées se font plus claires. L’alcool, secoué par l'adrénaline a disparu. Rassuré, il se redresse. Autour de lui, les gens le regards, inquiets, moqueurs ou tout simplement curieux. Quelque peu gêné d’être le centre de l’attention, il force un sourire avant de désigner le club d’un signe de la main. « Il fait sacrément chaud là dedans… » Pas vraiment convaincus, les gens sourient avant de finalement retourner à leurs occupations. Certains parlent, d’autre se bouffent les amygdales. «  Les joies de sortir avec un foutu détraqueur… » Se dit-il à lui même avant de se laisser glisser, le dos contre le mur. Finalement assis au sol, il replie ses jambes et pose ses avant-bras sur ses genoux. A l’intérieur, la musique bat son plein. Fermant les yeux, Merlin fait de son mieux pour se recentrer. Derrière ses paupières, il apparaît. Comme d’habitude, il est la première personne à qui il pense. Foutue fleure bleue…

Le silence, le calme, ils se brisent. Ramené sur terre. Merlin relève les yeux et soupire quand son regard finit par se poser sur deux ivrognes qui s’amusent à se faire bouffer le bitume. Joignant grands gestes et insultes, les deux soulards se tapent sur la gueule, se rentre dedans et se ridiculisent. Amusé par le caractère comique de la situation, le réincarné sourit, le regard moqueur. Ils sont ridicules mais tellement drôle. Limite passionné, il les contemple, incapable de lutter contre ce sourire qui continue de fendre une partie de son visage. A côté de lui, une petite blonde qu’il n’a pas vu arriver semble, elle aussi, profiter du spectacle. « Eh bah, faut croire que les mauvais crus font quand même les bonnes cuites. » Amusé par le cynisme de la jeune femme, Merlin ricane doucement. Apparemment, il n’est pas le seul à aimer tirer sur les ambulances. Une activité que la jeune femme semble pratiquer avec plaisir tant elle se perd dans ses propres pensées. Pensées qu’elle prend soin de partager, de la façon la plus involontaire qui soit. Un oublie qui le fait sourire, qui l’amuse. « C’pas bien de se moquer… » Dit-il finalement tout en souriant.. « Billy et Bob ici présents ont surement beaucoup de problèmes. Le premier étant surement leurs faciès… » Comme pour illustrer ses dires, les deux ivrognes se mettent à baragouiner. « Don cé ba… Tme pal’ ba com za… » « Doi du me bale ba com za, ENCULE ! » Incapable de se retenir, Merlin éclate de rire. « Ca et le fait qu’ils partagent sûrement le même cerveau qu’ils ont probablement emprunté à Sinok… » Ne reste plus qu’à espérer que la jeune femme soit à jour dans ses classiques. La culture cinématographique ça se travaille après tout…


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Bohemian like you - Merlin&Bleuenn - Dim 10 Juin - 10:53

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L’inconnu te jette un regard en biais. Y a autant de malice dans son regard que de bière dans ton verre. Tu souris et hausse les épaules à son désuet « C’pas bien de se moquer… ». Mais tu piges vite que cette vielle rengaine pue un cynisme doux-amer et tes prunelles vont des ivrognes à celui vautrés à terre. « Billy et Bob ici présents ont surement beaucoup de problèmes. Le premier étant surement leurs faciès… » qu’il ajoute en montrant les alcooliques pas si anonymes. Billy et Bob, ça leur va bien. On dirait une allégorie de Tic et Tac. Et voilà que les zouaves s’invectivent encore en hurlant des paroles complètement irrationnelles.  Ton rire éclate au même rythme que la joyeuse impulsion du brun et tu termines ton verre en calant ton séant moulé dans une jupe qui remonte trop, légèrement en équilibre sur un renflement du mur. C’est ça ou un open-bar sur ton entre-jambe, les joies des tenues de soirées. «Ça et le fait qu’ils partagent sûrement le même cerveau qu’ils ont probablement emprunté à Sinok… ». Ta précédente hilarité meurt à peine dans ta gorge qu’un autre rejoint la course folle. La référence aux Goonies t’a clairement pas échappée. Ça t’en chatouille presque la glotte. L’un des types finit même par faire un moulinet ridicule des bras. Ça te rappel une scène absurde d’Indiana Jones.

« - Je crois qu’on aurait bien besoin d’un traducteur universel pour comprendre ces deux-là, tu rajoutes tranquillement en calant tes coudes sur tes genoux pour poser ta bouille amusée dans le creux de tes mains. Cela-dit je pencherai plus pour un Jake et Francis mutant. Tu crois que Mama Fratelli va sortir de ce bar pour leur coller une mandale et les mettre au coin ? Ce serait cocasse...

PAF, l’un des pochtrons parvient finalement à coller une mandale à l’autre. La réaction ne se fait pas attendre, l’ivrogne de droite agrippe sa bouille tuméfiée entre ses doigts, avise le sang souillant la carne de ses doigts boudinés et… pleure. « Mfais d’meuh dapé pou’ de vwai ?! » L’inclinaison du dernier mot a des connotations tellement aiguës que tu sors légèrement de tes pognes pour hausser les sourcils. Un nouveau sourire déforme ta gueule déformée par la facétie. Ils dérivent et s’emportent, se vautrent l’un contre l’autre et s’entremêlent tant bien que mal en tentant de se castagner. Ce qui ressemble à présent plus à une étreinte maladroite qu’un combat de coq. « Jvétebutrercodard » et autres insultes intelligibles défilent pour votre bon plaisir. T’en as clairement pour ton argent, ce soir. Finalement, ton menton retrouve rapidement le confort de tes paumes et un nouveau rire guilleret est gerbé de tes lippes.

Et maintenant, voilà qu’ils dansent un slow.

Une danse décadente qui se dirige droit vers vos deux carcasses. Tes iris se dilatent alors qu’ils plongent dangereusement vers vous deux dans un désordre de chemises et de membres froissés et entremêlés. Tu bondis sur tes pieds en chopant ton nouvel acolyte pour l’aider à se relever. C’était moins une avant que les soulards s’écrasent contre le mur avec une telle force que ton pauvre verre laissé à l’abandon subit un sort peu enviable, écrasé sous leurs carcasses. Quelque chose te dit que cette misérable rixe va se finir en bain de sang. Tu recules encore un peu, lâche prestement le brun et grimace en levant le nez vers la grande perche. Le verre craque et manque de blesser l’un des deux hommes. S’ensuit alors une succession de pleurnicheries à vomir.

- Eh bah, comme dirait Dewey, c’était pas passé loin !

Une référence obscure que t’adores placer à tout bout de champ. Et que généralement, tes potes ne saisissent pas. Ton petit doigt te dit que lui, si. Un sourire étire tes lippes et tu tends une main au garçon sans nom.

- Au fait, je m’appelle Bleuenn.» tu te présentes chaleureusement, un peu trop fort pour étouffer les cris de balourd en arrière fond. Tu crois même entendre l’autre hurler un «Zuidésoléééééééééééééééééééééééééé» larmoyant approuvé par son acolyte.

Sacré contraste.

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Bohemian like you - Merlin&Bleuenn - Lun 11 Juin - 10:37

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Le sourire est facétieux, moqueur. Un sourire qu’ils partagent sans aucune honte, sans aucune gêne ; signe évident qu’une amitié durable est sur le point de se construire. « Je crois qu’on aurait bien besoin d’un traducteur universel pour comprendre ces deux-là, Cela-dit je pencherai plus pour un Jake et Francis mutant. Tu crois que Mama Fratelli va sortir de ce bar pour leur coller une mandale et les mettre au coin ? Ce serait cocasse… » Ravi que sa référence ait pu faire mouche, il sourit de plus bel, à la fois fier et amusé. Ce n’est pas tout le monde qui connaît les Goonies. sans vraiment le vouloir, il se demande ce qu’en penserait Daniil. Connaît-il les Goonies ? L’histoire sans fin ? Peut-être. Sûrement. Agacé par son obsession, Merlin se pince les lèvres avant de redresser la tête vers les deux ivrognes qui, après un coup bien placé de Billy, se mettent à danser. Une danse lancinante, mêlant poings, bave et insultes dont eux seuls semblent avoir le secret. « Connaissant la mama, elle serait plutôt du genre à leur mettre une bonne raclée… Plus je regarde et plus je me demande s’ils se battent ou s’ils se font la cours… » Joignant le geste à la parole, il penche la tête, feignant une certaine incompréhension. Comme pour illustrer ses dires, les deux soulards se prennent par le coup, essayant tant bien que mal de se faire chavirer l’un l’autre. C’est ridicule, affligeant, mais tellement drôle. Silencieux, Merlin et sa nouvelle amie profitent du spectacle… un spectacle navrant mais pourtant satisfaisant que Merlin n’aurait raté pour rien au monde… Quoi que… Avalé par ses pensées, il se laisse emporter, quittant doucement notre mère la terre qui ne semblait plus avoir le moindre emprise sur lui… S’il ne les a pas vus, je pourrais peut-être les regarder avec lui… C’est idiot, c’est ridicule et pourtant, l’idée lui paraît parfaite...

Perdu dans ses pensées, Merlin ne remarque pas tout de suite le changement de situation. Les yeux perdus dans le vide, il se contente de rêvasser, cherchant un moyen de ramener l’objet de ses désirs entre ses bras. Heureusement pour lui, sa nouvelle amie semble plus attentive, plus à l’écoute. Consciente que le spectacle tourne au vinaigre, elle fait de son mieux pour le tirer, à la fois de ses rêveries et de sa place que les deux guignols semblent vouloir occuper. D’abord surpris, Merlin se laisse faire avant de finalement se redresser. Occupés à se battre ou à se tripoter, on ne sait pas, les deux idiots le frôlent avant de finalement s’éclater contre le mur. Le corps submergé par l’adrénaline, Merlin sourit. C’était pas passé loin… « Eh bah, comme dirait Dewey, c’était pas passé loin ! » Tournant les yeux vers sa nouvelle amie, il éclate de rire. A croire que Bob et Billy ne sont pas les seuls à partager un cerveau. « Tu m'ôtes les mots de la bouche… » Sérieusement. A croire qu’ils avaient tout en commun. Sauf peut-être… Oui, non, définitivement pas. La chirurgie plastique faisait des merveilles, mais elle était bien trop… réussie pour ça. Amusé par sa propre connerie, il rit doucement avant de relever les yeux vers elle. « Au fait, je m’appelle Bleuenn. » A croire qu’il n’est pas le seul à avoir été affublé d’un patronyme sorti du fondement du monde. Avec un sourire, il tend sa main, feignant une quelconque formalité. « Enchanté Bérangère. Moi c’est Merlin. Et j’ai une carte d’identité pour le prouver. » Fier de sa plaisanterie, il sourit. Ses yeux, comme toujours, brille d’une certaine malice, preuve irréfutable que son erreur est volontaire, voulue. Écorcher les noms pour le plaisir est surement sa plus grande faiblesse et sa plus grande passion. Malheureusement pour lui, beaucoup trouvent ça insupportable…

Derrière, les gars continuent de se battre, mettant en scène une situation des plus invraisemblables. Jetant un coup d’oeil aux deux idiots, Merlin sourit. « Oh et merci de m’avoir sauvé… Sans toi j’aurais sûrement fini en papier peint. » Comme pour illustrer ses dires, Billy et Bob se plaquent mutuellement contre le mur, la rage au corps. C’est qu’ils en baveraient presque ! C’est à se demander ce qu’ils font. Sérieusement. Est-ce qu’ils s’excusent ? Se battent ? Impossible à dire. Quittant finalement les deux ivrognes du regard, il redirige son attention vers Bleuenn ou Bérangère pour les intimes. « Une bière ça te tente ? Etant donné que Billy, Bob ici présents, ont ruiné la tienne .. » C’est le moins qu’il puisse faire compte tenu qu’elle lui a sauvé la vie. Sans elle, il aurait surement fini submergé par la testostérone et la sueur. Un mélange qu’il n’a jamais réellement apprécié. Plus loin, Billy ordonne à Bob de s'excuser, encore et encore alors que le pauvre Bob continuent de s’excuser dans le vent. Apparemment, la fierté n’est pas monnaie courante dans leur cercle d’alcooliques presque anonymes.  


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Bohemian like you - Merlin&Bleuenn - Jeu 14 Juin - 19:22

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Il est drôle lui, tu l’aimes bien. Tes lippes se tordent régulièrement d’un sourire diverti et tes prunelles doivent probablement crépiter sous tes cils. L’alcool aidant, tu oublies tes retranchements et t’amuses à échanger diverses vannes plutôt faciles avec l’inconnu. Entre vous, ça « match » comme disent les accrocs de la technologie. Les mœurs modernes t’échappent parfois, tantôt trop frivoles, tantôt trop abstraites. « Tu m'ôtes les mots de la bouche… » Ca te fait rire et plaisir à la fois. Drôle de combinaison. Visiblement, avoir une affinité aussi immédiate avec un autre individu est un fait des plus rares. Et comme la plupart des humains, la reconnaissance est une récompense qui n’a pas de prix. Sur ce constat et sans prêter gare aux meuglements des deux comparses pochtrons, tu tends une patte vers le grand brun pour te présenter. « Enchanté Bérangère. Moi c’est Merlin. Et j’ai une carte d’identité pour le prouver. » Petit malin. Tes lippes forme un « O » d’outrage en entendant le sobriquet hideux qu’il vient de t’attribuer volontairement. Et un sourire vient rapidement détromper ta pseudo contrariété. C’est jolie, Merlin. Et carrément atypique, comme le sobriquet dont on t’a affublée à la naissance.

« - D’habitude on écorche mon prénom, mais toi, je dois avouer que tu t’en sors à merveille ! tu rétorques avec taquinerie pour jouer le jeu.

Tu l’observes, intriguée par sa bouille faussement juvénile. La maturité et le trouble de son regard démentent ta première théorie. Plus de vingt années, ça c’est certain. Mais combien ? Tu penches trop le menton de côté, intriguée et obnubilée par les prémices de tes réflexions distraites. Reprends-toi, Blue. Tu redresses ta bouille et revient au moment présent. « Oh et merci de m’avoir sauvé… Sans toi j’aurais sûrement fini en papier peint. » Un nouveau sourire vient fleurir sur tes lèvres.

- Je t’en prie Merlinpinpin, ça sert à ça les gens sobres, tu répliques comme on dégaine un flingue.

Ca passe ou ça casse. Tu te dis que l’immédiat, ça glissera comme dans du beurre fondu. La comparaison te tire une grimace pensive. Combien de shampoings faut-il pour dégraisser des cheveux trempés dans du beurre ? C’est vrai ça, on s’est déjà posé la question ? Toi et tes innombrables questions alambiquées, t’en as déjà rendu plus d’une ou plus d’un complètement marteau. « Une bière ça te tente ? Etant donné que Billy, Bob ici présents, ont ruiné la tienne .. » L’invitation aurait dû t’alarmer, pourtant tu l’accueilles avec un immense sourire. A vrai dire, tes deux malheureuses bières n’ont toujours pas d’effets sur ton organisme. Une constatation aussi troublante que contrariante pour toi qui ne tient pas bien l’alcool. On t’a même donné des stades de verres. Aston a fait un schéma, un jour. T’es vraiment des potes insortables. Tu sais donc à présent qu’au bout de cinq verres, tu peux embrasser n’importe qui. Mais avant ça, les quatre premiers verres te font soit réciter du latin à l’envers, soit chanter du Kanye West. « Artiste » que tu méprises particulièrement en temps de sage sobriété.
 
- Avec plaisir, j’ai à peine profité des deux premières, tu lances avec une moue boudeuse. T’es venu seul ou accompagné ?

Question pratique. Faire connaissance est une bonne chose, mais intégrer une nouvelle personne à un groupe déjà soudé est plus complexe qu’il n’y parait. Et tes potes peuvent vraiment faire peur. T’y réfléchiras quand t’auras une réponse concrète, et pas les tympans saccagés par deux soulards qui chantent derrière vos échines. Parce que oui, maintenant, ils psalmodient des horreurs incompréhensibles. Tu crois pendant un moment entendre « cuir » dans le fouillis de mots prononcés. Tes prunelles par-dessus tes épaules fixent les ivrognes avec raillerie et tu rejoins Merlin dans le bar.

- Dis, t’aimes parier ? 20 balles que ces deux-là sont des amants cachés ! »

Ca crève les yeux, t’es pratiquement sûre de ton coup.
Pratiquement !

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Bohemian like you - Merlin&Bleuenn - Lun 18 Juin - 9:42

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Leurs mains se rejoignent, s'enlacent, scellant une amitié certes récente mais des plus naturelle. D’ordinaire plus méfiant, Merlin semble oublier toutes ses craintes, tout ses doutes. Avec Bleuenn ou encore Bérengère, Merlin se sent à l’aise, confiant. Aider par les quelques gouttes d’alcool qui coulent toujours au creux de ses veines et artères, il se laisse aller à sourire, à rire à chacune des blagues de la jeune femme. Un contact humain, naturel qui lui rappelle non sans mal les relations qu’il avait pu tisser au cours de sa jeune scolarité. “D’habitude on écorche mon prénom, mais toi, je dois avouer que tu t’en sors à merveille !” Le sourire est moqueur, presque fier. Fainéant un soupire de soulagement, il ne put s’empêcher de rajouter : “Tant mieux, parce que j’ai déjà commandé nos bracelets d’amitié et crois-moi, ils sont parfaits !” Se retenant de faire un clin d’oeil, il se contente de laisser son sourire s’élargir. Le sarcasme a toujours été son arme de prédilection. Autant pour se faire des amis que pour se défendre. Une habitude qu’il tenait de sa mère qui avait toujours été d’un tempérament quelque peu tranchant. Quelque peu distrait, il finit par la remercier. Un remerciement qu’elle accueille avec un regard curieux, la tête penchée sur le côté… Conscient d’être le centre de son attention, Merlin sourit avant de finalement éclater de rire quand celle-ci ose l’appeler Merlinpinpin. Un surnom qui ne lui est pas inconnu mais qui le fait toujours autant marrer. En ce qui concerne son état de sobriété, Merlin doit avouer avoir un doute… La jeune fille a beau avoir l’air sublime, elle n’a pas l’air des plus fraîches. Un compliment qui pourrait s’en doute se retourner étant lui même quelque peu éméché par l’alcool.

“Avec plaisir, j’ai à peine profité des deux premières. T’es venu seul ou accompagné ?” Rapidement, le visage de Merlin se déforme, affichant un sourire des plus moqueur. “Doucement, Bérangère. J’ai beau être une bête de compétition, on joue dans la même catégorie. Alors à part si t’as une petite surprise cacher quelque part…” Amusé par sa propre connerie, il rit doucement avant de secouer la tête… Étaler sa vie n’est surement pas la meilleure des idées. Il a beau avoir un bon pressentiment en ce qui la concerne, il ne la connaît pas. De ce qu’il en sait, Bleuenn pourrait très bien être une de ses radicalisés qui ne supportent pas qu’on puisse prendre son pied avec quelqu’un du même sexe… Reprenant un minimum de contenance, il finit par secouer la tête, toujours souriant. “Bref… pour répondre à la question, je ne suis pas accompagné…” Malheureusement pensa-t-il presque immédiatement en visualisant son visage. Pathétique… A croire qu’il est plus que temps de se noyer sous l’alcool. Un moyen des plus efficaces pour oublier l’autre bisounours avec ses yeux de bichons et son sourire à faire craquer les slips… Merde, merde, merde merde ! “Enfin, jusqu’à présent.” finit-il par ajouter en lui faisant un de ces clins d’oeil surjoués. En cas de baisse de moral ou de doute, toujours jouer au clown… C’est surement ce qui se rapproche le plus du mantra de Merlin qui a toujours eu beaucoup de mal à affronter ses propres sentiments.

Tout en marchant en direction du bar pour le bar, Merlin jette un dernier coup d’oeil à Bob et Billy qui continuent de se battre. Ils hurlent, crient, chantent, le tout dans un brouhaha des plus incompréhensibles. Exaspéré par le comportement des deux ours, Merlin ne peut s’empêcher de plaindre ceux ou celles qui devront leur passer une bague au doigt. Conscient de leur ridicule, il préférait sûrement se crever les yeux que de sortir avec l’un des deux.. Oedipe’s Style.

A l’intérieur, la musique bat son plein. Pris d’assaut par le son, la chaleur et l’odeur, Merlin grimace doucement. L’idée même de traverser cette foule le rend malade. Face à lui, deux jeunes femmes semblent prendre leurs pieds. Elles le regardent, se frottent l’une à l’autre et vont même jusqu’à se lécher les lèvres. Pas franchement fan de l’attitude, Merlin lève les yeux au ciel avant de tourner les yeux vers Bleuenn qui semble le rejoindre. “Dis, t’aimes parier ? 20 balles que ces deux-là sont des amants cachés !” Étouffé par la musique, Merlin éclate de rire. Billy et Bob gays ? C’est possible. Quoi que… Joueur, Merlin sourit avant de finalement se penche vers l’oreille de Bleuenn. “Deal ! Tu comptes le prouver comment au juste ?” Il crie pour se faire attendre. Ce bar a beau être un des meilleurs endroits qui soit pour faire la fête, il est impossible d’y avoir ne serait-ce qu’une conversation cohérente. “tu comptes te mettre à poil ? Parce que si c’est le cas, je suis partant !” Amusé, il recule quelque peu histoire de pouvoir voir le visage de Bleuenn et de lui montrer à quel point il est en train de se foutre de sa gueule. Comme dit Céline Dion : On ne change pas... 


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Bohemian like you - Merlin&Bleuenn - Dim 24 Juin - 11:42

I really love, your hairdo yeah. I'm glad you like mine too. See what looking pretty cool.
Will get ya. So what do you do ? Oh yeah I wait tables too. No, I haven't heard your band. Who's that guy. Just hanging at your pad. He's looking kinda bummed. Yeah you broke up. That's too bad. I guess it's fair. If he always pay the rent. And he doesn't get bent. About sleeping on a coach.

☛ Bohemian Like You ☚
Il est sacrément guilleret. Tu l'aimes déjà. T'en brises presque ton barrage anti-sociale pour la soirée et t'amuses à échanger des balivernes absurdes, mais drôles. Le brun nommé Merlin sera donc ton nouvel acolyte de beuverie. « Tant mieux, parce que j’ai déjà commandé nos bracelets d’amitié et crois-moi, ils sont parfaits ! »

- Des bracelets parfaits pour des gens parfaits ! tu lances en retour, totalement sur le ton de la plaisanterie futile.


Tu mimes un ego surdimensionné si mal joué que l'ironie se dessine sur ta tronche en biais. Tu t'empresses de rejoindre l'intérieur du bar d'ambiance un tantinet trop bruyant, tendant l'oreille tant bien que mal pour aider tes esgourdes à percevoir les paroles de Merlin. « Doucement, Bérangère. J’ai beau être une bête de compétition, on joue dans la même catégorie. Alors à part si t’as une petite surprise cacher quelque part… » Lorsqu'il te vanne en beauté, tu t'emmêles les pinceaux et balbutie avec une maladresse bien à toi. Bluenn qui fout les deux pieds dans le plat. Typique.  

« - Oh, désolée, je voulais pas dire ça comme ça, tu lances d'un air empêtré.

Ses lippes s'étirent mais un éclat de méfiance brille dans son regard. Quelque part, cet avertissement est un test que tu ne saisis que trop bien. Tes doigts s’entremêlent et tu les glisses dans tes poches arrière. Une manière comme une autre de t'empêcher de t'agiter comme une débile. Les évidences, tu ne les cites jamais. Tout ce qui semble simple et parfaitement justifié ne sort que trop rarement de tes babines, à tel point que ce genre de balourdise sociale t'arrive bien trop souvent. La surdouée qui passe pour une abrutie. C'est ton petit classique bien à toi.

- J'voulais dire, avec des ami-e-s, parce que...

Du coin de l’œil, t'avises Aston qui se déhanche en levant les bras en l'air comme un parfait crétin heureux et pince tes lippes. Bah... Il comprendra bien vite par lui-même.  « Bref… pour répondre à la question, je ne suis pas accompagné… » Ses prunelles démentent son masque tordu d'un sourire soudainement plus amère. « Enfin, jusqu’à présent. » La pirouette t'a pas échappée, mais tu mimes l'ignorance. Comme toujours. Tu préfères ça à l'idée qu'il te trouve déjà bizarre. Ta perspicacité à tendance à foutre tout le monde mal à l'aise. Tu lui rends son regard tout en lui indiquant le bar du menton. Il rebondit sur ta proposition de paris et une moue carnassière est peinturluré sur tes babines rosées par ton gloss. « tu comptes te mettre à poil ? Parce que si c’est le cas, je suis partant ! »

- Primo, tu verras, deuxio, non je n'ai pas de surprise cachée entre les jambes, p'tit pervers ! Tu le contredis. Les sourcils haussés et la moue facétieuse.  En attendant, nos copines les bières veulent nous rejoindre, on devait éviter de les faire attendre !

Tu lui chopes la main sans attendre pour éviter de le perdre dans toute la foule et sautille une fois arrivée au bar. Foutue jambes trop courtes.

- On est loin là ? J'vois rien !

Et tu le lâches finalement pour continuer à sautiller sur place comme une idiote. La foule qui se tient devant le bar te désespère à tel point que tu fais volte face pour lancer un regard de dépit à ce grand Merlin, qui lui, doit avoir une vue imprenable sur tout le comptoir. Enfin, avec un peu de chance. Du coin de l’œil, un brun sautillant et dansant accourt vers vous et tu soupires en levant les yeux au ciel.

- Désolée pour ce qui va suivre.
- BLUEEEEEEEEEEEEEENN ! Qu'il beugle, le con, avant de se planter devant vous deux, le tout en entamant un espèce d'houlà houp absurde. C'est quoi, l'hélicobite censuré ? Ca roule, ma poule ? J'croyais que tu devais te mettre à la diet ? Qu'il lance en lançant un regard absolument pas subtile à Merlin.

Aston, tu l'adores. C'est le genre de grand brun ténébreux un peu grunge aux yeux à se damner. C'est un peu ton meilleur pote. Mais un pote à l'humour lourd et avec la subtilité d'une moule.

- Voilà voilà, maintenant t'es plus seul du tout, tu fais en lançant une œillade à Merlin, un sourire navré collé à tes babines.

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