INTRIGUE + take off the mask

**The Third Eye**

take off the mask

season 1 - episode two.

Victoire des mafias alliées dans le sang à Arcadia, l'assassin qui a fait couler le sang des leurs est désormais entre les mains de la Nuova Camorra, grâce aux interventions salvatrices des Enfants Terribles et de la Bratva. Carl Mendes, détenu par les empereurs italiens, sous le joug de leur colère et de leur rancune. Et pourtant, ce ne sont que réjouissances qui s'annoncent.
L'homme est à eux, arraché au nez et à la barbe de la police, et c'est une nouvelle paix qui semble se profiler pour Arcadia. Une nouvelle aube, une nouvelle ère d'entente entre les mafias.

Le champagne coule à flots et les lumières des lustres inondent les dorures des murs et les satins des robes. La musique et l'alcool qui coulent à flot enivrent, ce n'est que fête et soulagement. Arcadia conviée à la réception de la Nuova Camorra, bal masqué lancé sous prétexte de fêter un quelconque fondateur de la ville - la réalité est bien différente, cependant, et tous les avertis en rient sous leurs masques. Ce soir-là, c'est la victoire des mafias que l'on célèbre, c'est la toute-puissance des panthéons. Ce soir-là, on exhibera l'ennemi, et les dieux millénaires auront enfin leur revanche pour les divinités sacrifiées. Mais les apparences sont trompeuses, et nombreux sont ceux qui ne verront là qu'un bal fastueux. Mortels insouciants et dieux endormis, simples citoyens à l'écart des mafias, certains ne sauront qu'apprécier la fête sans soupçonner ce qui se déroule en coulisses.

Le manoir a ouvert grand ses portes à la population d'Arcadia, illuminé de guirlandes scintillantes et de mille lustres antiques. De nombreux buffets garnis ont été dispersés au sein de la propriété, et des serveurs valsent entre les convives : personne ne manquera de rien. Depuis quelques jours déjà, le bal de la Nuova est sur toutes les lèvres, dans toutes les conversations, attendu avec impatience. Soirée de paix, où l'on efface frontières et clans, et où les querelles prétendent n'être plus qu'un mauvais souvenir. Une soirée pour devenir quelqu'un d'autre, sous les masques obligatoires et les parures luxueuses.

___

L'horloge municipale vient à peine de sonner ses vingt-deux coups, et le manoir est déjà plein à craquer. Les robes tourbillonnent, les lèvres rouges susurrent des secrets que beaucoup n'entendront jamais, et les flûtes de champagne s'invitent déjà dans les mains des invités.
La fête ne fait que débuter, et tout va bien.

VINGT JUILLET 2018 — la nuova camorra organise son bal masquerade pour sceller la trêve entre panthéons; toute la ville est invitée, mais toute la ville n'accèdera pas à l'ensemble des pièces du manoir.
(le détail des accès vous sera donné lorsque les salles seront ouvertes)
il s'agit pour la nuova camorra d'exhiber carl mendes et pour l'ensemble des panthéons de venger les sacrifices des divinités et des prophètes perpétrés par l'homme.

LES DIX COMMANDEMENTS
» pour que vos actions soient prises en compte par le mdj, un résumé sous spoiler de votre intervention sera à mettre.
» essayez d'intégrer au maximum les autres membres, n'oubliez pas que vous êtes tous masqués, petits coquins.
» en participant à cette intrigue, vous acceptez de laisser en partie le sort de votre perso entre nos mains... promis, nous ne tuerons personne, c'est juré, mais vous êtes susceptibles de recevoir un mp du mdj à tout instant, et il vous faudra jouer le jeu :smirk:

(sinon c'est pas drôle)
» amusez-vous :smirk:

Invité

INTRIGUE

hail to the masquerade

Cravate nouée autour du cou, il fait une moue de cinq pieds de long. Ce bal était une mauvaise idée, il le sentait jusqu’aux tréfonds de ses tripes. Gant de cuir noir enfilés des deux côtés pour se préserver d’une quelconque allergie dans ce manoir guindé, c’est bien pour lui faire plaisir qu’il a dit oui. A bien y réfléchir il ne sait même pas pourquoi il a accepté pareille idée saugrenue. Les mondanités, ce n’est pas son truc. C’en est encore moins son truc à peine pose-t-il le pied hors du taxi qui les dépose, @Aksel Beliakov et lui, juste aux abords du manoir. En plus de devoir se la jouer agréable il allait en plus devoir supporter de mettre un pied en territoire qu’il considère par défaut d’ennemi, ou tout du moins de peu rassurant ou même accueillant. Un masque noir seulement orné de quelques petites pièces argentées autour des yeux, l’on ne reconnait de Maksim que sa chevelure dorée et ses yeux bicolores. Ses gants, quant à eux, il ne compte pas les quitter. « J’espère sincèrement que tu sauras ne pas me faire regretter l’idée de te suivre. » qu’il adresse à l’attention du brun contournant la voiture. En réalité, si le blond déteste autant ce genre de soirées, c’est parce qu’il n’est pas très à l’aise en public conséquent. Qui plus est, devoir laisser Hakon chez lui n’était pas pour lui plaire. Une fois Aksel à ses côtés, le novum entame la marche, non sans l’avoir dévisagé de haut en bas au passage. Le toucher en revanche ? En public pas vraiment.

Résumé:

AVENGEDINCHAINS

Invité

mascarade

topic commun

« Sommes-nous en carnaval pour que les hommes se permettent une si ridicule mascarade? »

L'appel de la veillée traverse l'espace, et, malgré le vrombissement de son esprit haro et les susurres des voix méfiantes qui nichent sa fiole, le bristol festif brasse autant la cité que son propre canevas. Le mignon ne devrait pas gagner les marches du faste palais mais l'apostrophe orientale des gaietés est herculéenne: fouler le castel et ses castes opulentes quitte à être la brebis au milieu des lions de Numidie aux poitrines qui exhalent la future odeur du carnage. Alors le bengale s'engouffre de félicité et époussette les affres de pétoche qu'il trimbale toujours quand il glisse dans la porte en ogive et foule l'ombre de la dalle humide et raboteuse de la réception, goule et chair baignés d'un apparat presque trop ostentatoire face au reste de la cohue. Grand bien lui fasse, l'interêt des autres pour sa personne ne lui ayant jamais déplu. Partant du constat, le battoir racle les broderies dorées de sa veste corbeau de hussard tandis que le camouflage de sa figure prend des airs renard, le goupil orangé qui gaine ses pores grimés qui perce, eux, la cohue du réveillon guindé qu'il entame à peine de sa curiosité.

(c) DΛNDELION

hj:

Invité

take off the mask

Julius • tout le monde

Lorsque j'ai reçu l'invitation, je n'ai pas pu m'empêcher de soupirer. Un bal masqué, sérieusement ? Quel est le crétin qui a eu cette idée pour le thème ? Et pourquoi pas une soirée costumée pendant qu'on y est ? Comme si des artifices pouvaient cacher la réalité ! J'ai fait assez de soirées chez cette bonne vieille Céleste pour le savoir.

Cependant, j'ai malgré tout décidé d'y aller. Ma venue n'est pas dénuée d'arrières pensées. J'aurais peut-être l'occasion de donner ma carte à un ou deux clients potentiels. Parce que je pense que personne ne sera dupe vu le ridicule bout de tissu qui me fait office de loup de mon identité. J'ai bien sûr mis mon plus beau costume (d'une marque très connu et qui prouve sans peine que je vis de manière plus que confortable) accompagné de bouton de manchettes en argent massif. Pour les couleurs, j'ai fait dans le classique : du bleu nuit pour le costume et la cravate, du blanc pour la chemise et la pochette de ma veste. Je me dis que j'ai bien fait lorsque j'aperçois une veste des plus bariolées (@Khan Farrukh). Définitivement pas mon style. Je me garde cependant de faire la moindre remarque, préférant partir à la recherche d'un verre. Je ne suis plus sensible à l'alcool mais avoir deux verres en main pourra se montrer d'une aide certaine pour entamer la conversation.

Fiche codée par NyxBanana

Spoiler:

Invité

le monde est un théâtre d’ombres,
un bal masqué, une nuit de carnaval

Putain de Mendes. Tu nous fais passer pour des abrutis auprès de la Bravta et des Enfants Terribles. Vieux traître qui charcute même les siens. Et s'il ne l'était pas lui-même, Alcide cracherait un bon gros “salaud d'Italien !”.

Habillé comme un pingouin, le don s'assure des derniers préparatifs. Un coup d'œil, une remontrance et les serveurs s'affairent comme des fourmis qui ont le feu aux fesses. S'agirait pas d'être la risée des mafias avec une organisation bancale. Cela fait, il gagne à grands pas la pièce principale, tout en réarrangeant son masque vénitien, imitation métal bizarre. Pour peu et il se la jouerait Masque de fer.

C'est presque marrant d'observer ce cortège difforme, ces masques qui nous rappellent qu'au fond, on est tous pareils. Une tête, un tronc, quatre membres (quoique, tout le monde n'a pas cette chance). Après avoir saisi une coupe pétillante, Alcide se jette dans l'arène. D'une main levée, il salue son compère loup (@Julius Gates) aux poings déjà occupés. Et sur une note plus "administrative", il se met en quête de ses homologues mafieux.

Résumé:

Invité

take off the mask

everyone

Ça puait l'opulence ; les dorures, les lustres étincelants, les tenues de créateurs, tout lui rappelait le luxe dont elle s'était échappée, une dizaine d'années plus tôt. Mais quand on savait qui organisait cette mascarade viciée, on ne pouvait pas vraiment s'en étonner. Bellandi. Le roi des hypocrites au cœur d'une valse truquée. Peu importe. Echo ne s'intéressait ni au motif de cette mascarade, ni aux danses gracieuses, ni aux requins qui hantaient les lieux – pas dupe, la détective, elle reconnaissait les charognes, membres de mafias diverses, tous regroupés sous l'ombre d'une branche d'olivier qui ne tarderait pas à flamber. Elle, elle était là pour déterrer des secrets, ou du moins, des informations qui pourraient lui permettre d'atteindre la Nuova Camorra, et Alcide avec. Prête à se faufiler entre deux portes interdites pour ça, à jouer du sourire pour s'attirer des faveurs, prête à tout. Pourvu qu'elle l'emporte.

Silhouette drapée de noir, pour se fondre dans la masse, le loup argent qui la fait louve, la seule chose qui aurait à présent pu la trahir restait son attrait prononcé pour les bulles de champagne, qui continuaient de couler dans sa gorge avec le rythme d'un métronome. Elle tendait par ailleurs un bras pour attraper une nouvelle coupe, lorsqu'elle bouscula quelqu'un. Renversa les quelques gouttes qu'il lui restait sur la tenue de l'autre. Soupira une demi-excuse. « Merde. Désolée. Évitez de vous mettre entre le champagne et moi, et ça ne devrait plus arriver. ».

Code by Silver Lungs

Spoiler:

Invité

INTRIGUE + take off the mask

Legends never die. When the world is calling you. Can you hear them screaming out your name ? Legends never die. They become a part of you. Every time you bleed for reaching greatness. Relentless you survive. They never lose hope when everything's cold. And the fighting's near. It's deep in their bones they'll run into smoke. When the fire is fierce. Oh, pick yourself up, ‘cause. Legends never die

L'idée de cette soirée ne lui plait guère. Trop d'inconnus, trop d'impondérables qui pourraient ternir la fête. Voire la transformer en bain de sang. Réunir une telle quantité de gens puissants, d'entités vaniteuses et ambitieuses, dans un espace si réduit n'est pas une entreprise soutenue par le caporegime.

Alors il marche. Il traine son imposante carcasse au milieu des invités, observe les comportements, considère les corps et épie les conversations. Son regard s'attarde un moment sur le Don. Grossier moment d'inattention qui lui coûte une flopée de saloperie sur un tissu bleu méditerranéen à plusieurs centaines de dollars.

« Merde. Désolée. Évitez de vous mettre entre le champagne et moi, et ça ne devrait plus arriver. » Excuse de merde pour plier l'affaire ou tentative d'humour pour apaiser un potentiel conflit. Silas ignore laquelle des deux options est la bonne, mais les tâches sur son blazer lui arrachent la gueule. « Ce n'est rien. » Ma veste, connasse qu'il pense. Il se contente néanmoins de la retirer, il trouvera bien un larbin pour la lui nettoyer. « Je ne pensais pas devoir faire tomber le haut dès le début de soirée. » Faux sourire qu'à moitié visible derrière son masque. Ca le gratte, cette merde. Qu'on lui file le nom du con qui a glissé l'idée de cette soirée.

Spoiler:

code by bat'phanie

Invité

take off the mask

Il a hésité longtemps, le monstre. Hésité à venir admirer l'air pincé d'Alcide. Un spectacle qui, à coup sûr, vaut le détour. Un spectacle qui vaut le déplacement, au bras de son épouse au ventre légèrement arrondi. Désormais, plus aucun doute ; un héritier dort dans ces entrailles bénies. Et il est fier, le futur père. Fier de montrer que lui aussi peut faire les choses normalement. Qu'il peut aussi faire comme Alcide. Être Alcide. Être ce successeur espéré par Scipio Bellandi il y a vingt ans de cela.

Nicola accrochée à son coude, à une sage distance de l'époux, Saturno suit la foule des invités à l'intérieur. Ce soir, comme toujours, il est égal à eux. Cette plèbe sur laquelle il devrait pourtant régner. Il n'a pas eu le privilège d'accueillir les mafias aux côtés de son frère. Simple spectateur, il contemple son aîné d'un air sardonique, que personne ne peut pourtant voir. Le visage masqué par un volto argenté, seuls ses yeux glaciers transparaissent.

Le salut qu'il adresse à @Alcide Bellandi est froid et impersonnel, à l'image de leurs relations. Rapidement, entraîne son épouse auprès de connaissances et l'abandonne là. Aucune envie de garder la furie pendue à lui pour le reste de la soirée. Au lieu de quoi, il part à la recherche de @Lyra Al Khayzuran. Et si ce n'est pas elle, alors ce sera sa cadette.

Spoiler:

Invité

take off the mask

Joaquin Costilla demande, Alejandro Flores acquiesse. Même si faut se déguiser en pingouin - ça devient une habitude - et de se cacher derrière un fichu masque. Masque dont je suis plutôt fier au final, vu la trouvaille qui m’a dérobé un rire dans la boutique de bijou.
Costume noir et chemise de la même nuance, je me gare à distance et débute par un léger tour de quartier. Pas d’arme ce soir rien que mes doigts qui sont prêts à découper la moindre couenne qui va dépasser - et bordel, chez les italiens, y’en a des tonnes. Le sport, autre que celui de chambre, vous connaissez ?

Carton d’invitation donné, petit renard à la moustache cachée, j’avance lentement dans la foule et aperçoit @Alcide Bellandi et sa bedaine réputée, qui salue un gadcho, surement un comparse (@Julius Gates). Rester à distance, se positionner dans un coin, choper un verre de jus de raisin et attendre. Attendre. Attendre.

Se faire chier.

Spoiler:

Invité

take off the mask

ft. des gens

>

Si tu te trouves ici, dans ce manoir qui t’est inconnu, c’est un peu par curiosité. Considérant Anna accrochée à ton bras, c’est surtout pour lui faire plaisir que tu es là, au milieu des convives. Ces sacrifices du confort que l’on accepte de faire par amour. Non pas que tu n’apprécies pas ce genre d’événements, mais plutôt que tu ne le sens pas très bien. Le cynisme dans le sang, tu ne crois plus au mot « paix ». Et puis, comme tout le monde, tu as regardé Game of Thrones, si bien qu’il t’est difficile de faire confiance à une fête organisée par un parti « ennemi », mais c’est ton côté vaguement parano qui dicte ces dernières pensées.
Après que ton regard ait balayé la foule, à la recherche de sourires connus, il se glisse sur ton aimée. Jolie dans sa robe, le regard cerné d’un masque luxueux que tu as soigneusement choisi pour s’agencer au tien (argenté, très détaillé), la coiffure naturelle cachée sous une perruque blonde faite de vrais cheveux ; tout pour qu’on ne la reconnaisse pas trop. Toi, t’es paré d’un nouveau complet que t’as probablement payé la peau du cul ; en tant que sujet du Royaume, tu ne pouvais te permettre de faire pâle figure – ta posture de paon en témoigne tout autant. Quitte à ne pas avoir tellement envie d’être ici, aussi bien pousser le vice au maximum.
Vos allégeances contraires sont dangereuses. Mais ton degré de « I don’t give a flying fuck » du moment l’est tout autant.

Tes iris fières dévorent Annalisa avec une subtilité relative, alors que tu te penches vers elle. « Tu fais de l’ombre à toutes les autres. », glisses-tu doucement à son oreille avant de te redresser en semblant chercher quelque chose. Ton regard se pose sur un des individus qui porte les coupes de champagne. « Je vais te chercher à boire ? » , lui demandes-tu. Tu n’as pas envie de la quitter, mais l’alcool, comme l’amour, vaut bien certains sacrifices.

(c) DΛNDELION

Spoiler:

**Siobhán Kearney**

take off the mask.

sujet commun.

Un pied gourd et hésitant s’extirpe de l’auto au moteur ronronnant. Le contact est coupé aussitôt, et la rousse prend le bras qu’on lui tend. Celui de Torben Rawne, chauffeur amélioré et récent garde du corps, accompagnateur et chaperon de la divine pour la soirée.

Soirée vomie. Il est encore temps de faire demi-tour, et de laisser la canaille arcadienne se repaître d’un spectacle qu’elle désapprouve sur tous les points. Elle n’a aucune envie d’être là, et pourtant elle avance aux côtés du celte, jusqu’à grimper les marches du faste bâtiment, et traverser ses arceaux en vue de regagner la salle de réception déjà bondée.

Ses cheveux flamboyants laissés libres la trahiront sans doute, et c’est quelque part l’effet escompté. La raison principale de sa décision arrêtée ; se montrer. Faire bonne figure auprès des truands rassemblés, et prouver qu’Aislinn O’Reilly n’est pas femme à se laisser intimider. Que l’agression subie quelques semaines auparavant est désormais dépassée, au point qu’elle vienne se pavaner dans un mélange de bandits et d’innocents de la cité. C’est l’occasion plus discrète d’obtenir quelques informations supplémentaires sur cette affaire liée aux sacrifiés, dont elle s’est toujours trouvée bien mal informée.

Bleu électrique, le drapé qui ceint sa poitrine et dévoile une épaule s’accorde aux nuances célestes et argentées du masque qui recouvre son visage dans la quasi-totalité. L’épiderme d’ordinaire laiteux est légèrement hâlé, rehaussé de couleurs par le soleil brûlant des caraïbes. Séjour resté secret, tout comme ses raisons et ses conclusions pour le moins inattendues.

Machinalement, le regard azuré balaie la pièce à la recherche de celui qui affole le myocarde tapi sous l'anneau suspendu à sa gorge. Il devrait être là, ou arriver bientôt, convoyant le cortège du Royaume et surtout de sa Reine. Elle cherche à s'occuper l'esprit et saisit deux coupes d'un champagne hors de prix sur un plateau tout aussi onéreux. Elle tend la première à Torben tandis qu'elle le couve d'un regard appuyé ; « Juste une ».

A quelques mètres d'eux, la parure qu'elle observe la ferait presque sourire si les évènements derniers s'étaient déroulés autrement. A son attitude et rien qu'à son allure, elle reconnait le Capitano sous le masque de goupil, et vient nonchalamment se tenir à ses côtés.

Pas un mot. Juste un regard échangé.

Spoiler:

Invité

Trop de monde qu'elle ne désire pas voir, ni même croiser et pourtant elle a eu envie d'y aller à ce bal, danser, s'amuser. Elle en avait parlé à Clarence et il avait été convenu qu'elle se déguise un peu pour qu'on ne la reconnaisse pas en terrain ennemi. Et la voilà, au bras de son beau cavalier dans sa robe fluide et ample, le masque sur les yeux et sa longue chevelure rousse dissimulée par une cascade de boucles d'or. Elle est une autre personne, elle s'en moque, tout ce qu'elle veut c'est danser. Ils arrivent alors ensemble, son regard se pose partout et sur les visages qu'elle ne reconnaît pas sous les masques. Rassurée, une grande inspiration et elle serre un peu plus le bras de Clarence.

Elle se demande si des membres de la Bratva sont là, si ils veulent tenter de saboter la soirée. Qu'en est il des autres groupes ? Le compliment de Clarence la touche, elle rougit et se hisse sur la pointe des pieds pour poser ses lèvres sur les siennes afin de le remercier. Ils ne sont pas du même camp mais ces gens là ne peuvent pas le savoir. Pas vrai ? Ce soir c'est différent et elle ressent une certaine satisfaction de venir bousculer ce que l'on considère comme potentiellement innaceptable.

«Et moi je n'ai d'yeux que pour toi» un sourire elle rajusté ses boucles blondes qui sont ses cheveux désormais, la qualité est si exceptionnelle qu'elle doit souvent vérifier qu'ils ne sont pas les siens mais bien un leurre. Cendrillon ne désire pas être vue. Clarence propose d'aller lui chercher un verre, elle acquiesce d'un mouvement de tête cet relâche son bras. Le laissant aller pendant qu'elle observe les autres, les robes splendides, les quelques iris qu'elle croise. Le cœur bat: de l'adrénaline, de la joie de pouvoir être elle-même malgré le déguisement.

Spoiler:

Invité

take off the mask

Y’a quelque chose - autre que les culs coincés des italiens et leur jus de raisoi- qui attire mes pupilles vers la droite. Ça pète la rétine tellement c’est coloré et… Roux. Et ça se pose à côté de moi, simple regard qui passe sur mon masque et ça reste silencieux. (@Aislinn O'Reilly) Roukie, j’t’ai connu plus loquace, tu crois que je ne peux pas reconnaitre la chica qui en surement plus vu de ma p'tite personne que toutes les nanas réunies d'Arcadia ?

Accompagné d’un homme (@torben rawne) qui me dit vaguement quelque chose - mais vaguement, donc ça veut dire qu’il n’a clairement pas une grande importance (et qu’il n’a pas la carrure du gars que j’ai entendu sur le répondeur la dernière fois). « C’est joli, le bleu.. Sur toi. » Que je murmure discrètement sans la regarder en face, léger sourire qui nait sous le masque de renard. « Ça a l’air d’aller mieux.... » Et ça me rassure que j'aurais pu rajouter mais on est a Arcadia, pas dans Amour, Gloire et Beauté. Même si vu la soirée qui se profile, je n'en mettrais pas ma main à couper.

Spoiler:

Invité

take off the mask

We like dancing and we look divine 

;

T’as décidé d’arriver seule, tu sais que tes connaissances sont éparpillées dans la salle parmi les inconnus aux vêtements somptueux, aux masques effrayants. Tu aimes les bals, la musique, la danse, tu voudrais célèbre la gloire des panthéons, mais il y a une amertume, il y a aussi ce doute persistant au fond de ton esprit : les dieux n’ont jamais su vivre.

Tu as pourtant joué le jeu, t’as volé une jolie robe. Elle a la couleur de la mer après un orage violent, la mousseline travail un relief cascadant. Elle est de vague et d’écume, tes cheveux sont un chignon déstructurés, un masque composé d’éclat de miroirs lissés cache le haut de ton visage. L’ensemble donne l’impression d’un profond désordre et ce mot te va bien.

Tu ne cherches personne en particulier dans la foule, un verre à la main tu passes entre les convives, sans te presser, sans vraiment avoir de but à atteindre. Tu te demandes si Drustan est déjà là, tu as repéré quelques silhouettes familières, quelques regards échangés, méfiants ou enjoués, le climat n’est pas aussi détendu qu’il devrait l’être, il y a trop de rancœur personnelle pour que chacun croit à ce beau mensonge. Le champagne est divin, quelqu’un t’adresses la parole, une banalité, tu y acquiesces évasivement. Tu te demandes un peu pourquoi tu es venue, puis tu te souviens que pour une fois tu voulais faire parti du monde.

Spoiler:

b l a c k f i s h

Invité

Bruits de couloir, invitations. Solitude ménagée, la divine s'est décidée à sortir de son havre de paix. Opulentes soirées prévues par ce qu'elle ne connaît que très peu. Choix drastique, une tenue qu'elle ne peut affirmer convenir à sa personne. Longue robe drapée, couleur pastelle. Masquerade, un thème plaisant à toutes les époques. Loup décoratif posé sur le visage, il n'est pas spécialement difficile de reconnaître ses traits. Cheveux lissés, le maquillage des yeux se veut discret, les lèvres colorées d'un bleu glacial scintillent de paillettes argentées. Le sac pochette se veut décoratif. Quelques billets, quelques mouchoirs, son smartphone. Le maquillage se veut superflu, mais bien présent. Deux petites choses qui lui permettront de se refaire une beauté, si besoin est. Perchée sur ses talons hauts, elle s'engouffre dans la bâtisse. Les regard baladeur, une flopée d'invités décorent le lieu. La silhouette d'@Aislinn O'Reilly sort du lot, accompagnée de deux hommes dont elle pense, peut-être, en reconnaître vaguement un. (@Torben Rawne). La précipitation n'est pas lieu d'être, la rousse semble occupée. La déranger ne fait pas partie de son projet nocturne. Avant de s'engouffrer dans l'arène, Hazel relève la traîne de sa robe qu'elle attache à deux bracelets en argent situé autour de son poignet gauche. Éviter d'être arrêtée en plein mouvement, divine nordique métamorphosée en grecque. Inspiration profonde, elle plonge. Quelques mouvements de tête, salutation distinguée à de nombreux inconnus. Son regard se pose sur une âme solitaire. Rapidement, elle se parfait de deux coupes de champagnes et s'approche, se positionnant à sa gauche. « Un homme sans son verre dans de telle circonstance, il n'y a rien de plus suspect » précisa-t-elle, souriante. Sa voix douce s'élève à nouveau à travers ce brouhaha. « J'ai justement ce qu'il faut pour parfaire votre tenue ! » Tendre l'une des deux coupes, engager la conversation avec l'inconnu (@Khan Farrukh) qu'elle reconnaît divin.

HJ:

Invité

— Tu aurais pu choisir un autre costume, me reproche Mamgu.
Je hausse les épaules alors que nous passons les portes d’entrée. La salle de bal transpire le luxe et l’abondance. La Nuova Camorra n’a pas fait les choses à moitié pour cette célébration. Il faut dire qu’ils sont heureux. Moi, je suis soulagé. Une épée de Damoclès pesait sur ma nuque, jusqu’à récemment. Enfin, druides et autres prophètes ne sont jamais totalement à l’abri, je l’ai appris à mes dépends. Toutefois, le danger immédiat est à présent entre de bonnes mains.
Mamgu a choisi une robe diaphane, assez osée pour son âge mais elle peut se le permettre. Grande et élancée, ses muscles sont encore fermes, sa taille de guêpe habituée aux corsets. Une ceinture la souligne sur le tissu flottant. Son masque blanc cache la moitié de son visage. Elle ressemble à une druidesse des temps anciens. Ne lui manque qu’un flambeau crépitant dans une main.
J’ai choisi une tenue noire. Jean. Ceinture. Marcel. Veste longue tombant sur mes genoux. Derbys vernies. Pour l’occasion, j’ai même teint mes cheveux d’un noir corbeau sans aucune hésitation. Seule lumière sur l’obscurité : le masque des Anonymous cachant l’intégralité de mon visage. Je suis méconnaissable, seule la présence de Mamgu à mes côtés pourrait me trahir.
Nous passons à côté d’une jeune femme renversant son verre de champagne sur un homme. Mamgu m’échappe déjà pour se mêler à la foule. Des robes s’agitent autour de moi. Des masques. Un loup, un renard, fragments de miroir dans un océan d’orage. Elle attire mon regard. Je soupçonne de la connaître. Cette chevelure, ces choix.
J’inspire, j’ai soif. Mon dernier scotch remonte à vingt-quatre heures. Beaucoup trop longtemps. Je rejoins donc les boissons et reviens vers la robe orageuse en lui tendant un martini.
— Bonsoir Miroir Magique...
Une révérence, je suis déjà dans l'ambiance.

Spoiler:

Invité

take off the mask

season 1 - episode two.

Je soupire. Cette soirée ne me dit rien. Rien qui vaille. Pourtant je suis dans ma chambre devant ce miroir à remonter la fermeture de ma robe, à enfiler des escarpins, à me maquiller pour attirer l’attention… Je suis là à me préparer dignement. C’est la Nuova Camorra qui reçoit. C’est officieux bien entendu, on n’est pas là pour fêter notre victoire, le discours n’aura rien à avoir les affaires. Une parfaite soirée pour parfaire un sourire, pour jouer la comédie. Pourtant à mes jarretières ce sont deux revolvers que j’installe avant de laisser les plis de ma tenue retomber. Deux oui, on ne sait jamais, si Silas a oublié le sien, bien sûr j’en doute. Reste qu’on est plus efficace avec deux armes. Je n’arriverais pas à profiter pleinement de la soirée. Elle ne m’enchante déjà pas des masses, j’ai l’impression d’une fausse paix, je sens qu’il va se passer quelque chose. Je resterais vigilante, il n’est pas question que l’on s’en prenne à la Nuova Camorra et surtout pas à Alcide.

Je me vaporise de parfum, doux et sucré, je l’aime parce qu’il marque les esprits sur mon passage. Mon masque est relativement simple, il y a de forte chance que je ne sois pas anonyme mais cela ne m’intéresse pas. Je crois que je manque cruellement de sociabilité. Une fois prête je verrouille ma maison et j’entre dans la voiture apprêtée pour l’occasion. Je ne dis rien au chauffeur, je tiens mon masque entre mes doigts. Dans ma pochette se trouve mon portable, de l’argent et une fiole l’ambroisie. En cas d’urgence, je me le promets, je ne sais pas encore si je vais tenir, les effets sont si plaisants, cela ne dure pas mais on se sent invincible. Parfois le pouvoir fait tourner la tête.

J’arrive sur place. Avant de sortir de l’habitacle climatisée, je positionne mon masque, faisant passer le ruban de l’attache dans ma coiffure. Je me fonds dans la masse de citoyens qui se rendent à la soirée. Mes yeux passent de visages en visages, je tente de reconnaître du monde mais comment y parvenir ? Mes pas me guident au bar, coin stratégique non ? Je crois repérer mon père dans la foule, je ne suis pas sûre que ma présence change quelque chose pour lui. Pourtant je vais devoir l’avoir à l’œil. Je m’accoude au bar et je commande un whisky avec des glaçons, peut-être qu’après un verre je serais plus à l’aise.

Spoiler:

Invité

intrigue

Screaming the name of a foreigner's God, the purest expression of grief

 erveryone 

La soirée masquée n'était pas une mauvaise et Divina se réjouissait déjà de tout le bon vin qu'elle allait pouvoir déguster, surtout si c'était organisé par les italiens. Et masqué ? Si elle repartait dormir seule ce soir, la petite latina serait extrêmement déçue.
Sa belle robe bleue enfilée, elle l'avait choisi avec soin, sans savoir qu'une surprise l'attendait pendant la soirée... Divina avait cependant choisi son masque sur un coup de tête, sans jamais le regretter. Les invités allaient tous arriver avec les légers et élégants masques italiens, alors qu'elle débarquerait avec un imposant masque en forme de crane, incrusté de néon rouge et bleu.

Perchée sur ses talons hauts, elle entra dans la pièce comme si elle lui appartenait déjà. Elle ne perd pas une seconde et se dirige vers ce qu'elle reconnaît comme des flûtes de champagne, avant de se stopper. La robe. Une petite blonde porte exactement la même robe qu'elle.
Divina sait qu'elle n'est pas là pour ça, qu'elle ne devrait pas faire de vagues pour un bout de tissus. Mais c'est si dur pour elle, vous comprendrez... Elle attrape un verre dans l'unique but de le renverser sur sa jumelle bleutée, mais brusque comme elle est, la latina réussi, en se tournant, à le verser sur un costume beaucoup plus masculin. Elle se tend une seconde, avant de soupirer sous son masque, pas peinée le moins du monde.
- Dommage, du si bon champagne...

DESIGN ϟ VOCIVUS

Spoiler:

Invité

Costume impeccable. Barbe rasée de frais. Moustache retaillée. Mèches rebelles disciplinées. Pas d’armes. Pas de provocation. Soirée où ma mission doit se rendre. Elle m’a mis en garde. Que je me tienne prêt, mais sans entrer dans le jeu qui pourrait nous être imposé. Je sais qu’il y aura les représentants des fameuses « mafias » dont Fiona Killough et Aislinn m’ont déjà parlé. Ceux qui font peser sur ma mission ce niveau de menace si intangible et pourtant si présent. Je me sens concentré. Pas tout à fait serein pour autant. Ca va être un véritable challenge de me trouver mêlé à tous ces gens. Je me sens solide malgré tout. Je sais ce que je suis. Je fais ce pourquoi je suis fait. Le costume ne me serre pas trop. Il est bien cintré, me serre de près sans m’étouffer. Je sais toutefois que si confrontation il doit y avoir, cet ensemble impeccable, veston inclus, sera immanquablement abîmé. Ce sont les risques du métier. Aislinn m’a briefé. Je l’ai complimentée sur sa beauté lorsque je l’ai retrouvée, mais c’est bien la seule politesse que je me suis autorisée. Je reste concentré.

Ce soir, il allait y avoir un raz-de-marée de pouvoir, d’émotions. Je les suspectais difficiles à encaisser ; d’expérience les autres dieux rencontrés –comme Aislinn- ressentaient souvent violemment ce qu’ils vivaient. Nous entrons finalement, et vêtu de mon propre masque, en forme de museau de loup assez touffu. Il me couvre le haut du visage, mais la bouche –et la moustache- apparait sous le museau. Je souris quand la patronne me tend une coupe d’un millésime que mes moyens ne m’avaient jamais permis de m’offrir, et m’indique que je n’ai droit qu’à une coupe.

| Ne vous en faites pas, je n’ai pas besoin de m’enivrer. |

lâchais-je, un rien taquin, la moustache étendu en un mince sourire après un infime regard en direction de sa robe. Compliment espiègle, mais discret. L’homme qu’elle rejoint me parle. Je sens son aura. J’en sens d’autres. Je n’interviens pas, pas tout de suite. Mais me fends d’un signe de tête discret et poli envers le renard qui accompagne Aislinn. Je reste deux pas derrière. Et je trempe fugacement mes lèvres dans le nectar doré.

Spoiler:

Invité

Une soirée à laquelle je n'ai aucune envie de participer. Le clan des vieux aigris qui s'élargit, avec ma présence en ces lieux. Invitation que je n'ai pas su refuser, parce qu'elle peut servir aux intérêts du Club. Maugréement intérieur, tête pleine de fatalité. Costume italien classique, canne toujours plantée sous une paume gantée, pour me faire tenir droit. Masque classique sur la moitié du visage, je ne suis pas vraiment le plus méconnaissable du lot. Qu'importe, je ne connais personne ici. Arrivé il y a peu, à tenter de prendre une quelconque marque dans la foule. Rien à faire, je ne suis pas à mon aise. Stature droite, tentative de bien paraître, pas l'air du vieux ronchon que l'âge peut accentuer au fur et à mesure des années. Jusqu'à tenter de fuir, me retourner trop stupidement.

Ah. C'est mouillé, soudainement.

Regard vers le bas. Imprévu du jour. Fantastique. Avant de revenir sur un crâne qui soupire. Drôle d'allégorie. Champagne gâché, visiblement. Pas désolé non plus, le Samuel.

Hum. Que dire ? L'observer, plus en détail, observer sa tenue. Vous en avez sur votre robe aussi.

Deux à souffrir, mais semble-t-il que le temps que ça traverse le tout, elle ne l'avait pas sentie. Un mouchoir en tissu extrait, de la poche du costume, celui qui servait à faire joli à l'origine. Tendue vers la dame, parce de que toute manière, je crois bien que je vais rentrer.

Pour vous.

Résumé:

Invité

take off the mask

Célestine • tout le monde

Un bal masqué ? Qui a eu cette brillante idée ? Ca sonne comme une idée géniale ! Un peu comme une fête étudiante qui s'apprête à mal tourné. En bien ou en mal, ça c'est une autre question. Néanmoins, je vais tâcher d'être optimiste : mes dernières expériences de ce genre ce sont bien passées. Pourquoi cela ne pourrait-il pas en être autrement ?

Pour l'occasion, j'ai fait les boutiques afin de me dégoter une nouvelle robe. Je ne me fais pas d'illusions : jamais je ne pourrais aligner plusieurs zéros pour une robe. Mon salaire ne me le permettra pas. Mais, jour de gloire pour moi, j'ai réussi à me trouver une robe rouge avec des manches en dentelles fort sympathique en soldes. Ajoutez à cela des escarpins et un masque de la même couleur avec des cheveux relevés en une couronne de tresse lâche, cela vaut aisément les tenues que je ne pourrais pas me payer. Et puis l'immense avantage de cette tenue est que je n'aurais pas trop chaud avec celle-ci.

Lorsque je débarque à la soirée, mon sourire se fait plus grand que jamais. Non pas parce que cela va être forcément une bonne soirée, mais parce que je ne peux m'empêcher de penser qu'en ayant malgré tout pitié de mon porte-monnaie, je n'ai pas à rougir de ma tenue. Et au pire, si jamais, je peux toujours m'envoler à tire d'ailes au besoin.

Désireuse de profiter de ce champagne dont je n'aurais pas l'occasion d'en reprendre de sitôt, je me dirige vers le bar. En m'approchant de celui-ci, je ne peux m'empêcher de rester bouche bée devant une jeune femme vêtue d'une robe noire (@Calliope Bartolli). Elle est juste woaah.

Est-ce que je viens d'avoir un crush ? Non. En revanche, je reconnais plus que volontiers le charisme qu'elle dégage. Rapidement, une idée surgit dans mon esprit. Si ça se trouve, elle serait partante pour participer à une opération citoyenne de défense de l'environnement ? Franchement, avec un tel charisme, je suis sûre qu'on pourrait avoir du monde en plus pour comprendre l'enjeu concernant l'environnement.

Convaincue par cette idée, je me dirige vers elle avec un sourire ravie sur le visage.

-Bonsoir ! Pardon de vous déranger mais je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer que votre robe vous allait divinement bien !

Mon compliment est plus que sincère et doit se sentir dans la voix.

Fiche codée par NyxBanana

Spoiler:

Invité

Un bal, non merci. Calliope t'en as parlé et même si tu as pris la peine de t'acheter un masque, sous l'impulsion de la jolie blonde, tu t'es vite ravisé. Non, décidément ce n'est pas fait pour toi. Tu t'apprêtais à passer une petite soirée tranquille loin des mondanités, mais @Ganya Rohais n'a vraiment pas l'air dans son assiette. Ton colocataire improvisé ne semble pas au meilleur de sa forme et forcément, tu dois y faire quelque chose. Tu ne te referas pas, tu seras toujours un médecin. « Tu as trente minutes pour te préparer, j't'emmène au bal Cendrillon » que tu lâches avec un clin d'oeil. Tu prends sur toi pour remonter le moral de l'invétéré fétard. Toi aussi tu vas te préparer, tu ne tiens pas à avoir l'air d'un paysan.

C'est donc vêtu d'un costume bleu marine que tu montes dans ta voiture, attendant Ganya, prêt à rejoindre les lieux des festivités. Apparemment, tu es loin d'être le seul à avoir eu cette idée. Comme prévu, tu ne te sens pas vraiment à ta place, mais tu essayes de donner le change. Heureusement, le fait de porter un masque te permet de te dissimuler dans la foule. Tu te tournes vers le Rohais une fois arrivé sur les lieux, somptueux. « Il me semble que tu aimes faire la fête, non ? Alors fais-toi plaisir. C'est une prescription de ton médecin. » tu lui souris. Au loin, tu reconnais @Aislinn O'Reilly comme toujours, ton oeil semble attirer par la rousse et tu ne comprends toujours pas pourquoi. Peut-être simplement parce que sa présence te semble familière. Ça a quelque chose de rassurant dans cette atmosphère que tu ne maîtrises pas tout à fait. Tu profites qu'un serveur passe par là pour attraper un verre et le porter à tes lèvres. « Santé » que tu lâches en direction de Ganya.

HJ:

Invité

INTRIGUE

hail to the masquerade

Arrivé devant le manoir, c’est pratiquement en sautillant que tu sors de la voiture. Tu es d’excellente humeur en cette soirée. Comment ne pourrais-tu pas l’être, en effet ? Maksim Fraser avait enfin fini par atterrir dans ton lit, miracle parmi les miracles, et tu t’apprêtais à passer une soirée en compagnie de tous les mafioso de la ville, toute mafia comprise. Cette soirée ne pouvait que mal finir. Tu avais tellement hâte.

Ton sourire s’élargie en entendant râler le blond. Il était presque adorable à bouder ainsi. Oh, tu savais qu’il n’aimait pas les endroits bondés, mal à l’aise en public qu’il était, tu en avais juste que faire. « Ne t’inquiète pas. Je te garantis que je saurai tout mauvais moment de cette soirée … » Tes lèvres, seule partie visible de ton visage sous ton masque de renard noir, se moulent dans un sourire en coin à ces paroles, tes pensées formant déjà quelques plans pour faire oublier au blond le futur chaos qui ne manquerait pas d’arriver. Chaos provoqué ou non par ta personne et pour ton amusement.

Tu passes devant ton blond, hésitant un instant avant de lui claquer les fesses au passage avant de te raviser. Trop tôt. Vous pénétrez tout deux et constatez que la salle est déjà bien pleine. Tu t’en frotterais les mains d’expectative. Mais il te fallait te contenir : tu avais toute la soirée devant toi. Souriant toujours aussi grandement, tu te tournes vers Maksim tout en désignant le bar un peu plus loin. « Et si nous allions voir s’ils proposent de la bière, hm … ? »

Arrivant au bar, tu constates qu’un homme s’y trouvait déjà (@Clarence Birdwhistell). Tu lui adresses ton plus beau sourire. « Joli masque. » dis-tu pour entamer la conversation.

Résumé:

AVENGEDINCHAINS

Invité

take off the mask

season 1 - episode two.

Est-ce que j’ai le droit de dire que c’est relativement pompeux ? J’aime bien les soirées mais celle-ci est dans l’exagération. Quand deux personnes se reconnaissent malgré les masques on dirait la rencontre du siècle et cela n’arrête pas. Ce genre de réunion n’est qu’un ramassis d’hypocrisie et je dois dire que je fais partie de la bande. Je souris quand on me dit bonjour, je me comporte bien, pourtant en généralement je ne suis plutôt dans la boue que perchée sur des talons aiguilles. Ce n’est pas tellement le souci de porter une belle robe qui est hors de prix, c’est surtout de devoir faire attention à tout, tout en jouant la comédie. Je dois faire celle qui est ravie d’être là, après tout c’est mon père qui reçoit, je pourrais passer pour une fille indigne si je m’ennuyais à cette soirée. A mon avis, je vais trouver le temps affreusement long.

C’est d’ailleurs pour cela que c’est du whisky que je prends en premier. J’ai besoin de la morsure de l’alcool pour tenter de me fondre dans la masse. Il s’avère que pour le moment c’est un échec cuisant, je me retrouve seule au bar avec un verre d’alcool fort, je vais passer pour une pauvre fille prête à se saouler pour supporter une telle soirée. Passons, le regard des autres m’importe peu. Je tente de jouer à Qui est-ce ?, de reconnaître qui se trouve sous quel masque. Mission parfois plus difficile qu’il n’y paraît. Je crois reconnaître mon oncle, Saturno au loin, mon père aussi, il semble être bien entouré, c’est un peu l’hôte de la soirée après tout. Je cherche machinalement Silas du regard mais je ne sais pas ce qu’il portera. Dommage. Enfin non, je suis tranquille quand il n’est pas dans mes pâtes, même si je reconnais que je l’aime bien, malgré son côté dragueur forceur.

J’attaque mon verre. Je sens descendre l’alcool dans ma trachée… l’effet ne tarde pas à se faire sentir, j’avale quelques olives pour éviter que l’alcool ne me fasse trop d’effet, je n’ai pas dîné avec de partir, peut-être était-ce une erreur. Tant pis. Alors que mon regard se perd dans la foule, c’est la voix d’une femme qui me ramène un peu sur Terre. Une jolie blonde m’adresse la parole ( @Célestine Beauchamp ), je la détaille discrètement, je ne crois pas la connaître. Sa tenue rouge lui va plutôt bien, je me redresse un peu en l’écoutant me complimenter sur ma tenue. Je ne suis jamais à l’aise avec les compliments alors il me faut une gorgée de whisky en plus. Je détourne son regard, mes yeux cherchent le vide à travers la foule. « - Merci, votre robe n’est pas mal du tout non plus. La couleur vous va très bien… » Je suis mal à l’aise, c’est toujours délicat de ne pas être sûre de soi, est-ce que j’ai déjà croisé cette jeune femme ? « - Excusez-moi, on se connait peut-être ? J’avoue avoir un peu de mal à retrouver des personnes familières avec tous les masques… enfin bon, il est vrai que c’est le but de la soirée… » Mon regard ne se perd plus. Il fixe alors un homme avec un masque de chouette (@Keith MacLean ). Il m’est familier, je me perds à le contempler de loin, bêtement. Cela en devient presque impoli pour la jeune femme alors je me reprends. « - J’ai tendance à trouver toutes ses têtes masquées angoissantes, pas vous ? On ne sait jamais à qui on a affaire » Pourtant derrière cette blonde très bien coiffée, je vois toujours cet inconnu masqué d’un bel animal nocturne.

Spoiler:

Invité

take off the mask

everyone

Le problème majeur que possédait ce genre de soirée masquée, ne tenait ni en son ridicule, ni en sa frivolité inconsciente, mais reposait sur l'anonymat. Avantage pour la louve en territoire hostile ; inconvénient pour celle qui désirait repérer l'ennemi et qui ne trouvait dans ces visages de plastique, que l'angoisse des sourires figés et des orbites creuses. Et qui ne pouvait se décider à choisir. Le colosse sur lequel elle avait déversé champagne et grincements de dents, jouait-il un rôle assez important au sein de cette mascarade pour qu'elle lui accorde plus d'un regard, ou n'était-il qu'un invité-pion de plus sur l'échiquier bancal du Bellandi ? Elle allait devoir y aller au feeling, et jouer de son sourire – être aimable, même si l'idée l'emmerdait – pour le découvrir. « Ce n'est rien. ». Ouais, c'est ce que disait sa foutue mère pour paraître polie quand elle voulait cracher tu fais chier. Même platitude dans la voix, même traits fermés – de ce qu'elle pouvait en distinguer. « Je ne pensais pas devoir faire tomber le haut dès le début de soirée. ». Même sourire.

Mâchoires serrées, elle lutta pour ne pas devenir cinglante, et se fit plutôt mielleuse, ses prunelles retraçant la courbe des épaules, des bras et du torse – dévoilée par la veste retirée – avant de revenir se planter dans les pupilles agacées. « Une chance pour moi que ma maladresse fasse bien les choses alors. ». Sourire en coin, ton joueur. Echo se pencha pour attraper deux nouvelles coupes d'un plateau lourdement chargé, et en tendit une à l'autre. « Permettez-moi de vous offrir un verre que je n'ai pas payé, monsieur... ? ». Phrase en suspens, point d'interrogation muet. Dis-moi qui tu es, et je te dirais à quelle sauce tu seras mangé.

Code by Silver Lungs

Spoiler:

Contenu sponsorisé

» take off the mask
» INTRIGUE + les jardins
» INTRIGUE + la cave
» i adore this death mask (kleostrid)
» intrigue + (un)lucky me