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and when you two danced, oh what a dance (asmodée)

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and when you two danced, oh what a dance (asmodée) - Dim 26 Aoû - 13:13

deimos & phobos


I wasn’t really looking for much more than

Some company on the dance floor and,

I THOUGHT I'D COME BY, TO SEE HIM AGAIN.

Deux semaines que la réception à Eden Manor a eu lieu. Qu'il a perdu le soupçon de contrôle qu'il peut avoir sur l'inexplicable. Depuis, ce n'est pas revenu. Aucune once d'étrange dans son quotidien. Consultations menées à bien, renouant avec les vieux réflexes, apaisant les patients comme avant. Avant la foudre, avant les émotions se faisant la belle, avant cette affection pour la peur insufflée aux êtres l’entourant. Et ça semble l'avoir quitté, depuis le déchaînement à l'égard de ce type, tétanisé sous son emprise. Presque un rêve, si ce n'est la cicatrice encore fraîche en travers de sa main droite, signature de Pandora, colère de la soeur gravée à même sa paume. Il devrait être soulagé, le psychiatre. Apprécier le calme bien rôdé d'une existence toute tracée.
Et pourtant, ça lui manque.

Vide au poitrail, la routine est brutale, les veines dépourvues des effrois suscités chez autrui. Il se dit qu'il n'aimait pas ça. Qu'il ne le contrôlait pas, ne le comprenait pas. Mais il est de mauvaise foi, Dante, alors que Phobos sommeille au son sein, presque silencieux. C'en était déprimant. Jusqu'à la semaine passée. Jusqu'à ce que son regard ne se pose sur lui. Visage familier pour l'avoir déjà croisé dans les entrailles grouillantes de l'Inferno, des mois plus tôt, sans que l'oeil ne s'y soit jamais réellement attardé. Cette fois, ça a été différent. A lui en couper le souffle, comme s'il s'était pris un grand coup dans les côtes. Apparition vertigineuse, il a d'abord songé au rhum ingéré depuis le début de soirée, en quantité, tâchant de noyer l'ennui des derniers jours. A la musique, forte, battant ses tympans des basses résonnant jusqu'au fond de sa cage thoracique. Fatigue, incompréhension, agacement. Il y avait de quoi dérailler un peu. Venu en solitaire, Dante ne présageait pas de rentrer accompagné. Pour une fois. Indifférent aux êtres l'entourant, il ne pouvait simplement pas rester enfermé chez lui, à ruminer. Mais cet homme là, Dante l'a vu. Et dès lors, il n'est parvenu à détourner les yeux. Tension dévorant ses muscles, il a tâché de lutter contre l'attraction, le besoin magnétique de se détacher de la foule, pas instinctivement disposés dans sa direction. Et c'est à ce moment précis que ça a recommencé. Que Phobos a émergé à nouveau, jetant au bûcher sa retenue, son libre arbitre. Brasier se dessinant dans son abdomen, consumant l'abattement ne l'ayant quitté depuis le bal masqué. Presque impuissant en arrivant à sa hauteur, démuni face aux raisons le poussant à l'aborder, lui qui n'aspirait qu'à se saouler, sans compagnie, Dante a perdu pied. En apnée, immobile, en dévisageant le tsunami prêt à l'envelopper. Et il n'a rien fait pour y échapper. Annonçant son prénom à l'inconnu, glissant sa main contre la sienne dans une poignée de main sonnant l'apocalypse de sa raison. Un déluge au nom d'Asmodée, destiné à emmêler ses pensées pour chaque seconde à venir.

Il n'a cessé de cogiter, l'Amadori. Journées défilant dans la lenteur, sous la chaleur écrasante d'un été interminable. Plainte sourde de Phobos collée aux tripes, inconscient de la douleur du dieu de la peur, écarté de force de son frère. Parce qu'il a dû partir, Dante, précipitamment. Que l'échange a été bref, trop, mais que c'était peut-être pour le mieux, devant l'intensité du moment. Il ne l'aurait pas supportée, cette déflagration ruinant ses veines, dégommant son coeur, une vingtaine de minutes supplémentaires. Alors, le téléphone agité de l'appel désespéré d'un patient, il a pris la fuite, lâchement. Moment de lucidité de l'humain, piétinant les aspirations du dieu, saluant Asmodée en filant rapidement. A peine la porte passée, que déjà le déchirement s'est opéré. Poids lestant ses pieds, son chemin s'est éloigné non sans difficulté. Cette sensation d'évoluer en pleine tempête, repoussé par un vent contraire à chaque instant, ça ne s'est pas adouci avec les jours. Et quelque part, ça a commencé à germer. Pulsion incontrôlable le poussant à rebrousser chemin. Une semaine. Exactement. Et le voilà qui y retourne, retrouvant son souffle au moment où il s'immisce dans l'atmosphère étouffante du bar. Où es-tu ? Désarroi flanqué aux prunelles, Dante cherche. Déambule. Repousse d'une main ferme ceux qui peuvent empiéter sur son territoire, sur cette ligne invisible tissée d'Asmodée à lui.

Comme attiré de manière irrémédiable, sans doute l'aurait-il retrouvé les yeux fermés. Et intérieurement, ça s'anime, se répand. Main glissée sur l'épaule de celui qui lui tourne le dos, l'électricité martèle ses nerfs le long des doigts, du bras, frissons franchement violents sur l'épiderme. « Asmodée. » Le prénom franchit ses lèvres, comme une évidence. Et le sourire s'y dessine, franc, soulagé. « Heureux de te revoir. » La familiarité qui se disperse, les manières balayées, quand Dante s'avance pour le lui révéler, à l'oreille. Probablement pour couvrir le brouhaha ambiant.
Probablement.

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and when you two danced, oh what a dance (asmodée) - Jeu 13 Sep - 12:47

and when you two danced, oh what a dance

Dante & Asmodée


Le liquide lui brûlait la gorge, et lentement, se répandait au sein même de son organisme. L’alcool fort, puissant, lui retournait le crâne, paralysait ses sens, déjà bien imbibés. Probablement la raison pour laquelle il était venu ici ce soir. Oublier, se perdre, plonger lentement dans une léthargie qui lui fera oublier le monde qui l’entourait. Se réfugier dans ce brouillard inconnu, et pourtant si rassurant. Asmodée voulait seulement arrêter de penser, de réfléchir, de se torturer l’esprit, ne serait-ce que le temps d’une soirée. Parce que l’humain, l’être d’os et de chair, était agité, anxieux, préoccupé. Et tout cela, pour une seule et unique raison, pour cet acte qu’il avait commis, ce meurtre dont il avait été responsable. Avait-il su, à l’époque, les tourments qu’un tel geste pourrait provoquer ? Non, parce que l’humain n’avait pas été seul maître de sa décision mortelle. C’est Deimos, la terreur, la divinité malfaisante qui avait pris le contrôle. Et il n’avait rien pu faire, simple carcasse qu’il avait été. Il avait été témoin de ses propres actions, spectateur de l’assassinat des parents de celle qui faisait battre son palpitant un peu plus vite. Et l’affaire avait été enterrée, étouffée par une matriarche qui tirait les ficelles. Ne laissant plus qu’une marionnette, le Hawkins, en proie aux regrets et aux doutes. Avait-il eu raison d’agir ? Avait-il eu le choix ? Il n’avait pas de réponse. Mais chaque jour, lorsqu’il croisait le regard de la belle, il sentait, au plus profond de lui, ce myocarde se serrer. Cet organe saigner à la simple idée qu’elle pouvait découvrir qui était l’auteur de la disparition de ses parents. Son ami, son amant, il l’avait trahie, sans même cligner des yeux. Et la divinité s’amusait, se délectait de la souffrance qu’elle avait causée. Mais Asmodée lui, était déchiré. Parcelle humaine terrifiée, hôte divin extatique. Cruel dilemme qui le rongeait, et ne cessait de le tenailler.

Énième verre qu’il porte à ses lèvres qui n’hésitent plus. Il ingurgite, encore et encore, cette liqueur qui l’engourdit, qui prend possession de son corps. Et peut-être était-il perdu dans ses pensées, peut-être ressassait-il indéfiniment ses craintes, pourtant, c’est un pressentiment qui le saisit. Une sensation qui envahit son âme. Il ne comprend pas, estime que l’alcool commence à produire ses effets. Rien de tout cela en réalité. C’est Deimos, son parasite divin, qui s’agite, qui s’anime. Être céleste endormi, il s’éveille, en réaction à l’arrivée d’un autre. La proximité du frère divin. Asmodée n’en est alors pas conscient, et se contente d’avaler une autre gorgée, tandis qu’il est appuyé au bar. Puis c’est une décharge violente, électrisante, secouant l’homme. Et le frisson parcourt chaque parcelle de sa peau, fait s’éveiller une sensation si intense qu’elle bouleverse presque Asmodée. À l’intérieur, au plus profond de ses entrailles, à même son âme, c’est la tornade, le déluge. C’est Deimos qui s’enflamme, désirant profondément la proximité du frère divin. Un tumulte ravageur qui bouillonne, et qui se répercute sur l’humain, qui peine à comprendre ce qui lui arrive. « Asmodée. » Un simple mot, qui parvient jusqu’à ses oreilles. Ce n’est rien que son prénom, quelques lettres qui se suivent. Et pourtant, elles sonnent différemment, elles sont presque mélodieuses. Asmodée blâmera sûrement l’alcool, pour toutes ces sensations étranges qui le saisissent, et pourtant, elles sont bien là, ancrées à même son épiderme, enracinées à son âme intriguée. « Heureux de te revoir. » Il la reconnaît la voix, aurait pu la reconnaître entre mille même, sans réellement savoir comment. Et, glissés à même son oreille, les mots font écho à l’intérieur, se frayent un chemin jusqu’à la divinité, qui est désormais pleinement consciente et alerte. Et c’est un appel sourd que Deimos lance, pour son frère divin, dont Asmodée ignore encore totalement la présence.

Alors le mortel se retourne, et sourit en retour à l’écho si étrangement familier. Une expression du visage qui apparaît d’elle-même. Et les yeux se posent sur la silhouette de l’homme qui vient de manifester sa présence, cet homme qu’Asmodée désirait revoir, depuis ce fameux jour où il l’avait croisé pour la première fois. Pourquoi voulait-il tant le retrouver ? Une autre question dont il n’avait pas la réponse. C’était un fait, un désir inexplicable, une envie qu’on ne peut pas réellement expliciter. Mais il était là ce soir, devant lui, enfin. « Dante. » Il n’eut pas besoin de réfléchir trop longtemps pour se souvenir, le prénom lui était apparu aussi vite que son sourire s’était dessiné sur ses lippes. Dante. Ça résonnait au fond de lui, encore et encore. Et le temps semblait planer, le silence s’imposer, tandis que le brouhaha n’était plus qu’un vieux souvenir. « J’en suis très heureux aussi. » Bien qu’il ne puisse réellement se justifier là-dessus. Les mots étaient sortis, s’alignant, voilà tout. « Qu’est-ce qui t’amènes ici ce soir ? » Question personnelle peut-être, il était juste curieux d’en connaître la réponse. Et quelle que soit la réponse du brun, Asmodée s’en satisfera. Parce qu’il était là, face à lui, et il n’y avait que ça qui comptait. Envolés les tourments du Hawkins, effacés les doutes qu’il ressassait, tout était bien loin. Et l’alcool n’y était pour rien cette fois-ci. C’était seulement cette présence avec lui, cette sensation étrange et lancinante qu’il ressentait, qui lui faisait oublier le reste. Pandora était bien loin, le meurtre de ses parents également. Tout devenait si insignifiant. Et plus rien ne comptait, plus rien, à part le moment présent.

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and when you two danced, oh what a dance (asmodée) - Dim 23 Sep - 23:43

deimos & phobos


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A cet instant précis, où l'homme se retourne pour lui faire face, le gouffre disparaît. Côtes emplies brutalement d'un contentement muet, il en a la poitrine prête à exploser. C'est brusque. Trop fort. Il reçoit l'émotion comme un coup en plein coeur, des étoiles sombres piquetant sa vision. Impulsions infernales animées par le divin, reconnu par son jumeau, presque insupportable pour la charpente humaine. Un frisson hérisse son échine à l'évocation de son prénom. Et il ne cerne pas ses propres réactions. S'interrogerait bien plus longuement à ce propos, s'en inquiéterait probablement, si la satisfaction ne s'acharnait pas à piétiner sa raison. Asmodée est très heureux, et sous sa peau, c'est Phobos qui jubile. Lui, qui derrière les sourires, trace l'étendue de son plaisir au fond des prunelles de l'Amadori. Appels incessants, muets, qui ne cessent de sonder le regard de celui qui lui fait face. Et Dante n'en perçoit rien. Ne capte que cette joie sourde qui détend ses muscles fébriles.

Ce qui l'amène. C'est la question qu'il lui pose, à la suite de laquelle Dante marque une pause. Il ne sait guère ce qui l'a motivé à se presser vers l'inferno, voilà la vérité. Si ce n'est que depuis une semaine, c'est là que son âme est restée emprisonnée. Et il n'en peut plus, de traîner sa carcasse inhabitée, froideur placardée au poitrail, incapable de s'intéresser au sort d'autrui. Délicat, dans l'exercice de ses fonctions. Ne pas être capable de prêter la moindre attention aux récits des patients, les braquer quand son regard finit par se perdre dans le vague, ça n'est pas bon pour ses affaires. Pour ce suivi appliqué qu'il tente de préserver malgré... les épisodes. Comme ça qu'il a décidé de nommer l'inexplicable. Les moments de latence, à contempler de loin, de haut, la misère humaine qui défile dans le service. Ces instants à enfoncer ses ongles dans le bois de son bureau, pour réfreiner in extremis les pulsions creusant la psyché, déterrant les phobies pour mieux les amplifier. C'est qu'il commence à comprendre de quelle manière ça s'annonce, dès que son souffle s'évade et qu'il la perçoit, nettement. Cette peur émanant de ses patients. Si évidente, presque palpable. A s'imaginer l'étirer entre ses mains habiles, laisser enfler l'angoisse, jusqu'à point de rupture. Même ça, ce n'est pas revenu. Pas du tout. Il n'y a rien eu pour le distraire. Arracher à ses pensées le souvenir d'Asmodée. C'est pour ça, qu'il est revenu, qu'il l'a touché. Pour avoir la sensation d'exister. Et il ne se l'explique pas, pas du tout. Il n'a jamais réagi de la sorte au contact d'autrui. Trop détaché. Trop libre. Rien ne l'a jamais conduit à revenir, avec tant d'obsession, suite à un échange si fugace. Fugace, mais intense. « Une semaine compliquée à gérer. » Les lèvres articulent, prunelles braquées dans les siennes. « Avec le sentiment de n'en faire qu'un vague souvenir, en venant ici. » Vérité qui se prononce à demi mots, sens aux aguets, uniquement intéressés par le presque inconnu, oubliant la foule qui les entoure, la musique trop forte. Il ne voit rien, si ce ne sont les couleurs changeantes, artificielles, qui retracent les traits d'Asmodée. Et il ne sait pas, Dante, si c'est de le trouver beau qui lui fait perdre ses moyens. Si ses yeux se sont subitement ouverts, découvrant la perfection portée sur son visage, après l'avoir pourtant croisé auparavant. Et il ne saisit rien, le psychiatre, peu alerte quant à ses propres travers. Dans le fond, c'est le tiraillement incessant du divin enchaîné aux réactions de ce corps qui n'est pas le sien. Impuissant Phobos, condamné au silence lors des retrouvailles. « Et c'est plutôt réussi, si tu veux mon avis. » Le message implicite, l'air ravi qui ne laisse de place au doute. C'est toi que je voulais voir. Il tait la remarque qui transparaît pourtant dans ses expressions, réfute la théorie du hasard. « Tu viens souvent, ici ? » Interrogation curieuse. « Etrange, que l'on ne se soit pas rencontré auparavant. » Etrange, oui, quand Asmodée ne le laisse visiblement pas indifférent. Passer d'un regard hasardeux à une idée fixe, ce n'est pas son genre. Ou bien n'était-il simplement pas suffisamment alerte, pour ressentir cette tentation insoutenable de l'approcher. « J'habite le quartier, c'est l'idéal pour se changer les idées. » Sous-entendu, tu étais où, pendant tout ce temps ? Et le questionnement résonne silencieusement, plainte divine à l'égard de son frère.

Un groupe de jeunes, probablement faussement majeurs, se mettent alors en tête de rompre la foule, détournant son attention pour quelques secondes fugaces. Et Dante s'écarte, pour libérer la voie, éviter la bousculade. Et ça hurle, à l'intérieur. Les prunelles finissent par ré-orienter leur course vers Asmodée. Asmodée dont il s'est rapproché, instinctivement, en se déplaçant. Qui est trop proche, pour sa sanité d'esprit. Et il entrouvre la bouche pour s'excuser. Pourtant, aucun mot ne va dans ce sens. Iris qui le scrutent, détaillent son visage. Respiration qui se meurt, dès qu'un inspiration élève son torse trop près du sien. A le frôler. A en défaillir. « Définitivement, nous ne nous étions jamais vu avant la semaine dernière. » Sans détour. Un sourire au coin des lèvres, la proximité qui le bouffe, l'aura divine qui effleure la sienne. « Si tu veux connaître un secret... » Et l'esprit théâtral de l'homme, couplé aux impulsions du dieu, le conduisent à rompre le brouhaha d'une révélation à son oreille. « J'avais sûrement envie de te revoir. »

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