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The mask and mirror (Silas & Sybille)

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The mask and mirror (Silas & Sybille) - Ven 6 Juil - 21:20


The mask and mirror
Silas & Sybille

Nuit sonore, qui fait danser les corps du Silver Arrow, qu'ls oient clints ou danseuses, tous profitent de l'ambiance et de la musque. Cet établissement est une véritable réussite, Sybille y est heureuse et ne semble plus vouloir changer pour une vie de calme. Une main posée sur son épaule, les ongles parfaitement vernis, ils sont un indice, une collègue venue lui demander de s'occuper d'un client sur la demande de Luca. C'est un large sourire qu'elle lui arrache à la volée, les clients en privé sont un véritable divertissement pour elle, surtout lorsqu'il s'agit de dieux et qu'elle peut s'amuser avec ses pouvoirs et gonfler son orgueil. Trop de fierté sur ce visage froid, la déesse laisse sa collègue à la peau dorée et se dirige vers un client qui devait être important si Luca avait demandé qu'on y place quelqu'un aussi rapidement. La danseuse arrange ses cheveux en chemin, venant mettre un peu plus d'ordre dans le fouillis de ses boucles sombres et se demande de qui il s'agit. Elle comptait bien le ravir, le charmer, une danseuse orientale faisait toujours son effet pour son côté exotique et sa sensualité affirmée. Les pas se stoppent devant cette porte, elle glisse ses doigts sur ces rideaux perlés qui faisaient office de barrière pour plonger le coin dans une ambiance plus feutrée. D'un battement de cil, elle balaye du regard pour trouver enfin cette silhouette masculine qui l'attendait, et le sourire de Sybille s'en défait. Mauvaise nouvelle ? Oui, ce n'est pas le client qu'elle aurait aimé voir, et même plus encore, cela fait grandir en elle une frustration de rage à l'idée de bouger son corps pour son amusement à lui, Silas. Ils ne se sont rencontrés qu'une fois, et une fois a largement suffit à ce que Sybille ne désire pas recroiser la route de ce parfait spécimen d'un hybris orgueilleux.

C'est le jeu de celui qui craque le premier a perdu.

« Quelle surprise... » 

Le mépriser?

Elle ignore l'envie de faire demi-tour, sans doute elle aussi poussée dans son orgueil. Avait elle le choix de toute façon ? Non, elle a beau être là parce qu'elle peut aider Eros à trouver le calme avant le sommeil, Sybille garde en tête qu'elle est une employée ordinaire qui ne doit pas rependre d'ondes négatives. On connaît Luca, on sait comment il fonctionne et Silas aussi, s'il est proche de lui, il est donc une menace à une potentielle perte d'emploi. La déesse laisse le rideau de perles se fermer derrière elle dans un cliquetis caractéristique, elle sourit, la belle, elle étire largement les commissures de ses lèvres rouges et vient s'asseoir sur la table face à Silas.

« Silas » Fait-elle dans un murmure pour le saluer. Elle prend ce verre rempli d'alcool qui n'est pas le sien, vient s'en abreuver d'une gorgée et le repose devant son propriétaire. L'ironie est  son amie, l'ironie fige ce sourire. « J'imagine que tu connais les règles. » Pas plus de discours, pas plus de piques échangées, l'objectif de Sybille est de ne pas perdre la face et de s'éclipser tout aussi rapidement qu'elle est apparue. Elle se redresse, les deux pieds sur cette table qui en avait vu danser tout un tas de femmes tous les jours pour le grand bonheur de leurs mirettes. Elle ne veut pas savoir si cela lui convient ou pas, Sybille retire la voilure semi-transparente qui recouvre ses épaules et use du tempo que l'on entend jusque là pour caler ses mouvements. Peu d'improvisation, le but n'est pas de lui plaire foncièrement mais de faire son travail et même si par son aisance naturelle ses gestes se font ensorceleurs, il n'y a pas de place pour plus de séduction ce soir là. Cet homme, il ne mérite pas qu'elle tente de le séduire ou d'accrocher son regard, il n'existe plus tellement à partir du moment où les vibrations de ses hanches font tinter les bijoux accrochés à sa ceinture. Les bras ondulent, montent vers le haut, elle danse et prend toujours autant plaisir à le faire tout en réfreinant les relents d'irritation et l'agacement qu'elle éprouve pour ce type.


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The mask and mirror (Silas & Sybille) - Jeu 23 Aoû - 16:53



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Where there a will, there's a way, kind of beautiful. And every night has its day, so magical. And if there's love in this life, there's no obstacle. That can't be defeated. For every tyrant, a tear for the vulnerable. In every lost soul, the bones of a miracle. For every dreamer, a dream we're unstoppable. With something to believe in

Spoiler:
Le œur lourd d'une solitude jugée imméritée, l’esprit embrumé des sacrifices consentis au fil de longues années et le corps épuisé d'être constamment sollicité, le fier Silas n’est que l’ombre de lui-même en ce début de soirée. Le téléphone serré dans la main, il en fixe l’écran, relisant inlassablement le dernier message reçu tandis que les rues défilent derrière les vitres teintées du véhicule guidé par son éternel chauffeur, Alessandro.

Aucune parole n’est échangée jusqu’au lieu désiré, le club le plus branché d’Arcadia, le Silver Arrow. A demi-voix, un simple mais efficace merci franchit néanmoins les lèvres du gaillard à la chevelure dorée à l’intention du quinquagénaire avant d’abandonner le calme de la voiture pour la clameur de la boite.

Rapidement après son entrée, où il est délaissé de sa veste et de son pistolet, on le conduit à l'intérieur d'un cercle VIP, lui promettant la venue prochaine d'un divertissement dont, d'après les dires du serveur, il vantera les mérites auprès de ses proches.

« Quelle surprise... » Surprise partagée par le caporegime lorsque le divertissement se pointe enfin. Malgré tout, les lèvres s'étirent légèrement devant le clin d'œil du destin. Il n'imaginait pas recroiser la route de la sulfureuse brunette, encore moins dans l'établissement de l'un des siens. « Silas » Il ne dit mot ou ne réagit d'une quelconque manière lorsque l'effrontée se permet de piocher dans son alcool. Un autre jour, Sybille aurait très certainement manger une mornifle bien sentie pour ce manque de respect. Heureusement pour elle, l'humeur de son client n'est pas au conflit. « Tu es une femme ravissante, Sybille. Ne gâche pas ce don du ciel en te comportant ainsi. » Verre retrouvé, il feint de trinquer avant d'avaler le restant de liquide d'une gorgée. La femme est belle mais surfaite, trop prompt à juger un univers qu'elle ne connaît pas.

« J'imagine que tu connais les règles. » La remarque ne mérite que sarcasme et moquerie. Évoquer un règlement en face d'une personne qui vit son existence en bafouant toutes les lois de son État lui apparaît comme une aberration. Elle n'est protégée de lui que par le nom de son patron et par l'apathie passagère de la récurrence de Cratos. « Je suis l'invité de Luca.. » Le trentenaire laisse sa phrase en suspend quelques instants. Il joue avec les sous-entendus, se joue de la charmeuse elle-même. Il peut la briser et elle le sait. Situation de force qui flatte l'Homme et le Titan. « Je ne compte pas salir son nom en me comportant mal. » Le latin quitte le confort de son fauteuil afin de faire main basse sur une bouteille de Get 27 et un second godet dans le minibar à disposition. Un rapide coup d'œil vers les hanches de la Némesis lui confirme ce qu'il sait déjà, sa tête trop pleine le laisse de marbre devant pareil spectacle.

« C'est triste que tu te méprennes ainsi sur moi. » La liqueur est versée dans les deux verres dont l'un est tendu en direction de l'ancienne serveuse. « Bois donc, tu fronceras moins les sourcils ensuite. »

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The mask and mirror (Silas & Sybille) - Ven 24 Aoû - 9:15


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La musique enveloppe les ondulations orientales, elle s'imagine ailleurs, quand elle sur scène à Istanbul ; s'imprègne des souvenirs de ces moments où elle posait le regard sur le public et ne voyait pas leurs visages. Pas besoin de savoir si l'on danse pour quelqu'un que l'on apprécie ou pas puis qu'ils ne sont qu'ombres tout le long de la représentation. C'est exactement la même chose, se dit-elle, exactement la même chose. Silas aurait pu rester silencieux, même après ce compliment glissé dans un reproche. Ravissante, Sybille, elle casse cette image avec un tel comportement mais des deux elle n'est pas la plus orgueilleuse. 

Ne pas s'arrêter, jusqu'à la fin du petit show et s'en aller sans demander son reste, voilà quel est son objectif. Elle danse, ignore, parce qu'elle sait que ses mots peuvent être des pics qui peuvent lui faire perdre le contrôle. La jeune femme se concentre sur ses pas, sur ses mouvements, elle fait son travail pour ne pas avoir de réprimandes. Mais qui veut bien faire la sourde oreille entend quand même les mots, la jeune femme au départ croit à une vague blague à ses propos. Il continue, elle aussi, elle danse, elle ne se méprend pas sur lui, elle en est certaine, avec un tel hybris, il ne peut pas chercher à apaiser les tensions entre eux. Pourquoi faire ? Dans quel but ? Il lui présente un verre, lui demande de boire le verre qu'il lui présente ; on enterre la hache de guerre ? Vraiment Silas ? La danseuse s'est bel et bien arrêtée, elle observe ce verre un moment  depuis le haut de sa petite estrade et fronce quand même les sourcils, parce qu'il la surprend pour le coup ; c'est qu'elle est gonflée de préjugés à son égard, parce que leurs petits conflits on baissé l'un et l'autre dans leurs estimes mutuelles. Elle boit une gorgée, reste perchée là parce qu'elle a toujours l'impression qu'il se moque d'elle en lui faisant miroiter qu'un dialogue est possible entre eux. Elle ne sait pas si c'est du bluff et en même temps elle ne serait pas étonnée qu'il cherche à la tourner en ridicule et perdurer leur petite gueguerre. Au delà de ses gros défauts il a l'air d'être un homme intelligent toutefois, elle l'admet, mais justement, il faut se méfier des gens rusés. «  Tu n'as pas l'air d'être le type qui se soucie de ce genre de choses, que l'on se méprenne sur toi ou pas » Ils se ressemblent peut être là-dessus, le regard des autres leur importe peu, ils font leur vie comme ils l'entendent.Vengeance et orgueil ne font pas bon ménage, cela les pousse dans un cercle vicieux dont ils auront du mal à se défaire aussi rapidement.

Elle ne peut pas lui reprocher cela, mais après ce qu'il s'est passé elle aurait cru qu'il se serait délecté de la situation en la voyant grisée de devoir danser pour lui, de se dévoiler de la sorte. C'est bel et bien le cas, Sybille n'est présentement pas au top de sa motivation s'il s'agit de se mouvoir telle une charmeuse de serpent. Elle ne le montre tout simplement pas, trop fière. «  Qu'est ce qu'il se passe ? Ça te gêne de me voir danser? » Petit sourire moqueur, petite moue vexée ensuite - n'importe quel homme aurait aimé d'avoir une danseuse orientale rien que pour lui non ? En tout cas en venant ici c'est le but sans aucun doute, invité spécial ou pas.


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The mask and mirror (Silas & Sybille) - Jeu 6 Sep - 16:06



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Where there a will, there's a way, kind of beautiful. And every night has its day, so magical. And if there's love in this life, there's no obstacle. That can't be defeated. For every tyrant, a tear for the vulnerable. In every lost soul, the bones of a miracle. For every dreamer, a dream we're unstoppable. With something to believe in

La beauté grecque se saisit de l'offrande, parait méfiante. Il ne peut lui en vouloir, il a lui-même tendu le bâton afin de se faire battre. Leur relation est bordélique, leurs précédentes rencontres chaotiques. L'hybris de la divinité souhaite la broyer, lui faire regretter. Mais l'Humain est fatigué, désireux d'être apaisé. «  Tu n'as pas l'air d'être le type qui se soucie de ce genre de choses, que l'on se méprenne sur toi ou pas »  Toujours sur l'estrade, les mots de la brunette sonne comme une vérité absolue. Lampée avalée, il se laisse aller à la contempler. Sous l'éclairage léger qui daigne l'illuminer, elle n'apparait pas comme la sorcière qu'il l'imagine être.  « C'est vrai. D'ordinaire, ça m'en touche une sans faire bouger l'autre. »

Son verre déjà terminé, il s'empresse de le remplir à nouveau du liquide alcoolisé. Cette fois-ci néanmoins, le trentenaire sort d'une poche intérieure de sa veste une vieille flasque cabossée. Il déverse quelques gouttes du contenu dans son godet, substance divine nécéssaire pour ressentir un enivrement quelconque. « Peut être en ai-je assez de me battre pour rien ? » Silas se contente d'hausser les épaules, les mains vers le ciel. Nouvelle rasade salvatrice balancée au fond du palais.

«  Qu'est ce qu'il se passe ? Ça te gêne de me voir danser? » Un faible ricanement s'échappe de ses lèvres, des images d'anciens rêves érotiques en tête. Il y a un temps qui semble jadis, le mafioso n'aurait pas cracher sur une approche plus charnelle de l'apprentissage de la restauration. « Du tout. Pour être franc, j'aurai même donné cher pour te voir te trémousser dans ce genre de tenue. » L'italien regagne son siège, bouteille dans une main, verre dans l'autre. De cette place, il peut voir l'ampleur de l'incompréhension de son interlocutrice. Voir un homme refuser de voir ce qu'il désire pourtant toucher est une étrangeté sans nom. « Mais pas ce soir. » Partie remise à plus tard. Du moins tente t-il de s'en persuader.

« J'ai des soucis plus important qu'une pseudo vendetta contre toi. » Le caporegime bouge le poignet de manière circulaire, remuant le fond de liqueur. Ses yeux se perdent un instant dans la spirale engendrée par le mouvement avant de s'accrocher à nouveau au visage porcelaine de Sybille. « Et de toute manière, j'ai appris que tu es proche de certains de mes amis. C'est aussi ça l'amitié je présume, apprendre à mettre de l'eau dans son vin. »

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The mask and mirror (Silas & Sybille) - Jeu 6 Sep - 21:46


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Elle descend de sa petite estrade, marche après marche, pour aller s'installer sur le fauteuil à côté de Silas et termine son verre à son tour. Elle comprend mieux son désir de trêve, après explications. Est ce qu'il prend vraiment sur lui ? Non, ça a l'air d'être assez naturel pour le coup. ; Il a peut être raison, les temps sont bien assez compliqués comme ça pour en rajouter une couche sur des petits détails insignifiants comme leurs éternelles querelles d'adolescent. Il doit sans doute parler d'Augustin quand il mentionne des proches, en plus de Luca manifestement ; mais elle se demande comment il est venu à savoir qu'elle côtoie Augustin, qu'elle est proche de lui. Est ce qu'il lui en a parlé ? Les doigts se glissent machinalement dans les boucles noires, pensées envolées quand le regard se pose sur l'ensemble de la pièce. « Je vois » Elle reporte son regard sur Silas, inquisitrice, curieuse, et étouffe un rire finalement, amusée par la situation  et surtout parce qu'elle avait cru que ça aurait commencé par des joutes verbales. Voilà que l'orgueil en personne décide de mettre tout à plat. Elle ne l'a jamais traité d'idiot, bien sûr qu'il est capable de réfléchir, mais pour une personne qui n'a pas réellement d'impact nul part, ça la surprend. «  Ça te fait peur que je dise à Augustin que t'es un vilain garçon? »

Elle continue, parce que c'est facile, mais ses remarques sont bien plus tournées vers l'humour que sur l'attaque. Mais elle n'est pas ce type de personne qui étale ses relations positives ou négatives sur les autres, elle a son opinion, les autres ont les leurs, on ne peut pas aimer tout le monde, c'est un fait. Sybille est bien trop solitaire pour chercher à faire alliance contre une personne, à moins que la vengeance ne déclenche son hybris ; dans quel cas il s'agit de situation bien plus graves que des pics verbaux lancés de temps à autre. Silas, c'était même presque devenu un jeu de chercher à le mettre le plus en rogne possible, manipuler son hybris et contempler la suite. Ne dit on pas les bonnes choses ont une fin ? «  Dommage, tu étais un adversaire intéressant, mais je comprends et je suis prête à mettre de l'eau dans mon vin mon aussi » Partie remise peut être ? Comme le petit spectacle ? La danseuse attrape cette bouteille tout en faisant preuve de bonne volonté, s'en reverse une tournée, lève son verre dans sa direction, histoire de trinquer, repartir sur de bonnes bases. Ouverte à la discussion, Sybille, malgré qu'elle soit la déesse de la vengeance elle n'est pas si rancunière que ça, comme tout le monde en fait, ça dépend du degré de crasse qu'on lui a fait. Mais quand elle décide d'oublier, elle oublie, un claquement de doigts.

Voilà c'était pas si compliqué en fait, l'avenir lui dira si elle a eu raison ou pas.

Augustin lui a refait la proposition de rejoindre la Nuova Camorra et à cet instant, elle se sent toujours entre deux eaux. Entre ce qu'elle craint et l'évidence il est parfois difficile de faire un choix en sachant qu'elle ne s'engage pas dans n'importe quoi. Une mafia quand même. La jeune femme refuse d'user de son pouvoir pour quelque chose qu'elle ne cautionne pas, elle refuse d'être la Déesse de la Justice de Zeus si Zeus lui-même n'a pas les mêmes principes qu'elle. C'est déjà compliqué d'être la réincarnation de Némésis. « Tes pouvoirs, la dernière fois, j'ai voulu user des miens sur toi, ça n'a pas marché. Dis moi qu'est ce que c'est. » Ça ressemble à s'y méprendre à ce qu'elle fait mais en visant les dons.


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