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Chasteté ♆ Niariel

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Chasteté ♆ Niariel - Sam 27 Oct - 1:53



Chasteté
Sometimes we talk all night long, we don't shut up and when it's late we'll say we're still wide awake so ... We love to talk about how you'll come up to visit me and we'll rent a car and we'll drive upstate. It's affection always, You're gonna see it someday My attention for you Even if it's not what you need. It's affection always, You're gonna see it someday.
Les flots avaient été délectés durant de longues semaines, le White Fangs ayant cavalé parmi les exotiques écumes, l'équipage partageant tes désirs de découverte de cette relique présumée légendaire, son emplacement estropiant cette ésotérique carte immortalisée sur un parchemin usagé que tu étais parvenu à dérober des paumes d'un mercenaire, ses fiévreux élans de contestation essoufflés du bout émoulu de ton épée. Une afféterie âprement emparée, les quelques autres précieux ornements l'agrémentant également emportés des phalanges des pirates, revendus au marché noir en échange de liasses de verdâtres billets.

Si l'exaltation de cette découverte incendia les entrailles des hommes, les aventures le long des étendues salines avaient éveillé des fragments de frustration, la testostérone ruisselant en leur pulpe hurlant d'être comblée. Un désir auquel tu accédas, leur offrant ces festivités au creux du Red Lantern, frivole récompense destinée à faire les éloges de leur hargne en mer. Ils s'engouffrèrent au sein des lieux, effervescents de leurs charnelles attentes à essouffler, la hâte de se repaître d'arabesques dévastant leurs tripes. Des existences truculentes d'ébouillantement contrairement à la tienne entravée de ce calme presque suintant de désintérêt, préférant t'agglutiner au comptoir du bar plutôt que de te lover au sein des bras d'une ou d'un prostitué. Un verre de rhum fut commandé par tes soins. Breuvage dont tu te galvanisas lentement d'une lichée, tes iris vagabondant le long des esquisses de tes hommes déjà énergétiques de gesticulations de bonheur, leurs bras échoués autour de courbes féminines et leurs conversations régulièrement ponctuées de rieurs éclats, accompagnées de ces flots d'effluves alcoolisées. La plénitude les égayant érigea un sourire qui s'avachit le long de tes lippes, une autre gorgée fugacement savourée de tes papilles.

Ton attention s'affriola légèrement des autres existences constellant les lieux, prostitués et clients qui semblaient se complaire des laisser allers de leur pulpe, l'indécence charnelle les happant progressivement. Hédonisme particulier qui ne pouvait cependant nullement s'accorder à tes délectations, traumatisé des étreintes intimement sexuelles que tu étais. Vestige d'un horrifique passé que tu peinais à effacer de ta pellicule mémorielle, les psychiques acrimonies cautérisant toujours autant ferventement ton esprit. Et des invitations exsudées de certains pirates désireux d'être rejoints de ta présence cavalèrent à travers la vaste pièce. Elles se heurtèrent à un fugace déclinement du bout de tes phalanges, un frêle sourire venant harponner tes lèvres pour éviter d'éveiller leur inquiétude à ton encontre.  Ton attention s'amouracha une énième fois du cristallin de ton verre asphyxié d'une translucide substance liquide, tes arabesques s'évertuant à se détendre au creux de cet édifice arborant ces innombrables vices faisant succomber les malheureux. Perditions qui ne semblaient pourtant nullement t'accabler, ta répugnance des papillonnages charnels ardemment dissimulée de ton enlisement au coeur de méandres alcoolisés.
@Ariel Soria FT. Niagara || ♡♡♡





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Chasteté ♆ Niariel - Lun 29 Oct - 19:53



Fantasme au bout des cils, sensuelle invitation à la débauche. La délectation des sens, celle qui incite, suggère, il s’offre et se donne sans barrière, libéré des carcans pour se laisser porter. Le corps sublimé d’un carmin caressant sa chair, l’éclairage du vice rehaussant l’indécence, à le faire briller au milieu des autres. Electrique électrisant, l’objet de désirs, sexe fait de sang et d’os, il n’y a que lorsqu’il se retrouve à l’abri dans sa prison de verre qu’il se sent vibrer. A laisser les courbes se déhancher au rythme de la musique, suave au bout des doigts, ceux-là qui touchent, caressent et effleurent. Silhouette d’insolence, suggérer pour mieux se dévoiler tout entier, l’éclat pâle de sa peau d’albâtre qui se devine sous la transparence du body noir qu’il porte. Echancrure à fleur de vertige, celle qui se pose contre la taille et invite l’œil à se perdre sur le bas ventre ou la chute des reins. L’intime marchandé en suggestion sous le pantalon au sombre tissu luisant. Meilleur aspect d’un métier qu’il exècre, se faire le centre d’un monde de délires et de vice sans y poser un seul coup d’œil. Seul dans les étourdissements de sa danse, transe délicieuse à faire battre le cœur d’une envie d’infini. Que jamais l’instant ne s’arrête, s’épuiser derrière le verre qui le rend inaccessible et tomber en poussière sous les regards pervers de ces types frustrés de ne pas avoir pu l’avoir.

Le sublime s’achève pourtant, souffle court à lui brûler la trachée, à s’en arracher la poitrine, il délaisse son microcosme de paix pour rejoindre la fausse aux lions. Déambule entre les corps avachis, à laisser ses doigts aux ongles peints de noir s’y perdent mais jamais ne s’attardent. Caresse d’une aile brûlante, la pupille figée de la créature effleure, s’appose sur les visages. Les habitués, ses réguliers, les inconnus. Ces hommes qu’il a déjà vu, qu’il connait sans vraiment le faire. Instinctivement, le cou se tend, cygne noir à la recherche de cet autre qui accompagne comme une ombre le petit groupe aux relents d’embruns. Appétits mâles à épancher, le seigneur des mers en solitaire au bar. Même pas surprenant, trop prévisible. Parce qu’il commence à le connaître, l’homme et ses habitudes. Délaissant l’épaule contre laquelle ses doigts s’étaient perdus, Ariel abandonne la proie qu’il s’était mis en tête de charmer, attiré par une autre bien plus intrigante à son goût. Sulfureuse créature qui pose ses fesses sur le tabouret vacant à côté du capitaine à la dérive dans son verre d’alcool, tout en recevant l’œillade concupiscente de l’autre poivrot installé à côté.

« - De retour d’escapade on dirait. » Son plus beau sourire à la chaleur douce ourlant les lèvres, des notes enjouées dans le timbre. Ariel qui ne s’encombre pas de mièvrerie, posant sa main sur la cuisse de celui à présent devenu un habitué. « - Tes hommes m’ont l’air bien plus détendus que leur capitaine, vous avez trouvés des sirènes au large ? » Mutin au regard pétillant d’allégresse, petit démon perché sur son tabouret, il se penche doucement en direction de Niagara, réduit l’espace entre eux pour les plonger dans un cocon de confidence dont ils seront les seuls à pouvoir en profiter.
« - Je peux t’aider ? » Pression des phalanges contre la guibole, à te détendre, invitation langoureuse susurrée sous la pulpe de ses doigts.

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Chasteté ♆ Niariel - Dim 4 Nov - 18:36



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Sometimes we talk all night long, we don't shut up and when it's late we'll say we're still wide awake so ... We love to talk about how you'll come up to visit me and we'll rent a car and we'll drive upstate. It's affection always, You're gonna see it someday My attention for you Even if it's not what you need. It's affection always, You're gonna see it someday.
La cristalline transparence du verre asphyxié d'alcoolisées effluves était enrobée de l'étau érigé du creux de ta paume. Flagellée de doucereux mouvements circulaires, le breuvage se fracassait frivolement contre ses parois, incendié des ineffables contemplations de tes iris. Une perdition qui se craquela fugacement lorsque la pétulance exsudée d'une présence caressa tes courbes de son efflorescente proximité. Ton regard tituba jusqu'à ces traits faciaux imprimés au creux de tes méninges. Ariel, une existence opulente de suavité qui hypnotisait tous les clients entichés de ces lieux, les écrouant ferventement de sa dangereuse sensualité. Un délectable attrait pourtant incapable d'éveiller le moindre de tes désirs, entravés d'une fiévreuse impotence, vestige hérité de ton traumatique passé. Tes diamantines prunelles s'engouffrèrent ardemment au creux des siennes tandis que son éclatant sourire égaya tes lippes qui se parèrent d'une charmante esquisse.

Ils évacuent toute la frustration accumulée sur les flots. Je ne pense pas qu'ils seront capables de s'imposer des limites ce soir. Pour ma part, eh bien, rien ne vaut mieux qu'un bon verre de rhum. Aucune malheureusement, surtout des harpies à vrai dire ~

Coquinerie embrumée de mystère qui ruissela d'entre tes lèvres, agrémentée d'une brisure rieuse saccadée d'amusement tandis que les phalanges du bellâtre cascadèrent lascivement le long de ta cuisse. Affriolante paume désireuse de te happer de sa sensuelle pression contre l'onctuosité dermique de ta cuisse qui fut balafrée des délicats frôlements de la pulpe de tes doigts expiés le long de son dos avant d'être emprisonnée et emportée jusqu'au bord de tes badigoinces. Elles la galvanisèrent d'un tendre baiser suintant de galanterie tandis que sa subtile invitation se heurta à l'échouement de ton bras autour de sa taille, l'entraînant voluptueusement, tes jambes se muant en trône de ses sphères lunaires. Ta paume libre cavala le long de sa hanche, se repaissant de sa finesse, ton menton s'avachissant délicatement contre son épaule et ton tronc s'agglutinant contre son comparse indécemment vêtu.

Veux-tu passer un peu de temps avec moi ce soir ? J'ai besoin de chaleur et de repos dans tes bras.

Tu te complus voracement au coeur de cette étreinte truculente de chasteté, t'y enlisant si goulûment que tes iris fustigèrent le monde vous embrassant de leur fleurissante ignorance, Ariel attisant l'entièreté de ton attention, l'ardeur exsudée de ses arabesques toujours autant conquérante de tes maux, les lénifiant de leur apaisante saveur.

Et toi, qu'en est-il de ta journée ? Les clients sont-ils toujours insatiables avec ton corps ?

Tes lippes assénèrent un doucereux baiser à son épaule puis elles vagabondèrent le long de sa nuque, épousant lascivement son flanc de leur pulpeux le long de leur affectueuse promenade dont la finalité se sertit d'une ardente embrassade qui déflagra au creux de son cou. Une infinie tendresse dont tu te plaisais toujours à t'auréoler à son égard, faisant pâlir celle insufflée des plus charmants amants ayant sans doute rarement ornementé ses draps. Une douceur gangrenée de compassion à son encontre tant son occupation était d'une âpreté qui t'avait autrefois cruellement étiolé, contraint de muer tes courbes en ce répugnant objet uniquement destiné à assouvir les pulsions sexuelles ternies de la vénalité de ton tortionnaire d'antan. Une torpeur ayant douloureusement cautérisé ta mémoire de sa terreur. Accablement arborant d'innombrables similarités envers la profession de ton compagnon que tu ne pouvais omettre de tes inquiétudes, ton esprit hurlant à l'agonie de lui offrir la salvation ...

@Ariel Soria FT. Niagara || ♡♡♡





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Chasteté ♆ Niariel - Sam 10 Nov - 20:13



Regards qui s’amarrent l’un à l’autre, charme diamantin dans les reflets d’azur qui se ressemblent. Sourire sur les lèvres qui n’en devient que plus brûlant à l’entente des mots. Brisure de contact le temps d’un soupir, l’attention se pose sur le groupe d’hommes avachis sur les divans, créatures de rêve sur les guiboles et entre les doigts. Classicisme du mâle en plein état de grâce, l’affolement des sens en début de symphonie, les crescendos explosant dans les limbes de draps qui se froissent, à l’abri derrière la fausse pudeur des portes closes. Soupire, haussement d’épaule sensuel et il revient s’intéresser au capitaine de ce joyeux bazar. « - Qui peut les blâmer ? Ils sont au bon endroit pour ça, les limites ne sont pas très appréciées par ici, autant en profiter. Presque un cliché, le pirate et son verre de rhum, bien que tu n’ais pas vraiment la tête de l’emploi… Tu sais, l’image du pirate avec sa guibole de bois, sa sale gueule et son perroquet sur l’épaule. » Phalanges inoccupées qui s’agitent, désignent l’homme sous le cristal d’un éclat de rire à en faire pétiller les pupilles. « - Dommage, j’aurais bien aimé en voir une un jour. » Petite moue maussade sur les lèvres, factice, à peine le temps de la voir apparaître pour qu’elle disparaisse. Caresse à même la cuisse qu’il continue sans sourciller, finesse des doigts jouant avec le tissu, le derme en dessous. A glisser le long de la guibole, curiosité indécente effleurant les limites de l’intime, contrainte de s’arrêter sous l’impulsion de Niagara. Effleure le dos, rapproche les corps et embrasse l’épaule. Sous la peau, le tumulte s’élève. Mélange affolant de gêne et de contentement, Ariel se laisse faire. Docilité à fleur de chair, fébrile sous les caresses qui suintent le long de son corps, à s’alanguir dans l’esquisse de l’étreinte soufflée par son régulier.

Délicatesse dans la demande, ourle ses lèvres d’un nouveau sourire alors qu’il ferme lentement les paupières. S’enlise dans l’instant, à laisser doucement ses bras enlacer le corps lové contre le sien. « - Tout le temps qu’il te faudra. Tu connais mes exigences… » Il le souffle, murmure contre l’oreille, le ronronnement suave de celui qui doit être acheté avant qu'il soit possible de réellement en profiter. Prix de ces instants singuliers, trop chastes et trop tendres pour un être comme lui, fixé depuis le début, il le sait, le capitaine, ce qu’il va devoir débourser pour ce temps qu’il s’apprête à passer en privé avec le prostitué. La question le dérange, fait papillonner les paupières lorsque la vue se recouvre. Parce que personne ne se donne réellement la peine de s’intéresser à son existence, sa journée. « - Banale à mourir, comme toutes les autres. » Ses doigts dans le dos de Niagara se crispent, à se mordre la lèvre lorsque d’autres viennent se perdre contre son cou. Penche la tête en une invitation à continuer, faire perdurer ces frissons qui lui dévorent l’échine et les reins. « - Je fais tout pour les rendre insatiables et me rendre indispensable... » Sa voix s’enrobe des graves de la tension germant sous la peau, langueur dans ses hanches qui se pressent plus fort contre celles de son compagnon.

L’homme est un mystère, une énigme qu’il ne parvient pas à résoudre. Dans sa délicatesse, cette tendresse qu’il lui offre sans jamais vouloir le salir d’une convoitise lubrique. « - On monte ? » Invitation soufflée contre la douceur de la mâchoire, Ariel qui se défait légèrement de l’étreinte pour capter son regard. Ses doigts s’échouant sur la nuque, dans les mèches sombres qu’ils effleurent lentement. Autre main venant récupérer celle échouée sur ses reins pour que les phalanges se mêlent et s’enlacent.
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Chasteté ♆ Niariel - Lun 26 Nov - 21:28



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La sirène confirma sa disponibilité, entièrement abandonnée au creux de tes paumes, ses conditions nullement exhibées, après tout, à jamais indélébiles au coeur de ta pellicule mémorielle. Ton myocarde s'esseula face à ces quelques dires qui jaillirent d'entre ses lippes. La continuelle banalité ternissant son quotidien embrasa ton désir de l'extirper de cette corrodante torpeur, persuadé que ses arabesques se complairaient à bord de ce vaisseau tanguant à travers les lactescentes écumes salines. Ses confidences estampillèrent subitement les airs. Une affligeante réalité qui effrita davantage ton palpitant tant ton intuition te hurlait à l'agonie que la séduisante ondine n'était point galvanisée de ses innombrables danses nuptiales parmi les draps, échouée au creux de ces étreintes incapables de cadencer de plénitude son organe pulsatif. Et lorsque ses esquisses opprimèrent davantage les tiennes, l'étau de ton étreinte écrouant ses reins se raviva, quand bien même les ardeurs charnelles ne s'éveillèrent aucunement au plus profond de ta carne, te repaissant chastement de la lénifiante pétulance exsudée de sa silhouette et du velouté corium enrobant sa nuque du bout de chacun de tes suaves baisers.

Ariel délaissa finalement ton étreinte avec légèreté. Efflorescente escapade destinée à l'avènement de cette invitation qui fleurit sensuellement d'entre ses lippes. Une requête qui se heurta à ce rayonnant croissant de plénitude engouffrant tes badigoinces tandis que sa carne fut emportée au creux de tes chevaleresques bras. Afféterie délicatement lovée contre ta pulpe qui cavala à travers les effervescentes entrailles de l'édifice, gravant les quelques escaliers pour déambuler à l'étage supérieur et se réfugier au creux de la désirable intimité d'une chambre. La sirène se retrouva délicatement leptosome parmi les draps, ton arrimage s'étant craquelé et tu te débarrassas de ta lanière cuirée abritant ton pistolet ainsi que de ta veste, le reste de tes accoutrements demeurant accolé à tes courbes. Seuls quelques boutonneuses entraves de ton immaculée chemise à jabot furent ruinées de l'adresse de tes méticuleuses phalanges, ton épiderme satiné ainsi dévoilé aux azurés iris du péripatéticien.

Tes arabesques allégées de leurs quelques tissulaires ornements, tu t'insinuas à l'intérieur du lit et tes bras s'éprirent de la taille de l'ondine que tu agglutinas doucereusement contre ton tronc. Tes lippes balafrèrent maintes fois les siennes de lascifs effleurements. Affectueuse tendresse qui s'éroda fugacement lorsqu'elles se délectèrent chastement de leurs comparses, une de tes paumes incendiant le creux des reins d'Ariel de quelques caressants et soucieux sillages.

Tu connais certainement mes habitudes depuis le temps que je me rends ici. Tu dois être épuisé et lassé de satisfaire les hommes, repose-toi un peu si tu veux.

@Ariel Soria FT. Niagara || ♡♡♡





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