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Loving and fighting. Accusing, uniting.

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Loving and fighting. Accusing, uniting. - Sam 15 Sep - 10:41


 

Loving and fighting. Accusing, uniting.
RACHELE & ÈLIAKIM

Hold on, I still want you
Come back, I still need you
Let me take your hand, I'll make it right
I swear to love you all my life
Hold on, I still need you


Tu as les yeux grands ouverts Èlia. Tu n’y arrives plus, à dormir correctement, sans que son visage t’apparaisse, enfoui dans la terre, éclaboussé de sang. Ou que ce soit son petit corps qui accule tes pensées, pendu par les pieds, et se vidant de ses entrailles comme s'il s'agissait d'une boite à merveilles qu'on ouvrait tout simplement. Tu n’y arrives plus, à ne pas penser à ce qu’ils ont pu lui faire. Tu sais qu’elle est en vie, ton coeur bourdonne encore, il tape encore contre ton thorax, signe que la chair de ta chair est encore de ce monde. Mais dans que état ? Et aux griffes de qui ?  Tu as peur Èliakim. Ezra est paniqué aussi. Il a envie de pleurer et d’hurler chaque seconde qui s’égrène sans la présence de son enfant, sans savoir si son sourire est encore éclatant. Ezra doit se cacher dans la carcasse de l’agent car il n’a pas le droit d’être vu. Mais il  n’en peut plus, l’enfant de l''Italie, il a besoin de parler, de crier, de geindre, de se laisser aller. L’enfant a besoin de sa mère comme le père a besoin de sa fille. On a beau vouloir éteindre le coeur et le suturer de toute part, a un moment, les fils, ils explosent. Et le saignement noie l'homme comme les larmes noient le père.

Tu as une tête a faire peur Èliakim. Les cernes sont trop noirs, les joues, trop creusées, et les yeux… Ils sont éteints, comme si tu n’avais pas trouvé le sommeil depuis des mois. Le stress te rend moins efficace, tu as beau réussir là où les autres ont toujours échoué, ton coeur est ta principale faiblesse, ses palpitations trop fortes, les preuves qu’il faut pour te faire tomber. Pourtant, tu tiens ce matin-là, tu mets le masque, tu mets la cravate, tu mets le sig sauer dans ton dos. Personne ne te fouillera aujourd’hui et ta paranoïa te pousse petit à petit à te croire en danger toi aussi. Même avec elle. Même avec cette femme que tu continues d’appeler Rachele même si un jour, tu as failli et que "maman" est sorti de tes lèvres.
Il est 6h45 quand tu débarques dans le petit café d’Elysium Height. Un petit déjeuner entre fils et mère, y’a rien de plus normal. Trouver un moment de répit dans vos deux vies respectives, pour parler, pour essayer de renouer quelque chose qui a été brisé des années auparavant. Tu le veux vraiment ça Èlia ? Recoller les morceaux ? Ou est ce l’agent qui parle ? Est ce le gouvernement derrière ta langue, qui s’évertue d’approcher encore un peu plus le coeur de Rachele Vogh pour mieux le taillader quelques mois plus tard ? Tu n’en sais rien. Parfois, tu perds le contrôle, de cette pensée qui te rend dingue. De cette double identité, de ces deux hommes, de ces deux faces d’un miroir que tu tentes par tout les moyens de ne pas briser. Tu ne sais pas qui tu es quand tu es face à elle. Mais tu en as besoin, de sa présence, de sa voix, pour avoir l'impression d'avoir encore une mère.

Droit comme un i, assis à la petite table, elle ne sera pas en retard, tu le sais car toi tu ne l’es jamais. Les chiens ne font pas des chats même si tu aurais préféré qu'elle soit différente, qu’elle… Non, que toi, tu ne lui ressembles pas. C’est plus simple de haïr ce qui ne peut être accolé à son propre coeur. Plus simple de détester ce qui ne nous parle pas. Mais Rachele Vogh est un écho à ta propre identité Èliakim. Elle est toi, tu es elle. Tu as beau vouloir penser le contraire, vous avez le même sang qui coule dans les veines. Et la même lumière qui ronge votre myocarde.

Entre tes doigts, tu fais tourner le stylo bic noir qui ne t’abandonnes jamais, pour faire signe des chèques et foutre en l’air quelques vies. Un serveur arrive, tu le renvoies d’un regard, tu l’attends. Elle n’est jamais en retard. Tu as juste une demie heure d’avance car tu n’arrives plus, à suivre ta propre cadence.

Ezra tombe, se perd, implose.
Èlia tient, vacille et manque de s’effondrer à son tour.

Il ne manque pas grand chose, pour que tout son univers s'écroule.
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Loving and fighting. Accusing, uniting. - Mar 18 Déc - 15:06


 

Loving and fighting. Accusing, uniting.
RACHELE & ÈLIAKIM

Hold on, I still want you
Come back, I still need you
Let me take your hand, I'll make it right
I swear to love you all my life
Hold on, I still need you


Elle n'a pas eu beaucoup d'informations au téléphone. Ce n'est pas le genre de discussion qu'on a l'autre bout du fil. Pourtant ça pourrait être plus facile ainsi. On ne voit pas le visage de l'autre, on n'a pas à supporter sa vision. On n'est pas obligé de constater à quel point son fils a changé sans qu'on ait rien vu.
Mais si Rachele et Ezra ne sont pas en excellents termes, si le dialogue est difficile, laborieux, il y a une chose qu'ils ne sont pas. Ils ne sont pas lâches et partagent pour Salome un amour certain, bien que sans doute différent.

Elle n'a guère la tête à ses problèmes au journal. Couvrir les traces de la Nuova Camorra après le bal catastrophique du mois d'août a été infernal. Des photos ont fuité sur les réseaux sociaux. Internet n'oublie jamais rien. Alors traquer toutes les images a été fastidieux et impossible. Elle sait qu'il en reste, qu'à partir d'une passée entre les mailles du filet ou impossible à retirer, des centaines peuvent réapparaitre et mettre à mal des heures de travail. Ce n'est pas elle qui s'est détruit les pupilles sur les écrans, mais l'équipe chargée du « nettoyage » n'apprécierait sans doute pas de repartir de 0. Dans ces conditions, difficile de garder le moral, encore moins quand le journal doit naviguer entre professionnalisme apparent afin de garder sa notoriété et son influence et nécessité de couvrir les arrières de la mafia sans y laisser des plumes. Elle aime le défi, beaucoup moins le suicide.
Les meubles ont été sauvés laborieusement, mais elle n'a pas fait de miracle.
C’était avant l’appel de son fils bien sûr. Avant qu’elle ne sente une détresse jamais entendue dans sa voix, avant qu’elle ne s’imagine son visage à l’autre bout du combiné, qu’elle n’ait aucun mal à se représenter ces cernes, ses yeux fatigués. C’était avant qu’elle n’apprenne que Salome avait disparu depuis longtemps.
Depuis, la tête tourne à plein régime, les idées se bousculent, les images morbides aussi, les sentiments naissent, explosent, sont remplacés par d’autres sans qu’elle ne contrôle rien. Elle a en même temps l’impression de vivre au ralenti. Les deux jours écoulés depuis le rapide échange avec Ezra ont été interminables.
Elle est passée de la surprise à l’angoisse à la colère avant de revenir sur la deuxième.
Ezra aurait dû lui en parler plus tôt. Elle avait le droit de savoir, il lui a laissé une place dans la vie de sa fille, la mettre de côté dans un tel moment, ça lui laisse un goût amer. Elle n’arrive pas non plus à le blâmer. Leurs rapports sont si chaotiques que sa légitimité maternelle, ça fait longtemps qu’elle n’existe plus.
Elle a dû s’empêcher de faire jouer ses contacts et de faire du bruit inutile. Parce qu’elle a au moins compris ça. Ezra veut être discret.

Elle arrive en avance de dix minutes au rendez-vous et n’est pas le moins du monde surprise de voir son fils attablé avant elle.
Elle s’assoit en face de lui, le salue d’un sourire infime, tout juste poli. Elle n’a guère envie de jouer les civilités, mais on ne se débarrasse pas d’années à le faire en deux jours.
Le visage d’Ezra n’est pas le même qu’avant. C’est celui d’un homme qui voit son monde s’effriter entre ses doigts sans que rien ne l’arrête.
- Eliakim.
Elle s’en veut presque de se montrer si professionnelle, froide, distante en contemplant son fils.
Mais elle n’est pas du genre à se lamenter en pleurnichant pendant quarante-huit heures sur les malheurs de sa vie. Alors elle a eu le temps de penser à tout ce qu’elle pouvait faire.
- Depuis quand tu n’as plus de nouvelles ?
Depuis quand la police n’est pas au courant ?
- Des gens me doivent des services. Je peux les contacter.  
C’est une phrase sans valeur. Ezra va la contredire, lui dire de ne rien faire. Il l’aurait contactée plus tôt s’il avait voulu qu’elle soit utile dans la recherche de sa propre petite-fille.
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Loving and fighting. Accusing, uniting. - Mar 25 Déc - 10:38


 

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RACHELE & ÈLIAKIM

Hold on, I still want you
Come back, I still need you
Let me take your hand, I'll make it right
I swear to love you all my life
Hold on, I still need you


Ta mère arrive, tu la vois débarquer dans le petit café. Toujours aussi bien âprétée, toujours prête à partir en cas d’informations exclusives tombant sans qu’on ne s’y attende. Ou pire, prête à disparaitre pour retrouver la Camorra et ses connards aux cheveux gominés. Tu ne sais même pas pourquoi tu l’as appelé, te demandes bien ce qui t’a pris, à cet instant, de composer son numéro au lieu de te taire. Tu as toujours été trop sensible Èlia, depuis toujours tu es un puit sans fond d’émotions que tu arrives à calfeutrer à coup de terre et de roche. Mais depuis Salomé, ça fuite de partout, les cailloux bougent trop, la terre se remplie d’eau, tu te noies dans ta propre vie Èliakim. Et appeler Rachele est le première symptôme de ton incapacité à combler les interstices. Car qui, plus que ta mère, est à l’origine de l’homme que tu es  ? Y’a qu’elle pour te permettre de reboucher les trous, y’a qu’elle pour te prouver que t’as eu raison, de fermer ton coeur pour devenir un autre.
Tu la salues d’un geste du menton, pas de mot, pas de Rachele ni de maman. Rien qu’un stupide mouvement de tête. Et à sa première question, tu déglutis difficilement. Toi qui a toujours été un parfait acteur, ce matin-là, tu es incapable de cacher tes émotions. Devant elle, tu n’es ni Èliakim, ni Daniel, tu n’es qu’Ezra. Tu n’y arrives pas. « Quelques mois. » Tu te rends compte de ce que tu dis au moment où les mots dépassent tes lèvres. Ton enfant a disparu depuis quelques mois et personne n’est au courant, pas même tes patrons. Car tu ne peux pas te permettre d’être rapatrié et qu’on te retire cette affaire en te jugeant incapable émotionnellement de tenir. Alors tu mens, comme toujours, tu fous en l’air les existences pour sauver celle qui te semble la plus importante. Pas celle de Salomé, pas celle de Rachele, mais celle qui te permets de mettre un coup de pied dans cet univers de déités que t’exècre. Ton taff passe avant tout, tu t’en rends compte ce matin, en face de ta mère.

Le stylo est posé sur la table, tout comme tes coudes. Le corps s’avance, prend un peu plus d’espace à défaut d’en avoir réellement dans le coeur de Rachele.  « Je… Je me débrouille. Je trouvais juste important que tu le saches »  Toi-même t’y crois pas Èlia, tu sais qu’elle va s’énerver, même si les mots ne seront pas criés, t’es conscient que ce que tu lui demandes de faire est impossible. C’est ta mère, la grand mère de Salomé, tu l’as appelé en larmes et aujourd’hui, tu lui dis de laisser tomber.« On s’est pris la tête sur un truc et... » Les yeux abandonnent les prunelles de Rachele, voguent de droite à gauche, le stress te piquant l’échine comme la belle d’un m9, la tempe d’un ennemi. Ça fait mal deux secondes et puis c’est fini. « J’ai élevé un peu la voix, elle est partie… Elle n’est jamais revenue. »  Tu ne hurles jamais Èlia, tu tiens ça de ta mère surement, cette facilité à éteindre les émotions pour parler avec intellect et raison. Mais pas ce soir-là, pas quand tu as dit a ta gamine qu’elle était différente depuis l’Orage et que t’avais peur pour elle, pour sa santé, pour son esprit, pour cet enfant que tu ne reconnaissais pas.  « Elle n’est jamais revenue… » Comme toi, comme moi. Mais tu ne le dis pas Èlia. Y’a plus d’agent, plus de père, plus rien que le gamin qu’elle a connu Rachele, celui qui comprend pas comment fonctionne son cerveau et qui a peur d’exploser sous le trop-plein.
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Loving and fighting. Accusing, uniting. - Jeu 10 Jan - 23:13


 

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Let me take your hand, I'll make it right
I swear to love you all my life
Hold on, I still need you

Quelques mois … Salome a disparu depuis quelques mois et son père, pour elle ne sait quelle excuse idiote, n’a prévenu personne. Il a peut-être tué sa fille. Elle doit faire tous les efforts du monde pour ne pas l’interrompre, pour garder un visage neutre et ne pas le fusiller du regard. En cet instant, elle se moque bien qu’il soit son fils. Il a peut-être tué sa petite-fille.
- Je… Je me débrouille. Je trouvais juste important que tu le saches.
- Il t’a fallu des mois pour arriver à cette conclusion ?
Le ton est froid. Elle oublie les cernes de l’homme, sa fatigue apparente. Elle a l’image de Salome imprimée dans son esprit. Elle a le souvenir de leur promenade dans les parcs quand elle apprenait à marcher, de l'enfant qui essaie de lire une carte de restaurant quand elle a six ans, juste pour montrer à sa grand-mère ce qu’elle a appris à faire. Elle se souvient d’après-midi passés ensemble, de choses qu’elle ne disait pas à son père et que Rachele promettait de ne pas répéter, ce qui n’était guère difficile.
Elle se souvient de sa petite-fille vivante et son fils l’a peut-être tuée. Elle a l'image de la jeune femme, sans vie et les yeux vides, exactement comme les corps qu'elle a appris à dissimuler des pages de son journal.
- On s’est pris la tête sur un truc et... J’ai élevé un peu la voix, elle est partie…
Elle n’est jamais revenue.
Salome a beau être vive, elle n’est guère rancunière au point de pas revenir pendant des mois sans donner de nouvelles à personne et il n’est pas bien compliqué de comprendre qu’il lui est arrivé quelque chose.
- Elle n’est jamais revenue…
Il répète la phrase. Ca calme Rachele, un peu.
Elle garde le silence quelques secondes, cherche à peser ses mots, à ne pas trahir ce qui a fait d’elle la femme qu’elle est. La raison avant le reste, à tout prix. Sa relation avec Ezra est déjà compliquée, inutile de la surcharger à cet instant. Les reproches, elle pourra les lui exposer après. Oui, voilà, il faut prioriser les choses.
- Nous ne sommes pas ici uniquement pour que je sache. Tu aurais pu m’annoncer tout ça au téléphone. Alors ne me dis pas que tu te débrouilles.
Elle le détaille un peu plus pendant quelques secondes.
- Tu es fatigué, ça se voit. Depuis quand tu n’as pas fait une nuit de trois heures ?
Rachele n’a pas bien dormi depuis trois jours et ses nuits précédentes, comme toutes les autres, sont rarement complètes non plus.
- Et qu’est-ce que tu as trouvé ?
Elle connaît assez son fils pour savoir qu’il n’est pas resté les bras ballants à pleurnicher sur son sort.
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Loving and fighting. Accusing, uniting. - Dim 13 Jan - 20:10


 

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Let me take your hand, I'll make it right
I swear to love you all my life
Hold on, I still need you


Tu l’entends, l’agacement dans la voix de Rachele, tu saisis les émotions qui filtrent des lèvres de ta mère. Tu l’as encore déçu. Habitué à ça, jamais tu ne lui conviens. Toujours trop rebelle adolescent, ou incapable de s’exprimer, tes choix d’étude, tes milliards de question, l’abandon du master en physique, tout a déplu à Rachele. Parfois, tu te demandes même si tu es encore son fils, au point où vous en êtes. Pourtant, tu ne pars pas Èlia, tu devrais, abandonner la table et t’enfuir comme à ton habitude. Mais pas cette fois-ci. Elle a accepté ta vie, du moins, ce que tu lui as montré et surtout, elle a aimé Salome de tout son être. Tu ne peux pas lui retirer ça, cette tentative d’approche et cet amour inconditionnel pour sa petite-fille. Peut-être qu’elle ne t’a jamais aimé Rachele, mais au moins, elle aime Salome et ça te suffit au final.
Les yeux se relèvent sous les remarques. Les nuits sans dormir, les informations trouvées, tu as un sourire Ezra, celui qu’on voit rarement sur le visage de l’agent. Il doit rappeler à Rachele l’enfant lumineux que tu étais, avant de te laisser happer par un monde qui met des frontières et empêche de briller.  « Je n’ai plus 6 ans Rachele, regarde toi dans une glace avant de me dire que je ne dors pas assez. Au moins, on a ça en commun. » Les yeux océans sont électriques, tous comme les mots. La remarque est glaçante, tu n’en as que faire de la tendresse de cette maman qui n’en est pas une.

Une seconde de pause, les doigts passant dans la tignasse, les prunelles s’arriment ailleurs que sur le visage de Rachele.  « J’ai fais le tour des hôpitaux. » Des morgues aussi.  « Elle n’y est pas… J’ai un ami qui bosse au commissariat, il…  »Pas d’amis mais des contacts.  «…. Il n’y a rien. Elle est introuvable. » La tasse de café vide est attrapée, tu la tournes, la regardes, te concentres dessus.   « J’ai besoin de toi en tant que mère, pas en tant que gérante du Times alors s’il te plait, ne commence pas avec tes reproches. » Et les yeux n’osent se relever, le glitch entre l’agent et le fils est réel. Tu ne sais plus, Èlia, qui tu dois être face à Rachele désormais. Tu n’arrives plus à lutter.
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