AccueilAccueil  tumblr  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
FORUM FERME
Le deal à ne pas rater :
Xiaomi Mi Smart Camera 2K Standard Edition (design compact / support ...
11.39 €
Voir le deal

I've tempted fate (Alan & Rosalie)

 :: abandonnés
Invité
Anonymous
I've tempted fate (Alan & Rosalie) Empty
I've tempted fate (Alan & Rosalie) - Ven 19 Oct - 14:28

I've tempted fate
Alan


Il y a un homme qui est venu, ce soir ; il l'intrigue, la happe quand elle le dévisage depuis l'autre côté du rideau. Elle ne le connait pas, son visage ne lui évoque rien de particulier si ce n'est qu'une attirance bien trop charnelle pour qu'elle l'ignore. Elle a l'habitude de ça, de ces appels suaves qu'ont les chairs, de cette voix au fond de son crâne qui lui gueule de s'avancer vers lui. Elle la tait, elle fait comme si elle ne l'entendait pas mais, comme à chaque fois que ça lui arrive, elle sent ce mystère prendre une part bien trop importante d'elle avec lui.

Son spectacle ne va pas tarder à commencer ; quand il sera vingt-deux heures tapantes, elle entrera en scène. Elle n'a jamais vraiment le trac, après tout, pour elle, tout n'est qu'une question d'habitude. Elle te lasse vite, dirait-on presque. Mais là, ce soir, les choses sont différentes : cet homme, elle cherche à l'aguicher, à le séduire. Il a ce charisme si accablant, si écrasant, qu'elle ne peut vraiment faire comme si cela ne lui faisait rien.

L'assistant lumière lui fait un signe rapide depuis sa loge, c'est bientôt son tour. Elle ajuste une dernière fois sa coiffure, sa tenue, et elle se prépare. La musique commence, jazz aux senteurs érotiques se perdant dans les oreilles des spectateurs. Pourtant, elle ne l'entend pas, elle est seulement capable de suivre le rythme grâce au métronome qu'on laisse à sa vue au fond de la salle. Un indice particulièrement important pour elle, mais que personne ne soupçonne. La chanteuse est sourde, elle n'entend pas une traitre note, pas un seul mot de cette sublime chanson qu'elle récite. Elle danse, gracieuse et sensuelle, divinement drapée sous une robe qu'elle effeuille petit à petit.

Quand elle scande ses dernières notes, elle offre beaucoup trop de chair à ses spectateurs ; scandaleuse, elle ne dévoile pourtant rien de plus qu'une peau, et conserve toujours ses secrets les plus atroces, les plus horribles. Elle ne quitte cependant pas cet homme des yeux, celui qu'elle a alpagué : celui-là, elle ne veut pas qu'il détourne son attention. Elle le provoque du regard, elle se montre presque déjà trop intrusive. Mais c'est ce qu'elle aime, la danseuse ; harponner, tirer jusqu'à elle ce qui fait naitre le moindre désir.

Elle disparaît devant le rideau, laissant dans les rétines des gens l'image parfaitement sensuelle d'une soirée burlesque. Son travail est fait, méfaits accomplis ; elle se dirige vers son miroir où elle prend le soin d'ajuster quelques boucles de sa tignasse. Puis elle passe une robe un peu plus apprêtée, et sort pour se diriger vers le comptoir, où elle retrouve l'homme qu'elle avait repéré. « M'offreriez-vous un verre, darling ? » demande-t-elle, l'invitant à la regarder pour lui répondre, sous couvert de quoi elle ne pouvait pas l'entendre.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
I've tempted fate (Alan & Rosalie) Empty
I've tempted fate (Alan & Rosalie) - Dim 21 Oct - 14:52



I've tempted fate

 
Freyja ϟ  Bélénos .

Elle est belle cette danseuse et l'illusion parfaite lui donne l'impression qu'elle le fixe. Chaque personne ici présente à l'arrêt, il n'y a qu'elle qui danse et lui qui sue. Il n'y a pas d'expression particulière dans le regard d'Alan, c'est un type trop peu expressif pour laisser passer ce qu'elle réveille en lui. Les sourcils froncés, tirant presque une grimace dubitative, il la détaille, ne quitte pas ses yeux des courbures de son corps. Il est entré là dans l'espoir de se changer les idées, il faut dire qu'elle a réussi à lui prendre le cerveau en otage, cette jeune femme. IL n'était jamais vu ici, à vrai dire il préfère les bars paumés plutôt que les cabaret, sans doute son manque de distraction a mené ses pas là. Les temps sont durs, particulièrement usants et Alan est un peu fatigué de tout ce qu'il se passe autour de lui. Se trouver un endroit hors du temps, laisser de côté son cerveau le temps d'un soir c'est ce dont il avait besoin non ? Alan s'est donc retrouvé attablé ici, son verre à la main et es doigts blanchissent quand il resserre son étreinte contre le matériel, les yeux rivés sur cette succube qui le charme manifestement. Pourquoi lui ? Qu'a t-il de plus ? Pourquoi se complaît il à la voir le désirer de cette manière. C'est son travail se répète t-il, rendre chèvre les hommes d'ici faire un trou ensuite dans le portefeuille. Cliché ? Ah, il s'en fou.

Les paupières s'agitent humidifient ses yeux et il passe sa main sur son front. Ce n'est clairement pas le moment de se laisser emporter, il a bien d'autres soucis ces dernier temps, il pense à Mairead, à Augustin  qui à Arcadia étaient les deux seuls à avoir éveillé ce genre de chose chez lui. Serait il ensorcelé ? Ça ne serait pas étonnant, si c'est une déesse charnelle elle a peut être un don. Et la paranoïa s'installe chez Alan, qui ne sait plus si ces frissons obscènes sont involontaires ou volontaires.  Il soupire, le verre vient frôler ses lèvres quand il s'abreuve un peu plus de whisky dans lequel il a quasiment vidé sa flasque de nectar. L'ivresse n'est plus ressentie par les alcools classiques, ce qui est drôlement handicapant en fin de compte. Enfin il respire, le moment est venu de s'en aller. Il se lève, se dirige vers le bar pour régler sa note et c'est à cet instant que les fragrances capiteuses d'une chair trop tentatrice vient se glisser à lui. Il déporte son attention, elle est là, elle est venue le voir. Alan a d'abord un mouvement de recul, regarde derrière lui dans le cas où il se soit trompé, parce qu'elle choisi mal sa cible. Il n'a rien à lui offrir que sa gueule de merde. Pas d'argent, pas de conversation intéressante, rien. A priori il s'agit vraiment de lui. Elle lui demande si il peut lui offrir un verre et il se sent presque idiot parce qu'il a envie de répondre non et de s'enfermer dans sa bulle de confort. Il repose ses yeux sombres sur elle, toujours cette même grimace ahurie et très peu avenante sur le visage. Elle a bien travaillé, elle mérite quand même quelque chose non ? Pourquoi se cherche t-il des excuses au fait ? Est ce qu'une partie de lui n'aurait pas encore envie d'avoir cette attention nouvelle sur lui ? Rien qu'une fois, histoire de se requinquer.

« Heu oui. » Pas très loquace Alan, qui se retourne vers le barman pour demander un verre. Allez vous installer qu'il répond, cela implique qu'il reste avec elle ? L'esprit embué par l'alcool peine à tourner à plein régime, au final il guide la danseuse dans un coin et se rassied. Les images de la danse reviennent à l'esprit, et il se souvient avoir osé imaginé poser les mains sur elle, savourer cette peau trop claire. Il faisait le malin, maintenant c'est à peine s'il ose la regarder. Une main sur la table, pianote l'impatience, il n'a jamais été dans telle situation, il ne sait même pas ce qu'il cherche à faire en restant ici. D'ailleurs pourquoi est ce qu'il est venu déjà ? Alan trouve ça gênant, son regard évite la demoiselle, se pose sur la scène en espérant qu'un nouveau spectacle plongera la salle dans le noir et lui évitera de faire la conversation, parce qu'il n'est pas doué pour ce genre de choses, il préfère encore se taire et passer pour un abruti – ce qu'il est manifestement. Soupir, il sort une cigarette, en propose une à la jeune femme et se l'allume avant de laisser son briquet sur la table si elle le désire. Quelle soirée.



Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
I've tempted fate (Alan & Rosalie) Empty
I've tempted fate (Alan & Rosalie) - Dim 21 Oct - 16:24

I've tempted fate
Alan


Cet homme a encore plus de charme quand elle s'en approche, quand elle détaille ses expressions presque figées dans le marbre. Elle aime ces hommes, Rosalie, ceux qui sont presque intouchables, inaccessibles. Elle a toujours eu le goût d'obtenir ce qu'elle ne pouvait atteindre, c'était comme un jeu pour elle : un jeu amusant qui ne tarissait jamais, car si l'un résistait, le suivant lui tombait dans les pattes comme d'un claquement de doigts. Elle sait qu'elle peut manifestement débusquer les sentiments chez les autres, créer chez eux une attraction irrésistible vers elle, mais c'est quand même plus amusant de s'y risquer sans aucun apparat qui ne l'aide, non ? Rosalie a le goût du défi, mais surtout : le goût de la victoire.

Le sourire impeccable sur ses lèvres se dessine quand elle entend l'homme plier à sa demande. Il a l'air peu loquace, mais cela ne le dérange pas. Après tout, est-elle vraiment là pour lui faire la discussion ? Rosalie le provoque, soutien son regard quand elle sent l'autre se dérober. Elle a l'intention de le faire capituler, ça oui : ça lui plait d'être l'idylle nocturne de cet inconnu. Il est plutôt charmant, et Frejya, à l'intérieur, lui hurle d'attirer ce type sous ses draps. Le serveur prend sa commande, il sait de quoi Rosalie a besoin après une telle soirée. « Un martini, au shaker, pas à la cuillère, la belle » Elle acquiesce. « Merci, Daniel. »

La jeune femme se dirige avec son bel inconnu vers le fond de la salle, elle lui propose une banquette un peu à l'abri des regards, assez dissimulée, mais qui permet d'avoir un œil sur une bonne partie de la salle : c'est cet endroit qu'elle préfère, d'où l'on peut surveiller sans être vu, particulièrement quand il y a des clients déplaisants avec elle. Elle ne compte plus le nombre de fois où des vieux croutons mal-léchés étaient venus lui demander de faire des choses dans les toilettes pour femmes.. C'en serait affolant. Non, Rosalie, elle préfère aller au devant, choisir sa cible et la séduire avec autant d'amusement qu'elle n'en procurerait plus tard.

Rosalie s’assoit, la robe montrant sciemment plus de peau de sa cuisse qu'elle n'aurait du le faire. Daniel lui apporte sa boisson, dépose le verre avec élégance devant la demoiselle, qui se penche pour s'imprégner de l'odeur de l'alcool. Elle aime boire, avec modération, mais pas toujours : elle a le goût pour le bon vin français, pour les alcools italiens, mais ce qu'elle préfère, c'est le dry martini, qui n'a, en réalité, rien à voir avec l'alcool qui porte le même nom.

Elle voit son compagnon de la soirée regarder ailleurs, détourner les yeux, loin d'elle, vers la scène. Un coin des lèvres de la jeune femme se soulève pour sourire, elle sait ce que cela veut dire. « La prochaine représentation aura lieu d'ici trois quarts d'heure » l'informe-t-elle, cherchant à ce que l'homme rapplique son attention vers elle, ce qui serait même fortement utile si il venait à lui parler, puisqu'elle ne pourrait pas le comprendre autrement.

Il a l'air de vouloir détourner son regard d'elle, mais la demoiselle ne se décide pas à utiliser ses capacités pour rendre sa séduction plus facile : l'enjeu, c'est d'arriver à chasser ce semblant de gêne pour laisser sortir l'animal qui sommeille en lui. Elle le sait : tout homme a une bête intérieure qu'elle doit finalement libérer, et lui autant qu'un autre. Des démons, elle n'en a pas peur.

Aussi, Rosalie décide d'aller un peu plus aux devants de cet homme qu'elle veut faire chavirer ; rocher pour son naufrage, elle glisse une main sur la cuisse de l'inconnu, pas trop loin, non, mais juste assez pour espérer le faire bouillonner. « C'est la première fois que tu viens ici ? Je ne t'ai jamais vu avant, bel étranger » Elle joue, comme un chat avec sa souris, et maintenant, elle essaye de mettre la balle dans son camp.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
I've tempted fate (Alan & Rosalie) Empty
I've tempted fate (Alan & Rosalie) - Mar 23 Oct - 11:33



I've tempted fate

 
Freyja ϟ  Bélénos .

Malaise, quelle idée de se foutre dans une situation qui le rend inconfortable. Et il se haït pour réagir avec autant de besoins primitifs, parce que cette femme lui donne l'impression de ne plus être à Arcadia, d'être un autre type dans une autre vie. Une bulle d'échappatoire, où tout ce qu'il se serait passé jusque là n'existerait plus et où il serait l'homme qu'il a toujours voulu être ; plein d'assurance, calme. Et dans les bras d'une inconnue se laisser aller, est ce qu'elle saurait le bercer de cette illusion ? Il n'en sait rien, une partie de lui lutte encore, le regard porté et fixé sur la scène. Il entend sa voix à ses côtés, il la laisse profiter de son martini, se contente d'être là. Il ne répond rien à son information, a vrai dire il s'en fou du spectacle, c'est juste une excuse pour ne pas avoir à faire la conversation. Silence de nouveau, gênant il le sait, ça il s'en fou, il ne la connaît pas il n'a pas besoin de faire des manières par politesse. Est ce que ça existe vraiment d'ailleurs dans ce type d'établissement la politesse ? Alan a beaucoup de clichés de merde, c'est un blaireau qui ne connaît pas grand chose à la vie car pour lui elle se résume aux vols et au fardeau qu'il se traîne.

Quelques instants plus tard, le geste en trop, lui glace le sang. Le frisson lui remonte l'échine, il ne sait pas pourquoi, elle a quelque chose dans le toucher qui le trouble. C'est une très belle femme et il a quelques grammes dans le sang, mais même avec cela il se demande comment ça se fait qu'il soit aussi affaibli quand il a toujours été froid. Ses yeux sombres détaillent finalement cette main finement entretenue, les doigts longs et fins, délicats, sur sa cuisse à le provoquer encore comme lorsqu'elle était sur scène à le harponner avec son regard de feu. Elle lance les hostilités, passe sur un terrain plus épineux dans le contact physique et Alan n'en dit mot. Il lève ensuite les yeux vers elle, les traits sont figés encore. Quelle est donc cette sorcellerie ? Il déglutit, pas certain du comportement à adopter, n'ayant eu que peu l'occasion de jouer la séduction, sauf concernant Mairead mais c'était il y a très longtemps maintenant. Elle n'a pas l'air offensive, mais il se demande pourquoi elle jette son dévolu sur lui alors que tout un tas d'hommes seraient bien plus réceptifs et moins difficiles. Il observe les traits de son visage, délicatement maquillée, la peau légèrement parfumée, et cette aura de pécheresse qui l’envoûte de manière irrésistible. Mais Alan ne se laisse pas forcément charmer, parce qu'ici bas on ne sait pas sur qui l'ont peut tomber, quelle allégeance etc.

Il n'a jamais vu cette fille, pour ainsi dire il ne lui accorde aucune confiance et attend de voir réellement ce qu'elle attend de lui. Pour le moment peut être s'agirait il d'un peu de compagnie, d'un partenaire avec qui finir la soirée. Mais dans ces cas là pourquoi le choisir lui ? Elle lui demande de sa voix douce et suave ce qu'il vient faire dans les parages, l'affuble d'un surnom affectueux qui ne lui fait ni chaud ni froid parce qu'il ne parvient pas à cerner cette dame. Il aurait envie de partir mais sa faiblesse le pousse à rester, cette main sur sa cuisse comme une chaîne l'empêche de bouger. Peut être parce que son corps en réclame plus, peut être parce qu'il est tout simplement dans un état de sidération face à la succube. «  Sans doute » il répond, assez peu précis, et parce que ça doit déjà se voir sur son visage et son comportement général qu'il n'est pas un habitué des lieux, parce qu'il n'a pas l'air de s'en réjouir comme les autres personnes qui sont assises dans la pièce. Son dos vient se caler contre le divan derrière, il est crispé, tendu, le meilleur serait de partir. Qu'est ce qu'elle lui promet s'il reste encore ? «  Et toi ça fait longtemps que t'es là? » Alan ne parle pas assez bien anglais pour avoir un langage aussi poétique que le sien et à vrai dire il s'en fou pas mal de paraître grossier ou trop familier.



Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
I've tempted fate (Alan & Rosalie) Empty
I've tempted fate (Alan & Rosalie) - Jeu 22 Nov - 18:16

I've tempted fate
Alan


Tendu sous ses mains, qu'il est. Hostile sensation qu'elle s'éprouve à chasser, exagérée dans ses mouvements, peut-être qu'elle offense son compagnon. Rosalie l'observe, sagement. Elle a tout son temps, le sommeil n'est pas quelque chose qu'elle convoite, bien au contraire : les draps chez elle sont trop frais pour passer une soirée à dormir, elle le sait, et ça l'anime d'autant plus. Il se dérobe, calmement, mais impitoyablement. Elle sent les muscles se tendre sous ses vêtements, l'homme n'est pas à l'aise, n'apprécie peut-être pas son contact. Elle sourit vaguement, cela n'a aucune importance, même si le jeu est là, elle pourra toujours le faire céder à son caprice. La chandelle en sera juste moins belle, mais elle brûlera quand même.

Rosalie prend une longue inspiration, elle contemple la salle d'un regard distant, déjoue les plans que chacun se fait dans son esprit en regardant les femmes danser ici. Elle n'y est pas depuis si longtemps, ou peut-être que si.. A vrai dire, elle n'en a pas la moindre idée. Elle réfléchit, cherche et cherche encore. « Je ne sais pas.. » murmure-t-elle, un sourire amusé se repositionnant sur ses lippes bordeaux. « Tu sais, ici le temps suspends son cours, les heures s'envolent et plus rien n'a de sens. Lundi, mardi.. Tout ça, ce sont des foutaises. » Elle prend une gorgée de son verre, ferme doucement les yeux pour savourer le goût de l'alcool.

« Le jour, la nuit, moi je ne fais plus la différence. Ici c'est sombre tout le temps. C'est du pareil au même, quand tu vis dans le noir, tu es une noctambule vingt-quatre heures sur vingt-quatre. » Elle se tait, savoure le martini qui lui brûle la gorge. Ses paupières papillonnent sous son regard intéressé, mais elle semble avoir quelques difficultés à saisir l'attention de son interlocuteur. Est-ce que c'est bruyant ici ? Elle ne le sait pas, mais elle le devine. Il entend pourtant ce qu'elle lui dit, mais elle a cette sensation étrange qu'elle faillit à sa tâche. Séductrice qu'elle est, parfumée, capiteuse senteur sous l'oreille, la poudre sur les joues, elle le teste encore une fois.

« Cet endroit n'a vraiment rien de plus à t'offrir, ça te dirait d'aller faire un tour dehors ? Tu pourrais m'emmener voir les lumières de la ville, pendant la nuit, c'est divin. » Dernière tentative, s'il n'accepte pas, elle se dira trop fatiguée et l'abandonnera pour une autre proie, dans un autre endroit.

Revenir en haut Aller en bas
I've tempted fate (Alan & Rosalie) -

Revenir en haut Aller en bas

I've tempted fate (Alan & Rosalie)

 :: abandonnés
 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» FATE OF STARS
» Running After My Fate (nsfw)
» sleight of fate (marlee)
» Nothing against you ( Alan )
» somewhat damaged - alan

Sauter vers: