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Dévorer ton corps de mes lèvres ❀ (Hibisay)

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Dévorer ton corps de mes lèvres ❀ (Hibisay) - Mer 24 Oct - 18:40




Tes prunelles qui balafraient l'étincelant miroir de ta loge de leur contemplation s'affaissèrent fugacement, tes phalanges s'emparant de cette micellaire texture renversée avec légèreté sur un lacté disque cotonneux. Immaculée sphère engorgée de ce démaquillant qui dévêtit ton faciès enrobé de ces quelques artifices diurnes, le flambeau passé à ceux qui auréoleraient les nocturnes festivités. Des paillettes dorées sertirent tes paupières, le cendré d'un mascara ornementa tes cils, un rutilant et velouté rouge à lèvre se pavana le long de tes lippes tandis qu'un léger blush d'or s'éprit de tes pommettes. Tes accoutrements délaissèrent tes arabesques, chutant lascivement au sol. Un chapeau de velours carmin semblable à ceux exhibés par les officiers de police trôna fièrement sur le sommet de ton crâne, agrémenté de longues cuissardes grenadines embrassant tes cuisses, à l'indécence pâlissant face à ce flamboyant string en dentelles parant tes esquisses et à ce serre-taille t'étreignant suavement.

L'innovation par tes soins était à son apogée cette nuit-là. Aucun strip-tease n'aurait lieu, mué en une exhibition davantage subtile et artistique. Une esquisse suintante d'une condescendante coquinerie écroua tes lippes alors que ta carne s'extirpa de ta pièce personnelle pour aller égayer la scène du Naked Eye de sa présence. Les acclamations vrillèrent et les iris déambulèrent le long de ta pulpe déjà effervescente de sensualité. Et tes talons carillonnèrent voluptueusement et lentement lorsque tes premiers pas de danse déferlèrent, tes esquisses ondulant, chancelantes d'un hypnotique érotisme qui galvanisa chacun des clients constellant les lieux. Tes sphères lunaires s'offrirent maintes fois à leurs prunelles affamées de ce porcelain derme de poupée forgeant tes arabesques, tanguant, roulant indécemment à travers les airs, malicieuses tentatrices qui s'accompagnèrent de cette corde qu'on te lança subitement depuis les coulisses. Longue tresse de paille aisément rattrapée par une de tes paumes. Fermement empoignée par leur creux, ses râpeux flancs effleurèrent lascivement ton fessier, doucereux va-et-vient insufflés de tes mouvantes et narquoises paumes qui s'estompèrent finalement fugacement, la corde fiévreusement abandonnée sur le sol de la scène d'un vivace revers de ta paume.

Lorsque ta tête pivota légèrement sur le côté et que tes iris poignardèrent la vaste salle de leur vagabondage par dessus ton épaule, tu le repéras soudainement. Bellâtre à la similaire nature monstrueuse que la tienne, ténébreux au regard d'un ardent azuré à en écorcher ton palpitant de ce malsain désir, truculent d'incontrôlable, erratique à en asphyxier ta respiration, à t'inciter à réprimer un soupir presque teinté de passion tant sa simple présence saccadait la moindre parcelle de ton épiderme de frissons de satisfaction. Il semblait capable d'incendier ta pulpe d'une simple promenade de ses iris le long de tes courbes qui, pour la première fois en d'innombrables spectacles, délaissèrent frivolement la scène, tes jambes entraînées au creux d'une cadence aux airs de diva, gangrénant progressivement la distance lovée entre vous deux. Tu profitas de cette déambulation pour doucereusement caresser quelques masculins mentons du creux de tes paumes, enlisant éphémèrement tes iris au coeur des leurs pour leur dérober leur palpitant au cours de ton sillage. T'abreuvant finalement de la proximité de l'existence déchaînant tes vices, ses cuisses accueillirent tes dunes fessières qui s'enjolivèrent de suaves oscillations, estropiant les esquisses du bellâtre de suggestifs effleurements, ton fin torse ondulant face au sien qui opprima finalement les pectoraux d'Isay de son avachissement contre eux, le flagellant de ces délectables et incessantes ondulations tandis que tes lippes parcoururent le flanc gauche de sa nuque, évitant adroitement de l'estampiller du moindre contact, ton chaleureux souffle le caressant tendrement à la place. Danse nuptiale qui connut une subite finalité lorsque tu t'éloignas de l'homme pour combler un autre. Tu t'écroulas volontairement et lascivement face aux prunelles de l'inconnu embrumées de désir, l'arrière de ton crâne confortablement lové contre l'onctueuse carne de sa cuisse, tes iris voilés de sensualité conquérant les siens. Appuyé sur tes genoux, ils s'écartèrent lentement, ton torse vrillant d'un ondulatoire ballet. La paume du client eut l'audace de s'accoler délicatement contre ta pommette. Son dos fut tendrement paré du creux de la tienne puis fracassé d'un suave baiser, le balafrant de la rougeoyante empreinte de tes lippes, ton regard ayant au même moment dévié vers le séduisant Isay. Érotique aveu de ta part à son égard, hurlant sourdement à l'agonie à quel point tu désirais te perdre parmi ses étreintes et te repaître si avidement de sa carne ...




(c) macaron


/!\ Contenu explicite ! Le visuel de la musique pour te donner une idée des mouvements du corps d'Hibi avant qu'il ne quitte la scène pour rejoindre Isay I love you:


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Dévorer ton corps de mes lèvres ❀ (Hibisay) - Lun 12 Nov - 23:43

DÉVORER TON CORPS DE MES LÈVRES

Little prince of nothing, sitting on a throne and worshipping the air he is breathing like it was his only way of living. 


L’heure est à la fête au Naked Eye, comme à chaque fois que la nuit abaisse son manteau, les corps se tordent et s’ondulent aux rythmes d’une BPM connue de tous. Des corps élevés au rang d’art, au rang d’idoles sur des piédestaux peu éclairé. Au-dessous d’eux, la populace rampe, s’agglutine pour se rapprocher aux plus prés. Pour brandir les quelques billets qu’ils peuvent épargner en guise d’offrande. Dans l’espoir d’un peu d’attention, dans l’espoir d’un regard charmeur de la part d’une de ses créatures. Perdu dans leur envie lubrique, perdue aux creux des hanches, au sein des geste des danseurs érigés au rang de divinités pour le temps de leurs services. Isay n’est pas de ceux-là ce soir. D’un œil curieux, ils les observent, ses âmes en peine qui se regroupent collé bien au chaud contre le podium à la recherche d’une attention auquel ils ne peuvent que, pour la plupart, rêver. À la recherche de bras chaud et langoureux dans lequel se blottir ou d’une paire de cuisses dans lequel s’enfoncer, quels que soient leurs désirs. Ce plaisir que l'hôte de Cerbère pouvait prendre et donner à son bon vouloir. Il sourit, amusé, satisfait dans cette supériorité puéril. L’idée est pourtant plantée et il a moitié envie de quitter son emplacement pour aller se complaire dans l’embrasse de la serveuse qui lui avait fait de l’œil à son entrée.
Pourtant, il reste planté là au lieu d’agir sur sa volonté comme lui sifflait l’instinct du cabot maintenant encrée en lui. Fussent n’importe qu’elle sort le russe aurait obéit à cet instinct basique et inoffensif, mais pas ce soir, pas maintenant. D’autres affaires plus importantes arrivées, se fessait attendre à son grand damne, mais en bon homme d’affaires, il était de son devoir de rester présent, prêt à négocier dès qu’il l’apercevrait.  
Enfin, l’homme de l’heure arrive lentement, en déambulant comme si l’endroit lui appartenait ( une réalité parmi tant d'autre), comme si Isay n’était rien pour lui qu’un émissaire dans son royaume ( grave erreur). Il plisse les yeux tant qu’il le peut Isay avant de devoir d’étendre ses muscles et afficher un sourire sympathique parce que les humains étaient susceptible set avec ce genre de personne il fallait mieux montrait les canines. Que ce soit dans un sourire ou en guise d’avertissement, comme la Bratva lui a bien appris. Il ne le sera que trop tard.
Les mots s’échangent les contrats se construisent petit à petit à coups de négociation de la part des deux parties. Aucun ne veut entièrement céder à l’autre, mais le deal doit être conclu avant les premiers rayons. Le bras de l’homme a maintenant quitté la taille somptueuse de la jeune demoiselle pour rejoindre sa jumelle sur des genoux velus. Il n’est plus aussi tendu que précédemment penché sur la table pour regarder Isay dans les yeux. Alors que la réincarnation lui, il s’étale avec grace à son aise comme partout ailleurs. Il fait le trône, petit roi imaginaire. Connu et reconnu seulement de lui-même. L’homme arque un sourcil, mais n’est définitivement en aucune position d’en montrer plus. Isay, dans son imaginaire, lui est supérieur en tout point et le sais le montre, même si ici, l’homme est dans son domaine, Isay est le client et tout le monde connaît le dicton sur la question. Il gagne finalement, avec l’heure, le nombre et le paiement, la liste est glissé l’homme sait ce qu’il doit lui procurer. Il s’en occupera convenablement. L’humeur de son opposant ne semble pas si morose pour une personne qui venait de perdre leur bras de fer.
Le brun ne peut qu'imaginer ce qui se passe dans de cerveaux. Il l’entend lui proposer ce que son cœur désirais comme à chaque fin de négociation. Mais son attention à été dirigé complètement ailleurs, compromise et soutiré de l’homme pour se focaliser uniquement sur le corps entrain s’animant sur scène. Il n’est plus qu’un bruit de fond, déjà oublié jusqu’à une nouvelle affaire. Ses yeux cristallins scrutent le chef d'œuvre présent sur scène, il admire la couleur de l’aura qui enveloppe la frêle silhouette sur scène, il scrute ce qu’il peut voir des jambes galbés et des fesses à se damner. 
Trop soudainement et presque à sa déception la figure quitte le feu des projecteurs, mais son humeur et très vite éclaircis par l’approche de la silhouette embrumée de l’aura monstrueuse de son espèce. Il peut encore sortir l’attention dérangeante de l’homme à ses côtés. Il lui dit quelque chose, insiste et Isay acquiesce d’une manière absente sans plus y réfléchir. Simple comme bonjour, l’homme par dans l’arrière-boutique alors que la silhouette tant convoitée se retrouve sur ses genoux. "Salut toi" lui susurre t-il par réflexe. Prêt à l’emploi comme un cadeau tombé du ciel. Ses mains montent le long de ces cuisses dans un sillage avant de se saisir de cet arrière-train. Il l’accompagne dans ses mouvements. Ses iris bleus coincés sur son visage. Isay, il ne bouge pas sous les ministrations du danseur, reste tranquillement à sa place et lui offre plein pouvoir sur son corps. Un sourire goguenard au bord des lèvres, il ne peut s’empêcher d’accompagner son mouvement de hanche. Trop attacher à cette once de confort, de contrôle. Il le regarde du bas comme un être divin qu’il n’avait jamais eu la chance d’approcher de si prés. L’homme est facilement l’une des plus belles choses sur lesquelles il avait posé la main depuis un long moment et il avait vu beaucoup de trésor au cours de sa vie. Il se perd encore quelques instincts dans cette étreinte érotique, incarnation de la luxure entre les deux corps mélangé.
Mais trop vite la chaleur quitte ses genoux et il se retient inextrémiste de le ramener directement vers lui. Retrouver cette chaleur confortable d’un corps contre le siens. Le poids de ce corps entre ses mains. Après tout, ils s’impliquaient si bien. Mais il le laisse s’échapper, le laisse se glisser hors de ses mains. Il le relâche lui rends sa liberté pour le voir s’agenouiller devant un autre homme. Un sentiment de trahison lui remonte aux creux de la gorge. Cerbère grogne et il tend ses muscles dans une attaque puissante. Prêt à sauté et à déchirer entre ses crocs. Isay résiste, compte jusqu'à 5, respire, puis se lève sans un regard de plus. Parce qu’il fallait qu’il sorte de cet endroit pour plusieurs raison, autre que son entre-jambe à peine éveiller. Il s’accoude au bar comme une âme en peine, avide de faire couler l’alcool tant attendu aux cœurs de ses veines. Encré sur ce tabouret, il écoute et s’informe, attire les gens et étend sa toile pour trouver des réponses. Un nom, une occupation, un compte, une identité.


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Dévorer ton corps de mes lèvres ❀ (Hibisay) - Ven 8 Fév - 20:30




Tes balbutiements se délectant de l'admiration de ce chanceux client entièrement enlisé au creux de l'adulation de tes arabesques, s'effritèrent fugacement, ta silhouette s'éclipsant pour à nouveau ornementer la scène et s'auréoler de l'ineffable éclat des projecteurs. La suavité de tes ondulations médusa les prunelles durant quelques minutes supplémentaires avant de connaître une doucereuse finalité, sertie des détonations insufflées des cacophoniques applaudissements. Et ta loge fut regagnée avec hâte, tes accoutrements scéniques remplacés par d'autres plus distingués et chics tandis que ta gorge fut désaltérée de quelques lichées d'une eau aromatisée à la pêche. Le propriétaire du Naked Eye s'empressa néanmoins à faire vriller tes quelques instants de repos de sa présence, clamant posséder un contrat en or massif qui pourrait davantage embraser ta célébrité. Il semblerait qu'une luxueuse marque de haute couture dont il connaissait personnellement le styliste s'était entichée de l'angélisme de tes traits faciaux et était désireuse de te muer en son effigie de l'année. Une éclatante offre que tu acceptas sur le champ, l'adresse de l'édifice agrémentant soigneusement le lacté d'une note digitale de ton téléphone. Les lieux furent finalement délaissés de ton existence pour retrouver et te galvaniser de la quiétude de ton manoir.

❀ ❀ ❀ ❀ ❀ ❀ ❀ ❀


Tes iris s'élevèrent, s'entichant de la devanture du fameux bâtiment abritant les luxueux accoutrements qui enroberaient tes esquisses. La neutralité exsudée de la superficie bétonnée fomenta des soupçons qui irradièrent tes entrailles. Suspicions qui n'entravèrent pourtant point ta cadence qui t'insinua à l'intérieur des lieux. Un homme s'attela à accueillir ton entrée de salutations suintantes d'excitation, le creux de sa paume s'encastrant avec la tienne en guise de bienvenue. Il t'invita à t'engouffrer au coeur de son sillage, un croissant radieux d'enchantement avachi le long de ses lippes, t'emportant jusqu'à l'intimité d'une pièce arborant un lit exhibé face à la lentille d'une caméra. Décelant ainsi immédiatement la nature de la salle, la fureur engorgea tes tripes et incendia tes prunelles.

Il est absolument hors de question que je signe pour faire du porno vous m'entendez ! On m'a bien stipulé qu'il s'agirait d'un défilé de mode et non ce genre d'activité !  

L'agacement cascadant le long de tes courbes, tu t'apprêtas à t'extirper de l'antre des horreurs mais l'homme assujettit ton bras de l'étau de sa paume, t'écrouant de son emprise tandis que mille et une alléchantes sommes d'argent ruisselèrent d'entre ses badigoinces. Un chantage destiné à obtenir la consommation de ta carne parmi des draps répugnants de souillure à ton esprit. Craquelant cette entrave d'un fiévreux revers, tu le harponnas de tes iris emplis d'une menaçante aura, éveillant ton monstrueux don qui le pétrifia quelques instants.

Laissez-moi passer ou j'appelle la police pour porter plainte pour harcèlement ! Où se trouve votre patron ? Je souhaite m'entretenir avec lui pour avoir des explications sur cette arnaque !  




(c) macaron


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