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Don't put the blame on me

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Don't put the blame on me - Mar 11 Déc - 22:47

Don't put the blame on me

The world was on fire and no one could save me but you. It's strange what desire will make foolish people do. I'd never dreamed that I'd meet somebody like you. And I'd never dreamed that I'd lose somebody like you.


« Par ici, Monsieur ! » Caïn ne savait plus pourquoi il suivait ce garçon dans cette ruelle sombre. Pire, Caïn ne savait plus pourquoi il ne se retournait plus pour vérifier si personne ne le suivait. C’était l’ennui avec la passion du jeune homme. Il se laissait trop souvent emporter par celle-ci. Il réfléchissait souvent trop, certes. Mais la passion l’emportait toujours, la passion pour la justice. Social justice warrior assumé, Caïn chassait la moindre injustice avec une rage inoubliable. Alors, étrangement, il ne s’était pas pré-occupé une seconde de la réputation sinistre de ce quartier chaud. On devait lui donner des informations sur son affaire en cours en échange d’une faible somme. Il avait sauté sur l’occasion. Sans réfléchir.

L’enfant, qui devait avoir neuf ans grand maximum, l’amena – après avoir vérifié qu’il avait bien l’argent – à la planque de sa mère. Caïn trouva la situation étrange, mais il n’avait d’autres choix que de suivre cet enfant. Plus ils sont jeunes, plus il est aisé de faire confiance. Il oublia encore une fois de faire attention à lui, un critère de choix pourtant pour un avocat. Mais quelqu’un avait besoin de son aide, et il s’était promis de faire son maximum. Ainsi, il s’engouffra dans la ruelle. Il y croisa le regard d’un sans-abris assez sévère. Peut-être que Caïn se sentit coupable de revêtir une veste verte plutôt neuve, bien que pas très cher. Peut-être qu’il sentit le même type de jugement que son père avait l’habitude de proférer durant les diners de famille. Les Morningstar ne s’intéressaient qu’à l’argent, et Caïn faisait figure d’exception. Pourtant, dès que Caïn croisa ses yeux souffrant, il comprit.

Il était pourtant trop tard. L’enfant était devenu un adulte menaçant. Accompagné de quelques complices, il pointa un couteau sous la gorge du pauvre avocat. Caïn roula des yeux pour insulter sa propre naïveté, cette pseudo-candeur qui l’amenait encore à rencontrer des ennuies. Il avait envie de se tirer une balle dans la tête pour chasser la naïveté qui en devenait méprisante. Pourtant, le couteau sous la gorge ne l’effrayait pas. Ironiquement, ce n’était pas la première fois. Alors, par réflexe, il repoussa celui-ci et tenta de s’extirper de ce piège en se dirigeant vers l’étroit passage sombre qu’il avait pris pour venir. Lorsqu’il vit la lumière de la salvation s’offrir à lui, il laissa échapper un sourire. Trop rapide. On lui coupa la respiration d’un coup puissant à l’estomac. Au sol, à genoux, il crachait l’air de ses poumons. Puis, au sol, il reçut un coup de pied sur son beau visage, laissant un filet de sang s’en prendre à son visage. A terre, soumis à ce groupe d’individu, il ne lui restait plus qu’à prier.. Puis, fermant les yeux, il entendit seulement la salvation venir à lui.


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Don't put the blame on me - Jeu 13 Déc - 19:38

CAIN + REBECCA
« DON'T PUT THE BLAME ON ME »


L’odeur du sang. C’est ce que je sens en premier. Pourquoi je peux la sentir ? C’est étrange. Cela arrive parfois, mais jamais autant. Et puis c’est comme s’il y avait de la peur. C’est assez étrange. Je ne comprends pas. Les rues semblent bondées, il y a du monde, mais je ne vois personne saigner. Je ne distingue pas le moindre accident. Je ne sais pas, je ne comprends pas. Je continue de marcher, bêtement, je suis l’odeur. Ce n’est peut-être qu’un animal je pense… pourtant, en plus d’un millénaire d’existence, je peux dire que non. Je sais distinguer n’importe quel sang, celui d’un chevreuil, d’une biche, d’un lapin, même d’un renard. Je les reconnais parfaitement pour avoir goûté à la plupart des espèces vivantes sur terre. Enfin dans la mesure du possible. Qui irait goûter du serpent ? Personne, il ne faut pas être né de la dernière pluie. Il nous faut du sang chaud, pour qu’il puisse circuler dans notre corps et nous rendre plus ou moins vivant. C’est un peu près comme ça que j’ai compris que l’on fonctionnait. Nous n’avons pas besoin de beaucoup de sang, mais nous avons besoin de nous recharger régulièrement. Le minimum est d’une semaine, évidemment. Enfin passons. Cela n’explique pas l’odeur de sang. Elle est de plus en plus présente. Je bifurque. Je prends des ruelles, elles sont bien moins passantes. Elles deviennent presque lugubres, je me demande qui aurait voulu s’y réfugier. Pourtant on ne choisit pas toujours les agressions, cette ville est particulièrement violente avec les mafias et il est vrai que tout peu arriver.

C’est là que je le vois. Mon coeur se remet presque à battre. Je ressens un faux battement. Je reste sans voix. Je murmure son prénom. Ethelred… Ethel… Je sais parfaitement que ce n’est pas lui, que ce n’est pas possible. Il est mort depuis des années, j’ai vu son corps. Il est parti à la guerre et il n’est jamais revenu. Son frère a pris le royaume en main… et j’ai dû partir… parce que c’est Ethelred qui m’a fait renaître ,revenir à la vie en monstre. Il me voulait à ses côtés pour toujours. Il n’a fait que me damner à l’errance. Je ne peux pas le blâmer, cela partait d’une bonne intention.

Peu importe. Ce n’est pas lui que j’ai sous les yeux. Je le sais pourtant il lui ressemble. Beaucoup. C’est troublant. J’en oublie presque la scène que j’ai sous les yeux, une scène affreuse. Mon instinct de prédatrice reprend le dessus. Je ferme les yeux mais le self contrôle ne suffit pas toujours. Un grondement résonne dans ma poitrine, l’animal surgit. Vivement je me jette pour les agresseurs sans savoir qui et qui. Mes dents se plantent dans la carotide, le sang gicle, je ne prends pas vraiment de plaisir. Pourtant le sang est chaud, plein d’adrénaline, divin. J’entends un gémissement. Un coup de feu résonne, je sens la balle se loger dans ma poitrine. Je ne sens pas la moindre douleur. Elle est là, c’est tout. Elle me fait perdre du sang. Ce liquide si précieux. Je laisse la première victime, rapidement je me jette sur le deuxième. Il subit le même sort, je profite un peu plus du sang, je commence à le vouloir plus que n’importe quoi. Lui ne survivra pas, je lui brise la nuque. Je ne regrette rien, jamais, on ne peut pas vivre dans la culpabilité, j’ai appris l’occulter. Le dernier prend la fuite. Je le laisse faire. Je laisse tomber le corps mou sur le goudron froid. Le premier tente de se relever, il va mourir, je lui tranchais la carotide, il est en train de se vider de son sang. Je m’essuie la bouche du revers de ma manche, je viens de tâcher mon manteau, je ne suis pas ravie mais tant pis. Je me presse vers l’homme étendu sur le sol. Je m’agenouille pour être à sa hauteur. Il saigne. Je me contrôle. Je ne respire presque plus pour ne pas sentir l’odeur danser sur mes narines de son hémoglobine. « - Vous allez bien ? Ils … Ils ne peuvent plus vous faire de mal... » Je le relève avec force. « - Vous tenez sur vos jambes ? Ma voiture n’est pas loin… vous avez besoin de soins » Plus près, je me rends compte qu’il ne ressemble pas parfaitement à Ethel, pourtant, c’est troublant, très troublant cette ressemblance. Il est beau, un sourire naît sur mon visage. Je caresse presque intimement son visage, je m’approche pour l’embrasser, récolter le sang sur ses lèvres. Je me ressaisie avant de vouloir mordre. Il faudra que je lui fasse oublier toute cette scène. L’hypnose sert à cela…


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Don't put the blame on me - Lun 17 Déc - 23:46

Don't put the blame on me

The world was on fire and no one could save me but you. It's strange what desire will make foolish people do. I'd never dreamed that I'd meet somebody like you. And I'd never dreamed that I'd lose somebody like you.


Le premier coup est brutal. Violent. Agressif. Caïn semble avoir la chance de son ancêtre. C’était un Amérindien bien malheureux. Le coup lui frappe le visage. Et rapidement, il se retrouve au sol. Le sang gicle. Il perd sa respiration. Se battre n’a jamais été son point fort. Il avait frappé une seule personne dans toute sa vie, et il s’était disloqué le poignet. A l’époque, Caïn avait estimé ne pas avoir un talent pour la guerre. Il valait mieux laisser ce domaine à d’autres plus doué que lui. Mais cette fois, Caïn semblait bien démuni. Maudite soit sa curiosité. Il essayait de résister pourtant. Mais rien n’y faisait. Rapidement, il était au sol. Il essaya de se relever, mais un violent coup percuta ses côtes. Il lui sembla cracher toute son énergie. La douleur était insoutenable. Il en fut projeté contre le mur. Il sentit venir un autre coup, et par réflexe il se protégea le visage.

Le coup ne vînt jamais. Étrangement, il fut protégé par quelque chose. Le choc l’empêcha de véritablement regarder quelque chose à la scène qui allait se produire. Il entendit quelques bruits. Et finalement, il essaya de respirer. Il haletait. Il avait vraiment eu peur pour sa vie. Il ôta fatalement le sang qui lui avait éclaboussé le visage. Il observa son sauveur. C’était une belle femme. Il laissa échapper un sourire, avant de tourner sa concentration vers les deux corps. « Vous les avez tué ? Pour me sauver .. » dit-il balbutiant. Il était étonné. Son sens moral semblait lui indiquer pourtant qu’il fallait être désolé de leurs morts. Caïn était ainsi. « Je vais bien » dit-il, doucement en toussotant. Le coup avait fait un dégât, mais sa vie n’était pas en danger.

Il observa la femme qui venait de le sauver. C’était une belle femme, blonde avec des yeux bleues. Nul doute qu’elle avait du succès auprès des hommes. Sa caresse sur son visage fit tressaillir Caïn, mais il ne l’arrêta pas. Comme s’il lui devait quelque chose, il se laissa faire. « Vous m’avez sauvé. Je ne sais comment vous remercier.. » dit-il. Il était hésitant. « J’étais venu ici dans l’espoir d’avoir des informations.. Cette piste est encore un échec. » maugréa t-il, symbole que malgré la douleur, il allait bien. « Puis, il faut appeler la police. » dit-il à nouveau. Décidément, il ne savait que faire. Soudainement, il fut pris d’un vertige qui l’amena à s’asseoir difficilement. En réalité, il se laissa tomber.



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Don't put the blame on me - Mar 18 Déc - 13:58

CAIN + REBECCA
« DON'T PUT THE BLAME ON ME »


Je les ai tués. Presque. L’un d’eux s’est enfuit et un second se vide encore de son sang. Le troisième est effectivement mort sur le coup. J’ai tendance à m’emporter. Peut-être que je devrais faire plus attention mais j’avoue que je n’avais pas envie de me prendre la tête. Ces types sont mauvais, ils étaient en train de battre un homme à terre. J’ai assez vécu pour savoir que s’ils n’avaient pas été mis hors état de nuire, ils recommenceraient. L’Homme est comme cela, il persévère dans ses erreurs et s’enfonce dans la médiocrité. Cependant mon déchainement ne vient pas seulement de l’agression en soit. Il vient de la victime. Vision nocturne parfaite, j’ai vu son visage, j’ai vu les traits qui le caractérisaient. J’ai vu mon défunt époux. Mort il y a des siècles et des siècles. Je sais que cela est possible. La génétique est surprenante. On a tous des sosies partout. Mais il est rare de les croiser, voir presque impossible. Alors tomber sur un potentiel sosie d’une personne que l’on a connu il y a … plus d’une vie… c’est perturbant. Je reste totalement bouleversée. Il lui ressemble tellement. Je ne devrais pas être faible si facilement, cela pourrait me porter préjudice, j’aime le contrôle et là, littéralement, je l’ai perdu.

Je me reprends. Il pourrait parfaitement me trouver monstrueuse. D’ailleurs je suis étonnée que première interaction ne soit pas Comment avez-vous fait pour tuer deux armoires à glace ? Je crois qu’il ne vaut mieux pas qu’il sache. Pourtant, j’ai du sang sur le visage, va-t-il faire le rapprochement ? Il semble un peu sonné, sous le coup de mon acte barbare. Je me flagelle mentalement. Bon sang… qu’est-ce que j’ai fait, dans quoi je me suis fourrée ?

Il me confirme qu’il va bien. J’acquiesce, c’est déjà une bonne chose. Pourtant je ne donnais pas cher de sa peau. « - Je… Oui, c’était eux ou vous… je… Je dois dire que je n’ai pas réfléchi » Je tente un léger sourire, il se veut rassurant mais je comprendrais qu’il parte en courant. Qui ne le ferait pas. Je sens la balle logée dans mon épaule. Elle me gêne, mais je ne vais la retirer sous ses yeux, clairement, je doute que l’idée soit bonne. La perte de sang risque de rapidement m’affaiblir. J’ai des doses à la maison, peut-être que je devrais rentrer, ne pas tarder. L’inconnu m’explique ce qu’il faisait dans une telle ruelle sombre dans un tel quartier. Quelle idée. Un bienfaiteur il faut croire, un humain qui cherche des réponses. C’est l’un des rares j’ai l’impression. « - Ne me remerciez pas, je n’ai fait que ce que je devais faire » Je souris encore. Mais il parle de la police. Je regarde autour de nous. Je grimace, je recule d’un pas. « - Je doute que ce soit une bonne idée… je viens de tuer deux hommes. Et le troisième est en cavale… je ne veux pas trop attirer l’attention sur moi » Je recule encore, prête à bondir s’il se saisit de son portable. « - Vous avez une sacrée blessure à la tête, je… Je suis médecin, je peux peut-être vous soigner ? Cela nous éviterait les hôpitaux… » Est-ce que je propose cela parce qu’il ressemble tant à Ethelred ? Mon manteau est tâché de sang, je suis couverte de sang, j’aimerais éviter d’être vue. « - Je…on va prendre un taxi, venez » Je crois qu’il faut que je me bouscule un peu. Je l’attrape par le droit, s’il proteste, je l’hypnose, c’est peut-être le meilleur moyen, qu’il m’oublie. Même si ce n’est pas tellement ce dont j’ai envie. Cet homme a tout d’un mystère. Il me ramène un millénaire en arrière. On retourne sur l’artère et je siffle un taxi. Je me penche vers le conducteur qui a ouvert sa fenêtre. « - Ne pose pas de question sur le sang et conduis-nous hors de la ville » Je fais entrer l’inconnu dans l’habitacle et je le suis. Je n’ai pas tellement l’habitude de faire cela mais je n’ai pas envie d’avoir un avis de recherche à mon effigie. Il va nous conduire hors de la ville, chez moi, sur la baie. Je lance un regard vers l’homme que je viens de sauver. « - Je n’ai pas l’intention de vous séquestrer, mais j’assure un minimum mes arrières. »



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Don't put the blame on me - Mar 25 Déc - 21:31

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C’est l’histoire d’une agression, d’une violence. Projeté au sol, un genou heurte sa tête bien pensante. Jamais Caïn Morningstar n’aurait jamais pu penser être, un jour, si rudement agressé. Le souvenir s’effacera avec le temps si la fierté ne s’en mêle pas. Au sol, les pensées s’obnubilent, perdent leurs sens. Caïn n’est pas un individu logique. Sa bonté d’âme n’a d’équivalente que la corruption de cette ville. La pauvreté infeste probablement les pauvres créatures qui l’agressent. Au sol, c’est vers eux que se dirige sa première pensée. Unique créature qu’est cet humain bien étrange. Il sourit rarement. Il se refuse à cette volonté agressive. Pourtant, il voit l’agression d’un œil assommé. Il ne comprend pas. Caïn est un spectateur, un étranger dans sa propre vie. Il comprend rarement ce qu’il se passe. Il cherche à s’étirer, à se détendre. Le coup sur la tête est violent. Alors, le corps s’épuise. Il n’arrive pas à se lever, seulement à formuler quelques pensées obscures. Il parle de police. Caïn comprend immédiatement qu’elle refuse cette idée. Il ne peut pas vraiment lui en vouloir. Il est médecin, dit-elle. Pour le moment, l’avocat la croit sur parole. Elle lui a sauvé la vie, il a comme une dette à son égard. Une belle dette, certes ; mais une dette. Il reste silencieux. Elle décide de la marche à suivre. Intérieurement, sans que son corps ne puisse lui dicter la conduite à suivre, Caïn se rebelle. Il déteste l’idée de ne pas décider de sa vie. C’est pourtant l’histoire de celle-ci. Son père, patriarche de la famille, a décidé de ses études, a imposé l’université. Le caractère explosif de Caïn est rapidement rentré en opposition avec les désirs imposés du vieil homme. Fatalement, Caïn a gagné son indépendance. Une belle victoire.

La femme s’impose également. Elle saisit Caïn par le col. Par réflexe, il cherche à la repousser. Sa main glisse le long de la poigne de la jeune femme. Sa blessure, probablement. De toute façon, il n’a jamais excellé dans les sports de combat. Son truc, c’est le débat. Il le sait. Tous le monde le sait. Caïn ne sourit pas. Il ne dit mot. C’est une sorte de consentement. Malgré lui, c’est une forme de décision. Il se laisse donc faire, son esprit en ébullition mais incapable d’agir. Rapidement, il est prostré dans le taxi. Il s’agglutine à l’intérieur, se recroqueville en signe défensif comme un enfant agressé. Il est malmené, encore sous le choc de l’agression. Pourtant, ce n’est pas la première fois. Elle parle d’enlèvement. Caïn l’observe. Il est silencieux. Son esprit lui dicte d’être calme. Peut-être qu’elle songe à le séquestrer au final. Il cherche ce qu’il peut dire. Sa tête saigne abondamment. « Laissez moi partir alors ! » Il marque une pause. « Vous m’avez sauvé, je ne dirais rien à personne ! »

Caïn est plus affecté que prévu. Pourtant, il n’oppose aucune résister. Il ressemble à un individu qui a trop bu, un individu qui ne maîtrise plus trop ses gestes. Malgré lui, elle le domine. Il est incapable de résister. Il est séquestré par cette jeune femme dont il ignore tout, si ce n’est la beauté. Blessé, pourtant Caïn sent un étrange attachement émotionnel – et physique – pour cette sauveuse bien surprenante.



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