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Let's misbehave ♆ Jed

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Let's misbehave ♆ Jed - Dim 24 Fév - 15:38


let's misbehave
FT. JED ϟ CASSIAN

WE'RE ALL ALONE, NO CHAPERONE. CAN GET OUR NUMBER THE WORLD'S IN SLUMBER. THERE'S SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD THAT'S SO CONTAGIOUS. LET'S BE OUTRAGEOUS. 'CAUSE THAT FATAL MOMENT'S COMIN' AT LAST... LET'S MISBEHAVE



Eclats d’aurore aperçu depuis la proue du navire fendant les flots. Il pourrait y avoir du banal à force d’en voir. Dès qu’il le peut quand les autres dorment sous le pont, lui rester au grand air. Pupille braquée sur l’horizon à se laisser brûler par les teintes carmines envahissant le ciel. Jamais pareil, toujours différent. Regarde, on dirait une mer de sang. Oui elle regarde, Selie, sa petite main posée sur celle de son frère. Ses grand yeux verts marbrés d’éclat sanguin, écarquillés à s’abîmer la rétine pour ne rien rater du spectacle. Et ce sourire crève-cœur qui lui bouffe les lèvres. Unique image de la gamine qu’il garde en mémoire, efface celle du petit corps congelé, ces beaux yeux exorbités de panique et la bouche tordu sur un cri silencieux. Figée entre ses bras, à se bousiller les doigts contre la chair avec l’espoir perdu de la voir réagir à la douleur. C’est ses sourires et ses éclats de rire qu’il garde en mémoire depuis le drame, adolescent qui est resté le même dès qu’elle vient graviter dans les rouages fous de sa psyché abîmée. C’est ce qu’il se dit, que ces rencontres chimériques ne sont rien de plus que les retrouvailles de leurs eux passés. Parce qu’elle n’a pas grandi et qu’elle garde cette bouille de gamine en peine entrée dans l’âge ingrat. S’imagine parfois à quoi elle pourrait ressembler aujourd’hui, un canon à l’évidence. Le genre de petite sœur qui lui retournerait les nerfs à tous les attirer dans son sillage et à l’obliger, lui, de faire le ménage parce qu’il les connait, tous ces bâtards et leurs instincts de merde. Lui qui a les même, ces trucs immondes qui retournent le ventre et chavirent les reins.

Tu vas y retourner ?
Evidemment qu’il va y retourner. Pas de réponse, juste son profil qu’il s’obstine à lui servir. Elle hausse les épaules, s’en moque un peu de ce qu’il fait une fois à terre. Mais ça l’embête parce qu’elle ne peut pas venir dans cet endroit sale. S’arrêter sous la lueur écarlate de la lampe accrochée au-dessus de la porte, et attendre gentiment dans la rue nauséeuse que l’ivresse lubrique s’achève. Il va y retourner, en un douloureux besoin qui lui étreint le corps. Empoigne les reins pour en faire des éponges et les voir déverser toute la tension accumulée au fil des heures passées sur les flots. Des jours et des semaines, à toucher du bout des doigts l’illusion de cet autre qui le rend ivre mais qu’il ne possède que dans ses chimères les plus crues. Alors oui, il y retourne, dès les premières heures de la fin du jour. Le bateau accosté en plein après-midi avec les ordres à donner, les dernières choses à vérifier, par habitude et le pied foule de nouveau la terre ferme. Malhabile au début, sur ce sol un peu trop sûr, en manque du roulis calme de l’eau. La peau encore salée aux arômes d’embruns, les mains dans les poches et le regard rivé sur le pavé pour ne pas se vautrer. Il la déteste cette latence étrange qui détruit à chaque retour, déteste aussi cette porte qu’il pousse sans gêne. Antre du vice dans lequel il entre sans sourciller, à se prendre la chaleur en pleine gueule. Le charme insolent de ces courbes qui déambulent entre les corps avachis. Et n’en chercher qu’une du regard, s’autoriser malgré tout à lorgner du côté des autres. C’est vers elle qu’il s’avance Cassian, à se saisir des hanches qu’elle lui offre en lui tournant le dos et l’attirer contre les siennes.

« - Dis-leur que tu es prise pour un moment, je te réserve pour la nuit… » Murmure sensuel contre l’oreille, effleure du bout des lèvres la peau délicate pour embrasser d’envie la gorge qu’elle lui offre. Dirty Cathy dont le seul nom le fait faussement marrer. Sa Jed qu’il s’offre comme une dose de sa meilleure drogue, à s’en foutre qu’un autre ait déjà aligné les billets pour se l’acheter. Elle lui appartient dès le moment où il pose le pied dans ce bordel miteux, c’est tout.

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Let's misbehave ♆ Jed - Mar 26 Fév - 10:42


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FT. JED ϟ CASSIAN

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Journée normale au Red Lantern. Habituée à la chaleur des lieux, elle déambule dans une tenue qu’on qualifierait de fort découverte. Quelques parties de son corps sont encode dissimulées mais la robe qu’elle porte est tout de même sacrément courte et au décolleté carrément plongeant. La noirceur du tissu moiré fait ressortir sa pâleur de teint : ça fait longtemps que le soleil ne s’est pas montré, qu’elle ricane ; trop de temps passé devant la télé (devant l’ordinateur en vrai, pour essayer d’y comprendre quelque chose). On lui a expliqué, lentement, paisiblement, doucement. Dans cet océan d’incompréhension, il y a Irina, la dame brune qui apparemment avait pris soin d’elle et l’avait réparée de nombreuses fois déjà, qui a pris du temps pour lui dévoiler les recoins inconnus d’un monde dont elle ignorait tout. Elle se demande, Jed, si elle serait restée morte si elle n’avait jamais foutu les pieds ici, ou si c’était dans ses veines de toute façon. Difficile de savoir. Difficile de trouver du temps pour vraiment y réfléchir davantage, surtout qu’elle a parfois l’impression de ne pas être elle-même à certains moments. L’esprit de la vêtala en elle, ou sa conscience, sait que ce sont des moments où les morts la visitent, mais la jeune femme s’inquiète de la situation. Va-t-elle complètement perdre les pédales ? Le contrôle de son corps ? De ses souvenirs ?

Déambulant entre les tables du hall d’accueil, elle guette les regards intéressés qui peuvent se poser sur elle. Elle en capte un en particulier, qui a l’éclat lubrique du type qui s’imagine lui faire plein de choses réprimées par les bonnes mœurs. En même temps, vu que la robe s’arrête juste en dessous de ses fesses, qu’on devine si on se concentre un peu, c’est pas très dur d’imaginer les formes réelles de la donzelle. Elle s’approche de la table du potentiel client, se penche vers lui en se cambrant, fesses en arrière, seins en avant, bras croisés sous sa poitrine, pour serrer un peu plus ses loches et concentrer le regard du vicelard dessus. Elle sait y faire, pour sûr. Elle a appris, depuis qu’elle avait 19 ans, à exciter le chaland et à lui donner envie de fourrer ses billets -et autre chose- dans sa culotte. Alors elle fait ce qu’elle maîtrise depuis, toute en sourires et en œillades ourlées.

C’est sans compter sur des mains qui s’emparent de ses hanches et la tirent en arrière, contre le bassin de quelqu’un qui a l’air d’avoir une grosse envie. L’odeur iodée la renseigne avant la voix de celui qui l’a arrachée au type qui les observe avec perplexité. Cassian est de retour et si elle s’en réjouit, une angoisse lui noue soudainement les entrailles à l’idée qu’il sente qu’elle a changé, depuis la dernière fois. Elle est docile, tourne la tête et se tord les vertèbres pour ancrer un instant ses yeux dans ceux du marin revenu à terre. « Et si je faisais payer l’autre abruti pour regarder, t’aimerais pas ça ? » L’autre abruti se sent visé mais pas forcément insulté : il est presque intéressé et commence à sortir son portefeuille, pour payer non pas en cash mais en carte bleue (très très mauvaise idée dans un bordel pareil). Moment où elle se fait chatte ronronnante avant de s’extirper de la prise masculine pour venir miauler aux oreilles du déclassé : « Désolée, chéri. Il faudra trouver quelqu’un d’autre pour ce soir. On vient de me faire une offre que je ne peux refuser. » et les doigts agiles de la prostituée qui viennent caresser la joue du délaissé, déposer un baiser sur le front de ce mec qui pourrait être son oncle, lui collant ouvertement ses seins franchement pas très couverts sur le nez, avant de s’écarter aussi lestement que possible, en toute fluidité, avant qu’il puisse lever les mains pour profiter de ses formes.

Tant qu’ils restent dans le hall, elle affiche le sourire mesquin de son nom de scène. Ils montent à l’étage et pénètrent dans une chambre sur leur gauche, au décor un peu daté, mais à la propreté plutôt évidente. Elle enlève sa perruque blonde qu’elle jette sur un des sièges, et enlève une à une les quelques barrettes qui maintenaient à plat ses mèches brunes. Cascade de boucles brunes et la jeune femme commente, libérée : « On étouffe de chaud là-dessus., avant de revenir à son visiteur pour la nuit, avec un sourire sincère alors qu’elle s’assied sans cérémonie sur le lit, T’as déjà baisé en étant filmé, ou regardé ? c’est assez spécial, mais y en a que ça excite à mort. Tu veux que je retourne chercher le libidineux pour rigoler ? » c’est qu’elle aime lui faire plaisir, à Cassian. Qu’elle s’imagine peut-être qu’un jour il va venir la sortir de cet endroit. Qu’elle se demande si c’est aujourd’hui.

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Let's misbehave ♆ Jed - Mar 5 Mar - 19:40



Pauvre bougre à qui il retire son jouet de l’instant. Poupée blonde à faire chavirer les corps de sa poitrine qu’elle agite sous le nez du bonhomme sans la moindre gêne. A lui arracher un sourire à celui qui s’approprie ses hanches sans demander la permission. Pas besoin, Cassian est en terrain conquis et a l’assurance qu’elle ne le préférera pas à l’autre homme. Air perplexe collé sur la figure qui lui donne un air encore plus stupide que lorsqu’il louchait sur les seins exposés. Hommes et leurs instincts. Lui pareil aux autres qui vient se perdre dans cet endroit qui l’indispose pourtant dès qu’il touche terre. Comme si elle était la seule capable de pouvoir apaiser les tourments qui hurlent sous sa peau. En fermant les yeux lorsqu’il s’abandonne entre les cuisses achetées et offertes, s’imagine parfois les lignes d’un autre corps sous ses doigts. Juste le temps d’un râle fauve et repartir de plus belle, faire se brûler les peaux dans une danse assassine. Petit sourire à l’énigme gravée en bord de lèvres lorsque s’invite la question à laquelle il ne s’attendait pas vraiment. Les doigts qui se serrent plus fort contre le tissu qui recouvre la peau laiteuse, empreintes de ses phalanges dans la chair affable qu’il marque de sa présence. La pupille perdue dans celle de la catin avant de se poser sur l’homme et de l’étudier comme s’il le découvrait. « - Si regarder lui convient, je m’en voudrais de lui faire perdre une belle occasion d’alléger son portefeuille. » Qu’il souffle mutin avant de voir le bonhomme déballer son portefeuille et la carte qui y niche. Mauvaise idée, pas habitué à bien y regarder et ça le fait sourire, de ce rictus à peine marqué sur les lippes franchement moqueur. Mis au placard par la jolie blonde qu’il harponne toujours de ses pognes.

Lorgne le manège à faussement en rire, s’en mordre la lèvre au passage lorsque la poitrine se colle près du museau du pauvre client délaissé, et voilà qu’ils délaissent enfin le hall pour se rendre dans des horizons plus intimes. La petite chambre qu’il connait par cœur pour s’y être échoué tant de fois, ancrant l’habitude dans le fond des tripes. Le récif apaisant vers lequel il revient inlassablement, vague mutine qui s’y écrase sans broncher, dans un soupir ou des râles, dépend de l’humeur. Fatigue ceinturant le corps, à l’évidence comme après chaque sortie en mer, c’est les reins qu’il a en furie cette fois. Douleur en fond de poitrine, celle qui ne disparaît pas vraiment, qui s’apaise seulement pour mieux revenir mutiler toute la carcasse. Retire sa veste comme on le ferait en rentrant chez soi, le marin qui jette un coup d’œil à la catin retirant son artifice de dolly peroxydée. « - Ca attire à ce point, l’effet poupée blonde ? » Simple curiosité, ça l’intrigue un peu, cet amour bizarre pour les faux-semblants et les mirages. Et la question qui le fait ricaner. Léger éclat de rire où perce l’amusement, celui qui vient éclater en étincelles fauves dans les pupilles noires. S’installe à côté de la brunette, et retire ses godasses, l’une après l’autre. « - Une fois, regardé seulement. J’irais pas jusqu’à dire que ça excite à mort, mais, c’est pas totalement déplaisant non plus… » Voyeurisme faussement assumé, pas que ça le gênerait qu’on les reluque, il s’en moquerait très certainement. Pas vraiment partant non plus pour finir sur un écran quelconque, à voir ses exploits se faire dégueuler par des petits cons mal intentionnés. Personnels, et ils vont le rester.

« - Et si je te dis de retourner le chercher, tu le ferais ? » Qu’il chuchote près de la joue rose de la gamine, les doigts se perdant avec douceur dans une mèche, jouant distraitement avec une boucle. Effleure du bout des lèvres la ligne de la mâchoire, pupilles envieuses lovées dans le creux du décolleté. « - Pauvre gars qui devra s’astiquer tout seul pendant que je m’occupe de toi, non c’est cruel de lui faire ça. » Et son autre pogne qui vient se perdre contre le galbe d’un de ses seins qu’elle a si honteusement offert en pâture à l’imbécile du hall. Possessif dans le geste, pression délicatement fauve comme pour marquer son territoire. Se faire le maître du corps qu’il achète et qu’il entend bien redécouvrir jusque dans les confins les plus sombres de la nuit. Parsème la gorge de baisers en caresses brulantes, juste pour la sentir se raidir sous l’injure, les frissons qu’il devine contre sa bouche à y apposer l’esquisse d’un sourire enjôleur. Sirène qui vibre dans le fond de ses entrailles, la séductrice à l’appétit vorace, les griffes qu’elle fait glisser, délaisse la poitrine pour se perdre contre le ventre, froisse la robe d’une curiosité malsaine.

« - Je préfère t’avoir pour moi tout seul cela dit… Pas excitée à mort par ce genre de chose on dirait ? » Main sur la cuisse, l’autre lâche les cheveux et il s’éloigne un peu, à peine, juste de quoi se jeter dans les jolis yeux de Dirty Cathy.

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Let's misbehave ♆ Jed - Lun 29 Avr - 18:12


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La jeune prostituée hausse les épaules quand le marin l’interroge quant à l’utilité de la perruque blonde. Ça a ses avantages, comme ses inconvénients. Au moins, elle peut se balader avec ses vrais cheveux dans Arcadia sans forcément qu’on l’identifie immédiatement comme une des filles du Red Lantern. Les inconvénients, c’est surtout que ça gratte et que ça tient trop chaud. Alors bon, un mal pour un bien, à vrai dire. Et puis peut-être, oui, que ça attire davantage que les brunes, la blondeur. Elle a l’impression de sortir un peu du lot avec les fausses boucles blondes qui s’arrêtent sous le menton, ou plus bas selon ses envies de longueur. De toute façon, personne ne fait vraiment attention à la longueur de ses cheveux quand elle a un sexe dans la bouche, allez savoir pourquoi. Elle observe Cassian se mettre à son aise, avec cette familiarité qui a tué tous les rituels possibles qui s’enchaînent d’habitude dans une chambre de bordel. En quelque sorte, elle est rassurée par l’attitude naturelle du loup de mer et le fixe tandis qu’il retire ses chaussures, pour ricaner quand il émet l’hypothèse de lui dire d’aller chercher le would-be voyeur. Il y a dans la question une formule rhétorique qui signale qu’il n’a aucunement comme projet de la renvoyer chercher le délaissé. Ça la rassure, la gamine qui a toujours considéré que ses parents ne faisaient pas assez attention à elle, en comparaison des autres de la fratrie. Ça la rassure qu’il préfère la garder pour lui tout seul, plutôt que de partager les attributs dénudés avec un autre amateur de chair fraiche.

Et tandis qu’elle voudrait simplement se laisser faire par le client, s’abandonner et profiter de ce répit intellectuel provoqué par deux corps qui s’entrechoquent et rentrent en collision pour fusionner ensuite, elle sent le froid et redoute d’ouvrir les yeux sur un mort ou deux, en train de les regarder s’envoyer en l’air. C’est que ça l’a déjà fait, et que le bordel ne manque pas de décès dans ses murs pour la laisser en paix, la pauvre gamine qui ignore encore tout de ce putain de nouveau monde qu’elle a découvert en frôlant la mort. Le « pas excitée à mort » la fait frissonner, mais pas de plaisir et elle essaie de détourner le visage jusqu’à ce que les yeux de Cassian se plantent dans les siens. Elle déglutit, s’humecte les lèvres, feint un sourire de catin pour amadouer le client. Après tout, s’il ne la sent pas réceptive, rien ne l’empêche d’en chercher une autre plus à sa convenance, le Abernathy. « Si si, bien sûr que si ça me plaît… », qu’elle bredouille avec peu de conviction, avant de s’interrompre et d’inspirer un grand coup. Elle se noie dans les yeux du monstre marin, se racle la gorge et lui présente ses excuses : « Désolée, je pensais à autre chose. » qu’elle commence, l’air piteuse, tout en passant ses bras autour de la nuque du brun, les doigts qui peinent à se perdre dans les cheveux collés par l’air iodé. Elle reprend contenance, les yeux se font plus convaincants et elle sourit doucement pour promettre ce qu’elle n’est pas certaine de pouvoir donner comme assurance : « Excuse-moi, je suis toute à toi. Rien qu’à toi. » Et de presser sa poitrine presque dénudée contre lui, avant de s’écarter, de le lâcher, et puis de s’effeuiller sensuellement pour le rassurer sur ses dispositions. Le corps désormais intégralement nu, elle lui lance une œillade ourlée, enroule une de ses boucles brunes autour d’un index, et fixe son entrejambe, avec une moue boudeuse : « Maintenant, on dirait que ça ne t’intéresse pas du tout., accompagnant le « ça » d’un geste vers son corps et s’approchant du lit pour y saisir un peignoir en soie, l’air de vouloir le passer pour se soustraire à la vue masculine.




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