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catch me if you can ft. aislinn

 :: abandonnés
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catch me if you can ft. aislinn - Lun 18 Fév - 10:55

Insatiable depuis que le monstre vit en elle. Vassili ressent constamment ce sentiment de faim, mêlé à un soupçon de culpabilité. Impossible de trouver du sang pur quand tout ce qui vous entoure est malfamé. Le plasma et l’alcool sont difficiles à digérer mais supportables, tandis que la drogue s’avère être un véritable poison pour une femme qui ne peut pas mourir. Son corps est plus fort et son esprit plus vil. Une sensation qu’elle ne connaît que depuis peu. Cela fait un an déjà qu’elle est morte, ressuscitée comme un phénix qui a cependant perdu de son ardeur. Pourtant la femme est plus belle, plus envoûtante et plus capricieuse avec la vie. Elle ne ressent plus beaucoup de sensations à part la nécessité de toujours trouver une autre âme à dévorer. Sorcière.
Elle a déjà songé à se nourrir tout simplement de ses clients, mais ces derniers sont soit trop miteux, soit trop riches et alors, sont bien plus utiles vivants que morts. Elle essaie de faire la part des choses mais n’y arrive plus ; pas quand le mal lui tiraille l’estomac. Quand s’habituera-t-elle à sa colocataire qui la ronge au fur et à mesure des jours ? Bientôt vass n’existera que sous le nom d’oupyr et alors elle sera ingérable.

Elle a quitté le bordel aujourd’hui, et même les quartiers tourmentés de la bratva. La chasse est ouverte. Vêtue d’une longue cape noire, la veuve traverse les rues pendant des heures, jusqu’à atteindre le boucan des navires. Ses narines s’affolent ; tous ces marins loin de leur famille, tous ces gens qui boivent sur le port leur mélancolie ; elle a envahit les cœurs et les sourires et coule dans les chants qui s’élèvent plus l’eau s’approche. Quitter sa famille pour la faire vivre est un acte de bravoure que lyssanko croit connaître : elle qui a tant sacrifié pour mama et récolter ensuite les cendres d’un départ précipité et inexpliqué. La colère monte en vassili qui pourtant, l’air légèrement désorienté, marche sur les quais et dans les quartiers humides. La brume est toujours présente ici, comme si elle accompagnait la dame dans sa route.
Les gens qu’elle croise se ressemblent : ils sont pressés, ont le pas lourd d’ennui et tuent le temps en bousculant les autres dans une hâte effrénée. Pourtant rien ne les attend à la maison, à part des verres d’alcool.
Beaucoup d’alcool ici oui. l’oupyr peut le sentir ; et ça lui monte à la tête. Les gens se retournent sur le passage de vassi, elle semble tout droit sortie d’une légende pitoyable où l’on se prend d’amitié pour le méchant du film. Sa traîne glisse contre l’eau, ses pas sont légers et maîtrisés. Certains aimeraient la toucher, d’autres, qui sentent la charogne devraient lui dire de foutre le camp.

Le cœur se meurt : aucun sang intact à se mettre sous la dent ; tous ces gens ont l’air de souffrir ou d’avoir des soucis qu’ils évacuent en se détruisant. La créature peut le comprendre, elle qui ne changera plus jamais, son seul réconfort étant ce sentiment de plénitude une fois qu’elle a pris la vie d’un innocent.
Mais où sont-ils ces innocents ?

Sa course se termine dans l’endroit le plus improbable du monde : un pub ou la place la moins fiable pour la jeune femme qui, s’enfonçant entre les tables, se trouve soudain submergée par une saveur inconnue. Elle ne laisse rien paraître ; installe son trône non loin du bar et imagine qu’ils puissent avoir son genre de cocktails.
d’où vient ce parfum ? Il est mystérieux, indescriptible et dangereux : un mélange que vassili affectionne particulièrement.

« - qu’est-ce que je sers à la dame ? » raille une voix avec un accent irlandais à couper au couteau. Elle ne répond pas de suite et balade son regard dans la salle sombre. Elle pose son index tranchant sur la table, ce qui fait reculer le barman. « - martini. » ordonne sèchement la comtesse sans un regard pour l’homme. Sa pupille se dilate enfin lorsqu’elle aperçoit sa proie : une femme aux cheveux de feu qui semble bien connaître l’endroit. Une sorcière blanche qui a mal et qui ne sait pas comment le dissimuler. l’anxiété ajoute une saveur aigre à l’odeur. Après un soupir dégagé entre ses lèvres rouges sang, lyssanko attrape son verre fraîchement servi et roule des hanches jusqu’à la table où la cible se trouve. Sa propre odeur ne doit pas rester inaperçue. Elle glisse contre le siège et fixe la femme des yeux « - le brouillard ne devrait pas couvrir de si beaux visages. »
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poison ivy
Siobhán Kearney
BLAZE : honey.moon ou le chat
CREDITS : all souls (ava) bandersnatch et jenesaispas (aes profil)
FACE : jessica chastain
DOLLARS : 2250
SACRIFICES : 4327
PORTRAIT : catch me if you can ft. aislinn  Tumblr-ofm3vt-Hh9-L1vdr7syo8-250
ANNEES : l'apparence figée dans ses quarante et une années (sept. 78)
CŒUR : doucement réchauffé par le dieu forgeron qui en a relancé la mécanique
RÉINCARNATION : airmed, déesse irlandaise des plantes médicinales ; guérisseuse, empoisonneuse, enchanteresse
TALENT(S) : phytokinésie / contrôle des toxines--par le toucher / connexion végétale / superphysionomie / vérité oculaire
FACTION : an riocht, de retour à la maison
OCCUPATION : ma petite entreprise ne connaît pas la crise ; herboriste - fleuriste - fabricante de cosmétiques - produit des substances divines (propriétaire d'Emerald Garden & l’Élixir) ; supervise la production de nectar à la distillerie
GENÈSE : (primus) stade 7 ; essence retrouvée dans cette vie pour protéger le ventre qui s'arrondit de jour en jour
TALON(S) D'ACHILLE : la tarte au citron - ses enfants - les feux de forêt
JUKEBOX : The Cinematic Orchestra - Arrival of The Birds & Transformation | John Tavener - Funeral Canticle
RUNNING GUN BLUES :
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'Cause I wanna touch you baby, and I wanna feel you too. I wanna see the sunrise on your sins just me and you ; light it up, on the run, let's make love tonight. Make it up, fall in love, try.

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« Spending time with you showed me what I've been missing in my life. I have to thank you for giving me the greatest gift ever. I'm scared but If someone asks me, i think i'll answer that the rest of my life looks like you. » ღ pinterest

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« I know it hurts, it’s hard to breathe sometimes. These nights are long, you’ve lost the will to fight ; your heart’s a bird without the wings to fly. But you are not alone, I’ve been here the whole time singing you a song. I will carry you » ღ pinterest

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S.K.
la cité des mâles veille sur le quartier des lunes ; elles veulent y faire leur place et doivent y bouffer du bitume ; de peines, de vaines, tenaces, elles brillent d'audace ; s'enflamment, un flegme, qui brûle ; si belles. bien plus qu'au soleil.

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ANGER AND TEARS
Is that all that's left us after hating all these years? In a house full of anger and a heart full of tears

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« They say mother earth is breathing with each wave that finds the shore ; her soul rises in the evening for to open twilight's door ; her eyes are the stars in heaven watching o'er us all the while, and her heart it is in Ireland, deep within the Emerald Isle. »

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POISON IVY
They used to call me Poison, like I was Poison Ivy. 'Cause I was filled with poison, but blessed with beauty and rage

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catch me if you can ft. aislinn - Sam 23 Fév - 16:18

This is the End.

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Vassili Lyssanko & Aislinn O’Reilly


Il a peut-être des réponses. Cinquante ans, la barbe grisonnante ; et des yeux clairs d'un bleu à vous transpercer l’âme.
« Je sais qu’il avait souvent recours à vos services ». Elle lui parle à voix basse, mais s’assure malgré tout de se faire entendre. L’herboriste est stoïque, en dépit des vapeurs qui l’indisposent. Elle déteste l’ambiance de ces pubs à cette heure, où ne coulent plus dans les veines des dockers que le whisky et la bière. La fumée qu’elle respire contre sa volonté brûle autant sa gorge que ses prunelles déterminées.

« Alors ? »

Il empeste l’alcool. Elle ne connaît pas l’homme. Jamais croisé auparavant, jamais entr’aperçu, car elle ne fréquente plus le port depuis bien des années. De peur d’y être reconnue, plus simplement parce qu’elle n’y a aucune attache, aucune affinité ; ces bas-fonds ne sont pas pour sa finesse et sa prestance.

« Vous ne voulez rien me dire ? », la déesse insiste face au regard indolent qu’il lui sert. Homme de main de son défunt géniteur, il a l’air tout aussi agréable que lui. A la fois concentré sur ses mots à venir et tout aussi enivré que ses camarades irlandais. Ses lippes restent closes trop longtemps et la fleuriste exhale un soupir agacé. « J’vous ai dit » ; whisky sec à sa bouche, il savoure puis s’arrête. « Ma p’tite dame, j’vais pas inventer des infos pour vous faire plaisir ».
Insupportable comme tous ceux de son espèce, il lui donne des envies de meurtre. Attisées par l’hybris et son esclave, refrénées par la femme qui garde le contrôle.

« Très bien ». Elle ne croit pas qu’il mente. Les paumes posées à plat rebondissent sur le zinc, annonçant l’abandon et son départ. Elle contemple ses gants, l’interrogé qui s’échappe avant elle, et demeure finalement quelques instants supplémentaires. Arrimée à la table en retrait - la même que pour son premier rendez-vous avec Torben, l’herboriste balaye l’assemblée de ses orbes glacées. Des souvenirs remontent par dizaines. Accentuent son mal-être et son irritation. Elle ne sait toujours rien sur la mort de son père, et le voile de tristesse qui l’habille depuis de nombreux mois est tout aussi flagrant que son épuisement et son désespoir.
Pourtant, et en dépit des traits tirés, de son teint cadavérique et de ses joues creusées, elle dénote au coeur du paysage, perle égarée dans la crasse marine.

Elle songe à partir, mais cherche dans la foule d’autres visages qui pourraient potentiellement la renseigner sur ce mystérieux décès qui ne la laisse plus dormir. Croise au passage quelques regards mauvais, parfois concupiscents, qui ne la font plus frémir. L’arme au bout de ses doigts, et la déesse qui a repris ses droits depuis quelques semaines lui ont redonné confiance. A moins qu’elle ne soit devenue qu’insouciante, peut-être même suicidaire...

« Le brouillard ne devrait pas couvrir de si beaux visages ». Elle tourne la tête en direction de la voix, et discerne aussitôt la véritable forme et l’aura, avant même le charme du faciès. Le verre de martini au poing ne fait pas illusion pour l’enchanteresse. Créature de la nuit, oupyr, la prédatrice en chasse s’installe, sans gêne. Et la mâchoire de la divine se serre, de méfiance et de crispation. Elle renvoie son regard à la naissance du front, évitant soigneusement de fixer les prunelles. « J’allais partir. La table est toute à vous » Le timbre est sans appel, mais la curiosité piquée au vif, pourtant. Elles sont dans ce bar deux intruses, tout aussi dangereuses, chacune à leur façon.  
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catch me if you can ft. aislinn - Ven 19 Avr - 23:13

Au regard désabusé de la dame féérique, vassili comprend qu’elle sait que quelque chose se trame. Il ne lui faut pas trois secondes plus tard pour que l’autre tente de filer. D’un réflexe presqu’inhumain elle rattrape la belle du poignet, lui évitant de se prendre un rustre bourré qui passait par là dans le pub de plus en plus bondé. D’un sourire poli et autoritaire, elle reprend son verre en bouche, patientant comme elle le peut avant de passer au diner. En parlant de son repas, lyssanko n’est pas sans goût de luxe : car la beauté qui trône de nouveau en face d’elle est inattendue. En effet, lorsque l’on s’aventure dans ces quartiers embrumés, on ne s’attend certainement pas à croiser la plus belle femme de la ville. Et pourtant c’est le cas. Vass a presque mal au cœur en pensant à ce qu’elle s’apprête à lui faire subir. Enfin : elles prendront toutes les deux un peu de bon temps à un moment ou à un autre durant la soirée.

Vassili n’est, en revanche, pas dupe, et, ayant compris que la douce se trouva bien mal à l’aise de sentir la putréfaction qui se dégage de son intérieur, elle ose un petit rictus assez impoli. « - on ne s’attend pas à trouver une morte et une déesse assises à une table n’est-ce pas ? » surtout lorsque la cadavre oblige l’autre à rester. « - vous n’avez rien à craindre de moi, votre peau qui recouvre et vos os ne sont d’aucun secours à ma faim. » ment la bonne femme qui continue de picorer dans son verre bientôt recouvert de rouge synthétique.

Vass se tourne vers le barman, lui commande deux autres gourmandises du doigt : le tout est de faire rester la proie le plus longtemps possible. Elle lève un sourcil « - vous voyez ce matelot là-bas ? je les aime avec beaucoup de viande, du sang rustre et fort, qui vous pique à la gorge. » chuchote la reine des damnés glissant son doigt contre sa cuissarde.

« - assez parlé de mes appétits. » surenchérit la femme, tenant en haleine, avec une facilité qui trahit une certaine habitude, la rouquine afin qu’elle ne trouve aucun prétexte pour filer d’ici. « - qu’est-ce qu’une dame bien distinguée vient faire à se terrer dans un trou comme celui-là ? » elle observe les miteux et les bandits perdus qui continuent de s’enquiller et de se bousculer, fronçant le nez lorsqu’elle renifle la bagarre arrivée, débutant par des rires aussi gras que maléfiques et par des tapes dans le dos pour finir un poing contre le museau. « - vous cherchez à vous dissimuler ? ou attendiez-vous qu’une blondie vienne vous tenir compagnie alors que vous n’en aviez pas envie ? »

Le sourire lui dévore la face ; le rouge éclate aux yeux à la manière d’une giclée de sang contre un sein blanc. L’immondice ose regarder la grande dans les yeux et lui jouer des politesses pour l’amadouer ; ne pouvant s’empêcher de séduire la luciole d’un coup de jambes croisées car c’est comme cela qu’est vassili et qu’elle restera certainement : besoin de se sentir désirée pour compenser la haine que les gens lui portent. Elle ne cherche pas à être plainte ; résignée et satisfaite de son sort, c’est en consommant ces trésors que la belle reprend courage et se fait justice : et quoi de mieux de s’attaquer à la plus pure des anges ? car elle sent, non pas la divinité frappante de l’illusion, mais plutôt l’intérieur de son corps qui respire la vie et l’éclat de santé ; en d’autres termes, du pain béni pour l’oupyr.

Et pour le moment elle tient la route : mais naturellement c’est sans compter les corniauds qui déjà se foutent sur la gueule pour une histoire de places au bar. Un soupir, un verre terminé d’une traite ; elle est prête à filer, mais attend que l’autre s’en décide la première : il serait bien impoli de presser les invités d’honneur.
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catch me if you can ft. aislinn - Lun 22 Avr - 14:38

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Vassili Lyssanko & Aislinn O’Reilly


Elle se dresse et lui tourne le dos. Glaciale, princesse, sans regard de départ, elle fuit et les pans de son long manteau noir ondulent sous la manoeuvre. Le ton monte au fond du bar, la Nuit sanguinaire vient de l’aborder, l’instinct de l’herboriste lui crie qu’il est l’heure de partir. Pourtant son destin lui refuse le congé.

Juste à temps, les longs doigts gelés de la Dame s’enroulent à son poignet. La force est colossale, elle ne peut pas lutter. Sa course à peine amorcée est stoppée sur le coup. Et les bras chargés de boissons, c’est un irlandais ivre qui choisit ce moment pour frôler sa poitrine. L’oupyr vient de lui éviter la collision.

Alors, la silhouette éthérée dans ce décor s’immobilise. La crinière enflammée renvoie à qui veut bien les voir les reflets des néons allumés. L’émeraude épinglée scintille dans le fauve et les mèches retombées flattent la nuque offerte. Les mouvements entamés soulèvent une brise nouvelle et surtout éphémère qui transporte avec elle le parfum délicat de la future victime. Mugler, un mélange de fraîcheur végétale et de sensualité féline.

« Vous n’avez rien à craindre de moi, votre peau qui recouvre et vos os ne sont d’aucun secours à ma faim ». Elle se retourne enfin et juge, hautaine, la gracieuse créature qui s’impose à sa vue. Venu d’un autre temps, le langage est tout aussi extravagant que l’apparence et les manières. Elle a de la prestance, une élégance provocatrice à laquelle la superbe n’est que rarement confrontée. Si elle doit bien reconnaître la majesté de la mante religieuse, elle n’y demeure pas moins tout à fait insensible.

Et sa mâchoire se crispe ; l’Enchanteresse continue d’éviter le regard affamé, quand l’étau tout autour de son bras se desserre. Elle récupère sa main, et se détache avec violence de l’emprise non souhaitée. Caresse de l’autre la naissance du cuir, s’interrogeant sur les effets de son pouvoir à l’encontre des buveurs de sang. Quelles conséquences si elle trouvait utile de retirer ses gants et d’apposer son derme sur la chair marmoréenne ?

« Vous voyez ce matelot là-bas ? Je les aime avec beaucoup de viande, du sang rustre et fort, qui vous pique à la gorge » ; la déesse ne répond toujours pas. Elle se refuse à détourner son attention car elle soupçonne la ruse ; elle demeure immobile, mal à l’aise, et grimace en accueillant le verre d’alcool. La sirène est vorace, décontractée à l’inverse de sa proie, et elle déroule son monologue avec un flegme qui détonne dans cet endroit. « Je n’attendais personne et je crois que le reste ne vous regarde pas » ; à moins, songe-t-elle, que l’hypnose de la belle soit capable de lui fournir des réponses ? Mauvaise idée, il lui semble, juste après que cette dernière l’ait effleurée.

Quelques dockers ravis de sa présence, il y en a sûrement des dizaines. Beaucoup, libidineux ivrognes, seraient heureux de lui tenir compagnie. Mais la rousse, plus maligne, préfère la lui fausser. Elle profite du vacarme, du bruit des poings sur la carne, et des regards braqués vers la bagarre pour enfin décamper. D’un geste, habile, elle s’empare du cocktail et le déverse sur la table, inonde ainsi les parures de la Dame.
Et s’empresse, furie, le coeur battant la chamade, de regagner la sortie.

Dehors, la brume hivernale a envahi le port. L’air qu’elle respire empeste la bière, les égouts et l’urine. Ses talons claquent sur les pavés dégoûtants et la divine détale en direction de sa voiture. Rattrapée par les ombres.
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catch me if you can ft. aislinn - Mer 29 Mai - 18:27

Jadis, lorsqu’elle naquit oupyr et découvrit ce corps déjà bien développé, la faim ne cessait de s’emparer de la belle. Elle attendait ses victimes au coin de la rue et, comme droguée, se jetait sur elles suçotant leur cou giclant de cette potion maléfique. C’était sauvage, sans classe, sans mise en scène, ni même formule de politesse. Le tout était gouverné par ce besoin féroce de se nourrir et de retrouver sa vitalité. Vassili s’était regardée dans le miroir lorsque l’appétit tiraillait ses entrailles, elle paraissait plus petite, plus maigre et sa peau inchangée alors, semblait avoir pris dix ans en un claquement de doigts. Elle ne se connaissait pas, mais se haïssait de cet aspect fantomatique qui l’envahissait au fil des jours. Plus de rose sur les joues, de rouges sur les lèvres, les ongles se brisaient en deux, les cheveux tombaient par poignet dès lors que le supplice s’attardait. Ses premières victimes furent des enfants, faciles à amadouer mais moins à attraper car plus imprévisibles : et lorsque l’on manque de forces, la partie de cache-cache est moyennement appréciée.
Les choses furent bien différentes quand l’oupyr accepta sa condition dont l’origine lui était totalement inconnue. Elle se mit nourrir alors un certain respect entre elle et sa proie ; pompant l’idée noble et cruelle d’accepter en offrande le corps de celles et ceux qui acceptent leur destin. Une chaire si divine que lyssanko offrit à ses anges certains tributs qu’ils refusaient difficilement. Elle les aime – disait-elle lorsque le manque de précision se faisait sentir ; et elle le leur rendait de la manière la plus naturelle et la plus propre possible : en les dévorant.
Instant de douceur qui se vit dans des draps ou entre des bras, quelques mots échangés qui apaisent les tourments et les voilà s’offrant au monstre qui pique leur chaire de sa lame faisant s’enfuir par grandes giclés le nectar qui recouvrait bientôt le corps entier de la belle.
Les meilleures portées avaient droit à une place dans une de ses bouteilles en cristal que vassi conservait précieusement sur des plateaux d’argent qu’elle proposait parfois sans vergogne à des invités qui n’assumaient pas encore totalement leur condition prônant l’éternel satisfaction et plaisir que ce liquide est capable de procurer lorsqu’il glisse dans le gosier des malheureux.

Quand elle voit la rouquine s’enfuir sans un mot pour sa comparse qui pourtant, avait été bien plus que correcte, et qu’elle constate les dégâts sur sa traine hivernale mouillant dans l’alcool ; l’oupyr perd instantanément ce sourire narquois, manquant de gronder et d’envoyer cette auberge misérable valdinguer dans tous les sens ; un véritable carnage en somme, injustifié mais terriblement tentant. La prostituée y renonce, se lève et, semblant glisser sur le sol, trouve aussitôt la sortie au milieu des fracas de ce lieu de beuverie.
L’odeur honnête et pure de la garce emplit les narines, de la créature qui soupire de satisfaction. Elle passe au travers des ruelles, guidée dans sa course par la faim et surtout la contrariété jusqu’à ce qu’elle tombe nez à nez sur une place embrumée et déserte. Vassili fixe un véhicule stationné là, un peu en pagaille ; sûrement que la rousse s’était hâtée dans son créneau.

La voilà qui arrive justement, toujours aussi pressée, et bientôt enfermée par la gorge entre la main habile de lyssanko défiant volontairement cette déesse, les yeux noircis par la faim. Elle serre son emprise encore une fois, agitant la tête, désapprobatrice. « - allons. Ce n’est pas très poli de fausser compagnie de cette façon, surtout venant d’une créature céleste comme vous. » ; « - vous m’avez contrarié madame, et si la manière douce ne vous convient pas, alors forçons un peu les choses, voulez-vous. » ajoutons à cela que l’autre a abimé volontairement la coiffe de la reine des damnés et en un croc la biche disparait.
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PORTRAIT : catch me if you can ft. aislinn  Tumblr-ofm3vt-Hh9-L1vdr7syo8-250
ANNEES : l'apparence figée dans ses quarante et une années (sept. 78)
CŒUR : doucement réchauffé par le dieu forgeron qui en a relancé la mécanique
RÉINCARNATION : airmed, déesse irlandaise des plantes médicinales ; guérisseuse, empoisonneuse, enchanteresse
TALENT(S) : phytokinésie / contrôle des toxines--par le toucher / connexion végétale / superphysionomie / vérité oculaire
FACTION : an riocht, de retour à la maison
OCCUPATION : ma petite entreprise ne connaît pas la crise ; herboriste - fleuriste - fabricante de cosmétiques - produit des substances divines (propriétaire d'Emerald Garden & l’Élixir) ; supervise la production de nectar à la distillerie
GENÈSE : (primus) stade 7 ; essence retrouvée dans cette vie pour protéger le ventre qui s'arrondit de jour en jour
TALON(S) D'ACHILLE : la tarte au citron - ses enfants - les feux de forêt
JUKEBOX : The Cinematic Orchestra - Arrival of The Birds & Transformation | John Tavener - Funeral Canticle
RUNNING GUN BLUES :
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'Cause I wanna touch you baby, and I wanna feel you too. I wanna see the sunrise on your sins just me and you ; light it up, on the run, let's make love tonight. Make it up, fall in love, try.

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« Spending time with you showed me what I've been missing in my life. I have to thank you for giving me the greatest gift ever. I'm scared but If someone asks me, i think i'll answer that the rest of my life looks like you. » ღ pinterest

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« I know it hurts, it’s hard to breathe sometimes. These nights are long, you’ve lost the will to fight ; your heart’s a bird without the wings to fly. But you are not alone, I’ve been here the whole time singing you a song. I will carry you » ღ pinterest

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S.K.
la cité des mâles veille sur le quartier des lunes ; elles veulent y faire leur place et doivent y bouffer du bitume ; de peines, de vaines, tenaces, elles brillent d'audace ; s'enflamment, un flegme, qui brûle ; si belles. bien plus qu'au soleil.

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ANGER AND TEARS
Is that all that's left us after hating all these years? In a house full of anger and a heart full of tears

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« They say mother earth is breathing with each wave that finds the shore ; her soul rises in the evening for to open twilight's door ; her eyes are the stars in heaven watching o'er us all the while, and her heart it is in Ireland, deep within the Emerald Isle. »

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[size=8]Help me out here. All my words are falling short and there's so much I want to say. Please forgive me ღ kearney-killough


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POISON IVY
They used to call me Poison, like I was Poison Ivy. 'Cause I was filled with poison, but blessed with beauty and rage

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EMERALD GARDEN


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catch me if you can ft. aislinn - Jeu 30 Mai - 17:06

This is the End.

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Vassili Lyssanko & Aislinn O’Reilly


Dans la nuit pourtant noire, les éléments s’agitent comme témoins de la scène. Une bourrasque sauvage emporte avec elle les embruns des eaux sales et le sel et la crasse caressent le visage émacié. La rousse essuie ses traits du revers de la main et en profite pour écarter les mèches qui encombrent sa vue. Son corps entier se presse en direction des ruelles éclairées mais les ténèbres dévorent ses talons jusqu’à la rattraper. Un courant d’air glacé s’immisce entre les couches de vêtements et dévale ses vertèbres. Morte, l’impasse où l’attend sa voiture lui semble impossible à atteindre. Au frisson qui lui mord l’échine, la Belladone cherche en dernier recours une présence, une silhouette, comme si une carcasse humaine pouvait s’ériger en rempart entre elle et la bête sanguinaire. Mais le port est désert. Tous les marins et membres du Royaume s’enivrent dans les bars tandis qu’elle cherche à fuir la Mort. Les éclats de rire et de voix s’éloignent à chacun de ses pas et hurler lui semble aussi théâtral qu’inutile. Dans la pénombre, cette chasse qui s’éternise lui rappelle son passage à tabac sous les néons criards du quartier mexicain. Les souvenirs rapportent la douleur et la panique incontrôlable qui la paralyse. Immobile, plus que jamais proie facile, l’Enchanteresse ferme les yeux un instant. Elle respire, contient la peur qui s’étend et balaie le décor du regard. Pas de verdure pour l’aider quand ça tournera mal. A ce constat elle dévie sa trajectoire et repart à l’opposé. Ses mains se découvrent avec précipitation et l’un des gants est semé sur le sol dans sa course.

Trop tard. La poigne retient la silhouette qui pourtant croit encore avancer. Sa nuque bascule vers l’arrière au contact des doigts glacés de la Sorcière, et la déesse se débat. En position de faiblesse, elle peut sentir l’étau qui se resserre et son souffle de vie la quitter. Sa gorge emprisonnée, elle étouffe et les mots murmurés sonnent déjà presque comme les derniers à ses oreilles.

Inconsciemment, quelque chose la retient de lutter. Le désespoir, peut-être. Le fardeau éternel des pertes accumulées. Ses amours balayées, sa famille décimée. Ses projets avortés... La rousse traîne ses prunelles révulsées en direction de la Dame qui s’est tournée pour lui faire face. L’étreinte la brûle encore, et pourtant, même si ça doit lui sauver la vie, elle refuse de jouer. Refuse de s’attendrir, refuse de lui céder. Partir ce soir, peut-être, mais sous ces crocs arrogants et diablement aiguisés ? Elle peut les voir scintillant sous les lumières faiblardes entre les lippes étirées. Pourraient-ils vraiment déchirer et lui permettre d’aspirer la sève jusqu’à laisser son corps exsangue ? Ses yeux se ferment pour éviter toujours de croiser les pupilles qui ensorcellent, et les ongles jusqu’alors plantés dans les avant-bras de la blonde relâchent peu à peu leur emprise. C’est étrange elle se dit, comme la fin peut sonner à votre porte après toutes les épreuves traversées.  

Malgré tout, les phalanges refermées autour des bras puissants de la buveuse de sang s’allongent et remontent jusqu’aux mains dénudées. Celles-là même qui s’agrippent à sa gorge pour mieux l’étrangler, la privent de voix, de forces et rendent ses tentatives d’évasion aussi ridicules que vaines. Les empreintes glissent sur les tissus précieux et rêvent d’atteindre la peau plus pâle encore que la sienne. Dans un dernier élan, poussée par l’entité qu’elle abrite et par sa fierté maladive qui s’en voudrait de se laisser saigner entre les pubs et les cargos du port, elle avise un mouvement défensif.

Sa paume a juste le temps de frôler le derme qui la tient captive, avant d'être violemment repoussée. La divine est freinée et le geste stoppé juste à temps, comme si ses intentions avaient été devinées...



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