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Me and my head high And my tears dry

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Me and my head high And my tears dry - Mar 26 Fév - 21:32


Me and my head high
And my tears dry
Soren & Annalisa

Effluves obscènes dans le lieu de tous les vices. Ça aurait pu être un retour en arrière en partant du principe qu'elle se faisait payer. Pas ce soir. Elle ne l'a fait que parce que ça fait du bien et qu'elle avait besoin de sentir son corps porté au bord de la falaise, vibrer sous la passion. «  Je peux t'apporter beaucoup de plaisir si tu restes gentil » l'annonce glissée au creux de l'oreille de l'amant, et quelques minutes après elle ressentait ses lèvres chatouiller sa nuque. Ce n'était pas un retour en arrière, c'était un avant goût de liberté sous le nez de la Bratva. Einar n'est pas à la maison, il n'y est jamais, les enfants sont gardés et elle a fui, pour les épargner de la vision de tristesse. Einar elle pensait qu'il l'aimait, Einar elle l'aime à s'en damner mais pour lui elle n'est que la parfaite naïve au foyer sont il use et abuse à sa guise. La princesse dans sa tour et la chute depuis sa fenêtre a été rude lorsqu'elle a rencontré le monde réel. Et le besoin s'est fait sentir de s'éloigner, de se cacher, pour réfléchir. Dans ses anciens démons l'alcool vite a trempé ses lèvres. Et il était là lui, cet ours polaire, ce loup, à la dévisager autant qu'elle le dévisageait. Elle ne sait pas son prénom, et pourtant il lui a permis de se sentir femme de nouveau, reprenant ses facettes sauvages et sensuelles contrastant que trop bien avec son aura douce et discrète. Une, peut être deux fois. Deux fois où son âme s'est détachée de son corps dans un orgasme, deux fois sa respiration s'est coupée et confondue dans ses plaintes désireuses. Tantôt dominant sa puissante silhouette, tantôt protégée au creux de ses bras ; elle a aimé Anna et cela se voit sur son visage, cela se lit dans ses yeux brillants, presque émue d'avoir osé. Ses longues mèches rousses se perdent entre les draps, son dos brûlant y repose et elle recouvre le bas de son corps dénudé de la couverture.

« Une chance qu'il y avait une chambre de libre. » Un sourire taquin, elle tourne le visage vers celui de son amant du soir, s'il avait été un client elle lui aurait supplié de revenir, à n'en point douter. Il est bel homme, et il a su lui donner du plaisir comme elle n'en a pas eu depuis longtemps. Après cinq grossesses elle avait cru avoir un problème, et en fait non, le problème était sa vie, le manque de sincérité de ses partenaires. Ses doigts viennent glisser sur ce torse d'arabesques redessine ses muscles tendus par l'effort et remontent jusqu'à ses lèvres qu'elle redessine du pouce, détaille du regard. Elle aurait presque envie de lui faire confiance, de lui demander de la sauver de l'enfer duquel elle n'arrive toujours pas à sortir – Pas si vite, Anna, pas si vite. Quand il l'a vue elle état terne et triste, il lui a redonné ses couleurs, sur ses joues, sur ses lèvres, sur l'ensemble de son corps et sa peau laiteuse. Un silence passe, leurs respirations seules le couvre d'un voile apaisant ; il est peut être trois ou quatre heures du matin, qui s'en soucie ? Annalisa ne désire pas couper ce moment, désire profiter d'être en la présence de quelqu'un qui lui veut du bien et même si cela n'est qu'une apparence, même si ce n'est que pour se la faire, ses intentions envers elle sont dénuées de mauvaises choses pour sûr. Le myocarde se calme dans le creux de la poitrine, elle en profite car elle se souvient soudainement de quelque chose «  Ho er søt, einsemdi, so lenge vegen attende til dei hine er open.For du skin ikkje for deg sjølv. » Norvégien hein ? Elle le parle un peu, elle connaît surtout ce poème là qu'elle a toujours aimé. Un petit amusé moque les mots qu'elle prononce malgré elle dans sa langue natale pourtant pas loin du Norvégien. Annalisa relâche les lèvres chaudes de son amant et vient se redresser, assise sur le lit, pose son dos contre le mur et replace ses cheveux interminables d'un geste avant de revenir caresser sa peau  «  Tu restes avec moi? Pour les quelques heures qu'il reste...» une proposition, mais plus une demande, une requête.

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Me and my head high And my tears dry - Mer 27 Fév - 10:44


me and my head high and my tears dry
soren & annalisa

« Ho er søt, einsemdi, so lenge vegen attende til dei hine er open. For du skin ikkje for deg sjølv »
Bordel miteux et pourtant réputé. Quasiment le premier endroit dont on lui a parlé lors de son arrivée en ville. Il avait vu le sourire d’Isak. Ils savaient tous deux, que ce serait un lieu de rendez-vous hebdomadaire. Les frangins Jørgensen, pas un pour rattraper l’autre.
Il n,’avait pas fallu longtemps pour avoir une fille qui se présente. Pas l’une de celles qu’il imaginait. Pas une prostituée. Plus maintenant, de ce qu’elle en avait dit. Juste une jolie fleure en manque d’attention. Quelques mots échangés, et une proposition qui avait fait sourire l’ancien militaire. Y’a es habitudes qui se perdent pas, des choses qui s’oublient pas. La différence, c’est que la belle rousse n’était pas là pour le fric. Juste pour un éphémère moment de complicité, pour du plaisir partagé. Rien de mécanique ou de simulé.
Les corps qui se rencontrent, les coups de rein qui s’enchainent. Respiration irrégulière qui s’accorde pourtant parfaitement à la sienne. Elle gémit, et ça le grise un peu plus. Les cuisses quis e referment sur ses hanches, et un mouvement de bassin qui se fait plus incisif. Corps qui se cambre, cri de jouissance qui envahit la pièce. Douce mélodie qui berce ses oreilles et enflamme le bas ventre. Chorégraphie répétée, et rôles inversés. Se fait finalement amazone pour reprendre le contrôle. Le blond qui laisse volontiers les rênes, avec un sourire d’abruti sur les lippes. C’est ça son élément. Ca, et les règlements de compte trop sanglants.
Les corps qui s’écroulent, luisants, moites. Léger et pourtant lourd. Palpitant qui est encore excité et les muscles sont tendus sous l’effort. Jette un bref coup d’œil à l’amante d’un soir. Adorable visage de poupon épuisée. Peau laiteuse, qui semblerait immaculée. Contraste saisissant avec la chevelure de feu. Elle a presque l’air de sortir d’une autre époque.  « Une chance qu'il y avait une chambre de libre. » il hausse les épaules, sourit. « J’aurais pu en mettre un ou deux dehors. » peut-être pas. Mais pas sûr qu’il aurait eu la patience d’attendre. Bien envie de balancer que c’était le destin, mais il croit pas à ses conneries. Il l’observe, elle et sa peau diaphane, légèrement rougit. Ca donnerait presque envie de recommencer, après une pause bien méritée. «  Ho er søt, einsemdi, so lenge vegen attende til dei hine er open.For du skin ikkje for deg sjølv. » il se met à rire, soren. Un rire franc et sincèrement amusé. « D’accord, j’apprécie l’effort. Mais toi, t’es pas norvégienne. » les joues qui se creusent, les fossettes qui se dessinent sous l’amusement. « Amoureuse de la poésie norvégienne ? » Sans doute avait-elle reconnu l’accent, sur certains de ses mots. Il faut être scandinave pour en déceler les nuances. Au moins y avoir vécu quelques années. Danemark, Suède, Finlande, Islande… Forcément l’un de ceux-là. Mais la norvège, certainement pas, il y mettrait sa main à couper. « Og livet vert ein draum – ei geil som bjenkjer mot venleikshimlar som vår jordskuld krenkjer » sourire amusé sur le coin des lippes alors qu’il embrasse le pouce qu’elle y fait glisser. Tourne légèrement, sur le côté pour mieux l’observer. Drôle de phénomène. Jolie rousse qui avait visiblement ses habitudes ici. Bordel douteux quitté pour une vie sans doute plus normale, et pourtant, voilà qui retombe dans ses travers pour un foutu sourire. Vie pas si rose ? Y’a que ça qu’il voit. Sans doute pas la nostalgie des chambres. Propreté indéniable, mais le reste… Pas de quoi s’attacher. «  Tu restes avec moi? Pour les quelques heures qu'il reste...» Se redresse à son tour, s’assoit, le dos appuyé contre le mur, les jambes allongées. Il tourne la tête, l’obsrve, et l’attrape sans plus de cérémonie. Vient ‘asseoir sur ses cuisses. Ramène le droit autour de ses hanches, à peine. Plus pour elle que pour lui. Y’a rie qu’il ne vient pas d’embrasser et de dévorer. Le mercenaire redessine ses courbes avec une douceur surprenante, tête légèrement penchée comme s’il évaluait sa proposition. « J’imagine qu’il y a pire pour passer le temps. » sourire amusé qui s’installe un peu plus alors qu’il la taquine. « Pas pressée de rentrer ? » Agrippe ses hanches, vient la coller un peu plus fermement. Dans cette position, et vue sa taille, elle le domine, alors la tête légèrement levée, il la regarde, tenter de percer le mystère. « Qu’est ce qui te pousserait à rester avec un mec dont t’ignores tout plutôt, que retourner à ta vie, après deux orgasmes gratuits ? » il la taquine, mais il se doute que la réponse est plus sérieuse que ses blagues foireuses. Elle est même pas obligée de répondre. Elle peut bien lui balancer un bobard. Après tout, qu’est-ce qu’il en saurait ?




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Me and my head high And my tears dry - Mer 27 Fév - 17:40


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Soren & Annalisa


Les quelques mots adressés en Norvégien le font réagir, bien entendu elle sait qu'elle n'a pas une prononciation parfaite et le reconnait abdique d'un hochement de la tête « Je suis Islandaise. » Elle avoue, avant de se pincer les lèvres, parfois elle a tendance à oublier d'où elle vient, tant elle a été privée de sa liberté, tant elle s'est sentie enfermée. Elle a l'impression d'être prise dans une marée de pétrole sur les rives d'Arcadia, polluée, sale, collée. « J'ai appris à l'école un peu je me souviens surtout des poésies qu'on étudiait » et sans plus attendre il embraye sur un autre poème dont elle se souvient des phonétiques mais se voit incapable de tout retraduire malgré la sensible similitude de leurs deux langues maternelles. Elle apprécie entendre une langue scandinave de la bouche d'une autre personne, d'un inconnu, ça le rend d'autant plus intriguant. Elle a envie de tout savoir sur lui, comme ça, s'en faire un nouvel allié.

Le rire passe ses lèvres quand elle est attirée contre lui, il l'enserre et elle ne se fait pas prier pour revenir s'asseoir sur ses cuisses. Tous les deux nus, sans plus de pudeur, elle y trouve son confort en venant passer son bras à ses épaules, se maintenir collée à lui. Il accepte subtilement sa proposition pendant que sa curiosité s'occupe de se demander pourquoi est ce qu'elle veut rester ici. Ici à vrai dire, ou n'importe où pour le moment, elle ne peut pas rester avec ses enfants en se sentant aussi faible, aussi démunie, pour eux elle doit rester forte - Ce soir elle n'y arrive pas. A défaut d'avoir confiance en elle, Annalisa est parvenue à trouver un réconfort noyé dans les hormones et blottie dans la chaleur des bras de son amant. Les caresses qu'il glisse à sa peau la font frissoner, elle l'imite, quand la pulpe de ses doigts passent entre les mèches blondes, masse la nuque à même les racines. Les gestes et les regards se cherchent, la complicité entre eux a été bien assez rapide. Suffisamment pour qu'il vienne la taquiner; deux orgasmes gratuits. Annalisa s'en mord les lèvres, les joues s'empourprent un peu plus sous les tâches de rousseur. Qu'est ce qui la retient ici ? Pourquoi ne peut elle pas s'en aller? C'est... Compliqué. « Un troisième et un quatrième, sans aucun doute!» Un rire s'en suit, elle rentre dans son jeu, elle pourrait tout à fait recommencer, juste pour le bien être que ça procure et parce que son compagnon du soir est terriblement séduisant.

Après les rires le silence la recouvre, elle concentre son regard sur ces mèches dorées qu'elle entortille autour de ses doigts, pensive. « Je suis bien là, je suis libre, chez moi je le suis moins. » Son coeur se serre, décousu, brisé dans la journée quand elle a découvert que son histiore avec Einar n'était rien que de la mise en scène pour lui et qu'il la manipule habilement pour petit à petit la priver de tout en lui faisant croire à une pseudo confiance, obtenir son consentement afin qu'elle se sente suffisamment à l'aise pour lui faire des enfants. Mais elle a découvert qu'il prévoit déjà la formation de Cyrus à la Bratva en tant que Torpedo; il l'enverrait vivre cette vie qui n'a rien de sain, si jeune. Et après ? Oh après parait il qu'elle devra mourir.

Et son bel amant est venu là comme un anti dépresseur, un moyen de se recentrer, peut être qu'il pourrait l'aider ? « Mon mari sait pas y faire, mais toi...» Elle se referme manque de dire qu'il lui a brisé lâme, hésitante sur les aveux, ne sait on jamais s'il fait parti de la Bratva sans qu'elle ne le sache.  Les derniers mots ont été prononcés comme ayant lessivé toute tristesse dans le regard, soudainement plus pétillants en détaillant l'azur de ses iris.  Annalisa glisse son nez dans son cou, respire le parfum masculin de son épiderme. « Tu viens souvent au Red Lantern ? Il y a d'autres établissements moins miteux a Arcadia ! Je pourrais t'y emmener si tu veux» elle saura très vite s'il est de la bratva

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Me and my head high And my tears dry - Dim 10 Mar - 21:52


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soren & annalisa

« Ho er søt, einsemdi, so lenge vegen attende til dei hine er open. For du skin ikkje for deg sjølv »
Norvégien plus qu’acceptable, plutôt bon même, mais avec une prononciation qui ne laissait pas de place au doute pour un scandinave. La jolie russe n’était pas de sa terre natale. Peut-être pas bien loin, mais pas de la sienne, et il s’en amusait. « Je suis Islandaise. J'ai appris à l'école un peu je me souviens surtout des poésies qu'on étudiait » « Je dois admettre que ce dont j’me souviens de l’école s’arrête à peu près…. Là. » Soren avait toujours été plus du genre débrouillard que la tête dans les bouquins. Une intelligence plus manuelle, plus pratique. Moins de théorie, juste l’école de la vie. Il ne saurait sans doute pas se débrouiller face à une équation à triple intégrale, mais il saurait se démerder dans la vie sauvage. Il saurait réparer ce qu’il lui tombe sous la main, et se dépatouiller.

La môme ramené sur ses cuisses, sa peau nue contre la sienne. Poupée de porcelaine à la crinière aussi incandescente qu’envoutante. Proposition acceptée, après tout, pourquoi pas. Il dit rarement non pour passer un moment avec une jolie fille, bien qu’il évite parfois de s’éterniser. Le tête à tête du petit-déjeuner peut parfois se trouver être embarrassant. Aujourd’hui, rien de tel. Une simple conversation qui se poursuit, peut-être même un prochain round. L’idée le fait sourire. Définitivement pas contre l’idée. Et la sincérité qui émanait de sa voix la peut-être bien réellement interpellé. Les joues qui se colorent adorablement et il ne peut s’empêcher de sourire alors qu’elle élude la question. « Un troisième et un quatrième, sans aucun doute!» C’est pas grave. Après tout, il ne se connaisse pas. Pas obligée de lui raconter les secrets de sa vie, ou ce qui la pousse à rester sur lui. C’est pas comme s’il avait une véritable raison que de s’éterniser dans cette chambre de bordel. « Y’en aura peut-être d’autres. » sourire charmeur, sûr de lui. C’est rarement différent.

« Je suis bien là, je suis libre, chez moi je le suis moins. » le ton plus sérieux, malgré la voix lointaine, un peu pensive. Le norvégien la laisse entortillée ses mèches blondes qui commencent à devenir trop longue. « Prends-la, ta liberté. » balance ça comme si c’était la chose la plus simple à faire. Après tout, qu’est-ce qu’il en sait ? Ne connait rien de sa situation ou de ce qui la retient. Elle pourrait avoir un père abusif, une situation de chantage quelconque, un mari, des mômes, ou quelque chose d’encore plus compliqué. Elle semble ailleurs, alors d’un geste plutôt doux, du bout des doigts, il relève son menton. « Mon mari sait pas y faire, mais toi...» il hoche de la tête. « On a tous nos domaines de prédilection. Mariée, donc. » pas que ça ne change grand-chose pour lui. Répond avec l’humour face à cette révélation. En réalité, il ne sait pas quoi dire d’autre. Peut-être trop tôt pour poser d’autres questions. Et en même temps, si ce n’est pas maintenant, quand ? Le bout de son nez qui vient lui chatouiller le cou. Laisse doucement sa tête retomber en arrière, lui laisser le loisir d’y faire ce qu’elle veut. « Tu viens souvent au Red Lantern ? Il y a d'autres établissements moins miteux a Arcadia ! Je pourrais t'y emmener si tu veux » Il se met à rire et redresse la tête. « T’es en train de me dire qu’il y a de meilleurs bordels ? » à son tour de glisser ses doigts dans la chevelure rousse, à la naissance de son crâne. Laisse ses lèvres frôler la peau de son cou, les lippes étirées. « Tu es étonnante. » ou peut-être ne s’agissait-il que de lieux plus convenables, plus…. Conventionnels. « J’suis arrivée il y a peu, avec mon frère. Frère jumeau. Évite de te tromper. » connerie de plus, balancée avec amusement. Ils sont bien difficiles à reconnaitre au premier coup d’œil. Un physique quasi identique, mais des attitudes qui diffèrent. « Tu pourras m’faire visiter la ville si tu veux. » dépose un baiser dans son cou en resserrant la prise sur ses hanches, le bassin plus pressant. « si t’es assez libre. » il n’oublie la présence ombrageuse du mari qui pourrait voir ça d’un mauvais œil –à raison- de voir sa poupée islandaise faire découvrir la ville au tout nouvel arrivant.


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Me and my head high And my tears dry - Dim 10 Mar - 23:16


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Soren & Annalisa


Son amant se prend au jeux des caresses, il lui laisse la place, la tête en arrière et elle en profite pour embrasser la peau de son cou, vient se coller contre lui. Elle ne l'a jamais vu dans le coin et les quelques questions curieuses qu'elle lui pose trouvent rapidement réponse. Annalisa étire alors un sourire - nouveau venu hein ?  De la viande fraîche pour la Bratva si par malheur il prend trop ses aises dans cet endroit. Elle le sait, tout le monde peut y passer, ils ont des techniques de recrutement bien à eux, tout aussi saines que malsaines. Mais cela rassure Anna de constater qu'elle partage sa soirée en terrain neutre, un vent de fraîcheur, du nouveau pour elle qui est quotidiennement le nez dans la Bratva par le biais de son mari. Elle se laisse un peu plus aller contre lui, ses bras entourant ses épaules, le menton se redresse et lui laisse toute la place qu'il veut pour embrasser son cou à son tour. Annalisa soupire doucement, chacun de ses baisers laisse une trace fantomatique sur sa peau réchauffée déjà par leurs ébats. Effectivement si elle était assez libre elle pourrait lui faire visiter la ville, il y a des endroits où on ne doit pourtant pas la voir sous peine d'être suspectée de trahison.

Et là encore elle réalise qu'elle n'est pas plus libre en étant mariée hors du Red Lantern qu'à bosser entre les murs du bordel. Un cadeau empoisonné qu'on lui avait proposé, juste pour contrôler les naissances qu'elle offrait. Que doit elle faire pour se libérer de cette emprise ? Doit elle partir ? Le problème premier, les premiers fers autour de ses poignets concernent Einar, n'en témoigne la bague à son doigt qu'elle regarde distraitement. Annalisa étire un large sourire espiègle, elle retire l'anneau  et se redresse pour aller le déposer sur la commode sans plus grande attention. Mariée oui, comme le prouve ce bijoux qu'elle retire sans la moindre hésitation, un avant goût de liberté, aujourd'hui c'est ce qu'elle voudrait, ne plus être mariée à cet homme, avoir ses enfants rien que pour elle, être une femme tout à fait normale. Elle revient vers son amant, glisse ses jambes de part et d'autre de ses hanches pour lui faire face après avoir rejeté ses longs cheveux derrière ses épaules. Le visage légèrement plus haut que celui de son bel inconnu, elle vient coller son front contre le sien. « Je suis mariée, riche, mais pas libre. » C'est lui qui a le goût de la liberté, elle la prend à ses lèvres comme un fruit défendu - un langoureux baiser, joue avec les quelques étincelles électriques qu'il reste dans leurs corps apaisés après l'effort, le ressent remonter jusqu'à accélérer la cadence de son cœur. L'excitation d'abord mais aussi l'angoisse que lui dire cela lui procure de se révéler. Elle a appris ici, à cacher ses émotions en se transformant en succube, l'appel à l'aide étouffé par le contact de la chair.

Elle se redresse, attrape les mains de son amant et les dirige à son cou, mime un geste menaçant, sous entend ce qu'il lui arrive, illustre et lui laisse loisir de venir ensuite sur sa poitrine caresses dirigées, effleurements sensuels. « Il me retient, je suis son esclave, je lui fais des enfants. » N'en témoigne les marques sur le bas de son ventre, cinq grossesses assumées, aimées. Et par là il comprendra donc qu'elle ne peut partir parce qu'il est hors de question qu'elle se sépare de ses enfants. « C'est la première fois depuis des années que je prends autant de plaisir. J'ai juste envie que ça dure, j'ai pas envie de retourner là-bas » retourner à l'enfer. Elle le souffle sur le bord des lèvres de son amant avant de les capturer, mordiller la lèvre inférieure. « Je me ferai un plaisir de te faire visiter la ville, ce sera notre secret par contre... » A voir comment il réagit sur ses déclarations, mais juste le fait de s'être confiée, cela la libère d'un poids. Rares sont ses alliés alors que c'est ce dont elle a le plus besoin - Un allié fort, et audacieux, comme lui, qui lui inspire cette liberté.  « Qu'est ce que tu en dis ? »

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Me and my head high And my tears dry - Mar 12 Mar - 11:39


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soren & annalisa

« Ho er søt, einsemdi, so lenge vegen attende til dei hine er open. For du skin ikkje for deg sjølv »
Confessions sur l’oreiller qui se prolonge, et ça ne le dérange pas vraiment. Avec elle, ça semble presque naturel. Alors il écoute, s’informe. Qui sait où la mènera. Et la voila qu’il se lève, retire l’anneau doré bafoué et le pose sur la commode. Bijou décoratif, aux allures de laisse. Sensation désagréable, rien que d’y penser. Pas tant pour le mariage, mais cette sensation d’être retenu, contre son gré. Et il la préfère là, quand elle revient, sur lui. Il ne perd pas une miette du spectavle. Se délecte de cette peau, des traces éphémères qu’il pourrait y laisser. « Je suis mariée, riche, mais pas libre. » baiser volé, comme une liberté qu’elle rêve d’arracher. Il ne connait que trop bien cette situation stéréotype. Le type riche, souvent désagréable au possible, qu’il tient sa femme par tous les moyens qu’il soit. Souvent les plus dégueulasses. Femme aux allures d’esclave. Soumission totale ou à la rue dans le meilleur des cas. La mort, dans certains autres. Baiser qui se prolonge, qui électrise, réveille à nouveau le corps. Il était léger, satisfait, le voilà qui se tend de nouveau, de la plus agréable des manières. Rouquine serrée contre lui, les doigts qui s’inscrivent un peu plus dans ses hanches, presse son bassin contre le sien. Intimités qui se touchent, se caressent avant qu’elle ne se redresse.

L’excitation qui se lie dans les pupilles du norvégien alors qu’elle attrape ses mains. Elle les glisse sur son cou, dans un geste tout sauf érotique. Il comprend le message, ce qu’elle sous-entend là dedans. L’enflure. Pourtant, il la connait pas. Ni même son nom. Lache ses mains, et il les fait doucement sur ses seins, sous leur gable. Paumes qui caressent, doucement. Se fait plus pressant, plus intéressé. « Il me retient, je suis son esclave, je lui fais des enfants. » c’est donc ça. Pas étonnant qu’elle ne se barre pas. Aucune assurance de revoir ses mômes. Et ça, il ne le comprend que trop bien. Il n’aurait pas supporté que Cassie lui prenne son fils. Et pourtant, c’est bien ce qu’il lui a fait. Tellement camée qu’elle était pas foutue de s’en occuper. Tellement défoncée qu’elle l’a mis en danger. Noah attrapé, et il avait foutu les voiles accompagné d’Isak. Mais ça, il le garde encore un peu pour lui. « Flingue-le. » Parce qu’il n’y a pas d’autres choix. Il lui foutra pas la paix, ne prendra pas non plus la peine de s’encombrer d’un divorce, si tant est qu’il la laisse en voir le bout. « C'est la première fois depuis des années que je prends autant de plaisir. J'ai juste envie que ça dure, j'ai pas envie de retourner là-bas » lippes qui s’étirent au compliment, mais pas tant que ça. Il prend conscience du sérieux de la situation. Pas la leur, mais celle de la rouquine, ce qui la pousser à retomber dans ses vieilles habitudes. Et il serait bien le dernier à pouvoir l’en blâmer. Nouveau baiser, morsures délicates sur sa lèvre. Sourit comme un con, dans ce jeu de séduction qui n’est plus à faire. « Je me ferai un plaisir de te faire visiter la ville, ce sera notre secret par contre... » Il laisse dériver ses lèvres, sur son cou, son buste. La penche légèrement, pour venir embrasser ses seins, mordiller la chair sensible. Entre coups de langue et coups de dents, il profite de ce corps qui veut s’émanciper en s’offrant à son bon plaisir. « Qu'est ce que tu en dis ? » Il remonte finalement, s’empare de ses lèvres sans grande délicatesse alors que l’une de ses mains se place dans le creux de ses reins, et l’autre  la naissance de sa nuque, pour mieux la faire basculer et se retrouver au dessus d’elle. « Deal. Notre secret. »


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Me and my head high And my tears dry - Mar 12 Mar - 13:42


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Me and my head high And my tears dry - Dim 17 Mar - 21:40


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Me and my head high And my tears dry - Mer 27 Mar - 19:27


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