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get undressed taste the flesh

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get undressed taste the flesh - Mar 26 Fév - 14:38


get undressed, taste the flesh
soren & jed

« We can get a little crazy just for fun, just for fun. Don't even try to hold it back, just let go. Tie me up and take me over till you're done, 'til I'm done »
Les portes du bordel passées, avec une seule envie, voir Jed. D’accord, pas seulement la voir. Si la première fois lui a paru étrange, c’est devenu une habitude. Quand il revient ici, c’est elle qu’il veut, pas une autre. Habitude un peu glauque sans doute, que de se taper celle qu’appréciait son frère. Il se dit parfois que c’est Isak qu’elle s’imagine chevaucher. Que c’est Isak, qu’elle imagine embrasser. Ils étaient deux copies conformes, si ce n’est pour quelques cicatrices qu’ils avaient à des endroits différents. Si ça avait été plus que surprenant la première fois, il s’en était accommodé. Et surtout, ça ne le gênait pas. Qu’elle le voit lui, ou son frère. Peu importe. Si ça l’aidait….Au fond, il était là pour ça aussi. Oublier les conneries, se perdre entre ses cuisses. Atténuer les nouvelles pulsions, apaiser le nouveau tempérament. Le sexe avait toujours été un d’ses putains de loisirs, mais maintenant plus que jamais, c’était une échappatoire. Et Jed, elle savait y faire.

Alors il avait été ravi de la trouver inoccupée. Seulement à se faire mater par de vieux vicelards. Sentiment de dégout qui lui avait parcouru l’échine. Pas vraiment de la possessivité, et ce serait clairement pathétique vis-à-vis de son frère. Seulement un étrange sentiment de protection envers la prostituée. Pour Isak ? Parce qu’elle lui semblait trop jeune ? Parce qu’elle avait les mêmes penchants que son frère, à se foutre dans la merde ? Peut-être bien.
Les mains qui glissent sur ses épaules, et joue déjà avec la bretelle de sa robe. Peut-être même une nuisette. Là, il ne saurait faire la différence. Pour ce que ça cachait. Il glisse la tête de son cou, laisse trainer ses lèvres, sourire peint sur le visage, comme s’il laisse ses problèmes derrière. C’est elle qui le prend par la main, elle qui fait le guide à travers les couloirs qu’il connait déjà. A peine la porte ouverte, qu’il la tire à lui, glisse les mains sous ses fesses. Les lippes tirées dans un sourire amusé, il en profite un peu, avant de s’agripper pour la portée. « Ravi de voir que tu n’as pas été découverte. » qu’il murmure dans le creux de son cou. On lui a toujours dit, que les murs avaient des oreilles. Référence à leur dernière entrevue non prévue. Une rue sombre, et ses opales claires qui se sont posées sur la prostituée. La croiser au hasard, c’est possible… La croiser avec des flics, il ne l’aurait jamais cru. Bordel inimaginable dans lequel elle s’était foutue. Elle aussi.
Soutenue d’une main, il laisse l’autre se balader, le long de son flanc, de son sein, remonte sur sa gorge et le long de sa mâchoire. Il s’approche du lit, se laisse tomber dessus, avec jed sur lui, à califourchon. « Fais gaffe à toi. » qu’il se contente de lacher en dégageant les bretelles de sa robe. Trop délicat de lacher qu’il voudrait pas la perdre elle non plus. D’une manière assez tordue, elle est le seul lien qu’il lui reste avec le jumeau flingué.  Le tissu tombe sur ses hanches, et le norvégien se régale. Les paumes glissent sous le vêtement, de ses cuisses à ses hanches. Il l’attrape plus fermement, la retourne sur le lit, sans se départir de son éternel sourire. « Ou tu voulais rester au dessus ? »



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get undressed taste the flesh - Mar 2 Avr - 2:27



get undressed, taste the flesh

Elle est habituée, Jed, à passer de mains en mains. C’est son travail maintenant, c’est sa vie. Pas son unique identité, bien sûr, elle peut se définir hors de l’enveloppe protectrice de Dirty Catherine, mais quand elle est entre les murs du Red Lantern, elle oscille entre la docilité et la résistance tyrannique. En train de siroter un coca, assise au bar du bordel, elle a une perruque blonde bouclée. Des extensions, minaude-t-elle quand les clients s’interrogent sur la longueur inhabituelle. Elle aurait pu se les décolorer aussi, mais elle préfère être brune, et se reconnaître dans la glace du miroir le matin, quand elle se réveille. Sa robe est légère, elle n’est pas vraiment sûre qu’elle serait rangée dans un rayon « robes normales » dans un magasin de prêt-à-porter. Ça attire les regards aussi, parce qu’elle ne porte pas grand chose d’autre, et que malgré la climatisation plutôt chaude du bordel, elle a les seins à nu sous le tissu, sans soutien-gorge, et que les tétons pointent.

Elle est habituée, la poupée, à être prise par Untel, à être caressée par un autre, à être saillie par un troisième. Ça ne lui fait plus rien. Elle est Kate entre les murs du bordel, Jed pour quelques uns de ses clients qui la connaissent depuis longtemps et lui paraissent être de possibles sauveurs, chevaliers à la tunique blanche quand même un peu souillée par les circonstances de leur rencontre. C’est un de ceux-là qui s’approche et réclame sa tendresse en lui adressant quelques gestes déplacés en société. Alors elle l’entraîne, le Jørgensen, jusque dans sa chambre, où il s’empare d’elle alors même qu’elle referme à peine la porte. Le murmure qu’il lui adresse la fait tressaillir, tandis que les pupilles s’élargissent, anxieuses. Parce qu’elle avait presque oublié qu’il l’avait vue, avec ce flic, dans une ruelle. Tout ça parce qu’elle voulait prendre l’air et que la voiture puait le tabac froid et une autre odeur indéterminée. Bonjour la discrétion de l’indic débutante -pas tant que ça, mais toujours pas habituée. La voiture puait le mort en fait, y en avait un qui causait sur la banquette arrière et elle arrivait pas à se concentrer, en fait. Elle répond pas à cette première phrase de Soren. Parce qu’elle sait pas vraiment ce qu’il a compris. Parce qu’elle sait que lui dire « C’est pas ce que tu crois », ça va forcément lui mettre la puce à l’oreille, et aussi parce qu’elle suppose qu’il a bien deviné ce qu’elle foutait avec ce flic.

Soren, elle l’a connu parce qu’Isak était un de ses réguliers. Elle sait pas vraiment ce qu’il s’est passé -enfin, elle en sait plus qu’elle ne veut savoir, ça jase au Red Lantern- mais elle sait surtout qu’un jour, un type qui ressemblait comme une goutte d’eau à Isak s’est pointé au Red Lantern et s’est approché d’elle, mais qu’il n’était pas Isak, parce que ce dernier était mort peu de temps auparavant. Elle avait fait comme si elle n’avait pas compris, peut-être parce qu’elle s’était attachée à Isak avec le temps, et qu’elle s’était dit qu’elle devait être en train de triper qu’elle couchait avec son fantôme. Sauf que vrai type barraqué, pas la même démarche, pas la même façon de baiser, pas les mêmes zones érogènes, pas la même odeur non plus. Soren, en fait. Pas Isak. Ça lui faisait bizarre, de coucher avec le jumeau, après avoir couché avec Isak, hein. Mais elle s’y était faite, parce qu’il était pas méchant, ou en tout cas, pas rancunier si elle gémissait le nom du frère parfois, de moins en moins depuis le temps. « Oui, Soren. », promet-elle sincèrement -en petite écolière docile- alors qu’il la met en garde tout en commençant à débarrasser son buste de cette robe-nuisette-qui ne cache pas grand chose. Cuisses de part et d’autre du bassin du bonhomme, elle sent l’envie qui monte chez l’hôte mais le laisse faire, passant seulement ses bras autour du cou du blond.

Et de ricaner doucement une fois qu’il l’a retournée et qu’il demande ses préférences : « Tu veux que je me batte avec toi pour rester dessus ? » Elle est en position de faiblesse et de soumission totale, mais elle n’esquisse pas un mouvement pour reprendre le dessus, pour l’heure. Posant ses pieds contre les cuisses de l’homme, elle pousse sur ses jambes, s’étire et s’extirpe de ses paluches fermes, pour achever de se dénuder et de revenir vers lui à genoux sur le lit, histoire de le délester de ses vêtements, en commençant par le plus important, à défaire boucle de ceinture et boutons du jean, sourire qui s’élargit quand elle se retrouve face à la bosse dissimulée par l’unique pièce de tissu qui couvre encore la virilité du client. « Ou bien t’as peur de me faire mal ? » Effrontée petite sotte, qui fanfaronne alors qu’il avait l’air sérieux.


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get undressed taste the flesh - Dim 7 Avr - 15:32


get undressed, taste the flesh
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« We can get a little crazy just for fun, just for fun. Don't even try to hold it back, just let go. Tie me up and take me over till you're done, 'til I'm done »
Gosse qui se laisse aller de mains en mains, qui se laisse attraper par le premier des cons. Soren compris. Pourtant, sans doute lui veut-il plus de bien que la plupart de ceux présents aussi. Pas seulement son corps. Un peu plus attentif et attentionné à elle. Préoccupation qui pourrait être bien étrange dans ce bordel, quand la plupart des clients ne sont là que pour jouir et finalement se casser. Lui aussi est là pour ça. S’insérer entre ses cuisses, en prendre le meilleur, être bercé par ses gémissements. Mais pas que. Aussi là pour savoir comme elle va. Inconsciemment, peut-être aussi la surveiller. S’assurer qu’elle s’enfonce pas plus loin dans le merdier dans lequel elle semble être. Fallait croire qu’ils s’étaient bien trouvés, avec Isak.

« Oui, Soren. » espère vraiment qu’elle est sincère. Le norvégien n’aimerait pas la voir disparaitre comme son frère. Seul lien –sans doute pas très sain- avec le jumeau décédé. Pas franchement très fier d’avoir envie de déshabiller celle de qui il s’était aguiché. Et pourtant, la bosse dans son froc dit au tre chose au fur et à mesure que les bretelles et le tissu tombe sur ses hanches. Prise qui se resserre, la presse un peu plus contre son bassin. Y’a plus de choses qui passent dans son regard que ce qu’il s’autorise. Reste en vie, que ça dit. En partie.

Môme retournée, sous lui, il se délecte de ce qu’il a sous les yeux. Opales qui glissent de sa bouche à ses formes les plus exquises. Impossible pour lui de cacher son désir. « Tu veux que je me batte avec toi pour rester dessus ? » « J’ai jamais été contre quelque chose de plus musclé. » qu’il lache en rigolant alors qu’elle vient poser ses pieds contre ses cuisses. Aucune résistance, il se laisse faire, se laisse brièvement dégager pour profiter du spectacle. Jed, complètement nue sous ses yeux, encore une fois. Jed, dont il commence à trop bien connaitre les courbes. Gosse qui s’avance à genoux vers lui, déboucle la ceinture, libère un peu plus sa virilité déjà gonflée alors qu’il retire son propre t-shirt. Il ne la quitte pas des yeux, ne pas que remarquer son sourire face à ce qu’elle voit. Putain de Jed. Cette môme sait comment rendre dingue. Quelques idées dégueulasses qui lui passent par la tête avant de les chasser de là. Et pourtant… « Ou bien t’as peur de me faire mal ? » « Seulement pour te faire du bien. » Mais non. Sa seule véritable violence ressortait uniquement lorsqu’il utilisait ses poings et qu’il laissait sa rage prendre le dessus. Bien que parfois, avec Jed entre ses bras, il se surprenait à se demander si elle n’allait pas juste se briser sous paumes. Une étreinte trop fort, un coup de rein trop brutal, aveuglé par le moment… qui sait. Corps plus agréable mais qu’il imaginait presque trop fragile entre les pognes du monstre. Se débarrasse de son boxer pour finalement se rapprocher de la môme. Pogne qui glisse sur son visage pour finalement la pousser à s’allonger. Une main qui attrape ses deux poignets pour les positionner au-dessus de sa tête, quand l’autre s’agrippe fermement à sa cuisse.
Le bassin qui se rapproche du sien, intimités collées, qui se cherchent alors qu’il bouge à peine contre elle. les lippes qui se glissent dans son cou, l’y embrasse, laisse ses dents la mordiller un instant en revenant au creux de son oreille. « Mais t’as le droit de le dire si j’te fais mal. » et c’est sans un mot de plus que le norvégien pénètre la môme. Coup de rein plus brutal, plus incisif que d’habitude. Il se délecte de ce soupir qui s’échappe de ses lippes. Prise qui se resserre sur sa cuisse, l’écarte un peu plus alors qu’il se fait sa place, s’impose en elle. Laisse échapper un soupir de satisfaction aux mouvements de vas-et-viens. Elle en a vu de toutes les couleurs, Jed. Elle l’a vu rappliquer pour juste combler ses besoins les plus primaires. Elle l’a vu se ramener pour baiser, comme seul exécutoire d’une colère qu’il maitrise difficilement. Elle l’a vu doux, mais aussi bestial. Elle l’a vu passionné, et attentionné. Elle l’a vu se vider pour seulement se soulager. Et aujourd’hui, c’est peut-être un mélange de tout ça, couplé à l’envie de jouer, de la voir se surpasser.
Lache ses poignets pour mieux s’appuyer sur matelas, le visage qui revient face à elle, frôle ses lippes, amusé. « Moi qui croyais que tu voulais te battre » vole un baiser en assénant un mouvement de bassin plus profond. La respiration se fait doucement plus irrégulière. Plus saccadée au fur et à mesure qu’il prend son pied.


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