BLAZE : rage CREDITS : ava/aes: rage / reste @ mamand'amur ♥ FACE : adam driver DOLLARS : 2559 SACRIFICES : 140 PORTRAIT : ANNEES : 36 années. CŒUR : appartient à la valkyrie RÉINCARNATION : Garm, cleps gardien des portes de Niflheim. Cerbère nordique répondant à Hel, déesse de la mort. TALENT(S) : force surhumaine, le toucher destructeur la vie est devenue un enfer où il ne peut rien toucher sans casser, rien effleurer sans blesser. + odorat macabre, le sang et la mort comme radar, l'incapacité de sentir autre chose que la violence dans l'air et sur les peaux. FACTION : récemment embrigadé chez les obscuris. la vengeance comme motif. OCCUPATION : garde du corps chez Ikaros; il "assiste" parfois jan au cabinet de détective J & J. // ancien flic viré pour insubordination, la faute à la créature qui n'en fait qu'à sa tête, pics de violences contre les enflures de cette terre. GENÈSE : monstre parfaitement conscient, chien loup cherchant à se mordre au sang pour faire sortir la bête, tique désagréable qu'il ne veut pas laisser proliférée. Il sait qu'il peut perdre... et ça lui fou la trouille, parce que c'est si tentant d'écouter l'animal gardien du monde des morts. TALON(S) D'ACHILLE : Hedda. la famille, les ikaros. JUKEBOX : brother bright - blood on my name / baha men - who let the dogs out / ghost - cirice RUNNING GUN BLUES :
wake up, we're going to the zoo (annalisa) - Sam 22 Juin - 14:24
“just a normal day.” &Rendez-vous au zoo. C’était une suite d’sms qui avait finalement provoqué ce rendez-vous entre les islandais un samedi après-midi devant les portes du zoo d’Arcadia. Demander un jour de congé s’était avéré plus simple que prévu, une entorse aux règles autorisée et une liberté soudaine dont il ne se souvenait plus trop. Enchaîné comme le toutou qu’il est aux pieds de sa patronne, les aller et venus dans une voiture luxueuse à l’excès, le retour à la vie normale et un peu étrange à chaque fois, le trajet de métro un peu étrange. Des mois qu’il n’était pas monté à bord d’une ligne, encore moins pour aller si loin au bord de la ville, Cornucopia hors de son budget et du coeur de la ville dans lequel il a toujours évolué principalement. Encore moins pour aller au zoo. Il a dû visiter une fois le lieu, il y a des années après son arrivée sur le continent et dans la ville. Eskel devait voir quoi, douze ans, à l’époque… Alors il a depuis longtemps oublié l’expérience, hormis le souvenir d’avoir perdu Hekla, soeur cadette intenable qui avait décidé de regarder les ours un peu plus longtemps que le reste de la famille, résultant en une course de l’aîné de la fratrie, c’est à dire lui, à travers le parc pour retrouver la gamine perdue. Quelque chose lui disait que les choses allaient être un peu similaire aujourd’hui. Qui disait Anna, disait bien souvent enfants également. Ces chers neveux et nièces comme il dit, Tonton d’adoption pour la marmaille qu’il adore, certes...Mais qu’il trouve complètement épuisante. Chaque visite chez la rouquine était un challenge pour l’ex flic avant même que l’éclipse n’arrive. Parce qu’ils font du bruits, parce qu’il y en a trop d’un coup. C’est assez pour le prévenir d’avoir des enfants lui-même, être un oncle pour eux comme pour les gamins de ses propres frère et soeurs, c’était déjà bien assez de pression, de cadeaux de noël à penser et de délicatesse à avoir auprès des gamins. Parce que les choses ne vont pas en s’arrangeant. Parce que la force ne se maîtrise toujours pas comme il le voudrait, que tout est devenu compliqué maintenant que Garm est là. Il n’y a qu'à voir l’écran du téléphone qu’il sort de sa poche, pianotant un “j’arrive” à l’amie qui devait aussi être en chemin sur l’écran complètement explosé, le troisième écran en quelques mois seulement, tous détruits par une pression mal dosée sur l’écran résultant en craquelures sur le verre. Maintenant il abandonne l’idée de changer l’écran. Du moment que celui-ci fonctionne toujours c’était le principal. Le téléphone dans la poche il descend enfin du wagon, la voix mécanique indiquant le terminus de la ligne de métro, zoo d’Arcadia.
Devant les portes de l’établissement il attend patiemment l’arrivée de la - très grande - famille de rouquins - en grande majorité, avec pour seul occupation de tourner et retourner sa montre autour de son poignet tout en observant la foule aller et venir à travers le grand portail. D’après les gens il loupait l’odeur du zoo, forte, les animaux entassés à l’intérieur et le parfum de montagne de pailles chatouillant les narines des visiteurs. Eskel lui ne faisait que l’imaginer, se basant sur le passé, sur ses souvenirs pour essayer d’imaginer ce que c’est, Garm préférant sentir la mort dans l’air, la viande découpée pour le bétail et le sang coulant des crocs, plutôt que le parfum de pop-corn de la boutique souvenir. Son analyse elle prend fin lorsque quelque chose heurte ses jambes de plein fouet. L’oreille attentive ailleurs, la concentration sur son ressenti il n’avait pas entendu le fringuant “TONTON” hurlé par le petit garnement de cinq ans, Fáfnir, qui s’était jeté contre lui. Il récupère le gamin qu’il soulève comme un rien du sol, mode tonton engagé, prêt à le porter sur ses épaules toutes la journée s'il le fallait. « Salut tout le monde ! » Qu’il lance à la famille. Même si Eskel a tendance à râler, même si il a tendance à trouver qu’ils étaient beaucoup.. Au final Ils lui ont manqué, tous. C’est ce qu’il réalise à chaque fois, la famille par extension, d’une seule qui n’est pas vraiment la sienne à qui il sourit. Tout le monde était là… Vraiment, tout le monde. Pas un ou deux en moins non, aucun à l’école ou au club de gym. « Je vois qu’on va pouvoir prendre un tarif de groupe. » Qu’il lance pour se détendre un peu. Oh il est les aime, les adore… mais ça va etre une longue journée. Très très longue même.
BLAZE : rage CREDITS : ava/aes: rage / reste @ mamand'amur ♥ FACE : adam driver DOLLARS : 2559 SACRIFICES : 140 PORTRAIT : ANNEES : 36 années. CŒUR : appartient à la valkyrie RÉINCARNATION : Garm, cleps gardien des portes de Niflheim. Cerbère nordique répondant à Hel, déesse de la mort. TALENT(S) : force surhumaine, le toucher destructeur la vie est devenue un enfer où il ne peut rien toucher sans casser, rien effleurer sans blesser. + odorat macabre, le sang et la mort comme radar, l'incapacité de sentir autre chose que la violence dans l'air et sur les peaux. FACTION : récemment embrigadé chez les obscuris. la vengeance comme motif. OCCUPATION : garde du corps chez Ikaros; il "assiste" parfois jan au cabinet de détective J & J. // ancien flic viré pour insubordination, la faute à la créature qui n'en fait qu'à sa tête, pics de violences contre les enflures de cette terre. GENÈSE : monstre parfaitement conscient, chien loup cherchant à se mordre au sang pour faire sortir la bête, tique désagréable qu'il ne veut pas laisser proliférée. Il sait qu'il peut perdre... et ça lui fou la trouille, parce que c'est si tentant d'écouter l'animal gardien du monde des morts. TALON(S) D'ACHILLE : Hedda. la famille, les ikaros. JUKEBOX : brother bright - blood on my name / baha men - who let the dogs out / ghost - cirice RUNNING GUN BLUES :
wake up, we're going to the zoo (annalisa) - Sam 29 Juin - 12:29
“just a normal day.” &Une journée chargée s’annonce, avec tous les enfants à faire tenir en place. Des enfants de Clarence, Eskel ne connait aps grand choses, leurs noms, il pense, mais c’est à peu prêt tout. Ceux d’Annalisa en revanche il les connaît tous, du premier…. à l’avant-dernier en fait, Sveinn. La dernière fois qu’ils se sont vu Annalisa était toujours enceinte, un autre mamot dans le ventre, même deux d’après ce qu’elle lui avait dit à l’époque. C’était bien avant le nouvel emploi et le temps réduit par deux, bien avant qu’il passe ses journées auprès de la mort plutôt que la vie. Il doit le dire, cela lui a manqué. La joie de vivre des gamins comme celle d’Annalisa, pilier indispensable de sa vie depuis son enfance, amie envers et contre tous dans les bons, comme les mauvais moments vécus par l’un ou l’autre. Fáfnir est soulevé comme un rien par le super tonton, enfant aussi léger qu’une plume pour le monstre capable de soulever la famille entière, poussettes incluses, si on lui demandait. Une force qui amuse beaucoup le gamin, le tonton se prenant pour hulk sans porter la couleur verte. Quand finalement le gamin se calme un peu, après avoir fait le fou avec le géant, l’attention se rapporte sur Anna qui l’enlace et sur la poussette double où se trouvent un petit serdaigle et un petit poufsouffle.« Coucou vous deux. » Langage de bébé activé, la voix qui sonne habituellement si dure qu’il tente d’adoucir pour les petits êtres qu’il n’a pas eu l'occasion de rencontrer encore. Des têtes rousses pour pas changer. « On t’arrête plus. » Qu’il plaisante face aux deux nouvelles sources de hurlement. Cette fois c’était les enfants de Clarence, lien établit définitivement entre les deux familles consolidant un peu plus cette nouvelle relation, durable il semblerait… Et il était heureux pour elle, complètement, sincèrement, de la voir rayonner auprès de cette très grande famille qui ne cesse de s’élargir. Dans sa poussette c’est au tour de Sveinn de lui faire coucou, une main se libérant pour lui renvoyer son signe avant qu’il ne s’agite pour sortir de sa prison roulante avec l’autre de ses demi-soeurs. « Ca va aller. » Qu’il lance à la mère un peu inquiète… même si il n’en est pas véritablement certain lui non plus, tentant de se convaincre du même coup.
Chaque enfants prend sa place dans la file indienne improvisée, marche commencée par deux grands, les plus jeunes au milieu pour finir par les deux adultes et la poussette, plus Fáfnir toujours accroché comme un Koala.. Un koala qui donne des coups de pieds dans les côtes du canidé à l’approche du parc, excité comme une puce. Cela ne le dérangeait pas pourtant, faisant comme si de rien n’était. « On va dire que ça va… Le travail est…. » étrange, suspect, peu respectable et surtout « Prenant. J’ai eu de la chance d’être libre aujourd’hui. » Une exception, pour le moment. Peut-être que lorsque les choses s’amélioreront il aura plus de liberté. Au final, ce n’était pas pire que quand il était flic. Cela changeait juste du temps infini qu’il avait lorsqu’il était sans emploi. « Je suis pas rentré non. Pas le temps, pas les moyens… Puis, ma famille est là alors si je suis nostalgique Google Street View c’est déjà pas mal. Et toi ? » La séparation avec son ex-fiancée avait changée beaucoup de chose. La vente de leur appartement, la séparation de leurs bien en deux, le retour à la case départ professionnellement et l'absence de garantie pour louer un nouveau logement… C’était compliqué. Ce n’est pas son salaire de flic qui lui a laissé beaucoup d’économies à dépenser avec frivolité. Pourtant il aimerait bien rentrer, durant l’hiver pour se noyer dans la neige et retourner sur ses chemins de campagne, retourner visiter le lieu de travail de son père, retourner à l'atelier du père noël même où ils avaient fuit à l'âge de six et neuf ans. Des souvenirs heureux, tous autant qu’ils sont sur une terre qu’il ne visite pas autant qu’il aimerait. Mais ses frères et soeurs sont là, ses parents aussi. Ne manquait que les oncles, les tantes et les visages familiers de leur petite ville qu’ls ont laissés derrière eux. Le temps de discuter ils étaient arrivés près des caisses où on les accueille avec un grand sourire. C’était, surement, avant de savoir combien ils étaient. « Bonjour, nous sommes treize enfants et deux adultes s’il vous plaît. » La caissière devient légèrement blème, il peut le voir. Treize gosses c'est pas tous les jours qu’on entend ça, et puisqu’ils étaient que tous les deux… Elle pouvait très bien penser que c’était les leurs. Une armée de gamin qu’il n’a heureusement pas engendrée. Comme prédit, c’est un tarif de groupe pour les douze plus âgés qui a été prodigué, les jumeaux trop jeunes eux, entraient gratuitement. La grande troupe se dirige vers l’entrée et Fáfnir est soulevé un peu plus haut, assis sur les épaules de l’islandais cherchant à libérer ses mains pour pouvoir déplier un des plans qui avaient été donnés à la colonie de vacances. « On commence par quoi ? »
BLAZE : rage CREDITS : ava/aes: rage / reste @ mamand'amur ♥ FACE : adam driver DOLLARS : 2559 SACRIFICES : 140 PORTRAIT : ANNEES : 36 années. CŒUR : appartient à la valkyrie RÉINCARNATION : Garm, cleps gardien des portes de Niflheim. Cerbère nordique répondant à Hel, déesse de la mort. TALENT(S) : force surhumaine, le toucher destructeur la vie est devenue un enfer où il ne peut rien toucher sans casser, rien effleurer sans blesser. + odorat macabre, le sang et la mort comme radar, l'incapacité de sentir autre chose que la violence dans l'air et sur les peaux. FACTION : récemment embrigadé chez les obscuris. la vengeance comme motif. OCCUPATION : garde du corps chez Ikaros; il "assiste" parfois jan au cabinet de détective J & J. // ancien flic viré pour insubordination, la faute à la créature qui n'en fait qu'à sa tête, pics de violences contre les enflures de cette terre. GENÈSE : monstre parfaitement conscient, chien loup cherchant à se mordre au sang pour faire sortir la bête, tique désagréable qu'il ne veut pas laisser proliférée. Il sait qu'il peut perdre... et ça lui fou la trouille, parce que c'est si tentant d'écouter l'animal gardien du monde des morts. TALON(S) D'ACHILLE : Hedda. la famille, les ikaros. JUKEBOX : brother bright - blood on my name / baha men - who let the dogs out / ghost - cirice RUNNING GUN BLUES :
wake up, we're going to the zoo (annalisa) - Mer 17 Juil - 10:21
“just a normal day.” &Une fille au pair ? Juste une seule. Il observe un instant la marmaille. même si les plus grands étaient capable maintenant de gérer les plus jeunes, lui, ça le dépassait toujours un peu autant. Heureusement il n’était jamais de gardiennage d’enfants, tout simplement parce que c’était juste impossible pour lui de gérer ne serait-ce que deux individus de cette grande famille. Tonton Eskel, il ne bossait que pour ses frères et soeurs, à garder ses neveux et nièces directs, comme si c’était moins de responsabilité que les enfants d’Annalisa… Et c’était peut-être le cas. Moins de scrupule à avoir si le fils de son frère finissait avec un bleu ou deux, c’est juste qu’il s’était un peu trop amusé à courir dans le jardin avec Tonton. Il pouvait toujours dire à Arvið d’arrêter le numéro de père aux abois, facile à faire quand Eskel était l’aîné des deux, toujours capable de la ramener auprès de ses cadets comme s'ils étaient encore enfants. Voilà longtemps pourtant qu’ils avaient quittés les terres islandaises et que ni Arvid, ni lui, ni Annalisa, étaient des enfants. Leur entreprise de stalactite longtemps oubliée, tout comme leurs aventures. « Je suis persuadé que quelqu’un a dû reprendre là où notre commerce s’est arrêté. Y’aura toujours des stalagmites à dégager des fenêtres et toujours des enfants à la recherche de quelques couronnes pour acheter des réglisses. » Cela lui manque aussi, tiens, les réglisses à environ tout, possibilités infinies offertes par l’islande qu’ils achetait chez le marchand. Ici tout le monde a du mal, ou en tout cas leur réglisse n’a absolument rien à voir avec le leur, celui de leur chez eux qui lui manque tant. Nostalgie piquant l’âme, la glace lui manque. La vraie. La neige, la vraie. La beauté des paysages et le silence apporté par la poudreuse. Peut-être que ça ne lui manque pas, les raquettes pour aller à l’école, ni les pieds glacés sur le carrelage...Mais quand il fait froid ici, ça lui rappelle la maison. Quand les pieds touchent le sol gelé, ou quand la neige craque sous les chaussures. Bien lointain, l’hiver de leur enfance abandonné pour les terres américaines.
Les caisses passées, chacun se met en ordre, le début de l’opération militaire lancée, par quoi commencer, où aller… Le choix est énorme et finalement, l’islandais préfère se laisser guider par le choix des enfants plutôt que par l’ordre logique du plan, ça ne servirait à rien hormis compliqué l'opération visite. « Allons-y pour les biches alors, j’aimerais éviter un scène face aux lions, ça attendra la prochaine fois. » Peut-être quand il sera plus grand mais à ce moment là, forcément, un autre sera trop petit face aux félins et personne ne les verra jamais, ces lions. « Franchement tu sais, ça ne me dérangerait pas je suis quasi persuadé que je peux tous les soulever en même temps, grands et poussettes incluses.» Peut-être qu’il exagère, peut-être pas. L’ex policier était effectivement déjà une montagne, l’a toujours été même...Mais depuis le mois d'Août de l’année précédente, les choses étaient d’autant plus claires. Ce qui était imposant l’est encore plus, force surnaturelle accompagnant maintenant la taille de colosse et carrure plus imposante qu’elle ne l’était. Il teste souvent ses limites, pour s’amuser, pour voir ce dont il est capable de faire..Alors sans nul doute était-il capable de les soulever, oui. Son ennemi serait de trouver la façon de faire, plutôt que le poids pesé. Ils pouvaient donc se servir de lui comme échafaudage pour mieux voir les animaux, Eskel n’avait aucun soucis avec ça.
Biches ce sera donc, itinéraire choisi par la maman et route ouverte par les plus grands, le groupe de touristes se dirige vers l’enclos où une famille de biches tout à fait sages et peu effrayantes aux yeux du petit Sveinn, sont visibles. Fafnir, ne manque pas de poser une question à sa chaise personnelle. Pourquoi y’en a qui ont des tâches. Ah. Mieux qu’une question sur les bébés, mais un peu plus compliqué que de lui répondre “c’est des biches”. Un entre deux, question tout de même un peu compliquée… Il n’est pas exprès en animaux, même en étant un cabot lui-même. Coup d’œil interrogateur à Anna est nécessaire, la réponse à la question inconnue, avant qu’il ne se tourne de nouveau vers les animaux. Par chance, c’est la taille, toujours légèrement inférieure des spécimens tachetés, qui lui fait réaliser qu’ils s’agissait de faons. « Parce que ce sont encore des bébés, Faf. C’est pour que leurs mamans les reconnaissent. » invention sur la fin, mais franchement il ne savait pas trop pourquoi les jeunes faons avaient des tâches à la naissance, et pourquoi chez certaines espèces même les adultes en avaient. Aucune idée, et franchement, Le Brun avait tendance à ne pas trop se soucier de sa culture générale, très peu utile, au final, dans la société. Surtout maintenant. Simple gorille, on ne lui demande pas beaucoup d’être autre chose qu’une plante verte capable de tuer quelqu’un à mains nues, pas besoin de regarder discovery channel pour ça. « Mais pourquoi ils ont des tâches les bébés ? » la question fatidique tombe, et Eskel soupire. Il se détourne de nouveau de l’enclos pour se tourner vers son amie, amuse des questions du gamin mais aussi soudainement fatigué. « Je sais pas, mais demande à ta sœur veux-tu ? Je suis certain que c’est écrit sur le panneau là-bas. » Il désigne du doigt le panneau devant lequel était réunis quelques enfants. En passant les mains sur ses épaules il est capable de soulever Fafnir comme un rien et de poser l’enfant par terre, qui gambade directement vers sa sœur. « Je sais pas comment tu fais pour survivre à toutes ces questions. Je sais même pas comment nos parents faisaient non plus. » ils étaient tout aussi curieux, sans aucun doute. Oern, son père, était tout de même beaucoup plus adroit que son fils pour répondre aux questions incessantes de ses enfants. Le scientifique a toujours réponse à tout. « Vous allez déménager alors ? » question soudaine, rappel à ce qu’elle a dit plus tôt. Sa situation a toujours été compliquée. Ça, il a cru le comprendre sans en connaître vraiment les détails. Les amis faisaient comme si tout allait bien, la plupart du temps. Comme s'ils n’avaient pas quitter l’Islande, et que les tourments n’étaient pas arrivés ensuite. Une pause dans tout ce bordel résident à Arcadia. Quand elle, fuyait ces gens vers qui lui était tiré. En espérant que personne ne vienne ruiner leur journée.
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wake up, we're going to the zoo (annalisa) - Dim 20 Oct - 0:09
“just a normal day.” &Comment elle faisait. C’est bien ça qu’il se demande, lui qui était déjà épuisé avec seulement quelques jours par mois en leur compagnie, si il en avait l’occasion. Oncle Eskel était au bout de sa vie bien souvent, avec tous ces gamins à surveiller… et ces questions qu’ils posent sans cesse. Des questions et encore des questions, curiosités malsaine dont il ne sait que trop faire et c’est vers Annalisa tout naturellement qu’il cherche de l’aide, qu’elle fournit à peu près toujours. Au final d’après la rousse ce n’était pas lui le pire..Mais bien le petit monstre dans un des sièges de la poussette, Sveinn, qui allait devenir pire que son frère chose... C’est inimaginable d’après l’islandais, les années à venir deviennent plus compliqués encore qu’elle ne le sont déjà aujourd’hui, mais dans un autre temps.. Il pouvait voir d’où elle avait cette idée-là, le gosse déjà bien remuant et trop curieux pour son propre bien, trop agité. Mignon, tout de même..Juste un peu trop...turbulent. Mais ce sont des enfants, c’était normal. Et à la voir, à l’entendre, au final l’habitude se prend et le plis est fait. Une fois qu’elle a eu l’habitude avec les premiers finalement c’est la même histoire, il imagine, seulement avec d’autres petits êtres. Cela a quelque chose d’un peu rassurant, mais ne changeait absolument pas sa vision de la chose. les enfants c’est sympa quelques minutes et puis ensuite, Eskel était déjà trop fatigué pour pouvoir les supporter plus longtemps. Peut-être que cette éclipse avait eu du bon, au final. Rupture suivant celle-ci, mariage annulé. Peut-être qu’à cette période de l’année, là, il serait en chemin vers la paternité, avec femme enceinte et une gender reveal party à supporter. Heureusement au final, qu’il est devenu ce monstre. Garm rugit à l’intérieur; Le terme toujours délicat bien que véridique. Un monstre, qui gratte dans l’échine, qui a envie de sortir de là enfermé dans cette petite forme malgré la carrure de l’humain choisi.
Ils continuent leur chemin et la conversation elle aussi, continue. Le déménagement était fortement possible avec les naissances qui s'enchaînent et le logement, jamais assez grand pour la tribu. Après le mariage en plus il était peut-être temps pour du renouveau, du changement. Mais le commentaire ne passe pas dans l’oreille d’un sourd, tirant un sourire sur les lèvres de l’ami d’enfance. « J’imagine que ça, ça veut dire que tu veux que je vienne aider. Sans soucis. Autant que ça serve à quelque chose d’utile...Ce pouvoir de super force. Je garantis pas de ne rien casser cela dit. » De nouveau, un sourire…. Et une excuse formulée d’avance. Après tout il ne maîtrise encore pas sa force, loin de là.. Complètement possible alors de se tromper, de blesser, de casser des choses rien qu’en les effleurant du bout des doigts. La distance avec les enfants alors, était préférable. Même lorsque devant l’enclos des biches, Sveinn l’observe en désignant les animaux, comme si l’adulte l’accompagnant lui et sa mère était incapable de voir les animaux à l’intérieur. Cela le fait rire, bien entendu. la détermination d’Annalisa pour que son fils prononce un mot qui au final… ne sort pas comme prévu de sa bouche. Malgré le caractère familial de la sortie, la mafia vient teinté le paysage, la déesse évoquant ces dieux qu’ils sont, et ce monde auquel il était quasiment étranger, avant ce mois d’aout passé. « Toujours ausis étrange de t’entendre parler d’un dieu comme Thor lui-même comme si tu avais croisé ta voisine. » qu’il ricane. Mais elle était sérieuse, et le ton de la conversation s’assombrit. « Je comprends votre point de vu, vraiment. Ma patronne elle, veut y rentrer. Mais ce n’est pas une déesse, mais une Oupyr. Les dieux je sais pas trop ce qu’ils veulent..Mais ils ont aps vraiment l’air de vouloir bouger de là-bas, il semblerait. » Ce club sélec dont Vassi tente tant de se rapprocher, de prendre le pouvoir même, au coeur de ce groupe de mafieux sanguinaire duquel il se rapproche malgré lui. Qui sait cela pourrait lui etre profitable, agent de l’ombre...