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| drabble - {brónannah} Never - Jeu 12 Déc - 20:15 |
| Son cœur est grand, suffisamment pour y mettre la planète entière.
À chaque fois qu'elle aime il s'agrandit. À chaque fois la nuance de cet amour est délicatement différente. À chaque fois qu'elle aime, elle y laisse des morceaux d'âme. À chaque fois qu'elle s'éprend elle se risque un peu plus à l'obsession malsaine.
Pourtant elle a encore merdé. Elle ne sait pas changer. Alors elle se retrouve là, adossée contre la porte d'entrée pour la condamner, des larmes poissant ses joues.
Cœur écorché. Murmure arraché.
«Je refuse, c'est pas possible.»
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| drabble - {brónannah} Never - Jeu 12 Déc - 21:10 |
| Les affaires avaient volé. Un cadre s’était renversé. Le verre avait éclaté. De milliers de débris sur le sol étalés.
Je te regarde t’éloigner, Ton dos pour seul spectateur à contempler. La porte se referme sur toi, Et dans ton sillage tu me laisses moi.
Je te devine de l’autre côté. Contre l’indifférence de la matière adossée. J’en fais de même dans l’appartement, Mes vertèbres pour descendre le long de la paroi lentement.
Les touches du smartphone sous mes doigts, Font naître des mots que tu ne mérites même pas.
JE NE SUIS PAS DÉSOLÉE.
C’est toi qui a merdé.
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| drabble - {brónannah} Never - Ven 13 Déc - 1:14 |
| Dans le dos, le battant est dur et froid contre la chair dévoilée par le tissus trop ajouré. Reflet du cœur qu'elle a maltraité.
La main essuie les joues humides à laquelle une goute de sang vient se mêler. Résidu de la porcelaine qu'elle n'a pas su éviter.
Les ongles effilés s'enfoncent dans les paumes des mains qui auparavant caressaient. Avant cet instant, tu n'imaginais pas que tu regretterais.
Dans la poche une vibration. Alors, résignation devient obstination.
CE N'EST PAS COMME ÇA QUE ÇA DOIT SE TERMINER S'IL TE PLAIT LAISSE MOI RENTRER.
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| drabble - {brónannah} Never - Ven 13 Déc - 12:38 |
| Je t’entends renifler. Je te devine regretter. Ce que j’ai écrit est pourtant pure vérité, Je ne suis pas désolée. C’est toi qui a voulu jouer.
Je n’ai jamais rechigné à te partager. Pas plus que de ne te laisser plus que ta part de liberté. Mais ce n’était jamais assez.
LA PORTE N’EST PAS FERMÉE.
Tu devrais le savoir, c’est toi qui l’a claquée.
Sous mes yeux continuent à défiler des mots, Mon corps dissocié de mon esprit comme dans un complot.
IL N’Y AURA PAS DE RETOUR EN ARRIÈRE.
J’ai retenu la leçon et irrigé de nouvelles barrières.
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| drabble - {brónannah} Never - Ven 13 Déc - 16:13 |
| La colère n'est jamais une bonne alliée, Il y a beaucoup de choses qu'elle peut faire oublier. Comme le fait que c'est elle qui a mis de la distance Pour éviter de se faire percer la panse.
Elle tape Et se rattrape.
PROMETS MOI QUE TU NE M'ATTAQUERA PAS SI DANS L'ENTREE JE FAIS UN PAS.
Elle a merdé le monde entier peut en témoigner. Et elle, contrairement à sa moitié, En est profondément désolée.
C'est un peu tard pour de telles considérations, Et si tu arrêtais de te laisser guider par tes émotions ?
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| drabble - {brónannah} Never - Ven 13 Déc - 16:27 |
| Tu me fais doucement marrer. Tu sais fichtrement bien quelle Déesse en moi a décidé de s’abriter. M’empêcher de céder à la violence, Équivaudrait à t’obliger à toi de porter une alliance.
JE NE PROMETS PAS.
Mais ça tu le sais déjà. Du moins tu devrais, Si tu me connais aussi bien que tu le prétendais.
TU N’AS QU’À GARDER TES DISTANCES.
C’est ce qui avait été convenu, de toute évidence.
Je ne vois pas vraiment de quoi tu veux encore parler. Il faut laisser à la douleur le temps de s’estomper. Et peut-être bien qu’à terme je te pardonnerai.
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| drabble - {brónannah} Never - Ven 13 Déc - 17:11 |
| Prend ça dans les dents. Et si tu réfléchissais l'espace d'un tout petit instant ? Elle n'est pas sujette à la panique Alors pourquoi agir de façon si pathétique ?
Le nez dans la manche est essuyé dans l'espoir d'arrêter de renifler, Peut-être même d'un peu mieux présenter, Mais elle sait qu'avec ses yeux par les larmes explosés Ce n'est pas la peine d'espérer.
Les ongles qui dans la peau étaient enfoncés Contre le battant viennent gratter
« C'est pas ma faute je te promet Je maitrise pas toujours tout ce que je fais.»
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| drabble - {brónannah} Never - Ven 13 Déc - 17:26 |
| Excuses bidon, Serments à la con. Tu es vraiment pathétique, Si tu me crois capable de gober ton ramassis amniotique.
Déesse déchue de l’amour et de la passion, Il n’y a dans tes mots et tes gestes rien de plus que de la condamnation.
Ne joue pas au chien battu avec moi, Je suis psy ne l’oublie pas.
Je me redresse et ouvre la porte à la volée, Dans mes bras tu manques de te tauler. Mais inutile d’espérer, Ce n’est certainement pas moi qui vais te rattraper.
- « À qui la faute alors ? »
Soit tu assumes, soit tu sors.
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| drabble - {brónannah} Never - Ven 13 Déc - 18:11 |
| La porte fini par se dérober Ouverte par la bien-aimée. La voilà prise au dépourvu Elle a été plus rapide que ce qu'elle avait prévu. Et c'est sur le parquet qu'elle fini à genoux Mais n'est-ce pas pour supplier la meilleur place après tout ?
Son visage se pare d'un regard de chiot
« J'y suis accro. »
Voilà une vérité bien difficile à avouer, Mais tout est bon pour se faire pardonner.
Mains sont jointes Et elle continue sa complainte.
« Je ferais tout ce qui te plait, Sans rechigner je m'exécuterais.»
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| drabble - {brónannah} Never - Lun 16 Déc - 9:51 |
| À genoux devant moi, Dans la position du Messie tu te déploies.
Je m’accroupis à ta hauteur. Du bout de mon index et majeur, J’oblige ton menton à se redresser avec lenteur.
- « Tu as toujours été mauvaise menteuse. »
La Guerre est tueuse. Ta Déesse est pécheresse, La Mienne vengeresse. Peu importe ce que tu diras ou feras, Le tort toujours t’appartiendra.
- « C’est fini. »
Et si ça ne te plait pas, tant pis.
- « Maintenant redresses-toi. »
Me voilà déjà debout à m’éloigner d’un pas. Derrière le bar je chope deux verres. Certes pas pour les remplir de bière.
Trinquons, À notre déraison.
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| drabble - {brónannah} Never - Lun 16 Déc - 18:12 |
| Sa tête suit le mouvement imprimé sans rechigner, Bien décidée à se tenir à ce qu'elle a énoncé.
La réponse est un coup de poignard dans le cœur Qui relance de plus belle les pleurs. De forte et indépendante Elle est devenue pitoyable et envahissante.
C'est acté, elles ne seront plus ensemble Et de nouveau debout tous les membres tremblent.
L'une tourne le dos L'autre se saisit d'une assiette en morceaux. Une irrésistible envie de punir
« Jamais je ne te laisserais partir. »
Ou l'art de péter les plombs A tort sortir de ses gonds.
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| drabble - {brónannah} Never - Mar 17 Déc - 8:42 |
| L’alcool pour oublier. Excuse sans fondement, mais comment résister ? La boisson n’a plus aucun effet sur moi, Et cela depuis bien des mois déjà. Je suppute que ça ne t’arrange pas.
Je t’observe te saisir d’une assiette, Entre tes mains tremblantes tu ne tiens rien de plus que des miettes. À l’image de ce qui fut jadis notre relation, Pour autant qu’on puisse qualifier de tel cette risible désillusion.
Une menace ?
C’est donc ça que tu veux que je me ramasse ? Une entaille en plein front, À moins que tu ne vises ma carotide en amont ?
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| drabble - {brónannah} Never - Mar 17 Déc - 10:24 |
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Plus les secondes s'égrainent, Moins elle ressemble à une humaine. Il n'y plus une trace de déesse, Seulement un démon en détresse.
On dit aimer à en perdre la raison ? Savannah en tout cas n'a jamais éprouvé de telles émotions.
La poigne se serre encore sur les tessons Et lui arrache un frisson de délectation. Pour lui remettre les neurones en place, Il semblerait que la douleur soit efficace.
« Tu me le sers ce verre ? »
Politesse est rudimentaire.
Au moins n'a-t-elle plus l'idée d'attaquer Car ce serait elle qui aurait été amochée.
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| drabble - {brónannah} Never - Mar 17 Déc - 21:23 |
| Je le vois dans tes yeux, L’endroit même où brûle la flamme intense de ce feu. La douleur s’immisce dans tes veines, Créant l’impression que tu en es l’unique Reine. Comme je comprends à la perfection cette sensation. Où aurais-tu déjà oublié ce qui a déclenché notre toute première passion ?
La question arborée, Relève plutôt de l’ordre, que je me plie pourtant volontiers à honorer. Le liquide ambré coule à profusion.
- « Ceci n’est pas un pardon. »
Juste un ersatz de trêve qu’on s’accorde à l’unisson. Toi et moi, Avoue, tu devais bien te douter que ça ne fonctionnerait pas.
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| drabble - {brónannah} Never - Mar 17 Déc - 23:21 |
| Le calme après la tempête On a qu'à dire que ça se fête.
Le sang goutte au bout des doigts, Trace un chemin au rythme de ses pas. Assise elle s'empare de sa boisson Elle ne poussera pas jusqu'à réclamer des glaçons.
Trois gorgées glissent dans le gosier Alors que les yeux se posent sur la peau écorchée. Les souvenirs surgissent , A la tristesse ils s'unissent.
« Alors toi et moi, Ça se finit vraiment comme ça...?»
L'alcool brûle encore la gorge, Calme un peu plus l'orage.
« Tu te souviens du début ?»
Nostalgie des moments perdus.
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| drabble - {brónannah} Never - Jeu 19 Déc - 8:09 |
| Je regarde le sang s’écouler, Et sur le sol venir s’écraser. Je ne relève pourtant pas, L’outrance que tu m’infliges là.
Toi et moi, Ça n’existe tout simplement pas.
-« Bien sûr que oui. »
Cesse de me traiter comme une truie. Perchée sur ces divins talons, Putain qu’est-ce que t’étais canon.
Tout avait commencé au détour d’une bagarre dans un bar. Mon pouvoir une fois déclenché, N’avait de cesse de se gorger. Il n’y avait eu que tes lèvres enflammées, Pour réussir à me canaliser.
- « Le tenancier s’en rappelle encore. »
Deux gros bras qu’il lui avait fallu pour nous jeter dehors.
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| drabble - {brónannah} Never - Jeu 19 Déc - 9:15 |
| Un mince sourire se colle sur ses lèvres.
Il y avait eu de quoi le rendre chèvre, Le patron au bar saccagé Par tous ses habitués Et puis ces deux cinglées Complètement galvanisées Par la violence et leurs phalanges ensanglantées, À deux doigts de baiser Au milieux de la mêlée.
«T'étais si belle, impossible de te résister»
La violence comme excitant. Les baisers au goût de sang. Elle a raison, il n'y a jamais eu de "toi et moi" Elles étaient toujours trois,
«Toi, moi et elle Vive la baston, ça vous donne des ailes.»
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| drabble - {brónannah} Never - Jeu 19 Déc - 9:32 |
| Je me crispe au son de ta délicieuse voix, À ce vocabulaire que tu déploies. Tu es bien la seule à La considérer comme ça, Faisant partie intégrante du MOI.
Mes phalanges rougies, autour du verre à moitié vide enserrées.
- « Tout ça c’est du passé. »
Tu ferais mieux de dégager. En restant ici, la situation ne fera que s’aggraver.
- « Qu’est-ce que tu attends de moi Savannah ? »
Ton nom au complet, Comme pour accentuer la fin d’un couplet. Amour et Guerre, Ne sont pas faites pour se plaire. Et ce peu importe les conventions, Signées tacitement entre nos deux factions.
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| drabble - {brónannah} Never - Jeu 19 Déc - 17:25 |
| Les doigts imitent leurs jumeaux, Se pressent contre le verre vidé Et ravivent les maux Pour empêcher tout geste inconsidéré. Il n'est pas question de céder Aux pulsions et envies de caresser. Ce serait on ne peut plus déplacé Et en représailles, la main serait sûrement brisée.
Electrochoc du prénom prononcé tout entier Dans sa bouche il lui parait étranger. Sa. Va. Nnah. Comme si elles ne se connaissaient pas. Comme un coup de poignard supplémentaire Qui au fond de la gorge laisse un goût amer.
« Je n'en sais rien.»
Aveux qui n'en est pas vraiment un.
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| drabble - {brónannah} Never - Ven 20 Déc - 8:00 |
| Je lâche mon verre et contourne le bar. Toi aussi tu sens s’enclencher l’alerte de ton radar ?
- « Que je te caresse ? »
Je glisse mes doigts entre tes dreads.
- « Que je t’embrasse ? »
Penchée vers l’avant, du bout de mes lèvres de braise dans ton cou je passe. Crois bien que ce n’est pas l’envie qui manque. Heureusement pour nous, la raison aide et la balance tangue.
Je me décolle brusquement, Envoyant notre désir mutuel se ramasser un vent.
- « Ou que je te brise le cœur ? »
Dans l’espoir utopiste que tu finisses par apprendre de tes erreurs ?
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| drabble - {brónannah} Never - Ven 20 Déc - 8:30 |
| Le cœur manque d'exploser Sous l'effet de la torture qu'elle vient infliger. Elle se doute qu'elle ne veut que la provoquer, Mais ne peut s'empêcher de légèrement gigoter. Caresse-moi, embrasse-moi
Quand elle s'éloigne il fait si froid.
« Brise moi le cœur. Fais moi peur. Tu peux même me péter les dents, Si en échange tu me prends. »
Les yeux dans les yeux, Elle veut lui prouver son sérieux. Dignité rangée au placard Elle descend du tabouret de bar Et d'un pas assuré, Comble l'espace qui a été instauré.
« Frappe-moi Mais aime moi. »
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| drabble - {brónannah} Never - Ven 20 Déc - 9:10 |
| Je te laisse avancer vers moi, Tel un prédateur qui s’insinue jusqu’à sa proie.
- « Je ne peux pas. »
Du dos de mes phalanges je viens tendrement effleurer ta joue. Je penche un peu la tête, comme pour anticiper ta prochaine moue.
- « Tu sais pertinemment que tu recommenceras. »
Mes doigts continuent sur leur lancée, Jusqu’à s’enrouler avec délicatesse autour de ta trachée. Je sers un peu, Non pas parce que je le veux, mais parce que je le peux.
Ta peau si chaude tout contre moi. Je sens cogner ton pouls tout contre mes doigts.
- « Ne m’oblige pas à faire ça. »
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| drabble - {brónannah} Never - Ven 20 Déc - 10:46 |
| Les yeux se ferment pour mieux savourer le jeux malsain. Si elle l'osait, elle s'abandonnerait carrément entre ses mains. Le souffle n'est pas obstrué Alors la déception pointe le bout de son nez Et dans l'espoir qu'elle se durcisse Elle se décide à pousser le vice.
« Pourquoi tu ne le supporte pas ? Puisqu'au fond je suis à toi ?»
Les paupières se rouvrent Le désir la rend ivre. Ou bien alors est-ce la boisson Qui commence à faire son action ?
« Fais le, prend ce qui t'appartient. Vas-y fais-le, serre ta main. »
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| drabble - {brónannah} Never - Ven 20 Déc - 10:59 |
| Il me serait si facile, De tendre davantage le fil.
Ton pouvoir embrase le mien. Qui s’enflamme en s’enivrant du tien. Tu sais fichtrement bien, Ce qui risquerait d’arriver si je cédais à tes désirs entre mes mains.
Bien malgré moi je sers plus fort, Jusqu’à sentir cogner ton cœur, encore et encore.
Ma respiration saccadée, Tout contre ton oreille je viens la porter.
- « Arrête. De. Me. Mentir ! »
Et au dernier mot je sens mon bras partir.
Je te repousse avec violence, Il est là ce que tu mérites comme unique sentence.
- « Je ne suis pas ton pantin ! »
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| drabble - {brónannah} Never - Ven 20 Déc - 11:31 |
| La pression s'accentue Comme si elle s'avouait vaincue. Une seconde pour apprécier La suivante pour la détromper.
Le retour à la réalité est brusque Pourtant elle aurait pu anticiper sa frasque. L'élan la fait trébucher sur ses hauts talons Dieu ce qu'elle peut avoir l'air con.
Droguée n'est pas repue, Frustration reprend le dessus.
L'index à l'ongle effilé Droit sur elle est pointé.
« T'en as jamais rien eu a foutre ! Tout ce qui compte c'est ton putain d'égo !»
L'exaspération ne cesse de croître Elle vient lui tordre les boyaux.
Colère...
« Va te faire...! »
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| drabble - {brónannah} Never - |
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