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L'ancienne école / ! \ - Violence extrême -

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L'ancienne école / ! \ - Violence extrême - - Dim 12 Avr - 18:35

L'ancienne écoleQuand on a plus d'électricité, ni internet, on a...
Lewton !



Tu te retourne encore dans le lit, tu te sens traquée et cela ne te va décidément absolument pas. Tu n'aimes pas cette incertitude, et tu n'aimes pas cette impuissance. Depuis que tu n'as plus internet, tu ne sais pas ce qu'ils savent de toi. Te croient-ils morts ? Ont-ils lâchés l'affaire ? Sont-ils derrière cette porte ? Non, rien à faire ... Tu ne dormiras pas ce soir.

N'y pouvant plus, tu t’empares de ton blouson, tu ferme précautionneusement la porte et tu descends dans la rue où tous les passants ont des têtes de coupables. Tu marches vite sans vraiment savoir ce que tu recherches, te faire suivre ? Avoir le plaisir de te faire agresser pour pouvoir impunément tabasser quelqu'un ? Oui, sans doute, ou de la compagnie, du moins. N'importe quoi en fait !

Dans les bars, personne ne semble vouloir te remarquer. Pas assez féminine, sans doute, une tronche de dealeuse de drogue, il suffit de montrer les dents pour que n'importe qui se tire la queue entre les pattes. Tu continues alors ta marche dans les rues pendant plusieurs longues heures, cela te fais visiblement du bien, les écouteurs bien vissés dans les oreilles te dévoilent leur dernières musiques avant que l'appareil soit définitivement dépourvu de batterie.

Ce quartier, tu le connais parce que ça doit être le pire de tous, mais va savoir, ce soir les gens sont presque calmes, dociles. Cela ne change rien, tu ne devrais pas te trouver ici. C'est à ce moment là que tu ressens quelque chose de nouveau dans l'air, une excitation particulière due à ma présence dans ton âme. Oui, quelqu'un, pas loin, est en train de se battre.

Suivant ton instinct, tu fini par trouver un porche d'entrée d'où proviennent des cris, des bruits de lutte et des coups particulièrement jouissifs. Tu entres presque religieusement pour assister à la scène. Là, tu restes bouche bée devant le spectacle :

Un habitant de l’immeuble est en train de se faire agresser et ta soif de sang te pousse à t'approcher pour essayer de le défendre. Seulement, à mesure de tes pas, ton hésitation se fait de plus en plus palpable : Si l'homme en imper est effectivement coupable, il semble être ici pour une excellente raison, il a cette froideur calculatrice dans les yeux qui te pousse à ne pas prendre parti, pas tout de suite. En contrepartie, l'autre, effrayé, braille à tue tête pour de l'aide.

Finalement je te décide pour aider l'outsider. Agresser quelqu'un ici relève de la volonté implacable ou du courage suicidaire. Tu t'adosses dans l'entrée et te concentre sur ton pouvoir qui va aider l'homme à prendre le dessus. Si tu dois être honnête, il avait déjà pratiquement gagné. Enfin à terre, monsieur chapeau a tout le loisir d’inonder sa proie de questions et ce dernier de répondre avec un accent russe mêlé d'un accent de terreur. Je trouve cela absolument fascinant : pourquoi s'être battu si c'est pour livrer ces informations aussi facilement au final ?

Quand il est à ta portée, tu sors un paquet de cigarettes.

"Belle droite ! Vous en voulez une ?"

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L'ancienne école / ! \ - Violence extrême - - Lun 13 Avr - 12:32







L'ancienne école



La nuit avait été longue. Déjà plusieurs heures que j'me prom'nais dans l'quartier, de tripot clandestin en hôtel de passes, à interroger poliment tous les types susceptibles d'avoir des infos pour moi. Le dernier en date était un ruskof, au nom imbitable, qu'aurait p't-êt' une connexion avec un gars qui saurait p't-êt' où trouver un mec qu'aurait entendu causer de..... j'perdais mon temps, je l'savais. Je l'savais avant même de lui tomber sur le râble. Alors quand l'mec m'a insulté, m'a balancé le cont'nu d'son verre dans la gueule, et s'est tiré en courant, j'ai jubilé. Il allait prendre pour tous les autres.

J'ai tapé un sprint derrière lui. Le mec cavalait avec toute la force du désespoir, mais j'étais pas mauvais moi-même. J'lui collais au cul comme un clébard derrière un livreur de barbaque. J'sentais son odeur de transpiration et d'vodka. Encore un tout p'tit peu. J'ai tendu la main, bingo, j'l'ai alpagué par l'colbac. J'ai planté mes arpions dans l'sol, j'me suis arrêté net, et du coup lui aussi. Ses jambes ont continué tout droit une seconde alors que sa tronche s'est immobilisée sur place, et l'mec s'est vautré l'cul par terre. Il gueulait comme un putois, il allait ameuter tout l'quartier. Histoire d'lui expliquer doucement que j'lui voulais pas d'mal, j'lui ai foutu mon poing dans la gueule. Ça lui a fait fermer son claque-merde sur le coup. J'avais du sang plein les paluches, et j'savais qu'c'était là qu'j'allais commencer à prendre mon pied.

- J'vais poser des questions, j'lui ai dit. Si la réponse me plaît, j'passe à la question suivante. Si elle m'plaît pas, t'en r'prends une jusqu'à c'que tu trouves la bonne réponse. Prêt à jouer ?

Le mec osait pas m'répondre. I'm'regardait avec les yeux exorbités, terrorisé. Il s'étouffait à moitié dans l'sang qui coulait d'son gros pif.

- J'prends ça pour un oui. Tu connais Vladimir Illianovitch ?

Le mec répondait toujours pas. J'lui ai encastré mon poing au fond d'la gueule, et j'l'ai secoué.

- TU CONNAIS VLADIMIR ILLANOVITCH ?! j'ai red'mandé calmement.

Il a hésité une seconde, puis a hoché la tête de haut en bas.

- Où j'peux l'trouver ? Je desserais même plus les dents quand j'causais.

Le gars a changé d'attitude directement. Son boss devait lui foutre sacrément les j'tons. Il m'a toisé, comme s'il n'avait soudain'ment plus peur de moi, et m'a craché son sang dans la gueule. Ça m'a surpris. Je l'ai rel'vé, j'ai épousseté son costard à dix plaques, remis son col en place, et j'lui ai enfoncé la gueule dans l'mur. Plusieurs fois d'suite. Il hurlait comme un cochon qu'on égorge. Je savais que tout l'voisinage l'entendait, et que tout l'monde se terrait chez lui pour pas être impliqué. Une excellente idée. J'ai senti que l'mec s'affaissait, ses jambes arrivaient plus à l'porter. J'l'ai balancé par terre, et j'me suis rué sur lui, le g'nou sur sa poitrine, les mains sur son col de merdeux plein d'fric.

- Je demande gentiment une dernière fois, j'ai grincé. C'est ta dernière chance. Après j'te bute. OÙ (je martelais chaque mot d'un pain dans la gueule) - EST - ILLIANOVITCH ?!
- ASHMILL ! Il est à Ashmill ! s'est mis à hurler l'mec. J'te jure ! Je sais pas plus, j'l'ai pas vu depuis des mois ! J'te jure !

Ashmill. Putain de bordel de merde. Le quartier russe, évidemment. Aux mains d'la Bratva. Très difficile d'y enquêter, surtout une fois qu'ce mec m'aurait cafté à ses potes. Mais ça, on pouvait y remédier. J'ai chopé l'visage du mec, je l'ai relevé vers mon visage, qu'il voit le fond de mes yeux, et je l'ai balancé par terre du plus fort que j'pouvais. Jusque là je m'ret'nais, pas cette fois. J'ai entendu s'briser la boîte crânienne, je savais que l'cerveau avait beaucoup r'mué, l'affaire était entendue. Comme prévu, le type s'est effondré comme une vieille merde, sans un mot, sans un bruit, et l'sang a commencé à couler partout autour de sa tête. Normalement j'faisais pas trop ça, mais là j'avais un peu les nerfs de ces derniers jours, le mec pouvait m'faire courir un gros risque, et c'était une ordure de la pire espèce. Je savais qu'personne le regrett'rait, et qu'j'avais contribué à rendre le monde un peu meilleur. Pas d'remord.

Alors seulement j'l'ai aperçue. Une gonzesse se t'nait dans l'encadrement du porche. Jeune, mal habillée, l'air provocateur, pas choquée. Elle avait l'air d'avoir passé un bon moment. Putain Lewton, tu pouvais pas faire gaffe ? Tu l'savais pourtant, toujours une oreille aux aguets, au cas où. Tu t'es laissé emporter, pauv' con. J'ai décidé d'l'ignorer, et d'ressortir directement. J'ai rel'vé mon col et ajusté mon chapeau pour qu'elle ne voit pas ma gueule. En passant à côté d'elle, elle a mis la main à la poche, et avant que j'réagisse, elle a sorti un paquet d'clopes.

- Belle droite ! Vous en voulez une ?

Un peu surpris, j'ai r'gardé l'paquet offert, puis la nana. Au moins, elle avait pas l'accent russe, c'était d'jà ça.

- Non merci, j'ai répondu doucement. J'fume pas, c'est pas bon pour la santé.

Alors j'ai sorti ma flasque de mon imper', et j'en ai avalé une bonne lampée avant d'la lui tendre. Putain, ça f'sait du bien.



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L'ancienne école / ! \ - Violence extrême - - Lun 13 Avr - 17:43

L'ancienne écoleQuand on a plus d'électricité, ni internet, on a...
Lewton !



Le type veut visiblement t'éviter et cela, tu peux le comprendre. Mais quand tu lui propose une cigarette, il s'arrête et daigne un regard vers toi. Son regard est méfiant mais absolument pas hostile. Dans ses traits, tu ne reconnais heureusement pas ceux qui ont causés ta mort mais vu l'état dans lequel il a laissé l'autre homme, il aurait sans doute mieux valut pour eux.

"Je vous remercie."

Tu prends la flasque et sent immédiatement l'odeur amer et caractéristique du whisky. Cette fragrance est autant présente sur lui que dans le contenant que tu portes à tes lèvres avant d'en avaler une lampée et de le lui rendre. Sans aucun doute, il ne s'agit pas d'un alcool de base acheté juste pour se mettre la tête à l'envers, celui-là est plutôt de bonne facture quoique bon marché...

D'ailleurs, s'il faut faire un marché avec lui, tu sais à présent avec quel genre d'offrande  tu dois orner ta recette.

"Venez, il ne vaut mieux pas rester ici."

Ici, il y a beaucoup d'altercations et ce type baignant dans son sang n'était visiblement pas assez dur pour faire partie de la Bratva. Mais en général, les loups n'aiment pas trop qu'on viennent chasser sur leur territoire, même si ce quartier est peuplé de froussards, il est possible qu'on se mette à la recherche d'un homme rapidement.

Vous sortez à l'air libre et l'ambiance à changé, le soleil commence paresseusement à se lever. Vous ne devez pas courir, un couple qui marche tranquillement, ce n'est pas suspect. Voilà pourquoi tu n'aimes pas te mêler aux autres et tu préfères œuvrer du fond de ta chambre. Dans la rue, il y a trop de règles implicites, trop de dérapages, trop de chaos.

"Et du coup, vous travaillez pour qui, si c'est pas indiscret ? A moins que votre passion est juste de voir jusqu'où quelqu'un peut tenir sans se soulager dans son pantalon. Ce serait original et amusant, mais j'en doute."

Va savoir pourquoi, mais tu sais qu'il n'est pas juste un homme de main écervelé. Mais s'il travaille seul, il prend de gros risques à moins qu'il y ait une jolie récompense à la clé.  

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L'ancienne école / ! \ - Violence extrême - - Mar 14 Avr - 20:22







L'ancienne école



La gonzesse m'avait r'mercié et avait chopé ma flasque et bu d'dans comme si c'était d'l'eau. J'm'attendais pas à tomber sur une bourgeoise effarouchée, vu sa dégaine, mais j'm'attendais pas à c'qu'elle ait une descente de marin polonais. Ça m'a surpris. À peine avait-elle fini qu'elle me l'a r'balancée entre les mains, avant d'me dire :

- Venez, il ne vaut mieux pas rester ici.

C'était une évidence, et pourtant j'm'étonnais qu'elle le sache aussi. Les nanas qui traînaient dans c'genre de quartier avaient tendance à être plutôt du mauvais côté d'la loi : putes, maquerelles, dealeuses, elles valaient généralement pas mieux qu'les gars avec ou pour qui elles bossaient.

- T'as raison gamine, j'lui ai répondu. Arrachons-nous avant qu'la merde vienne nous coller au cul.

Elle avait l'air de mieux connaître le coin qu'moi, alors j'l'ai suivie prudemment. Une fois sortis dans la rue, à la lumière, j'en ai profité pour l'examiner : pas si jeune que j'croyais au vu d'son accoutrement, p't-être 35 ans environ. L'air assuré d'la môme qui connaît déjà bien l'fond d'la merde, et qu'a pas tellement envie d'y r'tourner. Des vêtements noirs, pas mal de cuir, des clous, un anneau dans l'nez. Elle voulait clair'ment pas être comme les autres, et faisait tout pour pas leur ressembler. J'aurais pu en ricaner, mais la vérité c'est qu'j'la comprenais. Son regard laissait supposer quelqu'un qu'hésite pas à balancer des marrons, même à plus fort que soi. Elle n'était pas apeurée ni par c'qu'elle venait d'voir, ni par c'qui pourrait nous tomber d'ssus. Elle calculait, comprenait, et tirait les bonnes conclusions. À sa façon j'la trouvais un peu jolie, même si j'pense qu'c'était surtout parce qu'y avait marqué "allez bien vous faire foutre" en travers de sa gueule. Elle r'gardait partout en même temps, comme si elle craignait d'voir l'danger surgir de partout. C'était justifié, mais quand on avait l'habitude, on s'comportait pas comme ça, ça nous trahissait. On s'contentait d'garder tous ses sens en éveil et les poings serrés. Elle avait pas l'habitude d'êt' dehors, et avait hâte de s'mettre à l'abri. Mais, pas conne pour un sou, la môme avait commencé à marcher pour m'entraîner plutôt que d'courir. Rusé. Courir, c'est afficher dans son dos "j'suis pas net". Elle l'avait d'jà compris. Quand on s'était éloignés du lieu d'la p'tite altercation, elle m'a d'mandé :

- Et du coup, vous travaillez pour qui, si c'est pas indiscret ? A moins que votre passion est juste de voir jusqu'où quelqu'un peut tenir sans se soulager dans son pantalon. Ce serait original et amusant, mais j'en doute.

En plus elle se foutait d'ma gueule, et elle avait d'l'humour. Et assez de présence d'esprit pour essayer d'me faire cracher subtilement mon taf. Bien joué gamine, un plus con s'y s'rait laissé prendre.

- J'bosse pour ma gueule, j'lui ai dit. C'que t'as vu là - et d'ailleurs j'suis désolé qu'tu l'aies vu - c'était juste le boulot. Le gars m'a pas causé comme y faut. Mais pourquoi tu m'as aidé à m'tirer ? T'es qui, toi ?

Ça m'faisait quand même du bien d'pouvoir compter sur quelqu'un, même si c'était qu'un peu, même si c'était pas longtemps.



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L'ancienne école / ! \ - Violence extrême - - Mer 15 Avr - 9:56

L'ancienne écoleQuand on a plus d'électricité, ni internet, on a...
Lewton !



Pendant un bon moment, tu t'es sentie observée, non pas par un regard hostile, mais par celui, inquisiteur, de l'homme à la mandale facile. Terrible néanmoins particulièrement efficace comme méthode. Cela te laisse songeuse quelques secondes, un type neutre et libre qui travaille ainsi n'allait certainement pas le rester très longtemps. Toi, tu n'as plus aucun recours depuis que tu n'as plus internet, en même temps, tu devais te faire un peu oublié donc c'est sans doute pour le mieux. Mais lui, le blackout n'a pas l'air de le déranger le moins du monde.

"Il n'y a pas de soucis. J'ai vu bien pire."

Entre ce qu'on peut trouver légalement sur internet et ce qu'on peut y dénicher d'illégal, voir un homme se faire démonter n'est certainement pas quelque chose de particulièrement choquant. La suite de la question te fais sourire.

"Tu parles d'une aide ... "

Après tout, on s'est juste éloigné d'une maison avec un cadavre encore sanguinolent. Tu ne vois pas ce que tu as à voir là dedans, et il fallait surtout que tout le monde soit de ton avis. Au moins, Monsieur ne travaille pas pour la Bratva ou le gouvernement, et cela fait sacrément ton affaire.

Alors que vous quittez le quartier incriminé, vous voilà arrivés dans un parking désert où quelques taxis attendent leur premier clients en somnolant. Pour ta part, tu n'as pas spécialement envie de refaire le trajet en sens inverse à pied, principalement parce que tu n'as pas envie de rentrer tout court.

"Je suis personne, moi. Juste une petite informaticienne au chômage technique pour le moment. T'es un privé ? T'aurais du temps pour une affaire pas commune ?"

Ton intonation a changé, un intérêt soudain a clairement illuminé la conversation. S'il était aussi impliqué et appliqué dans son travail, tu aurais toutes les chances de ton côté pour comprendre ce qui avait pu se passer.

"C'est beaucoup moins intéressant que de casser des nez, encore que... Mais pour le moment, j'ai les mains liées et je n'ai aucun autre recourt."

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L'ancienne école / ! \ - Violence extrême - - Mer 29 Avr - 10:08







L'ancienne école



Une informaticienne. J'avais entendu causer de c'genre de truc. C'était la modernité, plusieurs autres privés ne juraient qu'par ça. Ils pensaient qu'on pouvait tout trouver avec une machine. Moi, j'étais un peu plus vieux jeu. J'croyais fermement qu'la meilleure façon d'avoir un renseignement fiable, c'était qu'il sorte directement d'la gueule d'un mec concerné, de gré ou d'force. Mais en attendant, elle avait besoin d'mon aide d'après c'qu'elle m'disait, et j'lui d'vais bien ça. Et j'avais bien moyen de lui consacrer un peu d'temps, mon affaire actuelle piétinait pas mal.

- Tout dépend, j'lui ai fait. C'est quoi ton affaire ? De quoi t'as b'soin ?



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L'ancienne école / ! \ - Violence extrême - - Mar 12 Mai - 10:40

L'ancienne écoleQuand on a plus d'électricité, ni internet, on a...
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Il te demande, sans détours, de parler de ton affaire. Ayant sa culpabilité entre les mains, tu n'hésites pas un instant avant de lui donner plus de détails :

"J'ai ... J'ai un peu merdé il y a quelques temps. J'ai obtenu des informations que j'aurais pas du obtenir. Elles étaient cryptées donc inutilisables pour le moment. Le truc c'est que j'ai été trop imprudente, quelqu'un m'a pisté."

Vous voilà dans ce parking, le jour se lève paresseusement et tu attends de voir s'il n'y a vraiment personne aux alentours avant de continuer ta petite histoire. Tu t'approches de lui afin de pouvoir baisser la voix.

"Quelqu'un a voulu me tuer. J'ai pu m'enfuir mais dans tout le délire, j'ai eu un accident. Aujourd'hui, je ne sais pas s'ils pensent que je suis clamsée ou s'ils me recherchent encore. J'aimerais savoir tout ça, et surtout, j'aimerais savoir qui sont ces "Ils""

Malheureusement, tu n'as aucune idée de ses tarifs ni s'il n'est pas déjà de mèche avec "eux", mais tu n'as plus vraiment le choix. Tu as décidé que tu en avais marre de fuir et qu'il était plus que temps d'aller de l'avant. Le blackout ne joue vraiment pas en ta faveur pour les recherches mais il doit aussi freiner les leurs pour te retrouver. Tant qu'il n'y avait plus ni électricité, ni internet, tu demeure invisible à leurs yeux.

"Si tu m'aides sur ce coup là, j'me met à ton service questions recherches pour tes autres affaires. Deal ?"

A présent, quelques personnes commencent à affluer par ici. Heureusement, tu as fini ta petite histoire à temps. Tu attend juste son assentiment ou qu'il t'envoie royalement te faire foutre.

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L'ancienne école / ! \ - Violence extrême - - Mar 12 Mai - 11:41







L'ancienne école



La môme était apparemment emmerdée par quelques costauds. Et vu sa dégaine, j'supposais qu'c'était pas des p'tits merdeux qui sortaient d'l'école. Elle avait l'air de savoir distribuer des mandales, alors pour qu'un type lui foutes les chocottes, fallait qu'ce soit un vrai méchant. J'la trouvais plutôt sympa, j'avais envie d'l'aider, et par-dessus l'marché son offre était intéressante. J'bitais rien à la technologie, et j'savais que j'me privais d'un outil vach'ment utile. Mais bosser sur une autre enquête alors qu'j'avais pas fini la première ? J'aimais pas beaucoup ça, ça m'foutait la merde dans mes pensées. Mais en même temps j'piétinais pas mal, et p't-être qu'elle allait pouvoir m'aider.

Après avoir pris l'temps d'réfléchir en la r'gardant droit dans les yeux, j'lui ai fait :

- Ça roule. On va aller à mon bureau et tu vas m'raconter toute ton histoire.

J'ai r'commencé à marcher, rapidement, en f'sant des détours inutiles par les rues désertes et les parcs fréquentés. J'voulais être sûr qu'personne puisse nous suivre. Arrivé à la maison, j'suis entré en premier, j'ai monté l'escalier quatre à quatre, et j'ai ouvert le bureau. Par réflexe, j'ai allumé la lumière. Surprise, ça s'est allumé ! Apparemment, le courant était rev'nu. J'me suis rué sur ma chaîne hifi, j'ai mis la musique d'ambiance, et j'ai couru m'asseoir à mon bureau avant qu'elle entre. Putain c'que j'aimais ces moments-là.


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[HRP : Musique d'ambiance diffusée dans le bureau : ]
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