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Barracuda - Mer 26 Sep - 16:13


BARRACUDA

AUGUSTIN & MARIA & ALEJANDRO

"Ce soir j'ai de la fièvre et toi tu meurs de froid "
....


1925, l’air vicié par la poudre, le mafiosos italiens à leur apogée, Al Capone tout en haut, Chicago à ses pieds. Le moeurs troubles et la contrebande en profusion, l’alcool interdit et pourtant jamais autant d’alcooliques dans les bars et les maisons closes. Remerciements aux bootleggers , ces hommes qui ramènent des bouteilles dissimulées dans leurs bottes. Et ce soir, à l’Eskisémouha, maison close réputée pour répondre les demandes les plus originales, le rhum coule à flot dans les gosiers des hommes qui n’apprécient guère être vue en compagnie de leurs homologues. Car ce sont bien des corps masculins dénudés et marbrés qui se déhanchent dans les  couloirs. Et ce sont bien des corps masculins que les clients viennent rechercher. Et au centre du salon principal, le mâle qui lorgne sur les clients, les yeux maquillés de noir et la bouche en coeur est bel et bien le préféré. Jean qu’il se fait appeler. Jean, qui par sa résonance française fait crépiter les lèvres et lever la queue des imbéciles du quartier. Jean qui a pourtant la peau brûlée par le soleil, les cheveux bouclés ébène et l’accent brésilien qui roule sur la langue. Jean est beau et Jean est apprécié. Et Jean est bourré ce soir, appréciant une nouvelle cargaison fraichement arrivée, d’un alcool de contrebande un peu dégeulasse mais hautement appréciable vu la difficulté d’en trouver.  « Jean, du calme sur l’alcool » qu’on lui murmure au gosse du brésil, petit préféré de la patronne et de la jolie serveuse, qui s'évertue de faire ce qu'il veut depuis quelques semaines. «  Jean, tu n’as pas un client à aller occuper ? » qu’on lui demande, car le gosse a les pieds bien ancrés dans le sol depuis des heures alors qu’en temps normal, il vogue de lit en lit sans se soucier de la tête de celui qui crie. « Moi je vais rester là pour raviver le feu parce que des fois il se déravive. » qu’il réponds l’homme de milles autres, un verre qui trinque avec ses lèvres depuis le début de la nuit. Car Jean est différent depuis quelques temps. Depuis qu'il a compris qu'au creux de son corps, y'avait un Dieu Maya qui chante la vie, danse la vie, n'est plus amour mais plutôt morbide.


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Barracuda - Jeu 27 Sep - 10:12



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Egyptienne paumée dans un endroit trop douteux pour elle, qui aurait cru qu'embarquer sur ce navire l'emmènerait aussi loin ? Elle était pourtant persuadée que c'était un cargo pour aller en France. Résultat elle se retrouve ici. Jasmine a bien plus d'argent que dans son pays natal, mais les mœurs légères sont très peu pour elle. Le Djinn n'a pas le choix que de faire avec l'évolution du nouveau monde, le monde occidental en particulier. Le maître est ici, elle ne peut partir alors elle fait ce qu'elle sait faire de mieux : servir, les boissons surtout, ici ils ont tout un tas d'alcools différents qu'elle a encore du mal à les différencier. Son regard se pose sur les vêtements d'une de ses collègues, toujours aussi extravertie dans le choix de ses robes pour se faire remarquer car elle désire ne plus servir en bar mais passer dans les chambres. Elle aguiche la clientèle en quelque sorte, et tous les moyens sont bons pour attirer l'attention, même avoir fixé des flasques au niveau de sa poitrine pour que les clients s'abreuvent là...C'est particulier. Jasmine l'observe de haut en bas, un peu dubitative. « Sympa ta robe... »Ouais c'est, particulier, intéressant, c'est surtout qu'elle se moque un peu d'elle. Elle revient au comptoir avec son plateau, range la vaisselle et jette un coup d'oeil à son bocal où il y a trois poissons rouges un peu cons. C'est à se demander si il n'y a pas de l'alcool dans l'eau. Quoi qu'il en soit, ce sont les mascottes, qu'elle vient nourrir avec des morceaux d'algue séchés. « Petits, petits, petits... coucou, voilà le petit déjeuner !... Immondis ! C'est quoi ça ? Lovenpis !  Serge !   » Elle lève les yeux, observe la salle bien moins remplie que d'habitude. Le patron ne sera pas content s'ils ne renflouent pas rapidement le coffre comme cela a été le cas ces dernière semaines, elle compte les billets gagnés jusque là, soudainement interrompue par l'arrivée de Jean. Elle lui sourit, lui offre quelques cacahuètes à grignoter, son métier ça doit donner faim. « C'est trop calme… J'aime pas trop beaucoup ça… J'préfère quand c'est un peu trop plus moins calme.  » Fait elle à l'adresse de son collègue visiblement déjà bien éméché. C'est vrai que d'ordinaire c'est bien plus animé. Mais au moins de là elle peut veiller sur son maître, être présente pour lui au cas où il a besoin qu'elle fasse quelque chose ou bien lui réaliser des vœux.




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Barracuda - Jeu 27 Sep - 12:04


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"Ce soir j'ai de la fièvre et toi tu meurs de froid "
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L’Eskisémouha, un vendredi soir, rendez-vous habituel pour Lukas qui a la certitude d’ici pouvoir se reposer de la semaine en s’adonnant aux vices les plus agréables. Il y a toujours la possibilité de se faire coincer, ils le savent tous, mais les politiciens et forces de l’autorité sont tout aussi corrompues que leurs concitoyens : ici on croise des flics en civil qui se font tout petits, et des membres du cabinet du maire. Il n’y a vraiment pas grand-chose d’autre à craindre qu’une soirée un peu trop arrosée finissant en black-out total. Lukas préfère la douce torpeur de l’oisiveté légère, agrémentée d’une sucrerie brésilienne qui est devenue son dessert favori. Il faut dire qu’une fois passé entre ces mains magiques, il est difficile d’avoir de l’appétit pour quelqu’un d’autres – ce serait comme préférer du pain rassis à un fondant au chocolat.
Il entre dans le club et se fait arrêter par une secrétaire qui vérifie la liste. Apparemment, il faut qu’il renouvelle son adhésion au club. Lukas soupire et sort son chéquier, tandis qu’on lui présente un contrat à parapher.   « J’en peux plus de cette papyrasse administrative, » râle-t-il tout haut, car cet après-midi au travail on leur avait envoyé un paquet de dossiers à remplir concernant des commandes de fournitures. Il finit de régler l’adhésion, la secrétaire est agréable et s’assure que tout est rapidement fait, parce que les clients qui se pointent ici on soif, faim, sont riches et assez exigeants. Heureusement, Lukas est un homme patient et compréhensif (la plupart du temps). Il sourit à la jeune femme et lui laisse un billet vert sur le comptoir, histoire de faire briller ses jolis yeux.

L’ambiance à l’intérieur est tamisée, la musique change selon les pièces et l’atmosphère aussi.  Il fait un tour dans la salle où les danseurs font l’amour à des poteaux pour le plaisir des clients attablés, des gens discutent, boivent, fument. Il s’assoit, se fait offrir un verre par un gars qui a une bouteille mais n’a pas envie de la boire tout seul. Il ne sait pas combien de temps il reste à picoler et à admirer les danseurs, mais quand il se lève, le monde tangue agréablement et il se sent tout à fait d’attaque pour aller croquer dans le Pain de Sucre. Il rejoint une salle un peu plus loin, et Jean est là, magnifique, le corps luisant et sentant l’alcool et la débauche à plein nez. Un sourire gourmand étire ses lèvres alors qu’il rejoint le jeune homme au nom tout sauf brésilien, mais qui est si agréable à prononcer,  car il sonne dirty à ses oreilles. «  Jean… » Il ouvre les premiers boutons de sa chemise, s’approche de lui et le tire par la ceinture pour l’amener à lui. Les yeux rieurs et les pupilles dilatées, il se rend alors compte qu’il y a une fille dans la pièce. Assez mignonne, au teint halé… deux sucreries aux parfums du sud pour le prix d’une ? Il lui sourit, un peu surpris car il ne se souvient pas de l’avoir déjà vue ici. « Mademoiselle, je ne crois pas vous connaître… » le sourire charmeur s’agrandit alors qu’il lève son verre de whisky pour boire une gorgée, l’autre main remontant délicatement sur les abdominaux de Jean, sentant les muscles sous la peau huileuse. « Vous me rappelez un ancien poème égyptien qui dit… Nil, Nil, Nil, fleuve impétueux et tumultueux, tu es comme notre Reine : la source de la vie. »


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Barracuda - Ven 28 Sep - 10:05


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Esmeralda, reine de Saba (non), toujours aussi belle et délicieuse lui propose des cacahuètes pour se remplir la panse : c’est que sous cette peau marbrée, se cache un adorateur de la bouffe, capable d’ingurgiter des tonnes de nourriture si on lui en laissait le temps. « Gracias petit géranium »  qu’il murmure Jean, en grappillant quelques cacahuètes tout en ondulant du bassin tel un cobra prêt à fondre sur sa victime. Et quelle victime… Luka l’ingénieur, petite tête bien pensante et à la queue bien levée sous les doigts magiques du brésilien débarque et agrippe sa ceinture. « Tu sais trouver les mots pour parler aux femmes. » que Jean répond, amusé face au charme que fait son client à la jolie serveuse. Et quand il se penche, mordillant le lobe de Luka, il sent l’alcool l’enivrer un peu plus et le désir l’acculer encore plus « … Ou alors c’est la Gaule qui parle… » et souffler la phrase à l’oreille de l’ingénieur avant d’éclater de rire et se reculer d’un mouvement de bassin, toujours les yeux ancrés dans ceux de son client. Y’a l’alcool bon marché qui parle, y’a le dieu qui crépite en lui qui suinte, y’a la musique qui court dans ses synapses et y’a le regard d’Esmeralda qui ranime un peu le feu au creux de ses reins - il préfère les hommes Jean mais Esmeralda est différente, elle lui obéit. Elle fait ce qu’il veut, ce serait dur d'y résister. «  Dis Luka… Tu ne pourrai pas me le faire une fois de face, comme ça ? »  qu’il crie presque la putain, le menton relevé et la chemise qui est déboutonné. Offrande d’un corps qui a envie d’originalité ce soir. Et oublier ce qu’il devait faire alors que les bra s’élèvent et que l’alcool lui murmure de danser jusqu’au bout de la nuit. (comme les démons, fuck pas le bon siècle)

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Barracuda - Ven 28 Sep - 10:37



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Jean mange les quelques trucs à grignoter qu'elle lui donne, elle veille constamment sur lui, c'est son chouchou et elle le veut en forme, toujours. Un client arrive, visiblement épris de Jean et en même temps c'est compréhensible. Il lui dit bonjour, la charme d'un poème et l'egyptienne rougit. «je suis mon cher ami,très  heureux de te voir» répond t-elle, avec un large sourire parce qu'il faut être gentil avec les clients. C'est ce qu'on lui a appris, le plus important ce n'est pas de gagner ta vie mais de faire en sorte que le patron soit content. Quoi qu'il en soit le sourire et la bonne humeur sont naturels chez elle. Elle fait son travail et s'occupe de ses clients qui présentem sont Jean et son partenaire qu'elle ne connaissait pas. Bel homme au physique méditerranéen et qui aurait tout pour faire chavirer son cœur. Mais il y a Jean aussi qui la regarde sans la voir, c'est parce que c'est son maître qu'elle y est attachée mais il fait tout aussi bien fondre son cœur ce petit brésilien. Pas de jalousie, il fait son travail, il est libre d'aimer et de désirer à l'infini. « voilà deux imotep » Elle pose deux boissons sur le comptoir en bois devant les deux hommes, rajoute une petite fleur dans chaque pour personnaliser leurs wisky arrangé à sa sauce. Le patron n'aime pas qu'elle fasse des mélanges, paraît il que c'est contre nature mais un peu d'exotisme ne fait pas de mal. Elle sort du comptoir pour aller chercher les verres vides, encaisser. « que faites vous dans la vie ? » elle demande au nouveau venu




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Barracuda - Dim 7 Oct - 13:20


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Jean, ce petit coquin, toujours le mot pour rire. La blague sur la gaule susurrée à son oreille avec une voix langoureuse, effrontée et bien trop satisfaite de lui-même le fait rigoler en même temps que son contact et ses titillements lui causent des frissons de désir farouches. La gole, ouais, il l’a, ça c’est pas un souci. Il sourit hilare, et l’attrape de nouveau par la ceinture, feint de venir lui mordre la bouche comme un loup le ferait. Jean s’écarte de nouveau, se déhanche sur la musique, apparemment aussi bourré que lui. La serveuse lui répond très poliment, et Lukas sourit, amusé et charmé par la donzelle. Il sourit au rythme presque poétique de sa phrase, compte les syllabes sur ses doigts – ingénieur oui, mais ingénieur bourré – et regarde Jean, médusé. «  Tu as entendu ça ? C’est un alexandrin… » 

Deux imoteps sont posés sur le comptoir et Lukas fronce les sourcils, intrigué. Il n’a jamais entendu parler de ce cocktail ici, c’est sûrement une nouveauté arrivée avec la jeune femme. Il prend le verre en main, le sent – c’est du whisky, mais ça a l’air sucré et fruité. Il boit une gorgée et fait un bruit de contentement parce que c’est bon. Il n’a aucune idée de ce qu’il y a dedans, mais il finira son verre sans aucun problème et en redemandera sûrement par la suite. Son attention est accaparée par Jean qui se trémousse juste là sous ses yeux. Il lève les bras et le hèle, criant presque sa demande enthousiasmante. Il se mord la lèvre, plus que tenté par la proposition. « J’te prends de face, de côté, de dos, tout ce que tu voudras. » Histoire de mettre des actes sur ses paroles, il fonce sur lui, sourire carnassier sur le visage enlève sa chemise, l’attrape par les hanches et le couche sur une table pas loin du comptoir. Il couvre son torse de baisers, mordille la peau huileuse et voit la serveuse continuer de laver des verres dans la périphérie de son champ de vision. «  Je suis ingénieur, je fabrique des téléphones, » explique-t-il, version largement simplifiée parce qu’il n’a pas envie de rentrer dans les détails et qu’en général les gens n’en ont pas envie non plus. En plus, il est un peu occupé à défaire le nœud du pantalon en toile qui tombe sur les hanches du jeune homme sous ses mains. « Un boulot bien moins amusant que le vôtre… c’est une bonne situation, ça, serveuse ? » Il aime bien parler au gens, curieux, sociable, et il se demande d’où elle vient et comment elle est arrivée ici.


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Barracuda - Dim 7 Oct - 16:20


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Le temps de rien, ni de boire, ni de continuer de danser, voir les deux imoteps sur le comptoir et sentir le cerveau griller sous les mot tendancieux de Lukas. De face, possible, de dos, possible, mais… Il demande à voir, Jean, comment l’ingénieur compte gérer de côté. Ça le rend curieux, ça le fait frétiller. Et alors que l’esprit brûle encore un peu plus sous l’alcool et que les images deviennent des mirages, ce n’est que la voix d’Esmeralda qui rappelle le dieu sur le sol. Mots qu’il n’a pas le temps de comprendre que déjà, Lukas l’agrippe par la ceinture et le plaque sur la table, pour l'écraser de tout son poids. « Lukas… prépare mon sarcophage si tu continue de… oh…hace cosquillas » qu’il murmure, rigolant sous les baisers de Lukas qui s’amuse a discuter avec la jolie serveuse, les doigts occupés à triturer la peau du brésilien. Et écouter la verbe du client, se dandiner sur la table et sentir que le corps réagit ardemment sous les caresses et... « Aaah !! J’crois que j’ai été touché ! »… les mains qui attrapent celles de Lukas, l’empêchant de continuer, la tête qui se relève, regarde le bas du pantalon. »«Ah.... Ah non. » et se rendre compte que non, malgré les mots doux et les baisers, le bas du pantalon reste inlassablement vide et mou. »« L’alcool ne me réussit pas…Allez Petits, petits, petits...coucou, voilà le petit déjeuner... » qu’il murmure le brésilien en essayant d'éveiller le bas ventre écrasé par son acolyte de la soirée.


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Barracuda - Mar 25 Déc - 10:31



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Les hostilités débutent et jasmine continue de nettoyer ses verres, tout à fait habituée à voir ce genre de scène. Il lui arrive de participer, parce que pourquoi ne pas en profiter ? Mais elle est surprise d'entendre Lukas continuer de lui faire la conversation. Un sourire et elle répond à sa question« Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seule chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée... Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir, je dirais qui vous aide à...à avancer. Alors ça n’est pas mon cas hein, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie... je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de...De soi... » Jean a l'air dans la détresse de la braguette, elle sort alors du frigo un mélange énergisant avec des morceaux de gingembre et de maca.  Elle sort de son comptoir, s'approche des deux amants dont Jean étalé sur la table et lui fait bouffer sa mixture. « Et c'est qui le lion maintenant ?»




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Barracuda - Mer 26 Déc - 8:12


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Trop bourré, Jean ? A tel point qu'il n'arrive pas à faire son travail ? Ou bien est-ce juste Lukas qui ne l'intéresse pas vraiment ce soir ? Il y a de quoi être vexé, surtout quand ça vient de la part de son danseur préféré. Son esprit est pourtant bien vite diverti par la serveuse qui entreprend de lui faire un long monologue introspectif en réponse à sa question pourtant simple. Subjugué, Lukas lève les yeux, toujours à moitié couché sur Jean qui glousse sur la table, et il observe la jeune femme avec curiosité. Tout à sa vaisselle, elle parle et parle, et Lukas a beau être ingénieur il est largué depuis la troisième phrase. Surtout quand elle parle de construction mécanique ? En tout cas son enthousiasme est aussi inattendu qu'amusant, et Lukas ne peut s'empêcher de rire. Il se relève et laisse Jean tranquille avec sa détresse de la braguette, qui semble l'amuser bien plus que lui.

La jeune femme met fin à son récit et s'approche pour faire manger quelque chose à Jean. Il comprend à ses mots que c'est certainement un mélange destiné à faciliter les ébats. Lukas sourit et remonte sur la table, perd pas de temps à lui mettre la main au paquet. « Le lion ne s'associe pas avec le cafard... ça tombe bien, je suis pas un cafard. Tu veux voir mon boa constrictor ? »


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Barracuda - Jeu 27 Déc - 16:19


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Il se sent nul Jean, il a froid à la braguette alors que le corps tout entier brûle sous Lukas. Pourquoi ça ne se passe jamais comme il faut quand on boit trop de nectar ? Il va devoir demander à Jasmine de lui interdire le mini bar. En parlant d’elle, c’est qu’elle a une jolie voix  la serveuse, parfois il l’oublie. Les yeux se tournent, il l’écoute, ne comprend rien et se retrouve avec une mixture dans la bouche sans avoir demandé son reste. c’est… Dégueulasse ? Mais ça donne chaud ! Assez pour avoir la tête qui explose sous un feu d’artifice saveur gingembre. Sacré Jasmine, elle en cache des surprises !
Lukas revient au pas de charge, motivé après la plaidoirie de la djinn et l’odeur du succès qui brûle la gorge de Jean. Aaah il se sent mieux le danseur tout à coup et ne peut s’empêcher de pouffer de rire sur l’évocation du boa constrictor.  « Intéressant… » Les lettres roulent dans l'accent espagnol. « En tout cas, mon cher Lukas, si toi tu es un boa… Moi j’ai plus d’appétit qu’un barracuda. » Le visage se tourne vers Jasmine, comme tous les soirs quand il prononce cette phrase.  « BARRACUDA ! »

L’histoire ne nous dit pas si Lukas a réussi à avoir ce qu’il voulait ou si Jasmine a pu se libérer de l’emprise de Jean. Ou encore si Jean a décidé d’arrêter le nectar. Mais au fond des carcasses humaines, les dieux se tapent le front d’une main en se rappelant cette scène. Tout de même, ce serait amusant qu’ils se retrouvent dans la même situation à la prochaine récurrence...


*musique dramatique*

THE END


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