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Believe in me

 :: terminés
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Believe in me - Ven 19 Oct - 0:51


Believe in me  QyXF
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Do I have to run and hide ?

Journée entière à dormir, est-ce réellement surprenant. Nuit de chasse qui s'annonce, mon casse croûte personnel n'est pas rentré depuis plusieurs jours, je suppose qu'il a mieux à faire en espérant que ce ne soit pas avec un autre oupyr. Possessivité maladive, c'est ma perle et je ne compte pas laisser d'autre poser leur crocs dessus. J'espère surtout qu'il va bien. Vagabonder dans les rues à la recherche d'une proie, d'un repas digne de ce nom. J'arrive à faire le difficile, alors que j'ai faim. Ce n'est pas non plus la famine, mais je ne cracherais pas sur l'idée de trouver un repas tout de suite. Nuit de folie, direction la boite dans le centre-ville, plus facile de trouver dans un endroit remplit de jeune bourré et bien trop excité. Mes pas me guident donc jusqu'à la boite, mais le destin me fait suivre un tout autre trajet au détour d'une rue. Silhouette que je connais si bien, petit homme au courbe qui m'appelle. Mon regard ne te quitte plus pendant que tu sembles ne même pas m'avoir remarqué, trop occupé à penser je suppose. Je reste derrière à te suivre, te voilà qui défi encore les règles, tu montes sur un toit, je t'admire passer par les escaliers de secours, j'attends sagement que tu ai fini pour monter à mon tour, discrétion totale, du moins si l'escalier est coopératif. Sur ce toit, je te retrouve encore si occupé à penser que tu ne me vois pas, tu ne m'as pas entendu monté ? Ou tu ne fais juste pas attention ?

Mains dans les poches je m'approche de toi, je me glisse dans ton dos sans te toucher et j'approche mes lèvres de ton oreille. « Bouh. » J'avais juste envie de te faire sursauter, de te faire sortir de ce qui semble te rendre déprimé, enfin c'est ce que je peux lire sur ton visage. Qu'est-ce que tu fais en haut d'un immeuble avec la tête d'un type qui pourrait se jeter à n'importe quel moment. Je n'aime pas te voir comme ça, alors j'attrape ta main pour te faire tourner comme une princesse avant de planter mon regard sur toi, sourire aux lèvres. « Tu as l'air en forme dis-moi, ça te dis un suicide en groupe ? J'ai reçu une invitation ! » Faire de l'humour noir, mais quelle bonne idée et après ça je lui annonce que j'ai tué un de ses amis en arrivant, on est parti pour une bonne soirée. J'abuse je le sais, mais c'est plus facile de jouer de l'humour quand ça ne va pas, plutôt que de pleurer tous les deux. Je pose deux doigts sur les coins de tes lèvres et je les relève un peu. « Mais quel beau sourire ! » léger rire avant de juste caresser une de tes joues du bout des doigts. « c'est quoi le problème Camille ? Tu veux en parler ? »

Je serais le daddy inquiet et toi le gosse qui pleure dans mes bras ? Ce n'est pas que ça ne plait pas, mais je te préfère bien plus souriant. Je t'aime aussi avec ta tête de sale gosse, mais ça c'est dans un autre registre. Mes mains qui reviennent se glisser dans mes poches et je soupire un peu. J'attends que tu m'expliques tout, je suis là pour toi, j'attendrais pour le dîné. Tu disparais pendant plusieurs jours et quand je te retrouve tu es complètement déprimé, je vais finir par ne plus te laisser aller dormir ailleurs pour être sûr que tout ira toujours bien pour toi. Je te surveillerais encore plus, j'ai une passion déjà pour te stalker quand tu ne peux pas me voir, heureusement que tu ne m'as jamais capté, je ne sais pas si tu serais resté avec moi autrement, mais j'ai toujours peur que tu décides de partir que je te surveille.
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Believe in me - Ven 19 Oct - 2:16


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À quoi tiennent les choses, parfois ? Peu, voir rien. J'erre, âme en peine, sans savoir quoi faire. Peut-être que suite à tout ça, j'aurais dû aller te voir directement. Mais je ne sais pas. Malgré tout, j'ai cette peur intense qui m'habite. De ce que tu pourrais faire, quand tu sauras. Parce qu'il faudra bien te le dire. Je cherche encore la forme, ce qui pourra être dit ou non. Et je sais qu'il faudra dire toute la vérité, que tu pourrais aller la chercher autrement de toute manière. Un soupir qui tente de chasser la pollution ou le blues, mais aucun ne s'en va et ça me colle à la peau. J'ai beau passer des nuits dehors, le mal ne s'en va pas. Foutu mélancolie qui ne me sied pas. Peut-être que je regrette déjà la vie, peut-être que je profite de mes derniers jours, peut-être heures, avant que tout cesse ? Je ne sais pas. J'accepterais mon sort, dans le pire des cas. Il y a des confiances qu'on ne trahit pas.

Et j'erre, à la recherche d'une occupation, d'un quelque chose à accomplir pour une ultime fois. Mais c'est dans ce genre de moment qu'on se rend compte de la vacuité d'une existence. Perdu dans la haine, le Renard ne profite plus de rien. Colère qui gronde encore, sous la peau, contre les divinités. Si Tim n'avait pas eu ce parasite, rien de tout cela ne serait arrivé... Et je ressasse, sans m'arrêter, tout ce qui a pu être dit. Il n'oubliera pas, il l'a avoué. Et même si je n'ai rien dit, ton existence est mise en danger par ma seule faute. Je ne sais pas encore si j'ai totalement confiance en Tim, pour tout avouer. La peur qui parle à ma place ? La méfiance naturelle, due à ce qui le rongera au fur et à mesure des années ? Je ne sais pas. Je ne prête plus attention à rien, passe dans les rues jusqu'à trouver un lieu qui me ravive moult souvenirs. Quelques acrobaties et me voici face à la ville.

Elle qui est si belle.
Quand elle le veut.

Mais me voici déjà à sursauter. À tourner la tête alors que je reconnaîtrais ta voix entre mille. Tes murmures me font parfois tourner cette première. Main qui est attrapée et je me vois être tourné sur place, pour te faire face. C'est le moment que je redoutais. Ton humour, bien qu'apprécié, ne fait pas mouche pour cette fois. Et j'essaye, je te le promets, d'en sourire. Mais je pense juste à l'après, où le vide me recueillera. Je déglutis, te laisse jouer autant que tu voudras, avant que la question ne tombe finalement, quand tu vois que tes efforts ne parviennent à me dérider. Peut-être que je ferais mieux de sauter directement, plutôt que de t'avouer que je t'ai trahi ? Je hausse les épaules, profite encore des caresses tant qu'elles sont distillés, tant que tu crois avoir un chat fidèle face à toi. Pas un traître pas foutu de résister à un réincarné.

... Salut, Jav'. Politesse de base, alors qu'il est dur de soutenir ton regard, de ne pas me soustraire à celui-ci. C'est compliqué. Infiniment trop, même. Regard sur toi, dans l'ensemble, pour tenter de sourire, rien qu'un peu. T'es tout en beauté, ce soir. Qu'est-ce que tu comptes chasser, dis ? ... Désolé d'avoir été absent, je... Je ne voulais pas... Et finalement, je ne sais plus faire, alors mon regard se pose sur la naissance de ta gorge, sur la naissance du sternum. ... Je... Je suis désolé, Javier... Ne le dis pas, Renard. Il ne te pardonnera jamais. Mais je ne peux être lâche, face à pareille nouvelle. Alors je relève une dernière fois les yeux vers les tiens. Je l'ai dit. Pardon. J'ai dit à quelqu'un que je nourrissais un vampire. J'ai trahi, Javier. Je t'ai trahi. Et le coeur battant, j'attends ton verdict.
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Believe in me - Ven 19 Oct - 2:54


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Aucun sourire, aucun rire, voilà que j'ai l'impression d'être vraiment pas drôle. Décidément, je ne pourrais jamais monter sur scène pour raconter des conneries, si c'est pour que tout le monde ressortent avec ta tête, ou alors je me fais sponsoriser par l'hôpital, parce que bon, t'as tellement l'air de vouloir en finir. « Je mettais dis que si je me faisais beau et que tu me croisais tu ne pourrais pas me résister. » Mon regard qui reste plongé dans le tien quand tu ouvres enfin la bouche. Toujours pas de sourire, qu'est-ce que tu as bon beau Camille, qu'est ce qui te rend si malheureux. C'est compliqué que tu oses me dire, comme si j'allais me contenter de ça, puis la suite, je détourne le regard avec un air un peu énervé. J'ouvre un peu la bouche, puis finalement je me ravise, ça à l'air de te mettre si mal, pourquoi tant de tristesse pour une chose qui n'affecte que moi. « Shame on you» Je te pousse tu manques de tomber, mais ma main rattrape ton poignet et je te ramène avec force contre mon torse avant de venir te reposer plus au centre du toit, au cas où tu voudrais vraiment sauter. Je retire ma veste pour venir te la déposer sur les épaules avant de caresser tes joues lentement et avec deux doigts je relève ton menton pour que tu me regardes. « Tu as dit... que tu me nourrissais moi ? Ou juste que tu nourrissais un oupyr ? » Ce n'est pas vraiment la même chose, si tu as donné mon nom prénom en soit ça va être assez facile de me retrouver, mais si tu n'as pas dit plus que ça, pourquoi s'en faire ? Je ne te quitte pas des yeux, je garde mes doigts sous ton menton que je caresse du bout du pouce.

Moment un peu étrange, je n'ai pas pour habitude de laisser les gens avec un souvenir de moi, ou de laisser les gens en général s'en sortir indemne. Pourtant, si ça te tracasse tant c'est que ce n'est pas quelques choses que je dois prendre à la légère. « A qui tu as bien pu dire ça pour que ça te tracasse autant ? Normalement tu ris au moins à mes blagues par gentillesse. C'est que ça ne va vraiment pas là. » Tu as de la chance d'être quelqu'un que j'apprécie vraiment, un petit gars bien plus jeune, mais qui me plaît et m'amuse plus que n'importe qui. J'ai toujours plus envie de te protéger que de te faire du mal. Qui pourrait vouloir faire du mal à ta belle petite bouille, faudrait être taré. Je dis ça alors que je t'ai totalement massacré le corps à coup de crocs, je suis un taré, mais je crois bien que tu m'apprécies comme ça. Mes mains qui viennent prendre les tiennes pour les glisser dans mon dos, je te force à me faire un câlin, ce n'est pas moi qu'on doit réconforter, mais c'est moi qui mérite le câlin ! « Je dois tuer qui du coup ? J'ai faim. Tu peux le dire à qui tu veux. J'aurais juste à faire disparaître toutes les personnes à qui tu le dis. J'espère que tu n'as pas cru que j'allais te faire du mal, si ? ». Je serais quand même très triste, c'est vrai que je ne suis pas forcement un tendre avec d'autres personnes et que je t'ai poussé vers le vide pour juste te faire peur, mais jamais je te ne ferais plus de mal que te faire peur et te manger. Je n'aime vraiment pas cette idée. Pourtant je viens m'asseoir sur le rebord et je tapote mes genoux. « Si tu veux une punition je peux te donner la fessée, mais ça n'ira pas plus loin. Et sache que ce que tu vas dire pourra être retenu contre cette personne.  »

Incapable de te parler sérieusement, je ne sais pas comment réagir face à ton chagrin, mais j'aimerais quand même savoir … « Pourquoi tu l'as dit ? Si tu as confiance en la personne je n'en ferais rien, mais autrement... » Peu importe qui aura entendu ça, il risque de ne pas apprécier le temps que je vais passer à me charger de lui. J'espère pour lui que tu as confiance ou au moins que tu as de quoi me rassurer sur le fait qu'il ne sait pas du tout qui je suis, simplement un type que tu nourris, sans forcement que ce soit moi.
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Believe in me - Lun 5 Nov - 3:38


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Et la crainte, prophétique, qui semble se réaliser. Le mouvement et le coeur qui va pour lâcher avant que la chute ne vienne. Comme pour ne pas se rendre compte de la confiance qui s'étalera sur le bitume. Et je me rends compte, soudain, de l'importance de tout ceci. Et je rends compte, soudain, de l'importance d'une seule vie. Ça tambourine, dans la cage thoracique. La trouille qui germe plus forte encore, alors que la seconde semble éternelle, comme si j'allais tout voir défiler. Tous les regrets qui me frappent avec férocité. Et le vide qui cesse déjà, le pied droit qui revient sur une surface, mon visage qui retrouve la sûreté de ta personne. Ça fait mal de vivre, tu sais ? La terreur qui vient de s'installer, au plus profond de mon être, qui me paralyse les membres, qui me cloue la langue au palais. Alors je secoue vivement la tête, quand tu me demandes si c'est de toi dont j'ai parlé. Puis j'acquiesce tout aussi vite, quand il s'agit juste d'une globalité. Il y a comme une course effrénée, dans ma tête, dans mon corps.

Dis, Javier, tu vas me pousser encore ?

C'était terrifiant. Un instant où j'ai sincèrement cru mourir. Et j'en tremble encore, bêtement. Qu'il est bête, ce petit Renard. Lui qui se pensait invisible, lui qui se dit si souvent qu'il peut bien mourir. De la main de tous peut-être, mais pas de la tienne. C'est comme découvrir la vérité, soudainement. Comprendre d'où venais la profondeur de mes craintes. J'ouvre la bouche, sans parvenir à laisser passer le moindre son encore. Alors tu parles, comme pour combler les vides. Et je sens, que ça monte. Cette marée sordide qu'aucun ne doit voir, jamais. Pourquoi toi, Javier ? J'ai encore un peu peur, même si tu me gardes là, même si tu me demandes si je pensais sérieusement que tu pouvais me faire du mal. Même si l'humour revient, que la fessée est envisagée et qu'en temps normal, j'aurais agité le croupion en rigolant, avant de partir en courant, comme un défi, comme une manière de te dire de venir le chercher, ton repas offert. Excuse-moi, Javier. De ne pas savoir quoi dire. D'être comme un enfant qui est terrorisé par l'abandon. Que ça tombe sur toi, finalement.

Mes bras qui viennent entourer ton cou, finalement. Et moi qui me plaque, qui me réfugie contre toi. Et le trop plein d'Humanité qui se déverse en quelques sanglots lamentables. La peur qui m'agite terriblement, face à ce vide que je n'avais pas choisi d'affronter. Face à ce Toi que j'ai cru avoir perdu. C'est long parfois, une seconde. Tellement long, même. Pardonne-moi la chaleur excessive qui se dégage de moi, désormais que je pleure avec trop de force. Je meurs de chaud, d'un coup, d'être si Humain. Parfois, j'aurais souhaité être effacé aussi. Je me sens telle une copie qu'on a rempli qu'à moitié, qu'un flacon qui ne valait plus le coup. Et tu sais... Il n'y qu'avec toi que cette sensation disparaît. Tu veux bien, juste quelques instants, me serrer aussi fort que tu peux ? Après, on oubliera, d'accord. On oubliera que tu comptes pour moi. J'ai du mal à respirer, le myocarde encore à faire des siennes, la respiration haletante. Et ça coule, dans ton cou, ce liquide qui jamais n'aurait dû se trouver là. La(r)mes d'été.
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Believe in me - Lun 5 Nov - 17:52


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Je l'ai cassé. J'ai cassé Kamui, dans un sens je m'en veux et dans un autre c'est à toi que j'en veux. Tu restes si muet à cause de moi, mais ta peur parle d'elle-même, tu pensais vraiment que je pourrais te faire ça ? J'ai un peu mal au cœur à cette idée qui me semble toujours autant idiote. Bien entendu que je suis capable de te faire peur, mais c'est aussi pour te faire prendre conscience que jamais je ne pourrais te jeter de cet immeuble, jamais je ne pourrais te laisser partir. Tu réponds à mes questions par des hochements de tête et je reste là à discuter avec moi-même parce que j'ai fait quelques choses qui t'a fait du mal. Ton regard, ton visage, je n'aime pas ce que je vois, je n'aime pas ressentir ta peine, mais je l'accepte pour t'aider à aller mieux. Ne laisse personne te faire du mal Camille, moi je ne te laisserais pas tomber. Toujours là pour te rattraper si tu tombes, ou à me jeter dans le vide avec toi sûrement. Petit bonhomme qui est plus pour moi que n'importe qui a pu l'être en soixante-dix-neuf ans.

Fesses sur le rebord, je ne m'attendais pas à ce que tu viennes pleurer dans mon coup. Je t’accueille contre moi, venant enrouler tes jambes autour de moi pour que tu te sentes plus confortable. Avant de finalement m'asseoir un peu plus loin du bord pour que tes pieds touchent le sol. J'ai bien compris que je t'ai fait terriblement peur, alors je t'éloigne du vide pour ne plus le faire. Doigts qui glissent dans ton dos pour te serrer fort contre moi. «  Camille... ça va aller. Je m'excuse. Ce n'est pas grave. Beaucoup savent qu'on existe. Du moment que ça ne t'oblige pas à me quitter... Je m'en moque. » Tu es la seule chose que je ne veux pas perdre. Le seul petit bonhomme que je veux garder jusqu'à la fin de mes jours, ce qui ne sera jamais vraiment possible. Un mortel et un immortel, prendre conscience que dans plusieurs années tu ne seras plus là pour me faire rire, je n'aurais plus que mes souvenirs. Je crois que je n'arrive plus à te relâcher, je te garde dans mes bras, tant pis pour cette sensation de larmes qui coulent dans mon cou. Je n'ai jamais pu supporter ça, mais tu comptes plus pour moi que quelques larmes, je ne grognerais pas. Je joue les papas protecteur d'un petit qui n'est pas le mien, que je martyrise à coup de crocs et de blagues nulles. «  Pleure aussi longtemps que tu en as besoin Camille. Jamais je te laisserais. Parfois je te suis, la nuit. Pour vérifier que ça va, que tu n'es pas en danger. » Aveux lancé, tu auras qu'à me détester pour ça, mais j'en ai besoin. J'ai besoin de savoir que tu es en sécurité, que ça ira pour toi.


«  Je suis si creepy. Pardonne moi. On fait tous les deux des choses qu'on ne peut contrôler, moi c'est parce que je n'ai pas envie de te perdre. Toi, je ne sais pas vu que tu es muet, mais si tu as besoin de parler de choses et d'autres, je suis là. Si je ne suffit pas pour ça, parle à qui tu veux, du moment que tu es en sécurité. »
Je frotte vivement ton dos pour te réchauffer, te rassurer et peut-être un peu me rassurer moi-aussi. Je tourne le visage pour venir embrasser tendrement ta petite tête de nœud. Léger rire qui glisse entre mes lèvres, je me sens si idiot actuellement, j'ai jamais été capable de voir que les autres souffraient, mais là je le ressens et ça fait mal. Je recule le visage pour essayer de trouver ton regard. Tant pis pour toi, j’enchaîne les bisous sur ta tête, te noyant sous un amour très spécial, qui n'a pas de description précise, mais ça reste de l'amour, un mélange entre plusieurs choses.
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Believe in me - Dim 18 Nov - 22:12


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Il y a des instants de grâce. Où quand le ciel revient, plus somptueux encore, après les averses. Je souhaite me croire dans ce moment-là, mais il est à croire que le mien est encore gonflé des cotons imbibés de terrible, de foudre qui s'abat contre ta peau. Serre, jusqu'à m'étouffer. C'est une chance que tu sois déjà mort, parce que j'aurais pu te tuer de ma terreur, j'aurais pu t'empêcher de respirer jusqu'à la suffocation tant j'ai besoin de ce contact à cet instant. Et encore aucun mot qui ne parvient à franchir la barrière mentale, elle ne s'ouvre pas encore, alors que tu tentes de me rassurer, que tu m'offres une vérité que je savais déjà et qui ne m'a jamais dérangé plus que ça. Parfois je me demandais ce que ça pouvait te faire, de me voir jouer au chat funambule ? C'est assez bête la vie parfois. Comme s'il fallait faire des bêtises pour comprendre le sens des choses. Et ça me rappelle comme lorsqu'on est enfant, qu'il faut tomber pour comprendre comment se relever, pour savoir comment ne pas recommencer. Des douleurs d'un instant, pour l'apprentissage de toute une vie. Il faut un moment de panique, de peur, de faiblesse intense, pour comprendre ce qu'il en est de ton côté. Alors je m'accroche d'autant plus à toi, comme une manière de te dire que je ne suis pas à partir. Que c'est plutôt l'inverse, que l'angoisse est finalement commune. Et je ne sais pas vraiment ce que ça fait de nous aux yeux du monde, mais ce n'est pas grave. Que ça me va, à moi, de savoir ça, de ne plus craindre pour l'avenir que tu t'en retournes d'un coup pour me dire que ça suffit désormais.

Ça m'arrache même finalement un maigre rire, quand je sens l'avalanche d'affection. Me fait décrocher une main de toi pour venir m'essuyer le visage, les yeux, pour virer des cils la nuée humide qu'il pouvait bien rester encore. Des secondes précieuses je crois, où finalement il semblerait que l'éclaircie soit enfin là. Je tousse légèrement, pour chasser les sanglots qu'il peut me rester dans la gorge, avant de renifler pour tenter de retrouver un quelconque soupçon de dignité. Et pour finalement te sourire, rien d'un peu au moins. Tu n'es pas creepy... La voix rendue plus rauque par tout ceci, alors que je souffle encore un autre rire à cause d'elle, toussant encore dans le creux de ma paume, avant de me cacher le visage contre ton épaule. J'ai pas envie de te perdre non plus... Et c'est bien pour cela que je n'en avais jamais parlé. Que j'aurais gardé le secret pour le reste de mes jours encore. Parce qu'on m'a enseigné l'art du secret déjà pendant tant d'années. Une vie de mensonges ne pourrait pas être entachée par un de plus. Je voulais pas le dire... Promis, juré, même si j'ai craché quand même. Je sais pas ce qu'il m'a pris... Murmure tout contre toi alors que je reste là, à me protéger de ce monde qui ne mérite personne je crois. Mais j'ai confiance en lui... Ne le tue pas... À cette pensée, mes doigts qui resserrent leur prise sur un bout de tissu, avant de redresser la tête et prendre le temps de te regarder. Pardon... Je ne recommencerais plus. Plus de supplique dans le ton, juste la vérité, pure et dure.

Je fais fi de la distance pour venir déposer un simple baiser contre tes lèvres, avant de retourner nicher mon nez dans ton cou. Et caresser l'autre côté du bout de mes doigts. Je suis aussi désolé, de... Une inspiration, pour calmer la chamade qui revient soudainement. D'avoir cru que... Tu... Ne plus savoir en dire plus, langue clouée par la peur qui me dévore encore l'estomac. Un silence où je me pince les lèvres, avant de retrouver une once de bien-être de part ton contact. Et finalement, un filet de voix qui parvient encore à s'échapper de ce tombeau brûlant. On peut rentrer... ? S'il te plaît. Une nouvelle inspiration, gorgée de nos odeurs mêlées, de la tienne qui persiste malgré celle de la pluie qui vient de se dissiper à peine. Je demande à rentrer, sans bouger encore pour autant. Comme si finalement, je me rendais compte pendant une seconde que j'étais déjà à la maison, entre tes bras. Mais il y a des vérités qu'on ne peut s'avouer, qui resteront à jamais enfouies sous les sables mouvants.
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Believe in me - Mar 20 Nov - 18:25


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J'ai juste envie de rester là à te protéger, te garde dans mes bras sans jamais te lâcher. Je pourrais passer l'éternité avec toi dans mes bras, j'ai mal au cœur de te voir si mal. J'ai normalement cette faculté de me moquer de ce que pense les autres, de ne penser qu' à moi, mais tu arrives toujours à être la seule chose qui me garde vraiment sociable. Tu fais fondre les barrières que j'ai mis des années à avoir. Comme si je me destinais à vivre seul pour le reste de mes jours, comme si je savais qu'on ne voudrait jamais de moi et mon ex femme pourrait totalement dire que c'est le cas. Tu arrives à me faire penser que je peux être supportable, je sais que je ne te mérite pas toi, mais est-ce que je te veux comme ça de toute façon, j'en doute. Ce qu'on a là reste unique et peut-être complètement étrange, mais on est heureux un peu comme ça, j'espère que tu es bien quand tu es avec moi. Retrouver son rire me fait du bien, je ne peux que te sourire, je ne sais que faire ça quand tu es là, incapable d'être réellement fâché. J'essuie ta joue doucement de mon pouce avant de te laisser te cacher encore contre mon épaule. « Tu dis ça parce que tu me connais... » Je t'écoute sagement, sans te couper, on ne sait jamais si je dis de la merde tu vas encore te taire, alors que je veux que tu continues de me parler, parce que je ne veux pas que tu gardes ça en toi et que tu te tortures avec.

« Camille, je te l'ai dit, ça va. Si tu as confiance en lui, j'accepte que tu lui parles de moi. Je suis pourtant si adorable, je ne comprends pas ce qui te fait penser que je pourrais t'en vouloir. C'est parce que je tue une ou deux personnes tous les x temps que... » Je lâche un léger rire avant que tes lèvres se collent aux miennes pour un simple petit baiser. Je ne peux pas m'empêcher de venir en chercher un autre avant de t'embrasser tendrement la tempe. Mes doigts qui viennent chercher ta peau par dessous ton haut, qui viennent torturer un peu ta peau en la griffant, je ne sais pas si je suis énervé ou juste blessé à ses mots, tu pensais donc vraiment que j'aurais pu. Nez qui rejoint ton cou, croc qui torture un peu ta peau, pas pour manger, mais pour te montrer que tu fais bien de ne pas continuer ta phrase. Douleur du cœur face à la dure réalité des choses, même pour toi, j'ai l'air mauvais. Heureusement que je t'aime assez pour te pardonner, même si j'ai le cœur serré. Ta dernière proposition me fait simplement hocher la tête, avant que ma langue ne parcoure ton cou jusqu'à ta mâchoire. « D'accord, mais accroches bien tes jambes autour de mon bassin alors. » Pas besoin que tu bouges, je n'allais pas te laisser marcher, je n'allais pas laisser les gens voir que tu as pu pleurer. Toi qui ne laisse jamais rien voir de tes sentiments, je n'avais jamais rien vu avant ce soir. Mes mains qui glissent sur tes fesses pour te maintenir contre moi, pour te tenir chaud, mais aussi pour te protéger. « Cache ton joli minois triste, je te ramène... et si tu as des choses dont tu veux parler, je suis là. » Je galère un peu à me relever, retombant sur les fesses la première fois, bien entendu j'en ris, j'ai l'impression d'être sacrément faible. Je tremble un peu, plus habitué à ressentir quelconque tristesse. Ce soir, je suis aussi touché que toi, j'aimerais que tu ne le remarques pas, mais collé comme on l'est, ça semble difficile. Plus qu'à prendre la route pour l'appartement. «  Tu mérites quand même que je te botte le cul, tu le sais hein ? »  
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Believe in me - Jeu 29 Nov - 8:28


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C'est dans ce genre de moments que je me dis qu'on a toujours été plus parlant avec nos gestes. Mais que même ainsi, on a pas su s'écouter quand même. Se cacher derrière un tas de choses, au point de craindre des choses qui ne devaient pas l'être. Chacun avec sa peur de l'abandon à gérer, sans remarquer que l'autre souffre de la même. Alors ça fait du bien, de s'avouer les choses, de se dire que ça ira, qu'aucun ne partira. Sans doute ce qui me pousse à rester lover ainsi contre toi, à frissonner face à tes contacts, à me réchauffer aussi en quelques sortes. Tu me donnes chaud... Un murmure trop proche de toi alors que ta bouche parcoure mon cou, que je me retrouve un peu dans tout cela. À jouer sur les mots, dans cet exercice qui nous va si bien dans le fond. Alors... Est-ce qu'on peut rentrer ? Je n'ai pas envie de rester là, sur ce toit. Ça m'en rappelle trop un autre. Et tu acceptes la demande, non sans ta touche à toi qui me fait doucement frissonner sur place. Je resserre ma prise dans un sourire amusé. Vos désirs sont des ordres... Dit sur un ton que tu connais bien, alors qu'un bras se recule un peu pour venir tirer sur ton col, pour embrasser ta peau à mon tour, t'écoutant en fermant à demi les yeux. Plus de tristesse, promis. Tu devrais bien le deviner là, pourtant. Et quand je te sens retomber, je recule un peu la tête en riant avec toi. Besoin d'aide, peut-être ? Que je te nargue, même si je peux tenter de nous donner une impulsion.

Un sourire pour toi, encore, avant que finalement tu ne parviennes à te redresser. Et pendant un instant, je me demande si tu as chassé pendant ces quelques jours où je n'ai pas osé rentrer du tout. J'espère... Dans tous les cas, ça sera bientôt réglé et tu n'auras plus à souffrir d'une quelconque faim. Ta réflexion m'arrache à mes pensées alors que je rigole encore, t'avisant d'un air mutin. Il est un peu pris, là... Par, diantre, tes mains ! Une petite claque dessus et ça sera réglé, va. Hey, Javier... Un instant plus sérieux, alors que je t'avise, qu'une main vient à te caresser un bout de mâchoire, mon regard qui te parcoure les traits. Et peut-être que je cherche à en chasser ce que j'ai pu instiller dedans, avec mes gestes, mes yeux. Je reviens chercher un nouveau baiser, plus doux que les deux autres plus tôt. Et contre tes lèvres s'écrase autre chose aussi. Merci... Succinct, un bout de moi laissé là, après avoir laissé le tout durer encore un peu. Et je reviens m'abriter, les bras passé autour de tes épaules, le nez contre ta peau, toujours. Et les yeux pour de bon fermés, en confiance que je suis d'être ainsi. Je sens les mouvements, ce léger ballottage des pas et je murmure de tel sorte à ce qu'il n'y ait que toi, pour m'entendre. Tu n'as pas mangé depuis combien de temps... ? Je m'interroge, inquiet un peu de peser trop lourd si tu es en période de faim intense.
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Believe in me - Ven 7 Déc - 4:43


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Can I clear my conscience
If I'm different from the rest
Do I have to run and hide ?

Est- ce que j'ai vraiment besoin de te retourner ta réflexion. Tu me donnes terriblement chaud toi aussi, mais je le garde pour moi parce que pour le moment la seule chose que je veux c'est prendre soin de toi. Te faire te sentir mieux, t'emmener loin de ce toit où tu as voulu m'abandonner à mon sort. Ce toit qui t'a fait avoir peur de moi, de ce que je pourrais te faire, qui t'a fait penser que j'aurais vraiment pu te pousser. Alors je me débats un peu avec ma fatigue et le fait que la position ne soit pas avantageuse pour me relever facilement avec toi dans mes bras. Je t'emporte avec moi, bien collé contre moi, peut-être un peu trop quand tu me donnes chaud, mais peut-être pas assez pour calmer cette peur que demain, tu pourrais sauter seul. Je vais rester un moment à te suivre partout, peut-être même de jour, même si je me tuerais à la tâche. Je n'ai pas envie de te laisser faire des bêtises pareils. Surtout que tu es si jeune et que tu as tellement d'autres choses à vivre. Je t'offre un léger rire quand tu me claques les mains, ce qui a pour réflexe de venir m'accrocher un peu plus à toi. J'agrippe totalement tes jolies fesses là, mais tu l'auras cherché. Nous revoilà dans cette ambiance très sérieuse, le cœur qui s'enflamme un peu trop face à ton baiser, face à ton merci. Je viens te remonter d'un coup pour te porter de façon à ce que tu sois sur mes avants bras. Je n'ai pas beaucoup de force alors ça ne durera pas longtemps, mais pendant ses quelques instant où tu es plus haut que moi, je viens déposer mes lèvres sur ton cœur. « Tu arrêtes maintenant ! Ça suffit d'être craquant ! » je ris un moment avant de te récupérer de nouveau contre moi, contre mon cou.  

Question qui me laisse un peu silencieux. Ne pas penser à la faim, penser à toi et à tes peines. Je tourne la tête pour embrasser la tienne. Je m'éloigne de cet immeuble maudit pour rejoindre des rues plus sombres, mais qui me laisse à penser qu'on est en sécurité ici, bien au sol. « Ne t'inquiète pas, je suis grand... » Grand, mais très imprudent, je sais pourtant ce que ça peut faire de ne pas manger pendant un très long moment. Je ne veux pas devenir aussi violent que j'ai pu l'être. Alors je ferais attention, je ne me fatiguerais pas plus que ça demain, histoire de trouver quelqu'un ou je te dégusterais juste un peu. Promis je me ferais pardonné après. Tu auras tout l'amour que tu voudras et que je pourrais te donner. Crois moi, ce soir, tu es mon centre du monde et je te dévorerais complètement si tu en as envie, mais sans aucune gouttes de sang, d'autres choses peut-être. Je me mets à rire dans mon coin juste à ton oreille avant de murmurer. « Tu me parles de manger et je me dis que j'ai juste envie de te dévorer sauvagement, tu crois que c'est aussi nourrissant que du sang ? » Je n'ai aucun doute que tu comprendras de quoi je parle, avec toi les mots n'ont aucune difficulté à sortir, même si c'est pour dire des choses aussi salaces.   
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Believe in me - Jeu 13 Déc - 0:53


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Calé contre toi, le poitrail qui semble encore abriter le pansement que tes lèvres ont déposé par-dessus le t-shirt. Et je me demande ce que ça pouvait vouloir dire exactement. Je suis accroché et finalement, la question qui me vient en tête est de savoir d'à quel point tu peux avoir. Et ton manque de réponse n'arrange en rien les choses. Je sens mes sourcils qui se froncent, d'autant plus quand tu me marmonnes une réponse nulle. Pas avec ce genre de réflexion que je vais moins m'inquiéter. Je hausserais bien les épaules mais tu risques de t'en prendre un dans le menton si je le fais. J'ai une main qui te caresse les cheveux, pensivement. Ta tentative de charme fait à moitié mouche. Je sens le sourire qui se fait arracher, mais je ne suis pas un poisson facile à noyer. Je sais pas, il faudrait tester les deux pour savoir... Je viens tirer sur ton col de quelques doigts, pour venir écraser ma bouche sur ta peau, dévorer celle-ci de quelques baisers ardents. Titiller de ma langue, de mes dents, provoquer l'émoi, sentir les poils s'hérisser, me sentir sourire face à ce petit jeu. Et revenir à ton oreille, pour y glisser un murmure brûlant. J'ai le droit de dévorer aussi... ? Parce que... Je resserre un peu plus ma prise de mes jambes, joue à peine de mon bassin, d'une manière totalement indécente. J'en ai très envie aussi... Manières de catin, digne d'une oiran des karyukai.


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Believe in me - Dim 16 Déc - 0:46


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Toujours le meilleur pour me mettre dans tous mes états. Tu es si doué quand tu dois attirer mon attention, je ne m'étonne même plus que tu sois la personne à qui je pense le plus souvent. Toujours à me dire que tu es clairement la seule personne que je pourrais essayer de croquer juste pour la rendre comme moi. Pour t'avoir avec moi pour l'éternité, mais je sais que tu finirais par te lasser de moi. Je finirais par briser quelques choses, quand toi tu ne fais qu'animer des choses en moi. Le corps qui n'a aucune honte de réagir à tes avances, te rendant même ses mouvements indécents que ton bassin offre au mien. « L'idée me plait. » Je prends donc la première à droite pour finir dans un lieu plus discret, endroit qui me semble d'un coup bien plus excitant qu'il ne le faudrait, ou alors c'est toi. Qu'est-ce que je dis, c'est forcement toi. J'essaie d'articuler une réponse, mais tu me récupères bien rapidement de ta bouche. Alors je le pense juste très fort. Tu m'as manqué aussi Camille. J'aime t'avoir à l'appartement, il semble moins triste quand tu es là pour vider le frigo que je ne remplis que pour toi. Quand tu restes un peu au lit avec moi, même si nos horaires ne sont pas les mêmes. J'apprécie même de me lever pour toi, tu es le seul qui peut profiter de moi avec de la crème solaire sur la face.

 
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Believe in me - Jeu 27 Déc - 10:47


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Sans doute que mes parents auraient terriblement honte de me voir ainsi.
Sans doute que le bonheur est une chose qui les effraient.
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Believe in me - Dim 6 Jan - 21:08


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Believe in me - Dim 6 Jan - 21:39


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Fût-ce en mille éclats
Elle est toujours là -
La lune dans l'eau.
CHÔSHÛ
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