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Tell me something, boy Aren't you tired tryin' to fill that void? (ikaar+mairead)

 :: abandonnés
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Tell me something, boy Aren't you tired tryin' to fill that void? (ikaar+mairead) - Mer 28 Nov - 11:20

Ikaar+ Mairead
« Tell me something, boy Aren't you tired tryin' to fill that void? (ikaar+mairead) »


Week-end agréable. Le froid de la montagne m'a fait du bien. Je crois. Alan m'a déposé devant le manoir, j'ai besoin d'être seule et puis, je sais qu'il n'aime pas cette demeure que je tente de préserver coûte que coûte. Elle est vide, même Aodha n'est pas là, elle doit travailler. Je soupire légèrement, la solitude peut-être un remède parfois. Se retrouver, prendre du temps pour soi, c'est important. Je gravis les marches une part juste de l'escalier monumental qui surplombe l'immense hall. Des balcons desservent les différentes ailes. Je revois mon père entre ses murs, un tas de souvenirs remontent. Je prends le temps de les revivre, j'avance vers mes appartements doucement, je souris parce que tout me rappelle des souvenirs de mon enfance. Cette demeure ancestrale ne m'a pas encore révélée tous ses secrets. J'arrive dans ma chambre, le personnel a fait un feu il n'y a pas longtemps, je peux sentir l'odeur familière de la braise. Je soupire, le coeur lourd, je traîne presque des pieds jusqu'à mon immense lit. La lettre est toujours là, elle n'a pas bougé. Je la prends dans mes mains, elle ne m'apportera rien de plus, elle a été rédigée par mon père, c'est bien son écriture, je la reconnais. Je la fixe sans trop savoir quoi faire d'autre. La pièce est plongée dans une ambiance automnale, le soleil se couche, plongeant dans la mer. La lumière particulière alors me révèle quelque chose. Je la place à la lumière, devant la fenêtre et ce que je n'avais pas encore découvert se révèle à moi. Je déglutis, figée par cette découverte. Comme un Palimpseste, cette lettre contient un deuxième message caché. Oh...Papa. Une carte. Je reconnais facilement le Royaume Unis. Il y a une étoile au nord, en Écosse. Je fronce les sourcils, je force sur mes yeux pour tenter de lire ce qui est inscrit. Juste Dagda. Dagda est le dieu principal du panthéon celte, il est l'un des plus puissants, c'est aussi l'un des Ducs, Aedan… Je n'ai pas spécialement d'affiner avec lui, je pourrais lui en parler, mais il s'avère que c'est une découverte qui m'appartient, une découverte qui est dans ma juridiction. Je m'occupe de pister les artefacts. Dagda avait deux attributs connus. La massue et le chaudron alors que vais-je trouver si je me rends sur l'une de ses îles en Écosse ? J'hésite. Cependant, l'hésitation ne dure pas longtemps. Je reprends des affaires propres, passeport et tout ce qu'il me faut pour partir à l'étranger. J'attrape mon téléphone, le message est assez directif, je ne laisse pas le choix à Ikaar. « Je t'emmène en mission, prépare ton passeport et des affaires de rechanges » Je laisse planer le mystère, je suis sûre qu'il sera ravi de partir en Écosse, cela aurait pu être les Caraïbes, mais non, on va se nicher au nord de l'Europe, dans le froid. Je rajoute alors un second message « PS : prends de quoi te couvrir » Je finis mes affaires et surtout, je n'oublie pas la lettre. Je reprends encore mon téléphone, cette fois je compose un numéro. J'obtiens le propriétaire de l'aérodrome où se trouve mon jet. Enfin, l'un des jets de la société. « - Bonsoir, ici Mairead Breachnach, j'ai besoin d'un plan de vol pour Inverness. […] Oui… […] Je serai là dans environ une heure. […] Très bien merci. » Je raccroche. Cette fois, je dévale l'escalier du hall, je ne passe pas par l'immense porte d'entrée, mais je bifurque vers le garage. Rapidement, je fais gronder ma voiture de collection, encore un souvenir de mon père, je prends la route vers Arcadia, vers le centre. Ikaar doit être au TeddyBeer. Je roule vite, sûrement trop vite. Peu importe. Mon coeur s'emballe, l'idée que mon père ait pu découvrir un artefact me réjouit, c'est tout ce que je désire. Marcher dans ses pas. Si je trouve l'un des objets de Dadga, cela ne sera que bénéfique pour le Royaume en ce début de guerre de gangs. Je pile net devant le bar, je suis mal garée, peu importe encore une fois. Ma tête est ailleurs. Je pousse la porte du bar et je regarde mon meilleur ami. Un léger sourire se dessine sur mon visage. « - Un petit tour en Europe ça te dit ? »



AVENGEDINCHAINS
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an riocht
Ikaar Killough
BLAZE : rage
CREDITS : rage
FACE : eddie redmayne
DOLLARS : 2780
SACRIFICES : 524
PORTRAIT : Tell me something, boy Aren't you tired tryin' to fill that void? (ikaar+mairead) Fcf04a1c5c031f2fb27bfe978207e8d8
ANNEES : 34 années, mais quelle importance. Il peut etre ce qu'il veut quand il veut, n'importe quel age, n'importe quelle vie. (01/04)
CŒUR : le palpitant s'attarde trop sur les autres, le coeur des gens résonnant à l'intéreiur du sien, occultant tout ce qu'il s'y passe. Plus rien n'est transmis, tout est sourd.
RÉINCARNATION : llew llaw gyffes, littéralement signifiant celui à la main agile, dieu guerrier magicien chez les celtes.
TALENT(S) : doppelgänger: capable de se métamorphosé en n'importe qui. - bouclier: capable de se protéger des pouvoirs des autres, pas des siens. animorphose: prend l'apparence d'un aigle à volonté. - perception myocardique: capable de ressentir l'état de la vie sentimentale d'autruis, chaque battement de coeur et chaque envie. inactif: charisme ++
FACTION : An Ríocht, depuis toujours, pour toujours.
OCCUPATION : Élu roi d'an riocht suite à la mort de sa sœur. Il est également le propriétaire du Teddybeer, le pub irlandais familial de Downtown et du Douze Coups, cabaret olé d'Historial District. Dirige les affaires d'import et d'export de la famille Killough, en prime.
GENÈSE : primus / stade 6 ( 01/06/20) - découverte des souvenirs, malédiction connue.
TALON(S) D'ACHILLE : il ne sait plus trop, la famille se résumant à seulement deux âmes encore en vie, les amis annoncés comme traitre et le coeur en berne. y'a la coloc, mais c'est trop compliqué, préfère laisser tomber.
JUKEBOX : flogging molly - drunken lullabies; muse - unintended; billie eilish - bury a friend
RUNNING GUN BLUES : Tell me something, boy Aren't you tired tryin' to fill that void? (ikaar+mairead) FQCqrDYw_o
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Tell me something, boy Aren't you tired tryin' to fill that void? (ikaar+mairead) - Ven 21 Déc - 22:46

Tell me somethin', girl are you happy in this modern world?
mairead & ikaar

« Ikaar ? T’as pas vu mon jean noir ? » Soupir, roulement des yeux au plafond. La vie en colocation avec sa nièce n’était pas tous les jours de grand repos peu importe l’heure du jour et de la nuit. Affalé sur le canapé, la migraine tapant la caboche il grommelle avant que sa voix ne s’élève, lâchant un « Dans ton cul !» Simple, net, précis, mais qui n’aidait en rien. Tant pis. Ce n’est pas comme cela qu’il imaginait sa mâtiné avant de filer au bar, l’appelle du silence sonnant divinement bon à ses oreilles malmenées par la population arcadienne cherchant à se réchauffer dans son pub à coup de bière si bien qu’un tout petit peu de silence sonnait divinement bon pour lui, mais non. A peine a-t-il refermé les yeux dans l’espoir de profiter d’une sieste  improvisée avant de partir qu’elle recommence à piailler sur quelque chose d’autres, le faisant se lever. Tant pis pour le repos, tant pis pour la sieste, ce n’est pas là qu’il le trouverait mais directement au pub, dans l’appartement que Fiona lui a laissé avec le reste de l’établissement. Pas de nièce au caractère tumultueux, pas de soeur réclamante, mais à la place des employés qui écoutent ce qui dit le patron, un bureau où personne ne le dérangera et un lit, seul le bruit de la ville pourrait le déranger. Ni une ni deux il se lève et enfile son manteau, vérifie que ses clés sont bien dans sa poche avant de s’approcher de la fenêtre. « Tu t’en vas ? » Qu'Eli demande, le jean visiblement trouvé puisque elle le portait. « Ouais, m’attend pas pour dîner ce soir ok ? » Qu’il demande, tout en passant une jambe à travers la fenêtre, puis l’autre. Assis sur le rebord, l’appel du vide ne lui fait pas grand chose, le vertige inexistant, l’habitude de voler primant sur le reste. Le dieu aigle se métamorphose et décolle, le moyen de transport devenu pure habitude. Ikaar en abuse même, loin d’avoir peur de se brûler les ailes contre le soleil. il n’y a rien de mieux pour fendre les rues et s’arrêter dans la cour du Teddybeer dont il pousse la porte et grimpe directement au bureau où il s'assoit dans son grand fauteuil. C’était beaucoup mieux comme ça, beaucoup plus tranquille, reposant… Même si la paperasse sur son bureau lui tend les bras, que les commandes diverses et variées vont s’enchainer toute la journée. C’était mieux.
La moitié de la pile était déjà traitée lorsque son téléphone vibre une fois, puis deux. Des sms qu’avant même de lire réussissent à lui décrocher un faible sourire, c’était Mairead qui le contactait, prépare tes affaires et puis c’est tout. Où ils allaient et pour faire quoi, peu importe au final, il était partant d’emblée le Killough à tel point qu’il laisse tout en plan, ordi, commandes, et commence à rassembler ce dont il avait besoin. Dans le coffre du bureau, son précieux passeport déjà et puis dans sa chambre d’appoint des affaires, peu importe quoi du moment que tout rentre dans la valise dans laquelle il a apporté la plupart d’entre eux, cela suffirait amplement. Le temps pour lui de fermer la valise et la descendre au rez-de-chaussée pour lui d’expliquer les consignes au personnel présent pendant son absence que la porte s’ouvre sur Mairead, souriante. « Avec toi j’irais au bout du monde ma chère. » qu’il s’amuse à répondre, l’excès dans la voix même si c’était une vérité. « Je suis déjà prêt. » qu’il avoue en désignant la valise, trop excité à l’idée d’enfin partir en mission plutot que de s’ennuyer ici, surtout si cela voulait dire quitter le pays, voyager. Il mourrait d’impatience le rouquin, si bien qu’il ne fait que dire au revoir à ceux présent d’un signe de la main avant de rejoindre sa meilleure amie à l’entrée du bar et colle un baiser sur sa joue avant de passer la porte en premier. Dehors, la voiture de la brune les attendait: parfait. « On va où précisément ? » qu’il demande en ouvrant le coffre, balançant à l’intérieur son bagage avant de le refermer en espérant qu’elle l’ait suivit jusque dehors. Oui, il était vraiment impatient de partir, n’importe où. A condition que ce soit avec elle.

(c) DΛNDELION
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Tell me something, boy Aren't you tired tryin' to fill that void? (ikaar+mairead) - Sam 22 Déc - 1:03

Ikaar+ Mairead
« Tell me something, boy
Aren't you tired tryin' to fill that void?  »


Il fallait la trouver. Pourtant mon père ne semblait pas douter. Il savait. Il savait que je serais la personne, la bonne à trouver son secret, ce message codé. Il le savait parce qu’il m’a élevé avec des énigmes, des chasses au trésor. Le message est relativement clair. La carte indique une île au nord-ouest de l’Ecosse. Jusque là c’est relativement facile. Il y a une indication de plus. Elle aussi reste on ne peut plus claire. Je fronce les yeux pour tenter de lire, ce n’est pas évident. Pourtant je décèle un mot. Un mot, un nom, une identité. Mon cœur s’accélère. Je sens mon palpitant s’exciter. Mes veines sont à deux doigts de luire. Le feu dans mes veines est à deux doigts de brûler à nouveau. Je crois que je contrôle encore mes émotions. J’essaie. Il ne faudrait pas que je déclencher un incendie alors que l’on traverse l’atlantique. Toute cette eau sous nos pieds… cela me donne des frissons rien que d’y penser. Je n’ai juste pas intérêt à regarder vers le bas dans le hublot. Cela dit, on risque de faire la traverser de nuit ou presque. Le soleil décline déjà. On a plus de huit heures de vol pour atteindre l’Ecosse. On va avoir du temps pour nous occuper. J’ai pas mal de choses à dire à Ikaar. Rien que lui expliquer pourquoi je l’embarque au nord de l’Ecosse. Parce que même s’il me fait confiance et qu’il accepte de venir, je lui dois toute la vérité. Il n’est pas encore au courant pour la mort de mon père. Alan seulement, et si Alan le sait c’est qu’il a vu la lettre qu’il a laissé au notaire. La fameuse lettre que je n’oublie pas de prendre. Je refais mes bagages. Je prends une douche avant de partir. Une douche plutôt fraîche, j’ai l’impression d’avoir toujours chaud depuis que j’ai sorti ma première flamme. Si le feu est dans mes veines, ce n’est pas totalement anormal finalement.

Mes affaires sont prêtes. Je fais ronronner le moteur de la voiture de fu mon père. Les limitations ne sont jamais vraiment respectées. Je roule trop vite. Je le sais, peut-être qu’un jour cela me vaudra une morte certaine. Pour le moment on peut juste se dire que j’ai de la chance. Je file à toutes allures vers le centre-ville. Je sais qu’Ikaar m’attendra. Je me gare devant le Teddy Bear, le bar de mon meilleur ami. Il est là. Mes lèvres s’étirent immédiatement en un sourire, ce don qu’il a. Certains pensent que ce n’est pas possible d’aimer deux personnes à la fois. Je pourrais démontrer le contraire. Belisama aime Belenos, Mairead aime Ikaar. Ikaar semble avoir été si lointain ses dernières semaines. Je me retiens presque de ne pas fondre dans ses bras. Est-ce que le moment est bien choisi pour des effusions de sentiments ? Peut-être pas. Pas maintenant. J’y songerais quand on serait à plusieurs kilomètres de haut dans le ciel. On sera juste seuls au monde. Je lui lance un bout de destination à la volée. L’Europe. Je pourrais être plus précise mais j’attends un peu. J’ai envie de mystère. J’ai l’impression de partir sur les traces de mon père, totalement à l’aventure, je ne sais pas ce qui se passera lorsque nos pieds fouleront le sol écossais. Je ne veux pas y penser pour le moment. On verra bien. On ne doit pas trop se poser la question.

Il s’avance vers moi, déjà près. Je me mordille la lèvre lorsqu’il colle un baiser sur ma joue. Il semble content de partir et moi, bêtement heureuse de le retrouver. Je me rends toujours compte qu’il m’a manqué quand je le retrouve. Je devrais passer plus de temps à ses côtés… Je le laisse sortir avant de le suivre. Il range ses bagages dans le coffre et me demande où est-ce que l’on va. Je m’avance avec un sourire taquin. « - Tu me suis au bout du monde ? » Je le contourne pour avancer vers le côté conducteur de l’auto. Ma main passe dans son dos, frôle ses fesses, geste affectueux. « - A la recherche d’un trésor… » Je souris, malicieuse avant de monter derrière le volant. J’attends qu’il monte à mes côtés. Je regarde si la route est libre avant de m’engager sur la voie. « - J’ai tellement de choses à rattraper Ikaar… » Je lui lance un regard rapidement, je dois surtout regarder la route. Mes doigts picotent, rapidement ils retrouvent sa main, entrelacent ses doigts. « - Tu m’as manqué » Je nous conduis jusqu’à l’aérodrome où se trouve le Jet de l’entreprise. Il doit nous attendre. Je me gare juste devant le hangar. Le soleil a presque disparu. Je souffle, je tente de dénouer le nœud de mon estomac. J’attrape les valises, rapidement employé vient les prendre pour les ranger dans la cabine. « - l’Ecosse, voilà où l’on va… » Je regarde affectueusement Ikaar. Je lui tends la main pour qu’il me retrouve. J’ai presque l’impression que sa paume est fraîche. On s’installe dans le jet, je m’affale presque sur le canapé. « - Ce jet est le tien pour les huit prochaines heures. » Je retire ma veste, j’ai déjà trop chaud. Je reste en jean débardeur. Les portes se referment. Il faut attacher sa ceinture le temps du décollage. Il ne faut qu’une quinzaine de minutes au pilote pour nous envoyer en air… Je me détache et je m’approche d’Ikaar. « - Comment tu vas ? » Je caresse tendrement son visage, mes yeux dans les siens… une part de moi s’apaise.



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FACTION : An Ríocht, depuis toujours, pour toujours.
OCCUPATION : Élu roi d'an riocht suite à la mort de sa sœur. Il est également le propriétaire du Teddybeer, le pub irlandais familial de Downtown et du Douze Coups, cabaret olé d'Historial District. Dirige les affaires d'import et d'export de la famille Killough, en prime.
GENÈSE : primus / stade 6 ( 01/06/20) - découverte des souvenirs, malédiction connue.
TALON(S) D'ACHILLE : il ne sait plus trop, la famille se résumant à seulement deux âmes encore en vie, les amis annoncés comme traitre et le coeur en berne. y'a la coloc, mais c'est trop compliqué, préfère laisser tomber.
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Tell me something, boy Aren't you tired tryin' to fill that void? (ikaar+mairead) - Mar 1 Jan - 18:37

Tell me somethin', girl are you happy in this modern world?
mairead & ikaar

Bien entendu qu’il irait au bout du monde avec elle, une évidence pour le benjamin des Killough qui sourit toujours, ravis d’un changement de vue.  « Sans le moins doute oui. » Affirmation très simple, vérité pure. Mairead était sa meilleure amie avant toute chose, la personne qui compte le plus après Izaak. Qui compte le plus, maintenant qu’il n’est plus vraiment là. Bien entendu Fiona est à côté dans son classement, soeur et Reine avant tout, lien du sang primant sur le reste même si… Même si les choses sont un peu différentes, maintenant. Il n’y a que Mairead qui ne change pas, certitude dans sa vie même si les aléas du monde fond qu’ils ne se voient plus autant que lorsqu’ils étaient plus jeunes.  

La porte de la voiture claquée, pas de regard en arrière. Le pub ne va pas s’écrouler sans lui durant les prochains jours, il avait assez confiance en son personnel… Et une certaine envie de s’en moquer. A force de tourner en cage, il finissait par en avoir marre des mêmes soirées dans ce même pub. La perspective d’une chasse au trésor qu’elle lui annonce était beaucoup plus intéressant que les chansons d’hommes bourrés.  « Désolé de t’avoir presser un peu, mais j’avais juste envie d’être tranquille avec toi. » qu’il avoue simplement. C’est vrai qu’il a balancé sa valise dans la voiture avec hâte, a à peine prit le temps d’embrasser sa joue qu’il était déjà prêt à partir, loin. Là où les gens en avaient rien à faire de qui ils sont, de ce qu’ils sont.  La ville passe sous les roues de la voiture, la main de la déesse se glisse dans la sienne, tendre geste qui le fait sourire, particulièrement quand il est associé à ces mots réchauffant son coeur.  « Toi aussi tu m’as manqué. » Murmure, pourtant personne l’allait les entendre. C’était eux contre le monde. Il soulève leurs mains jointes et dépose un baiser sur le dos de la sienne. C’était si simple, mais qu’est-ce que ça lui a manqué.
Les choses à ratrapper, ils verraient cela une fois arrivés à l’aérodrome vers lequel ils se rendaient. A peine arrivée, à peine ils avaient posés les valises au sol que le personnel venait les en débarrasser, le tout sagement rangé dans le jet qui les attendait, celui de l’entreprise de son père.  C’est seulement là qu’elle répond à sa question, comme si maintenant il était trop compliqué pour faire demi-tour. L’Écosse les attendait, l’Europe. La terre du dieu qu’il habite, terre de la famille de Mairead.  « Je comprends mieux pourquoi tu parlais de vêtements chauds maintenant. » La météo du Maine était glaciale durant l’hiver, certes, mais le pays écossais lui était humide…. Très humide, le froid colle à la peau, et glace le sang peut-être plus que chez eux en fin de compte. Mairead lui tend la main et il la saisit automatiquement, la paume chaude dans la sienne comme si l’idée du froid lui avait déjà gelé la peau...Ou que la sienne était anormalement tiède. Ce n’est pourtant pas sa priorité, à Ikaar. Large sourire aux lèvres, il la suit à l’intérieur. Du luxe, du luxe et encore du luxe.. Le genre de chose qu’on s’attend à retrouver dans un jet privé en fait et l’idée de ne pas passer les huits prochaines heures collé dans un siège microscopique avec une sélection de film bas de gamme et un touriste écossais assis entre elle et lui.   « Je vais pas me priver de faire comme chez moi, crois-moi. » Il voit déjà des choses qu’il aime… Comme les bouteilles de Scotch sur le bar… Et les sièges tout à fait confortables dans lesquels ils s’assoient le temps du décollage avant d’avoir le feu vert du pilote de l’avion pour se retrouver, pour que ses doigts explorent son visage et que tout paraisse beaucoup plus simple.  « Tout de suite, beaucoup mieux. » qu’il souffle, perdu sans ses iris sans oser s’en détourner. Il était simple pour Ikaar d’écouter son coeur...De savoir que le myocarde s’agite quand il passe ses bras autour d’elle, incapable de rester trop éloigné maintenant qu’elle était là. Il devait en profiter avant que cela ne cesse. Il abandonne finalement la sagesse, se penche assez pour capturer ses lèvres, lui qui en mourrait d’envie depuis l’instant où il a posé les yeux sur elle. Lorsqu’il se détache ce n’est pas pour filer, reste près. Parce que c’est là où il se sentait le mieux.  « Ça m’a manqué de te voir, tout ce temps. » Aveux, peut-être un peu un reproche… C’est vrai que la vie les sépare et que l’absence finit par devenir un véritable manque rapidement. Un manque vite comblé par leurs retrouvailles, comme à chaque fois. Les phalanges curieuses explorent sa joue, même si il aimait se prétendre la connaître par coeur à force. Même la cicatrice sur sa gorge, même celles causées au fils du temps par ses missions périlleuses.  «Et toi ? Comment vas-tu ? J’imagine qu’il s’en est passé des choses depuis la dernière fois qu’on s’est vu, toi qui parlais de rattraper les choses.» Question posée en retour...Il pouvait être certain d’une chose, elle ne l’aurait pas invité à venir assez pressement avec elle si il n’y avait pas une bonne raison, mais si elle n’en avait pas parlé avant alors..Peut-être qu’il n’avait pas envie de savoir.






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Tell me something, boy Aren't you tired tryin' to fill that void? (ikaar+mairead) - Mar 1 Jan - 21:53

Ikaar+ Mairead
« Tell me something, boy
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Il est comme une drogue. Je ne peux jamais m’éloigner de lui trop longtemps. Je crois que cela a toujours été comme ça. Je me souviens parfaitement le premier jour où mon regard s’est posé sur lui. Il était différent, loin du monde que je fréquentais. Je crois que j’ai été séduite presque tout de suite. Je n’étais qu’une enfant mais j’ai compris qu’il serait important dans ma vie. On a grandi ensemble. Certains pourraient voir notre lien comme malsain, mais il n’est pas devenu un frère, il est devenu une part de moi, une âme sœur, un morceau de moi. Il est nécessaire. Ils sont nécessaires. Comment aimer deux hommes totalement différents. Comment Belisama peut-être s’imposer autant ? Comment peut-elle me faire découvrir Alan, son Bélénos ? Comme moi ? Moi ma volonté c’est Ikaar. Pourtant je sais qu’on s’éloigne, Ikaar et moi, on ne passe plus autant de temps ensemble et c’est toujours quand je le retrouve que je me rends compte combien je me sens vide loin de lui. Je l’aime, je l’aime tellement que je ferais tout pour lui. Il le mérite. Je ne sais pas réellement s’il a conscience de cela. Je ne sais pas s’il perçoit les battements plus forts de mon coeur quand il est dans la même pièce que moi. Une drogue. Il ressemble à une drogue. Le manque fait souffrir. La présence fait du bien. C’est littéralement une drogue.

Je crois que j’ai besoin de partir avec lui. Alan m’en voudra sans doute, partir du jour au lendemain, partir pour tenter quelque chose, tenter une mission qui ne fonctionnera sans doute pas mais je dois vérifier, suivre la piste que mon père m’a légué. Pourquoi lui n’y était pas allé ? Est-ce juste le début d’une chasse au trésor ? Je ne sais pas, mais je veux que ce soir Ikaar qui découvre cela avec moi, qui m’aide dans cette guette. Je vais devoir lui parler de la mort de mon père. Seul Alan sait, Alan le sait parce qu’il a vu cette lettre à double message. Fiona n’est pas encore au courant. Il faudra aussi que je la prévienne, que la mort soit officielle. Après tout, je ne m’étais jamais résolue à le faire totalement disparaître. Peut-être que j’aurais dû chercher un peu plus, peut-être que j’aurais pu le trouver. Mon père, cet homme plein de mystère m’en a laissé un dernier. Un possible artefact. L’avenir me dira si j’arrive à le récupérer, si je serais à la hauteur.

Pour le moment, je veux juste savourer les huit prochaines heures avec Ikaar. On sera presque seuls au monde à plusieurs milliers de kilomètres au-dessus de l’Atlantique. Sa présence est déjà divine. Je me sens moi-même, Mairead n’est pas qu’une guerrière. Mairead est autre chose. Les autres ne voient que cette facette de ma personnalité. Pas Ikaar, il connaît toute la complexité de mon âme. Lui seul arrive à me décrypter complètement je crois, sans doute parce qu’il est celui qui me connaît le mieux.

Une fois à l’aéroport, je lui livre le mystère. Il fait bien qu’il sache où l’on se rend. L’Ecosse. Il ne va pas faire chaud, disons surtout que l’humidité va nous surprendre. Mais n’est-ce pas intéressant comme excuse pour se fondre dans les bras l’un de l’autre ? Je trouve pour ma part. Jje lui fais un léger sourire, il semble aimer la destination, mais n’a-t-il pas dit qu’il me suivrait n’importe où tout à l’heure ? Je crois que ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde.

Main dans la main, on pénètre dans le jet luxueux. C’est l’avantage quand on est l’une des familles les plus riches du pays, peut-être même du monde, j’avoue que cela ne m’intéresse pas tellement. Je crois que je suis contente d’avoir de telles ressources à ma portée mais avec ou sans argent, je serais la même. On s’installe sur les sièges le temps du décollage. C’est l’une des règles qu’on ne peut pas détourner. Je m’installe à ses côtés, j’ai sans doute besoin de sa présence, j’ai tant à lui confier, mais je ne sais pas vraiment par quoi commencer. Sa main glisse sur ma joue, tendrement, je me mordille la lèvre, mes yeux plongés dans les siens. Ses lèvres viennent s’offrir aux miennes. Je n’en perds pas une mienne, trop heureuse de retrouver ma drogue. Je ne me contenterais pas de baisers… c’est une certitude. Mon coeur s’emballe, s’emballe, puis se calme lorsque ses lèvres s’éloignent. « - Tu m’as manqué aussi, je te promets de ne plus m’éloigner autant » Je veux faire des efforts, surtout avec tout ce qui s’est passé. Pourtant est-ce que lui voudra ? Je ne porte pas de bague au doigt mais il faudra bien qu’il apprenne ce mariage. Alan y tenait, je sais que cela l’aide à se reconstruire mais je sais aussi qu’il y a Augustin. Pourquoi ce mariage ? Parfois je me perds dans les raisons. Je souffle doucement. Les turbines tournent à plein régime. On doit attacher nos ceintures. Encore cinq minutes et plus rien ne me retiendra. Il retourne vers question douce. Je caresse à mon tour sa joue. Je l’embrasse. Encore. Comme si c’était une réponse. Je me mordille la lèvre encore. « - J’ai beaucoup de choses à te dire… ma vie… quelque peu complexe… différente… et c’est là que je me rends compte que c’est toi qui devrais être près de moi... » Je souris légèrement. On décolle, je lui tiens la main, je n’ai pas peur de l’avion mais tant que le voyant de la ceinture ne sera pas éteint, on ne pourra rien faire. Puis il s’éteint. Je m’empresse de le détacher et d’en faire autant pour moi. Je grimpe à califourchon sur ses genoux. « - Embrasse-moi d’abord… j’ai tout le temps pour me confier » Je repousse cette annonce. La peur de le perdre, qu’il s’éloigne. Je prends ses mains, pour les poser sur mes minces hanches. Je plonge pour l’embrasser puis j’enfouis mon visage dans son cou pour l’embrasser, le mordiller. Je m’emballe. Je souffle doucement à me calmant avant de mettre le feu quelque part. Mon corps est brûlant. Ikaar va s’en rendre compte, il est comme fiévreux. Je vois déjà mes veines devenir incandescentes, porteuse du feu. Je me calme, restant contre lui. « - C’est l’une des choses que je devais te dire… » Ce pouvoir. « - Je vais devoir faire attention à ne pas te brûler… mais vois le bon côté, en Ecosse, tu n’aurais pas froid à priori » Je lève légèrement la tête pour le regarder. Je fais un petit sourire. « - Il y a une petite chambre, ça te dit ? » Je lui vole un baiser. Je me lève déjà. Je retire alors ma chemise sous ses yeux sans pudeur. Pas soutiens-gorge. Je laisse la chemise à ses côté. Je souris taquin sur les lèvres et en détachant la ceinture de mon jean moulant, je me dirige vers le fond de la grande cabine.



AVENGEDINCHAINS
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an riocht
Ikaar Killough
BLAZE : rage
CREDITS : rage
FACE : eddie redmayne
DOLLARS : 2780
SACRIFICES : 524
PORTRAIT : Tell me something, boy Aren't you tired tryin' to fill that void? (ikaar+mairead) Fcf04a1c5c031f2fb27bfe978207e8d8
ANNEES : 34 années, mais quelle importance. Il peut etre ce qu'il veut quand il veut, n'importe quel age, n'importe quelle vie. (01/04)
CŒUR : le palpitant s'attarde trop sur les autres, le coeur des gens résonnant à l'intéreiur du sien, occultant tout ce qu'il s'y passe. Plus rien n'est transmis, tout est sourd.
RÉINCARNATION : llew llaw gyffes, littéralement signifiant celui à la main agile, dieu guerrier magicien chez les celtes.
TALENT(S) : doppelgänger: capable de se métamorphosé en n'importe qui. - bouclier: capable de se protéger des pouvoirs des autres, pas des siens. animorphose: prend l'apparence d'un aigle à volonté. - perception myocardique: capable de ressentir l'état de la vie sentimentale d'autruis, chaque battement de coeur et chaque envie. inactif: charisme ++
FACTION : An Ríocht, depuis toujours, pour toujours.
OCCUPATION : Élu roi d'an riocht suite à la mort de sa sœur. Il est également le propriétaire du Teddybeer, le pub irlandais familial de Downtown et du Douze Coups, cabaret olé d'Historial District. Dirige les affaires d'import et d'export de la famille Killough, en prime.
GENÈSE : primus / stade 6 ( 01/06/20) - découverte des souvenirs, malédiction connue.
TALON(S) D'ACHILLE : il ne sait plus trop, la famille se résumant à seulement deux âmes encore en vie, les amis annoncés comme traitre et le coeur en berne. y'a la coloc, mais c'est trop compliqué, préfère laisser tomber.
JUKEBOX : flogging molly - drunken lullabies; muse - unintended; billie eilish - bury a friend
RUNNING GUN BLUES : Tell me something, boy Aren't you tired tryin' to fill that void? (ikaar+mairead) FQCqrDYw_o
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Tell me something, boy Aren't you tired tryin' to fill that void? (ikaar+mairead) - Ven 18 Jan - 22:07

Tell me somethin', girl are you happy in this modern world?
mairead & ikaar

Une promesse qu’elle lui fait. Que les choses vont changer, qu’elle ne partira plus autant. C’est tout ce qu’il veut entendre, vraiment. Un peu de sa présence à ses côtés et non quelques vagues messages envoyés l’un à l’autre pour essayer de combler le temps entre chaque rencontre. Peut-être que ça rendait leurs retrouvailles meilleures, peut-être que les choses seraient pareilles si ils ne s’était quittés que quels jours plus tôt seulement, voir quelques heures. Il ne sait pas trop, aveuglé. Icar flirtant un peu trop près du feu sans se rendre compte qu’il risque de brûler sous les phalanges ardentes et les baisers. Il lui rend son sourire, ravis. Sa vie est devenu qu’elle dit, sans en présenter les raisons. De quoi faire fané quelques instant le sourire sur ses lèvres et froncer légèrement les sourcils au rouquin, l’inquiétude s’installant le temps du décollage. Quand l’autorisation de bouger est permise, forcément ils se retrouvent, la chaleur des doigts sur sa joue peu dérangeante, même rassurante, comme l’était ses mots le confortant dans un monde idéaliste où... Où rien ne semble très compliqué. Pas mettre cette vie qu’elle lui demande de ne pas question et à la place, d’échanger un nouveau baiser avec lui. « D’accord. » Il accepte, fait confiance. Le sourire se dessine sur ses lèvres et elle ne lui laisse pas le temps d’obéir, venant déjà réclamer son dû contre ses lèvres puis dans son cou. Ça le fait légèrement rire, l’impatience qui la gagne. Les doigts d’Ikaar se perdent dans son dos, sous le tissus et cherchent à l’approcher un maximum de lui parce qu’il en avait simplement besoin, de leur proximité. D’eux. Vite, pourtant, il comprend que quelque chose ne va pas. Quand la chaleur douce de son épiderme se transforme en brûlure, lèvres laissant la peau enflammée et ses mains sur sa peau sentait le feu bouillant à l'intérieur. Ce n’était pas normal, venant de Mairead en tout cas. Elle s’arrête d’elle-même, soufflant alors sa première confession. Le nouveau pouvoir s’emparant d’elle, transformant la femme en brasier…. Et en chauffage d’appoint également. « C’était déjà mon excuse pour pas te lâcher mais là c’est encore plus évidemment. » Il sourit encore, toujours, répondant au siens. Elle ne lui laisse pas le temps de répondre à sa proposition, déjà debout, elle retire sa chemise et se dirige vers ladite chambre. Message on ne peut plus clair il se lève lui aussi, suivant ses pas tout en passant par dessus sa tête le t-shirt qu’il porte. Il finit sur le sol, peu trop soigneux de ses affaires, peu inquiet du bazar qu’il pouvait mettre. Il n’y a qu’eux ici et les quelques personnes de l’équipage, des employés dont ils n’avaient pas vraiment à se soucier. En passant la porte de la chambre, aussi luxueuse que le reste il prend pourtant bien soin de fermer la porte. Ça ne les regarde pas après tout. Ça ne regarde qu’eux.

(c) DΛNDELION
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Tell me something, boy Aren't you tired tryin' to fill that void? (ikaar+mairead) - Mer 30 Jan - 17:29

Ikaar+ Mairead
« Tell me something, boy
Aren't you tired tryin' to fill that void?  »


J’aime me retrouver avec lui. Littéralement, sans vulgarité, on s’envoie en l’air et c’est plaisant. Pas juste pour les avantages en nature qui sont possibles. On a trop tardé à prendre du temps pour nous. J’ai trop tardé peut-être. Mon esprit était ailleurs. Trop de choses qui se sont enchaînées et je n’ai pas assez pris de temps pour Ikaar. Je regrette. Parce que c’est toujours quand je le retrouve que je comprends à quel point il m’est vital. Je culpabilise, parfois j’ai l’impression de trop laisser parler Belissama et de passer plus de temps avec Alan qu’avec Ikaar. Mais nous allons avoir plusieurs jours ensemble pour prendre du recul, recul sur le monde, sur le Royaume… du temps pour nous. Ce n’est pas si égoïste de partir comme ça. A la dernière minutes. On en avait besoin.

Je suis heureuse de le retrouver, ma vie est tellement tourmentée, je n’arrive pas à savoir par quoi commencer. Je sais que je vais devoir parler d’Alan et de notre alliance, ce mariage qui nous tenait à coeur. Je sais qu eje risque de le blesser parce qu’entre nous, cela n’a jamais tellement été terminé. On se retrouve toujours, on profite toujours l’un de l’autre. On se connaît bien, depuis toujours presque. On aurait pu être voué à être un couple parfait si les dieux n’avaient pas hanté nos échines. Si notre vie avait pu être normale, peut-être même que je serais enceinte de lui à l’heure qu’il est. Allez savoir. Il semblerait qu’on soit relativement maudit. Qu’on s’éloigne pour mieux se rapprocher. Il y a aura forcément un moment où cela ne fonctionnera plus. On ne pourra plus se rapprocher après s’être éloignés. J’ai peur de cet instant, parce que cela voudra dire que nos dieux prennent le dessus et comme je disais à Alan, laisser les commandes à Belissama, cela m’angoisse un peu. Je ne veux pas disparaître au profil d’une déesse toute puissante. Je veux juste être moi, même si mon être se composer d’un fragment de celui d’une déesse. Je veux rester la même.

Je le retrouve. Je m’installe sur ses genoux, le contact semble indispensable et nécessaire. Je soupire d’aise, l’humaine en moi s’impose. Ikaar me donne la force de luter contre ma déesse. Je reste faiblesse. Ne désirant que lui, ses gestes tendres, ses lèvres contre les miennes. Je suis bien, à ma place. C’est souvent l’impression qu’il fait ressortir. Je me mordille la lèvre sans tenir trop longtemps sans ses lèvres. Je me drogue à ce dont j’ai besoin, à l’affection qu’il me porte. Pourtant, je me fais avoir. Moi qui voulais attendre pour les confessions, je me retrouve à m’embraser ou presque. Mes veines deviennent brillantes. Le feu traverse mon corps dans ce liquide vital. Je m’écarte d’Ikaar avant de le brûler. Je ne veux pas lui faire de mal. Je commence à me rendre compte des changements quand le pouvoir se déclenche. Par contre, j’ai parfois encore du mal à tout canaliser. Sa réplique me fait sourire. Il est vrai que c’est un atout pour lui, il pourra se glisser contre moi sans avoir froid en Ecosse.

Je lui propose la chambre. Juste pour avoir plus d’intimité. Je me mordille la lèvre quand je m’écarte de lui. Je retire déjà ma chemise qui laisse découvrir ma poitrine, il faut dire que je porte rarement de soutien-gorge. Je lui fais un regard sans équivoque. J’avance lentement jusqu’au fond de la cabine et je le laisse me suivre… Dans la chambre j’entreprends de détacher mon jean et de le faire glisser le long de mes cuisses pour être alors en culotte lorsqu’il arrive torse nu dans la chambre. Je le laisse fermer la porte avant de le rejoindre dans un élan de passion.

~ ~ ~
Jouissance
~ ~ ~

Je me suis endormie contre lui. Ma tête repose sur son torse. Je manque de sommeil et après nos ébats intenses, je crois que j’avais besoin de dormir un peu. Je commence à émerger. Je bouge doucement, me lovant davantage contre lui. Mon corps a repris pour le moment une température normale. J’ouvre doucement les yeux, mes doigts viennent se balader sur son torse. Je relève la tête vers lui. Je souris. « - Il semblerait que tu m’as épuisé » Je souris, je me mordille la lèvre juste à la simple évocation du moment intime que nous venons de passer. Mon sourire s’efface pourtant… je me rappelle tout ce qui me travaille, tout ce qui me hante. Mon père… sa mort. Il doit le savoir, l’apprendre. Mon coeur bat plus fort. J’inspire. « - Il faut que je te dise… il y a quelques jours… j’ai reçu une lettre d’un notaire… » Je marque une pause. Je me redresse, je m’arrache à Ikaar et je lui tourne le dos, recroquevillée contre moi. J’enroule mes bras autour de mes jambes, je pose mon mentor sur mes genoux. Je soupire, lasse. « - Papa est mort… apparemment il a passé ces trois dernières années à se cacher… juste pour me protéger du dieu qui le possédait... » Je ne veux pas regarder Ikaar, j’ai peur de pleurer, encore et de ne plus pouvoir m’arrêter…



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