BLAZE : bandersnatch CREDITS : eunoia (avatar), me (profil) FACE : alicia vikander. DOLLARS : 1594 SACRIFICES : 414 PORTRAIT : ANNEES : (trente trois ans) à son actif, beaucoup n'auraient pas cru qu'elle puisse arriver jusque là, elle la première à vrai dire. CŒUR : (heartless), ce vent insaisissable, qu'on peut avoir près de soi sans vraiment la posséder. sauf peut-être pour une exception. RÉINCARNATION : (hel), déesse nordique de la mort, reine des enfers, impératrice des glaces. TALENT(S) : bouclier psychique (actif), nécromancie (actif), baiser de hel (inactif), médiumnité (actif). FACTION : (obscuri) se laisse petit à petit gangréner, bras droit d'aura pour (hydra), mafieuse depuis toujours. OCCUPATION : (garde du corps), travaille chez ikaros, imprévisible pour son gabarit mais vous pourriez être surpris. GENÈSE : (primus, stade 5), la déesse installée, le complexe divin qui lui ronge l’esprit, la mort au bout des doigts. TALON(S) D'ACHILLE : sa collection de vêtements de luxe, yves saint laurent & louboutin avant le reste (aura, son ego, cian, matthew). JUKEBOX : emperor’s new clothes ; panic! at the disco / horns ; bryce fox RUNNING GUN BLUES :
--- astrid arsenault.
don't do love, don't do friends, i'm only after success. i know exactly what i want and who i wanna to be, i know exactly why i walk and talk like a machine, i'm now becoming my own self-fulfilled prophecy.
"You frighten me sometimes." "Why on earth would you ever be frightened of me ?" "Not of who you are now, but you're growing, learning so quickly, I'm frightened of who you might become…"
◊ ◊ ◊ ◊
--- hel.
You don’t need to read a book to know her drives… she’ll try to kill all of them.
everything she loves has always had a tendancy to be taken away from her. "tell him to get out", a voice inside her demanded. but she wanted, what she really wanted... "beg him to stay".
◊ ◊ ◊ ◊
--- matstrid.
tell me how you hate me, still tryna replace me, chase me, chase me, tell me how you hate me, erase me, 'rase me, wish you never dated me, lies, tell me lies, baby, tell me how you hate me..
◊ ◊ ◊ ◊
DRABBLE - AESTRID - Lun 4 Nov - 13:37
Sourire espiègle, joues rougies, Astrid le fixe aussi victorieuse qu’un chat ayant réussi à chasser une souris. Souffle court, l’éclat dans l’œil, les cheveux en bataille. L’air moqueur, le silence retombé, un discret petit rire qui s’échappe de ses lippes, la Reine a fait tomber le Roi, elle a gagné la partie. Échec et mat pour leur ego respectifs mais les doigts qui se baladent sur la peau ont un arrière goût de plaisir.
« T’as crié mon nom si fort que tous les voisins le connaissent. »
Victoire écrasante pour la criminelle, justice corrompue.
"Votre voix m’enlaçait comme une chère étreinte, Et votre cœur brûlait si tranquillement beau Qu’en ce moment, j’aurais pu voir s’ouvrir sans crainte Les tortueux chemins qui vont vers le tombeau."
Respiration à l’envers, cerveaux à l’envers, et les cordes vocales aussi sûrement, dans quelques heures. Exténué, honteux aussi humainement et déontologiquement, il préféra enfouir la tête dans l’oreiller en se laissant tomber contre le matelas moite du lit, son dos maillé de muscle se soulevant avec sa respiration. Dans son dos, il entendit le rire essoufflé d’Astrid, et tendit doucement la main vers elle, effleurant sa hanche brûlante dans une douce caresse, qui se crispa à l’entente des mots trop crus pour lui. Il se redressa en lui jetant un regard atterré.
« Mais ça va pas Astrid… ? »
Tous les traits du visage arrondis, complètement surpris.
BLAZE : bandersnatch CREDITS : eunoia (avatar), me (profil) FACE : alicia vikander. DOLLARS : 1594 SACRIFICES : 414 PORTRAIT : ANNEES : (trente trois ans) à son actif, beaucoup n'auraient pas cru qu'elle puisse arriver jusque là, elle la première à vrai dire. CŒUR : (heartless), ce vent insaisissable, qu'on peut avoir près de soi sans vraiment la posséder. sauf peut-être pour une exception. RÉINCARNATION : (hel), déesse nordique de la mort, reine des enfers, impératrice des glaces. TALENT(S) : bouclier psychique (actif), nécromancie (actif), baiser de hel (inactif), médiumnité (actif). FACTION : (obscuri) se laisse petit à petit gangréner, bras droit d'aura pour (hydra), mafieuse depuis toujours. OCCUPATION : (garde du corps), travaille chez ikaros, imprévisible pour son gabarit mais vous pourriez être surpris. GENÈSE : (primus, stade 5), la déesse installée, le complexe divin qui lui ronge l’esprit, la mort au bout des doigts. TALON(S) D'ACHILLE : sa collection de vêtements de luxe, yves saint laurent & louboutin avant le reste (aura, son ego, cian, matthew). JUKEBOX : emperor’s new clothes ; panic! at the disco / horns ; bryce fox RUNNING GUN BLUES :
--- astrid arsenault.
don't do love, don't do friends, i'm only after success. i know exactly what i want and who i wanna to be, i know exactly why i walk and talk like a machine, i'm now becoming my own self-fulfilled prophecy.
"You frighten me sometimes." "Why on earth would you ever be frightened of me ?" "Not of who you are now, but you're growing, learning so quickly, I'm frightened of who you might become…"
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--- hel.
You don’t need to read a book to know her drives… she’ll try to kill all of them.
everything she loves has always had a tendancy to be taken away from her. "tell him to get out", a voice inside her demanded. but she wanted, what she really wanted... "beg him to stay".
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--- matstrid.
tell me how you hate me, still tryna replace me, chase me, chase me, tell me how you hate me, erase me, 'rase me, wish you never dated me, lies, tell me lies, baby, tell me how you hate me..
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DRABBLE - AESTRID - Mar 5 Nov - 10:58
Il y a l’insolence sur ses lèvres, la violence dans ses mots, pas de place pour la poésie. La sorcière lui saisit la main, elle y fait glisser ses doigts et s’enivre de sa vue étendue sur le lit, elle se glisse, ensorceleuse, jusqu’à ce que sa cascade brune vienne se nicher sur l’oreiller. Elle lève un cil face à l’offensé :
« Ne fais pas semblant. Tu n’étais pas si prude il y a quelques instants. »
Cette poignée de minutes où les corps s’enlacent, Astrid se penche au dessus de l’homme, là où est sa place.
"Votre voix m’enlaçait comme une chère étreinte, Et votre cœur brûlait si tranquillement beau Qu’en ce moment, j’aurais pu voir s’ouvrir sans crainte Les tortueux chemins qui vont vers le tombeau."
Le regard d’Astrid lui brûlait l’épiderme, faisceau d’ambre glissant le long de sa colonne vertébrale qui le fit rougir, et attraper à l’aveuglette un morceau de drap pour couvrir ses fesses. La main de la femme, plus petite dans la sienne, l’étreignit doucement, et du pouce il vint caresser l’intérieur de son poignet, posant sur elle un regard toujours offusqué et sévère, qui se perdit au milieu de son visage un peu plus rougit encore par les mots d’Astrid. Son bras passa autour de sa taille alors qu’il la voyait s’installer sur lui, un infime sourire complice sur les lèvres.