Tic, tac, tic, tac. L’horloge tourne, les aiguilles se jouent des secondes quand elle ne bouge pas. Paralysée, seule la respiration brise le silence, bruit éphémère entre ces quatre murs. La pluie se met à frapper à l’extérieur, milliers de gouttelettes s’écrasant contre la vitre, alors qu’elle repense au passé, flashs à la fois heureux et douloureux. Et les dernières paroles, comme un aurevoir, comme un refus. « Ne pars pas, je t’en supplie. » qu’elle lui a dit, pensant, souhaitant que cela suffise.