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war inside (ft. wanda)

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war inside (ft. wanda) - Sam 31 Mar - 17:28

go to war
wanda & sekou

« I don't know what you had in mind but here we stand on opposing sides. We arm ourselves with the wrongs we've done name them off one by one »
La nuit comme reine, minuit sonne et le sinistre divin jubile intérieurement. Faciès bien sombre qu'arbore tes traits l'espace d'un nuit, d'un soupir. Esprit coléreux qui te hante, fantôme taquin qui fait danser tes doigts le long de ce met savoureux qu'est ce délicat cigare. Cubain, tu ne doutes guère de la qualité du produit, l'allumette éclaire un instant l'obscurité dominante au sein de cette vieille battisse, abris de fortune, ce lieu est pourtant devenu ton palais, c'est ici que tu régnais sur ton royaume de poussière, île laissé à l'abandon par ses fondateurs, investi par ses nouveaux propriétaires, les Enfants Terribles. Au loin, tu entends les gémissements de la Mère, prenant sans doute son pied avec un amant parmi tant d'autres, jouissance absurde, triste malédiction qui est sienne. Mais la pitié n'est pas dans ton vocabulaire, pas dans celui de minuit. Non, lorsque la lune est haute, le roi devient tyran, la rage accroché aux tripes toute occasion devenait parfaite pour faire couler le sang, pour exprimer cet art dans lequel tu étais devenu maître, semeur de mort. La fauche d'âme devenu divertissement, dans l'obscurité, ta chair luisait de cette sinistre aura bleuâtre, réfléchissait le tourment des morts qui t'appartenaient.

Le regard rivé sur les ténèbres, plusieurs ombres contraste avec la nuit. Ils rentrent, les éclaireurs. Véritables mines d'informations, ils sont ceux qui font la force des tiens, ceux qui savent ce qui se prépare dans le brouillard, mais aussi ceux dont tu te méfies le plus. Tu quittes la salles du trône, les hautes instances pour descendre les étages. Une odeur familières te caressent alors les naseaux, hallucinogènes fréquemment utilisé pour les rites, certains rendent graves tandis que d'autres profitent du confort de fortune de ces lieux. Appartement ressemblant de plus en plus aux huttes tribales du passé, certaines étaient même devenu des temples aux divins présents en ces lieux, culte antique préservé pour ton plus grand plaisir. Tu finis par atteindre le vieille hall d'accueil de la battisse délaissé, usé par le temps et déjà plusieurs éclaireurs t'attendent, un après l'autre faisant leur rapports, partageant les informations récolter par leurs vagabondage. Rien de fascinant, en dehors de ces meurtres récents contre les oracles. Des actions sanglante qui t'avaient forcé à confiner tout ceux des Enfants Terrible sous une terrible protections. Tu ne voulais pas prendre le risque d'en perdre encore d'autres. Puis d'un simple geste de la main, tu leur demande de reprendre leurs activités quotidiennes, de te laisser seul, attendant la dernière.

Tu étais conscient qu'ils savaient, qu'ils avaient vu la bête dans tes yeux, celle qui ne sort que la nuit. Chacune de leur paroles était maîtrisé, calculé pour ne pas provoquer la rage du divin, petit jeu  plutôt stimulant, il en était venu même à t'amuser de cette peur que tu perçois dans leurs yeux, leurs visages et mêmes leurs paroles. Et puis, il y avait elle... Cette femme qui fini par gagner que ton mépris, ta colère, rien que sa présence suffisait à faire vibrer le divin somnolant le jour. Il fut un temps où tu respectais, admirais même cette femme, mais le temps t'a fait voir d'elle un autre aspect, un visage qui ne te plaît guère. Tu ignores ce qu'elle à en tête, tu ne parvins pas à la cerner et cela t'agace. Tu sais qu'elle te cache des choses, bien trop de choses, qu'elle n'agit pas pour vous, les Enfants Terribles, votre famille. Non, elle est égoïste. Sa vicieuse silhouette se dessine peu à peu dans l'obscurité et un rictus narquois se dessine sur ton visage. « Alors, vieille peau, on commence à s’essouffler un peu vite. C'est plus de ton âge ces conneries. » Attention hypocrite, insinuation aussi limpide que l'eau de roche. C'était devenu ça votre quotidien, langue fourchue et provocation, tu t'étais promis de la faire tomber un jour, de la bannir si cela s'imposait et même de l'abattre. Serment inébranlable, tu en as la certitude, ses secrets ne sont pas en faveur de cette famille, sous son masque hypocrite, tu le sais, elle ne pense qu'à sa petite gueule !

(c) DΛNDELION
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war inside (ft. wanda) - Lun 2 Avr - 15:00

war inside


Archipel ténébreuse luisante sous ses deux billes qui s'étire devant elle. Beauté cyclopéenne à la carne fumée, funèbre créature qui s'avance dans la nuit. Autour de sa silhouette, l'atmosphère se compose de nuances rougeâtres qu'elle s'imagine virer autour d'elle. L'amont est empli d'astres étincelants qui déposent des lueurs blanchâtres sur les artères. Les arpions foulent le sol vaseux de l'île. Terre gorgée de bâtisses délabrées, de ruines étendues par-delà les rues. Un spectacle qui refroidit le cœur logé entre ses seins, qui nourrit la rancœur du Malin. La traversée est interrompue par une dernière œillade jetée à la ville. Elle règne derrière elle de sa grandeur, splendeur gâchée par l'exil de son gang. Fulminante, l'air nocturne emplit ses poumons. Les organes se gonflent et recrachent, menaçant de souffler les flammes infernales qui brûlent en elle. Rongée de l'intérieur, elle étouffe le feu par les pognes serrées, un regard piqué par le ciel. Cieux éclatants, l'île l'accueille par quelques sourires. Ses lippes demeurent intactes, suintant l'indifférence pour ceux qui ne sont pas de son sang.

La silhouette ébène se fige devant une vieille bâtisse animée par la cacophonie quotidienne. Les enfants miroitent aux alentours. Le galbe se dessine devant le châssis. Dernière inspiration d'une brise fouettant ses longs cheveux sombres, saccageant le visage clos de la créature des ténèbres. Elle pénètre l'édifice telle une vipère, silencieuse parmi les ombres. Palpitant crépitant à mesure que les arômes familiers encombrent ses poumons, elle enfile le masque. Façade parfaite de la femme ébène, déesse funèbre qu'elle entretient à merveille. Mascarade portée depuis des années, le regard glisse à travers la salle. Couloir sinistre, murs écaillés, la chair ne laisse paraître aucun dégoût. L'île lui laisse pourtant un goût d'amertume sur les lèvres, une sensation étrange de gâchis. De déchets. De cohue. Un carnage aux allures de fange dans laquelle ils pataugent. Crevant tels des rats dans un paysage de dévastation. Comme s'ils ne méritaient guère les rues pavées de la ville et les palaces inouïs.

Le cœur empli de rancœur, le regard glacé, elle pénètre bien après les silhouettes sombres des éclaireurs. Un entretien solitaire avec le pestiféré qui trône devant elle. Il se dresse de toute sa splendeur. Lion prêt à attaquer, bête sauvage à la faim dominante. Les yeux emplis de dédain, la chair exsude la fureur. Condescendance affichée. Sinistre, sombre, il fait agiter son palpitant. L'orchestre résonne à ses tympans, frappe sa caboche. Elle ne laisse rien paraître, ni l'arrogance, ni la méfiance. L'œillade cherche déjà l'échappatoire, en vain. « Alors, vieille peau, on commence à s’essouffler un peu vite. C'est plus de ton âge ces conneries.» qu'il crache aussitôt. Les babines esquissent un sourire ; bataille lancée à peine la route croisée. Les griffes se plantent dans ses paumes, poings serrés face à la rage déclenchée. « Tu crèveras avant moi, Papa*. » Affirmation certaine qu'elle ose lui cracher à la gueule. Les yeux font pulluler le mépris, mais les lèvres dont le sourire est ravageur laissent croire à la plaisanterie. Les yeux sont fermement ancrés dans les deux globes de l'homme. Défiance étalée. « Ton haleine pue le vieux cigare. Tu devrais arrêter, surtout si tu comptes toujours être parmi nous quelques années encore. » Le timbre respire l'ironie, le sarcasme, mais la vérité n'est guère dissimulée. Elle hurle à l'orage, à une tempête dévastatrice pour ravager cette île maudite et rendre aux enfants leur grandeur d'antan. Faire tomber le roi pour prendre son trône.

 

* en français
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war inside (ft. wanda) - Lun 2 Avr - 16:57

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wanda & sekou

« I don't know what you had in mind but here we stand on opposing sides. We arm ourselves with the wrongs we've done name them off one by one »
Elle t'amuse l'ancêtre. Oh que oui, elle t'éclate même cette sale vipère. Elle nourrit en toi ce délicat brasier, elle rallume cette étincelle qui te manque tant. Elle déverse en toi ce délicieux venin, celui qui arrache tripes et cœur, cette rage si salvatrice. Saine colère, refus de poser les armes si facilement, pas face à elle, surtout pas face au serpent d'Eden. Au contraire, cédant au vice du mépris, tu lèves l'épée, face à cette langue fourchue qui lui sert d'arme, face à ce sourire factice qui lui sert de bouclier. Tu perçois bien au delà de son manège, ambition futile de celle qui n'est jamais parvenu à s'imposer, frustration certaine de la femme qui a dédier sa vie au sien. Du moins en apparence. Femme qui ne sert que ses propres ambitions, ses propres frustration, tu ne fais que tolérer sa présence en ses lieux, toi, roi de ce royaume. Tu as minutieusement placer l'épée de Damoclès au dessus de sa tête, comme un rappel, la moindre de ses erreurs lui coûtera la vie. Une vie que tu ôteras avec plaisir de tes mains. Et par la même occasions, tu briseras chacune de ses ambitions. Guerre puérils, conflit d'orgueil.

Tu souris, non, ce n'est pas cette risette douce et chaleureuse. C'est un rictus sinistre, railleur, le poison se propage dans tes veines, stimulant la bête. Présence divine malsaine qui transforme délicatement l'atmosphère environnante et les âmes s'amassant par dizaine sur scène étaient comme attiré par la mort elle même. Tu l'as savais comme toi, aussi proche de ces pauvres damnés que toi, aussi mortelle que toi, un autre divin associé aux âmes errantes. Vous étiez plus proche l'un de l'autre que vous vouliez l'admettre, peut être étais-ce cette nature semblable qui avait alimenté ce mépris mutuels. Nul n'avait la réponse, pas même les morts. « Je constate que le serpent à encore la langue acéré, c'est au moins ça. Mais les crocs par contre, ça fait bien pitié. » Menace depuis longtemps éteinte, elle n'était plus que l'ombre de la femme qu'elle fut à tes yeux, le corps damné par l'amant destructeur. Tu ne voyais en elle plus aucune fierté, plus aucune force, rien qu'une chienne d'un homme quelconque et au fond, elle avait toute ta pitié, réduite à un tel état, n'étais-ce pas misérable ? Si. Les chaînes de la soumission étaient les liens qui ont enfermé ce peuple qui est le tien, malgré tes racines brumeuse. Et cela alimentait la colère du divin qui a plus d'une fois punit ses tortionnaires. La misère, ce n'était pas ses aspirations.

Non, le divin se voulait glorieux, que ce soit dans la victoire ou la défaite, il refusait la soumission, que ce soit des siens ou de ses ennemis. Aucun respect pour ceux qui se mettent à genou, ne serais-ce devant la force d'un adversaire ou la queue d'un amant. Tu te rapproches d'elle, d'un pas, toujours ce même rictus accroché à ton visage. Venant lui susurrer à l'oreille. « Je pourrais peut être crever. Mais ce serait dommage, car même elle ne me débarrasserait pas de toi. » A cet instant, les âmes errantes se tordent de douleur, avant de se transformer en feu follet, terrible tourment qui signe la fin de leur errance. Les flammèches bleuâtre s'agitent avant d'être aspirer vers toi. Des reflets azur éclatent alors sa ta carne, tandis que les tourments de chacun défile devant tes yeux, armure morbide enfilé, au cas où le serpent voudrait planter son venin dans ta chair, une lame tranchante entre les doigts. Prudence certaine du divin face à son adversaire. Tu tournes les talons, t'éloignes, cigare entre les dents. « Franchement, t'a l'air tendue. C'est a force de danser entre Victor et Caleb, entre deux paires de couilles, tu devrais essayer un peu plus de fumette, ça te détendrait. A moins que tu souhaites tant que ça te l'a jouée à la Savannah, clean et toujours en chaleur ? » Éclat rauque, perçant les ténèbres, accompagnant l'aura sinistre qui t'accompagne. Ce n'était plus l'homme qui parlait, depuis longtemps, minuit dépasser, c'était l'heure du divin. Regard malsain qui se fige dans ses pupilles, les flammes de l'enfer se lisent dans tes yeux, celles dans lesquels tu as emporté plus d'une âme durant bien des existences passés. Feu maudit.

(c) DΛNDELION
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war inside (ft. wanda) - Lun 2 Avr - 20:39

war inside


Le regard est rivé sur la sinistre silhouette. Magistral animal qui domine les enfants sublimes. Une loyauté fruit de longues années passées à cultiver l'image de l'homme divin. Dévotion aux allures de culte. Créature de la mort et des ténèbres qu'il incarne depuis des années. Ange dévastateur, ravageur ne semant que le chaos sur son passage. Avide de pouvoir. Un cavalier noir qu'elle dédaigne et aspire à voir plonger vers les ténèbres. Pompé par les néants, à jamais perdu jusqu'aux seize ans. D'un coup de poignard pénétrant sa chair tendre, d'une morsure de vipère plantée sur sa carne noire. Attirable idée que de l'abattre en cette nuit glacée pour assouvir ses pulsions meurtrières, ses ambitions éternelles. L'ébauche est tracée dans sa cervelle pour servir le sombre dessein. Cœur qui crépite entre ses seins, elle ne peut retenir le rictus carnassier. Comme figée sur les dalles, les muscles se raidissent face à l'émule. Tension palpable, l'atmosphère est lugubre.

Voix qui font écho aux algarades prononcées. Hostilités lancées, la bête gronde face aux avanies : « Je constate que le serpent à encore la langue acéré, c'est au moins ça. Mais les crocs par contre, ça fait bien pitié. » Un coup de poignard qui se plante entre ses côtes. Un coup reçu en pleine gueule. Le divin s'approche, esquisse à ses tympans quelques paroles : « Je pourrais peut être crever. Mais ce serait dommage, car même elle ne me débarrasserait pas de toi. » L'arôme du vilain emplit les poumons, mêlant cigares et parfums d'alentours. Les poings se serrent encore. Les griffes qui transpercent sa chair lui procurent un plaisir connu. Désir de lui arracher la gorge qui traverse sa caboche. En son sein, les vagues se brisent sur les roches. La tempête fait rage, le navire chavire. Elle menace d'exploser et de lui cracher au faciès les paroles retenues. Des années à porter le masque d'ébène, de la créature divine soumise. Fulminations familières, avidité du pouvoir éternel. Le trône est dans la ligne de mire, le divin sera trahi.

Sans réponse, le corps s'éloigne, ajoutant : « Franchement, t'a l'air tendue. C'est a force de danser entre Victor et Caleb, entre deux paires de couilles, tu devrais essayer un peu plus de fumette, ça te détendrait. A moins que tu souhaites tant que ça te l'a jouée à la Savannah, clean et toujours en chaleur ? » Le rire écorche ses oreilles, tandis que des gouttes écarlates perlent sur ses phalanges. Sans liqueur pour l'accompagner, la nuit n'est qu'obscurité. Une épreuve affrontée avec violence, évitant la déchéance. Ténèbres familiers, l'homme s'enfonce dans les dédales. Bâtisse en miettes, infâmes pour son propre rang, la moue coutumière s'affiche sur le portrait du serpent. La vipère ne le suit pas, préférant hurler à travers la salle : « Oh mon cher Papa, j'suis sûre que t'arriveras à vider tes couilles, toi aussi. Un jour. Peut-être. Suffit que la gamine soit débile et pas trop regardante sur la marchandise. » Les deux billes désignent le froc du divin, des étincelles brûlantes sur les pupilles. Les visages alentours se tournent vers eux ; sourire qu'elle retient sur ses lèvres. Le faciès affiche l'offense, alors qu'elle rejoint en quelques enjambées le divin suprême. « Tu devrais moins t'occuper de mes affaires et plutôt bosser sur celles des Enfants. À moins que tu sois dépassé par les événements ? » Les sourcils se dressent, les lippes se tordent pour afficher un sourire narquois. Référence aux oracles malmenés, aux divins en danger. Accident qu'elle aurait déjà réglé de quelques ennemis guillotinés. « Je t'aiderais volontiers, si t'as besoin d'une maman pour te materner. » qu'elle ajoute, le regard niais. À l'intérieur, la vipère danse. Joies qu'elle dissimule derrière la chair foncée, rage qu'elle nourrit des insultes lancées. Haine qu'elle recrache de paroles innocentes.
 
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