Certains auraient voulu profiter de l’instant présent, ne pas s’embarrasser de la violence, des histoires de mafias. Pourtant, ils n’ont pu qu’assister, spectateurs, au déchaînement d’évènements tous plus ahurissants les uns que les autres.

La Grande Roue a commencé à grincer, à ralentir. Puis, doucement, elle s’est détachée, s’est écrasée sur le sol. Un fracas mêlé aux cris de la foule.

Les pouvoirs se sont déclenchés, certains pour protéger, d’autres pour ajouter une couche de peur et de chaos à l’ambiance. Les hurlements ont décuplé la peur, la fuite. A tout cela se mêle une odeur de cendres, de rouille. Un corps en feu s’écroule devant vous, se contorsionne une dernière fois.

La mort choque, fait sourire, et c’est cet instant que choisissent les militaires pour intervenir. Ils entourent la foule, la pressent à se regrouper. Pour les divinités diverses, en dehors des obscuris, c’est le moment où vos pouvoirs semblent ne plus répondre à votre contrôle. Ils disparaissent, tout simplement, le temps de quelques minutes. Les menottes se ferment autour de vos poignets, pour ceux qui n’ont pas réussi à s’échapper à temps.

Pour le temps que vous passerez derrière les barreaux, tout cela dépendra des informations dont les forces de l’Ordre disposent à votre encontre…




+ Il s'agit ici du poste de fin d'intrigue. Je m'excuse à nouveau pour mon manque d'implication dans celle-ci .

+ Concernant les arrestations, elles sont laissées à votre convenance pour votre personnage. De même que le temps potentiel passé derrière les barreaux.

+ L'implication des obscuris dans les débordements n'est pas connue. Si certains peuvent avoir des doutes, l'identité des membres n'est pas déductible durant ces évènements.