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i'll be there for you (when the rain starts to pour)

 :: abandonnés
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i'll be there for you (when the rain starts to pour) - Lun 17 Sep - 11:26




Les talons qui claquent sur les pavés. Les bottines noires qui avancent et prennent effet de l’invasion. La rouquine a mis un trench pour aller dans ce quartier, et elle ricane aux sifflets qu’elle recueille. Oui, le pantalon est moulant, et oui, sous son trench, elle n’a qu’un haut qui est vaguement transparent -trop fin pour être véritablement opaque- mais est-ce que ça la désigne vraiment comme une de ces prostituées qui pullullent dans le quartier chaud d’Arcadia ? D’aucuns diraient « oui », comme cet imbécile qui a commencé à lui jeter une œillade lubrique avant de prêter attention à la question qu’elle posait. Un Beliakov, ça doit bien se trouver facilement dans le quartier russe. Mais il a eu l’idiotie de lui demander lequel, de Beliakov, elle voulait voir, et elle a pas vraiment aimé, parce que sa main furtive s’est mise à broyer les testicules du camé. Il a préféré veiller à la survie de ses futurs descendants et a fini par lui indiquer une adresse pour trouver le Beliakov proche de la Pakhan.

Comme quoi, y a pas besoin d’une arme pour avoir des réponses. Même, une arme sortie dans Ashmill pourrait être un obstacle de taille, alors qu’une petite main blanche comme celle d’un agneau fait toujours moins peur. Les néons clignotent sur certaines enseignes et la Celte pénètre enfin dans le Red Lantern, où les odeurs moites et les lumières tamisées lui font lever les yeux au ciel un instant. Le trench est ôté, plié sur son bras droit, et elle louvoie entre les silhouettes majoritairement masculines pour arriver à repérer, parmi quelques visages déjà identifiés comme faisant partie de la Bratva, celui qu’elle est venue chercher.

Sans plus de cérémonie, elle s’assied sur une chaise en bois en face du torpedo, et pose ses pieds sur la chaise voisine, se mettant donc de trois-quarts pour l’observer. « Bonsoir… », miaule-t-elle, agissant comme en terrain conquis, avant de poursuivre sans vraiment chercher à se présenter. Sa réputation aura sans doute fait le travail depuis l’Eden Manor. « Je voulais venir te rendre visite à l’hôpital, mais vous aviez des gros bras qui n’avaient pas l’air d’avoir reçu le mémo. » Quel mémo ? Elle ne sait pas encore, à l’heure où elle rend visite à Aksel Beliakov dans son antre, que leurs supérieures respectives ont passé un pacte. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’il y a eu une alliance tacite dès lors que la Reine est venue au chevet de Vassilieva. Le reste… Elle hausse les épaules, et pianote sur la table qui les sépare, et puis, passant sa main dans ses cheveux roux, elle se penche un peu vers lui, pour faire une confidence : « On est d’accord que le Trianon était un piège, en fait, hein ? » Elle en est certaine, mais elle ne parvient pas à en trouver les preuves tangibles. « Et qu’on aurait dû boire un coup bien avant, pour s’assurer que les informations circulent. » Invitation à sceller cette promesse par un verre d’alcool, long ou court ? Peut-être bien, oui. Mais d’abord, vérifier qu’ils étaient bien sur la bonne longueur d’ondes, c’est-à-dire la même.






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i'll be there for you (when the rain starts to pour) - Lun 17 Sep - 18:18

RED LANTERN MEETING

what the fuck is she doin' here


29 juillet 2018
Gueule cassée, c’est comme ça que l’une des fleurs du Red s’amuse à l’appeler depuis quelques semaines, et lui lève les yeux au ciel chaque fois qu’il entend ce surnom traîner entre ses lèvres. Au moins, les jours ont eu raison de la guérison, et cette dernière bien entamée lui permet de faire son job. Lorsqu’on le voit bouger, l’on a du mal à réellement imaginer qu’il ait pu se briser quelques côtes ou qu’il ait survécu à une petite hémorragie interne. Maksim cache plutôt bien son jeu même s’il ne peut inventer les strips qui restent sur l’arête de son nez ou encore les cernes noires et jaunies sous ses yeux vairons, symbole de deux yeux au beurre noir absolument adorables. Il est sagement accoudé au bar du Red en attendant les boissons, surveillant d’un œil les allées et venues des clients et clientes, mais aussi l’attitude des employées et employés. S’il donne l’impression de profiter un peu de temps libre, il n’en est rien. Doigts gantés se posent sur les verres et il remercie Ivan d’un rapide signe de la tête lui indiquant de mettre la note sur son compte. Lentement, il se retourne et reprend la direction de la table, délaissant le coin des fauteuils de velours pour rejoindre un brun qu’il ne voit que trop souvent dernièrement. Ce même brun qui lui a causé Bam et Bim sous ses mirettes lors d’une soirée un peu trop étrange. Force est de constater qu’à peine fesses levées, chaise déjà prise. Les yeux se posent sur @Sinead Reed sans qu’il n’en connaisse son nom, il est arrivé dans le trianon bien après les festivités et juste pour récupérer @Aksel Beliakov, autrement dit il n’a fait qu’un aller-retour et c’était sûrement mieux comme ça. A la voir se pencher en direction du brun, le sang du Fraser ne fait qu’un tour mais il se fait violence pour ne pas grogner et hurler au scandale. La volonté de garder une quelconque relation secrète est de mise et personne n’émet de soupçon quant à deux bratviens échangeant quelques verres. Surtout en sachant que les deux font quasiment partis des murs, chacun à sa manière. Quelques pas supplémentaires suffisent pour arriver au niveau de la table et lâcher un superbe raclement de gorge. « J’ignorais qu’il y avait une invité sinon j’aurais prévu trois verres. » qu’il lâche d’un ton glacial comme à l’accoutumé envers les inconnus, se penchant suffisamment au-dessus de la table pour poser le premier verre devant Aksel et le second devant… la jeune femme, l’intimant ainsi innocemment à reculer et se remettre convenablement assise pour ne pas renverser son verre d’alcool fort, un léger sourire en soin au seuil de ses lèvres. « J’espère que ça vous va, c’est une vodka en provenance direct de Russie. » qu’il sourit un peu plus avant de tourner les yeux vers Ivan et lui demander une bière par le biais d’un signe. Pas besoin de mot, à force il sait. « A qui avons-nous l’honneur ? ». Maksim pourrait bien faire un effort mais en se rasseyant sur une des chaises restantes, l’on pouvait clairement sentir l’air froid de Russie venir s’abattre en une bourrasque contre le bois de la table.  

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i'll be there for you (when the rain starts to pour) - Ven 21 Sep - 19:08

RED LANTERN MEETING

le blond, la rousse et le brun


29 juillet 2018
Tête posée tranquillement sur ton poing, tu observes avec attention @Maksim Fraser commander vos boissons. Tout particulièrement son charment fessier. Charment, charment fessier que tu as enfin pu toucher ce matin. Qui aurait cru que le blond était mère poule à ce point ? Tu t’étais pris une balle dans la jambe, ce n’était pas comme si tu étais mourant. Pas comme Fraser qui avait carrément eut une hémorragie interne après avoir volé sur quinze mètres. Enfin, toujours était-il que tu avais finalement réussi à t’envoyer en l’air avec Maksim depuis votre séjour à l’hôpital. Et quel séjour cela a-t-il été. Votre conversation après le réveil du blond tournait encore dans ta tête, mais malgré ça tu n’arrivais pas à réconcilier Maksim et Récurrence. Comment un né-humain pouvait-il soudainement devenir un dieu ? Ça n’avait pas de sens. Tu doutais même très franchement qu’une chose pareille soit déjà arrivée par le passé. Peut-être que ta patronne savait quelque chose ? Mais comment pouvais-tu lui demander ça sans justifier une telle question ? Comment savoir si elle était au courant de la condition du blond ? Que faire si elle ne l’était pas ? Tu ne saurais lui mentir mais attirer des ennuis à Maksim … t’embêtait. C’est donc ainsi, matant ouvertement le cul du blond et la tête pleine d’indécisions, qu’arriva sans somation une rouquine devant toi (@Sinead Reed).

Tu clignes des yeux un instant, surpris, avant de te mettre à sourir tout aussitôt d’un sourire charment. Il te faut une seconde pour replacer ce visage familier entre ces boucles flamboyantes. Sinaed Reed, membre loyal du Royaume, proche de la Reine. Franc parlé, tendances violentes et indécentes. Tu avais bien fait tes devoir pendant ton séjour à l’hôpital. Particulièrement quand, au vu des actions de chacun au Trianon, le Royaume semblait préoccuper particulièrement ta patronne. « Bonsoir… » minaude-t-elle avec son expression lascive, et tu ne peux qu’être amusé de par son attitude. En voilà une sacrée paire de couille pour se comporter ainsi en territoire russe. « Bonsoir à vous également, Miss Reed. » souris-tu de cette expression charmante qui t’est si particulière. Tu l’observes, te demandes ce qu’elle peut bien vouloir à s’afficher ainsi dans un endroit presque exclusivement composé de Bratviens. « Je voulais venir te rendre visite à l’hôpital, mais vous aviez des gros bras qui n’avaient pas l’air d’avoir reçu le mémo. » Tu manques de rire à ça et te contentes de sourire. « Igor est juste concerné par la sécurité de ses camarades, Miss Reed. Il ne faut pas lui en vouloir. » dis-tu simplement, essayant de savoir et de comprendre pourquoi est-ce qu’elle désirait à ce point s’entretenir avec toi. Car c’était bien le cas, n’est-ce pas ? Était-ce par rapport aux évènements du Trianon, seul point que vous ayez en commun ? Mais tu n’as pas à te poser longtemps la question que déjà la belle se penche en avant. « On est d’accord que le Trianon était un piège, en fait, hein ? »

Tu clignes des yeux. A c’était donc ça : la demoiselle était en quête d’informations. Mais pourquoi donc toi en particulier ? Était-ce à cause de votre brève entente derrière ce mur de glace ? « Sans nul doute. » répons-tu simplement, vérité que tout le monde pouvait deviner en regardant les faits seuls. « Un piège très bien agencer, si vous voulez mon avis. » Plus que bien agencé, c’était un véritable coup de maître quand tout les hauts gradés se sont fait prendre au piège comme les derniers des enfants. « Et qu’on aurait dû boire un coup bien avant, pour s’assurer que les informations circulent. » Tu ricanes à ça, un ricanement franc devant cette remarque. « Vous pensez vraiment que les hauts dignitaires de factions rivales auraient volontairement donné des informations à leurs ennemis ? Je suis pratiquement sûr que certains auraient préféré s’arracher leurs parties génitales eux-mêmes plutôt que de faire ça. » Mais effectivement, ça aurait été bien pratique d’avoir toutes les cartes disponibles en mains.

La conversation s’apprête à continuer quand un blond se rappel à ton existence à travers un raclement de gorge tout sauf discret. « J’ignorais qu’il y avait une invitée sinon j’aurais prévu trois verres. » Tu te tournes légèrement et souris dans la direction de Fraser alors que celui-ci déposer ton verre devant toi. Il était agacé, ça se voyait comme un éléphant au milieu de statues de porcelaines. Agacé et probablement jaloux. Adorable. « J’espère que ça vous va, c’est une vodka en provenance direct de Russie. » Tu retiens difficilement un ricanement amusé. Oh oui, définitivement jaloux. Que s’imaginait-il ? Que la rousse était venue pour te faire du gringue ? Pas que cela te soit désagréable, la femme t’étant particulièrement agréable, mais coucher avec un membre d’une faction n’étant pas la tienne n’était pas dans tes habitudes : Il serait fâcheux que tu sois prit pour un traitre.

« A qui avons-nous l’honneur ? » Le blond s’assoie à tes côtés et tu ne peux pas sentir le froid polaire qu’il dégage de toute sa jalouse et possessive personne. Il te fait rire à se persuader qu’il est discret dans ses intentions. Devrais-tu lui dire que beaucoup savent déjà que vous partagez le même lit depuis quelques temps déjà ? Non, laissons-le à ses illusions pour l’instant, tu avais plus urgent à faire. Sourire en place, tu introduis la nouvelle addition à votre tablée. « Maks, voici Miss Sinead Reed. Membre du Royaume. Elle était avec nous lors du Trianon. »


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i'll be there for you (when the rain starts to pour) - Lun 24 Sep - 20:04

PARTY CRASHER

Make up your mind baby cause the time is here. Capital murder, capital lettuce. Yeah she catchin' my vibe but she can't fathom my cheddar, Need a couple gang members for these new endeavors

 

En enfilant l'peu de mètres qui le séparent du Red, il a une pensée pour les coureurs en manque qui, tard le soir, chargent d'un pas hâtif ces mêmes pavés qu'il dévale prestement - pavés qui n'ont sans doute plus souffert la foulée intègre d'une âme innocente depuis des décennies, grand bien leur fasse. C'est que l'bon sens presse le mouvement, lorsque l'artère dévoile ses lugubres ténèbres, déformées sous la lumière spasmodique qu'un lampadaire pété persiste à éructer. C'est ce qui fait le charme de l'endroit - une sensualité vulgaire fermentant entre la crasse et le désir, entre le glauque et la débauche.  Y'a qu'à mater la devanture - mieux, l'état de la ruelle -, pour deviner le nid de cafards pullulant par dedans.

Lui, c'en est un, de cafard.
De la pire espèce.

Du genre à s'introduire tantôt en grande pompe, tantôt à pas de velours ; à gazouiller ses artifices pour se contenter à l’œil, à s'anoblir de titres pompeux qu'on prononcera en russe, pour plus de panache - c'est qu'à peine sa lippe sifflote bratva qu'on ouvre les portes à la volée. Sauf qu'à force de ruser les comptes, l'Orlov était fiché ; le patron l'avait coincé entre deux murs, avait réclamé ses intérêts, n'avait pas été satisfait. L'orgueil d'une avarice qu'on préserve de ses vices lorsqu'ils sont satisfaits si terriblement, jouant face à l'ire d'un homme trompé la carte d'une fraternité à toute épreuve, même celle de l'omission. Il a le ton fielleux lorsque le besoin en est, Vitali ; pourrait convaincre un clochard de lui céder son cabot. Le patron de lui octroyer le droit de visite, de séjour, mais pas de satisfaction. Sur fond de promesses retournées, la seule chose qu'on l'autorise désormais à mater, c'est l'fond d'un verre. Grâce du boss, dis merci. Mansuétude funambule qu'on lui dédie par intérêt - toléré parce qu'utile, lorsqu'il ne s'obstine pas à vider les stocks. Ce qu'il compte faire, parce qu'il faut bien que ses passages soient rentables, autant en dilapidation qu'en faisant le plaisir aux clients de son tendre caractère.

A peine le seuil passé qu'il épie les tablées les plus susceptibles de lui offrir divertissement digne de ce nom. Du coin de l'oeil, il surprend un duo peu commun ; d'entre milles, il saurait reconnaître la chevelure de feu de l'inimitable Reed, plus encore que l'obscur charisme de son confrère slave, accoudé à ses côtés. Y'a comme un fumet d'intrigue qui gonfle ses narines, une intuition qui vole à ses lippes un sourire fauve. An Riocht et Bratva trinquant ensemble, Beliakov et Reed s'échangeant des mots doux dans l'atmosphère ... intimiste, disons, de l'endroit. Y'a pas besoin de plus pour titiller l'audience, qui s'rapproche à pas de chat. L'incruste se file en douceur, l'ukrainien apparaît dans le dos de la rousse, chipant d'un coup de main adroit le verre que lui destinait Iceberg Man, tout fraîchement débarqué — en vide la moitié d'une traite avant d'en claquer l'cul contre la table. « Label certifié, tu peux y aller. » qu'il lance à la dérobade, avant de poser, sans grâce aucune, son séant aux côtés de l'incendiaire. C'est qu'il n'a jamais attendu d'invitation pour se joindre à une fête, l'Orlov, et ça ne commencerait pas aujourd'hui. A l'instant des présentations, il se penche vers la rouquine, s'improvise confident sur le tas, désigne le blondinet d'un signe de tête indiscret au possible ; « Lui, c'est Maksim Fraser. Paraît qu'il a jamais sourit d'toute sa vie, et qu'il est né en Alaska, avec ses potes les pingouins. Quand tu sais ça, certaines choses deviennent évidentes » qu'il lance du ton des sujets délicats, avant de se fendre d'un sourire ambigu. « quoique on est jamais à l'abri d'une bonne surprise ... » Regard rieur à l'adresse du blondinet. Il ne précise pas sa pensée, qui s'attarde sur les rumeurs entendues à droite à gauche, qu'il aimerait bien vérifier, un d'ces jours. Il se pourrait bien que Beliakov ait réussi à faire fondre la glace, exploit qui mériterait médaille, si on lui demande.

(c) nebula



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i'll be there for you (when the rain starts to pour) - Sam 29 Sep - 15:37





NOT HOW IT'S SUPPOSED TO BE


Ces couloirs, ces chambres, ce velours usé et teinté par la fumée moribonde des cigarettes de piètre qualité, voici quelques visions n'étant pas sans lui rappeler un passé désormais révolu. Ada, gamine aux deux facettes, femme aux destins contraires, a bien vite rompu l'idée d'une vie faite de crasse et d'humeurs diverses pour celle d'une existence plus faste et si son corps aura alors bien assez travaillé pour ce succès, c'est finalement sa tête qui lui aura octroyé le Graal, l’élevant un peu plus sur l'échelle de la chaîne alimentaire quand bien même, pour certains, elle est toujours resté une pute. Revenir ici n'a néanmoins rien d'un pèlerinage intérieur, ce qui pourrait se croire tant sa présence semble anormalement récurrente pour une femme ne consommant jamais et si les raisons de ses venues au Red Lantern sont variées, jamais aucune nostalgie ne s'en détache, encore moins un sentiment de manque ou de besoin fébrile, pervers et insidieux. Elle vient bosser, décortiquer les enchevêtrements suintants pouvant porter préjudice à la Bratva, porter conseil, donner visite à certaines connaissances mais rien de plus et encore rien de moins. Son visage est connu, parfois apprécié, parfois même un peu trop mais ce soir-là, alors que pour la première fois elle ne bosse pas, c'est pour exorciser la douleur de s'être vue, encore, refuser l'accès en salle de visite à la prison d'Arcadia qu'elle est venue se réfugier là, d'humeur infecte, afin d'échanger avec la seule âme libre ayant été capable de déceler le vrai du faux, il y a de ça plus d'une décennie.

Nastya a le même âge qu'elle mais Nastya, elle, est toujours là. Le dos courbé, la peau griffée, elle ne l'aura jamais quittée, la lanterne cramoisie, par manque d'ambition certainement, par manque d'opportunités peut-être, ce qu'Ada aura toujours déploré mais jamais jugé. Nastya est humaine, on ne peut plus humaine et si aucun pouvoir divin ne s'est installé dans sa carcasse, elle est néanmoins dotée d'une clairvoyance et d'un franc parler qui aura toujours eu un impact renversant sur l'avocate. Nastya sait ce qu'il faut lui dire, ou pas. Elle sait ce qu'il faut cacher, amener petit à petit, elle sait la prendre comme une mère, avec une douceur brute incomparable qui tantôt l'apaise, tantôt la requinque, elle sait, tout simplement. Alors quand on vient frapper à la porte, quand on vient rappeler à la fille de joie que le prochain attend son du, Ada est déjà plus placide, malgré un visage froid et tiré, martelé par une fatigue sentimentale dont elle est incapable de se débarrasser. Dolya n'est plus en charge aujourd'hui et la vilaine sœur maléfique ne s'est pas faite prier pour subtiliser le trône.

Elle aurait alors pu quitter le Red Lantern aussitôt Ada, une fois ses pas chaloupés l'ayant fait quitter l'antre de l'extase pour la ramener à celle de l'enivrement. Une vodka, à cette heure, fait toujours du bien et si la liqueur ne risque pas de la libérer de son démon, elle pourra toujours endormir sa carcasse, espérant un matin plus rayonnant à son réveil utopique. Elle ne s'attendait néanmoins pas à voir ça. Oh elle pourrait la reconnaître à des kilomètres, la rousse. Et c'est encore pire la façon dont cette couleur jure atrocement ici, sur le territoire des russes. Des russes qui, au passage, ne semblent pas le moins du monde gênés par cette incursion déplorable, invitant la racaille à leur table et pire, à leur discussion. Elle aurait alors pu quitter le Red Lantern Ada, mais elle s'en interdit. Ses talons résonnent alors jusqu'à venir se planter face à la tablée d'une désolance sans nom, levant les yeux au ciel à l’évocation de son nom par le Beliakov. - Et donc une raison suffisante pour être invitée ici dorénavant ? Elle n'était pas au Trianon Ada, très certainement une bonne chose vu le résultat de cette magnifique soirée et n'a donc réellement aucune idée de ce qui s'y est passé, tout semblant encore pour le moins très flou dans le souvenir collectif. Le souffle acide, son regard noir se pose ensuite sur Vitali, dont la tirade ne l'étonne pas vraiment vu le personnage mais qu'elle condamne néanmoins. Elle sait très bien Ada, ce qui se trafique entre Maksim et Aksel, après tout elle l'a vu, en tout bien tout honneur bien sûr mais elle sait aussi que Maksim n'a certainement pas très envie que ça s'ébruite, ce qu'elle ne se permettrait jamais de faire, par ailleurs. Rien dans cette entrevue ne lui plaît donc, et c'est peut-être pour cette raison que Nedolya est de sorti, peut-être parce que le destin ne devrait pas les faire se rencontrer, peut-être parce qu'il serait temps qu'il retrouve sa droite lignée...
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i'll be there for you (when the rain starts to pour) - Lun 1 Oct - 12:57



Personne n’aura jamais l’effronterie d’affirmer que Sinead Reed était toujours très prudente et ne se mettait jamais dans un nid d’emmerdes, juste pour le plaisir de sentir l’adrénaline pulser dans ses veines. Même si le Royaume et la Bratva étaient plutôt en termes cordiaux, aller secouer sa chevelure sous les nez de ses concurrents n’était pourtant peut-être pas la meilleure chose à faire. Mais Fiona ne lui avait-elle pas dit, redit, presque promis qu’Oksana n’était pas une menace pour les gens d’An Riocht ? Dit et ancré dans la chair de sa loyale compagne, à la force des flammes, de surcroît ? Le poignet droit avait encore la marque de l’ire de sa Souveraine, bracelet blanchi suivant la forme de doigts enroulés. Une des raisons qui avaient poussé la Courtisane à porter un haut à manches longues, histoire d’éviter les questions déplacées. Pour le moment, c’était elle qui avait lancé l’interrogatoire d’un torpedo plutôt complaisant, ce qui la rendait relativement confiante. Oui, elle avait franchi les portes du Red Lantern avec une sorte d’arrogance teintée de défi, mais son but n’était certainement pas de lancer les hostilités. Il fallait au contraire s’assurer d’un certain soutien et de la mise en place d’un canal d’échanges d’informations parce que ce qui s’annonçait au loin était une sacrée tempête de fureur et de bruits. D’où le ton charmeur et le sourire qui s’élargit lorsqu’elle repère que Beliakov est loin d’être réfractaire à son approche. Il est lucide, et potentiellement du même avis qu’elle : bien sûr que les informations permettant la capture de Mendes avaient été conservées à l’intérieur des factions, et le simple fait qu’il ait apporté, comme elle, un indice au Trianon montrait bien qu’ils avaient senti qu’il y aurait peut-être des points à éclaircir. Mais en vain.

Elle voudrait poursuivre avec Beliakov, mais s’installer en territoire adverse attire forcément l’attention (surtout que de chevelures de feu aussi caractéristiques, la Bratva ne déborde pas). Un blond qu’elle n’a pas cherché à identifier plus tôt s’approche, carré d’épaules et de mâchoires serrées. Il semblerait qu’elle lui ait volé sa place, et elle ôte les jambes qu’elle avait nonchalamment posées sur la chaise voisine, tandis qu’il la tire pour s’y installer. Un rictus amusé pourrait se peindre sur ses lippes alors qu’elle constate qu’il y a peut-être une hostilité qui se double d’autre chose -mais quoi ? C’est qu’elle n’est pas au fait des rumeurs... du moins pas jusqu’à ce que l’ombre d’un Ukrainien ne se pose à sa gauche et s’improvise goûteur de vodka pour une Celte en terrain miné. « Vitali. », le salue-t-elle brièvement avant de lever son verre à l’adresse du blond inquisiteur, tandis que Beliakov la nomme : « Tout juste. » Ça ne sera donc pas un huis clos, mais elle est partiellement rassurée par la présence de son camarade de bras de fer, qui lui présente l’inconnu flavescent : « Enchantée, Monsieur Fraser. »

Oh, la soirée aurait pu se résumer à un quatuor à dominance masculine sans que Sinead n’en prenne ombrage ou ne s’en inquiète. Mais voilà une silhouette féminine qui apparaît dans son champ de vision et, si elle n’en laisse rien paraître, la rousse se tend. Netchaïev n’est pas de celles que Sinead porte vraiment dans son cœur, eût égard à une vieille histoire qui risque un jour de se retourner contre elle. Néanmoins, elle ne peut se trahir aussi bien entourée et elle salue la dernière venue : « Madame Netchaïev, quel plaisir. Pour être tout à fait honnête avec vous, je me suis invitée moi-même, et vos camarades ont été assez galants pour ne point me forcer à lever le camp. » Easy tiger, semblent lui intimer les pupilles dilatées.

Elle hésite désormais. Elle qui pensait pouvoir approcher Beliakov tranquillement se retrouve en présence de tierces personnes qui n’ont pas fait partie de la petite sauterie du Trianon. Pour autant, c’est peut-être la seule occasion qu’elle trouvera avant la guerre imminente pour parler avec son homologue russe, et Fiona lui a bien donné toute latitude pour chercher toutes les informations possibles. Autant mettre les pieds dans le plat, et advienne que pourra : « J’ignore ce que vous tous savez ici des événements du Trianon, il y a une semaine, mais je crois -je crains même- qu’il y ait eu possession... de certains de nos camarades. » Elle, pour l’heure, songe autant à ce pauvre Saturno dont elle ignore la localisation, qu’à ce brave Carl Mendes qui leur avait permis de se réunir dans une pièce où ils auraient pu (auraient dû ?) tous perdre la vie. « Une visite de la bibliothèque semblait l’indiquer, en tout cas... » Donner des informations, pour en récupérer en échange, voilà le marché tacitement proposé. Si ses prunelles vont et viennent surtout sur Aksel, elle n’oublie pas que les trois autres pourraient bien avoir des éléments intéressants et ses billes les observent furtivement à tour de rôle.






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@ada netchaïev, @maksim fraser, @aksel beliakov, @vitali orlov
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i'll be there for you (when the rain starts to pour) - Dim 7 Oct - 19:04

RED LANTERN MEETING

what the fuck is she doin' here


29 juillet 2018
La jalousie est un vilain défaut, et il atteint très nettement le blond à la seconde où les yeux bicolores se posent sur la silhouette bien trop penchée de @Sinead Reed. Il n’a pourtant aucun grief contre elle, il est juste de mauvaise humeur et un tantinet possessif. Mais en général, on l’aime bien Maksim, pour cet air d’ours grognon qui transparait le plus souvent sur ses traits aussi polaires que le froid de Sibérie. Menant son manège à la perfection, posant suffisamment le verre de vodka assez près pour que la jeune femme puisse reculer et se remettre confortablement assise sur sa chaise, il fait en sorte d’en récupérer un troisième contenant de la bière et prend place à leurs côtés. Il retient instantanément la grimace qui manque de déformer ses traits en sentant ses côtes brisées le chatouiller encore après les évènements de l’Eden Manor, puis prend part à la discussion, présentations faites par un @Aksel Beliakov visiblement amusé alors que Maksim le fusillerait presque du regard, pensant encore à tort que leur lien était invisible et non flagrant aux yeux du monde. Ce que Fraser ne savait pas, c’est que le brun assis à sa droite ne se cachait nullement, lui. Maks, voici Miss Sinead Reed. Membre du Royaume. Elle était avec nous lors du Trianon. Le Trianon. Maks souffle sèchement entre ses dents en fixant la rousse. « Le Trianon, tu veux dire cette sauterie privée qui, pour le coup, a fini en véritable feu d’artifice ? Cette sauterie qui a fait partir la soirée en véritable catastrophe ambulante, avec des pédants de toute autre faction se prenant pour les cadors des bas quartiers ? Oui. Ca me dit vaguement quelque chose. ». Les prunelles scrutent attentivement la membre du Royaume en personne sans réelle animosité, juste sa froideur habituelle. Des rumeurs ont certainement courues à ce propos, Maksim étant l’agent de sécurité le plus ancien du Red Lantern. @Vitali Orlov ne laisse pas l’occasion à la discussion d’aller plus loin dans l’avancée, apparaissant dans le dos de @Sinead Reed et s’emparant du verre de vodka comme d’un vulgaire voleur n’ayant pas les moyens de s’en offrir un. Lui, c'est Maksim Fraser. Paraît qu'il a jamais souri d'toute sa vie, et qu'il est né en Alaska, avec ses potes les pingouins. Quand tu sais ça, certaines choses deviennent évidentes. L’absence de sourire, Fraser le met un peu plus en pratique. Il lui enverrait bien son verre à la figure mais le blondinet est anti-gâchis en ce qui concerne la bière. Ce serait lui faire bien trop d’honneur. quoique on est jamais à l'abri d'une bonne surprise ... Maksim plisse les yeux, se demandant à quoi Vitali peut bien faire allusion. « Vitali, tu as l’air bien au courant de certaines choses, y aurait-il une information que tu souhaiterais nous faire partager, tant que tu es là, à vider les verres de la table ? ». Cette fois, c’est Sinead qui reprend la parole et le blondinet ne peut que hocher poliment de la tête. Un ours bourru, certes, mais pas impoli tout de même. « Madame Reed… ». Il tourne alors la tête vers @Aksel Beliakov se demandant ce qu’il y a bien pu se passer au Trianon lorsqu’une nouvelle tête connue apparait dans son champ de vision. @Ada Netchaïev.    

Fraser croise le regard d’Ada, il sait qu’elle sait. Elle l’a vu un jour alors qu’ils se sont effleurés, et il sait aussi qu’elle ne dira rien à propos de sa relation compliquée avec son voisin. En revanche, dorénavant, il comprend mieux ce qu’il se passe pour Ada, elle n’est pas une vulgaire médium, comme il l’a toujours pensé à tort. Il se pourrait qu’elle soit comme lui. Comme eux. Car il n’y a pas une seule note de différence dans les ressentis que Maksim a envers tous ceux présents à la table, pas comme le client qui franchit les rideaux de velours pour qui il n’y a aucune note supplémentaire de ce quelque chose d’étrange. Non, il n’y a qu’autour de cette table que tout est différents. « Ada. » qu’il salue à l’attention de la blonde en tirant une chaise encore présente entre lui et @Vitali Orlov. Pas le temps de bavarder outre mesure, la discussion prend enfin tout son sens aux oreilles du novum, à peine Sinead reprend-t-elle la parole. J’ignore ce que vous tous savez ici des événements du Trianon, il y a une semaine, mais je crois -je crains même- qu’il y ait eu possession... de certains de nos camarades. Possession. C’était bien le mot, et l’un de ceux présents à cette table en a lui-même fait les frais… Sauf qu’il ne compte pas revenir là-dessus. Pour le coup, Vitali a raison, il se fait aussi froid que la banquise. Pour peu, un pingouin pourrait bientôt franchir les rideaux de velours à son tour tant la froideur de Maksim se fait encore plus vivace lorsqu’il porte sa pinte de bière à ses lèvres. Une visite de la bibliothèque semblait l’indiquer, en tout cas... Un fin sourire en coin vient finalement déformer les traits de l’agent de sécurité, comme quoi tout est possible, il évite toutefois de rire, ce serait mauvais pour ses côtes, déjà qu’il arbore un air de chien battu avec le reste de ses yeux au beurre noir. « Vous m’en voyez ravi de savoir que vous avez eu l’occasion de visiter. ». Il repose son verre sur la table. « Pour ce qui est de la possession en revanche, pourquoi uniquement certains l’auraient été ? ». Maks considère n’avoir aucune réelle information à partager, mais cela ne l’empêche pas de poser les questions, tout en décalant discrètement son pied sur la droite, comme soudain pris d’une envie de passer un message subliminal à Aksel.

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i'll be there for you (when the rain starts to pour) - Jeu 18 Oct - 13:50

RED LANTERN MEETING

le blond, la rousse, le brun, la médium et le cafard


29 juillet 2018
A mesure que les instants passent, tu peines de plus en plus à retenir le ricanement amusé qui désir franchir tes lèvres. A tes côtés, @Maksim Fraser lançait un regard clairement hostile et polaire à votre rousse de nouvelle venue (@Sinead Reed). Le blond était jaloux, indéniablement jaloux envers une femme que tu venais à peine de rencontrer. C’était à la fois immensément divertissant et étrangement plaisant. Tu lui présentes la rousse, restant le plus poli face à cette haut-gradé venant envahir aussi ostensiblement votre territoire. Et si tu avais jusque là réussi à conserver ton masque de politesse, la description des événements du Trianon par Maks laisse finalement échapper le ricanement précédemment retenu. Par le Ciel, ce que tu aimais le franc parlé de ton amant des fois. « C’est une manière de décrire la soirée, oui. » confirmes-tu avec un sourire amusé, prenant une gorgé de ta boisson précédemment ramenée. La conversation n’a pas le loisir de continuer car voilà soudainement @Vitali Orlov qui arrive soudainement et comme à son habitude : de façon bruyante et immanquable. « Orlov. » le saluts-tu d’un sourire en coin. Tu l’aimais bien cet homme, lui aussi était un fervent amateur de rependre le chaos sur terre juste pour son plaisir personnel. Tu ne défends pas ton amant de ses paroles. Maksim n’en a nullement besoin et a maintes fois prouvé être capable de se défendre seul. Tu ne te serais pas intéressé à lui, si ce n’avait pas été le cas. Tu n’aimais que les forts, après tout.

Renonçant officiellement à garder ton visage impassible, tu ricanes ouvertement derrière ton verre aux allusions du nettoyeur de la Bratva. Par le Ciel, tu ne comprends toujours pas comment Fraser peut-il toujours penser que vous êtes discret. Même l’envahisseuse rousse semble avoir comprit qu’il existait quelque chose entre vous, si tu ne te trompais pas sur la signification de son visage amusé. Perspicace, la rouquine. Perspicace et donc dangereuse. Et voilà que l’assemblée de cette petite table s’agrandie encore plus quand @Ada Netchaïev vient vus rejoindre. Tu ne la connais que de vue, cette superbe blonde à la solde de l’Armée Rouge, mais la Bratva n’est pas si grande, et même si aucun mot n’a jamais été échangé avec certains, tous se connaissent. « Miss Netchaïev. » la saluts-tu d’un grand sourire charmant alors qu’elle aussi prend place à vos côtés. Tu notes la familiarité avec laquelle Reed s’adresse à votre camarade, comme ce fut le cas également avec Orlov. Coïncidences ? Peu probable. Il n’existait pas de coïncidences en ce bas monde et encore moins dans votre univers mafieux.

La rousse qui te semble de plus en plus dangereuse s’exprime de nouveau et ta tête se penche légèrement sur le côté alors que tu l’observes plus franchement. Tes soupçons quant à sa présence sur votre territoire se confirmait : Miss Reed souhaitait des informations. La technique était évidente cependant, grossière et presque trop honnête. Curieux pour une mafieuse. Pourquoi donc agissait-elle de façon aussi franche ? Tu doutais que ce soit uniquement dû à son caractère. Les rumeurs d’une alliance entre vous et sa faction seraient-elles donc vraie ? « Miss Reed, seriez-vous en train de nous offrir des informations gratuitement ? » lui demandes-tu d’un sourire taquin, une fois ton blond ayant fini de discuter avec elle. « N’est-ce pas dangereux pour vous comme pour nous ? » Paranoïaque et précautionneux que tu étais, tu ne parleras de ce que tu sais qu’une fois qu’on t’aura assuré que ta tête et celle de tes camarades ne sauterait pas pour t’être exprimé sur ce que tu ne devais pas. La Bratva n’avait aucune tolérance pour ce qui s’apparentait à de la traîtrise, de près ou de loin, après tout. Mais vu qu’elle fut la première à s’exprimer sur le sujet, tu ne peux la laisser décemment sans rien sous la dent. « Nous avons également eu des cas de possessions dans nos rangs, cependant, oui. » Cas se trouvant d’ailleurs à tes côtés et frottant discrètement son pied contre ta jambe. Non franchement, vous n’étiez pas discret. Vraiment pas.


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