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les terrains vagues - nalini

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les terrains vagues - nalini - Mer 2 Jan - 17:11

les terrains vagues
nalini et nur/icons by venus in furs



https://www.youtube.com/watch?v=BPKFfcomdZA

pas de mômes qui courent à s'en bouffer les murs, pas de mômes qui braillent à en imiter la pire biture - sont trop grands, sont même géants. jeunes en difficultés, c'est de l'empaquetage de soie pour faire la douceur des mots, pour que ça passe comme une épée bien affutée dans un bide trop mince - c'est pour dire finement qu'ils sont foutus, un peu trop cassés, que y'aura toujours maman ou papa pour les hanter. soupçon d'un frisson maladroit qui vient taper dans sa nuque, il pousse un vague soupir, nur, il se redresse alors qu'il les occupe, alors qu'il cause avec eux, alors qu'il prend sa pause clope tranquillement dehors à une heure choisie - il est pas payé de toute manière, alors tous les efforts du monde il a pas forcément à les faire. lèvre inférieure pincée, cendre qui tombe au même rythme que l'ondée, il jette finalement le mégot dans le vent - le laisse s'enfoncer dans le béton, façon tête trop lourde qui crache un peu trop de sang. mains dans les poches, veste qu'il enlève et fout dans la pièce réservée à ceux qui tentent de les gérer - de les conseiller -, il se perd un peu aussi. il cherche ses repères, l'étoile du matin et celle du soir, la grande et la petite ourse - de quoi pas totalement finir dans le merdier la prochaine fois qu'il se ramène, parce qu'il le sait, y'en aura une de prochaine fois, y'aura de quoi faire chouiner les astres ce surplus de bonté. inspiration profonde, doigts qui passent sur des portes pour les ouvrir, y'a des ateliers - de la peinture, de l'écriture -, de quoi stimuler et réveiller leurs talents cachés - y'en a parmi eux qui resteront au fond de la benne, qui trouveront pas quelqu'un pour adoption, qui resteront miteux. le constat ça lui fout une vieille crispation - tellement basique que ça le dépite.

puis y'en a bien une où il s'arrête, ça piaille comme jamais - ça fait un brouhaha à la manière d'un matin dans une volière de moineaux. ça cause si fort que ça lui file presque des bourdonnements - y'a une femme au milieu qui sourit, qui hoche la tête, qui en place pas une pendant que les autres racontent leurs vies - et leurs fausses aussi. ça dégouline d'adolescents de partout, ça s'est fait une place, ça tourne autour d'elle comme un satellite. y'a comme un instant où il s'arrête, y'a comme un instant où ça fait la sensation d'une combustion spontanée - ça le brûle à l'intérieur, et ça sortira pas de sa bouche en flamme de dragon. il attend, il sait pas ce qu'il attend mais il attend dans l'attente attentive d'une attente quelconque.
il se ramène,
il se,
ramène,
il ose, interpose, se décompose.
sourit - voudrait l'osmose.

- salut. il la connaît ni d'adam ni d'ève, ni de shiva ni de parvati, ni de zeus ni d'héra. il a le coeur qui palpite, crépite, fait tic et tac, l'aiguille qui s'enfonce à même la chair et défait la ligne ennuyeuse du temps. t'as besoin d'aide pour les gérer ou j'passe mon ch'min ?
- hé nur, tu m'as coupé, c'est pas super poli.
- c'pas une question de politesse, si tu fais durer le suspens ça donne envie d'entendre la suite.
- fous-toi d'moi.
- m'parle pas comme ça. il la boucle de suite, sous le regard insistant et plongeant - il la boucle tout de suite l'enfant, en captant que de toute manière, il sera grand perdant.
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les terrains vagues - nalini - Dim 6 Jan - 17:23



I can tell from your eyes
You've never been by
the riverside

@kane., RENEGADE.

C’est comme si elle plongeait dans l’océan. Elle lui prend la main comme on prend celle d’un vieil ami, acceptant la houle, acceptant le tumulte -- faisant corps avec l’écume. Elle rentre dans l’eau d’un pas assuré, confiant, le sourire toujours aux lèvres. Elle sait que la noyade sera agréable, chaleureuse, que les vagues l’accueilleront en chantant, en riant, en agitant leurs bras ondins, dans un capharnaüm à demi-silencieux, tentative touchante et têtue de parler sa langue. Ils n’y parviennent pas, ces tsunamis-enfants, et les gestes se confondent avec les voix qui se mélangent, qui complètent les mots absents, ceux qu’ils ne connaissent pas encore ou ceux qu’ils ont oublié. Au milieu d’eux, elle est la Mère, dans les jupes de laquelle on vient se cacher pour ne pas avoir peur, qui les entourent de ce voile protecteur, de cette bulle de chaleur (d’amour) ; littéralement.
On ne dirait pas, que c’est organisé, parce que ça crie dans tous les sens, ça chahute sans fin et ça se bouscule sans se demander pardon, mais le sens est comme elle ; il gravite autour d’eux depuis six ans, presque sept. Chacun raconte son histoire, l’un après l’autre, une phrase après l’autre, en attendant son tour et en s’imposant quand le silence reprend ses droits pour une seconde (ça suffit, une seconde, ça veut dire j’ai fini, ça veut dire c’est à toi, ça veut dire mais c’est pas encore la fin). Et ça enchaîne, il faut suivre, toutes ces étoiles filantes, ces bribes d’histoire que Nalini remet dans l’ordre, une enfant dans les bras, les mains qui caressent ses cheveux, son front, une de celles qui ne parlent pas, marée basse, qui écoute les autres se brasser à marée haute et s’embraser en frôlant l’atmosphère -- constellations de vie, fausses ou vraies, c’est pas ça l’important.
« Salut. » Lui ne fait pas que frôler l’atmosphère, il s’écrase contre elle, la fait presque ployer sous ses doigts. Et en une seconde, l’écume arrête de s’écraser contre les rochers ; plus rien ne crépite. « T’as besoin d'aide pour les gérer ou j'passe mon ch'min ? » Il règne désormais un silence entrecoupé de mystère, juste assez bruyant pour ne pas entendre les deux âmes se questionner plus que se reconnaître, incapables de comprendre, tout juste capables de savoir qu’il y a plus. « Hé Nur, tu m'as coupé, c'est pas super poli. » Silence coupé aussitôt, la houle se remet en colère, Nalini regarde l’échange vif sans avoir le temps de (pas de seconde disponible) -- alors elle attend son tour, comme tout le monde. « C'pas une question de politesse, si tu fais durer le suspense ça donne envie d'entendre la suite. » Toute la horde s’est arrêtée et regarde tour à tour Nalini, l’enfant, l’inconnu, trio cocasse d’âmes qui pourtant pourraient se faire écho ; la mère, le fils, l’inconnu. « Fous-toi d'moi. » « M'parle pas comme ça. »
Le temps s’est arrêté,
la seconde est arrivée.
Nalini laisse les cheveux et le front de la petite collée contre elle. Elle ignore la première remarque de l’inconnu, tourne ses prunelles pour parler à l’enfant. « Pablo, ce n’est pas grave, reste poli et accueille mieux nos invités, nous continuerons ton histoire après. Tu le connais ? Dis-lui que je n’ai pas besoin d’aide, mais qu’il peut rester écouter vos histoires. S’il promet de ne pas couper la parole. » Elle le regarde comme une mère son enfant, d’un regard tendre, bienveillant. Son sourire ne l’a pas quittée et ses mains retournent se glisser entre les mèches de l’enfant qu’elle tient encore, pour un instant. À vrai dire, on ne sait pas trop ce qu’elle lui dit, à ce gosse, parce que seules ses mains se sont agitées et personne n’a donné le mot de passe à l’inconnu pour comprendre, mais Pablo finit par hocher la tête, baisser les yeux et se tourner vers lui, lâchant un « Désolé Nur. » sorti de nulle part, mais qui a l’air sincère. « Elle dit qu’elle a pas besoin d’aide, mais que tu peux rester écouter les histoires, si tu la fer- (regard de Nalini, entre tendresse et fermeté) si tu coupes pas la parole. » Et Nalini d’enfin regarder cet inconnu, pour la première fois, un sourire toujours tendre, toujours sincère dessiné sur les lèvres.
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les terrains vagues - nalini - Mar 29 Jan - 20:18

les terrains vagues
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https://www.youtube.com/watch?v=BPKFfcomdZA

doigts qui volettent, c'est dire sans dire, c'est annoncer sans vraiment le faire, c'est ravaler la langue au fond du gosier, la laisser pendre dans le vide sans jamais la rattraper et pour autant la voir se suspendre dans un fil. cordes vocales fermées par un fil épais, de ceux qui s'utilisent pour attacher un animal trop féroce, il se tait nur, il se tait et regarde, il comprend rapidement - sans besoin de s'attarder sur ce que raconte pablo, et dans toute sa splendeur il se veut trop tenté de lui dire de la boucler. fermer sa grande gueuler. fermer les écoutilles. fermer tout ce qui pourrait aider au silence - il roule un peu des yeux, préfère la jouer petit dans un trou de souris, qui de loin jauge les chats se taper dans les pattes. sourcils qui se haussent, l'enfant se raccroche de la douce, reprend les bras dans les airs qui racontent des histoires inconnues.
- et oui, donc je disais -
il ouvre grand, grand, comme si le vide se créait entre ses doigts.
- j'ai trouvé un crâne immense dans le puits ! grand-mère m'a dit qu'il appartenait à un gorille. moi je pense pas. beaucoup s'estomaquent, lui préfère s'arrêter à la simple évocation d'une matriarche ancienne dont les rides soulignent encore délicatement les yeux. sorte de sourire qui vient s'imprimer à l'écart de ses lèvres, pablo continue, continue sans cesse, d'autres se mêlent aux racontars, sifflent des légendes qui seraient arrivées à l'un, à l'autre.

quelques minutes.
dix.
vingt.
trente même avant que tous ne s'éparpillent à mesure. pour autant son coeur à lui palpite, crépite doucereusement sous l'oeillade discrète de l'employée à la tendresse écrite sous les différentes couches de peau. assis depuis un moment, il se redresse, époussette un peu ses genoux avant de pencher sa tête sur le côté. le silence se fait - léger.
sans le rompre, il siffle, prend en langue des signes.
- comme tu vois, je n'ai pas rompu la promesse. je n'ai pas coupé la parole. aucune lèvre qui ne saurait bouger, seul le vent accueille ses mouvements - il inspire profondément, nur, l'estomac relâché d'une pression, d'un poing coupant la circulation.

- on aura sans doute pas d'problèmes pour causer, du coup. j'comprends. trop de choses, trop de flux, trop de chutes qui se ponctuent de blessures et de douleurs contre les murs - il tapote un peu du pied, cesse en se sentant ridicule sous une sorte de bête d'euphorie venant chatouiller ses nerfs.

- j'suis pas ici d'puis très longtemps. j'ai pas eu l'occasion de faire ta connaissance.
il tend la main dans le vent - se perd dans le regard noir, s'enfonce dans un océan de pétrole aussi léger qu'une goutte de pluie.
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les terrains vagues - nalini - Sam 2 Fév - 17:17



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@kane., RENEGADE.

C’est comme si le feu dans la cheminée s’était arrêté, d’un coup, que les braises s’étaient tues et qu’il ne restait que la fumée pour soupçonner son existence. Et puis, d’un coup, il avait repris. Il était tantôt flammes indomptables tantôt ouragan insurmontable, acceptait en son sein tant les flammes délicates que les vagues tumultueuses. Pablo avait perdu la parole et l’avait aussitôt retrouvée, sous l’œil tendre de sa Mère, celle qu’il avait choisie (celle qu’ils avaient tous choisie). Et une fois les secondes écoulées pour Nalini et l’inconnu, il repart de plus belle, s’écrase contre la houle et devient lui-même une vague, prêt à raconter son histoire. « Et oui, donc je disais – », il lève les bras et Nalini suit les petites mains qui s’agitent dans l’air, la bouche ouverte dans une surprise à peine masquée, un sourire malicieux sur les lèvres. « J'ai trouvé un crâne immense dans le puits ! Grand-mère m'a dit qu'il appartenait à un gorille. Moi je pense pas. » Il pourrait lui raconter qu’il s’était brossé les dents le matin même qu’elle en serait tout autant émerveillée, qu’elle attendrait la suite avec autant d’impatience.
Pour leur donner l’attention qu’ils ont perdue sans avoir eu le temps de la recevoir, ni même de savoir qu’ils la voulaient.
Les histoires s’enchaînent mais la marée finit par baisser et la faim réveille leurs appétits intarissables, provoquant la disparition de l’ouragan, des vagues tumultueuses et du feu crépitant, pour ne laisser que quelques gouttelettes sur le sable qui viennent lécher les pieds des marcheurs. Elle lâche l’enfant qui somnole entre ses bras, leur fait signe qu’il est temps. Ils continuent à la regarder, attendant son autorisation, le oui silencieux qui viendra combler leurs estomacs. Personne ne pose de question mais elle les devine dans leurs yeux pétillants, parce que c’est toujours la même, parce qu’il est quasiment quatre heures et que l’ouragan, ça creuse. « Oui, vous pouvez y aller, mais sans courir. » Certains sont restés pour les derniers mots mais la plupart sont déjà partis, en courant, vers le goûter de la journée, et Nalini les regarde en riant, d’un rire qu’on devine plus qu’on ne entend. Seul l’inconnu est encore là, la bouche close et les mots fermés. Et quand il agite les mains, Nalini est surprise, réellement, parce qu’il parle comme elle. « Comme tu vois, je n'ai pas rompu la promesse. Je n'ai pas coupé la parole. »
Elle voit. Elle voit et elle n’entend pas, et son sourire s’agrandit à mesure que les mots s’alignent devant ses yeux.
Il comprend et il parle
Il parle et il comprend
« Je vois. » Elle répond, hésitante, trop surprise pour en dire plus. Et quand sa voix à nouveau s’écrase dans l’atmosphère, elle en rate un battement, instinctivement un peu déçue, mais heureuse. Et pour quelques instants encore, elle exhale involontairement une bulle de chaleur, d’amour autour d’elle, comme si l’Amour lui-même venait les prendre dans ses bras et libérer leurs cœurs. « On aura sans doute pas d'problèmes pour causer, du coup. J'comprends. » Elle hoche la tête. Reyes et Jesse l’apprennent, eux aussi, pour elle. Les enfants s’y essayent pour se rapprocher plus encore de cette Mère nouvellement choisie. Mais ce n’est pas pareil. La sensation n’est pas la même. « 'suis pas ici d'puis très longtemps. J'ai pas eu l'occasion de faire ta connaissance. » Il tend la main et elle hésite, parce qu’elle n’a pas oublié ses origines, n’a pas perdu l’habitude de saluer comme avant. Alors elle joint les mains et elle baisse la tête, espérant qu’il ne prendra pas mal la main solitaire restée tendue dans l’air. « Nalini, enchantée. Tu es bénévole ? » Elle va pour s’avancer dans la direction des enfants partis, mais s’arrête, les yeux fixés dans les siens. Étrangement apaisée. « Tu as faim ? C’est l’heure du goûter. » Et doucement, sans s’y attendre, sans le savoir, comme on s’endort, elle fait écho à la Mère qu’il a oublié avoir eue.
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les terrains vagues - nalini - Ven 8 Fév - 13:34

les terrains vagues
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s'incline la divine, rappelant temps immémoriaux et politesse exacerbée - de quoi le laisser con l'espace de quelques secondes, la main dans l'air qui finalement vient rejoindre sa jambe. inspiration profonde, coeur qui continue de s'exciter, se donne dans une course déjà gagnée, un frisson qui ramène la déité, tape dans ses côtes pour souligner que rien ne va plus, que rien ne saurait être normal - ni bien. se cache chez elle comme une lourde mission, en plus de celle des enfants qui insultent parfois, qui gueulent au monde leur mécontentement - douce nalini, tendre nalini qui offre une chaleur qui vient le travailler à bras le corps. froncement de sourcils, iris qui se plissent pour essayer de comprendre ce qui se cache derrière cet amas de peaux qui se succèdent en une couche épaisse - prêt à lui tourner autour comme le ferait un vautour, détaillant l'animal mort pour apercevoir le coin stratégique pour commencer son festin. mais le sourire, le sourire reste, le sourire s'étale un peu plus, prêt à faire craqueler ses joues sèches à cause du froid. il regarde la danse délicate de ses doigts fins qui se joue - y trouve un certain repos avant de rire un peu à l'entente d'un goûter, de quoi ravir un môme, de quoi le ravir quelque part sans plus de chichis. haussement d'épaules amusé, ses mains viennent se nicher dans les poches de son pantalon - comme si la gêne venait de prendre possession de son corps, marmot honteux après avoir fait la connerie du siècle.

- pourquoi pas. il trouvera toujours de quoi avoir la dalle nur, parce que ses muscles veulent, ses organes, de sa tête à ses pieds - métabolisme rapide qui aura raison de son bon sens et les sucreries de ganesh qui toujours hantent ses nuits. baisse alors un peu la tête, cherche de quoi alimenter la conversation - lui qui pourtant ouvre fréquemment sa grande gueule, loup affamé en quête de collisions. et ouais j'suis bénévole, depuis pas très longtemps. un coût à payer pour avoir sa place quelque part après la mort, un coût à payer pour donner sens à une chienne de vie parfois ennuyeuse, qui suit une ligne précise sans intérêt, il y cherche les chutes, le grand huit qui le fera vomir jusqu'à en avoir un malaise.

- du coup j'connais pas encore très bien les locaux. il regarde les alentours, s'attarde sur les murs, nur, sans trouver quelconque fascination, il y cherche des points d'accroche, d'attaque qui le ramèneront toujours vers la sortie - vers sa bagnole qui crache toujours son essence. ça fait longtemps qu'tu bosses ici ? tête qui se penche sur le côté, tout l'être se détend, tout l'être s'abandonne dans les yeux de l'autre - le rictus comme tatoué sur sa face ne saurait s'éteindre, il jubile nur sans en comprendre les origines. il voudrait la fierté de nalini - il voudrait sa compassion sans plus de consessions, il voudrait que dans ses yeux brillent mille étoiles et s'éteigne un soleil.
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