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Bring me home or leave me (Brynja)

 :: abandonnés
enfant terrible
Nilin El Mahdy
BLAZE : thinkky
CREDITS : (c) alcuna licenza. ♥ / anaphore (sign) / tweek (icones)
FACE : Sonia Ben Ammar
DOLLARS : 2282
SACRIFICES : 533
PORTRAIT : Bring me home or leave me (Brynja) Tumblr_pn76qdFQJY1v2g9l8o2_500
ANNEES : (vingt-une années) obscurcissent le jugement et les pupilles de la gamine.
CŒUR : (Célibataire), aucune bague au doigt, aucune menotte aux poignets, bien trop indépendante pour se laisser emporter dans une histoire.
RÉINCARNATION : (Ma’at / Maât), déesse de l’ordre, de la vérité, de l’équilibre et de la justice. Contraire de l’Isfet.
TALENT(S) : (pesée du coeur) ACTIF - (plumes de Ma'at) ACTIF - (balance de Ma'at) INACTIF - (perception karmique) ACTIF
FACTION : (Factionless), trop jeune pour ces conneries, trop conne pour s’y attarder aussi. Elle n’a que faire des jeux de mafias en tant qu’humaine, et la déesse cherche quant à elle à réguler les vices. Balance déséquilibrée qui ne lui sied guère.
OCCUPATION : (danseuse et jeune chorégraphe), elle se rêve étoile, brillant parmi les astres, éblouissant les spectateurs de sa grâce et de son élégance.
GENÈSE : (Primus), stade 5
enfant terrible
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Bring me home or leave me (Brynja) - Jeu 31 Jan - 17:45


Bring me home or leave me.
@Brynja Kvalheim



La nuit tombe, le crépuscule s’éteint doucement, plongeant la ville dans les ténèbres. Ca réveille Ma’at en toi, influence passive, mais violente. L’ordre a besoin de combattre la noirceur de ce monde, qu’elle soit bénéfique ou non. Car toi tu le sais, en tant qu’humaine, que toute ombre, toutes ténèbres ne sont pas maléfiques, que toutes ont leur part de lumière. Et puis, sans elles, la déesse n’existerait pas. Sans Seth, sans l’Isfet, aucune raison de voir Ma’at prendre de l’ampleur. Ta propre puissance dépend de celle qui te fait face, de ton contraire. Ta mère te le répétait, depuis l’éveil à tes seize ans. Tu n’as jamais bien compris ses pouvoirs, à part qu’elle devait être assez puissance pour se rappeler de choses que tu n’imagines même pas. En parallèle, elle n’a jamais souhaité discuter de tout cela. Ainsi, à part te donner des informations factuelles sur la divinité qui grandit en toi, sur les histoires et les mythes qui peuplent les légendes, ça n’a pas été très utile. Pourtant, tu n’as rien oublié, tu as compris rapidement que cela pourrait t’aider à faire face à l’afflux surnaturel. Enfin, tu le pensais, et malgré tout… Tout continue de t’embrouiller. Le pouvoir s’échappe, le pouvoir reste incontrôlable, comme tout le reste. Tu n’as jamais réussi à utiliser les informations à bon escient.

Le manteau se referme autour de toi, te protège de la fraîcheur du Maine. Tu as habité à Paris toute ta vie, voyagé dans des pays glacials l’hiver, comme la Russie ou les territoires scandinaves, mais bordel, tu détestes toujours autant cela. Même avec trois couches de vêtements, un bonnet et une écharpe, le froid te transperce. Tu pestes un instant, insultes en français sur le bout de tes lèvres. Heureusement que personne n’arrive à te comprendre par ici. Parfois, tu aimerais bien retrouver ton pays, et ton continent natal. Les Etats-Unis d’Amérique, c’est un rêve pour beaucoup de jeunes de ton âge, et toi, tu te rends compte que c’est trop. Trop parfait. Trop violent. Trop hypocrite. Et Arcadia représente à tes yeux tous les vices de cette nature que t’exècres. Tu auras beau t’enfermer à double-tour chez toi, y’aura toujours quelqu’un pour venir toquer, quelqu’un pour défoncer la porte et te rapprocher de l’horreur. T’as les doigts qui tremblent rien que d’y penser, et tu finis par les enfoncer dans tes poches. T’as oublié tes gants, encore une fois. Et au-delà du froid, c’est aussi ton pouvoir qui t’inquiète…

Les ruelles se font plus sombres, quand tu changes de quartier. Tu glisses du côté des russes, quartier chaud de la ville qui t’attire autant qu’il te répugne. Les néons rougeâtres donnent sur la rue principale, devanture cherchant à attirer le regard. Corps féminins mis en avant, appâtant les hommes de tout âge. Car il ne faut pas se leurrer, c’est ce qu’ils font dans le coin. Et s’y promener en tant que femme, voilà qui relève de l’inconscience. Ca tombe bien, tu en regorges…

Les pupilles papillonnent un instant, avant que tu changes soudainement de direction. Sixième sens agaçant, gênant, et tu continues dans les ténèbres des ruelles. Un pas après l’autre. Et tu perçois la silhouette, au loin. Ou les deux silhouettes, mais la seconde est à peine devinée, recroquevillée. Inconsciemment, les pas s’accélèrent, et instinctivement, la main sort de la poche, s’agrippe au poignet de l’autre femme. En tout cas, elle a les formes d’une femme, cette silhouette…. « Stop ! »

Mais t’oublies, qu’au contact de tes doigts, la vérité s’accroche au chair de ta victime. Et peut dessiner des sillons sur la tienne. Tant pis, il est trop tard déjà, pour revenir en arrière…  




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Invité
Anonymous
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Bring me home or leave me (Brynja) - Ven 1 Fév - 11:47


Bring me home or leave me.
@NILIN EL MAHDY


Brynja obéit bêtement aux ordres, selon certains, sans chercher à savoir pourquoi, acceptant tous les contrats qu’on lui propose sans poser de questions. En soit, ce n’est pas totalement faux. Peut-être même qu’ils ont raison, qu’elle n’est qu’un vulgaire soldat sans cervelle, même il s’avère que Brynja sait tout aussi bien réfléchir par elle-même. Encore plus quand on lui ment et/ou on se fout de sa gueule. Elle doit récupérer des informations et ça, elle sait le faire. L’avantage est qu’il est impossible de lui mentir, ainsi quand elle récupère des informations, elle le fait bien. Discerne le vrai du faux avec aisance et rapporte les réponses sans hésiter. Or, l’homme en face d’elle tente de lui cacher des choses et refuse de lui donner ce qu’elle veut. Pourtant, ils sont sur son territoire et s’il ne se dépêche pas, elle l’emmènera dans un endroit duquel il ne sortira pas vivant. Ce serait dommage, non ?

Ici, la Déesse sait qu’elle ne risque pas d’être importunée. Tout le monde ferme les yeux et trace sa route devant ce genre de scènes. Surtout quand la plupart ont déjà fait la même chose. Les enfants de coeur, à Siren Alley, c’est mieux qu’ils ne sortent pas. Mieux qu’ils restent terrer chez eux la nuit au risque de tomber sur une mauvaise surprise. Ou d’abréger leurs vies en arrivant au mauvais endroit au mauvais moment. Siren Alley, ce n’est pas pour les petites natures. Pas pour l’être fragile en face d’elle dont la peur émane à des kilomètres à la ronde. Ça aussi, ça l’agace, à Brynja. Elle n’aime pas les faibles comme lui, ceux qui n’arrivent pas à assumer leurs erreurs, leurs actes. Encore mieux, ceux qui s’allient avec gens sans savoir dans quoi ils s’embarquent. Débutant.

Brynja se tourne en entendant des pas qui s’approchent, remarque une silhouette féminine qui a une démarche plutôt assurée pour quelqu’un qui va l’interrompre. La main de l’inconscience attrape son poignet et dans d’autres circonstances, Brynja s’en serait débarrassée en un rien de temps. L’aurait repoussé d’un coup violent. Des picotements l’en empêchent, comme si sa peau grouillait de sombres insectes, comme si son être était envahi par divers souvenirs. Plus sombres les uns que les autres, qui lui font peu d’effets, parce que trop habituée à cette violence dont elle fait preuve. Les voix se mélangent, les supplications aussi, brouhaha qui trouble ses sens, qui la met en colère. « Lâche-moi ! » Gronde Brynja à l’encontre de la Divinité face à elle. Elle reconnaît l’aura qui l’entoure, trop confuse pour se souvenir du panthéon auquel la Déesse face à elle appartient.

L’autre ne la lâche pas, Brynja serre les dents, regardant le sol autour d’elle. Il y a une flaque. Ça suffira. Avec sa main libre, elle forme une boule, qu’elle envoie droit dans le ventre de celle qui la tient. Enfin libre. Brynja respire. Brynja sent encore ces insectes sous sa peau et quand elle remonte ses manches, elle les voit, ces écritures et ces formes, gravées dans sa chair. « Dégage. » Ordonne-t-elle à celui qui lui doit toujours des réponses, elle le retrouvera plus tard, elle a des problèmes plus importants à régler là tout de suite. « C’est quoi ça ? » Et cette fois, c’est sa main à elle qui attaque. Pas le poignet de l’autre, non, mais sa gorge. Elle serre suffisamment pour que la menace soit présente, mais pas assez pour l’empêcher de parler. « Qu’est-ce que tu m’as fait ? » La colère gronde, réclame une réponse. Immédiatement.
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Nilin El Mahdy
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FACE : Sonia Ben Ammar
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ANNEES : (vingt-une années) obscurcissent le jugement et les pupilles de la gamine.
CŒUR : (Célibataire), aucune bague au doigt, aucune menotte aux poignets, bien trop indépendante pour se laisser emporter dans une histoire.
RÉINCARNATION : (Ma’at / Maât), déesse de l’ordre, de la vérité, de l’équilibre et de la justice. Contraire de l’Isfet.
TALENT(S) : (pesée du coeur) ACTIF - (plumes de Ma'at) ACTIF - (balance de Ma'at) INACTIF - (perception karmique) ACTIF
FACTION : (Factionless), trop jeune pour ces conneries, trop conne pour s’y attarder aussi. Elle n’a que faire des jeux de mafias en tant qu’humaine, et la déesse cherche quant à elle à réguler les vices. Balance déséquilibrée qui ne lui sied guère.
OCCUPATION : (danseuse et jeune chorégraphe), elle se rêve étoile, brillant parmi les astres, éblouissant les spectateurs de sa grâce et de son élégance.
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Bring me home or leave me (Brynja) - Dim 17 Fév - 1:16


Bring me home or leave me.
@Brynja Kvalheim



C’est toujours la même chose, quand tu y repenses. Toujours le même pattern, le même chemin, pour finalement finir dans une situation dangereuse et problématique. Par le passé, tu t’es toujours appliquée à être une jeune fille bien sous tous rapports, surtout sachant que ta mère sacrifiait beaucoup de temps pour te permettre de suivre tes passions. Oh, elle ne manquait pas d’argent, cependant, aujourd’hui, tu commences à douter d’où il venait, tout comme le poste de directrice de l’Opéra de Paris qu’elle avait obtenu. Petit à petit, ton monde s’est brisé, quand tu as compris que ta naïveté ne fait que cacher l’horreur derrière. En cela, tu peux être reconnaissante envers Ma’at, elle qui te pousse sans cesse à t’intéresser à la vermine, aux crimes, au Chaos. Elle dont tu connais le nom, énoncé, résonnant avec la déesse qui a jadis habité ta mère. Elle t’a ouvert les yeux, et pourtant, tu commences peu à peu à la haïr. Cette soif de vengeance, ce sentiment qui s’accroche à tes entrailles… Et te voilà repartie dans les quartiers dangereux, de ceux qui feraient tomber une gamine dans ton genre en disgrâce. Après, c’est aussi toi qui te berces dans l’illusion que la Déesse fait tout. En réalité, tu peux aller contre ton instinct.

Mais tu n’en as pas envie.

C’est pour ça que tu attrapes le poignet de cette femme, refuses de la lâcher même quand l’ordre te gifle. T’as encore fait une connerie. Ce n’est pas une danseuse que tu dois être, mais une catcheuse ou une experte en arts martiaux. C’est de ça dont tu as besoin, à force de t’attaquer à plus fort que toi… « Non ! » Ta propre voix claque, bien trop fort, refus insolent de l’autorité qui se dégage pourtant de l’inconnue.

Tu ne perçois pas l’attaque, en revanche, t’as l’impression qu’elle t’a foutu un coup de poing dans l’abdomen. Souffle court, tu recules d’un pas, entreprends de te redresser quand elle fait signe à l’autre de partir. T’espères qu’il aura la présence d’esprit de se tirer de cette ville, comme toi tu devrais le faire.

Découverte des tatouages, et tu sens ta propre chair gratter. Les manches absorbent l’ichor qui s’échappent de ta peau, de tes veines. Tu ne sais pas ce qu’elle a fait exactement cette femme, cependant, pour obtenir une telle réaction de ton propre organisme… Danger. Ca se glisse dans ton crâne, et ton instinct de survie semble enfin se mettre en place. Trop tard. T’as pas le temps d’entamer ton demi-tour, que sa poigne se renferme autour de ta gorge, t’empêche de fuir, de respirer correctement. Et c’est le murmure qui fuit de tes lèvres, à son tour : « J’y suis pour rien… » Mensonge. C’est bien ton pouvoir qui a dessiné tout cela sur son corps. Cependant… « Si ça réagit avec toi, c’est que tu es le problème. » Ca crache, malgré une situation peu glorieuse pour toi. Coup de stress qui devient de l’adrénaline dans tes veines, juste pour t’offrir l’illusion que tu peux t’en sortir. « Ce sont tes fautes qui s’écrivent là. Fallait juste pas en faire autant. » Pesée du cœur antique, et elle aurait certainement vu son cœur dévoré par Ammout. Peut-être la sent-elle en ce moment-même, la présence du monstre… Mais t’en sais rien. Une chance que tu ne puisses pas révéler tes propres fautes aux yeux du monde, y’en aurait bien trop pour l’ordre supposément représenté…




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