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tha darkest nights produce the brightest stars

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tha darkest nights produce the brightest stars - Mer 17 Avr - 15:37

 

THE DARKEST NIGHTS PRODUCE
THE BRIGHTEST STARS
lyra & liam
a region of chaos and moonlight. she liked it there.


Un réveil en sursaut, elle est moite, Lyra. Moite et les joues humides. Les yeux encore embués de larmes qui reviennent parfois par vagues, elle les essuie d’un revers de main. Ca fait plusieurs minutes qu’elle tourne, encore et encore, dans son lit dans l’espoir de se rendormir. Elle aimerait juste une nuit paisible. Pas de cauchemars, pas de peurs qui lui étreignent les tripes. Parce qu’elle sait qu’une fois que sa fille sera née, adieu le sommeil, adieu les nuits complètes. Alors elle aimerait profiter de ces dernières semaines, de ce dernier répit qu’il lui reste. Mais c’est mal parti. C’est le même schéma, quasiment toutes les nuits. Une plombe à s’endormir. Des réveils brusques au milieu de la nuit, suivis de quelques insomnies.
La jordanienne soupire une énième fois, essuie encore les quelques larmes échouées sur ses joues, dégage les draps et se hisse tant bien que mal hors de son lit. Une main sur son ventre, l’autre dans le creux de ses reins, et les yeux s’accommodent parfaitement à l’obscurité. C’est là qu’elle se sent bien, plus qu’en plein jour. Plus qu’en plein soleil. Plus le temps passe, plus l’obscurité lui sied. Nyx s’impose un peu plus chaque jour. Elle grandit, un peu plus en son sein. La déesse entend bien reprendre ses droits. Pourtant, la cohabitation a toujours été innée entre les deux. Mais Lyra la sent, un peu plus à fois. Comme si chaque facette de sa personnalité était accentuée en fonction de la déesse nocturne. Un besoin plus pressant de se retrouver avec son amie Sybille, fille divine ayant déjà recouvrée ses souvenirs. Et ce besoin, cette envie irrépressible d’être toujours un peu plus aux côtés de Liam. Mais ce soir, c’est pas ça. C’est pas Nyx qui conduit ses pas. C’est que Lyra. Lyra l’humaine. La gamine d’Amman qui a besoin de son meilleur ami. Princesse des milles et une nuit qui a besoin de son acolyte de toujours. De cette étreinte qui l’a toujours fait se sentir comme dans une bulle agréable et rassurante.

Les escaliers descendus, elle se dirige vers la chambre d’amis, celle où elle avait installé Liam. Elle hésite un instant à toquer à la porte pour lui signifier sa présence. Mais pas non plus envie qu’il frôle l’arrêt cardiaque parce que le bruit aura été trop fort ou trop surprenant pour une heure pareille. Alors elle se contente de poser la main sur la poignée, pour ouvrir la porte le plus silencieusement possible. « Liam ? » qu’elle murmure à voix basse en s’avançant. Pas de réponse, seulement le bruit d’un froissement de draps. Elle s’avance encore, et s’asseoit sur le rebord du lit, pour s’y glisser à ses cotés. Elle le sent, là, tout près. Une masse bouillante. Elle se colle contre lui en le sentant se réveiller. « Désolée, j’arrivais pas à me rendormir » son énorme ventre eux, elle tente tant bien que mal de se coller. Là. Elle se sent déjà un peu mieux, alors elle soupire, comme pour tout laisser partir.



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tha darkest nights produce the brightest stars - Sam 20 Avr - 13:10


Agonie du coeur
Fugace nuit, entre les doigts habile de Morphée. Esprit emporté de ce murmure onirique, vagabond, toujours le même visage qui le hante, désir inaccessible, fantasme instable qui le tourmente sans cesse. Cœur à l’agonie, les ténèbres qui gronde, rêve devenu cauchemar, en un claquement de doigt, l’idylle qui s’échappe, s’enfuit, trop loin de toi, une nouvelle fois. Fil rouge du destin qui se déchire, entre les doigts du celte qui te l’a dérobé, larmes qui parcellent ton visage. Faiblesse découverte, au grand jour, terrifiante vérité, l’esprit qui se rompt sous le poids d’un avenir qui t’échappe une nouvelle fois. Puis c’est le néant, Arcadia qui se brise sous tes yeux embués par la tristesse. Irréalité dévoilé, onirisme instable, tout fini par s’effacer, laisser place à son visage au cœur des ombres reines, nouveau décor, nouveau scénario qui se trace sous tes yeux, Jordanie familière qui apparaît sous tes yeux d’azur. Retour brutal sur cette terre d’accueil, murmure vague des souvenirs qui s’intensifie, écho du passé qui se mêle au présent, loin des complots d’Arcadia. Romance adolescente qui s’épanouit, apaisant l’agonie de ton cœur, et elle, toujours elle, qui s’offre finalement à toi. Idylle impossible devenue accessible, diamant brut qui danse délicatement entre tes doigts maladroit, fantasme que tu as tant souhaité, devenu réalité l’espace d’un instant, hors de ce monde fait de chair et de sang, simple divagation de l’esprit.

Le rêve qu’on vient rompre, parfum familier qui envahit l’espace, demi-conscience a peine effleurer, les yeux entre ouvert qui s’accoutument à l’obscurité dominante. Éclat familier, tu reconnais la voix de l’amie, moitié divine tremblante qui s’invite entre tes draps, entre tes bras. Délicat sourire qui se dessine sur tes traits, tendre murmure auquel tu ne peux rester insensible. Naturellement, tu l’entoures délicatement de tes bras, incapable de la repousser, acte qui irait à l’encontre des désirs qui t’habite, agonie funeste qui persiste, tourment impalpable, grondement divin qui n’a de cesse de te ronger. « Ne t’excuse pas… Pourquoi je refusais d’avoir avec moi la plus belle femme qui soit ? » Sincérité tranchante tandis que tu ouvres pleinement les yeux, loin de toute cette comédie quotidienne, rôle que tu délaisses, pour un instant de plus à ses côtés. Chaleur, tendresse devenue un peu plus familière tandis qu’un main vient caresser délicatement son ventre rond. Enfant qui semble s’agiter, doucement, la vie qui gronde en elle, tu as encore tant de mal à t’y faire. « C’est… Bizarre, mais à la fois, si beau, tu ne trouves pas ? » Tes paroles se veulent tendre, tout comme chacune de tes caresses. Délicatement tes doigts dansent sur sa joue avant de doucement descendre le long de son épaule, son bras, puis ses hanches. Comme si tu avais peur de la briser, petite poupée de porcelaine. Un baiser que tu dépose sur son front, comme pour apaiser chacun de ses tourments. Tu tente de mille et une façon de la rassurer, apaiser chacune de ces craintes.

Diamant brut que tu as été incapable de protéger auparavant. Culpabilité devenue reine dans ton cœur, désir brûlant qui pulse sous ta carne. Décider à ne plus jamais la laisser seule, de l’abandonner entre les doigts d’autrui, possessivité exacerbé qui s’impose. Emprise qui se veut un peu présente, proximité que tu recherches ardemment, malgré ce ventre rond qui vous sépare, nouvelle vie qui grandit en elle, étrange miracle, cause de nombreux tourment. Solitude devenue ennemie de la fougueuse ami, tendre moitié divine.


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tha darkest nights produce the brightest stars - Sam 20 Avr - 17:24

 

THE DARKEST NIGHTS PRODUCE
THE BRIGHTEST STARS
lyra & liam
a region of chaos and moonlight. she liked it there.


« Ne t’excuse pas… Pourquoi je refusais d’avoir avec moi la plus belle femme qui soit ? » elle peine à sourire, pas encore complètement remise du réveil en sursaut et des rêves agités, pourtant, le cœur y est. Liam qui n’a de cesse de la complimenter, sans doute exagère-t-il un peu, mais au moins, il apaise son palpitant abimé. « Parce que je ressemble à une baleine. » Elle s’avance comme elle peut, collée comme elle peut. Proximité redevenue familière avec le meilleur ami. Ca lui avait manqué. Si ça ne s’était jamais arrêté, ça n’avait pas non plus été comme Amman. Glisse sa main sur son ventre rebondi, alors elle soulève son t-shirt trop grand pour qu’il soit à même sa peau. Contact chaud, qui se diffuse dans tout son corps. Toucher rassurant alors que sa fille s’agite plus doucement en son sein. Elle semble s’étirer, ou vouloir se manifester, comme pour faire comprendre qu’elle aussi, elle est là. Elle aussi, elle a besoin d’attention. Et Lyra lui en donnera, quitte à l’étouffer d’amour. Tout comme elle sait que Liam sera présent. Plus les jours passent depuis qu’il est ici avec elle, plus elle sait, se doute, qu’il ne la lachera pas. il sera à ses côtés, prêt à l’épauler, et à s’occuper d’Andrea. Peu importe qu’elle soit la fille de Finn, peu importe qu’il ne l’ait jamais porté dans son cœur, son amour pour sa fille semble être déjà bien ancré. « C’est… Bizarre, mais à la fois, si beau, tu ne trouves pas ? » rire nerveux qui s’échappe de sa bouche alors qu’elle pose à son tour sa main sur son ventre. « c’est rien de le dire. » elle se laisse bercer par le bout de ses doigts glissant délicatement sur son épiderme. Frémit lorsqu’il passe de son épaule  son bras, avant de descendre sur hanches. Peau sensible, avide de sensations délicates qu’il semble entièrement prêt à lui donner « c’est étrange de sentir un autre corps à l’intérieur du sien… De le sentir bouger, vivre… et de voir le mien changer. » comme pour illustrer son propos, il semble que sa fille tire un peu plus sur le ventre, au niveau de la main de liam. Elle sourit, lyra, attendrie. Un peu trop sans doute. « et en même temps… t’imagines tout ce que mon corps est capable de faire pour lui permettre de se développer ? et je crois qu’elle t’aime déjà. » la peau qui tire un peu plus là où l’ami a sa main. Bébé qui cherche le contact, l’attention et les caresses sans doute. Mais c’est la mère qui récolte un baiser sur le front. Elle ferme ses yeux un bref instant, profite du contact, de l’effet son baiser.

« mais ça me fait flipper. »
les paupières qui se rouvrent, sa main qui glisse le long du corps du caporegime avant de se retrouver sur sa joue. Barbe naissante, en réalité déjà bien présente. Barbe de trois jours dans laquelle ses doigts se perdent. Elle l’a toujours aimé ainsi. Joue de son pouce sur sa lèvre qu’elle devine à cause du faible éclairage. Ses yeux se sont fait à l’obscurité, mais elle est loin de voir parfaitement. Bout des doigts qui se font délicats à chaque caresse fébriles. « j’ai peur de pas être à la hauteur. » mais il sera là, qu’elle tente de se dire. Elle se rapproche un peu plus, glisse sa tête dans son cou, bout de son nez qui le chatouille gentiment, avant qu’elle n’y dépose un baiser. Et encore un autre. Le ventre plaqué contre ses abdos, sensation étrange, loin d’être désagréable. Pourtant, comme une impression de tromper celui qui s’est envolé sans savoir vraiment pourquoi. Elle le sait désormais, il reviendra pas. Ni maintenant ni plus tard. Peut-être dans quelques années. Peut-être pendant des vacances quand il pourra s’éclipser. Et même ça, elle est pas certaine. et elle le sent même pas, lyra, qu'il y a ses ombres qui s'échappent, comme une extension d'elle-même. manifestation divine, manifestation de nyx. ombre qui l'es enveloppe, dans un véritable cocon. Les pensées chassées par son bébé qui gigotte plus que d’habitude, arrachant un nouveau rire qui vient briser le silence de l’obscurité. « okay, je crois que tu lui plais vraiment. » cette fois, elle prend les deux mains de liam, en se reculant légèrement, pour les plaquer contre son ventre. « tu sens ? »

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tha darkest nights produce the brightest stars - Sam 20 Avr - 18:01


Agonie du coeur
Tendresse dérobé, douceur qui te parcours l’échine. Sensation inexplicable, obscurité qui se couvre d’un rouge délicat, ondulation de ce lien qui vous unit qui défile sous tes yeux mi-clos. Au delà du divin, transcendant même l’éternité, murmure délicat d’un autre temps qui s’entremêlent aux échos de l’enfance, passion vulgaire qui s’éteint peu à peu, ne laissant que du miel à son passage. Braise délicate qui réchauffe se cœur meurtri par tant de silences, tant de mensonges, ces non dits qui t’on enchaîné à cette fierté exacerbé, son bonheur étant devenu prioritaire à toute chose. Aveugler par ce sourire factice, tu t’es finalement laisser ronger par cette passivité absurde, conflit intérieur entre l’homme et le divin, hache de guerre que vous enterrez finalement. Au fil de ses mots, ton sourire s’élargit tendrement, traits adoucit en sa présence, masque abandonné depuis que vos destins ce sont une nouvelle fois uni. Loin des jeux de pouvoir, ambition que tu délaisses, pour quelques instants à ses côtés. Moments que nul ne pourra te dérober tandis qu’un voile sombre vous entoure, manifestation évidemment divine. Délicat cocon de ténèbres qui vous isole du monde, umbrakinésie qui s’entremêlent avec délicatesse, valse passionné des amants divins qui se retrouvent enfant. Proximité devenue or à cet instant précis, moment que tu préserves glorieusement dans un coin de ton être, tendresse dans ses gestes dont tu te régales. Vague écho d’un passé commun, nuit et ténèbres qui s’entremêlent dans des ébats délicieux, offrant à ce monde obscur la chaleur du jour.

Aube lointaine à l’heure actuelle. La vie qui gronde en elle, qui s’agite tandis que la culpabilité s’évade, promesse d’un amour éternel, murmure silencieux tandis qu’elle guide tes mains jusqu’à elle, enfant d’un autre. Éclat rayonnant qui se trace sur tes traits sentant l’enfant s’agiter, tendresse qui envahit chaque parcelle de ton être, qu’importe le géniteur de l’enfant. Homme indigne, divinité fuyante ses responsabilité, cet enfant ne naîtra pas sans père, serment silencieux qui envahit ton esprit embrumés, sensation nouvelle qui anime tes mots. « C’est… étrangement plaisant » de sentir la vie gronder ainsi, hurler son désir d’exister, d’être aimer. Instinct paternel qui semble s’éveiller, sentiment des plus étrange, encore inconnu qui te traverse l’échine, délicat frémissement. « Est-ce… Normal ? D’avoir envie de la serrer contre moi, de l’aimer ? » Question étrange, lourde de sens qui se faufile brutalement entre tes lèvres. Murmure qui vient brutalement briser ce délicat silence, et avant que t’en rendes compte, les pensées s’embrouillent, un instant, esprit vagabond, regard qui se tourne vers l’avenir. Vérité qui explose. « Et de t’embrasser... » Paroles similaires aux délires d’un esprit embués, voix légèrement tremblante, inhabituel, tu ne semblais pas dans ton état naturel.

Quelques secondes, instants de trop avant de réaliser. La vérité avait déjà éclater à l’ombre de ce cocon obscur, secret que tu ne pouvais plus garder, pourtant, que tu souhaites effacer. Pour ne pas trop la troubler, retour à la réalité. « Oups, désolé… L’émotion, sans doute. » Léger éclat qui perce les ténèbres, tentative désuète, désir d’alléger l’atmosphère tandis que le palpitant s’emballe. Rythme cardiaque accélérer, tandis qu’au cœur des ombres, tes doigts viennent doucement chercher son visage, l’effleure avec délicatesse, comme pour l’apaiser, la rassurer. Instant que tu souhaites préserver des vices, des regrets.


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tha darkest nights produce the brightest stars - Sam 20 Avr - 18:43

 

THE DARKEST NIGHTS PRODUCE
THE BRIGHTEST STARS
lyra & liam
a region of chaos and moonlight. she liked it there.


Enfant pas encore né mais qui s’agite déjà. Demande d’attention ou simple étirement, ça n’en reste pas moins excitant à sentir, et attendrissant. Chair contre chair, alors que chacun se découvre. Et pas qu’eux. Les divinités qui se redécouvrent. Nyx et Erèbe. Frères et sœurs. Epoux. Lien bien étrange qui la dépasse complètement. Et pourtant, impossible de ne pas le sentir, impossible de ne pas le désirer, elle aussi à sa manière. Y’a pas d’avis demandé quand les ombres les entourent et les isolent du monde extérieur. Un cocon dans cette chambre même sans qu’elle ne le réalise. Elle s’y sent bien, en sécurité, complète. Nyx, la féroce et l’aimante, parfaitement satisfaite. Se régale de cette proximité et cette atmosphère. Ombres qui s’entremêlent et s’embrassent à défaut de leurs enveloppes humaines.
Pourtant, ils n’ont jamais été aussi proches. Ou pas depuis des années. Pas depuis la Jordanie. Années d’une jeunesse dorée qui lui semblent bien lointaines. Pourtant, entre ses bras, tout semble revenir à une vitesse folle. Pourrait presque sentir la chaleur du soleil sur sa peau lorsqu’il était au zénith. La voix de liam qui brise le silence et la fait sourire, ravie de voir que cette grossesse l’enchante. Ca aurait pu l’éloigner, les séparer. Au contraire, elle le redécouvre, d’une manière qu’elle n’aurait jamais imaginé.  « Est-ce… Normal ? D’avoir envie de la serrer contre moi, de l’aimer ? » le cœur qui se serre en entendant ses mots. C’est tout ce qu’elle veut, que sa fille soit chérie et aimer. Par sa famille, ses amis les plus proches, sans distinction. « c’est le contraire qui aurait été anormal. Plus que quelques semaines. Et tu la serreras autant que tu le voudras. » à voir si elle décidera de se faire désirer ou si elle aura hâte de pointer le bout de son nez. Tant que ça se passe bien, elle se fiche bien de quand ça arrivera. Elle aimerait parfois profiter le plus longtemps possible des quelques moments de tranquillité. Et parfois, elle souhaiterait retrouver son corps, se débarrasser des différentes douleurs et être capable de se déplacer comme elle veut. Et merde qu’elle a hâte, de serrer ce bébé entre ses bras. « Et de t’embrasser... » la môme se fige, le cœur bat la chamade. Aveu sorti d’une voix tremblante. Elle a l’impression que son cœur va exploser ou s’échapper. C’est les montagnes russes, et pourtant elle ne fait rien. Pas un geste en avant, ni même en arrière. Ce serait mentir que de dire qu’elle n’en a pas envie. Ca l’a jamais vraiment quitté. Ils sont restés les gosses terribles d’amman, à toujours se chercher. Premier baiser d’adolescent, passion écourtée. Envies étouffées et reléguées dans un coin de sa tête. Mais ce serait aussi précipité. Encore trop tôt. Pour elle, pour tout. Spectre de Finn qui plane dans l’appartement, dans le cœur. Et pourtant, c’est Liam qui est là, encore et toujours. Liam qui la soutient et la rassure. Liam qui la prend dans ses bras avant même qu’elle n’ait à demander. C’est lui qui caresse son ventre quotidiennement, qui l’aide dans les tâches les plus simples quand les douleurs dorsales sont trop présentes. Lui qui veille jusqu’à ce que ce morphée ne berce la jordanienne.
« Oups, désolé… L’émotion, sans doute. » Pas certaine qu’il n’y ait que ça. Sans doute un peu. Peut-être que ça le touche aussi, son trop plein d’hormones, et ce bébé qui s’agite dans tous les sens. Peut-être que lui aussi ça le travaille, ce bébé qui va bientôt débarquer. Une nouvelle fois, elle ferme les yeux au passage de ses doigts sur son visage, mais pour quelques secondes à peine. Parce qu’elle se rapproche, fait de même. Laisse ses phalanges glisser sur sa joue, son visage se rapprocher. Les lippes qui attrapent sa lèvre inférieure, dans un baiser doux, presque innocent. L’embrasse chastement, alors que ça réveille les vieux souvenirs, ceux des adolescents turbulents. Baiser plus appuyé caché dans l’obscurité. Tendresse étourdissante dont elle ignore la réelle signification. Elle sait pas ce que ça signifie pour elle, pour lui, pour eux. Elle sait pas ce que ça signifie pour l’avenir, juste que peut-être elle aussi, elle en avait envie. Pourtant, elle chasse toutes les questions, toutes les peurs, pas pour maintenant. Pas encore. Juste besoin de douceur. « t’excuses pas. » qu’elle murmure contre ses lèvres comme s’ils ne devaient pas être entendus. Bout des doigts qui caressent encore sa joue, doucement, délicatement. « j’croyais qu’il y avait pas de gêne entre nous. »

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tha darkest nights produce the brightest stars - Sam 20 Avr - 19:52


Agonie du coeur
Douces paroles, serment d’un autre temps qu’elle murmure avec délicatesse. Sourire qui s’étire le long de tes traits, souvenir lointain, d’Amman, écho de cet astre brûlant qui vous caressait la peau à l’époque. Aucune gêne, aucun secret entre vous, n’étais-ce pas ce que vous vous étiez promis avec innocence ? Ironie imposé par les âges, adolescence finalement devenu obsolète et ces sentiments, qui sont né de cette distance, qui persistent encore aujourd’hui. Visage aux traits si familier, les doigts qui dansent sur ses traits que tu connais parfaitement, image qui n’a de cesse de te hanter, jusqu’à tes rêves. Obsession céleste de ta partie divine, passion finalement devenu tienne, non, tu mens. Idylle qui a toujours été tien, possessivité inappropriée pour te prétendre juste ami, tendresse trop brûlante pour n’être qu’innocence en sa présence. Délicate chaleur de deux corps qui s’unissent, brasier qui réchauffe ce cœur habituellement glacer. La réalité qui a dépassé le simple fantasme, esprit abstrait qui lutte pour retrouver la lucidité manquante, instant que tu refuses de briser, sensation que tu souhaites retrouver, tendre avidité qui guide tes lèvres à s’unir une seconde fois au sienne, ton unique réponse. Douceur dans l’acte, simplicité que tu ne souhaites souillé avec ces flammes qui t’habite, ardent brasier de passion. Luxure rejeté au-delà du nécessaire, tandis que la vie s’agite un peu plus intensément en elle, les coups de l’enfant que tu sens vibrer jusqu’à toi.

Baiser que tu romps délicatement en souriant, paternité dérobé qui s’exacerbe en toi, une main qui se glisse sur le ventre, comme pour apaiser l’enfant particulièrement agiter, léger murmure qui se faufile hors de tes lèvres. « Elle semble débordante d’énergie… Comme sa mère. » Retour à la Lyra que tu souhaites retrouver, celle qui t’a trop manquer, l’audacieuse qui refait peu à peu surface. Sans honte, qui se faufile dans tes draps pour s’approprier ton attention, élan qui t’a toujours charmer, effronterie qui vous a toujours uni. « Tu vois, ce soir, j’ai enfin l’impression de retrouver peu à peu la Lyra que j’ai toujours connu. Assez audacieuse pour se faufiler dans mon lit, comme a Amman. » Léger ricanement, quelques notes légère, tendresse qui vibre dans ta voix, qui se mêle à cette délicieuse nostalgie, délicat murmure, comme une confidence, que nul ne doit entendre. Instant qui n’appartient qu’à vous deux, écho d’une histoire qui est la votre. Lien unique, indescriptible qui a toujours exister entre vous, elle était ton précieux diamant brut, elle t’appartenait, depuis toujours et jusqu’à la mort, tu n’avais nul doute dessus, tu affronterais le monde entier si on te l’enlevait à nouveau.

Et aujourd’hui, elle n’était plus seule. Il y a aussi cette enfant que tu feras tienne. Instincts jusqu’à présent inconnu qui se manifeste, est-ce un écho de tes racines divines ? Est-ce que les ténèbres ont ils toujours été aussi paternel ? Doute qui persiste dans un coin de ta tête, mais incapable de t’enlever ce moment uniques, finalement des énigmes qui persistent en second plan. Vulgaire murmure que tu ranges dans un coin de ton esprit. Tu ne peux plus laisser place aux hésitations, plus aujourd’hui, responsabilités qui s’impose petit à petit, pourtant tu ne trembles pas, au contraire, l’excitation s’enflamme en toi, la concrétisation d’une victoire qui se dessine petit à petit. Toujours avec douceur, tes doigts dansent, caresses qui berce à la fois la femme et l’enfant, les deux seules personnes qui comptent désormais à tes yeux.


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tha darkest nights produce the brightest stars - Sam 20 Avr - 21:46

 

THE DARKEST NIGHTS PRODUCE
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lyra & liam
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Baiser de deux amis qui se redécouvrent comme avant, comme au temps de l’innocence. Baiser de deux vieilles âmes qui re-scellent leur destin. Instant tendresse qui semble figer dans le temps. Douceur contrastante avec la vitesse à laquelle bat son cœur. Prêt à s’échapper, à imploser. Tendresse qui se savoure, qui fout du baume au cœur, qui enveloppe à sa manière, comme les ombres protectrices.
Mais Lyra, elle calme les autres émotions que ça déclenche, tait le reste. Etouffe le feu, la passion qui meurt de se réveiller et de tout ravager. Elle est pas prête. Pas encore. Besoin de se retrouver, de se reposer. Elle veut rien précipiter, surtout pas avec lui. Elle chérit son cœur, y tient comme à la prunelle de ses yeux. Acolyte présent depuis toujours qu’elle ne tient à pas blesser inutilement. Mais l’équilibre est fragile. Entre se laisser aller, juste un peu, se contrôler, un peu trop. Un baiser chaste. Assez pour satisfaire, pas trop pour ne pas tout réveiller.

Les lippes se séparent, pourtant encore proche. Elle sent, son souffle chaud sur son visage. Elle devine, le sourire qui s’y dessine. Main qui re-glisse sur son ventre, c’est elle que ça fait sourire. Geste anodin dont il a pris l’habitude. Geste apaisant dont elle ne se lasse pas. Ni elle, ni sa fille. Présence rassurante et sécurisante au milieu de ces moments de doutes et de tourmente. « Elle semble débordante d’énergie… Comme sa mère. »  rire malicieux et cristallin qui basse la barrière de ses lèvres alors qu’elle dépose ses lèvres dans son cou. Lyra avait toujours été trop sauvage, peu docile, surtout aux yeux de son père. Môme avec un trop plein d’énergie qui avait des difficultés à tenir en place. Préférait courir au bord des précipices plutôt que se tenir droite à une cérémonie trop officielle. Il l’avait toujours accompagné dans ses conneries, dans ses escapades. Premier témoin –avec Nessie- de sa liberté. « Un peu trop à mon goût, si tu veux mon avis » qu’elle murmure dans son cou avant de redresser un peu la tête. « Tu vois, ce soir, j’ai enfin l’impression de retrouver peu à peu la Lyra que j’ai toujours connu. Assez audacieuse pour se faufiler dans mon lit, comme a Amman. » « mais je crois me souvenir que tu le faisais tout autant. Tellement que ça avait le don de faire enrager mon père » et ça la faisait rire lyra, et encore maintenant. Toujours. Des soirées à s’évader, des nuits à se retrouver. Folie adolescente sans franchement comprendre ce qu’ils ressentaient. Juste deux moitiés qui ignoraient à l’époque ce qu’ils étaient. Adolescence innocente. Ils ont bien grandi. Peut-être pas tant que ça à les voir. Si aisé de se retrouver. Doivent maintenant conjuguer avec l’être qui grandit en elle. Doivent s’adapter. Ils sont plus seuls. Ils ne sont plus non plus les ados qui pouvaient tout se permettre, tout faire. Leur insolence et impulsivité n’est pourtant pas dissipée. Il leur faut peu pour la retrouver.

La future mère se tourne à cause des douleurs. Toujours les mêmes. Lombaires qui la tirent, creux des reins douloureux. Son corps entier lui fait sentir qu’elle vient d’atteindre son neuvième mois de grossesse. Cette fois, c’est le dos contre le torse de Liam qu’elle se met. Un peu plus collée, un peu plus calée. Laisse sa tête reposée en arrière, contre lui en s’accaparant ses bras qu’elle glisse autour d’elle. D’elles. comme pour mieux les entourer, pour mieux les bercer. Glisse sa main sous son haut, sur son ventre. Elle ne veut pas se passer de ce contact, veut pas non plus que sa fille en manque. Elle sent le souffle chaud du meilleur ami dans le creux de son cou, et elle sourit. Ne peut le voir, à peine le deviner. Alors elle entrelace ses doigts aux siens, en espérant pouvoir se rendormir, tout contre lui. Et se réveiller de la même manière. C’est sans doute trop demander, surtout avec une grosse à un stade si avancé. Ca se saurait si les nuits étaient paisibles. Alors elle le serre un peu plus, s’oublie un peu plus, bercée par cette odeur familière.


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tha darkest nights produce the brightest stars - Sam 20 Avr - 23:20


Agonie du coeur
Derniers instants de tendresse, avant que Morphée vienne frapper à ta porte. Douceur dans chacun de ses gestes, elle qui cherche ce contact qui lui manquait tant, qui te manquait tant. Tandis que les souvenirs vagabondent, toujours ce même échos, ces murmures de cette même époque, avant même que vous ayez conscience de ce lien qui vous unissait. Habile jeu du destin qui te fait délicatement sourire tandis que vos doigts s’entremêlent. Parfaite image de cette possessivité qui vous va si bien, désir brûlant de rester uni, plus rien qui se dresse devant cet idylle autrefois inaccessible, uniquement des souvenirs un peu trop douloureux. Mais patience, le temps fera son œuvre, un autre atout de cet étrange destin, sans doute finira t’il par effacer l’image du celte qui doit encore la hanter. Sans doute parviendras tu à lui faire oublier cet homme, ce lâche. Rage au cœur, comme a chaque instant où les pensées vagabonde vers ton silence, erreur que tu refuses de répéter, leçon désormais bien ancré en toi. Plus jamais rien ne te séparera d’elle, serment inébranlable, égoïsme exacerbé, elle était tienne, elle n’appartenait à nul autre. Et tandis que l’esprit vagabonde, encore et toujours, les yeux clos, bercer par cette sensation délicate, toujours son visage, même si elle est a tes côtés, jamais il ne s’efface, jamais il ne s’est effacé. Diamant brut que tu tiens enfin entre tes doigts, les amants divins enfin uni au cœur des ténèbres, écho semblant être gravé dans le marbre depuis toujours. Et délicatement, tu te laisses bercer par Morphée, guide jusqu’à ce monde onirique, lieu où tout fantasme prennent vies.

+ Quelques jours plus tard +


Astre matinal douloureux. Réflexe naturel de t’enfermer dans les ténèbres, volets mi-clos, laissant juste quelques rayons audacieux éclairé les lieux. Suffisant pour y voir clair, insuffisant pour te faire souffrir. Doux éclats d’un jour brûlant, nouvelle saison qui s’éveille à l’extérieur. Une nuit courte, bercer par les agitations incessante de la Jordanienne, pas que cela te déplaise, rictus tendre qui se trace sur tes lèvres alors que tu repenses à cette nuit. Audacieuse, l’enfant du sud s’est imposé une nouvelle fois dans tes draps, scénario récurrent depuis quelques jours. Champ des possibilités qui s’ouvre, peu à peu, sous ce regard encore fatigué, proximité passé retrouver finalement. Comme toujours, tu repenses aux années adolescente, écho innocent qui persiste dans un coin de ta mémoire tandis que le bacon crépite dans la poêle. Retour à la réalité fugace, préparation du petit déjeuner devenu une priorité, parfait gentleman, un comportement inhabituel, toi, habituellement si égoïste. Jamais auparavant tu n’as agis ainsi, à part avec elle, à part pour elle. Elle était la seule, l’unique qui faisait battre ce cœur de marbre. Tu ricanes, face à l’ironie de la situation, que diraient-ils, s’ils te voyaient ainsi, qu’importe leurs noms, qu’importe qu’ils sont, sans doute ne reconnaîtraient ils pas l’homme qui se tient ici présent.

Délicat fumet qui s’élève dans la pièce tandis que tu grimpes les marches, plateau en main. Scénario puéril, scène qu’on ne voit que dans les plus mauvais scénario de comédie romantique. Insouciance exacerbé, au final, tu t’en fichais, pour quelques jours, tu avais coupé ton portable et tout autre réseaux, pour quelques jours supplémentaire, tu n’appartenais plus à ce monde, tu n’appartenais qu’à elle. Doucement, tu ouvres la porte maladroitement, les deux mains prises par ce plateau. Entrée tout aussi disgracieuse, tu n’avais définitivement pas l’habitude de tout cela, légèrement honteux, un murmure s’échappe de tes lèvres. « Lyra ? J’espère que je ne te réveilles pas. » Bien que t’en doutes, loin d’avoir fait l’entrée la plus silencieuse qui soit.


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tha darkest nights produce the brightest stars - Dim 21 Avr - 0:31

 

THE DARKEST NIGHTS PRODUCE
THE BRIGHTEST STARS
lyra & liam
a region of chaos and moonlight. she liked it there.


Nuit agitée, comme depuis plusieurs semaines. Pas seulement à cause du départ de Finn. Pas seulement à cause de ce cœur déchiré. Mais parce que l’échéance est proche. Elle approche. Trop vite, et pas assez. Elle veut encore profiter. Et elle veut voir ce jour arriver. Elle ne sait plus comment dormir. Sur le côté gauche, le côté droit, une jambe surélevée, sur le dos, les pieds relevés, le buste avec…  Nuit qui se transforme en véritable cauchemar éveillé à force de se tourner dans tous les sens. Epuisée un peu plus à chaque fois. Les siestes peinent à véritablement la reposer. Et comme plusieurs nuits dernièrement, elle s’est glissée dans les draps de Liam, entre ses bras. Pas d’arrière-pensée, juste un besoin de chaleur. Un besoin irrépressible de son meilleur ami, et de tout ce qu’il peut lui donner. Sa tendresse, sa douceur qui lui a toujours été réservée. Des bras aimants, des bras rassurants.
Nouvelle nuit collée à lui, du moins quand elle ne se réveillait pas. Légère culpabilité lorsqu’elle se joint à lui. Elle pourrit sa nuit. Lyra sait qu’elle le réveille à chaque mouvement trop brusque. Pourtant, ça a fini par se calmer. Ou elle était juste trop épuisée pour sentir les autres douleurs. Ou encore la présence de Liam qui l’a apaisé. Ses étreintes, ses caresses, sa chaleur. Peu importe, ça a fini par fonctionner.    

C’est pas par les doux rayons du soleil qu’elle se fait réveiller, ni même par la douceur de son meilleur ami. Non, plus un mélange de bruits maladroits et d’une odeur délicieuse. Elle peine à ouvrir les yeux, à  se sortir de son sommeil, surtout à se remettre de sa fatigue. « Lyra ? J’espère que je ne te réveilles pas. » Elle peut pas s’empêcher de sourire, malgré les yeux à peine ouverts. Y’a ses fossettes qui se creusent alors qu’elle tente de sortir la tête de l’oreiller, et dégager ses mèches brunes. « viens, ça va. » elle se redresse tant bien que mal, cale l’oreiller dans son dos pour mieux s’asseoir. Le ventre plus que proéminent, elle y pose sa main. L’impression d’être une foutue baleine, de ne pas pouvoir bouger comme elle veut. « j’vais finir par m’y habituer. C’est mieux qu’un hôtel. » qu’elle lache, un sourire amusé sur le coin des lèvres. Il s’approche, et elle se décale pour le laisser poser le plateau. Un thé noir et des pancakes. Un vrai délice. Et à sa fille aussi, elle sait que ça plait. Elle héritera sans aucun doute des goûts de sa mère, et elle sera bien chanceuse si elle hérite tout autant de son métabolisme. « Je t’ai encore réveillé toute la nuit ? » question un peu gênée alors qu’elle fronce adorablement son nez en piquant un bout de pancake.  « c’est moi qui devrais te faire le petit dej pour me faire pardonner. » les mains reposées sur son ventre, remonte un peu le tshirt en la sentant bouger. Toujours le matin, en soirée, et parfois la nuit lorsqu’elle est éveillée. Du bout du doigt, elle appuie au même endroit, alors que le bébé pousse. Sourire amusé alors qu’elle relève la tête, les yeux émerveillés vers Liam. « j’espère que t’as mangé au moins. » mais sans lui laisser le temps de répondre, elle lui fourre un morceau de pancake dans la bouche en riant.



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