BLAZE : god of all gods. CREDITS : . FACE : . DOLLARS : 11880 SACRIFICES : 3468 PORTRAIT : ANNEES : aussi vieux que le monde.
INTRIGUE + le petit trianon - Sam 28 Juil - 23:41
take off the mask
season 1 - episode two.
La fête n'est pas que célébration, elle est aussi vengeance. Le sang payé dans le sang. Le secret gardé par les supérieurs, pour se prémunir des traîtres. L'ennemi est puissant, et même placé entre les mains de la Nuova Camorra, on craint ses alliés. Carl Mendes a tué les divinités, et il devra payer. Cinq clans, cinq factions, cinq chefs. Cinq vengeances. La fête n'est pas que trêve, elle est aussi exécution. La paix entre mafias, la paix des dieux, signée dans le sang de l'ennemi. Cinq chefs, cinq flingues, cinq balles. Il les attend, Carl Mendes, plus sombre que l'obscurité de la pièce, marqué de la torture déjà subie, souillant de son sang démoniaque le sol du Trianon. Et ils entrent, les rois d'Arcadia, auréolés de leur secret et de leur puissance. Enfin, ils feront tomber l'ennemi, enfin, ils feront tomber l'adversaire.
VINGT JUILLET 2018 — la nuova camorra organise son bal masquerade pour sceller la trêve entre panthéons; toute la ville est invitée, mais toute la ville n'accèdera pas à l'ensemble des pièces du manoir. » les chefs de clans ont quitté la salle de bal en compagnie de quelques élus qu'ils ont choisi et accèdent au petit trianon dans les jardins. » ce sujet est réservé à @"alcide bellandi", @"oksana aleksandrova", @"savannah boudreaux", @"joaquin costilla", @"fiona killough" ainsi qu'à leurs invités de confiance, @"éamonn mcnamara", @"mairead breachnach" et @"sinead reed"; @"ashara al kathlan"; @alejandro flores, @"bael mendoza" et @"trinidad vivas"; @"augustin esposito", @"alfonso brazzi", @silas salvatore et @"asmodée hawkins"; @"yuliya vassilieva", @"aksel beliakov" et le fils même d'oksana.
LES DIX COMMANDEMENTS » pour que vos actions soient prises en compte par le mdj, un résumé sous spoiler de votre intervention sera à mettre (nb: privilégiez les actions 'politiques' dans le résumé) » amusez-vous
YOU’RE GONNA DIE DIE DIE! I’M GONNA SMILE SMILE SMILE!
Délaissant à regret les sourires d’Annalisa, Alcide répond à l’appel du devoir. Malgré la pagaille indéniable de la salle de bal, le cinquantenaire trouve le regard de ses compatriotes. Il suffit d’un contact pour que le message soit enregistré puis exécuté. Et comme un seul homme, les quatre Italiens gagnent les jardins.
Deux pas dans le trianon et l’odeur métallique s’imprime déjà dans les narines. Du sang de traître à faire bouillir. Les homologues et leurs VIP sont présents ; parmi eux, des femmes que Bellandi zieute d’un mauvais oeil. C’est une affaire d’hommes, communique-t-il. D’ailleurs, l'absence de Saturno est volontaire ; il n’a pas voulu l’inclure dans la confidence, car celle-ci nécessite de la confiance.
Bellandi est néanmoins satisfait de sa soirée et espère que ce charmant sommet va faire regretter à Mendes d’être né. Faute de trouver une insulte à la mesure de sa colère, il laisse échapper un grondement. C’est le tonnerre qui parle. C’est le tonnerre qui se retient de frapper.
Résumé:
• Alcide arrive encadré de Silas, Augustin, Alfonso & Asmodée. • Il est furieux envers Mendes. • Il jette des regards mauvais aux femmes présentes.
Le masque est enlevé dès que la porte est passée. La respiration se fait plus légère et l'agacement disparait un peu, remplacé par la satisfaction à la vue de Mendes. L'odeur du sang est agréable, sonne comme une promesse. Ils sont tous là pour la même chose, pourtant, pour Joaquin, l'instant a une saveur particulière. C'est une vengeance, une mise à mort inter-mafia et étant la réincarnation du dieu des sacrifices, il ne peut que savourer le moment. Il salue silencieusement les autres chefs de mafia et leurs délégués, le regard se faisant glacial à la vue de Killough. Les capitanos sont à ses côtés alors qu'il attend avec une impatience grandissante la fin de la torture de cet homme qui a mis la ville sur les nerfs.
Spoiler:
- Il est accompagné de Trini, Bael et Jan. - Il enlève son masque, salue les autres (même Fiona ) - Il est particulièrement satisfait d'être là et attend la suite
Abandon d'une soirée mordante pour en retrouver une plus bandante. Là on va pouvoir parler, là on va pouvoir sourire. Car dans la pièce où les 5 têtes d'Arcadia et leurs caniches débarquent (je me compte dedans les amis), il y a Mendes et sa gueule de traitre. Ça sent bon, saveur tripailles sauce vermillon. @Joaquin Costilla a déjà retiré son masque, se découvrant en premier - fierté du capitano et de l'ami que de voir son commandante se montrer en premier. Je le suis dans le geste et fait voler le masque de renard pour me parer de mon plus beau sourire. @Bael mendoza, @trinidad vivas et moi, on ferme la marche de la Calavera et on attend. Et je regarde, le spectacle qui va bientôt débuter. Pas seulement Mendes, non, mais toutes les autres identités qui débarquent dans le Trianon pour une seule et même chose : se venger.
Spoiler:
- Jan suit de près @joaquin Costilla avec les deux autres capitanos. - Il a retiré son masque et le sourire flippant qui fait sa réputation nait sur son visage d'angelot . - Il reste concentré, prêt à bondir à la moindre alerte. Il regarde à la fois Mendes mais aussi toute l'assemblée, pour ne rien rater des actions des autres mafias. Brave toutou
Accompagnée d’Ashara, Savannah abandonne l’effervescence de la grande salle pour l'ambiance pesante du trianon. La musique laisse place au silence et l’odeur des parfums délicats à celui, plus lourd, du sang séché. La pièce se remplit des leaders et de leurs plus fidèles associés qu’elle salue d’un geste discret de la tête. Et si le Don semble contrarié par la présence de toutes ces femmes, la Mère se réjouit du moment : « Je tiens à remercier la Nuova Camorra pour cette délicieuse soirée , ose la cheffe ». Bien qu’elle s’interdise d’en rajouter plus, le regard et le sourire qu’elle lui dévoile en détachant son masque en disent long sur sa pensée. Une plainte s’échappe d’entre les lèvres du presque-mort et son attention se reporte sur lui, Carl Mendes, l’ennemi. Puisse sa mort être lente, douloureuse et laisser son corps dans un état plus horrible que celui de ses victimes.
Spoiler:
• Savannah est accompagnée d'@Ashara al Kathlan. • Elle se réjouit de la situation. • Elle taquine un peu @Alcide Bellandi (et on oubliera surtout pas le rôle de la Bratva et des Enfants Terribles menés par des femmes, hein )
Une part de lui préfèrerait s’éclipser, prétendre ne point capter le regard insistant du patron pour profiter des buffets et des mains tendues, distraire ses yeux et ses sens de plaisirs mondains avec les autres invités. C’est l’autre qu’il écoute, celle qu’il n’a pas encore eu le temps de noyer sous les vices et les flûtes de champagne. Celle qui lui chuchote qu’avec un peu de chance, l’invité mal en point sautera au visage de la Pakhan avant que quiconque n’ait le temps de coller une balle dans la tête du félon.
Ses rêves de vengeance personnelle se dissipent aussitôt les grandes portes du petit domaine dépassées. C’est un masque semi-sérieux qui recouvre désormais son visage, tandis qu’il imite avec regret ses semblables en abandonnant l’allègre Arlequin sur un bas d’armoire rehaussé de bronze. Grande attention, vigilance et courtoisie, c’est tout ce qu’on lui demande et c’est tout ce qu’il montrera. Ou presque. Alfonso ne peut que souffler d’amusement en suivant le regard du don. Si la présence des dames semble déranger Bellandi, il ne peut en dire de même à son sujet. Légère révérence. Sourire enjôleur qu’il dirige autant à ces dernières qu’aux sieurs. Quel dommage, se dit-il en découvrant les visages de ses alliés d’un soir. Si la réunion n’était pas si formelle, il irait peut-être fredonner à l’oreille de certains et certaines. Autant profiter de la trêve jusqu’au bout. Lorsque la Mère (@Savannah Boudreaux) se prononce, Alfonso hausse un sourcil curieux, presque amusé. « Remercions plutôt notre invité d'honneur pour avoir rendu une telle chose possible. », s’exprime-t-il à l’adresse de Mendes. S’il avait un verre, il trinquerait à son nom. Au lieu de ça, le dieu se plante contre une colonne, pas loin d’Alcide. Ses yeux font des allers-retours entre les chefs et leurs confidents, posent un nom et une réputation sur chaque tête, certaines qu’il connaît mieux que d’autres, certaines dont celle de @Trinidad Vivas qui retiennent un peu plus son attention que raison.
résumé:
(+) Alfonso suit Alcide jusqu'au Trianon en compagnie de Silas, Augustin et Asmodée. (+) Comme tout le monde il voudrait voir Oksa morte mais bon c'est pas trop le moment. (+) Il lâche une petite pique plaisante pour pas que ça parte trop en sucette entre Alcide & Savannah. (+) Il analyse un peu tout le monde pour cerner/tenter d'anticiper les réactions de chacun. (+) Puis il mate Trinidad parce que wow. Quelle femme.
Epilepsie de l'Âme. Eloignement de la foule, enfin. Brouhaha quelque peu lointain, étouffé par le souffle putride de Mendes, écrasé par le sang gangréné. Ôte immédiatement le masque, Fiona. Observe déjà l'envahisseur, le bouillonnant qui tressaille dans les veines. Heures sombres, avant la capture, à jauger le danger potentiel, à garder ses sujets dans ses jupons, à pestiférer de crainte que l'un d'entre eux ne revienne pas. Vengeance. Et on sait ce qu'elle calcine chez Fiona. Rancune. Et on sait que ça brûle chez Fiona. Les mâchoires se serrent, tandis qu' @éamonn McNamara lui emboîte le pas. L'heure n'est plus aux caprices ou aux querelles. Il n'y a que la mort ici, et c'est celle de Mendes. Les voix s'échauffent, tandis qu'elle arpente la pièce. Les visages lui jettent de l'acide, @Oksana Aleksandrova, qu'elle fuit comme la peste, prédateur cannibale, @Alcide Bellandi, qu'elle se contente de saluer d'un regard tacite, @Joaquin Costilla, à qui elle s'efforce de répondre par simple courtoisie, et @Savannah Boudreaux, seule en qui elle offre un léger sourire sympathique. Mais aucun rapprochement, ni de l'un, ni de l'autre. Seuls ses alliés véritables à ses côtés. Dont @Sinead Reed. « Sinead. » qu'elle l'interpelle, tandis qu'elle fait coulisser les gants rougeâtres sur ses doigts. Manicles de soie qu'elle lui donne. « Je crains de les tâcher. » Le regard est pourtant fixe, sur l'intrus. Elle n'a aucune envie de discuter. L'Hybris lui dévore déjà la couenne.
Actions:
# Fiona entre en compagnie de deux Ducs, @éamonn McNamara et @Mairead Breachnach, ainsi qu'une Courtisane, @Sinead Reed. # Elle salue plus ou moins l'ensemble des Chefs, avec plus ou moins de pénibilité (Oks et Joa ) # Son Hybris, réclamant vengeance, semble déjà la titiller. Pour cette raison, elle n'a aucune envie de discuter, et est déjà prête à passer à l'étape suivante.
Pour une fois, Sinead Reed se tait et ne fanfaronne pas. Sommée par sa souveraine et amie, la voilà qui lui emboîte le pas lorsque les têtes pensantes des Familles convergent vers une même salle, encadrées par leurs hommes (et femmes, n’en déplaise au rétrograde hôte de la soirée) de confiance. Elle suit aussi le mouvement général qui est de se dévoiler, et ôte perruque et masque d’un revers de main fluide. Le masque -inutile à l’avenir- choit, la perruque est à moitié fourrée dans une poche de la veste blanche.
Allez savoir pourquoi, il est fort probable que le veston ne soit plus si immaculé que cela d’ici peu...
Elle les dévisage un à un, hoche la tête en silence pour saluer ceux qu’elle connaît par la force des choses, commandante (recruteur 1.0.1), Mère (savoureuse Savvy), Pakhan (sa meilleure amie proclamée depuis une sombre histoire de flingue dans un bar russe), et pourrait adresser un clin d’œil à l’ami de beuverie qu’est Brazzi si l’heure n’était pas grave. Quoiqu’il a franchement l’air prêt à déboucher une bonne bouteille, lui (déjà bourré ?)... La courtisane lui aurait bien répondu mais la voix décidée de Fiona l’en dissuade. Tout doux, Sin, semble-t-elle lui intimer dans ce langage silencieux qu’elles partagent, tout en lui tendant ses gants.
C’est que ça pourrait sortir les flingues pour un simple pet de travers, vu la tension palpable et presque découpable au couteau.
Mais si elle voudrait bien entamer la discussion, ne serait-ce que pour savoir si l’interrogatoire a été bien fait, ce n’est pas sa place. Elle n’est qu’une des ombres du conciliabule, et n’a probablement pas la légitimité hiérarchique pour parler. En tout cas, pour le moment. Et dans l’attente, elle coule un regard aux Ducs, Ned et May, histoire de voir silencieusement comment ils la sentent, cette réunion des Capas.
Parce que si on lui demande, elle risque d’avancer que ça pue, de réunir tous les gradés dans un même lieu, même pour zigouiller un traître.
Résumé:
# Sin a suivi Fiona. # polie, elle a salué d’un signe de tête ceux qu’elle connait (cc. Joa, Savvy, Oksa, et Alf ) # pour une fois, elle ferme sa gueule, vu qu’elle est consciente de sa place. Elle n’en pense pas moins et voudrait bien prouver à Bellandi que les femmes sont meilleures au jeu que les hommes. # Sin, trouvant que ça pue cette réunion, reste sur ses gardes, au moins pour Fiona.
Les réceptions ne m’ont jamais mise à l’aise. Les robes n’ont rien de pratique. On peut difficile y cacher des armes, pour se battre on est obligé de les craquer pour espérer être assez à l’aise pour frapper où cela fait mal. Je fais pourtant un effort ce soir. Du moins j’essaie, aucun achat hors de prix, la robe appartenait à ma mère et sans doute avant elle à d’autres femmes, je ne sais pas, elle ressemble à l’une de celle que l’on portait il y a plusieurs décennies. Je m’en fiche pas mal, elle me va et elle me plait, elle est assez fluide pour se battre et elle peut camoufler dans le dos une épée. Je me rends sur les lieux, mon rôle n’est pas de profité, je n’ai pas le temps pour cela et ça ne m’intéresse pas tellement à vrai dire, jouer les hypocrites avec des gens que je ne connais pas. J’attends @Fiona Killough non loin de l’entrée. Celle-ci arrive dans une robe éblouissante. Comme toujours elle sait se faire remarquer, faire des entrées parfaites, elle me bluffe toujours. Elle s’approche immédiatement de moi. « - ça va plutôt bien et toi ? Prête pour ce soir ? » Sur le passage je croise @Scarlet Wyrm qui me fait un salut militaire, c’est relativement ironique, il reste le chef de notre équipe de braqueur mais ce soir je suis plus gradée que lui répond ironiquement par un faux baiser. On avance à l’intérieur avec Fiona, elle me demande si tout le monde est là. Je fais un oui de la tête un peu serré. « - J’ai vu Sinead au bar, Ned est par-là ( signe discret de la main pour lui montrer ) Tu n’as pas à t’inquiéter, la salle est pleine de petits soldats. Si le l’un d’eux te fait honte, j’irais moi-même lui griller les fesses » J’ironise, enfin qu’à moitié, parce que pas question qu’on fasse honte à notre reine.
•••
On est invité à entrer dans une petite pièce. Je suis notre reine de près. Je regarde Sinead et Ned nous suivre. Un hochement de tête pour les saluer, je reste concentrée. Avant d’entrer, je me tourne vers Ned. Je passe mes cheveux sur mon épaule et je lui montre le pommeau de l’épée. « - En cas de besoin, tu te sers » Avec Fiona, on peut griller pas mal de monde, je ne devrais pas avoir de soucis de ce côté-là. Il y a d’autres chefs de mafias, d’autres hauts placés. Je ne salue personne, mon visage est fermé, concentré, je scrute tout le monde. Je note l’arrogance de notre hôte, Alcide ne semble pas ravie, est-ce vraiment la présence des femmes qui le dérangent ? Est-ce pour cela que sa fille n’est pas là ? J’ai pourtant ouïe dire qu’il les aimait dans son lit, alors il devrait peut-être revoir ses préjugés. N’est-ce pas deux mafias dirigées par des femmes qui ont capturé le traitre ? Insupportable. Je me pense vers Fiona. « - Au moindre soucis, on les allume, vraiment » Je reste à la gauche de Fiona qui retire ses gants. Je sens que sa vengeance la travaille, moi aussi je suis furieuse contre cette récurrence qui a osé trahir les siens. Nous trahir tous. Qu’est-ce que cet homme cherche ?
Actions & Tenue:
Elle entre avec @Fiona Killough, @Éamonn McNamara et @Sinead Reed. Elle précise qu’elle a une arme dans le dos pour Ned s’il en ressent le besoin. Elle reste près de Reine, prête à donner sa vie pour elle.
L’attraction de la soirée maintenant disparût, tu n’as pas le temps de t’ennuyer que déjà tu reçois la sommation de ton impitoyable Boss. Simple hochement de tête obéissant, tu poses ton verre et chuchotes quelques rapides mots à l’oreille de ton amant avant de suivre discrètement les têtes couronnées et leur suite vers le lieu où se passerait la suite des réjouissances. Visages se dévoilant peu à peu, tu fais de même et range ton masque dans une de tes nombreuses poches.
Les lieux sont déjà embaumés par le sang quand votre petite troupe arrive, délicieuse odeur qui semble enflammer les désirs de vengeance de plus d’uns. En compagnie de ta chère collègue, à qui tu ne jettes qu’un rapide regard amusé, tu restes de marbre, n’affichant pas ton éternel sourire amusé qui semble pourtant être ta marque de fabrique. Si toutes les mafias de la ville réunies en un seul endroit avait paru dangereux, qu’en était-il alors de toutes les têtes couronnées dans une même pièce ? Tu retiens à peine un ricanement amusé. Oh, ça allait virer au désastre, tu le sentais tout au fond de ton être : le chaos n’allait pas tarder à pointer le bout de son nez. Tu ne savais juste pas s’il viendrait de la présente assemblée, ou de cet homme attaché et blessé ayant une prestance bien trop confiante pour sa situation. Alors pour l’heure, tu ne dis rien, te contentant d’observer l’assemblée et essayant de déterminer qui rompra la tension le premier.
Résumé:
+ Quitte son cher et tendre ( ) pour suivre sa patronne @Oksana Aleksandrova en compagnie de @Yuliya Vassilieva qu'il salut. + trouve que cette situation est encore pire que la précédente réception et ça l'amuse énormément + Trouve que Mendes a l'air un peu trop confiant malgré sa situation et s'en méfie un peu. + Se contente d'observer sans rien dire.
D'ivoire et d'or, la belle parade au bras de la Mère. Masque glaçant fait d'os blanchis par le temps. Des diamants sont incrustés aux jointures des os reflétant la lumière et aspirant l'obscurité par vague. Il ne dévoile que ses yeux flamboyants tandis que des bandelettes de soie blanche décorent ses bras comme ceux des momies. Elles sont fortement serrées permettant d'y cacher quelques épingles pointues. La fête bat déjà son plein lorsque les deux dames débarquent, la foule se fendant en deux sur leur passage. Le temps s'étire lentement jusqu'à ce qu'un signe de la tête accélère le film de la soirée. L'atmosphère étouffante des corps chauds qui se défie laissant place à l'intimité du petit trianon. Le parfum des roses s'effaçant au profit de celui du sang.
Les Grands se réunissent et la violence couve sous les riches parures. Vaste fumisterie qui ne trompe que les pauvres mortels ignorants. Elle salue d'un hochement de tête les invités à cette sauterie privée. Son masque tombe au sol en un bruit d'os cassé. Un rictus éclaire son visage tandis qu'elle fixe avec intensité @Alcide Bellandi. Elle erre souvent autour de Little Italy cherchant sa demi-soeur et celui qui sent la foudre. Elle pourrait presque humer l'odeur de l'orage qui se profile et il n'y en aura pas qu'un. Elle se penche alors délicatement vers la Mère et lui chuchote à l'oreille : << - Nous pourrions avoir le droit de porter le premier coup à cette carcasse mourante. Pour les Enfants Terribles ! >> Une étincelle de pouvoir abandonnée dont les E.T s'empareraient avec délectation Ils ont ce goût pour les choses qui brillent, pour ces passions où on peut se brûler les ailes.
Le gémissement du condamné attire le regard des chefs et de leurs associés. Carl Mendes ne connaît pas encore la définition du mot souffrance, mais qu'il ne craigne rien car les meilleurs professeurs d'Arcadia ont été mandés pour la lui apprendre. Le regard du bras-droit des Enfants Terribles glisse sur les blessures infligées. Le travail semble propre mais l'ignoble meurtrier a-t-il vraiment tout révélé ? Une interrogation qui fait sens dans l'esprit de la belle alors que tout le monde semble pressé d'en finir, de le laisser voguer vers les limbes. Elle n'ose pas interroger directement le don, sous peine de faire passer le mauvais message. Alors, elle se contente de s'avancer vers le prisonnier, de se pencher vers son corps puant pour lui dire : << - J'espère que tu as tout craché aux gentils signori car si je dois m'en mêler, tu penseras que tes précédents tortionnaires n'ont fait que te chatouiller.>>
Puis elle s'en retourne aux côtés de Savannah sans attendre la réponse de Carl Mendes. Il n'est qu'une marionnette dont elle espère que les paroles sortiront d'une autre bouche.
♆ Ashara accompagne @Savannah Boudreaux entant que bras-droit et jauge @Alcide Bellandi comme si elle pouvait lire son âme. ♆ Elle suggère à mi-voix à la Mère que cette dernière frappe en première Carl Mendes pour montrer le rôle prépondérant des Enfants Terribles dans la capture de l'assassin. ♆ Elle pose de manière détournée la question que tout le monde se pose en s'adressant à Carl Mendes : quid de ce qu'il a révélé ?
IT'S A PLACE FOR PEOPLE TO GET WILD FOR THE NIGHT. FUCK BEING POLITE
Miraculé s'estimant sain et sauf, puisque sur son pauvre râble, plus aucune harpie ne s'acharne ; prévenance défléchie à l'égard du gringo et ses pleutreries risibles, scandale emboîtant le pas à ses trois compères. Contraste fulgurant que la cubaine nichée au cœur masculin, eux dont les lèvres se déforment de quelques duretés farouches. Une risette de trop sans aucun doute que le sourire qui étire la bouche carmine ; ne peut en faire autrement, célèbre sitôt le chambranle dépassé la mort sublime. Puisqu'elle ne vit que pour ça, ces décadences navrantes, espère obtenir le cruor sacrifié pour en enduire quelques fétiches, à la manière du rituel orchestré par ses soins au cœur calaverien. Effrayer les leurs comme les autres. Ira jusqu'à se baigner du sang du condamné, si l'on lui laisse le choix, sans jamais se départir de ces airs de Doña aussi mielleuse qu'inapprivoisable. Plus exquisement ravie que furibonde de ce qui se joue sur la grande scène, tragédienne accomplie, elle mire chacun d'entre eux avec une insistance diable. Arrache son loup d'un air langoureux mais suffisant. Découvre tour à tour les visages de ces héros qui ne seront rien d'autres que chacals, à prétendre se départager la carcasse qui déjà suinte pour quelques régicides murmurés. Temps d'arrêt marqué sur l'élégante silhouette de celui qu'elle ne connaît que trop bien, babines sitôt retroussées pour laisser ravir le cœur insolent, meurtrir l'incandescence de ce perpétuel brasier. Je n'ai pas besoin de toi, semble-elle jurer au palpitant grisé par de tels égards, bridant les instincts qui la pousserait à mordre, avant de glisser un bras sous celui de @Alejandro Flores comme chatte se love, ignoble mais si tendre. Reporte ses attentions sur le doux élu et se permet un dernier rictus, se fend même d'un rire, narquoise autant que carnassière. Il est temps.
Résumé:
trinidad se présente en compagnie de ses calaveriens prefs, dévisage alfonso avec une insistance volontaire tout en se rapprochant des siens pour mieux semer le chaos, avant de reporter l'attention sur mendes, se réjouissant déjà d'avance de sa mort navrante, tant qu'elle soit sanglante.
Ça discute, ça papote, ça se prend trop au sérieux, ça darde ses yeux sur le pauvre petit au centre de la pièce et ça s'en amuse. On m'a toujours dit de ne jamais jouer avec la nourriture alors, non, je ne ferais pas comme Miss-je-porte-du-blanc-a-un-massacre (@Ashara al Kathlan) en m'abaissant à parler au corniaud. Je reste en retrait, je suis un cqpitanos, ma place est au côté du commandante, de mes pairs. Et tant que Costilla ne dit rien, je ne dirais rien. Mais un murmure, un mot, un signe et je suis prêt à aller découper un nouveau sourire sur la face de Mendes. Parole de mes dix doigts.
Je sens les hanches voluptueuses (enfin je crois, je ne suis pas un fin spécialiste) de @Trinidad Vivas se coller sur mon flanc et son bras enlacer le mien. Léger regard jeté vers elle, discrétion au rendez-vous. Jouons Trini si tu en as envie, surtout sous le regard d'@Alfonso Brazzi qui ne manque pas un millimètre de peau de ma co-équipière.
Main opposée qui vient caresser sa peau nue, je laisse mes doigts grappiller son bras, sans oublier de continuer de sourire (dans un respect le plus total, cela va de soit) à l'assemblée, accompagnant le léger rire de @Trinidad Vivas. Sacré duo que les deux chats de la Calavera, se jouant de leurs charmes, prêt à sortir les griffes à l'instant où leur maitre le quémandera. "On parie sur qui se lancera en premier dans la danse Trini" ? Que je lui murmure discrètement au creux de l'oreille. Alors, qui va balancer en premier une balle ? Qui va faire couler le sang de Mendès et repeindre le manoir ?
Bellandi, j'espère que tu as prévu l'entreprise de nettoyage pour demain.
Spoiler:
- @trinidad vivas enlace le bras de Jan qui l'accompagne et caresse légèrement sa peau nue. Regard langoureux lancé à @alfonso brazzi - Il reste en retrait et ne s'abaisse pas à aller insulter le pauvre Mendes. Les mots, ils ne connait pas, y'a que les acte qui l'intéresse . - Murmure discret à @trinidad vivas sur qui va faire couler le sang de mendes en premier.
THEY DIDN'T QUIT, THEY WANTED HIS HEAD AND SO THEY SHOT HIM TILL HE WAS DEAD
Délestée du moindre artifice, il n'est d'ombre semblable à celle devant laquelle on ouvre les portes avec une précipitation tremblante. Il n'y a que l'obscur dont elle se paraît, confondant ton sur ton de la tignasse sur les nippes, singularité qui n'a d'horizon autre que celui de les innocences qu'aucun n'a encore châtié face à ses terreurs. Baba Yaga osant l'outrage, trombine exposée puisque la consigne fût jugée obsolète. Aucun n'ignore qui elle est, après tout. Escorte à laquelle elle n'a pas eu besoin de dicter la moindre conduite ; tous savent qu'ils n'ont pas le droit à l'erreur, sans quoi la reine de cœur le leur fera payer.
Elle est monstrueuse, Oksana, lorsqu'elle s'avance entre les hommes sans même prétendre de leur jeter un regard et que la ligne serrée de ses lèvres ne s'évase pas une minute. Elle est montreuse lorsque cliquette ce qu'on prend pour de la joaillerie, quelques pierreries raffinées apposées sur ses chairs, serties d'entrelacements à n'en plus reconnaître les néants primitifs. A trop y regarder, on y devinerait ce qu'on ne veut percevoir ; calcification dévorée par sa gueule béante, bris misères de l'enfançon charrié par les sangs.
Elle n'est là pour aucun d'eux ce soir ; ni pour la paix, ni pour l'harmonie. Prétendra le contraire, sans jamais se fendre de la moindre risette, dodelinera la tête aux quelques politesses feintes dont on fera preuve à son égard. Singularité des réactions envers le petit personnel – maternant, étrange. Phonèmes déliés de cet accent traînant, bolchevique cassante se faisant soudainement douce pour les petites mains, ceux dont les cœurs ignares ne sont qu’oboles à ses vanités.
« Mesdames. » souffle-t'elle, leur coulant respectivement une œillade ouvertement impavide. Pressent l'attitude querelleuse de ces misogynies prétendues dont elle n'a que faire, bien plus lasse encore de leur présence. « Messieurs. Commençons, voulez-vous ? »
Baba Yaga, aussi indocile qu'à l'accoutumé. Elle n'attendra pas. Ni ce soir, ni jamais.
Résumé:
entrée glaciale de baba qui ferme le cortège, sciemment dernière arrivée.
On lui a clairement fait comprendre qu’il n’avait rien à faire là, alors il est venu. Sans se cacher, il a suivi Alcide et ses acolytes jusqu’au petit trianon. La coupe abandonnée, ses mains libres se glissent nonchalamment dans les poches de son pantalon. Incarnation de la décontraction, il pénètre dans les lieux comme s’il en était le maître. Très vite il trouve la salle où officient les rois de la ville. L’obscurité lui profite et il se glisse à l’intérieur le plus discrètement possible. Appuyé contre un mur, silencieux, il observe toute la scène, attendant le moment propice pour faire son apparition. Attendant le moment propice pour réclamer son dû et assister à la mort de Mendes. Car le roi des morts chante à son oreille, dévoreur d’âmes avide de sa pitance.
Spoiler:
- clairement il est là pour faire chier @alcide bellandi. - caché par l'obscurité de la pièce il observe et entend tout. - il ne fera rien avant un moment (aka mon retour vendredi).
Quand on lui fait signe qu'il est désormais l'heure d'y aller, Yuliya s'excuse platement auprès du batracien beau et terriblement innocent, lui promet une danse de sa voix charmeuse avant de s'en aller. Elle suit une forme masculine, et râlerait presque en voyant @Alcide Bellandi, déjà présent. Lui et son regard malsain sur les femmes de la pièce. Elle a envie de faire une remarque, lui rétorquer que trois des chefs étaient en réalité des cheffes ; mais elle ne dit rien, ne désir pas augmenter le chaos déjà naissant. La paix ? Il n'y aura pas de paix, même pas de trêve, la russe le sait bien. Elle relève délicatement son masque pour dévoiler son visage incroyablement blanc et rend un léger sourire à @Aksel Beliakov . La blonde reste relativement en arrière, observe l'étrange troupe. Il y a @Alfonso Brazzi aussi, avec la même trace de rouge à lèvre, le même sourire et la jolie blonde se détend un peu.
Spoiler:
> Elle s'excuse auprès de @Leif Nyström et rejoint la pièce avec les autres (sorry bb promis jte réserve une danse quand je reviens ) > Salue Akselou en se pavane dans un coin toute seule > Elle porte cette robe, les gants et ce masque
There's a maniac out in front of me. Got an angel on my shoulder, and Mestopheles but mama raised me good, mama raised me right. Mama said, "Do what you want, say prayers at night,"And I'm saying them, 'cause I'm so devout. 'Til the love runs out, 'til the love runs out, yeah.
Les gouttes perlent sur mes tempes, se mêlent peu à peu au sang séché sur mon visage. Le masque fissuré ne tarde pas à tomber alors que je ferme la marche du Royaume, en présence de @"fiona killoug", notre reine, @mairead breachnach, la duchesse et la sulfureuse @sinead reed, dont les traits sont particulièrement sévères. Trop sévères. Je me glisse alors derrière elle discrètement et lui rend la pareille, pinçant sa fesse gauche pour lui offrir finalement une oeillade amicale. Les pontes étaient là, toute la caste dirigeante de la crasse d'Arcadia réunie dans un même endroit. Je les toise, les analyse. Mes traits se radoucissent à la vue de @Savannah Boudreaux. Je rêvais de revenir à nos jeux d'enfants, et le préserver de cette crasse. Bien joué. Je me tiens prêt à frapper des lames savamment cachées dans les coutures de ma veste. L'offre de la duchesse me surprend. « C'est sûr qu'avec ça, tu pèses un peu plus lourd. J'pourrais me servir de toi comme bélier. » Le regard est mutin, le sourire, lui se fait carnassier. Je la taquine, comme toujours alors que je hoche la tête en observant le pommeau de son épée. « Hé princesse des flammes, ça fume de tes oreilles. Calme-toi, s'ils captent que t'es sur les crocs, ils vont en profiter. » Pour la provoquer et la blâmer pour une guerre qu'elle aura créé. Je refusais que la duchesse serve de prétexte. Je fixe @Alcide Bellandi avant de me pencher pour vers notre Reine. « Je comprends ton désir ardent d'allumer un p'tit barbecue mais vaudrait mieux laisser les duine fiáin commencer. Ou même avoir ses aveux. » Par ces sauvages, je visais ceux de la Calavera. Ou même cette femme aux courbes élégantes et à la voix de glace (@Oksana Aleksandrova), qui semblait presque pressée de mettre fin au calvaire de Mendes. Plutôt mal à l'aise, j'arrange mon costume et me tiens prêt à intervenir pour protéger notre reine. Je ne faisais pas confiance à la Nuova Camorra, qui le pourrait ? Ils avaient inventé le principe de dissimuler une farce à l'intérieur de pâtes. Et je craignais que ce type soit la farce d'une mascarade bien plus grande. Coupable sans doute idéal, je doutais de la sincérité de la justice expéditive qui lui était servie. Je préférais entendre ses aveux avant de se perdre dans la bassesse du sang versé.
Made by Neon Demon
résumé:
× après bien des péripéties, ned finit par boucler la marche du royaume, avant l'arrivée d'oksy-oksa (). il transpire, est recouvert de sang et son costume est sali/déchiré par endroit (bref, il donne pas une très bonne image, pour changer). × désormais sans son masque fissuré, il fixe le petit comité et offre un regard amical à @savannah boudreaux × il pince les fesses de @sinead reed, discrétos, en représailles × ned essaie de calmer les ardeurs de @mairead breachnach en lui racontant des boutades × il conseille sa reine, craignant que son tempérament légendaire (et surtout son hybris) ne la pousse à servir de farce à cette mise en scène et suggère de soutirer des aveux avant. × plutôt mal à l'aise avec l'exercice, il redoute le moment où il devra participer et veille sur la protection de sa reine, prêt à lui servir de muraille en activant son égide épidermique en cas de problème. tenue et y'a plus de masque.
La soirée était une réussite, somme toute. Même l’incident du jaguar, aussi captivant et inattendu qu’il ait pu être, avait finalement servi leurs intérêts. La cohue avait fait ses effets sur la foule, trop excitée pour remarquer le changement d’atmosphère qui s’opérait dans la salle à la suite d’un simple échange de regards. Un geste, une suite de mouvements, et une bonne quinzaine de personnes avaient quitté l’intérieur du manoir pour rejoindre un endroit bien précis de l’autre côté des jardins. A l’abri des regards indiscrets.
L’endroit est au moins aussi magnifique que le manoir, mais c’est plus petit, plus cosy. Plus intime, presque – cette pensée fait naître un sourire ironique sur les lèvres d’Augustin, alors qu’il regarde autour de lui tous ces mafieux réunis. Le décor leur va bien. C’est aussi théâtral et excessif que la plupart d’entre eux. Un bon endroit pour tuer un traître, et sceller dans le sang une paix aussi éphémère qu’hypocrite. Augustin a assisté de loin au buffet, observant avec amusement les mondanités, le cerveau trop occupé par ce qui les attendait. Avant de partir, il est allé chercher son Walther, qu’il a planqué dans son dos, sous sa veste. La paix. On va pas se raconter de bêtises non plus.
Les masques tombent, les traits sont tirés par l’importance de l’instant. La tension est palpable, et chacun s’observe, jouant des muscles, voulant montrer qui est le plus fort et le plus assoiffé de sang. Les femmes s’égosillent, veulent rouler des mécaniques et montrer qu’elles ne sont pas là pour rien – même si leur place est clairement à l’intérieur du manoir, pas à jouer à ces jeux funestes. Augustin s’est planté à côté d’ @Alcide Bellandi, les mains dans les poches il ne dit rien et observe les égos se donner le change, un petit sourire sur le visage. Il sait bien qu’ils sont pareils, tous, mais cela restera toujours un spectacle fascinant à regarder. En attendant, quoi qu’ils puissent penser les uns des autres, ce soir ils ont tous le même objectif : offrir une douce et lente agonie à Mendes.
Spoiler:
Augustin arrive avec Alcide, Alfonso, Silas et Asmodée. Il a un flingue planqué dans son dos (la paix, à d'autres). Il s'amuse du spectacle et attend la suite avec intérêt.
YOU’RE GONNA DIE DIE DIE! I’M GONNA SMILE SMILE SMILE!
Les masques tombent. @Joaquin Costilla affiche la tête d'un enfant dans un manège. Alcide en est presque glacé. Les regards féminins l'assaillent comme une pluie de javelots mais aucun ne le transperce. Il est trop imbu de lui-même, et ne leur offre qu'un haussement de sourcils en retour. La conversation est muette tandis que les chuchotements vont bon train. Les Italiens ne discutent pas entre eux : ils ont eu le temps de brainstormer avant la soirée.
Uno, on ne salit pas son smoking. Due, si les choses tournent mal, on parle en Italien, même si on n'a que les bases. Tre, on s'arrange pour garder le cadavre.
Lorsque @Savannah Boudreaux se risque à l'humour, le consigliere le précède. Remercions Mendes... Et puis quoi encore Brazzi ?@Ashara al Kathlan et son regard noir revendiquent la première bouchée du plat du jour. À cela il répond, lentement, faussement courtois. « Patience ma chère… il y en aura pour tout le monde. » La soirée promet d'être longue pour les nerfs. Surtout qu'il reconnaît avec effroi-colère un @Éamonn McNamara tout essoufflé et rajeuni par le rasage. Ça ravive de mauvais souvenirs et le sentiment d'avoir bâclé le travail. Avec un peu de chance, le duc mourra d'une balle perdue ce soir...
Pour engager les (hostilités) festivités, Alcide s'avance. Toujours à portée de la main salvatrice d'@Augustin Esposito. Flatter autrui lui brûle la langue mais il faut faire les choses dans l'ordre. « Saluons les Enfants Terribles et la Bravta pour le travail accompli. L'ACPD n'aurait pas mieux fait. Regard aux deux meneuses, suite et fin du speech. Ce soir, en dépit de nos vieilles querelles, nous rendons justice ensemble. Justice pour nos prophètes. »
Résumé:
• Alcide fait un micro discours. Message de ...paix.
Martèlements de l'Endocarde. Les échos sont fantomatiques, autour de la muse à la mort, Mendes et son petit corps. Les frasques théâtrales des humanoïdes qui l'entourent ne lui infligent qu'un bruissement aux tympans. Déshérite le regard d'autrui, papillonne de corps en corps pour observer les portraits faméliques. Styx à huit têtes qui compte emporter le sanglant. Ne laisse aucunement divaguer le regard, Fiona. Se contente d'apprécier le comportement parfait de @Sinead Reed. Soldat de plomb à son côté qui ne faillira pas, elle le sait. Son âme sourit légèrement à la remarque de @Mairead Breachnach. Mais le corps ne porte aucune marque d'amusement. Il n'y a que le feu en elle. Troisième paire à entrer en scène, @Éamonn McNamara, qu'elle manque d'insulter. Retard et tenue qui laissent à désirer. Mais il n'est pas temps pour ça. Elle préfère faire mine de rien. « Níl mé dúr*, Eamonn. » qu'elle répond à sa tirade, dans un gaélique qu'elle garde souvent pour elle. « Tost**. Il n'est pas temps à plaisanter. » Foule disparue, les murmures s'évaporent mais se saisissent lorsqu'on écoute. Aucune envie de paraître impuissante. Aucune envie de paraître incontrôlable.
Le pseudo-discours d'@Alcide Bellandi la laisse de marbre. Protocole étrange qui lui intime de laisser un regard traîner parmi les convives. Se contente de croiser le regard de @Savannah Boudreaux pour lui accorder un léger sourire, un hochement de tête, un remerciement tacite comblé d'une amitié sous-jacente. Et une oeillade partielle à @Oksana Aleksandrova, tenue quelques secondes à peine, pour chercher de nouveau le maître de cérémonie. Elle ne répond rien, n'en redit rien. Justice, oui, parsemée de trêve étrangement calme pour une fête déjà bien ensanglantée.
* - Je ne suis pas stupide. ** - Silence.
Actions:
# Fiona contemple et ne dit quasiment rien. Elle apprécie la présence de ses complices, même si elle n'apprécie pas beaucoup l'arrivée d'@Éamonn McNamara, qui laisse un peu à désirer. # Elle écoute attentivement le pseudo-discours de @Alcide Bellandi. # Elle salue tacitement le travail de @Savannah Boudreaux, et se contente d'un regard à @Oksana Aleksandrova.
BLAZE : god of all gods. CREDITS : . FACE : . DOLLARS : 11880 SACRIFICES : 3468 PORTRAIT : ANNEES : aussi vieux que le monde.
INTRIGUE + le petit trianon - Mer 1 Aoû - 22:34
take off the mask
season 1 - episode two.
Ils sont arrivés, les alphas, ils ont laissé leurs meutes derrière eux et ils contemplent la proie à terre. La colère qui augmente, toujours un peu plus, les provocations et tensions qui ne disparaissent jamais vraiment. Et pourtant, ils se complaisent dans les discours de paix. Il en prononce, des mots de concorde, @Alcide Bellandi, il remercie Bratva et Enfants Terrible du cadeau déposé à ses pieds. Ils reconnaissent le travail commun, tous, chefs comme élus, ressentent l'appel du sang jusque dans leur moelle. Certains plus que d'autres. @Ashara al Kathlan qui seule s'approche de l'homme, et le nargue de son insupportable hauteur. 'J'espère que tu as tout craché aux gentils signori car si je dois m'en mêler, tu penseras que tes précédents tortionnaires n'ont fait que te chatouiller.' Et il ricane, l'homme enchaîné, il ricane, Mendes. Il se sait condamné, n'a plus rien à perdre. 'Cracher. Horrible impolitesse dont tu fais preuve, gamine. As-tu déjà considéré te libérer de ta laisse? Osé tourner le dos à ton maître? Soumise, tu l'es plus que moi, chica.' Il défie la mort en la regardant droit dans les yeux, crache sa salive mêlée de sang au visage de @Alcide Bellandi. 'Vous vous complaisez tant dans votre prétendu pouvoir. Vous n'êtes rien. N'avez vous rien compris aux lois de l'univers?' Il ricane encore, le condamné. Il sait la mort proche, la torture plus encore. Ne sait à quel point ils chercheront à l'exploiter. Et dans l'ombre du trianon, c'est un invité surprise qui contemple l'assemblée, @Saturno Bellandi, homme de l'ombre, prêt à accueillir une âme de plus dans son royaume infernal.
LES DIX COMMANDEMENTS » pour que vos actions soient prises en compte par le mdj, un résumé sous spoiler de votre intervention sera à mettre (nb: privilégiez les actions 'politiques' dans le résumé) » amusez-vous
Ouais, non, vraiment, cette histoire pue la merde. Sin est bien contente d’avoir son neuf-coups sur elle parce qu’elle sent que tout ceci peut très vite mal terminer. Elle est aussi satisfaite d’avoir pris avec elle, dans la poche intérieure de son veston blanc, une vieille photo, découverte il y a des mois de cela, quand la traque pour Mendes commençait tout juste. Certains de ses collègues accompagnateurs semblent méfiants aussi, même si @Alejandro Flores & @trinidad vivas, qu’elle connaît seulement de réputation, se minouchent en public. Ça doit être pour faire chier Brazzi, songe-t-elle en faisant le tour du public de ses yeux bleu-vert.
Elle ne dit encore mot, laisse l’accompagnatrice de Savvy ( @Ashara al Kathlan) intervenir et menacer sans aucune discrétion le prisonnier, qui se gausse et fanfaronne aux portes de la mort. Une présence familière se fait sentir, mais elle est trop concentrée pour chercher des yeux le Bellandi brun ( @Saturno Bellandi ) qui lui sert de croquemort favori, surtout qu'il doit se planquer si elle en croit les rumeurs sur l'entente des deux frères. Restant aux côtés de @Fiona Killough, Sinead prend alors la parole, d’une voix profonde venue de la gorge de Nemhain elle-même, tandis que les yeux de la rouquine s’assombrissent.
« Et si tu fermais ta gueule, cabron ? », invective-t-elle Mendes tout en faisant en sorte d’instiller en lui une panique le tétanisant. Elle sort ensuite la photographie de sa poche intérieure, la déplie pour la montrer et soumet une hypothèse relativement pacifiste -un comble pour une déesse de la guerre- au reste de l’assemblée : « Y a un truc qui cloche dans cette histoire, je crois. Si on se fie à ce qu’un type m’a filé dans un bar des docks, cette photo donc, ce connard doit être le garçon au visage souriant, mais c’est sa sœur qui tient le miroir. Or miroir, égale tranchant + mercure, si je ne m’abuse… On est sûr que c’est bien un homme qui a fait le sale travail, et pas une femme ? » Non parce que ça serait bien le style de la Nuova Camorra de sous-estimer le potentiel destructeur d’une femme… La photographie circule ensuite de mains en mains, en commençant d’abord par sa souveraine, puis passant d’un groupe à l’autre. Sinead n’a pas l’air orgueilleuse, elle sait qu’elle est en situation délicate. Elle n’en avait pas parlé à Fiona avant de venir, parce qu’elle n’était pas certaine de ses suspicions. Mais là, avec tout ce beau monde et Mendes hilare au milieu -enfin, silencieux pour le moment-, elle redoute le piège. Fan cúramach., pourrait-elle dire à ses compagnons celtiques : restez prudents. Puis, elle s’adresse plus particulièrement à @Alfonso Brazzi, qu’elle connaît bien, en désignant Mendes d’un signe du menton : « Hé, Alf, par curiosité, qui lui squatte l’échine ? » Non parce que si elle demande à Mendes, elle redoute d’avoir encore des infos fausses, ou énigmatiques, ou complètement hallucinées. Et qu’elle voudrait bien avoir confirmation que les titans grecs ne sont pas en train de foutre la merde juste pour rire. Autrement dit, oui, toute cette histoire pue le piège.
Résumé:
# Sin prend finalement la parole, pour faire taire Mendes, qu’elle foudroie de terreur en activant son pouvoir principal. # elle sort ensuite une photographie (obtenue dans la chasse aux indices - cf spoiler n°2) #Sin suggère, tranquillement, que Mendes serait désigné coupable en lieu et place de sa propre sœur, encore en liberté. En gros, elle considère que ça pue le piège et sous-entend que la NC a fait de la merde
(bonjour, je nique le game et j'fous l'sbeul ) (en vrai, maybe elle est complètement dans le faux, mais bon, ça arrive de se tromper )
Indice Photographie:
# Sin fait circuler une photographie (obtenue avec la chasse aux indices en avril dernier xD) : - une [b]photo de famille[b], le couple – on ne peut reconnaître le visage de l'homme et de la femme, les visages brûlés par la cigarette, à côté d'eux, deux enfants, une fillette, qui tient un miroir, et à un adolescent, les visages souriant. Derrière la photo est écrit, « 3/08/2001 – premières vacances »
Provocation de la déesse des suicides (@Trinidad Vivas) à laquelle il répond par un sourire déguisé. De la place pour un troisième ? Semblent demander autant à la prêtresse qu'au capitano (@Alejandro Flores) ses pupilles voyageuses, expertes des courbes et des angles comme le serait un mathématicien.
Ses traits s’aggravent à la prise de parole incongrue de Mendes. Démences mystiques qui même aux oreilles du patron des fous sonnent bien trop assurées dans le présent contexte. Lorsque l’enchaîné crache ses mots et sa haine, Alfonso s’attend presque à ce que le Don ou @Ashara al Kathlan lui colle une balle entre les deux yeux sans plus de cérémonie. Mendes n’en a clairement plus rien à cirer de vivre ou non. Et pourtant, pourtant… Il a la parole d’un gagnant, clamserait le sourire aux lèvres. Silencieux, Alfonso tente de déchiffrer ses mots. Bluff ? Poussée d’adrénaline d’un homme que la peine de mort aurait inspiré ?
Le consigliere sollicite le regard de ses compagnons et plus particulièrement celui de Bellandi lorsque l’irlandaise (@Sinead Reed) partage ses doutes à l’assemblée divine. Clever and bold. Cependant, je crains qu’une pièce du puzzle manque à ta théorie, Sin. Demande muette au don de l’organisation italienne pour partager ce qu’ils n’ont pas encore eu le temps de communiquer, ce qu’ils savent tous les quatre. La Nuova Camorra a déjà pris soin de traquer un par un tous les relatifs de Mendes. Aucune trace d’Ophélia, la petite sœur, mais les aveux ont été crachés quelques jours avant le Bal par le coupable, amoché par les coups experts de @Silas Salvatore et ses hommes : « Urgh… Ophélia… n’est plus de ce monde depuis longtemps. », Alfonso répète mot pour mot, copiant les mimiques du mutilé, l’intonation et les blessures qui déformaient au moment de l’aveu le visage de Mendes. Divinité détectrice de mensonge présente pendant l’interrogatoire pour confirmer la véracité des dires du coupable au moment de la déclaration. Le jeu d’Alfonso ne dure que quelques secondes. « J’ai entendu que miss Vassilieva (@Yuliya Vassilieva) pouvait détecter les mensonges, si jamais l’envie vous prenait de vérifier par vous-même. » Sur ces mots, il rejoint les côtés d’@Alcide Bellandi et d’@Augustin Esposito avec qui il échange de manière indistincte. « Je connais le bluff et la parole d’un fou. Et ce que nous fait Mendes, c'est ni l’un ni l’autre... »
Lorsque la photographie arrive entre ses doigts, Alfonso ressasse la conversation qu’il a eue avec la déesse celtique deux mois auparavant. Si la théorie de Reed lui semble pour le moment incomplète, il ne nie pas penser lui aussi que l’arme du crime se trouve sur la vieille photo.
La question le sort de ses rêvasseries. Tellement des possibilités et si peu de réponse. Tu devrais demander à Zeus ainsi qu’aux mille-et-un grands oncles qu’il a mis en rogne en les jetant dans le Tartare, il voudrait répondre. Mais Bellandi n’est probablement plus d’humeur à rire. À la place, il hausse les épaules : « Je prends vos paris. »
résumé:
(+) Alf revient sur les mots de Sinead en ajoutant un bout d’information. À l’aide de son pouvoir (illusions théâtrales), il imite les aveux de Mendes donné récemment à la NC concernant la petite sœur : elle serait morte. (+) Il propose à Yuliya de confirmer en utilisant son pouvoir de détection des mensonges. (+) Même s’il n’est pas forcément d’accord avec la partie « la sœur est coupable » du discours de Sin, il trouve quand même quelque-chose cloche dans la soudaine assurance de Mendes et en bon consigliere il fait part de son ressenti à Alcide et Augustin. (+) Il répond à la question de Sinead par du vent, l'invitant elle et les autres à partager le fond de leur pensée.
précisions & informations plus ou moins importantes:
/!\ L’interrogatoire de la NC au sujet de l'identité divine de Mendes n’a rien donné de fructueux ; Mendes n’a pas cédé malgré l’utilisation de la force et d'autres moyens, la NC n’a pu que supposer qu’il était du panthéon grec suite à des tests sur ses origines.
Quelques jours avant le bal, Mendes a fait un aveu à la NC (Alcide, Augustin, Silas & Alfonso étant présents) concernant sa sœur, aveu qui a été vérifié par un membre de la NC doté d'un pouvoir de vérité (pnj) : "Ophélia… n’est plus de ce monde depuis longtemps."
Le prénom de la sœur n'est pas une nouvelle information, vos personnage étaient probablement déjà au courant.
Véritable ombre aux côtés de ta terrible patronne (@Oksana Aleksandrova), tu te contentes d’observer simplement ce qu’il se déroule tout autour de toi, surveillant particulièrement Mendes. Et même si le voir cracher au visage d’ @Alcide Bellandi te fit presque lâcher un ricanement amusé, l’homme attaché faisait hurler cette petite voix dans ta tête. Et plus le prisonnier parlait, plus ton impression première se confirmait : quelque chose n’allait pas. L’homme était trop calme, trop confiant alors que vous teniez sa misérable vie entre vos mains. Mais il ne ressemblait en rien à un condamné à mort, la vermine. Plus à un chat ayant conduit tout une horde de canaris exactement là où il les voulait. Discrètement, tu te penches à l’oreille de ta patronne et murmure en russe pour ses seules oreilles, ainsi que pour celles de @Yuliya Vassilieva. « Quelque chose ne va pas, Boss. Il est bien trop confiant. » dis-tu sans le lâcher du regard, résistant à l’envie de sortir l’un de tes couteaux dans tes manches. Tu voulais le tuer tout de suite. Au diable leurs idées de vengeance et de rétribution, qu’on t’ordonne de mettre fin à son existence que ton mauvais pré-sentiment disparaisse.
Une femme du Royaume prend Mendes à partit (@Sinead Reed), lui montrant une photo et émettant la théorie que l’homme protégerait quelqu’un. Sa sœur en l’occurrence. Théorie sur laquelle vous auriez pu vous arrêter plus d’un instant si un homme de la Camorra (@Alfonso Brazzi) ne vous informa pas de la mort de cette dernière. Voici donc qui était la fameuse Ophélia. Mystérieuse Ophélia dont le nom arriva pour la première fois aux oreilles de la Bratva quand Mendes attaqua l’une de vos filles, perdant en même temps une boule à neige bien étrange ainsi qu’une note où figurait ce nom. La photographie arrivant dans tes mains tu la regardes rapidement avant de la passer à ta patronne. Le type de la Camorra reprenant de nouveau la parole, tu attends l’autorisation de ta supérieure avant de prendre la parole. « Probablement quel qu’un d’ancien. » dis-tu avec un grand sourire, tes yeux froids refusant toujours de quitter la silhouette de Mendes. « Quelqu’un qui a suffisamment confiance en ses capacités pour continuer à jouer aux devinettes avec nous alors qu’il sait que nous allons le torturer. » Oh que tes mains te démangeaient de lui planter l’un de tes couteaux entre les deux yeux. Mais sans l’ordre de ta Patronne, tu étais sommé de ne pas le toucher, tu étais bien dressé après tout.
« En parlant de miroir » continues-tu en sortant un petit paquet de ta poche. Tu l’ouvres et sort son contenu afin que tous puissent voir le fragment de miroir brisé, plus grand que ta paume, dont la pointe est acérée et maculée de sang séché. « La seule rescapée du massacre de nos oracles semblait très soucieuse de me remettre cet objet. Elle l’aurait pris au moment de la mort de tous les autres. » Tu scrutes les expressions de Mendes, essayant de deviner sa penser et comptant sur Yuliya pour te prévenir si le moindre mensonge franchissait ses lèvres. « Une petite idée de pourquoi ce comportement ? » demandes-tu à l’homme enchaîné avant de pencher la tête légèrement sur le côté. « Également … » Tu retournes le morceau de miroir, laissant apercevoir sur la face non réfléchissante un Χ gravé. « Le nom de ta récurrence ne commencerait-il pas par un Chi, par le plus grand des hasards … ? » Ce serait peut-être chercher un peu loin, mais si c’était bien le cas, tu commençais à avoir une petite idée de qui tu avais en face de toi. Et le désir de l’éliminer n’en devenait que plus grande.
Résumé:
+ N'a absolument aucune confiance quant à Mendes et commence à se dire que c'est peut-être un piège + Se contente de ne rien dire jusqu'à ce qu'Alfi ne s'adresse à l'assemblée + Suggère que la récurrence de Mendes est quelqu'un d'ancien et de puissant. + A juste envie de le tuer à ce niveau. + Montre un morceau de miroir brisé (obtenu dans la chasse aux indices - voir spoiler n°2) et demande à Mendes ce qu'il en pense en comptant sur Yuyu pour lui dire s'il lui ment. + Suggère à tout hasard que la récurrence de Mendes commence par un X aka la lettre Chi de l'alphabet grec. (me frappez pas, j'essaie )
Indice Objet:
un large fragment plus grand que la paume d'Aksel, semblable à un morceau de miroir brisé qui renvoie encore le reflet de celui qui regarde dedans. La pointe est acérée et maculée de sang séché. Lorsqu'on le retourne, on aperçois sur la face non réfléchissante un Χ gravé.