Tu ne dis plus rien à présent, te contentant d’observer l’assemblée d’un regard vaguement amusé. Ils te font tous rire avec leur tentative de trêve quand la rivalité et la haine qui les animent n’ont jamais été aussi fortes. Il suffisait de voir les regards de chiens enragés que s’échangeaient la Camora et le Royaume. Mais savoir qui lancerait les premières effusions de sang était un mystère. Tu penchais cependant pour la Camora, au vu de l’attitude absolument charmante de la suite du Commandante. A croire qu’il ne savait pas dresser ses chiens, les laissant aboyer sans restriction alors qu’il n’avait pas leur mot à dire. Et c’était la Bratva qu’on traitait de mafia pleine de brutes mal élevées. Comme quoi les préjugés …
La rousse de l’entourage de la Reine (@Sinead Reed) prend de nouveau la parole et propose une solution faisant sens à tes yeux. C’était la deuxième fois que vos avis convergeaient. Tu essaierais d’échanger quelques paroles avec la demoiselle, une fois cette mascarade terminée. Peut-être qu’il y avait autre chose que vos opinions qui se trouvaient être compatibles … ? Soudainement ta terrible Patronne (@Oksana Aleksandrova) prend la parole. Instinctivement, tu redresses un peu plus le dos, te tenant aux aguets de ses paroles, attendant un potentiel ordre venant de sa part. La Mère de la Bratva est royale dans ses propos, commandant l’attention et le respect de tous. « Silence, mégère. » De tous sauf d’un de ses итальянские жопы.* (@Saturno Bellandi) Tu te tournes brusquement, lançant un regard aussi mordant que les neiges de Sibérie au chien qui avait osé insulter votre Patronne devant vous. Voyant le pistolet dressé dans votre direction, tu n’as pourtant pas le temps de réagir que déjà le premier coup part. Tu entends le cri de surprise et de douleur de @Yuliya Vassilieva, mais ne t’autorises pas à la regarder. Tu prends aussitôt position devant ta Patronne, la protégeant de ton corps comme le bon chien que tu étais. Bras à peine armé d’un pistolet précédemment caché, tu sens une balle traverser ta cuisse, te faisant perdre l’équilibre et manquer ta cible. Toi si bon tireur, voilà que tu venais de rater sa tête de dix bons centimètres. Ton père aurait honte. Jurant furieusement, tu te redresses malgré la douleur brûlante par courant ta cuisse blessée et arme de nouveau ton pistolet vers le futur cadavre. Seul le nouveau coup de feu touchant ta cible t’empêche de tirer.
Un italien parle (@Silas Salvatore), tente de justifier l’action de l’un de ses membres. Tu t’en fous, toujours posté devant ta Patronne, tu ne baisses définitivement pas ton arme. Un rapide coup d’œil t’informe qu’elle n’a rien alors que ce n’est définitivement pas le cas pour Yulia. Pas avec sa robe qui se tâche progressivement d’une couleur carmin. Tu la sais forte, elle ne serait pas chez vous si ce n’était le cas. Mais tu ne peux empêcher la colère gronder de la voir ainsi blessée. Tu ne dis mot cependant. Tu aurais tout le loisir de t’enquérir de son état une fois la menace éliminée. Tu te retournes, tu vois rouge. Tu n’en as rien à faire de leurs excuses. Tu n’en as rien à faire que ce soit sûrement un piège prévu par Mendes. Il avait insulté votre Patronne. Il vous avait attaqué. Il était votre ennemi. Il devait mourir. Un lent sourire froid se dessine sur ton visage alors que tu regardes fixement l’italien, arme toujours dressée dans sa direction. « Pakhan, puis-je vous apporter ses parties génitales en cadeau ? Cela ferait une très belle décoration au-dessus de votre bureau … » Lui demandes-tu en russe, n’ayant plus rien à faire de heurter les sensibilités des autres membres présents parmi vous.
Résumé:
+ Juge énormément l'attitude de la Camora (sorry not sorry ) + Se dit qu'il devrait faire plus ample connaissance avec Sin + Profondément insulté par l'injure envers sa patronne + Se fait tirer dessus et manque sa cible + S'inquiètes pour Yuyu et est soulagé que Mama n'ait rien + En a plus rien à faire des excuses des autres et veut offrir les parties intimes de Sat à Mama en guise de réparation pour l'attaque et l'insulte envers leur chef + Se doute que c'est un piège mais en a vraiment rien à faire
Brouhahas Métalliques. Elle écoute. Regarde les chiens retourner à leur Maître, se pâlir sous leur colère, injustice que de ne pas pouvoir faire danser la mort sans attendre davantage. Les paroles de @Sinead Reed vont de paire avec la Reine. Sans oeillade pour elle, le coeur agite la fierté dans la carne. Cohésion qui anime le Royaume et qu'elle protège d'une main brûlante. Intervention d' @Oksana Aleksandrova, Bête Noire qui fait vriller ses synapses, et qui pourtant, ne lui apporte pas le poison quotidien. Signe la potentielle issue qu'elle estime plus que le trépas du condamné. Pourtant, il y a la chevauchée de la mort. Pourtant, il y a l'Enfant qui ploie face à l'invisible, et la Faucheuse qui lève sa faucille. @Ashara al Kathlan crie au loup, et elle a certainement raison. Il y a quelque chose qui se pavane entre les déités du Trianon, et qui vient se nicher sous la chair de @Saturno Bellandi.
Abasourdie, en premier temps. Lorsque les retentissements viennent brûler ses tympans. La rapidité des réflexes n'est pas suffisante à créer une alternative à ce qui vient. Mais seule la voix du tireur, désarticulée par l'écho d'un Monstre, lui reste encore en mémoire. La langue fourchue disséminée sous la couenne, et qui lui hérisse le derme. Autant que la vue du sang qui se propage, à mesure que les cils papillonnent autour d'elle. Un instant pour prendre conscience qu'aucun des siens n'est à terre. Un autre pour estimer si les pulsions naturelles qui s'agitent dans sa chair doivent être écoutées. Si la couronne doit prendre le dessus sur l'humanité. Mais il n'y a nul tumulte en elle qui permettrait cela. Alors elle engage le pas, dépasse les remparts qu'elle s'était elle-même construites pour ne pas approcher la Louve. Tant pis. C'est le prix d'une vie.
Les genoux percutent le sol. La robe rougit plus encore, cette fois à cause du vermeil qui s'échappe déjà du petit corps de @Yuliya Vassilieva. La paume se fige sur la blessure, forte pour tenter de stopper le sang qui s'évacue à toute vitesse. Le regard furibond qui se perd auprès des siens. « J'ai besoin d'une lame. Tout de suite. » Elle aimerait crier de faire de même pour le second, et le troisième qui ont désormais l'acier dans leurs veines. Elle estime cependant donner l'exemple. Prie pour que la vie de chacun soit prise en compte. Cautériser, encore, quitte à se fatiguer. Agir. Elle s'épanche sur la carcasse qui vrille sous la douleur, cherche son regard un instant. « Je vais devoir vous retourner. » Elle la prévient. Pour la douleur occasionnée. Balle sortie, du moins c'est ce qu'elle constate lorsqu'elle observe le trou béant dans son dos, une fois l'opération achevée. Deuxième pression. Elle l'enlace pour la maintenir en vie. Contact étrange qui ne devrait pas être, mais au-delà des barricades des Gangs, il y a la vie de chacun, et le respect qu'elle leur porte. Contrairement à la majorité, visiblement. « Assez de sang. » Alors le regard s'élève vers @Oksana Aleksandrova et elle constate, la Reine, qu'elle est presque à genoux devant elle. Position qu'elle n'apprécie pas plus que l'absence de mouvement chez la Pahkan. Oeillade qu'elle partage un instant avec elle, évitant soigneusement de se laisser bercer par les chimères qu'elles partagent en secret. Cet acte, si bienveillant soit-il, aura certainement des conséquences à l'avenir. Tout comme ses paroles, elle en est sûre. « Punis-le, pour son blasphème, mais concentrons-nous sur Mendes, Pas sur nos règlements de compte. Nous avons besoin de la vérité. » Et ça la tuera, de demander cela. Autant que la façon dont elle lui parle. Autant que sa position, alors qu'elle reporte les yeux sur @Yuliya Vassilieva, le sang se frayant un passage entre ses doigts.
Actions:
# Fiona n'a pas le temps de réagir lorsque @Saturno Bellandi tire. # Alors que @Yuliya Vassilieva s'effondre, Fiona n'hésite pas à tenter de la secourir en demandant une lame à ses confrères, tandis qu'elle fait pression sur les plaies (la balle est sortie). # Elle se retrouve à genoux devant @Oksana Aleksandrova, n'apprécie pas cette position, et lui demande de ne pas se laisser emporter par sa colère. # Elle sait fort bien que la manière dont elle parle avec Oksana aura des conséquences, autant de la part de la concernée que de son propre clan. (Ne me tue pas Oksanaaaa )
Comme on pouvait s'y attendre, cette petite sauterie part complètement en vrille. Mendes est fidèle à lui-même ce soir, aussi insolent et insondable qu'il l'a été entre leurs mains, sous leurs interrogations et leurs tortures. De nouveaux indices sont mis sur la table, la confusion se fait de plus en plus grande à force que les dieux réunis ouvrent leur bouche pour ramener leur fraise. La seule réponse qu'ils obtiennent à leurs questions est que tout ça sent de plus en plus mauvais. Augustin s'approche un peu plus d'@Alcide Bellandi, jette un regard à @Alfonso Brazzi et @Silas Salvatore. Si ça commence à dégénérer, il faut qu'ils se tiennent prêts à foutre le camp.
Et puis ça dégénère. Saturno Bellandi d'abord se met à tirer sur les dieux présents, et Silas réagit vite et bien en son humble avis en tirant directement sur Saturno. Il n'est pas avec eux. Ses actes ne sont pas les leurs. @Ashara al Kathlan semble s'évanouir, puis leur annonce que Saturno serait apparemment possédé. Mendès, quoi qu'il puisse être, se fout bien de leurs gueules. Augustin, qui a sorti son flingue à peu près en même temps que les trois quarts du trianon, pointe le bout de son canon sur l'homme enchaîné qui rit plus qu'il ne souffre. Il s'adresse à Alcide tandis que la salle sombre dans le chaos. « Il faut qu'on le bute. »
Spoiler:
Augustin a sorti son flingue quand Saturno a pété son câble. Il le pointe sur Mendes, et dit à Alcide qu'il faudrait se dépêcher de le tuer.
Alcide est dépassé. Et pour couronner le tout, c'est @Saturno Bellandi qui se découvre. Homme de l'ombre au sourire radieux. Le contact physique puis visuel est électrisant, ravive une animosité connue de toute Little Italy. Et voilà que l'importun joue les miséricordieux !
Dans le désordre, les voix s'élèvent, des voix qui n'avaient pas encore résonnées dans la pièce. Les langues étrangères sonnent creusent aux oreilles du Bellandi. Ses yeux quant à eux se sont arrêtés sur… @éamonn McNamara qui joue des pecs ? En sale état le fiston... Alcide soupire. Entre Saturno et l'Irlandais, ça commence à faire beaucoup de proches indésirables.
@Savannah Boudreaux s'avance et défend d'achever le condamné. Quoiqu'il ait ressenti à l'égard de la Mère, il doit bien reconnaître que sa placitude est préférable à l'agitation. En revanche, la détermination de la Reine déplaît à Alcide. Car même troué et grimaçant, Mendes se croit prophète. « L'âge des dieux est révolu. » Et ta vie, enfoiré.
L'interrogatoire est une perte de temps, juste bon à faire grandir l'affront envers les dieux qu'ils sont. @Alejandro Flores l'exprime avec la finesse d'un tacos. Soudain, tout va trop vite. Tout est flou, assourdisant. Bang. Par deux fois. Alcide aux mains vides contemple les dégâts. Deux soviétiques touchés par les balles de l'infernal. Pas le temps de jurer que @Silas Salvatore dégaine et désarme Saturno à l'épaule carmin. Alcide jette un regard à celui qu'il considère comme un fils. Un regard appuyé de remerciement. Silas est quelqu'un de sérieux, contrairement à la moitié des VIP. Cependant, Alcide se fiche que Saturno joue de son côté. Il a grandi avec lui. Il sait à quel point il peut être... incontrôlable.
Les dieux doivent agir, non cotériser les plaies d'un macchabée au nom d'une vérité morte née. @Augustin Esposito réitère la nécessité de tuer Mendes. Et c'est Zeus qui l'écoute, Alcide est parti. Il est parti loin de ce bordel sans nom, rêve d'une soirée plus tranquille, de boire son champagne dans sa baignoire plutôt que de l'offrir à des gosiers inconnus. Mais Alcide n'est pas Augustin, il ne peut pas se téléporter en pensant à son canard de bain. Il doit régler cette sale affaire. Plus tard, s'ils quittent le trianon sur leurs deux jambes, il y aura des comptes à régler en interne.
Il sort le flingue à son tour. Lui vient l'idée de pointer le canon sur @Fiona Killough, la secouriste agenouillée. Mendes ou ta tête ? Le bras d'abord tendu, il le rabat le long de son smoking. Y a trop d'insulaires dans le coin...
« Assez ! Oui, il en a ras la casquette. On avait prévu l'éxécution du procès, pas l'audience spéciale "circonstances atténuantes" ! Ça le sidère. Il ne racontera rien ! Faut vous le traduire en quelle langue ? Il observe ses homologues, s'arrête plus longtemps sur @Joaquin Costilla qui a ouvert le bal. Puis, enhardi par le courroux de Zeus ; Je me fous des conséquences ou de la vérité. Il faut s'occuper des blessés et venger nos victimes. Il ajoute sur le ton sec de la réprimande. Vous n'avez pas été conviés pour lui donner le sein. » Regard à @Fiona Killough.
Résumé:
• Alcide est perdu. • Il remarque Ned dans l'assemblée. • Il apprécie le coup de feu de Silas et ne s'inquiète pas pour Sat. • Il veut tuer Mendes et cherche les regards de la Calavera pour avoir un peu de poids. • Il ne s'excuse pas auprès de la Bravta pour les coups de feu. • Il sort son arme, la dirige rapidos sur Fiona puis ramène l'arme contre lui. • Râle et incite à l'exécution, critique Fiona. ( )
There's a maniac out in front of me. Got an angel on my shoulder, and Mestopheles but mama raised me good, mama raised me right. Mama said, "Do what you want, say prayers at night,"And I'm saying them, 'cause I'm so devout. 'Til the love runs out, 'til the love runs out, yeah.
Un coup, deux coups. Et tout s’enchaîne pour mieux se déchaîner. La cuisse de l’un saigne, et le ventre se trouve troué de l’autre, une femme. Je fixe @Saturno Bellandi, stupéfait qu’un homme de sa trempe, un homme des Enfers, mais surtout de l’ombre, pénètre ainsi dans la lumière dans le seul but de semer le chaos. Je déglutis et cherche à protéger ma famille en premier. Tant pis pour Mendes, tant pis pour la quête de la vérité, il valait mieux être vivant et ne pas en savoir assez, qu’en savoir trop entre quatre planches. Pendant que les italiens se charcutent entre eux, naturellement je me place aux côtés des miens et sert de carapace à @Fiona Killough. Lorsque le Don tend son arme, puis la range, l’espace d’un instant, je me demande si elle m’est adressée, ou si c’est à la Reine qu’il pense (@alcide bellandi). Ma mâchoire se crispe, même après que l’objet ait retrouvé sa place légitime. Si seulement un coup pouvait partir et le priver de certaines parties. Je roule des yeux et fais tomber la veste aux lames de rasoir pour déchirer les manches de ma chemise pour en faire des bandes pour la jeune femme (@yuliya vassilieva). Son sang sur mes mains, je tente d’essuyer le liquide carmin qui s’amenuise, par la magie de la Reine. Je guette son visage et dans une douceur relative, j’appose ma main sur son front. La fièvre, la chaleur, le feu. Juron gaélique, elle ne méritait sans doute pas son sort. Le père m’agace, il a perdu le fil de sa soirée. Dépassé, comme bien souvent j’en avais l’impression, peut-être serait-il mieux dans une cage dorée, où son seul tracas serait d’arroser ses plantes et de s’occuper de l’entretien de son déambulateur. Je grogne, mes dents grincent et c’est finalement l’Océan qui s’éveille. Les gouttes des vasques et autres s’élèvent, discrètement, se rassemblent, secrètement. Je fais un signe de tête à @sinead reed de nous rejoindre, on ne laisse personne derrière. En quelques instants, dans une mélodie fracassante, le mur d’eau s’érige et peu à peu, se transforme en glace tandis que je fixe encore le père (@alcide bellandi), désormais avec un sourire carnassier, mais le regard impassible. Entre défi et affront, je ne cille pas jusqu’à ce que la muraille nous dépasse. Le vieil homme est privé de son exécution, tant planifiée, tant espérée. Je laisse aux femmes les lambeaux de ma chemise, au cas où elles en auraient besoin, bien que la femme âgée semble avoir perdu de sa superbe face à l’horreur de voir l’un des siens blessé (@oksana aleksandrova). La glace devient compacte, solide et épaisse. Un véritable mur qui laisse les sauvages entre eux et protège le Royaume et ses alliés, même d’un soir. Je finis par me lever et l’esprit concentré, aussi bien que les muscles bandés, je m’applique à maintenir cette barrière. « J’sais pas combien de temps j’pourrais tenir, faites vite. » Dos au chaos et à l’ordre précaire qui tentait de subsister, au moins un semblant de quiétude dans cette folie meurtrière permettrait de gagner du temps. A quelles fins ? Je n’y pensais pas. Pour soigner la jeune femme, obtenir des réponses, peu importe. Il fallait tenir, jusqu’à ce que mes jambes s’écroulent.
Made by Neon Demon
résumé:
× ned est stupéfait de ce qui se passe, du chaos et de la discorde qui règnent dans l'assemblée. ça le conforte dans l'idée que les pistolets, c'est vraiment un truc pour les tarés et qu'il n'aime pas du tout ça. × il va aider @fiona killough à soigner @yuliya vassilieva en déchirant sa chemise pour en faire des bandes () × pour offrir du temps à sa reine, peu importe comment elle l'utilise, il érige un mur d'eau qu'il transforme en glace, exercice périlleux. c'est lui qui le maintient debout (shootez le si vous voulez les chutes du niagara au trianon ) × le but est de protéger le royaume et ses alliés, mais si vous voulez pas de l'igloo, la création du mur a mis un peu de temps donc vous sentez pas trop piégés les gars × le mur fait un peu plus de deux mètres et est large de 50cm, il coupe mendes et ceux qui en sont proches du reste de l'assemblée. × ned se concentre pour maintenir l'oeuvre debout, il oublie tout le reste. il est donc vulnérable en soi, pour qui sait s'y prendre pour récupérer mendes et lui faire la peau
tenue et y'a plus de masque, et y'a plus de chemise.
La situation nous échappe totalement. Fiona tente d’adoucir l’interrogatoire, d’amadouer notre prisonnier. Il nous faut des réponses et il semblerait que la patience ne soit pas une vertu chez les sang chauds. Nuova Camorra et Calaveras semblent juste en être au stade des représailles, ils ne semble pas vraiment réfléchir. Le sang appelle le sang, un eu comme des animaux. C’est l’image qu’ils donnent, un besoin irrépressible de chair fraîche. C’est totalement stupide. Ils semblent tous fous, certains raisonnent encore un peu. La majorité veut des réponses, alors on les aura. Tout s’enchaîne vite. Deux coups de feu. Une femme à terre. Mon coeur bat vite. Je sors doucement l’épée de mon dos, je ne l’allume pas pour le moment. Elle sert juste au cas ou. Je ne fais attention qu’à une chose, Fiona. Elle s’approche déjà de la jeune femme appartenant à la Bratva. ( @Yuliya Vassilieva ) Je me méfie, je regarde leur cheffe, je m’attends à ce que son geste ne soit pas bien interprété. Il ne se passe rien de se côté-là. Celui qui perd un peu pieds en revanche c’est Alcide, l’espace de deux secondes j’ai cru qu’il allait tirer sur ma reine, ma sœur. Mon coeur s’arrête de battre un moment, j’étais prête à le brûler sur place, on ne s’en prend pas à notre souveraine sans représailles. Son arme se baisse rapidement, je comprends qu’il ne fera rien. Je m’avance vers Fiona qui se débat avec le sang d’une des victimes. Cette réunion ressemble de plus en plus à un règlement de compte. Quiconque n’étant pas d’accord avec les italiens se voit être visé par une arme à feu. Je m’avance alors vers Fiona, pour la couvrir si besoin. Ned l’aide avec la victime, laissant sa chemise comme pansement. Je me place devant eux. On doit faire vite si l’on veut obtenir des réponses. On peut pas prendre le risque de perdre Mendes. Ned se relève déjà pour tenter une défense. Je m’accroupis auprès de Fiona, c’est le moment de lui dire. « - Mendes… c’est un Titan. Tout concorde, son discours et son mépris. On les pensait oubliés… Je suis sûre que c’est Chaos qui squatte le corps de Mendes, j’en mettrais ma main à couper. » Je ne parle pas fort, Fiona a toutes les cartes en main maintenant. « - Je m’occupe d’elle, va voir ce que tu peux obtenir, Ned ne tiendra pas longtemps » Je regarde avec anxiété le mur de glace, c’est de l’eau et forcément à un moment elle va retomber. Je tente de reprendre mes mains. Je pose mes mains sur la plaie saignante de la blonde. Son ventre saigne beaucoup. Je me concentre sur la jeune femme, la balle est sortie, elle saigne dans le dos aussi. J’inspire, j’ai soigné pire sur Alan. « - Je ne vais pas être tendre, je suis vraiment désolée » Cautérisation. J’attrape mon épée que je fais rougir, je souffle doucement dessus. Je vais déjà cautériser le dos. « - ça va aller, je vais cautériser les plaies pour éviter que tu te vides de ton sang » Je déchire le dos de sa robe sans ménagement, je fais vite. Mes mains sont déjà couvertes de sang. Je repère la plaie, je cale la lame brûlante dessus. J’attends quelques secondes avant de la retirer et de la reculer. « - Et de une » Je ne me soucie pas d’Oksana, je sais ce que j’ai à faire. Je n’ai pas l’intention de la tuer, c’est plutôt l’inverse. Je fais craquer le devant de sa robe. Je regarde l’étendu de la blessure. Je respire calmement. Je jette un coup d’oeil à mon équipe et je me reconcentre sur la jeune femme blessée. J’attrape les lambeaux de la chemise de Ned, je tente de contenir l’hémorragie avant de fermer sa plaie avec le feu. J’appuie fort, il y a beau de sang, j’en ai partout. Je fais abstraction. Je crois que je n’ai pas intérêt de la laisser mourir. Je récupère ma lame que je fais à nouveau rougir. Je retire le tissu qui me servait d’éponger. Je place la lame… la cautérisation ne tient pas, la peau est fine et abîmée par l’impacte. « - Et merde » Je jure en gallois. Je déchire ma propre robe et je fais à nouveau compression, j’appuie sans doute fort pour la victime. « - Je suis désolée…faut tenir encore un peu » Je tente de la rassurer mais je crois que ce n’est pas ma qualité principale. Je jette un coup d’oeil vers Fiona, Ned et Sinead. « - Dépêchez-vous, elle ne tiendra pas longtemps, elle saigne beaucoup »
Actions & Tenue:
Actions: - Elle annonce qui elle pense être Mendes à @Fiona Killough - Elle reprend les soins de @Yuliya Vassilieva pour que Fiona puisse interroger Mendes - Elle ne fait pas tellement attention à @Oksana Aleksandrova et se concentre pour aider Yu - Elle arrive à cautériser une plaie mais l'autre est trop étendue, la peau est fragile elle ne tient pas. Elle fait tout pour maintenant Yuliya en vie - Elle presse son équipe pour avoir des résultats histoire qu'on puisse sortir de ce merdier et aider Yu'
Tenue: La robe ressemble plus à rien, couverte de sang et déchirée pour aider une jolie blonde Petit tableau Pinterest pour l'occasion https://pin.it/6pob5be23mf6af
Comment…. Mais comment voulez-vous remonter la réputation de la Mort si celle-ci pète un câble en live ?! Putà de merdia ! A l’instant même où @Saturno Bellandi sort son flinge et tire à tout va, j’attrape le m9 dans mon dos et le braque devant moi - tout le monde est visé dans ce cas là, plus de clans ni d’alliance, la Calavera avant tout. Les russes sont touchés - la guerre froide, deuxième épisode, ça me ferait presque rire - mais y’a plus de sourire sur mon visage tant ça part en vrille. je bande mes quadriceps, l’arme levée avec à mes côtés les autres capitanos @bael mendoza et @trinidad vivas « Hijo de put…. » que je murmure en regardant en coin la réaction de @Joaquin Costilla. Il n'a rien et il sait se protéger, et c'est tout ce qui compte.
Je ne tire pas, je reste braqué en attendant que mon commandante m’ordonne d’aller chiquer quelques corps. Le bel italien (sorry not sorry, he’s hot as hell c’est un fait)@silas salvatore élève la voix et je sens que ça me chatouille les doigts, le coeur et tout le corps. Bordel qu’est ce que…. Pas le temps de réfléchir que @Fiona Killough demande une lame. Moi ! J’ai….
Oh wait…. Plutôt crever que de lui prêter mes mains.
Et alors que je fais crépiter mes dextres les uns sur les autres autour de l'arme, y'a aucune goutte de sang, aucune plaie. Rien. Bordel !
@Alcide Bellandi reprend la parole, j’ai le coeur qui bat à 100 à l’heure, alors que le dieu gronde dans ma poitrine : il sent le sang, il sent la mort et il n’a qu’une envie, creuser les chairs qui sont déjà bien trouées. Et alors que le remake de grey’s anatomy se joue sous mes yeux, je regarde @Silas Salvatore, les lèvres retroussées, le sentiment que ce petit con a fait quelque chose…. Qui ne me plait pas. Depuis qu’il a parlé, depuis que…. « Le blond a fait un truc, mes mains...elles sont plus pareilles…» que je murmure à qui voudra l'entendre.
Le royaume et la Bratva ont l’air de faire force commune alors… Autant continuer sur la lancée. Un pas, deux pas, et je suis près de de @Silas Salvatore, l’arme qui se baisse mais toujours prêt à tirer, le regard dardé sur la scène qui se joue devant nous. «He, blondinet… » Pas la bonne approche, mais c’était bien tenté Jan… « Plus vite Mendes meurt, plus vite ils peuvent continuer à jouer aux docteurs. Faut faire quelque chose... Faut qu'il crève. » La rage aux lèvres, je me retourne vers @Joaquin Costilla a quelques mètres, espérant qu’il accepte l’alliance que je forme au centre de la pièce. Et regarde @Alcide Bellandi puis @Silas Salvatore. Je reste Capitano, il reste Caporegime, c'est l'appui de nos chefs dont nous avons besoin avant de faire couler l'hémoglobine.
Spoiler:
- Jan a sortit son M9 et pointe les autres sans tirer : on n'est pas des chiens, nous - Il vérifie que Joaquin n'a rien ainsi que les autres capitanos. - Lorsque @Silas Salvatore parle, il sent un léger picotement dans ses mains ce qui l'inquiète. Et quand il laisse ses doigts entailler sa chair, y'a rien. Quedal quedchi. Le blondinet a fait un truc et il a les doigts nus de lames comme ceux d'un bébé - Après la parole d'@Alcide bellandi, il prend les devant en voyant l'alliance entre le royaume et la bratva et s'approche de @Silas Salvatore et lui dit qu'ik faut bouger maintenant. - je n'ai pas pris en compte le mur de glace, mais seulement le groupe de bratva et royaume, a cause du pouvoir de silas
- Clairement, le joueur que je suis n'est pas du tout à l'aise et paumé alors je m'excuse d'avance si je fais de la grosse merde
Vous aussi, ça vous arrive d’avoir cette petite voix dans la tête qui vous souffle que ça sent mauvais tout ça ? C’est pas comme si Sin n’avait pas un mauvais pressentiment depuis le début de ce huis clos, noooon, du tout. Et une fois encore, elle aurait mieux fait de se taire et de laisser les choses se faire, parce qu’elle avait à peine obtenu l’autorisation de la Pakhan de quémander l’aide de Yuliya que déjà le chaos prenait place dans la pièce, en la personne de @Saturno Bellandi brillamment inspiré et ayant décidé de trouer de balles des membres de la Bratva qui ne lui avaient rien fait de mal, à part peut-être le regarder de travers. Tout va vite, Sinead est un peu estomaquée de ce revirement de situation qu’elle n’avait pas envisagé, surtout que ça amène tout ça au bord d’une guerre des gangs en circuit fermé, mais Nemhain, grisée par l’imminence des combats et des balles perdues, est dans son élément et prend la main.
Le « mégère » était certainement de trop, ainsi que les balles dans le ventre et la cuisse des Rouges. Si Nemhain s’amuse de la catastrophe, la joie est de courte durée car un Rital (@Silas Salvatore) vrille et tire sur l’Infernal, comme s’il avait eu son arme déjà pointée sur lui. Baston ? Pas baston. Le voilà qui appelle à la paix, alors que la moitié des flingues sont déjà sortis -celui de Sinead par exemple, dont la crosse sombre est bien calée dans le creux de sa paume- et pour certains pointés vers lui. Un temps. Un soupir imperceptible. C’est pas maintenant qu’elle pourra lui tirer dessus, au blondinet. Elle lève quand même les yeux au ciel quand il commence à parler de coïncidence, alors qu’elle redoute depuis plusieurs minutes déjà que Mendes n’influence les auras, les esprits, les faits et gestes de ses voisins. Sauf qu’il semblerait que ce ne soit pas Mendes, si elle en croit @Ashara al Kathlan, mais plutôt une entité qui lui reste invisible, et qui s’est emparée de son vieil ami croquemort. En temps normal, elle se serait fendue d’un cynique « C’est emmerdant. » mais ça couine, ça gémit, ça bondit pour secourir, et ça franchit les lignes tacites entre les différents gangs.
Que faire ? Observer, le canon de son flingue pointé par terre. Écouter, les cliquetis des mécaniques mortelles. Attendre, quelques secondes seulement. Jauger, les adversaires et les alliés. Repérer, le prochain à agir, à faire une connerie, à menacer quiconque, à menacer @Fiona Killough qui tient dans ses bras la blonde détectrice de mensonges -forcément ! la seule vraiment utile dans ce Trianon, on l’abat ! D’ @Alcide Bellandi , c’est le pistolet qu’elle voit en premier, lorsqu’il dirige un hypothétique tir sur le crâne royal roux. Son bras à elle se lève aussitôt mais la gâchette reste en place. Nemhain n’est pas sotte, Sinead lutte aussi pour ne pas déclencher véritablement le bain de sang, qui jusqu’à présent a été évité. Pour autant, l’insolence de l’hôte lui serre le palpitant et elle logerait cette balle si @Éamonn McNamara n’avait pas érigé un mur de glace qui la coupe du Tonnerre de Zeus.
Elle se ressaisit, s’approche en deux enjambées du torpedo blessé (@Aksel Beliakov), dont elle a vu l’œil mauvais et dont elle redoute l’envie de vengeance, et la voilà qui l’enjoint à se rendre utile même la cuisse en sang alors que la tension entre les deux camps, l’un voulant la mort de Mendes, l’autre voulant d’abord des réponses, ne fait qu’augmenter. « Beliakov, tu t’sens capable d’assurer un des flancs de Mister Freeze ? S’ils le touchent, on est morts. » Grandiloquence, tragédienne d’un temps passé, Nemhain dramatise à souhait, mais l’idée est là : maintenir le mur le plus longtemps possible, c’est pouvoir essayer de démêler ce sac de nœuds. Et sans vraiment attendre une réponse, la voilà qui couvre l’autre flanc de Ned. Nemhain pulse en son cœur et en ses veines, et Nemhain, éternellement liée à ses sœurs déesses guerrières, ressent soudain une envie complètement irrationnelle de saisir un objet qu’elle ne voit pas, mais qui l’attire irrémédiablement (cc @Aodha Ó'Súilleabháin ). Dans un instant silencieux -miracle, ça doit se préparer à contourner le mur, elle hurle à ceux de l’autre côté du rempart glacé : « Je sais pas ce que vous avez foutu, mais, Bellandi !, je crois que c’est le bordel partout dans l’Eden Manor ! Va peut-être falloir s’occuper d’aller voir dehors, plutôt que de s’entretuer pour un mec qui doit encore répondre à des putains de questions que vous n’avez pas été foutus de poser convenablement ! »
Résumé:
# Sin manque de loger une balle entre les deux yeux d’Alcide, pour la forme. # Elle s’approche d’Aksel et lui propose de protéger Ned, qui les protège tous. # Elle est détournée de son objectif premier par une sensation liée à ce que vit Aodha dans les Jardins (#toiaussi-lis-tous-les-sujets-de-l’intrigue ) # Elle se fait la voix de la raison (HIHI) et propose de se concentrer sur le reste du manoir, tout en sous-entendant bien sûr qu'Alcide est un clampin (bisouuuus ).
Rouge Sang. Il n'y a pas de temps à perdre. Les pions s'avancent, agissent au meilleur d'eux-mêmes en vue de la situation. Premier, @éamonn mcnamara qui tente le secourisme. Qui vient s'agenouiller près de la divine écroulée pour offrir sa chemise en guise de soins potentiels. Fiona n'a pas besoin de remercier. Ni lorsque la seconde, @Mairead Breachnach, vient elle aussi s'asseoir à son côté. Le relais est pris. Les mains remplacent les siennes, tandis qu'elle lance un dernier regard à @Yuliya Vassilieva. Dernier espoir accordé pour sa survie. Avant de lever l'oeillade vers sa comparse, un hochement de tête à ses dires. « Prends soin d'elle. » Ce qu'elle lui demande, avant de se relever. Elle contemple l'élévation de leur muraille. Fière, comme une mère, se contente d'un léger sourire, d'une reconnaissance tacite. Troisième, @Sinead Reed, à élever la voix pour tenter de proposer une coopération entre les camps qui pourraient s'interposer. Et hurler sa tirade pour essayer d'impacter l'opposé. Fiona estime l'idée bonne, bien que le brouhaha ayant lieu de l'autre côté de la frontière soit, à son sens, plus pris en compte.
Mais elle n'a pas le temps de tout analyser. De tout contrôler non plus. Le temps est compté. Chaque seconde se veut importante, et chaque minute peut changer la donne. Il n'y a pas plus de regard aux autres âmes présentes autour d'elle. Elle n'aura qu'une seule possibilité. Et ce sera la dernière, elle en est convaincue. Malgré la robe qui dégouline, malgré le vermeil qui tâche ses paumes, elle garde l'élégance, la droiture, jusqu'à s'approcher de Mendes. Jusqu'à s'agenouiller près de lui. Jusqu'à placer son visage certainement trop près du sien. Si bien que personne ne peut vraiment les entendre. A moins de tendre l'oreille. « Lorsque ce mur sera tombé, vous subirez la rancune de ceux que vous méprisez. » Elle ignore si des minutes ou des heures le séparent encore de la mort. Mais celle-ci viendra pour lui bientôt. « J'ignore si vous êtes à l'origine de ces tirs. Ou si vous êtes the storm. J'imagine que ceci a peu d'importance désormais. » Elle détaille ses traits. Ses blessures, en particulier. Si son sourire paraît sadique, et son regard sûr, il y a des frasques d'autre chose, au-delà. Des émotions instables, des sensations cachées. Fiona se sent proche et loin de lui. A la fois pareille et différente. « Mais l'animosité vous dévore, et je veux comprendre pourquoi. Qui vous êtes et ce qui vous consume. »
Alors elle soupire. Elle aimerait pouvoir obtenir des réponses, plus encore que cela. Posséder les dons adéquats pour découvrir ce qui se dissimule sous les synapses. Mais elle n'a que la parole, que la volonté. Rien de plus que des armes invisibles. « Vous avez raison. La majorité des Dieux qui foulent ce sol sont à la recherche d'un âge révolu, d'un pouvoir absolu. » N'est-ce pas pour cela qu'ils se battent, tous ? N'est-ce pas pour cela que les gangs existent ? Pour prendre l'ascendant sur les autres, et gouverner à sa guise ? N'est-ce pas de cela qu'il parle, s'il est le prétendu Titan autrefois agenouillé ? « Ils se clament supérieurs aux Hommes. » Comme l'a tant clamé l'un d'entre eux, quelques minutes plus tôt. « Se pensent Maîtres de tout vivant. » Alors elle sourit doucement. A croire qu'elle le comprend. A croire qu'elle estime que ses motivations peuvent s'avérer suffisantes pour des actes aussi cruels. « Je ne suis pas de ceux-là. » Elle l'a prouvé précédemment. A sauver une âme qui n'a pourtant aucune affiliation avec la sienne. Alors elle pose deux doigts sous son menton imbibé. Soulève sa caboche endolorie pour mieux l'observer. « Je ne recherche ni le pouvoir, ni l'ascension des Dieux Celtes. » Elle le regarde. Les yeux plongés dans les siens, au-delà des pupilles, à toiser son être. « Je veux savoir ce qu'il va advenir parce que cela représente un danger pour mon peuple, et pour tous les autres. Et au-delà des querelles divines, nous foulons une terre où des milliers de mortels s'épanouissent. Aucun prophète ne méritait de mourir, et aucun mortel ne mérite tel sort pour une guerre qui ne le concerne pas. Je veux savoir, pour éviter que des innocents ne soient tués. » Alors elle inspire profondément. « Je suis une Déesse. Ils sont des Dieux. Mais nous sommes tous des Hommes. » Alors ses doigts caressent sa joue. Observe les contours d'un visage abîmé par la rage. « Vous en êtes un aussi. » Elle est peut-être la seule à ne pas l'avoir oublié.
Actions:
# Fiona laisse @Yuliya Vassilieva entre les mains de @Mairead Breachnach, en espérant que celle-ci s'en sortira. # Elle s'approche de Mendes, s'agenouille devant lui, et s'adresse à lui en chuchotant. A mon humble avis, la seule à pouvoir entendre ses paroles est @Savannah Boudreaux si elle reste à leur hauteur. # Elle dit à Mendes qu'il a raison : les Dieux recherchent le pouvoir. Elle estime ne pas faire partie de ceux-là et demande qui il est, quelles sont ses motivations et ce qu'il va advenir, pour éviter que des innocents ne soient tués dans leurs querelles. # Elle finit par dire à Mendes qu'ils sont tous des Dieux, mais aussi tous des Hommes, lui inclus.
Le chaos et les dieux se déchaînent, ils ont perdu à l’esprit ce qu’ils étaient venus faire ici. Se venger. Un mur de glace s’élève, les coupant de leur proie, de leur ennemi. Augustin baisse son arme devenue inutile, et croise le regard d’@Alcide Bellandi . La rage dans ses yeux, il la connaît bien. Le don lui adresse un bref signe de la main, et Augustin range son revolver dans sa ceinture, n'ayant pas besoin de mots pour comprendre. Il attrape @Alfonso Brazzi par le bras et se téléporte quelques mètres plus loin derrière @Joaquin Costilla. Sa main libre vient toucher l’épaule du Commandante, et tous les trois disparaissent.
Spoiler:
- Augustin attrape Alfonso et Joaquin et les téléporte tous les trois hors de la salle.
Je veux la foudre et l'éclair L'odeur de poudre, le tonnerre
@Silas Salvatore lui jette un regard, son aide lui parvient et provoque une tempête interne. Un claquage intégral. Recevoir toute cette force, c'est du sport, si bien que le don transpire plus que de raison. Les altères de la rage sont lourdes, elles gonflent les muscles et crèvent la peur. Le flingue autrefois pointé sur la Reine retrouve sa place dans le veston.
Le mur d'eau est une barrière qu'Alcide ne peut tolérer. C'est lui l'hôte de la cérémonie, c'est la Nuova qui invite. C'est l'Italie qui donne le rythme. Et ce soir, le tempo est électrique.
Toujours enhardi par la présence de Silas, Alcide s'avance, l'orage au bout des doigts et l'envie de meurtre logée au creux du coeur. Il projette ses mains aux paumes foudroyantes, cible sans détour le rempart de son bâtard. En cet instant, il se sent grand. Il se sent olympien. Le pouvoir de Cratos vient épouser la colère de Zeus comme l'éclair vient éclater la glace.
Explosion détonnante. Lumière aveuglante.
L'eau solide est projetée en glaçons à travers toute la pièce. Et le tonnerre résonne encore dans l'air.
Bellandi vacille. En sueur, les mains sursautantes. L'oeil brûlant rivé sur ses complices.
Résumé:
• Le pouvoir d'Alcide est augmenté grâce à celui de Silas. Il s'avance et fait exploser la glace à grands coups d'éclair. La détonation l'étourdit lui-même. Il a tout donné.
Rapide regard échangé avec Augustin, qui s’approche de lui discrètement jusqu’à toucher son bras. Déjà ? Dommage. J’aurais aimé que ce soit dans d'autres circonstances mais on ne choisit pas toujours. Avant, il ose jeter un dernier coup d’œil à Vassilieva, mal en point depuis le coup de feu. Les paroles échangées avec cette dernière quelques mois auparavant lui reviennent petit à petit en tête. Je sais qui tu es, à qui tu portes allégeance. Je l’accepte, tout comme tu devras l’accepter si un jour les tiens tombent des mains de mes hommes.
Quinze secondes, pas une de plus, pas une de moins. Ils disparaissent, lui, Joaquin et Augustin qui a usé de sa téléportation pour les conduire de l’autre côté du trianon, dans un couloir. Grondement sourd derrière la porte. Le consigliere profite de ce court instant pour se projeter ailleurs ; iris qui deviennent blancs comme neige pendant qu’Augustin le retient de se vautrer sur le sol. Voyage qui commence par les yeux de pierre de sa statue, dans les jardins. Puis dans les yeux de sa représentation sur le plafond du grand hall. Discorde qu’il a le temps de contempler seulement quelques secondes. Lorsqu’il revient à lui, les trois sont à nouveau dans le trianon. Quatre pas en avant. Il se prononce, bien fort :
« J’espère que vous avez apprécié le show ! N’oubliez pas vos affaires avant de partir mais avant, je vous souhaite une bonne introspection ! » Il claque des doigts, pour la forme (et surtout parce qu'ils ne peut pas s'en empêcher) pendant que son psychédélisme s’abat progressivement sur les divins déjà sonnés par l’intervention de Bellandi, à l'exception de ses amis et coéquipiers improvisés hispaniques. Un petit malus en plus, pour gagner du temps. Flasque qu’il tend à son chef après avoir lui-même ingurgité une gorgée ; mélange d’ambroisie et de liqueur dont son procréateur divin aura certainement besoin après l’affirmation de sa force. Hybris qui le guette de loin. Mains qui tremblent et tête qui tourne. « Plus tard », il murmure, comme s’il pouvait retarder les effets qui se propagent petit à petit dans chaque parcelle de son corps.
résumé:
(+) Alfonso est emporté par le pouvoir de téléportation d'Augustin avec Joaquin. (+) Pendant qu'ils sont dehors et que Zeus abat sa colère dans le trianon, il utilise sa faculté complémentaire (projections iconiques) pour voir ce qui se passe ailleurs dans l'Eden Manor à travers les yeux de ses représentations. (+) Lorsqu'Augustin les retéléporte, il utilise osn pouvoir pour s'assurer que les pas trop sonnés soient bien sonnés. (cf description du pouvoir plus bas) (+) Il fait passer une flasque remplie d'Ambroisie à Alcide (et à ses coéquipiers) pour qu'ils reprennent des forces. Il en a lui aussi bu une gorgée pour tenir le coup. (+) Son hybris commence à se manifester doucement.
expériences psychédéliques:
pouvoir n°2 (expériences psychédéliques) - actif - à partir d'un contact visuel, l'homme peut déclencher les effets associés à la consommation de drogues psychédéliques. plus près il sera, mieux le pouvoir fonctionnera. il y a deux types d'effets : hallucinations (visuelles et sonores) qu'il peut contrôler & introspections (voyage intérieur). piégée dans l'hallucination ou l'introspection, la personne visée se croit maîtresse de ses sens et mouvements. cependant, les spectateurs externes remarqueront qu'il n'en est rien : les gestes sont réduits, lents, détournés, quasi-inoffensifs. Le touché est entre la transe et l'extase. presque tout se passe dans sa tête.
limites du pouvoir : (-) le pouvoir prend effet sur un rayon de quinze mètres maximum. (-) l'état d'esprit actuel du touché peut jouer en faveur de ce qu'il voit et ressent. quelqu'un de joyeux aura tendance à avoir des hallucinations et introspections joyeuses alors que l'expérience d'une personne malheureuse pourrait vite tourner en bad trip. (-) une divinité puissante sera en mesure d'ignorer les hallucinations plus rapidement en s'infligeant une blessure (coupure, autre) dès les premiers symptômes et donc son état de transe sera amoindri (elle pourra se déplacer, s'éloigner, même si elle restera très engourdie, lente). une fois sortie de l'illusion, le/la piégé(e) reprend doucement possession de ses sens. contrecoups: (-) trop de touchés à la fois indisposerait alfonso rapidement pour une journée. (-) ce pouvoir est le plus susceptible de déclencher l'hybris du dieu et donc de lui rendre la pareille de manière intense (bad trips).
Comme le reste de la soirée, tout est bordélique. Fiona se prend pour une bonne sœur a vouloir des réponses qu’elle n’obtiendra pas, un mur de glace est érigé, le Royaume et la Bratva se retrouvent alliés, ça tire de partout. Plus de blabla mais toujours pas d’avancée et un Mendès qui ne s’est jamais aussi bien senti visiblement, malgré son bout de peau pendouillant. Les seules paroles censées de la soirée sont sorties de la bouche d’Alcide. Resté jusque-là passablement agacé par ce manque de cohésion, Joaquin a observé sans trop se donner la peine de bouger. Mais tout change. Et alors que Fiona s’obstine à parler à Mendes sans qu’il ne puisse entendre ce qui se passe, un rapide accord tacite se met en place entre les Hispaniques et Italiens. Le monde disparaît quand Augustin pose sa main sur son épaule. La nausée le gagne, il vacille, se redresse rapidement. Une lame est sortie, petite et effilée, pas assez pour rentrer dans un cœur, assez pour ce que Joaquin souhaite en faire. La balle que Bellandi lui a donné au début de la soirée est chargée. Du bruit dans le Trianon, une pensée pour les capitanos restés sur place. Retour dans la salle où tout le monde est amoché et affaiblit. Nouveau vertige, fatigue qui se fait sentir. Joaquin repousse Fiona sans égard, empoigne la mâchoire du condamné (car combien sont-ils à l’avoir oublié ?), le forçant à ouvrir la bouche. La langue est tranchée et lâchée sur la Reine avec un regard mauvais. - Tes réponses. Le M9 est sorti, la balle tirée à bout portant dans la tête de Mendes. Buluc Chabtan exulte.
résumé:
- Il pense comme d’habitude que c'est n'imp - Il est téléporté par Augustin avec Alfonso à l'extérieur du Trianon avant l'éclair d'Alcide avant d'être retéléporté dedans - Il profite de la faiblesse générale pour couper la langue de Mendès et la jeter sur Fiona - il tue Mendès de la balle unique donnée par Alcide
Il y a le regard attendu par @Joaquin Costilla qui ne vient pas mais qui se transforme en quelque chose de beaucoup plus intéressant. La NC et la Cala ensemble, et c'est un sourire furieux qui apparait sur mon visage quand je vois @Augustin Esposito et @Alfonso Brazzi apparaitre au côté de Joaquin et disparaitre. Je ne sais pas où ils l’ont emmené mais je sais pertinnement qu’ils reviendront, @Joaquin Costilla ne fuit jamais devant le sang. Quelques secondes plus tard, je vois @Silas Salvatore se concentrer et je reste à côté de lui, le protégeant d'une possible attaque. N'approchez pas gringo, où ça va barder. Et il y a l'éclair qui suit, violent, vibrant et... Putà ça fait mal. Jan qui s'écrase sur le sol sous le choc de la foudre, le mur de glace qui pète, les corps qui suivent les glaçons. Tous à terre, tous à...
Ouvrir les yeux.
Croiser ceux de @Joaquin Costilla qui vient de réapparaitre en face, près de... Mendes. @Augustin Esposito et @Alfonso Brazzi sont là aussi, mon dieu que c'est beau, cette entente parfaite, un vrai mélange de spaghettis et de tacos délicieux. Mon estomac se broie sous la faim et la rage. Je me relève difficilement, mais ne peut laisser le Commandante seul : un capitano doit toujours protéger les siens.
Alors que @Alfonso Brazzi parle tout fort, je vois les pions de la Bratva, du Royaume et des Enfants terribles dans le mal face à l’utilisation de son don : je ne sais pas ce que c’est, mais ça fonctionne et je suis protégé. C’est beau, de les voir tous se plier.
Un pas, deux pas et… @Joaquin costilla qui explose dans l’horreur et la rage. Langue coupée. Madre Dios Joaquin, montre leur que la Calavera ne rigole jamais quand on l’insulte. Je vrille sur le côté et m’attaque à la chica la plus dangereuse du Royaume, celle qui m’a semblé être la seule à pouvoir « allumer le feu » comme un certain chanteur français le crirait. Pour protéger Joaquin de son acte sacrificiel, je saute à la gorge de @Mairead Breachnach et plante mes lames dans sa machoire, lui déchirant la peau dans un éclat sanguin et en la faisant tomber. Toi et ton feu, tu te calmes gringa. Et puis relever la tête, regarder vers Joaquin et Mendes, la balle part et...
Sourire.
D'un smile qui en ferait frémir plus d'un. Mendes est mort.
Vive le King.
Spoiler:
- Jan voit Joa partir avec augustin et alf. - Jan se poste près de silas pour le protéger au cas où. - Il a la foudre d'alcide et jan tombe comme tout le monde. - Jan se relève, voit Joa apparaitre et trancher la langue de Mendes - Jan saute sur Mairead car il sent qu'elle peut etre un danger pour Joa. Il l'attaque a la machoire et lui découpe de la peau. - ET IL SOURIT BORDEL DE DIEU !!!!
BLAZE : god of all gods. CREDITS : . FACE : . DOLLARS : 11895 SACRIFICES : 3468 PORTRAIT : ANNEES : aussi vieux que le monde.
INTRIGUE + le petit trianon - Ven 17 Aoû - 22:51
take off the mask
season 1 - episode two.
Les tensions les dévorent tous, les hommes - plus bestiaux qu'humains - en viennent aux mains, dans des démonstrations de force qui enterrent les espoirs de paix entre leurs clans. Ils parlent de pièges, mais nul âme pour écouter la celtique qui crie au loup (@Mairead Breachnach) - et le seul à lui prêter attention est enchaîné, et il sourit. Pions sur un grand échiquier, se contentant de jouer la partie des maîtres. Elle le juge, parle d'actes indignes, la Reine (@Fiona Killough), sans comprendre qu'il se moque des lois et de la morale des hommes. Un élan d'humanité et d'intelligence chez la flamme rousse, qui cautérise la plaie, sans pouvoir jamais - ou sans vouloir jamais - anesthésier la douleur qui lui brûle encore le genou. Ils cherchent à exploiter le souvenir d'Ophelia, sans comprendre qu'elle est carte impuissante dans leurs mains stupides. La partie est jouée, sans que jamais ils n'aient remarqué passer les atouts. Ils ont perdu, il a embauché tous les gains. All in. Bientôt, c'est @Saturno Bellandi qui s'avance, et c'est la Bratva (@Aksel Beliakov, @Yuliya Vassilieva) qui tombe sous les balles, face à l'immortel rictus amusé de l'homme enchaîné. C'est la trêve tuée dans le sang, la paix étouffée sous la rage d'un être. Les pouvoirs se déploient alors qu'ils tentent de restaurer un semblant de calme, mais ils ont déjà perdu. Le chaos est l'essence de la vie. Sans chaos rien n'existe, tout n'est que morne infinité. La phrase d'@Ashara al Kathlan lui plaît, au captif, le sourire se fait plus compréhensif. Elle a raison, la gamine. Le chaos est tout. Le chaos est en tout. En ces hommes et ses femmes qui se partagent la ville et se déchirent, incapables de mener une simple tâche à bien. Et un mur de glace, création du Duc (@"Eamonn McNamara"), qui achève de rendre palpable le schisme, en séparant le royaume et leurs alliés des ennemis. Et certains (@Mairead Breachnach) qui comprennent, qui réalisent. « - Mendes… c’est un Titan. Tout concorde, son discours et son mépris. On les pensait oubliés… Je suis sûre que c’est Chaos qui squatte le corps de Mendes, j’en mettrais ma main à couper. » Et l'homme sourit, d'un rictus qui dévoile le sang qui macule ses dents, vestiges des violences subies. Et la Reine (@Fiona Killough) s'agenouille aux côtés du prisonnier, ultime flamme de sagesse dans un monde dévoré par le rage des hommes. « Lorsque ce mur sera tombé, vous subirez la rancune de ceux que vous méprisez. J'ignore si vous êtes à l'origine de ces tirs. Ou si vous êtes the storm. J'imagine que ceci a peu d'importance désormais. Mais l'animosité vous dévore, et je veux comprendre pourquoi. Qui vous êtes et ce qui vous consume. » Il la détaille, la souveraine, s'offre le luxe d'écouter ses mots avec une bienveillance toute paternelle, comme une douce mélodie dont il ne se donnerait la peine de retenir les notes, alors que les doigts chauds courent sur sa peau en y traçant de douces flammes. « Je suis une Déesse. Ils sont des Dieux. Mais nous sommes tous des Hommes. Vous en êtes un aussi. » Le sourire carnassier se dessine de nouveau, et il toise la Reine de toute sa hauteur, l'homme enchaîné, alors même que ses yeux sombres brillent d'un nouvel éclat, et les mots se détachent lentement. 'Je ne suis pas un homme.' Il semble presque grandir, alors même qu'il est à genoux et que son regard se fait brasier infernal. 'Je suis le Père de Tout. De mes entrailles est né le monde, et de mes mains il partira en flammes. Je suis les abysses qui ont précédé les dieux, et je suis le néant qui contemplera leur chute. Vous vous éteindrez, flammes fragiles, parce que votre âge est révolu. Il n'a jamais été.' Le regard se fait bienveillant en se reposant sur la Reine. 'Vos petits mortels l'ont compris. Ils ont fait de mes lois leur science. N'avez vous jamais entendu parler de leur seconde loi de la thermodynamique? L'entropie - le désordre de l'univers - ne peut jamais que croître. Ça n'a jamais été l'âge des dieux, et vous avez été trop aveugles pour le voir. Tout n'est que l'âge du chaos.' Les yeux brûlent de plus fort, s'assombrissent un peu plus, milles flammes de l'enfer réunies dans les iris de l'homme. 'Je ne suis pas un homme. Je suis Chaos. Je suis le début et je suis la fin.' Comme dirigé par sa volonté, comme une ponctuation tragique de sa phrase, l'éclair du Don (@Alcide Bellandi) vient frapper le mur de glace qui les protège. Tous sonnés du choc et de l'électricité ambiante, lui comme les autres, tous sonnés de l'action du maître des masques (@Alfonso Brazzi). C'est la moustache sur pattes (@Joaquin Costilla) et bouscule la reine des flammes avant de lui trancher la langue, au prisonnier, et il hurle. Mais ils ne comprennent pas. Cette victoire n'est pas la leur. C'est Chaos qui tient les rênes, Chaos maître de la création et père de tout. Et la langue repousse immédiatement, alors que les hurlements cessent et qu'il sourit de nouveau. Il sent venir la fin de cette partie, voit sa victoire approcher. La balle le frappe à la carotide et la vie lui glisse entre les doigts, mais il s'en moque. Il ne se départ pas de son rictus, les contemple dans leur illusion de victoire. 'Je suis Un. Je suis Tout. Je suis Légion. Et ceci est votre fin.' Le regard semble s'éteindre, s'emplit brusquement de toute la souffrance qui le désertait jusque-là, et les yeux papillonnent de douleur. 'Pardonne-moi, Oph...' Les dernières syllabes meurent avec lui, dans un tragique gargouillement de sang, et il s'effondre. Et c'est le calme qui tombe. Trop. Calme.
LES DIX COMMANDEMENTS » pour que vos actions soient prises en compte par le mdj, un résumé sous spoiler de votre intervention sera à mettre (nb: privilégiez les actions 'politiques' dans le résumé) » amusez-vous
NB: navrés à @Joaquin Costilla, mais le meurtre a été accepté à la condition que Mendes puisse parler au moment de mourir; la balle dans la tête (et la langue aussi au passage ) n'est donc pas prise en compte ici pour pouvoir vous fournir LE SEUL indice du trianon ce sera donc une balle dans la carotide, sorry
NB²: rip carl, petit ange parti trop tôt, nous t'avons tant aimé.
There's a maniac out in front of me. Got an angel on my shoulder, and Mestopheles but mama raised me good, mama raised me right. Mama said, "Do what you want, say prayers at night,"And I'm saying them, 'cause I'm so devout. 'Til the love runs out, 'til the love runs out, yeah.
Le temps qui s’écoule semble être une éternité. Pourtant tant, et si peu à la fois, je déglutis. Les gouttes perlent, l’eau jouet vient à manquer et se transforme peu à peu en bourreau. Les entrailles nouées et le cœur serré, j’échappe des grognements, laissant la Reine (@fiona killough) poser ses questions. Je me fiche des divers Pinocchio (@silas salvatore) qui guettent leur père pour qu’il daigne animer leurs ficelles (@alcide bellandi). A tort. Dans l’effort et le flou causé par la glace, j’ignore ce qui trame derrière. Je ne vois pas le Don s’avancer, ni être chargé en électricité comme ces piles dont on nous vante l’incroyable durée. L’œuvre glacée éclate, tandis que la puissance des éclairs me propulse dans les airs. La glace désormais tranchante se répartie dans tout le trianon, charcute mes chairs et c’est finalement la chute qui l’emporte sur le reste. Le corps traine vulgairement au sol, jusqu’à heurter un mur. Le souffle coupé, je remarque l’épaule sortir de son écrin et j’ignore si c’est le sel de ma sueur que je goutte, ou celui du sang qui s’écoule. A demi conscient, mon contrôle cesse et la glace finit par redevenir eau immédiatement. Je fixe ma famille, inlassablement, sans ciller, pas même lorsque le sauvage (@alejandro flores) saigne un membre de ma famille (@mairead breachnach). Et je me promets de la venger alors que je me noie dans la mare de mon propre sang. Mais l’épuisement submerge tout et les pensées se tournent naturellement vers la Belladone (@aislinn o'reilly), priant pour que son chien de garde (@torben rawne) l’ait tirée hors de ce chaos.
Made by Neon Demon
résumé:
× pile derrière le mur de glace, ned est percuté de plein fouet par ses éclats provoqués par la centrale électrique aka alcide . Il est propulsé de l’autre côté de la pièce malgré lui. × épuisé par l’effort, la glace redevient naturellement de l’eau et inonde de quelques centimètres le trianon. × Il est en piteux état, l’épaule déboitée, coupé un peu partout et surtout sur le côté du crâne qui est ouvert. Merci les éclats de glace qui ont fondu × ned perd connaissance, épuisé et du fait du choc violent qu’il a reçu sur la tête. × il n'entend pas ce que carlito dit et c'est bien dommage
tenue et y'a plus de masque, et y'a plus de chemise.
Vieux, vieux, trop vieux... Tu es très fatigué, tu veux te reposer
Le coeur à mille à l’heure, Alcide grimace. Il ne ressent pas les pouvoirs d’Alfonso, se contente donc de les imaginer les yeux fermés. Les paroles de Mendes résonnent et la haine de Chaos l’étreint. Mais c’est terminé. La première langue est jetée à la tête de la Reine, la balle offerte est logée au bon endroit. Mendes crève et ça fait du bien. On s’inquiétera de ses prophéties demain.
Pour l’heure, Alcide a besoin de reprendre ses esprits. Malgré le soutien de Silas, il se sent vide. Vide d’énergie, d’émotions. L’orage a laissé place à un grand trou noir. Des courbatures ne tarderont pas à rythmer ses pas. La fatigue l’assaille déjà. Mais il ne peut pas rester planté là. Pas après tout ça.
Une main contre un pilier, il observe le petit étang de corps aussi mouillés que sonnés. Il aperçoit ses compères italiens, les hommes de Costilla qui se remettent difficilement de l’explosion. Un coup d'oeil à @Joaquin Costilla qui arrache les langues comme personne. Leur deal prend vie. Il voit son fameux Irlandais KO et ça lui plaît.
Le pas traînant, les bras lourds, il quitte la scène du crime. Il pousse la porte et se retrouve dans le couloir au carrelage propre. Au détour d’un cagibi, il rafle une canne entre deux parapluies. Le pommeau est d’or, ses doigts se referment dessus et le voilà reparti pour un tour. Direction les caves laissées ouvertes pour faciliter le service aux employés.
Mais en sortant de cette saleté de trianon, c’est une nouvelle épopée qui se joue devant ses yeux épuisés. Il en lâcherait presque sa canne.
Résumé:
• Alcide est éreinté, il entend les paroles de Mendes mais décide de s'en occuper plus tard. Le travail est fait, il remercie Joa du regard.
Il quitte le trianon. En chemin, il grappille une canne. Go les caves... mais les jardins sont occupés et le spectacle le laisse bouche bée. Il s'arrête donc aux jardins.
Lorsque l’éclair frappe dans un vacarme assourdissant le mur de glace et le fait voler en éclats, Sinead a le bon réflexe de se projeter par terre. Les éclats de glace tranchants se plantent sur son échine surtout, mais l’urgence de la situation lui fait oublier les picotements. Trop loin de Ned pour l’aider, trop loin de Fiona pour la sauver, trop loin de ceux qui auraient potentiellement besoin d’elle, elle n’a pu que se protéger en quelques secondes. L’adrénaline pulse dans ses veines et Nemhain lui hurle de s’armer, de viser, de tirer, et c’est ce qu’elle essaie de faire en se relevant, bien que sonnée, bien qu’éblouie, bien qu’éreintée.
Elle est fatiguée, elle le sait. Et quand elle est fatiguée, elle est vulnérable à son hybris qui se manifeste en hallucinations incarnées en silhouettes et en corps qu’elle pourrait croire palpables. C’est cette vigilance qui lui permet de sentir, elle qui s’amuse à éveiller les peurs les plus abjectes chez les combattants adverses en temps normal, oui de sentir qu’on lui instille quelque chose. Et pourtant, malgré cette alerte à l’égard de ce qu’elle pourrait voir, elle est elle-même victime des illusions de ce connard de Brazzi, qui n’est -à l’instant T- plus du tout vu comme le camarade de beuverie qu’il aurait pu rester. Ils s’expliqueront, plus tard, se le promet-elle. Mais peut-être l’épargne-t-il en fait, a-t-elle l’impression, comme si l’illusion était ténue et non pas opaque comme elle s’y atten—
« PUTAIN DE MERDE ! »
Qu’elle hurle violemment, brisant le silence après la mort du Chaos démasqué. Là encore, le lien tissé entre elle et @Aodha Ó'Súilleabháin est à vif, puisqu’elle ressent au moment où la balle frappe le bras du flavescent reflet de son âme la même douleur, la même brûlure des chairs, la même déchirure, à tel point qu’elle en lâche sa propre arme et doit vérifier de ses propres yeux que son bras est indemne -c’est-à-dire que la veste blanche qui le couvre est encore immaculée. Les yeux ouverts et débarrassés de toute illusion dionysiaque, Sinead cille et contemple le désastre de la soirée. Un rapide coup d’œil lui indique rapidement que le Royaume est bien mal en point. Mais qu’attendrait-on d’une déesse de la guerre, plus entraînée à casser des gueules qu’à les réparer ? Une seule solution (la manifestation !) : d’une main aux jointures ensanglantées, elle fouille la poche intérieure de sa veste et en sort un téléphone, qu’elle utilise pour appeler @Aedan Tuireadh et lui dire d’une voix à la détermination de fer sans vraiment lui laisser le temps d’en placer une : « Ramène ton cul fissa au Trianon, c’est la merde et on a besoin de soigneurs. MAGNE ! » Oui, elle donne des ordres à un Duc. Et alors ? C’est pas comme si elle s’encombrait de la hiérarchie, hein. Et même qu’elle va en donner à un AUTRE duc, si c’est pas mignon. La voilà qui appelle donc ensuite @Alan G. Kaneved, pas loin dans l’alphabet en prime et qui enchaîne dès qu’il décroche : « C’est le bordel au Trianon de l’Eden Manor, je sais pas où t’es, mais magne ton cul et viens aider. Ned est KO, May a l’air HS et je vois pas Fiona de là où je suis. » Là non plus, ni merci, ni merde, elle raccroche sans attendre. Quelques pas vers @Mairead Breachnach, que Flores vient de laisser -Flores que Sin tient en joue au cas où, parce qu'on ne sait jamais-, Maisie qui est complètement en sang et qui ouvre vaguement les yeux, pour l’informer sans être sûre qu’elle l’entende vraiment : « J’ai sonné le rappel des troupes, tu tiens, ok ? » Elle devrait s’interrompre dans son élan, ne pas rejoindre tout de suite la sœur dont la souffrance ne s’éteint toujours pas, prêter main forte à sa Duchesse, et surtout à sa Souveraine. Mais le cœur brûle d’aller venger la Morrigan ensanglantée, alors Nemhain ne s’attarde pas plus, laissant à la Sinead du futur le soin d’affronter les conséquences. Fiona est bien plus forte que ce qu’elle peut imaginer, se rassure-t-elle en silence. Quant à Maisie, elle les enterrera tous avant qu'on puisse la mettre en bière. Et Ned… C'est simple : Ned ne peut pas mourir, ça serait de la triche.
@Alcide Bellandi s’éloigne, elle lui emboîte le pas, remontée contre l’électricien nocturne et ayant vraiment de plus en plus envie de lui loger une balle dans le crâne, de ce flingue qu’elle a ramassé avant de foutre le camp du Trianon. Son bras la lance encore et elle manque de rentrer dans l’hôte de maison quand il pile devant le spectacle. Et elle de souffler, sans vraiment vouloir relancer une discussion stérile : « Putain, c’est encore pire que ce que je croyais. »
Résumé:
# Sonnée par l’explosion du mur de glace, elle l’avait presque prévue et a su se protéger pour ne pas être trop blessée. # Fatiguée et vulnérable, elle cède aux illusions d’Alfonso Brazzi, mais en est tirée lorsque l’on tire (hihi, quel beau joli jeu de mots, cadeau de moi à moi ) une balle dans le bras de sa sœur divine (Aodha, AGAIN ) # Appelle les deux Ducs non conviés à la sauterie pour qu’ils viennent aider les blessés du Royaume et leurs alliés, prévient Mairead de la manœuvre. # Emboîte le pas à Alcide et se retrouve dans les jardins, devant un chaos bien plus grand que celui qu’elle avait pu envisager.
Les choses s’enchainent à une vitesse folle. Je rélève à ma reine mes soupçons, non mes certitudes. Je sais qui est l’être divin qui vit dans le corps de l’homme que l’on a torturé. J’ai compris. Il sème le Choas, il aime cela, c’est tout ce qu’il a réussi à faire. C’est pour cela qu’il est satisfait. Je l’annonce à Fiona, c’est à elle de lui faire cracher le morceau, c’est elle qui doit l’interroger. Je reprends son rôle. Je tente de soigner la soldate de la Bratva, la blessure saigne, elle saigne beaucoup. J’arrive à cautériser son dos, la balle est ressortie. Le ventre s’avère plus compliqué. La première tentative n’est pas concluante. La peau s’effrite, elle est abîmée par l’impact brûlant de la balle. Je fais des compresses avec les lambeaux de la chemise de Ned, seulement, cela ne suffit plus. Je compense avec ma robe, elle n’est plus aussi belle qu’à mon entrée. Je savais que j’aurais dû venir en jean chemise, vu dans l’état ma tenue va finir… Peu importe, je ne suis pas du genre à me lamenter pour une robe. J’en ai d’autres. On s’en fout. Je presse la blessure de @Yuliya Vassilieva, je sais que je la torture, je sais que je lui fais mal. Ce n’est pas volontaire, indirectement, c’est pour son bien, j’espère qu’elle ne l’oubliera pas. Je tente une seconde fois la cautérisation. Chauffant à nouveau le bout de ma lame. Je la tasse sur le trou béant qu’elle a dans le ventre et j’appuie. L’odeur de chair brûlée n’est pas quelque chose que j’affection. Je ne fais pas attention. J’appuie un peu plus, j’attends que la peau crépite, qu’elle se soude. Je retire la lame quelques secondes après, ça saigne toujours, mais moins, La jolie blonde ne se videra pas de son sang ce soir, mais elle n’est pas tirée d’affaire pour autant.
Fiona interroge. Ned nous couvre, une barrière de glace. Je sais de quoi est faite la glace, de l’eau et je risque de sentir mon hybris se pointer très vite, trop vite même. C’est le moment que choisit notre Mendes pour nous dire qui il est. Quel monstre s’est caché sous sa couenne. J’avais raison mais on manque encore trop de temps. On ne peut plus rien faire. Le mur ne tient pas assez longtemps, de l’autre côté ils sont nombreux, ils sont en colère et leurs pouvoirs associés viennent à bout de notre bouclier de glace. C’est un bruit assourdissant qui résonnent dans le trianon. J’ai l’impression que tout s’écroule, le monde nous tombe dessus, par réflexe, je me couche sur la jolie blonde à terre, geste protecteur que je ne saurais expliquer. Elle n’est pas de mon clan et pourtant je ne veux pas la voir mourir. Elle ne mérite pas cela. Personne. Il y a des morts bien plus utiles. J’ai l’impression d’être sourde, ma tête semble vouloir exploser… mon corps est douloureux, une sensation nouvelle. Un acouphène résonne dans ma tête, je n’entends presque plus rien pendant de longues secondes. De très longues secondes. Je ferme les yeux le temps que tout cela s’arrête, je n’ai pas le temps de voir la suite, de me défendre, je suis faible et je déteste. Je n’ai pas le temps de tendre ma main vers le chef de la Calaveras qui s’apprête à tuer Mendes qu’on se rue sur moi. Mes flammes ne résistent pas, elles s’étouffent. Je suis sans défense, impossible de récupérer du feu. Un homme de la Calaveras ( @Alejandro Flores ) se jette sur moi, je sens alors cette vive douleur lors que ses mains écorchent ma peau. J’ai l’impression qu’une dizaine de scalpels m’égorgent. Je pousse un cri de rage mais c’est trop tard. Dans un dernier geste, je lui donne un coup de genou bien placé, l’entrejambe masculin étant faible. Je grogne, mes mains se plaquent sur ma gorge, elle est à vive, pleine de sang, je me vide lentement. Je touffe, je vomis du sang, mon corps est encore sonné, ma vue brouillée. Je m’affale par terre, incapable de faire le moindre geste. Je suis à moitié égorgée. J’ai du mal à respirer, je sens le sang couler à l’intérieur et à l’extérieur. Je tousse, je crache de l’hémoglobine. Ma poitrine se soulève, mon coeur ralentit à chaque battement. Je tente de ralentir mon agonie, mes mains sont plaquées sur ma plaie ouverte. Je regarde alors @Sinead Reed debout, ma vision est floue mais je crois l’entendre me demander si je vais tenir. Je ne réponds pas, j’en suis incapable, je tousse un peu plus de sang. Je quitte l’une de mes coéquipières du regard pour me poser sur @Éamonn McNamara , il est tout autant mal en point que moi. Mon regard se perd dans la flaque de sang à côté de lui. Je prie pour qu’il ne soit pas trop tard… il ne peut pas mourir, personne ne doit mourir. Pas comme cela. Et si c’était la fin ? On avait raison mais personne ne nous a écouté et maintenant Mendes est mort… il n’y a plus rien à faire. Tout est fini.
Actions & Tenue:
Actions: - Elle continue d'aider Yuliya - Elle est sonnée lorsque de l'explosion de mur + avec le don d'Alfie - Elle veut attaquer Joa mais Jan se jette sur elle et manque de justesse de l'égorger. Elle est salement blessée - Elle voit Sinead vivante mais s'inquiète de l'état de Ned - Elle ne voit pas où est Fiona.
Tenue: La robe ressemble plus à rien, couverte de sang et déchirée pour aider une jolie blonde Petit tableau Pinterest pour l'occasion https://pin.it/6pob5be23mf6af
Il y a la voix de Mendes qui résonnent toujours dans ma tête, les mots du chaos, la langue repoussée (le chaos qui bullshit lui-même les dieux, c’est beau). J’ai le goût du sang de @Mairead Breachnach sur les lèvres, qui a giclé sous mes dextres. Coup de langue sur la lipe pour apprécier ce doux moment de rage contre le Royaume. Une saveur forestière Miss Wonderwoman ? Je me recule brutalement sous le coup dans les parties génitales - léger pliage en deux mais se remettre droit pour reculer réellement et abandonner la sauvageonne @Mairead Breachnach. Je jète un coup d’oeil à @Joaquin Costilla pour être sûr que tout va bien.
Il est debout. En vie. Le Commandante a eu son sacrifice. Le Capitano peut reculer.
Nouveau regard jeté vers @bael mendoza et @trinidad vivas pour s’assurer que la famille va bien. Surement sonnés par l’éclair et l’adrénaline mais c’est ensemble que la Calavera continuera de marcher. Un pincement au coeur (faux) me fait me retourner (ce sont les hormones en vrai) vers @silas salvatore avec qui l’alliance a débuté. Il est mal le petchiot, au sol, acculé par la fatigue et des éclats de murs suite à la foudre balancée. Allez (Ale-) Alejandro, va aider ton bro’, ne le laisse pas sur le carreau. C’est ensemble que nous avons débuté le coup d’éclat, c’est ensemble que nous finirons -même si tes cheveux sont beaucoup trop blond pour être réel mec. "He blondinet, ça va ?" Que je balance à @Silas Salvatore en lui tapotant le derme avant de passer mes deux bras autours de ses épaules pour relever comme je le peux.
He, faut se calmer sur les macaronis dis donc.
« Allez hermano, ne crève pas maintenant, on commence seulement à s’amu-… » et ne pas finir ma phrase, en sentant la peau de ma gorge se vriller, le derme éclater et le sang gicler. « Putà ! » que je gueule en lâchant une épaule de @Silas Salvatore et en dardant ma main sur le haut de la gorge qui se découpe lentement aux mêmes endroits où j’ai lacéré le visage de @Mairead Breachnach. La machoire saigne à son tour, s’ouvre et m’arrache un hurlement de rage. « Pas le momen-... Costilla...!" Que je gueule envers le Commandante (@Joaquin Costilla), les yeux rageux et la main qui tient péniblement les plaies béantes, habituelles, mais potentiellement mortelles dans un tel scénario. Pas de thaumaturge à disposition ce soir Jan, va falloir tenir ta peau et éviter de clamser. Un coup d’oeil jeté à @Bael Mendoza suffit a lui faire comprendre que j’ai besoin d’aide. «...J’me barre ! Bael tu conduits ? Allez viens blondi-… » La douleur est palpable, les yeux papillonnent un peu. Heureusement que t’es habitué, Jan, a te faire découper en deux. « ….blondinet, lève toi on se casse ! » Et l’obliger à se lever avant de me mettre à marcher en direction de la sortie du Trianon et de la sortie tout court.
C’est sympa, vos soirées, les italiens. Y'a des cocktails, du sang et des rebondissements. Encore mieux qu'un épisode de Dallas un dimanche soir.
Spoiler:
- Jan recule et regarde si Joaquin, puis Bael et Trini vont bien. - Il kiffe le goût du sang saveur forêt de Mairead. - Il a de la peine pour Silas et va l'aider a se relever (bromance is coming) - Mais le contre-coup de son don arrive et sa machoire et le haut de sa gorge s'ouvrent comme la peau de Mairead. - Il gueule à Joaquin qu'il se barre en proposant à Bael de conduire, tout en motivant Silas a faire de même. - C'EST FINI POUR LUIIIII BYE BYE DALLAS C'ÉTAIT CHOUETTE
C'est la Fin. Les mots s'effritent entre ses lèvres, et déjà ce qui l'entoure semble s'effondrer. Il y a des gémissements. Des cris, peut-être. Des pas qui vont et viennent. Mais elle n'y prête pas attention. Elle est là, lorsqu'il lui répond. Elle est là, lorsqu'il évoque son identité. Ils avaient raison. Et même si ces quelques frémissements semblent inutiles, elle sait que tout est loin d'être terminé. Que tout sera important. Elle est plongée dans ses yeux, lorsque l'étincelle qui les rassemble se met à briller. Elle est là, lorsque @Joaquin Costilla le soumet à son joug. Dieu Démoniaque qu'elle méprise, incapable de calmer son palpitant, tiraillé par les vices vengeurs. L'effervescence prend une tournure de mort en quelques secondes. Et elle est là, également, lorsque Mendes perd définitivement la vie. C'est la frénésie qui l'enlace pendant les premières secondes. Rien ne l'atteint, pas même l'onde de choc provoquée par la chute du mur. Pas même les éclats glacés qui viennent percuter son flanc. Ceux-là même qui se mettent déjà à fondre, tant le contrôle se fait difficile.
C'est le regard plongé dans celui de l'assassin qu'elle se relève lentement, forte d'avoir obtenu des réponses, fière d'avoir vu juste. Mais profondément enragée de la tournure des événements. De la vengeance et la rancoeur des effigies masculines qui trônent parmi les têtes couronnées. « J'ai du respect pour la vie de chacun d'entre nous. Mais j'espère que tu arpenteras le chaos le premier. » qu'elle lui crache. C'est la température qui grimpe le long de l'apophyse. C'est la rage qui frémit dans la carne lorsqu'elle observe ce qui se trame autour d'elle. Qu'elle constate qu'elle est, du Royaume, la dernière debout. @Sinead Reed a disparue. @éamonn mcnamara est à terre. @Mairead Breachnach est en sang. Et un instant elle regrette d'être venue ici. Et un instant elle croit qu'elle va imploser. ça brûle en elle. Elle sent la furie qui prône dans son âme, et l'incandescent qui lui répond. « Maintenant ça suffit. » qu'elle gronde. « Emmène tes hommes et vas-t-en. »
Elle marche à travers les frasques aquatiques qui virevoltent au sol. Elle aimerait porter secours à ses pairs. Mais l'un ne supportera pas son doigté, l'autre est trop ensanglantée pour apporter une aide réelle. Un coup d'oeil à @Yuliya Vassilieva lui indique que le petit corps est toujours en vie, mais fragile face à l'appel de l'Autre-Monde. ça virevolte bientôt à son oreille. Aed, rapace protecteur qu'elle a sommé de rester en retrait, vient s'épancher sur l'épaule, observer les dégâts d'une rencontre qu'elle estimait meilleure. « Tu sais ce que tu as à faire. » qu'elle lui apprend dans sa langue pas vraiment natale. L'oiseau sait déjà tout. Elle l'avait prévu bien avant d'entrer dans le Trianon. Comment il volerait auprès d'@Asrun Solheim, dissimulée quelques rues plus loin, au cas où. Thaumaturge qui viendrait chercher les petits corps et soigner les blessures. Puis se rendre chez son frère, lui intimant qu'elle est en vie. Pour éviter qu'il n'en vienne à penser le contraire, et qu'il sorte les armes avant la fin de la nuit. Alors il s'envole, l'oiseau de proie, tourbillonne déjà dans les cieux pour trouver les fantômes qu'elle a choisi.
Alors elle s'approche de @Mairead Breachnach, premier réflexe, en jetant un coup d'oeil à son ami jumelé, Conseiller et Ami, ombre de la Reine. « Ne bougez pas, tous les deux, gardez vos forces. » Elle s'assied près de sa considérée soeur, pose une main chaleureuse sur son cou ensanglanté. Le regard se fait bienveillant, et surtout inquiet. Les yeux qui s'embuent malgré elle, de les avoir tous mené à de telles souffrances. Elle ne le pardonnera pas. Alors elle passe une main dans les cheveux de Mairead, secoue doucement la tête en lui souriant. « Toi qui aime tant les combats, tu auras des cicatrices qui en feront pâlir plus d'un. » qu'elle lui murmure, Mère et Soeur à la fois, plus vraiment Reine, le sourire salvateur et la main douce. « Reste tranquille. Respire doucement. »
Alors elle jette un coup d'oeil aux derniers représentants qui se trouvent ici. Ne dissimule même pas son mal-être, ni ces yeux vitreux qui témoignent déjà de la rancoeur qui se niche entre les reins. @Savannah Boudreaux en premier lieu, alliée et amie. @Oksana Aleksandrova en second, multiples émotions sous-jacentes. « Savannah, peux-tu le récupérer ? » qu'elle demande, en laissant son regard vagabonder sur le cadavre encore chaud de leur invité. Elle y tient. Pour observer les traces sur son corps. L'enterrer dignement. Parce qu'au-delà de l'ennemi qu'il représente soi-disant, elle a vu en lui autre chose. Et pour cette partie qu'elle estime sincère et juste, elle accomplira les rîtes funéraires adéquats. Un coup d'oeil à @Joaquin Costilla, lui et sa fierté ridicule, lui qui fait bouillir le monstre qu'elle cache difficilement en elle. Et c'est la mine grave qu'elle le regarde, les dents serrées. « Je t'ai dit de sortir d'ici ! » qu'elle crie, cette fois. Tandis que la flamme lui dévore les os, que l'incendie ne tarde pas à pointer son nez, vrillant sur les épaules. Plus vite, Costilla. Parce que le feu n'attend pas.
Il y a une nouvelle ère qui vient de commencer. Une guerre qui prend place sur l'échiquier. Mendes avait raison, ils ont eu tord de ne pas l'écouter. C'est le Début.
Actions:
# Fiona écoute Mendes avec attention, et décèle en lui quelque chose qui lui ressemble. Elle obtient des réponses qui confirment la théorie qu'ils avaient auparavant. # Elle assiste à son exécution. # Elle s'adresse à @Joaquin Costilla et lui fait part de son espoir concernant sa disparition prochaine. Elle contient sa colère comme elle peut. # Aed, le rapace à son service, vient se poser sur son épaule. Elle lui demande de mettre en place leur plan de départ : il va chercher @Asrun Solheim, leur thaumaturge, et prévenir Ikaar Killough de sa survie. # Elle s'occupe de ses blessés, @éamonn mcnamara qu'elle n'ose pas approcher pour éviter de l'épuiser, et @Mairead Breachnach, qu'elle dispose contre elle et qu'elle tente de rassurer. Elle est inquiète, triste et furieuse, et cela se voit. # Elle demande à @Savannah Boudreaux de récupérer le corps de Mendes, elle y tient. # Elle demande à @Joaquin Costilla de partir avec ses hommes, car elle sent que la colère est trop intense et qu'elle risque d'exploser. # Elle a vraiment du mal à tenir ses flammes, celles-ci se matérialisent sur ses petites épaules.
L'appel glacial a en faire fondre le dieu du Soleil chargé de veiller sur le QG. Il l'avait dit à Mairead, cette réception c'est de la connerie et c'est guère étonné qu'il observe son téléphone après que @sinead reed ait raccroché pour lui demander de venir. Bien entendu il se lève, la plaie encore fragile de sa dernière mésaventure, les marques sur le visage du dernier accrochage aussi. Bélénos s'était mis en retraite, parce qu'il n'aurait sans doute pas survécu avec ces blessures là, partant déjà avec un handicap. Sa mission de surveillance jusque là était un succès, clope au bec, verre à la main, les papiers ont longuement défilé devant ses yeux pour occuper sa soirée. Il laisse tout en plan, enfile sa veste et se dépêche d'aller prendre sa voiture pour se rendre à l'Eden Manor. Déjà d'extérieur, les convives s'échappent c'est comme tout droit sorti d'un cauchemar ; qu'à t-il bien pu se passer ici ?
Il entre, veille à passer par l'extérieur et voit le chaos à l'intérieur. Sinead a parlé du trianon alors ces gens là, il s'en moque éperdument. Il continue son avancée, il y a des masques au sol, des flaques d'eau, des marres de sang, c'est un carnage. Il y a l'air d'y avoir des blessés, et il poursuit son chemin jusqu'à arriver devant la bâtisse écorchée. Les corps au sol, le visage des siens ternis, éteints. Alan se précipite vers eux, son regard se pose sur @"Fionna Killough" remarque les flammes sur ses épaules et comprend alors la gravité de la situation. Il ne dit mot, quoi dire d'autre ? Il pose une main compatissante sur l'épaule de leur cheffe, n'ayant crainte des flammes en tant que dieu du soleil, il supporte la chaleur de plusieurs degrés. Un regard entendu à sa vieille ami, il est là pour aider maintenant. Le thaumaturge n'est pas là, ils vont devoir faire sans en attendant. Bien sûr il a déjà remarqué @Mairead Breachnach prise dans l'étreinte de la reine qui a sa main posé sur ce cou ensanglanté. Cela anime une colère noir en son cœur qui bat si fort qu'il lui donne bien du mal à respirer. Il se penche vers elle, dépose un baiser sur ses lèvres, anéanti de voir son double dans un état aussi grave. « Ça va aller, t'es une battante, tu le sais Mairead. » Au vu des groupes qu'il reste il comprend aussi que La calavera et la Nuova Camorra ont signé un tournant dans les alliances et son désir de vengeance se tournera forcément vers eux. Il ouvre le sac qu'il a ramené, des soins, des bandages, des désinfectant en attendant quelqu'un avec assez de pouvoir pour réparer cela. Il attrape quelques compresses, soulève la main de Fionna et les pose sur la blessure. La vue de celle-ci l'échauffe d'avantage, il se retient de se lever et de se mettre en chasse, tuer le reste de convives dans le manoir. La blessure ici est trop délicate à traiter, il ne peut rien faire de plus qu'attendre Asrun.
Puisque Fionna est avec Mairead, il se lève et s'agenouille devant @Éamonn McNamara , les doigts se logent à la gorge, il perçoit le pouls, il a perdu connaissance. Alan inspecte ses blessures, multiples, il le débarrasse de quelques débris et soupire lentement. Il n'a même pas la force de plaisanter sur l'état de son ami, éponge le sang de la plaie à sa tête et désinfecte. C'est ouvert, ça demandera sans doute quelques points, son épaule à l'air déboîtée aussi. Il jette les armes, il décide de rester là auprès des blessés. Quelques compresses sur la blessure de Eamonn, il la fixe d'un bandage autour de la tête et s'occupe de son épaule qu'il sait remettre en place. En attendant il reste avec lui, tapote amicalement son bras tandis que son regard est figé sur Belisama
-Alan a été appelé en renfort par Sinead -il voit le carnage, il est en colère il veut mettre tout le monde au bucher -il va voir sa chérie et lui fait un bisou -il s'occupe des blessures de Eamonn
Nessie est hors de danger. Je souffle. J’ai l’impression d’être entourée blessés, de morts… que l’apocalypse règne dans ce manoir. Je sens un lourd poids se poser sur mes épaules. Je ne sais pas quoi faire. Mon regard se perd dans celui de Lakshan. Je ne sais pas ce qu’il veut faire mais je ne peux pas partir, je dois trouver les miens. Je sais que c’est ce qu’ils attendront. J’inspire. Mes lèvres lui miment cette belle déclaration. Et je me relève. J’ai l’impression que tout tourne aux ralentis. Je vois des membres de la Bratva s’affronter, c’est d’ailleurs l’un d’eux qui a tiré sur la jeune femme que je viens de soigner. Je retrousse ma robe pour éviter de trébucher sur les débris, dans l’eau qui inonde la salle. Je cherche quoi faire… puis je vois le Don, l’hôte de la soirée, il sort d’une pièce. Là où une réunion devait se tenir, il n’y a pas grand monde qui sort… une autre femme que je ne connais pas. Je les regarde passer devant moi sans réellement me voir. Mon cœur bat fort, le stress, je ne sais pas à quoi m’attendre. J’entre alors dans le trianon pour voir les dégâts. Ils semblent impressionnants. Je reconnais la Reine des dieux celtes, elle s’occupe d’une femme, je ne fais pas attention. On regard se pose sur @Oksana Aleksandrova et à ses pieds je reconnais @Yuliya Vassilieva. Je ne vois pas encore Aksel. Je presse le pas pour m’avancer vers elle. Je regarde l’étendu des dégâts, importants. Elle a reçu des soins, pas les meilleurs mais la cautérisation a sans doute évité qu’elle se vide de son sang. Je la retourne doucement, pas totalement, juste de quoi passer ma main dans son dos, je dois savoir si la balle est ressortie, c’est toujours le même souci. Je sens une près brûlée de l’autre côté, elle n’a donc plus de balle à l’intérieur. C’est une bonne chose. Je lève la tête vers ma Pakhan. « - Madame, depuis combien de temps est-elle dans cet état ? Vous n’avez rien ? » Je déglutis, je tente de ne pas être impressionnée par cette femme. Je laisse ma main dans son dos, mon don s’active de ce côté-là. Je grimace, je soigne un peu trop, Yu est déjà la troisième. Je souffle. Mon corps va marquer, je le sais. Je ne me pose pas plus de questions. Le dos est soigné, ce n’était pas la pire blessée, j’ai l’impression. Mes mains sont pleines de sang mais je secoue doucement le doux visage de Yu pour qu’elle reste consciente. « - Reste avec moi, c’est presque fini ! » Je tente un sourire, je ne sais pas si elle me voit. Je retire les tissus qui recouvre la cautérisation de mauvaise facture. Le sang est collé, crouté, ce n’est pas très beau. Je tente d’essuyer tout ça avant de poser mes mains sur la peau abîmé de la beauté slave. Le don s’active, brûle mes doigts, je sens la peau de Yuliya se reformer. Je jette un coup d’œil en même temps autour de moi. La salle a subi de gros dégâts. Le fracas que l’on a entendu venait bien de là. Je cherche les autres membres de la Bratva. Je vois un peu plus loin @Aksel Beliakov. D’ici je ne vois pas s’il a besoin de soins. Je finis avec @Yuliya Vassilieva avant de me redresser et de constater les dégâts. Je cherche @Lakshan Rahman du regard, une part de moi sera heureuse de l’avoir à mes côtés et l’autre nerveuse à l’idée qu’on le voit en ma compagnie…
HJ:
action: - Rose quitte la salle de réception pour trouver les siens dans le trianon - Elle s'active sur Yu en demandant des précisions à Oksana - Elle cherche pour voir si d'autres bratviens ont besoin
So you wanna be an immortal with a loaded gun ✻✻✻ Les oreilles sifflent, le coeur palpite. Un genou à terre, il fait de son mieux pour outre passer ses sens qui se retrouvent alarmés par la détonation et la puissance de la foudre. Les dents serrés, il se redresse non sans mal avant de finalement trébucher, pris d’un violent vertige. Enervé, il fait de son mieux pour reprendre conscience du monde qui l’entoure, de ses ennemis qui, bien que blessés, semblent toujours en vie. La colère de la foudre n’est surement pas à prendre à la légère. Reprenant peu à peu conscience de son propre corps, il porte une main à son crâne qui, fragile, s’est comme fracassé contre une surface dure. Le sang, écarlate, coule le long de sa tempe. Il renifle. Trop c’est trop. Dans un grognement, il se redresse, laisse ses yeux parcourir le carnage. Plusieurs corps sont à terre. Tétanisés, vidés de toute énergie, ils gisent là, nonchalamment. Avec une satisfaction, il contemple le corps du chien de garde de la reine. Un simple d’esprit qui avait cru pouvoir jouer les gros durs. Une provocation que Bael s’est contenté d’ignorer, retrouvant sa place avec un sourire satisfait bien que forcé. Un sourire, un souvenir fade… La tête gonflée comme un ballon de baudruche, il titube jusqu’à Trinidad qu’il redresse… Dans l’effort, il jette un regard à Joaquin et @Alejandro Flores qui, mis à part leurs têtes à faire peur, semblent en parfait état. Malheureusement pour Alejandro, cela ne durera probablement pas. Tel le Karma, son pouvoir va tôt ou tard lui faire payer son tour de force… tôt ou tard, sa peau craquera, cédera face à la violence de ce qu’il vient d’infliger au petit caniche royal. Ne reste plus qu’à espérer que le sort soit clément avec lui…
« Costilla...! » Interpellé par le cri de son camarade, Bael relève les yeux. Une main sur la gorge, la mort semble au bout du rouleau. A croire que le sort ne lui sera jamais favorable. Pas vraiment inquiet, presque habitué, Bael pris soin de garder son calme. Ce n’est pas la première fois qu’il se retrouve dans une telle situation… Retirant sa veste, il regarde Alejandro alors que celui-ci s’approche, un italien (@Silas Salvatore) sous le coude. « … J’me barre ! Bael tu conduis ? » Sans un mot, Bael balance sa veste à Alejandro. Tous les moyens sont bons pour retarder l’inévitable. “T’as pas intérêt à pourrir ma bagnole... ” Grogne-t-il malgré tout alors qu’il se met en mouvement. Dans un dernier regard, il fusille le corps du dieu de la glace (@Éamonn McNamara) près duquel il crache sans-même se soucier de l’homme qui se trouve à ses côtés. Les chiens, ils restent à terre. Un jour peut-être, Bael trouvera la muselière qui siéra à merveille à son visage de demeuré.
Spoiler:
- Bael est sonné par l'attaque d'Alcide. Il a dû mal à s'en remettre mais fait de son mieux pour aider sa coupine Trini. - Une fois debout, il part avec Alejandro qui pisse le sang et ne se gêne pas pour cracher près du corps de Ned qui gît lamentablement au sol.
Tu ne dis plus rien à présent, te contentant d’observer l’assemblée d’un regard vaguement amusé. Ils te font tous rire avec leur tentative de trêve quand la rivalité et la haine qui les animent n’ont jamais été aussi fortes. Il suffisait de voir les regards de chiens enragés que s’échangeaient la Camora et le Royaume. Mais savoir qui lancerait les premières effusions de sang était un mystère. Tu penchais cependant pour la Camora, au vu de l’attitude absolument charmante de la suite du Commandante. A croire qu’il ne savait pas dresser ses chiens, les laissant aboyer sans restriction alors qu’il n’avait pas leur mot à dire. Et c’était la Bratva qu’on traitait de mafia pleine de brutes mal élevées. Comme quoi les préjugés … 
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La situation nous échappe totalement. Fiona tente d’adoucir l’interrogatoire, d’amadouer notre prisonnier. Il nous faut des réponses et il semblerait que la patience ne soit pas une vertu chez les sang chauds. Nuova Camorra et Calaveras semblent juste en être au stade des représailles, ils ne semble pas vraiment réfléchir. Le sang appelle le sang, un eu comme des animaux. C’est l’image qu’ils donnent, un besoin irrépressible de chair fraîche. C’est totalement stupide. Ils semblent tous fous, certains raisonnent encore un peu. La majorité veut des réponses, alors on les aura. Tout s’enchaîne vite. Deux coups de feu. Une femme à terre. Mon coeur bat vite. Je sors doucement l’épée de mon dos, je ne l’allume pas pour le moment. Elle sert juste au cas ou. Je ne fais attention qu’à une chose, Fiona. Elle s’approche déjà de la jeune femme appartenant à la Bratva. ( 
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ce sera donc une balle dans la carotide, sorry 
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So you wanna be an immortal with a loaded gun ✻✻✻ Les oreilles sifflent, le coeur palpite. Un genou à terre, il fait de son mieux pour outre passer ses sens qui se retrouvent alarmés par la détonation et la puissance de la foudre. Les dents serrés, il se redresse non sans mal avant de finalement trébucher, pris d’un violent vertige. Enervé, il fait de son mieux pour reprendre conscience du monde qui l’entoure, de ses ennemis qui, bien que blessés, semblent toujours en vie. La colère de la foudre n’est surement pas à prendre à la légère. Reprenant peu à peu conscience de son propre corps, il porte une main à son crâne qui, fragile, s’est comme fracassé contre une surface dure. Le sang, écarlate, coule le long de sa tempe. Il renifle. Trop c’est trop. Dans un grognement, il se redresse, laisse ses yeux parcourir le carnage. Plusieurs corps sont à terre. Tétanisés, vidés de toute énergie, ils gisent là, nonchalamment. Avec une satisfaction, il contemple le corps du chien de garde de la reine. Un simple d’esprit qui avait cru pouvoir jouer les gros durs. Une provocation que Bael s’est contenté d’ignorer, retrouvant sa place avec un sourire satisfait bien que forcé. Un sourire, un souvenir fade… La tête gonflée comme un ballon de baudruche, il titube jusqu’à Trinidad qu’il redresse… Dans l’effort, il jette un regard à Joaquin et 
