« Un satellite Vishnu ? Le bouquin d'astronomie aurait été là pour ça alors ? Ce jeu de devinette est un peu trop bien orchestré à mon goût... Bons goûts par contre, Arte forever. » Elle hausse les épaules, pas certaine de savoir à quoi tout ça peut bien mener ou même ce que ça signifie réellement. « C’est tout ce que je sais… » mais elle ne peut résister à l’envie de sourire à sa remarque. « disons que j’ai moins l’impression de perdre mon temps. Mais j’imaginais pas que ça pourrait servir un jour. » Cette soirée était étrange. Tout comme cette bibliothèque qui ne semblait être qu’un gros puzzle demandant à être résolu. « Honnêtement, j’y connais pas grand-chose. » elle éclate de rire sur sa blague au fond pas si drôle que ça, mais typiquement le genre d’humour capable de l’amuser.
Et son téléphone qui vibre. Encore. Ouch. Jan. « J’ai comme la sensation qu’Alejandro ne va pas tarder à débarquer. » dit-elle au fur et à mesure qu’elle lui répond. Elle grimace légèrement, imaginant parfaitement la scène si son intuition s’avérait être vraie. Mais @Damariss D. Noble, elle a l’air ailleurs. Un peu trop. Et pas vraiment dans son assiette. Ou un peu trop ? La mexicaine la dévisage un bref instant, comme pour se demander ce qu’il y a de changer, avant de retourner découvrir la couverture des livres environnants. Impossible de se concentrer. Pas vraiment. Le téléphone continue de vibrer et Dama de faire des siennes. « Are you my phone charger ? Because without you, I'd die. » Cette fois impossible de ne pas éclater de rire en se demander ce qu’il lui passe par la tête. Pas le temps de lui demander que la porte s’ouvre brusquement en laissant rentrer deux femmes de plus.
Mauvais pressentiment face à ce débarquement. Elle les reconnait. Pas vraiment, parce qu’elle ne les connait pas personnellement, mais elle a appris à reconnaitre ceux appartenant au royaume. Cette mafia qu’aurait dû naturellement rejoindre Tommy s’il n’avait pas trempé avec la Calavera. Nouvelle entrée (@Fiona Killough), et cette fois, Gaby soupire. La discrétion, c’est pas dans leurs cordes ?! On est dans une bibliothèque bordel de merde. Et cette désagréable impression de voir son espace vital envahi. Y’a pas d’autres pièces dans ce foutu manoir ? elle ne peut s’empêcher de repenser aux sms de Jan en les voyant tous débarquer amochés. Peu importe. Pas son problème. Les filles du royaume s’incruste, s’impose parmi les livres, au milieu d’elle, et la brune, ça l’exaspère. « Dama, tu fous quoi ? » lache-t-elle en la voyant s’approcher de la dénommée Sin (@Sinead Reed). Elle joue à quoi ? Avec le feu visiblement, à la voir jouer de cette lame contre le coup trop délicat de la reine. « Débarquer s'occuper des affaires des autres est malvenu. » True. Elle se rapproche, penche la tête pour observer le carnet à son tour. Une bonne est illisible. Foutu charabia. Trop d’énigmes et peu de réponses. Ce M. Novelli s’interrogeait-il sur sa réincarnation ? Elle ne voit pas d’autre alternative quant à se questionner sur son identité, sauf si le monsieur fut amnésique. Peu probable. Et c’est le mec à côté qui finit par s’approcher des leprechauns, d’abord gentiment, presque horriblement cordial, avant de braquer un flingue sur l’une d’elle. Par réflexe, Gaby a un mouvement de recul, et ça y est, elle sent que ça commence à lui taper sur le système.
Nouvelle entrée en fracas, et les yeux de la môme qui s’écarquillent. OOPS. Elle a rien dit pourtant. Si ce n’est que tout se passait bien. Enfin, c’est pas de sa faute. Comment est-ce qu’elle aurait pus avoir qu’en dix secondes et demi Dama allait virer folle dingue et que les lutin(e)s allaient se pointer ? Puis il a pas l’air franchement ravi. Alors elle affiche un léger sourire, presque coupable, comme celui d’une môme prise la main dans le sac. Pourtant, ça fait bien longtemps qu’elle en a perdu l’innocence. « He beaugoss, c’est toi les sms ? On se barre, et tu viens avec nous. Gabi, Dama, on rentre à la casa ahora ! » Elle ouvre la bouche. Puis la referme, avant de reprendre le carnet entre ses mains. « Non. On n’a pas fini. » Elle allait pour s’y mettre, en tentant de faire abstraction de toutes ces personnes, mais le sort était contre elle. Des flammes qui naissent de nulle part, sur le bureau, qui se laisse vivre. La rouquine qui s’en amuse et Gaby, elle voit rouge. Y’a le sang dans ses veines qui pulsent, sa colère qui commence à lui brouiller, si ce n’est sa vision, au moins son esprit. « Elle se prend pour qui flammèche ?! » qu’elle marmonne vers Dama, énervée. Ces livres ne lui appartiennent pas et elle s’est incrustée. Ses poings qui se serrent, elle inspire grandement et pourtant silencieusement. Elle les entend péter d’ici, les canalisations de la salle de bain d’à côté. Elle s’avance doucement. « Vous en avez pas marre d’agir comme des enfants ? » C’est même pas une question. Plus une réflexion formulée à voix haute, alors qu’elle sent l’eau se déverser et approcher. Si elle veut transformer ce bureau en brasier, Gaby en fera une piscine. Si seulement elle avait assez d’énergie pour faire face. Et ce serait détruite les bouquins avec. L’eau avance doucement. Tout sauf naturellement. « C’est quoi ? Le retour au bac à sable ? un concours de celui qui a la plus grosse ? » elle prend conscience de s’adresser indirectement à @Alejandro Flores, même s’il n’est certainement pas le premier visé par ses mots. Une partie de l’eau se sépare alors, avance et vient recouvrir le tapis, avant qu’il ne soit trop tard.
Résumé:
- elle parle tranquillement de Vishnu avec Dama jusqu'à ce qu'elle agisse bizarrement (plus que d'habitude ) - elle sms jan qui s'en fait pour ses petits chats - elle voit les spice girls débarquer et se sent à l'étroit là dedans. ça chauffe doucement et ça lui plait pas. - quand fiona fout le feu, gaby fait péter une des canalisations de salle de bain à coté (why not), pour limite les dégats. ET ELLE DIT CE QU'ELLE PENSE DE CE MERDIER
The world was on fire and no one could save me but you. It's strange what desire will make foolish people do. I'd never dreamed that I'd meet somebody like you. And I'd never dreamed that I'd lose somebody like you.
Demi-tour, Lakshan n'a pas souhaité mettre Rose dans l'embarras face à ce qui semblait être la Bratva. Alors c'est sur le parking qu'il l'a attendue. Pour lui la suite était déjà toute faite, elle allait revenir en un morceau et ils quitteraient ces lieux fissa sans plus d'épilogue. Un bal...Quelle idée d'avoir choisi l'endroit et le moment où les quatre mafia se réuniraient, même lui aurait pu le savoir que ça allait dégénérer. Dans son moment d'attente, c'est @Bael Mendoza qu'il a croisé, tandis qu'il déposait un associé retournant en trombe à l'intérieur du manoir. Il faut le vouloir pour revenir, Lakshan a donc pensé à un problème. Quelques mots échangés avec le mexicain, ils décident de rentrer tous les deux dans cet enfer, Lakshan prend une trousse de secours au cas où. L'indien est excédé de voir l'état des lieux, ces histoires de gang vont vraiment trop loin, et tout ça pour quoi ? Il aimerait le savoir, comprendre. Les deux hommes se dirigent vers ce qui semble être la bibliothèque, temple du savoir et lieu dans lequel en général il se sent plutôt bien. A condition d'oublier ce qu'il se passe à l'extérieur. Le sol est inondé, ils évoluent assez difficilement jusqu'à tomber sur un groupe. Lakshan reconnaît @Damariss D. Noble, son élève, quand aux autres, ce sont des visages inconnus. Il y a des blessés, notamment une femme qui menace le type que Bael a laissé descendre de sa voiture et qui semble avoir de vilaines plaies au niveau du cou, grossièrement maintenues avec des attaches, cette fille @Gabriela Jimenez qui dit tout haut ce qu'elle pense et tente de calmer les esprits de manière fort bien virulente. L'indien pose sa main sur le bras de la femme aux cheveux roux, compassion, un appel à la raison. « Assez de sang pour ce soir madame, la jeune femme a raison, si vous mettez pas tous de côté vos différents tout le monde y passera. »
Ganesh n'est pas un guerrier, Lakshan encore moins, il n'est pas armé, il ne saurait l'être. Il remarque @Aodha Ó'Súilleabháin , visiblement blessée, noyée dans la folie. Elle saigne abondamment et il n'essaye pas de savoir si elle est neutre ou d'une mafia. Elle est maintenue, elle semble vouloir partir, elle semble... étrange. « faut guérir ça ». Lakshan a quelques connaissances en médecine, en observant Rose, il a appris, mais n'est pas professionnel. Il se concentre, active ses capacités, passe en profonde méditation interne pour comprendre comment sont formées ses blessures en les observant afin de pouvoir lui prodiguer des soins. « Que lui arrive t-il? Elle a un comportement bizarre » demande t-il à @Sinead Reed tandis qu'il analyse les plaies ;
CODAGE PAR AMATIS AVATARS PAR ECRIRE ICI
Spoiler:
-il arrive avec Bael, lui demande wtf -Ils vont a la bibli et voient le carnage -Lakshan est en mode peace and love et donne raison à Gaby -il veut s'occuper d'Aodha
Ce qu'elle foutait là ? Asrun n'était plus certaine de le savoir. Elle avait accouru quelques minutes plus tôt, alors qu'un piaillement familier s'était étendu dans les cieux. Elle avait vu le pourpre, ici, là, partout, sur ces visages qu'elle connaissait de près comme de loin, sur les murs du Trianon. Elle avait respiré les effluves entêtantes du sang. Alors elle avait simplement tendu ses mains, telle une vulgaire compresse. Elle n'avait pas cherché à comprendre. Elle n'avait posé aucune question. De toute évidence, elle était à mille lieux de tout ce maelstrom. Le pouvoir était un fait qu'elle n'avait jamais véritablement assimilé. Pourtant, tandis qu'elle observait bêtement ce qui se déroulait sous ses yeux effarés, Asrun se dit qu'elle aurait aimé n'être plus qu'un simple mercurochrome. Le sang. Toujours le sang. Un haut le cœur lui vint. Et elle voulut fuir. Sa bouche s'ouvrit sur un mot qui ne passa pas la barrière de ses lèvres. Pourquoi fallait-il que @Fiona Killough ne soit là encore ? Peut-être pourrait-elle l'abandonner à son propre sort, ne serait-ce qu'une fois seulement ? Peut-être... Au lieu de cela, Asrun s'invita davantage dans la pièce, dépassant enfin le seuil de la porte, le pas mal assuré et l’œil hagard. Elle maudissait une fois de plus cette femme qu'elle ne pouvait s'empêcher de suivre, ainsi que sa propre stupidité.
Asrun se racla la gorge, espérant ainsi attirer l'attention de Fiona qui, visiblement, se trouvait en mauvaise posture. Un instant, elle aspira à la rejoindre, un instant seulement où elle occulta ces quelques souvenirs assassins. Mais la réalité lui revint en pleine figure aussi sec. « Est-ce que vous avez tous perdu l'esprit ? », qu'elle balança malgré elle, sans même parvenir à se contenir. Elle en inspira bruyamment l'air, peu rassurée sur la marche à suivre maintenant qu'elle avait ouvert la bouche. « Fiona », qu'elle gronda dans le creux de sa gorge, « arrête ça tout de suite ! ». Elle aurait aimé lui hurler dessus, mais elle n'en fit rien. Elle susurra simplement: « Toi et moi savons que tu as déjà trop joué avec le feu. » Après cela, Asrun se déplaça prudemment vers @Aodha Ó'Súilleabháin. Elle posa délicatement sa main sur celle d'un jeune homme (@Lakshan Rahman) qu'elle n'avait encore jamais vu, l'interrompant ainsi dans sa réflexion. Un rictus amical sur les lèvres, elle lui fit simplement signe de regarder, tandis qu'elle portait silencieusement sa paume sur la blessure de la jeune femme. La chaleur se propagea sinueusement comme l'aurait fait un poison venimeux, refermant ainsi doucement la plaie.
J’ai vu tes peurs se cacher près de notre passé. Et laisse-moi seul, laisse-moi loin de tes côtés. Mais oublie-moi, parcours ces flots, efface mes pas...
Oops... we did it again... ✻✻✻ Un bordel sans nom. Un cirque chaotique, pathétique. Les yeux rivés sur l’assistance, Bael renifle, agacé. Ici comme ailleurs dans ce foutu manoir, les gens semblent avoir perdu toute fierté, tout savoir vivre. Inquiet pour son ami qu’il sait mal en point, il perd patience et lève un de ses berettas qu’il pointe en direction de la reine. Sans sommation, il tire, ratant de quelques millimètres l’oreille droite de la rouquine. Énervé, furieux, il ne répond plus de lui… Lui, tout ce qu’il veut, c’est se tirer d’ici… “Crever m’importe peu, votre majesté, mais soyez bien sûr que je ne raterai pas une seconde fois…*” Joignant les gestes à la parole, il réajuste son arme, plaçant le viseur de son arme sur l’oeil droit de la rouquine qu’il avait déjà menacé auparavant. Malheureusement pour elle, cette menace là n’a rien inoffensive. Plusieurs vies sont en jeu ici. Des vies que Bael refuse de perdre. Il a beau ne pas être le leader de la Calavera, il serait prêt à mourir pour sauver ne serait-ce qu’une vie alliée. Elle a beau avoir l’air puissante, Bael sait qu’une balle dans la tête suffirait à lui offrir un voyage express pour le royaume des éternels.
“Fini ou pas, on se casse… Jan pisse le sang et je refuse de rester là à jouer les babysitters…**” Cette fois, ces paroles sont dirigés vers ses alliés qui, pour une raison ou une autre, semblent prêts à sacrifier leurs vies pour une foutue bibliothèque. Doucement mais surement, son cerveau commence à fatiguer. Passer d’une langue à l’autre le fatigue. Bientôt, il ne ferait même plus la différence entre l’anglais, l’espagnol ou bien le gaélique. Pourtant malgré ça, il continue de jouer, de tirer cette petite corde qu’il sait de plus en plus fragile. “Tu viens avec nous Lakshan***” dit-il finalement en hindi. L’indien a beau ne pas faire parti de la Calavera, il n’en reste pas moins important aux yeux de Bael. Pas qu’il en soit amoureux ou quoi que ce soit, non, surement pas. C’est juste que Bael a des plans. Et pour cela, il a besoin de Ganesh. A l’intérieur de sa caboche, son cerveau se torsionne… Incapable de s’en empêcher, il grimace en secouant doucement la tête. Encore un peu de temps et ses petites interventions orales ne seront qu’un charabia incompréhensible. Comment est-ce qu’on parle anglais déjà ?
[HRP : on m'excusera pour la longueur, trop de choses à prendre en compte et à relier les uns entre elles ]
take off the mask / la bibliothèque
intrigue
Tout en maintenant toujours fermement le bras indemne d’ @Aodha Ó'Súilleabháin , Sinead sent la douleur irradier dans tous ses membres, et la migraine monter, pernicieuse mais puissante. Il s’agit maintenant de laisser Nemhain faire front à la souffrance, mais tenter de rester encore en contrôle, et ça, c’est plus compliqué qu’elle ne pouvait l’imaginer. Impérieuse dans son entrée et la façon dont elle indique la marche à suivre, la Reine les a suivies, et @Fiona Killough n’a pas apprécié de se faire abandonner, du moins est-ce ainsi que Sin comprend les paroles de sa Souveraine et surtout le « Prévenir. ça ne te dit rien ? » Elle ne moufte pas, pour autant, parce qu’elle s’est assez frottée à Killough pour la soirée, et qu’elle sait reconnaître ses propres torts. Elle se rapproche et sans prendre l’objet, lit par dessus l’épaule de la rousse-en-chef, parcourt les lignes étranges qui tourneront en arrière-fond dans son esprit sacrément encombrés. Le brouillard ne se lève pas, d’autant plus qu’une fois Harvey & la jeunette partis, c’est @Damariss D. Noble qui attaque, au sens figuré comme au sens propre, remuant des choses dans les entrailles de Sinead qui n’en avait pas besoin, et renforçant chez Nemhain cette envie de retourner dehors pour combattre et se tailler une bonne petite boucherie. Les billes détaillent la silhouette de la prophétesse et un rictus appréciateur se dessine sur les traits de Sin qui se jure de retenir ces pick-up lines formidables. Elle lutte, Sin. Elle lutte pour rester en contrôle, alors qu’elle laisse progressivement de la place à Nemhain, plus puissante depuis le stade cinq atteint, quelques dizaines de minutes plus tôt. Le cœur palpite de cette envie d’aller en découdre et elle pourrait sans doute tourner les talons et repartir aussi sec vers les jardins, comme Aodha l’y enjoint. Mais l’Attraction faite femme fait une erreur lorsqu’elle plante le coupe-papier dans le cou de Fiona, tandis que la stupeur se lit sur le visage de Sinead et que la détermination change d’objet. La lutte se fera ici, dans la bibliothèque, plutôt que dans le chaos des jardins, c’est ce qu’appelle de ses vœux Nemhain. Et l’âme humaine et l’âme millénaire s’affrontent en silence, à tel point que Sin se fait délester de son arme par @Archer Wu sans l’avoir vu venir. Pour un peu, manquerait plus qu’elle ait une hallucination à ce moment précis et ça serait le pompon !
Qu’est-ce qu’il dit, le voleur ? « Partez, partez où vous sortirez d'ici sur un brancard. » Et sur ces entrefaites, débarque le capitano de la Calavera, le cou en sang -le cou qui dégouline de sang, oui, belle vision. @Alejandro Flores a de la chance que Sin n’ait plus son arme, il aurait eu un autre accueil sinon. Les yeux vont et viennent entre Flores, Aodha et @Fiona Killough . Pas moyen de chercher des réponses tranquillement, on dirait. Mais Flores est moins con qu’il n’en a l’air, avec sa gueule en sang, même si les gestes et les paroles sont loin d’être cohérents. Les mots qui suivent sont étranges, et elle a l’impression d’un père grondant ses gamines restées dehors trop tard, tandis qu’il donne ses ordres à « Gabi » et Damariss. Nemhain veut du sang, Sinead observe, immobile, tout en guettant du coin de l’œil ledit beau gosse (mouais, bof, trop jeune), histoire de voir s’il n’y aurait pas moyen de reprendre son arme.
Wait. Ça sent le chaud, là. Le cochon gri— Merde.
Elle assiste, inquiète, à la réaction de Fiona qui jusqu’à présent avait plutôt encaissé sans vouloir rendre la monnaie de leur pièce aux insultes, injures, manques de respect, et attaques plus ou moins physiques. Ça allait péter, hein, elle s’en doutait, connaissant depuis bien longtemps la Reine, avant même qu’elle n’accède au trône. « Fi… », qu’elle l’appelle sans grand élan autoritaire, le niveau de décibels ne couvrant pas les paroles difficilement prononcées par le Brasier. C’est plus une supplique. Une tentative de la ramener à la raison.
Parce que si le feu atteint les livres, c’est la bibliothèque entière qui crame, et eux avec.
Et @Aodha Ó'Súilleabháin qui paraît totalement imperméable au chaos qui s’instille entre eux, tout endolorie et toute à cette histoire de pomme. Ao, dont les envies meurtrières et guerrières se mêlent aux pulsions violentes de Sin. Morrigan & Nemhain qui s’enlacent, s’embrassent, s’encouragent sans mot dire et motivent l’envie de combat chez l’autre. Elles vont céder aux appels de la Pomme d’Or. Elles pourraient franchir le pas de la porte et repartir d’où elles sont venues. Mais la pression et la sensation de plaie béante dans tout leur corps s’estompent soudainement, au moment où, dans les jardins, @Aksel Beliakov fait don de la pomme à une autre rouquine en souffrance. Sin a l’air de respirer à nouveau, elle qui était toute tendue et luttait contre la douleur. Ne restent que les déesses qui se cherchent encore. « Ao, c’est… Ça va ? », qu’elle murmure, sans vraiment regarder sa voisine, la pression de ses doigts sur le bras de la flic qui s’efface après quelques secondes d’hésitation.
Ça gronde dans les murs de la bibliothèque. Inconsciente que @Gabriela Jimenez a fait exploser des canalisations, Sinead reste sur ses gardes et bande ses muscles, redoutant le moment où il faudra courir. Et Nemhain cogne dans son cœur et dans ses tempes, Nemhain qui veut parler, et Sin qui garde les dents serrées et le souffle court. Nemhain qui veut lancer le signal de la bataille, et Sin qui s’épuise à rester en contrôle, à faire refluer la déesse en elle. Les auras se multiplient, entrent des dieux et une thamaturge du Royaume, le premier qui cherche à apaiser les tensions (@Lakshan Rahman ) , la deuxième qui enjoint sans beaucoup de douceur Fiona à rappeler ses flammes ( @Asrun Solheim ), et le troisième qui… Tire. Dans le vide. Le poing de Sin se referme sur de l’air, elle qui aurait tant voulu son arme pour le mettre aussitôt hors d’état de nuire. Toujours le même qui fout le bordel, toujours le même enclin à raviver les tensions. Si elle savait qu’elle était en présence du dieu de l’amour et des fleurs ( @Bael Mendoza ), elle se marrerait du contre-emploi total et du conflit d’intérêt humain-dieu très probable. Mais l’heure n’est pas à rire, il va falloir jouer serré. Et la rousse, de dire à celui qui la tient en joue : « Tu sais quoi ? Garde mon arme, si ça te plaît. » Je peux en avoir une autre, qu’elle songe, loin de s’attacher à ces bouts de métal. Jouer serré, putain. « Oh, les capitanos ! », les hèle-t-elle, « J’ai pas mon arme, si vous pouviez baisser les vôtres, ça serait réglo. Pas besoin d’un bain de sang ici non plus. » Nemhain rugit au fond de son âme mais Sinead tient bon : « Restez ou sortez, mais n’en jetez plus. » L’aura de la déesse de la guerre irradierait presque de Sinead, si on regardait à l’infrarouge. Un comble pour elle que de chercher à apaiser les tensions -tu parles d’un contre-emploi supplémentaire ! Est-ce cela qui donne à sa voix une influence quasi-martiale ? Probablement. Toujours est-il que, les mains levées en l’air, Sinead s’approche de la Souveraine, à qui elle s’adresse maintenant, en renchérissant sur ce que disaient les derniers venus, à l’exception de Polyglotte-Man ( @Bael Mendoza ) : « Si tu brûles tout, on meurt tous. J’sais pas toi, mais je tiens encore un peu à la vie. » Les yeux qu’elle plante dans le regard de Fiona sont plein de promesses : évidemment qu’ils ne s’en tireront pas comme ça, à long terme. Évidemment que les visages des agresseurs cala-vauriens sont gravés dans l’esprit de la rouquine. Évidemment que, là où la trêve aurait dû permettre une union des Mafias, la Mascarade s’est dévoilée être un piège dans lequel tous se sont engouffrés tête la première (et Sin ignore encore que la Bratva a incendié un entrepôt de la Nuova Camorra, pour l’heure). « Laisse pas cet enfoiré de Mendes gagner. Il est mort c’est nous qui avons la main. C’est le moment de chercher les réponses à nos questions. » Et par nous, il s’agit d’entendre leurs personnalités humaines, parce que Nemhain est vachement pour tous les buter et aviser après. Un murmure, juste pour Fiona : « S’il te plaît, Fi. Fais pas de conneries. », écho à une discussion alcoolisée antérieure. Puis, plus haut, autant pour le Royaume que pour les neutres ou la Calavera : « Y a forcément des réponses à ce qu’il s’est passé ici. Forcément. Regarde la suite du carnet, Damariss, le type parlait de prévenir et d’Arcadia : ça pue la merde. » Un regard qui se coule sur la jeunette, s’attarde sur ses attributs. Et cette phrase qu’elle a lu sur le socle de la statue de Prométhée plus tôt, dans les jardins, qui lui tourne dans la tête de nouveau. 'La vie est un champ de bataille où naissent les héros qui meurent pour que l'on vive.' Peut-être que c’est ça, la réponse. Les héros et leur sacrifice. Les morts en martyre. Peut-être est-ce à l’un d’entre eux de se sacrifier pour enrayer le chaos qui règne en ces lieux ?
Spoiler:
# (rappel tenue : Sin n’a plus de perruque, ni de masque. Sa veste autrefois blanche est rougie du sang de sa sœur divine ; son pantalon et son haut turquoise sont crades (sueur, sang, terre, poussière)) # l’emprise de la pomme s’arrête (concordance des temps avec les jardins NOW), Sin douille moins. # Sin lutte avec l’emprise de Nemhain, qui a été bien chauffée au cul et au combat par Damariss. # Elle tente d’apaiser les tensions (LOL), demande aux Capitanos de baisser leurs armes et laisse la sienne à Archer, en guise d’assurance genre. # En prime, Sin to the rescue, elle essaie de ramener Fiona à la raison. # Et dit enfin à Dama de lire la suite du carnet, parce que ça pue. # Sans en parler, se demande si la solution à tous leurs problèmes ne serait pas un sacrifice volontaire pour enrayer le chaos qui n’a fait qu’empirer depuis la mort de Mendes.
L’arme entre les mains, Archer se tenait toujours en place, tandis que Destiny parcourait les rayons d’un air distrait. Il savait qu’elle était concentrée sur sa tâche, celle de trouver des réponses à toutes ces questions et s’il pouvait aider en rester dans cette position pendant des heures, il le ferait. Fox n’avait pas l’air particulièrement volontaire pour partir. La pièce était plongé dans un calme étrange surtout considérant ce qui était en train de ce passer, c’était comme si le temps s’était arrêté.
Du moins jusqu’à l’entrée en jeu d’un nouvel homme, lui aussi blessé. Il prend vite place dans la pièce, les mots contredisant ses actions, alors qu’il clamait ne pas vouloir d’ennuis mais pourtant tenait Rouky en joug. Il articula bien vite des mots adressé à lui, Archie ne compris vite que Damariss était en réalité Destiny, ou peut-être que Destiny était en réalité Damariss, mais il n’avait aucune idée de l’identité de tous les autres et n’y accordait franchement pas beaucoup d’importance à cet instant précis. Si Destiny partait avec ce type, il la suivrait.
Ils n’eurent pas le temps de prendre de réelle décision, toujours dans la même position, Rouky (@Fiona Killough) se mit soudain à parler, des non-sens que le jeune chinois n’écoutait que peu, trop préoccupé par ce que faisait Destiny et surtout par les flammes qui s’élevaient soudain d’autour de Rouky. Les roux étaient-ils réellement les enfants du diable ? Cette femme n’avait vraiment aucun respect pour ce qui l’entourait, jetant des affaires qui ne lui lui appartenaient pas par terre et maintenant brulant comme par magie une ancienne bibliothèque. Bien vite c’était l’autre jeune femme présente qui s’énervait contre Rouky et l’homme blessé tandis que des bruits suspects raisonnaient dans les murs. Même si Archie était plutôt d’accord avec elle, il n’osait rien dire, il ne savait pas vraiment ce qu’il se passait, ne savait pas qui étaient ces gens et avait l’impression de s’être embarqué dans un truc qui représenterait beaucoup plus d’emmerdes qu’il ne l’avait initialement prévu. Il pouvait sentir que tout le monde essayait de calmer la situation, notamment cet autre homme (@Lakshan Rahman), typé paix et amour, qui essayait de raisonner Rouky avant de se diriger vers la blondinette (@Aodha Ó'Súilleabháin) et de se tenir au dessus d’elle, sans vraiment rien faire, comme s’il essayait de communiquer avec elle ou de la soigner sans gestes. Ces gens étaient vraiment tous plus fous les uns que les autres. Il fut vite rejoint par une autre femme (@Asrun Solheim) qui, elle, sembla effectivement soigner la blonde sans rien faire. Enfin, ce fut une nouvelle entrée, une sorte de duolingo vivant qui s’adressa à plusieurs personnes dans la pièce. Archie ne comprenait pas tout ce qu’il avait dit, n’était même pas sûr des langues utilisées à part de l’espagnol, merci les telenovelas.
Enfin quelqu’un s’adressa directement à lui, Fox (@Sinead Reed), qui lui dit de garder son arme. Archie n’allait pas refuser, les méninges s’activant déjà à l’idée du prix de vente d’un tel objet. Fox continua son dessein, s’adressa à toutes les âmes présentes dans la pièce puis enfin à Rouky, qui était toujours en mode hellmo. Les paroles étaient pourtant toujours mystérieuses pour le jeune homme, qui était Mendes ? Quelles étaient les questions auxquelles elles devaient trouver des réponses ? Elle s’adressa enfin à Damariss/Destiny, qui était quelque part derrière lui.
Il ne savait pas ce qu’il se passait, ni de quoi ils parlaient, ni qui ils étaient, la seule chose qu’il savait c’était qu’il était là pour Destiny et qu’il ne partirait pas sans elle, peut importe dans quel état il serait. Il ne savait pas non plus quoi faire et n’avait pas bougé, toujours l’arme pointée vers Fox, lançant un regard interrogateur à l’autre homme (@Alejandro Flores), celui qui semblait savoir ce qu’il faisait, afin d’avoir une réponse.
Spoiler:
Archie ne comprend toujours rien Il apprend le vrai prénom de Destiny/Damariss Ce post sert un peu à rien dsl mais on apprend qu'il parle espagnol Archie n'a pas bougé d'un poil et attend les ordres de jan pour savoir ce qu'il fait. Il comprend vraiiiiment rien
Yuliya guérit correctement sous mes paumes. Je regarde ce que je peux faire d’autres. J’aide comme je peux et il faut que l’on saute de cette salle. Je regarde rapidement autour de moi, je constate les dégâts autour de moi, je ne sais pas ce qui s’est passé ici mais j’en ai la chair de poule. Le fils de notre Pakhan attrape Yuliya dans ses bras. Oksana les suit et j’en fais de même. Je m’éclipse. Je vais chercher @Lakshan Rahman. Je l’ai vu s’arrêter à l’entrer de la pièce. Il ne pouvait pas rentrer sans risquer de nous montrer ensemble, ce qui n’est pas tellement envisageable devant des hauts gradés de la Bratva. Mon cœur s’est serré quand on a dû se séparer. Je m’éclipse dans les couloirs pour le chercher. J’entends des voix résonner, peut-être qu’il aide d’autres personnes, peut-être qu’il est parti… Je pousse une porte et j’entre dans une bibliothèque. Maladroite Comme je suis, je fais claquer la porte un peu fort. Je m’avance un peu avant de tomber sur un groupe. Mes yeux se posent immédiatement sur l’indien qui fait battre mon cœur. Il est là mais il n’est pas seul, nous ne sommes plus masqués. Je me trouve un peu bête. Je souris poliment. Je ne regarde que Lakshan. « - Excusez-moi, je cherche une personne, apparemment elle n’est pas là… » Mensonge. Je peine un peu à ouvrir la porte pour m’éclipser, je déteste ça. Mes joues sont en feu. Je finis par ne plus m’emmêler les pinceaux et je file. Je pars de la bibliothèque sans trop savoir ou aller, je vais aller chercher mes affaires aux vestiaires je pense, est-ce que je dois l’attendre ? Je verrais… Je suis épuisée et couverte de sang qui n’est pas le mien, cette soirée est tout sauf agréable…
HJ:
action: - Rose quitte le trianon ou elle a soigné les siens. - Elle cherche Lakshan. - Elle le retrouve dans la bibliothèque mais elle ne peut pas se permettre de e voir alors qu'il n'est pas seule puisqu'il cache leur relation. - Elle s'excuse du dérangement et elle s'éclipse - Elle a du sang un peu partout mais tout va bien
Conspirations Multiples. Ce sont des voix qui s'élèvent, tantôt pour trouver la paix, tantôt pour attiser les flammes. D'enfant, qu'on la traite, et elle se contente d'en ricaner. C'est la colère qui parle, le feu de la Reine qui s'anime. Enfant. Si on constate les multiples événements récents du Trianon, elle est loin d'être le bambin qu'on lui dicte. Mais elle ne fera pas l'éloge de l'idiotie. Elle entend les canalisations se rebeller, dans la pièce voisine. Elle a encore plus envie de rire. Sous les flammes ou sous l'eau, cette bibliothèque va mourir, et ses trésors avec, si personne ne se calme. Mais ce ne sont pas les prétendus sages qui proposent une amnistie. Elle ignore le premier appel, trop absurde à son sens. Si la moitié d'entre eux avaient reçu un coup de poignard gratuit, combien aurait invité @Damariss D. Noble à un apéro amical ? Elle les trouve stupides, et clairement impétueux. A croire que même sa couronne invisible ne suffit pas à faire prôner un minimum de calme autour d'elle. C'est le second appel qui commence à la perturber. Inconnu qui s'approche (@Lakshan Rahman), entame son espace vital pour tenter de calmer les flots pyromanes. Mais elle ignore le nouveau sage. Assez de sang, ne l'a-t-elle pas déjà demandé ? N'est-ce pas @Alejandro Flores qui a ignoré ses demandes ? Ridicule. Tout ceci est ridicule. Elle a prôné le calme, elle a prôné la sagesse, et voilà qu'on lui reproche de ne pas garder le contrôle. C'est à la limite du drôle.
Mais il est temps, désormais. En particulier lorsque c'est @Asrun Solheim qui rentre à son tour, à la suivre pour une raison qu'elle ignore, ou qu'elle préfère ignorer volontairement. Ce sont les mâchoires qui se crispent, les poings qui se serrent. La honte, qui s'empare de son petit coeur. Elle soutient le regard, elle accepte le coup porté par les paroles. « Très bien. » Elle inspire profondément. Mais les flammes ne s'éteignent pas. Parce qu'elle ne le fera pas sans échange. Et parce que c'est au tour de @Bael Mendoza de rentrer, et de sortir son arme. C'est à se demander si lui et son meilleur copain ont décidé de venir entamer son espace vital de façon répétitive, pour simplement l'énerver. Elle fait preuve de toute son obstination pour galvaniser sa colère, ravivée par les aboiements pathétiques du petit gamin qui veut jouer au grand garçon. « Voilà un homme avec grand ego, mais petite réflexion. » Qu'il tire, si ça l'amuse. Elle aimerait bien lui brûler la tête, mais il y a @Sinead Reed qui tente une énième approche. Alors que Fiona se met à soupirer. C'est lorsque la Courtisane achève sa demande qui la rousse parvient enfin à retrouver la paix tant chérie. Du moins, à permettre à tous ces ouailles de s'enfuir.
Les flammes s'éteignent, doucement, achèvent leur danse dans un soubresaut de fumée. C'est en posant le regard sur chacun d'entre eux qu'elle noue l'expression mauvaise sur la face. Car la colère est toujours là, en particulier contre les plus violents ici présents. « Bien, j'en ai assez. » Elle pose la main sur le pistolet de @Bael Mendoza, le plus proche à l'heure actuelle, et n'hésite pas à commencer sa descente, l'invitant à achever sa scène parodique de GI Joe. « Visiblement, votre espèce est incapable de canaliser son irrésistible envie de violence. » Elle inspire profondément, secoue doucement la tête et affiche un regard méprisant aux enfants de la Calavera. « Si j'avais peu d'estime pour vous jusqu'à aujourd'hui, vos petits numéros respectifs de ce soir m'ont convaincue de la profonde stupidité de votre Clan. » Elle affiche un sourire carnassier, digne d'un film d'horreur lorsqu'on constate que son propre sang gît encore dans sa petite bouche. « Toi. » Elle se tourne vers @Alejandro Flores. « Tu as égorgé ma soeur. Et un jour, tu en paieras le prix. » Elle se calfeutre, son âme, alors que la douleur dans sa nuque s'obstine à faire lanciner le karma. Elle se tourne vers ses comparses (@Sinead Reed et @Aodha Ó'Súilleabháin), alors que le visage ne reflète désormais qu'un calme olympien. « J'ai assez côtoyé la mort ce soir. Je rentre. Vous devriez en faire autant. » Mais c'est vers @Asrun Solheim qu'elle se tourne, le regard perçant. « Tu viens avec moi. » Elle ne la laisserait pas ici dans un tel foutoir. Alors elle avale difficilement sa salive, qui se perd dans les mutineries sanguines de son oesophage. Evite les armes, soulève les pans de sa robe imbibé de sang désormais bien sec. Prend la porte et s'en va.
Spoiler:
# Fiona écoute chacun des arrivants et parvient à se calmer grâce à @Asrun Solheim & @Sinead Reed. # Elle refuse néanmoins de rester plus longtemps, trouvant le comportement de chacun ridicule, et ayant déjà constater le manque clair de réflexion de la Calavera. # Elle conseille à @Sinead Reed & @Aodha Ó'Súilleabháin de partir. # Elle ordonne à @Asrun Solheim de la suivre et s'en va. Elle menace néanmoins @Alejandro Flores avant de partir, pour ce qu'il a fait à @Mairead Breachnach.
Rien comprendre de ce qui se passe. Arme dardée sur l’une, colère dans les mots de l'autre, angoisse d’un padre pour ses enfants. Pourquoi j’me fais chier à chercher une femme pour avoir un héritier, quand j’ai déjà deux chatons à protéger ? Sérieux, mon nom accolé à Celui de @Damariss D. Noble ou de @Gabriela Jimenez et zou', on est bons pour la suite des Flores ! Les yeux qui jonglent entre les deux jeunes femmes (ou les quinze vu le nombre de chica au mètre carré), les oreilles qui écoutent les paroles accusatrices de @Gabriela Jimenez (toi et moi, on causera plus tard mi corazon). Puis le feu. Puis l’eau.
Puis la peur de ne pas savoir nager et de plus craindre la piscine que les flammes de ze queen. Bordel Gabi, pas maintenant que tu lui dis dans un regard Alejandro.
Puis la porte qui s’ouvre et… Okey, là c’est la merde, encore des inconnus (@Lakshan Rahman). Et plus y’a de corps, plus y’a de chance que ça pète dans le feu et les flammes. Et en parlant d’incendie, c’est le joli cul de @Bael Mendoza qui débarque. Plus on est de fou, plus on rit, non ? Bizarrement... Le Trianon c'était pas très drôle....
Balle qui part et qui manque de faire un joli trou à l’oreille de la grande Reine @Fiona Killough (une Reine a toujours besoin de bijoux, non ? ). Alejandro qui reste sur ses jambes, un regard vers Bael, le flingue chargé, prêt à suivre son frère d’arme s’il le faut. Et puis ça se calme, lentement mais surement, les dons s’amoindrissent alors qu’une thaumaturge apparait et vient soigner la blonde @Aodha Ó'Súilleabháin.
Les mains salvatrices de l'oracle. Ma gorge qui se déchire un peu plus de minutes en minutes. Hésiter, hésiter. Non. Jamais se coucher devant le Royaume. Pas envie de me plier face à des des nains d’jardins.
Je ne bouge toujours pas, écoute, regarde légèrement, à droite et à gauche, comment se barrer sans que ça parte en couille. Un pas, deux, arme chargée et prête à tuer alors que je me plante à côté de @" Gabriela Jimenez" « Gabi, mi amor, respire et… Calme toi. Arrête s’il te plait» que je murmure à la jolie brune en dardant mes prunelles contre elle. Allez Gabriela, c’est rare que j’sois poli, alors stoppe tout ça. Et juste après, reprendre le rôle du capitano, écoutez les mots d’apaisement que @Sinead Reed balance à sa Queen. Et rien faire. Attendre. Hésiter. Voir le regard d’incompréhension de @Archer Wu et lui intimer d’un coup de tête de venir de mon côté.
La scène est bloquée sur pause, personne n’ose faire un pas de plus, ni tirer. Car si une balle part, @Alcide Bellandi enverra sa note à la Calavera pour destruction du savoir de la Nuova. (même si clairement, je suis pratiquement sûr que Bellandi ne les a jamais lu, ces bouquins). Et quand la porte s’ouvre, j’ai juste envie de gueuler un gros "mais cassez vous bordel ! " histoire d’arrêter le massacre. Mais visiblement, soit la jeune femme (@Rose Havel) est télépathe soit elle est plus intelligente que les leprechauns du Royaume. Dans tous les cas, elle se barre et permet à la scène de reprendre. Comme un doigt qui appuie sur le bouton play de la série télé "Dramarcadia"
Et puis y’a les mots de @Fiona Killough qui brûlent mes entrailles , les insultes dardée sur la Calavera, le venin du serpent qui fuit. Et ma tête de mise à prix. Mais je reste concentré, j'éteins le feu qui sévit et qui réveille Ah Puch, je reste focalisé sur l’unique raison de ma venue : sortir de là les filles et nous barrer. Le barbecue de lutins, ça sera pour une autre fois, et j’me ferais un plaisir de servir la barbac de @Fiona Killough sur un plateau à Mac, car clairement… Y’a de quoi se nourrir avec les hanches de la grande dame.
«Bael, on baisse nos armes.» Et accompagner la verbe du mouvement descendant, m9 rangé lentement à la taille. «Beaugoss, toi aussi» que je balance à @Archer Wu. Et voir les gouttes de sang perler sur le sol. Putà….@Asrun Solheim toujours en ligne de mire, plaies qui s’ouvrent, encore et encore, hésiter encore et encore… « Damariss continue de vous aider si vous me soignez…" et attraper le bras de @Damariss D. Noble pour empêcher la gamine d’aller lire les bouquins. « Et vu que t’étais au Trianon avec nous Sinead, j’pense qu’elle en sait plus sur vous sur cette… quête aux bouquins » Pardon Dama, de te prendre en otage. Et voir @Asrun Solheim disparaitre avec la Reine et se dire que, j'ui vraiment dans la merde.
Spoiler:
- Jan ne fait rien et reste en position d'attaque. - Le feu et l'eau débarquent dans la biblio, c'est la merde, il a peur car il sait pas nager - Il calme Gabriela et voit Sinead faire de même avec Fiona. - Fiona insulte la Calavera, pire chose a faire devant Jan mais le capitano ronge son frein (mais imagine le futur barbec avec plaisir ) - Au départ de Fiona, il demande à ce que les armes soient baissées du côté de Bael et Archer - Il attrape le bras de Dama et dit à Sin que la Cala aidera seulement si leur thaumaturge le soigne
The world was on fire and no one could save me but you. It's strange what desire will make foolish people do. I'd never dreamed that I'd meet somebody like you. And I'd never dreamed that I'd lose somebody like you.
Tension à son comble, échanges de haine, malgré l'accalmie que l'on tente de trouver. Le juste milieu ne parvient à être trouvé et c'est le temps qui leur est compté. Lakshan observe les uns et les autres, leurs langues plus aiguisées que des lames de couteaux. Faut il leur hurler de se la fermer ? Pas le temps de réagir, un lourd frisson court l'échine de Lakshan qui voit apparaître le minois de sa cavalière @Rose Havel. Il lui a pourtant laissé des instructions par message, elle doit l'attendre dans la voiture, sur le parking et s'en aller avec si ça dégénère. Contrarié de la voir se mettre en danger alors qu'elle est épuisé, il n'a pas le temps de lui dire quoi que ce soit qu'elle disparaît tout aussi vite qu'elle est arrivée. Lakshan espère donc qu'elle l'écoutera cette fois-ci. Il déglutit, se reconcentre et alors qu'il est sur le point de demander ce qu'il se passe, c'est la jeune femme aux cheveux de feu accompagné de sa guérisseuse qui prennent la porte en ignorant la demande d'un homme en piteux état à la gorge digne d'une scène de boucherie. Histoire de continuer dans ce qui le réfute l'hindou entre les mafias ; le manque d'humanité, les histoires qui les rend plus orgueilleux qu'ils ne le sont déjà tous quitte à regarder un homme mourir sans en éprouver la moindre compassion. Pas assez de morts, pas assez de sang visiblement, et ce sont les mortels qui se rient des dieux à cet instant, leur temps bientôt sera terminé s'il n'y a pas d'unité. Lakshan n'a pas de pouvoir de guérison mais il possède l'empathie et la compassion, alors il soupire et vient retirer sa veste pour la donner à @Alejandro Flores faire pression dessus quand les plaies s'ouvriront et que les agrafes céderont. On le voit, petit à petit, il a l'air d'avoir l'habitude, c'est impressionnant. « Vous devriez aller chercher quelqu'un de plus aimable qui pourra vous réparer cela, je connais Damariss, je veillerai sur elle. » Lakshan reporte ensuite son regard sur @bael Mendoza qui lui a demandé de venir avec eux, mais la fuite n'est pas la solution à ses yeux et neutre qu'il est il ne peut pas prendre part « T'es un mec intelligent Bael, on aura besoin de ton esprit ici aussi, faut que ça s'arrête ce qu'il se passe dehors» il répond à Bael en hindi, ce dernier sait l'envie de paix de Lakshan, il ne peut pas le forcer à partir de cette manière.
Promesse faite, promesse toujours tenue. Lakshan essaye de recentrer l'attention de ceux qui restent sur le problème présent : le foutoir ambiant de cette soirée de merde. « Quand nous sommes revenus j'ai vu les quelques mortels dans le jardin, ils avaient l'air...Possédés » Une situation n'arrive pas par hasard, les obstacles peuvent être brisés dirait Ganesh, à force de sagesse et de volonté. Inutile de dire qu'il est nécessaire de trouver une solution ou bien tous vont y passer, tout le monde a vu, tout le monde a assez d'esprit pour savoir que la situation ne peut être laissée comme ça. D'abord à titre informatif, il est bon de prévenir ce qu'il se passe en bas quand ils sont passés devant « Ils répètent chaos, incessamment, quelqu'un sait ce qu'il s'est passé dans le trianon ? Qui a fait ça ? Il doit y avoir un moyen de cesser cette comédie » Recentrer les choses d'abord, que tout le monde soit sur un pied d'égalité concernant les informations, puis les trier, les mettre en commun, trouver la solution.
CODAGE PAR AMATIS AVATARS PAR ECRIRE ICI
Spoiler:
-Lakshan est soulé par les mafia -Lakshan est encore plus soulé par les mafias -Lakshan espère que Rose trouvera le chemin sans se faire attraper -Lakshan donne sa veste à Jan pour qu'il fasse pression sur sa blessure et lui propose de veiller sur Damariss -Il les informe tous de ce qu'il se passe dans les jardins, essaye d'avoir un esprit d'unité pour chercher une solution
À la suggestion de la Reine, Sinead échange un regard avec @Aodha Ó'Súilleabháin . Compte tenu du fait que les désirs de leurs hôtes respectives se mêlent, Sin est loin de dire qu’elle a trop côtoyé la mort ce soir. Quand on pense qu’elle avait tanné le cuir de la blonde pour qu’elle la retrouve à cette petite sauterie qui aurait dû se passer bien mieux que cela, on peut se dire que Sin en doit une à Aodha. Elle lui paiera un coup plus tard. Pour l’instant, c’est toujours l’envie de comprendre qui tend l’humaine, tandis que la déesse a compris que l’heure ne serait pas au combat à mains nues. Très bien.
Attendez, elle a bien entendu ? Elle dévisage @Alejandro Flores , l’air de se demander d’où il connait son prénom complet, loin de se rappeler pour l’heure que c’est ledit Flores avec qui elle a fini au poste de police, quelques mois après leur éveil respectif, pour s’être battus comme des chiffonniers. En lui, pour le moment, elle ne voit que le capitano, qui accepte d’abaisser le canon de son arme, enjoint ses compères à en faire de même et commence à faire son chantage, qui tombe à l’eau dès que la Reine et la Thaumaturge passent la porte. Bref, un type qui a l’air moins con que ce qu’elle croyait, mais qui se fait blouser dans son bluff pourri. « Mmh… Et si tu t’asseyais quelques minutes ? » Elle n’est pas gentille, elle est simplement pragmatique. S’il s’assied, il lâche potentiellement @Damariss D. Noble. Des lueurs bleues et blanches zèbrent les murs de la bibliothèque face aux fenêtres, quelqu’un a dû appeler les secours. Ses billes bleu-vert suivent @Lakshan Rahman qui s’approche de l’hispanique et lui file sa veste, bientôt ruine par le sang. Elle écoute, attentive, ce que le jeune homme peace&love raconte sur le dehors, et ce qu’elle entend lui hérisse les poils. Coup d’œil aux capitanos, ce qui s’est passé dans le Petit Trianon ne regarde que les gradés des mafias, mais il y a peut-être un élément qui suffirait à expliquer tout ceci : « Il s’avère que ce fumier de Mendes était probablement une récurrence du Titan Chaos, ça peut expliquer tes mortels des jardins. Forcément, il a foutu le bordel. Quant à savoir comment mettre un terme à cette mascarade, je pense que les réponses sont ici. Il suffit juste de les forcer un peu. » Elle ne sait pas qu’elle est à ce point-là dans le vrai, n’ayant jamais entendu les paroles funèbres du Divinement Puni.
Et la voilà qui regarde autour d’elle, n’en ayant plus rien à cirer des armes encore sorties, des menaces encore toutes fraiches, de part et d’autre des camps en présence. Elle doit comprendre. Elle doit trouver quelque chose qui leur permettrait de revenir à la normale. N’importe quoi. Elle s’approche d’une étagère et commence à sortir les livres, un à un, en regardant leur tranche, avant de les laisser tomber ensuite derrière elle. Elle ne sait pas ce qu’elle cherche, un bouquin sur les sacrifices des héros volontaires, une histoire de possession, un esprit caché entre les pages cornées d’un vieux manuscrit, un passage secret, n’importe quoi. « Vous avez trouvé quoi, jusque là ? » interroge-t-elle tout en continuant son œuvre, avec les étagères plus basses.
Spoiler:
# (rappel tenue : Sin n’a plus de perruque, ni de masque. Sa veste autrefois blanche est rougie du sang de sa sœur divine ; son pantalon et son haut turquoise sont crades (sueur, sang, terre, poussière)) # elle a un rictus quand Fiona & Asrun sortent de la bibliothèque alors que Flores faisait son chantage affectif # elle ne reconnaît pas Flores # elle répond évasivement à la question de Lakshan, sans préciser à quel point tout a vraiment dégénéré entre les factions dans le Trianon # elle force un peu le destin et commence à vider l’étagère la plus proche d’elle, tout en demandant à qui veut de récapituler tout ce qu’ils ont pu trouver d’utile jusqu’ici (Archer, Dama, Gabi, battez-vous ) .
Tout se passe sans qu’elle ne réagisse. Elle ne comprend pas Aodha, parce qu’elle n’est pas vraiment avec eux. La douleur de la balle elle ne la ressent plus. Il n’y a que l’appel de la pomme qui se fait éclatant. Elle a l’impression que ses neurones sont en train de griller parce qu’elle est trop loin. Dans son crâne il n’y a que violence et pulsions qui naissent. L’envie de tout faire exploser. De les voir tomber comme des mouches les uns après les autres. Tous dans son royaume pour avoir la paix. Pour fuir jusqu’à son bien le plus précieux. Beauté aux reflets d’or qui l’appelle encore. Toujours. La sienne. Elle n’écoute rien Aodha. Elle sent juste Nemhain qui est en train de bouillir à côté d’elle. Et sa déesse. Celle qui vit en elle suit le même train. Aodha veut du sang. Sinead en veut à son tour et ça se transmet de plus en plus fort. Il y a juste la douleur qui l’obsède plus fort et qui l’empêche d’être rationnelle. Elle va les tuer et repartir dans les jardins. S’emparer de la pomme qui pourtant ne l’appelle plus. La douleur qui disparait aussi rapidement qu’elle est arrivée. Les voix qui se taisent et le regard bleu qu’elle laisse vide vers le sol. La blonde elle doit remettre ses idées en place, retrouver sa conscience, elle a besoin de comprendre aussi ce qu’il se passe et ce qu’il lui est arrivé. Parce que la Aodha, elle ne sait pas vraiment ce qu’elle fait ici. Et cette brûlure. Yeux qui vont vers son bras et constate le sang. Elle a pris une balle, elle se rappelle quand et pourquoi. « Sin. » Qu’elle dit simplement alors qu’Asrun fait son entrée et s’approche d’elle. Elle n’entend pas vraiment les mots. Elle ne se braque pas. « Tu vois Bro elle avait raison finalement. » Elle sent la plaie se guérir miraculeusement, le sang qui cesse de couler et la douleur qui disparait. « En plus lui il est tellement con qu’il me file mal au crane. » Monsieur je parle toutes les langues du monde. Monsieur je suis un connard impulsif qui se la joue. Des fois Aodha elle se demande comment ces chicanos font pour oublier de réfléchir. Peu importe. « Merci. » Qu’elle dit calmement à l’ange débarquée de nulle part et qui l’a soignée. Le reste n’a strictement aucune importance. Elle se contente de soupirer en étirant son bras plus neuf que jamais. Aodha elle est impressionnée, ça l’a fait même sourire. Avant que son regard soit reporté sur l’un des jalapenos. Nouveau soupire. « Hey jolie gueule de mort. Arrête s’il-te-plait. » Elle le fixe, loin d’être dégoutée par l’art du sang qu’il arbore de tous les côtés. « Ecoute Sin, assieds-toi, il ne vaut mieux pas trop t'agiter dans ton état. » Elle hausse les épaules en attrapant l’étui de clopes qu’elle a volé tout à l’heure. Ça au moins, ça ne la déçoit pas. Surtout quand elle s’en grille une. « Moi je me barre, vous faites tous chier. Sin, viens on dégage. C’est nul cette soirée et ça ne mènera à rien. On s'en fout de Chaos, on a pas besoin de tout ça pour être fortes. » Autant retrouver cette vie d’avant. Celle où elle n’était qu’un fantôme du royaume. Où elle n’était pas impliquée. C’était tellement plus simple et c’est ce qu’elle va redevenir.
Spoiler:
- Aodha finit par revenir sur terre quand la pomme cesse de la tenter. - Le peu qu’elle entend lui file la gerbe. @Bael Mendoza mériterait de se faire enfoncer son flingue dans divers orifices histoire d’apprendre la patience. - Elle aime bien @Alejandro Flores sans trop savoir pourquoi, mais sûrement pour l’aura qu’il dégage. Frère de mort tout ça. En plus lui il sait réfléchir et il a pas l’air d’être aussi débile que les autres. - En vrai, elle veut juste se casser, elle est saoulée et ne va pas rester très longtemps encore alors elle demande à @Sinead Reed de se barrer avec elle et passer à autre chose.
BLAZE : god of all gods. CREDITS : . FACE : . DOLLARS : 11880 SACRIFICES : 3468 PORTRAIT : ANNEES : aussi vieux que le monde.
INTRIGUE + bibliothèque - Mar 28 Aoû - 22:02
take off the mask
season 1 - episode two.
Divinités guerrières (@Sinead Reed & @Aodha Ó'Súilleabháin) qui font leur entrée dans le temple de la connaissance, suivies de leur reine (@Fiona Killough), victime elle aussi des troubles du trianon. Et le blessé et celle qui veillent sur lui (@Samuel Harvey & @Lucy Jericho) qui s'éclipsent, dans les traces de sang qui marquaient le parquet. Pas sans avoir déchaîné les pouvoirs de la jeune rousse sur @Damariss D. Noble, qui se fait fille des désirs, qui se fait désirable. Qui déchire la peau de la reine d'un coupe-papier. Et @Archer Wu qui succombe, l'arme dérobée et pointée sur Sinead. Et le capitano (@Alejandro Flores) qui entre à son tour, matou protecteur en quête de ses chatons, témoin du feu qui naît des veines de la reine et embrase le tapis et le bureau. Et les canalisations qui explosent sous la colère de la jeune @Gabriela Jimenez, l'eau qui recouvre le tapis embrasé. Et d'autres qui entrent encore, s'invitent dans la bibliothèque déjà bondée. Des marchés passés, certains qui s'éloignent. Et au milieu du chaos, un second carnet qui tombe d'une étagère branlante et cogne le crâne de @Sinead Reed en pleine quête, avant de s'écraser à ses pieds, ouvert à une page, l'encre par endroits effacée par les éclaboussures.
Citation :
(page 15)
[début illisible] J'ai ainsi entamé de longues recherches sur l'un de ces hommes, que j'incarne dans mes songes et dont le nom m'est apparu. Monsieur Nuzzi. Qu'elle ne fut pas ma surprise lorsque [suite illisible] Plus grande fut-elle encore en apprenant que monsieur Nuzzi avait bâti son domaine ici même, à Elysium Height. Inutile de s'affoler, mon incoscient me joue des tours. J'ai probablement entendu son nom avant d'entamer la construction de l'Eden [suite illisible]. Étrange chose qu'est le cerveau humain, surtout lorsqu'il déraille !
M. A. Novelli 28 janvier 1953.
VINGT JUILLET 2018 — la nuova camorra organise son bal masquerade pour sceller la trêve entre panthéons; toute la ville est invitée, mais toute la ville n'accèdera pas à l'ensemble des pièces du manoir. » les salles sont désormais ouvertes. n'hésitez pas à y rp et chercher des indices...
LES DIX COMMANDEMENTS » pour que vos actions soient prises en compte par le mdj, un résumé sous spoiler de votre intervention sera à mettre (nb: privilégiez les actions 'politiques' dans le résumé) » essayez d'intégrer au maximum les autres membres, n'oubliez pas que vous êtes tous masqués, petits coquins. » en participant à cette intrigue, vous acceptez de laisser en partie le sort de votre perso entre nos mains... promis, nous ne tuerons personne, c'est juré, mais vous êtes susceptibles de recevoir un mp du mdj à tout instant, et il vous faudra jouer le jeu (sinon c'est pas drôle) » amusez-vous
@Lakshan Rahman qui me donne sa veste (mec, maintenant on est lié, tu viens de me sacrifier quelque chose qui t'appartient) pour comprimer les plaies dont les agrafes sautent une à une. La tête qui tourne, la colère qui grogne dans le ventre depuis les mots de la Reine du Royaume. Mais Alejandro qui reste debout, lâche le bras de sa@Damariss D. Noble qui peut aller vivre sa vie où bon lui semble (sauf au pays des lutins). Peut-être vers ce don juan @Archer Wu qui m’a envoyé le sms de secours… Je note de me rappeler de ce gosse, il peut être intéressant pour la Calavera. Malgré ses airs de saint d’esprit, j’ui sûr que y’a quelque chose de plus fort derrière ce regard de gamin paumé.
@Sinead Reed qui nous refait l’épisode de « Amour, chaos et divinité » histoire de mettre tout le monde au courant que les Titans ont débarqué. Titans qui ne me vrillent pas un poil de moustache tant le panthéon auquel ils appartiennent pue l’olive et les spaghetti à plein nez. Chaos. Ouais, okey et sinon ? Y’a que ça comme entrée ? Où est le dessert ? " Tu as oublié de parler du super éclat de miroir que vous vous êtes tous passés comme si c'était le saint graal! " *insérez ici un wink wink envers @Sinead Reed*
Je jette un regard vers @Bael Mendoza, @Gabriela Jimenez et je suis prêt à reculer pour me barrer quand Casper débarque et renverse un livre sur la tronche de @Sinead Reed. Le gosse de 16ans rigole, face à la mine effarouchée de la jolie rouquine. Livre ouvert sur le sol, Ah Puch trop curieux et qui s’approche de la damzelle du royaume pour attraper le bouquin sans lâcher la veste des doigts. Regard en coin lancé à @Sinead Reed qui aurait surement voulu regarder en première et … " Devine quoi, j’ai appris à lire depuis notre dernière rencontre !" Et débuter la lecture de manière…. particulière. " Bla-bla-bla…sur l'un de ces hommes, que j'incarne dans mes songes….Bienvenue dans notre monde hijo de puta…Blablabla...et dont le nom m'est apparu. Monsieur Nuzzi. … Tiens, ça ressemble à celui du bogoss de la Camorra ! Le gars qui mattait Trini…Brazzi ! Blablablabla donc, Brazz’Nuzzi avait bâti son domaine ici même, à Elysium Height. Inutile de s'affoler, mon inconscient me joue des tours…." Ne pas relever la tête mais pourtant sourire face à mes remarques intégrées à la lecture. Je me fais rire moi-même, si ça c'est pas du génie ! "...Le mec est totalement bourré enfait, vu les tâches sur le livre j’ui même pas étonné. Faut se calmer sur la picole à la Camorra, j’espère pour eux que Dyoni-machinchose n'a pas encore débarqué sinon… Bla-bla-bla….la construction de l'Eden… Blablabla ….Etrange chose qu'est le cerveau humain, surtout lorsqu'il déraille… Et encore bienvenue dans notre monde ! Vous auriez vu le tour de Brazzi tout à l’heure avec les cervelles de la Bratva et du Royaume, les gars controlaient plus rien, c'était tellement drô-…." Et relever la tête. Et croiser les yeux de @Sinead Reed et balancer le livre sur la table en mode "tagueule Alejandro, t'es déjà dans la mouise avec les leprechauns" " … Enfin… Rien de nouveau sous le soleil d’Arcadia. Des titans, de l’alcool, des sacwifice, des cerveaux qui pètent, des bogoss et… Brazzi qui a perdu le titre de "nom le plus original de la soirée" avec le Nuzzi de ce livre". Quelqu’un aurait son numéro aufait ? J'aurais des questions à lui poser quand on sera sorti de ce merdier."
Et sourire. Sans se rendre compte un seul instant que dans ton cerveau, Jan, ça vient d’imploser sous ce qu'on appelle communément l'intelligence.
Ou peut-être, la connerie. Ça, ce sera aux autres de juger ton talent d'orateur Flores.
Spoiler:
CECI EST UNE RÉPONSE À LA FOIS LOGIQUE ET BULLSHIT MAIS ON DOIT FAIRE AVANCER
- Il ajoute l'indice du miroir à l'explication de Sin sur les titans. - Jan rigole quand le livre tombe sur Sinead. - Il le choppe avant la Fée du Royaume pour lui prouver qu'il sait lire. - Il lit à voit haute et insère ses propres remarques (entre insulte, trollage et indice du trianon) à travers la lecture. - Il parle de "bienvenue dans notre monde de récurrence" face à l'incarnation d'un homme", fait une connexion entre Nuzzi et Brazzi. Il parle de Dyonisos car ça pue l'alcool dans les mots écrits, mais il ne sait pas que Dyoni c'est Brazzi. Il parle aussi des "esprits détraqués" dans le trianon. Et il fait un résumé à la fin avant de demander le number de Brazzi - Jan est un surdoué incompris. - Et il a faim.
Comme si la Bibliothèque était hantée, ou accueillait une force puissante, un hasard bienveillant (donc, l’exact opposé de ce charmant Carlito-RIP-petit-ange-parti-trop-tôt), vraisemblablement, il n’était pas dit que Sinead allait suivre @Aodha Ó'Súilleabháin qui voulait s’en tirer. Parce que toute déesse de la frénésie qu’elle était en son for intérieur, Nemhain s’entendait parfaitement avec la Reed sur un point : il y avait une nécessité vitale à ne pas s’engager sans savoir ce qui les attendait au tournant. À la guerre, soit. Mais dans la vie de tous les jours, où le piège de l’Eden se refermait sur eux, c’était pas trop la bonne idée. Alors il fallait fouiller, lire ce carnet qui venait de lui cogner le crâne et… Mon livre !@Alejandro Flores venait de le lui chiper. Grognement, après un instant de bug cérébral à l’allusion d’une rencontre antérieure. Un regard à Aodha, moins pour lui demander en silence de l’aider à tabasser le capitano voleur (mauvaise idée vu qu’ils sont armés, les Calavauriens, et pas elles), que pour lui signifier par une tête secouée rapidement qu’elle ne sortirait pas d’ici tout de suite. Pas avant d’avoir compris. « M’attends pas, on se voit demain. » Promesse d’un lendemain meilleur peut-être, d’un mystère au voile partiellement levé ? Elle ne veut pas retenir éternellement sa sœur, mais lui intime de faire attention à elle pour qu’elles puissent effectivement se retrouver le lendemain pour calmer Bronach, en probable position latérale de survie depuis une heure.
Et de revenir à Flores et ses élucubrations. Et de tiquer. Deux fois. De répondre quand il commence à s’enquérir d’un numéro pour joindre l’Ivrogne de service de la Nuova Camorra. « J’ai. » Sous-entendu, son numéro. Elle ne précise pas plus, parce qu’il y a une coïncidence qui pue, encore une, toujours une : « Et tant qu’on y est, la coïncidence semble foireuse, mais c’est Brazzi qui accueille Dionysos, si c'est bien lui qui occupait Machin Nuzzi ou Novelli, là. Mais pour se croire être Nuzzi… » La picole, ouais. Encore faut-il que Nuzzi ait un lien avec la Camorra, ou Novelli, pour ce qui les regarde. Ou alors, c'est une histoire de récurrence et de niveau plus avancé. Un vieux mec, avec un âge avancé, pourrait effectivement avoir ce genre de souvenirs mêlés à ceux de son humain… Son père s'y perdait avant de mourir, les vies antérieures, le Midir qui l'engloutissait en prime. Le regard que Sin adresse à Flores est évocateur : après tout, ils sont de familles qui savent dans quel monde elles vivent. Autant dire qu'il doit avoir compris aussi, ce qui arrivait à Novelli. Elle ramasse le livre que le capitano a remis sur la table et commence à le feuilleter, pour voir si des noms attirent son œil averti, tout en gardant une oreille attentive sur les révélations possibles de ses compères d’une nuit, si ça confirme ses doutes. Et cette foutue citation qui tourne encore dans sa tête, ce socle de Prométhée qui la hante presque.
Spoiler:
# spécial dédicace à Carlito pour ce message chaotique & speed # Sin indique à Aodha qu’elle reste tant qu’elle n’a pas de réponse. # Résiste à l’envie de mordre Jan qui lui pique son livre. # Indique que Brazzi = Dionysos, et qu’elle a son numéro. # Suppose que Melozzo était stade 6, sans pour autant l'exprimer à haute voix (regard échangé avec Flores, qu'elle commence à remettre plus ou moins). # Feuillette le carnet à la recherche d'infos supplémentaires, tout en écoutant les autres. # Sent que toute cette histoire continue de puer l’arnaque, et continue de réfléchir à comment tourner la phrase sur les héros pour y piger quelque chose.
Gabi, mi amor, respire et… Calme toi. Arrête s’il te plait » Un instant, ses prunelles se posent sur Alejandro, le considérant sérieusement. Elle a jamais aimé qu’on lui dise quoi faire. Comment le faire. Période bien révolue. Mais elle sait aussi que Jan n’est pas eux. Alors elle capitule. Après tout, il a demandé gentiment, nan ? Les bras qui retombent le long de son corps, l’eau qui arrête d’affluer, et qui semble presque se retirer, tout doucement. Le brasier stoppé presque au même moment, Gaby repend doucement contact avec la réalité. La bibliothèque, le bordel. Les irlandaises qui se font la mal. C’est peut-être pour le mieux. Sauf une (@Sinead Reed). Mais elle a l’air déterminé à comprendre ce qu’il se passe ici. Pourquoi pas. Gaby a toujours apprécié les gens ouverts d’esprits.
Elle écoute ce qui se dit, et se demande s’ils étaient tous dans une dimension parallèle à un moment donné, ou si la bibliothèque a juste miraculeusement été la seule pièce épargnée jusque là. Des possessions de mortels ? des titans ? S’il y a bien une chose qu’elle sait, c’est que n’importe quelle divinité se nommant chaos et s’incrustant n’est clairement pas bon signe. La dénommée Sin qui se questionne avant qu’un bouquin ne lui tombe sur la tête. Un miracle qu’elle ne soit pas assommée. Pas complètement. A croire que maintenant, les fantômes s’en mêlent. Comme si les titans, c’était pas assez. @Alejandro Flores qui se met à lire et Gaby fronce les sourcils. Trop d’informations, trop de choses qui se rejoignent. Comme un labyrinthe dont on ne voit pas le bout. La môme s’avance vers les premiers journaux avant de se tourner vers la brune. « On a trouvé ça tout à l’heure. Ce gars, Novelli, il disait rêver d’une autre vie, d’un autre visage, d’un nouvel Arcadia. Qu’il devait prévenir. Il dit pas de quoi. Il semble même pas le savoir lui-même… Et visiblement, y’a pas que de l’alcool qu’il prenait. L’opium aussi. » Elle referme le journal avant de hausser les épaules. « m’enfin ça peut aider, l’opium, à se replonger dans ses rêves, à démêler les choses. Parfois. » Information personnelle d’une vie qui lui semble lointaine.
Ca lui échappe pas, les regards qu’ils se lancent, comme s’ils comprenaient quelque chose qui lui échappaient. La vérité, c’est que Gaby n’a pas connu ses parents bien vieux. Elle ne se souvient pas complètement de ce que ça fait, d’être à un stade plus avancé. Mais ça l’empêche pas de réfléchir, d’essayer de connecter les points, plutôt que se replonger dans des souvenirs toujours douloureux. Elle retourne vers les étagères, dégage des bouquins, en sort d'autres, lis la tranche, en feuillète certains avant de se stopper. « Attendez… Dyonisos, les titans… Y’a pas eu des merdes ? il a pas fini en petits morceaux ? » le dégout d’une scène pareil se lie sur son visage, alors elle se tourne vers @Damariss D. Noble. « C’est pas un truc comme ça ? » elle se dirige vers l'un des tableaux, semblent vouloir le faire bouger, comme pour y chercher une cachette, dissimulée. A croire qu'elle a vu bien trop de films.
Résumé:
- elle a arrêté l'eau - elle résume l'un des journal à Sin. avec novelli qui semblait devoir "prévenir" de quelque chose - elle se souvient vaguement d'un truc. d'un mythe, avec les titans qui auraient découpé dyonisos. elle demande à Dama - elle remue dans la bibliothèque, à le recherche de plus d'indices. d'autres journaux, et pourquoi pas derrière des tableaux
Les gens entraient, sortaient, le tapis cramait, la flotte abondait.
Là où une âme plus charitable aurait fait un jeu de mot très fin avec le chaos et les révélations titanesques récentes, Damariss se contentait d'un « Putain, c'est le dawa ».
Les événements, pourtant tout juste passés, elle supposait, étaient incroyablement flous dans sa mémoire, comme vécus la tête sous l'eau, audition étouffée et vision distordue.
Nuh hu.
Elle n'avait rien fait de tout ce que son cerveau tentait de la persuader.
Ça n'était jamais arrivé, fin de la discussion.
Plus de Reine, - elle pousserait bien un soupir de soulagement mais comme il ne s'était rien passé, aucune raison d'être soulagée, deux capitanos – ça allait barder pour son cul (@Alejandro Flores) et you-pi Bael (@Bael Mendoza)-, son professeur (@Lakshan Rahman) – mais que diable faisait-il ici ? Mon dieu, qu'avait-il vu ?? - et Sin (@Sinead Reed), dans sa glorieuse rousseur.
Le visage de Gaby était un réconfort, elle était supposée être là, elle, tout comme, à regret, celui du stalker (@Archer Wu). Oublions ça, si elle en croyait ses souvenirs vaseux, il aurait mieux valu qu'il ne soit pas là.
Elle suivait distraitement les conversations, encore perdue, Jan l'avait attrapée – shit, elle allait se faire engueuler là, de suite ? - avant d'être relâchée -amen-.
La question de Gaby (@Gabriela Jimenez)la ramena à des considérations moins personnelles, rappelant à son souvenir une discussion qu'elles avaient eu lors d'une de leurs soirées au bar où la jolie brune travaillait.
« Si, si... Dans une autre interprétation de la mythologie, Zagreus, fils de Zeus et Perséphone est tué et démembré par les Titans à l'aide d'un miroir, puis cuit et mangé. »
La jalousie next level d'Héra et un peu de piment d'espeletteuh.
« Il meurt et renaît grâce à ses restes, devenant Dionysos, avatar de Zagreus, ou l'inverse, selon les mytho-logies. »
Uh. Pas mal Gaby. Le miroir et les Titans, l'opium et les rêves de récurrences, les délires dyonisiaques.
« Ensuite, comme à chaque fois, Zeus se vénère, balance des éclairs et crame les Titans qui finissent en méchoui au Tartare. »
Elle adopta un ton mélodramatique et solennel, dans un soupir théâtral :
« De ces cendres naquirent ensuite les hommes, mi titans cramés mi divins grâce au petit Diony digéré par les Titans, pauvres créatures qui ne peuvent élever leur âme que par l'expiation de ces péchés issus des crimes de leurs ancêtres sous peine d'être condamnés au cycle de réincarnation éternelle de l'âme. »
Ces grecs et leur drama.
« Comme sur le tapis d'ailleurs. Avatars. Cycle de réincarnation de l'âme. Uh. »
Si elle n'avait pas été droguée, ensorcelée, zombifiée ou peu importait le nom de ce qu'il s'était passé, elle était certaine que son cerveau aurait coopéré et donné quelque chose de plus articulé.
Too bad.
« Du moins c'est ce qui ressort de l'orphisme. Orphée était sacrément badass, héros pas trop divin mais un peu, oracle en tête décapitée, leader d'un culte. »
Kudos to you, bitch.
"Les orphistes étaient aussi fans de Johnny... non, de Diony, avec l'Equilibre tout ça, Dieu qui immortel qui meurt et renaît donc pas immortel mais qui meurt pas parce qu'il renaît donc immortel... ?""
Whatever.
Elle reprit sa position initiale contre le capitano, sans lui imposer son poids, examinant d'un œil critique sa blessure.
God, she was tired.
Pas besoin de lyre magique pour pioncer, ça c'était clair.
Spoiler:
Damariss est HS du contre-coup des pouvoirs de Lucy. Elle mentionne le mythe de Dionysos deux fois né tué et mangé par les Titans qui finissent foudroyés par Zeus et zou au Tartare. Elle mentionne également l'interprétation orphiste de ces cendres avec les humains tenant des Titans et des dieux par ces cendres et la mort de Diony (qui revit en Zagreus, ou inversement) et le besoin de purifier son âme pour échapper au cercle des réincarnations de l'âme. Cf Orphée le poto à la lyre Elle est à un oreiller d'une sieste
The world was on fire and no one could save me but you. It's strange what desire will make foolish people do. I'd never dreamed that I'd meet somebody like you. And I'd never dreamed that I'd lose somebody like you.
Concentré, le cerveau fuse, imprime à l'ancre indélébile chaque information donnée par les personnes ici présentes qui ont déjà trouvé des indices quand au merdier que décrit la situation actuelle ou qui font de ces réflexions qui lient inconsciemment tout un tas d'autres indices. @Damariss D. Noble quand elle s'exprime à son tour, Lakshan l'observe, elle semble étrange, il ne l'a jamais vue s'exprimer de cette manière, comme si elle venait de se réveiller ou qu'elle avait ingéré... Un regard d'incompréhension porté sur @Bael Mendoza, ses paroles toutefois prennent tout un sens qu'il les écoute avec la plus grande attention. C'est une fille intelligente Damariss, il a toujours su qu'elle irait loin même si hors contexte ce qu'elle raconte est totalement décalé. Le regard se perd sur le dit tapis qu'elle mentionne, et attire l'attention de Lakshan. Lettres brodées, langue maternelle, les doigts glissent dessus comme pour en redessiner les contours. Qu'est ce que ça fiche ici ça ? Lakshan fronce les sourcils, lit dans un murmure: moshka, jnana, raja, samsara, et mahabharata...Le dernier mot lui semble étrangement familier. Il se redresse, observe l'assemblée et élève à son tour la voix.
« Y'a un lien avec ces mots là, le Samsara est la réincarnation, d'existences banales et de souffrances, libérées par le Moshka, qui signifie libération finale de l'âme, le jnana c'est la connaissance, du chemin de la purification et de la libération de ces transmigrations. Dans le Jaïnisme ces trois là sont liés, c'est la religion qui cherche l'élévation spirituelle. » Qui l'aurait cru ? Semble t-il qu'il était destiné à venir donner des bouts de son cerveau par ici, collaborer avec ces groupes qu'il a toujours fuit.
« Raja se réfère à un monarque, Maharbharata c'est une épopée sanskrite écrite par Ganesh; c'est un conflit qui oppose deux branches d'une famille royale qui sont avatars de Vishnu. Vishnu d'ailleurs incarné quand le monde est menacé par le chaos.... » Ça fait beaucoup de liens, beaucoup d'informations à voir ou a détailler. Quel dommage que Ganesh lui-même n'en ait plus le moindre souvenir de ces choses là, ça l'aurait aidé à y voir plus clair ou même conformer ses propres dires car les mythes après tout...Il observe Damariss qui elle est au courant de sa réincarnation, tandis qu'il glisse ses doigts dans sa barbe, plongé dans sa réflexion.
Elle a parlé d'Orphée, d'orphisme, Damariss
« Attends Damariss tu as parlé d'Orphée ? Le jaïnisme est un orphisme indien, ou l'équivalent, et l'orphisme Grec. Ça confirme un peu tout ce que tu dis. Vishnu a beaucoup d'avatars ça ne l'étonnerait pas qu'il en possède un dans la mythologie grecque, il est le dieu de la conservation et de la dissolution de l'univers et incarne le cycle de manifestation. Vishnu tient un parasol symbole de sa royauté, d'où le Raja j'imagine...et sa hampe, l'axe du monde, qui est le Mont Meru, un équivalent de l'Olympe hindoue. Ou alors Raja vient de poussière nuées, ou bien parle du principe de mouvement, l'énergie qui meut la nature et jette l'homme dans la passion et la douleur. » Ça se corse d'autant plus, que certaines informations divergent et se rejoignent pour ensuite s'éloigner de nouveau. Il manque des éléments, peut être que ça se cache dans cet endroit ?
« Pour en revenir à Vinshu, si quelqu'un parmi vous est sa récurrence ou son avatar, qu'il se manifeste ? En tant que dieu du panthéon hindou je ne l'ai jamais croisé, ce serait un vrai plaisir de faire sa connaissance pour voir ce qu'il compte faire contre Chaos. »
Les évènements s’enchainaient de plus belle, après le feu c’était l’eau qui avait envahie la bibliothèque puis s’était arrêtée. Les armes avaient été baissées. Ça parle de titans, de miroirs, d’italiens, les informations lues par l’homme venu les sauver des rousses.
D’ailleurs l’une d’elle parle encore de nouveau, Brazzi qui accueille Dionysos ? Est-ce une pendaison de crémaillère pour des gens avec des noms … particuliers ? La conversation tourne alors à l’opium, et ils en ont sans doute consommé beaucoup, vu ce qu’ils racontent.
Puis c’est Destiny qui parle, toujours plus étrange qu’à son habitude et pourtant Archie écoute, après tout ils sont arrivés ensemble et il aimerait savoir qui elle est, ce qu’elle fait dans ce milieu et repartir avec elle, en vie, si possible. Elle parle alors de Dionysos, le dieu visiblement, pas l’invité de la pendaison de crémaillère. Archie n’est pas un spécialiste de la mythologie grecque, mais il a eu une période nerd. He was not born this cool okay. Alors ça lui parle, plus ou moins, les titans, le tartare, les enfers tout ça.
« Lol les héros vont dans les champs élysées eux aux enfers. On a pas tous le même traitement » dit-il avec un rire sans doute un peu trop nerveux. Il espérait vraiment ne pas finir dans un endroit semblable au tartare.
« Hey mais, attendez, » la petite lumière s’était allumée « on est à Elysium Heights là, ça ressemble vachement à Élysées non ? » demanda-t-il en se tournant vers la brochette d’inconnus qui l’entouraient.
C’était maintenant au tour de Monsieur Paix et Amour de parler, et il parla, de Vishnu, des avatars et sa dernière question laissa le jeune asiatique un peu perplexe. Quelqu’un serait la récurrence de Vishnu ? En tant que dieu du panthéon Hindou ? Archie avait déjà entendu parler de God complex mais ça allait trop loin.
Ils avaient tous l’air fous, et Archie espérait ne pas être contaminé par leur folie. Inchabuddah.
Spoiler:
Archie ne comprend toujours rien il fait le lien champs élysées elysium heights il pense être entouré de fous
Les yeux sautent de visage en visage, fixant les informateurs tandis qu’ils transmettent ce qu’ils savent, et font des liens progressivement. À croire que la providence a choisi de tous les réunir pour rétablir un potentiel équilibre foireux. @Gabriela Jimenez parle d’opium et précise des choses sur ce que Novelli a écrit dans d’autres carnets. Un nouvel Arcadia… ou plutôt un ancien, si jamais ce à quoi elle pense au sujet de l’âge du bonhomme correspond. Ou bien c’est un prophète, mais la vieillesse serait un facteur secondaire alors et le type aurait été habituée. Non, un vieux, et une récurrence à un stade avancé. Et voilà que Dionysos revient dans l’histoire, avec les Titans qui sont mentionnés. Ça pue le soufre, ça sent la mort, et ça n’a rien à voir avec le capitano qui continue de se vider de son sang. Les billes vrillent vers @Damariss D. Noble, qui confirme les craintes de Sin vis-à-vis du devenir de Dionysos. Le portable est rapidement en main, histoire d’envoyer un avertissement -utile ou inutile, elle ne saura peut-être jamais- à son vieux @Alfonso Brazzi . Sait-on jamais, des fois que ça lui permette d’éviter de crever comme un con. @Lakshan Rahman prend la suite, sur un terrain que Sin ne connaît absolument pas, mais qui lui rappelle des vieilles histoires de guerres fratricides parmi les différents panthéons présents à Arcadia. Ça lui hérisse les poils, ce plan. Elle se tend encore plus que possible.
« Aucune idée d’où est Vishnu., maugrée-t-elle, à l’adresse de Lakshan. Elle connaît quelqu’un qui pourrait savoir, peut-être, cet ancien frère de cœur éphémère, parti sans laisser de trace à part une lettre d’adieu. Elle ignore même si Zalim est toujours à Arcadia, c’est dire… Passive, elle a cessé de feuilleter le carnet et ses yeux reviennent à @Archer Wu , qui a l’air d’halluciner.
Il est au courant, lui, pour la nature réelle de la moitié des gens dans cette pièce ?, s’interroge-t-elle, un sourcil arqué mais la bouche fermée.
Initié ou non, il met quand même la main à la pâte sans forcément le savoir, rit du sort des titans et se rend soudainement compte de quelque chose qui leur avait échappé tant l’évidence était énorme. Les Champs Élysées, Elysium Heights… Avec ce qu’elle a vu aux Jardins, Sinead se demande même si le nom n’est pas funestement donné pour les déesses qui se sont presque entretuées pour une putain de pomme métallique. Nemhain et Sinead sont unies dans la réflexion, pour l’heure. La citation sur les héros tourne encore en tête, la voilà qui la répète à voix-haute sans vraiment y croire : « ‘La vie est un champ de bataille où naissent les héros qui meurent pour que l'on vive.’ ça serait bien un truc que Novelli aurait pu écrire, à vous en croire ? » et il y a quelque chose qu’elle comprend qu’elle n’avait pas encore repéré plus tôt. Novelli, M.A.N., le type qui a écrit dans son carnet qu’il devait prévenir ses semblables, ou des personnes anonymes… Il a les mêmes initiales que celui qui a réalisé la statue de Prométhée qu’elle a croisé dans les jardins, et dont elle vient de répéter la citation gravée dans le socle.
« Oh merde. », qu’elle murmure. C’est encore pire que ce qu’elle pensait.
Elle plante ses yeux dans ceux de @Alejandro Flores dont elle se sent soudainement proche, en terme de maturité, de nature, et d’emmerdes à venir : « Tu crois que Novelli voulait prévenir pour cette soirée en particulier ? Parce que je crois qu’après cette superbe fête, ça va chauffer pour notre cul. » Le cul de qui. Les dieux ? Les prophètes ? Les mafias ? L’ensemble du monde ? Elle ne précise pas. Et c’est pas parce qu’aux néons des ambulances, se sont rajoutés ceux des pompiers et même potentiellement des flics…
Spoiler:
# Sin écoute attentivement ce qu’il se dit. # Sentant que ça pue pour Brazzi, lui envoie un sms (que je vais de ce pas rédiger ) # Repense à Zalim et se dit qu’il sait peut-être où est Vishnu. # Répète la citation vis-à-vis des dieux. # Comprend que Michel Ange Napoli et Melozzo Antonio Novelli étaient probablement deux existences d’un même dieu -qui a des initiales louches mais identiques. # Sent que ça va pas s’arranger pour les récurrences classiques et a l’air de chercher du soutien chez Jan.
« ….sa connaissance pour voir ce qu'il compte faire contre Chaos. »
What ? Où est ce que je… Oh merde j’ai tourné de l’oeil… Je crois. Ou alors mon cerveau s’est éteint. Aucune idée mais j’ai l’impression de débarquer et d’encore moins capter que ce que j’ai lu dans ce bouquin. Les pupilles dilatées, la veste poisseuse contre le cou, ça vogue, ça vrille, ça part à droite, à gauche et ça…
Ouh doucement @Sinead Reed. Alejandro dont les yeux ont du mal à rester ouvert, dont le sang coule et repeint le joli sol des Bellandi.
« Peinture gratuite, main d'oeuvre rapide, cadeau de la Calavera. Bisou. »
« …. Ça ne chauffait déjà pas pour nos culs ? Joder, il aurait pu prévenir, sur le carton d'invitation, que ça allait finir en boucherie quand même...»
Que je réponds à la jolie rouquine, l’air ailleurs. L’élocution difficile. Aucune idée d’où ils en sont mais clairement, j’ai pas envie de passer ma vie ici. Encore moins de crever chez des ritals.
« La seule chose que je retiens… et clairement j’ai pas entendu grand chose … c’est que faudrait penser à se barrer d’ici.
« …Vous avez fini avec vos bouquins ? Ou je vous laisse avec Bael ?
Et clairement @bael mendoza sera beaucoup moins gentil que moi. Mais même si la fatigue est là, ainsi que la colère et la faim, j'n'oublie pas de graver dans ma mémoire les deux visages de @Archer Wu et de @Lakshan Rahman qui m'ont bien assez tapé dans l'oeil pour rester sur la touche.
Spoiler:
- Jan a tourné de l'oeil - Il dit à Sin que ça chauffe déjà enfait. - Il propose de se barrer sauf si les filles ont encore des histoires à raconter - Il pense déjà à la suite et aux recrutement d'Archer et Laki (perd pas le nord le capitano -
BLAZE : god of all gods. CREDITS : . FACE : . DOLLARS : 11880 SACRIFICES : 3468 PORTRAIT : ANNEES : aussi vieux que le monde.
INTRIGUE + bibliothèque - Mar 4 Sep - 23:45
take off the mask
season 1 - episode two.
Bibliothèque partiellement épargnée par le chaos, désormais siège des théories les plus folles, qui volent dans tous les sens. Idées qui courent, pièces d'un puzzle qui sont étalées et que l'on souhaite assembler pour voir l'image complète. Il ne faisait nul doute que l'ancien propriétaire du manoir lâcherait un léger rire attendri en observant la fusion d'idées, lui qui avait toujours aimé voir s'enflammer les esprits des Hommes. Mais il n'était pas là, et les occupants de la bibliothèque étaient seuls. @Gabriela Jimenez pousse un tableau, et dévoile ainsi un pi entouré d'un triangle dans le coin d'un cadre - elle n'aura pas le temps de s'y attarder, cependant. Les plombs sautent, et plongent la salle dans le noir, visages uniquement illuminés des gyrophares de police. La soirée s'achève.
VINGT JUILLET 2018 — la nuova camorra organise son bal masquerade pour sceller la trêve entre panthéons; toute la ville est invitée, mais toute la ville n'accèdera pas à l'ensemble des pièces du manoir. » les salles sont désormais ouvertes. n'hésitez pas à y rp et chercher des indices...
LES DIX COMMANDEMENTS » pour que vos actions soient prises en compte par le mdj, un résumé sous spoiler de votre intervention sera à mettre (nb: privilégiez les actions 'politiques' dans le résumé) » essayez d'intégrer au maximum les autres membres, n'oubliez pas que vous êtes tous masqués, petits coquins. » en participant à cette intrigue, vous acceptez de laisser en partie le sort de votre perso entre nos mains... promis, nous ne tuerons personne, c'est juré, mais vous êtes susceptibles de recevoir un mp du mdj à tout instant, et il vous faudra jouer le jeu (sinon c'est pas drôle) » amusez-vous
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Oops... we did it again... ✻✻✻ Un bordel sans nom. Un cirque chaotique, pathétique. Les yeux rivés sur l’assistance, Bael renifle, agacé. Ici comme ailleurs dans ce foutu manoir, les gens semblent avoir perdu toute fierté, tout savoir vivre. Inquiet pour son ami qu’il sait mal en point, il perd patience et lève un de ses berettas qu’il pointe en direction de la reine. Sans sommation, il tire, ratant de quelques millimètres l’oreille droite de la rouquine. Énervé, furieux, il ne répond plus de lui… Lui, tout ce qu’il veut, c’est se tirer d’ici… 
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L’arme entre les mains, Archer se tenait toujours en place, tandis que Destiny parcourait les rayons d’un air distrait. Il savait qu’elle était concentrée sur sa tâche, celle de trouver des réponses à toutes ces questions et s’il pouvait aider en rester dans cette position pendant des heures, il le ferait. Fox n’avait pas l’air particulièrement volontaire pour partir.
mais on apprend qu'il parle espagnol 
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