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La nuit les chats sont gris [Dickson]

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La nuit les chats sont gris [Dickson] - Mer 12 Juin - 16:03

Effervescence dans le commissariat aujourd’hui, comme d’autres jours aussi, mais c’est vrai que depuis janvier et l’affaire Bellandi, les collègues autour sont sur les dents. Doit y avoir moi et les bleus qui se cassent le trognon sur les affaires à la con qu’j’ai pas hyper envie de te traiter. À savoir les disparitions de chats, les objets perdus et trouvés, les vielles mamies à rassurer, les voisins qui se plaignent sans arrêt du tapage nocturne et qui harcèlent le standard.

De retour de patrouille dans le quartier russe, je laisse Lopez, ma jeune coéquipière se charger de ramener notre exhibitionniste en garde-à-vue. Parce que ça m’fait bien rire, rien que de penser à sa tronche quand il nous a ouvert son manteau. J’enlève mes gants pour me diriger vers le bureau du capitaine, pour lui balancer notre rapport et ensuite, rentrer tranquille et passer une soirée toute aussi tranquille. Je toque à la porte :

C’est Walker. Et j’attends qu’on m’dise d’entrer avant d’le faire, le dos droit, parce que j’sais bien que ça aussi ça compte quand chaque mois ils font les comptes et se concertent pour savoir qui va toucher une prime. Autant j’en ai rien à foutre d’avoir la gueule accroché sur le mur en tant qu’officier du mois. Autant j’ai rien contre tout l’argent en plus qu’on pourrait nous refiler. Enfin, surtout à moi. Et il sera bien utilisé en dehors des heures de travail, pour financer en partie mes heures supp’.

On revient de patrouille avec l’agent Lopez. Rien à signaler du côté des russes, si ce n’est les barjots habituels. On a ramené un exhib’ avec nous, c’est Lopez qui a insisté en disant qu’elle voulait lui coller outrage à agent dans l’exercice en plus. Pas commode, trop idéaliste, une jeunette qui croit encore qu’on peut nettoyer les rues de la ville et la sauver. Enfin, sont tous comme ça à la sortie de l’école de police. Rapport terminé. Et quand j’allais demander si je pouvais sortir où si y’avait besoin de plus de détail, je lève finalement la tête vers mon supérieur. Je hausse un sourcil puis je demande : Vous en tirez une tronche, votre chat est mort ou quoi ? Et j’essaie de me marrer, histoire de montrer que c’est une blague, hein. Pas facile de blaguer avec le mec qui pourrait te virer s’il avait envie.

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La nuit les chats sont gris [Dickson] - Jeu 13 Juin - 23:56


Le frangin qui fait que revenir et disparaître et voilà que maintenant c'est le tour de minet. Il a disparu, je m'inquiète sûrement un peu trop rapidement, le stress que Soledad me fait avoir est trop élevé, je deviens un vieux grognon. Au moins on ne pourra pas dire qu'on ne se ressemble pas comme ça. Je passe ma journée plongé dans des dossiers à vérifier, trouver des pistes, chercher quelque chose qui pourrait traîner dans les dossiers et qui pourrait aider Soledad, en soit je ne fais pas le boulot que je devrais faire là tout de suite. Avec l'arrestation de Bellandi et la relation qu'on les gens avec la police, on a pas vraiment la cote. Je récupère les rapports de certains, finalement on en arrive à Walker. Je grogne un peu en rangeant rapidement mes dossiers pour les foutres sous d'autres, c'est clairement le bordel et oui j'ai l'air dépité, t'invitant à rentrer. « Et bien si elle prend un malin plaisir à remplir de la paperasse, au moins elle se donne à fond. Aucun soucis autres ? » Comme si j'étais habitué à ce que tu fasses des conneries, on en fait tous, mais comme tu as Lopez dans les pattes et qu'elle ne rigole pas je suppose que vous allez pouvoir vous calmer l'un l'autre. Je prends une gorgée de café en soupirant de nouveau et je te fais un petit signe de la main avec un sourire quelques peu dépité. « C'est bien Walker. » J'ai pas grand chose d'autre à rajouter avant que tu me fasses m'étouffer avec ma nouvelle gorgée de café. Je tousse un peu avant de rire un peu. « Dis pas ça, il s'est vraiment perdu, me fais pas penser qu'il est mort. »

Je te regarde dans les yeux un instant avant de te faire signe de t'asseoir. « C'est pas parce que je suis ton supérieur que t'es obligé de te tenir comme si que tu avais un balais mal placé. » Combien de fois je vais devoir le rappeler que je ne suis pas un ennemi ni même là pour qu'on me lèche les baskets. Ce n'est clairement pas comme ça qu'on pourrait avoir des augmentations pour moi. On a besoin de se serrer les coudes pas de créer des distances inutiles. Je me lève pour venir me poser de l'autre côté du bureau, les fesses qui dégagent un peu le bordel pour m'installer. Je te regarde l'air très sévère, alors que je ne le suis pas, je suis juste perdu dans ma tête à me demander quel genre de flic tu es, malgré tes conneries tu as du potentiel. « Viens. On va prendre un café dehors. Tu as fini ta journée non ? Sauf si tu veux que je te trouve un truc chiant à faire pour faire genre tu adores ton travail et les trucs super intéressant que je te refile.» J'ai tellement conscience que c'est de la merde que je retiens ton nom limite que pour ça, Walker est associer à mission de l'ennui. Tu es le seul à pouvoir changer ça, faut juste que je sache quand je pourrais t'offrir ta chance.
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La nuit les chats sont gris [Dickson] - Dim 16 Juin - 19:01

Et l’assentiment me fait pas hyper plaisir. Manquait le tapotement sur ma tête et on aurait pu croire que j’étais devenu un bon gros toutou à son maîtmaître. Pourtant, je garde un visage de façade, un peu plus encore quand, finalement, derrière ce visage usé se cache finalement une histoire de chat.

Pas mort, mais disparu, je me ferai presque peur, parfois, putain.

Et après quelques secondes, je sens grave l’embrouille arriver. Alors je m’assoie, quand on me dit de le faire, parce que…… Ben même s’il paraît qu’on est juste collègue et qui faudrait que j’ai l’air plus relaxé et tout ça, j’y arrive pas. Pas facile, dans mon crâne, on est pas du même niveau. Le capitaine reste le capitaine et moi, juste un officier. Parce que sinon, ben l’Walker il serait reparti aussi sec, se prélasser dans des endroits plus cléments. Pas sobre évidemment. Mais voilà. Je suis assis et j’attends. Ça a tout l’air d’être le moment où on va m’annoncer que je suis rétrogradé pour de bon à la circu’. Je fronce les sourcils, alors qu’il se rapproche, l’air foutrement sévère pour s’installer sur son bureau.

Putain. Est-ce que j’vais me faire virer ?

J’commence à suer, à défaut de me décomposer. J’sais pas trop sur quel pied danser, y’a deux secondes on était censé se parler comme des collègues de même grade et tout et maintenant j’me fais fusiller des yeux comme si j’avais pissé sur le paillasson du maire. P’t’être un retour hyper tard de la conférence de presse, j’en sais foutrement rien. Maintenant, il paraît que je suis censé aller prendre un café. Et si je refuse, semblerait qu’je finisse mort, ensevelis sous des montagnes de rapport et de patrouille et d’heures à l’accueil. C’que j’déteste être à l’accueil. C’t’un boulot de bleu, ça.

Alors bien évidemment j’dis : « Va pour le café? » Les sourcils froncés, j’essaie d’savoir pourquoi y’a besoin d’me menacer pour que j’aille le boire. C’est une gentille invitation, théoriquement, ou alors j’ai raté trop de choses dans ma vie pour comprendre véritablement de quoi il en retourne. Possible aussi. Mais ouais. C’est clair que je préfère le café à tout le travail de merde qu’on pourrait m’refiler. On dirait pas comme ça, avec son air super sympa tu-peux-me-parler-normalement-je-vais-pas-te-virer-ah-ah-ah, mais il a de sacrées idées pour enterrer un flic qui le décevrait. Des trucs qui se rapprochent de la torture, même.

Mais moi faut que je me détende et tout ça. Ah. Ah. Ah. J’inspire. Bon j’imagine que j’vais m’changer. J’reviens dans dix minutes. Je teste, histoire de pouvoir respirer un bon coup et réfléchir plus ou moins à ma situation. Mais avec son air d’molosse qui peut tirer parfois j’rajoute : Ouais, nan. Cinq minutes. En cinq minutes j’peux terminer. Alors sans attendre de réponse j’me tire comme si j’allais être en retard à mon premier bal de promo.

Sauf que je suis pas hyper certain qu’ce soit pour danser.  
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La nuit les chats sont gris [Dickson] - Lun 17 Juin - 2:28


Toujours autant de talent pour communiquer avec les autres. Tant pis pour moi, je te vois froncer les sourcils en acceptant ma demande. Je rigolais pour le boulot en plus, mais tu sembles pas l'avoir pris comme une blague. Mon regard qui reste sur toi un moment avant que j'aille donc ranger mes dossiers pour planquer le fait que je bosse plus sur l'affaire de Soledad alors que je ne devrais pas. Je te regarde en haussant un sourcil «  Ouais va te changer, te presses pas, j'ai tout mon temps. » Sérieusement, j'ai vraiment tout mon temps. Pas de nouvelle du frangin, donc pas besoin d'aller le retrouver à un endroit isolé et j'ai juste envie de retrouver minet. Tu es déjà parti de toute façon alors cours si tu veux, moi je prends mon temps pour juste enfiler ma veste et fermer mon bureau. Toujours la tête dans les nuages, la gueule qui ne donne pas envie de venir faire la causette, je suis sympa dans le fond pourtant. Faut gratter un peu et éviter de faire des conneries. Mon regard qui se pose sur Indianna quand il revient et je sors mes clefs de voiture tout en prenant la route vers la sortie. «  Sérieusement te formalise pas trop, je vais pas te virer Walker. Tu fais le con par moment, mais tu n'es pas un mauvais flic. » Je t'offre un sourire qui se veut amical. Je sais que tu as connaissance de ce que tu fais de mal, ton côté impulsif te perdra et j'aimerais pas te perdre parce que tu joues au con. Non seulement on va voir un café, mais en plus je t'emmène plus loin que prévu , comme ça, je pourrais chercher mon foutu chat en buvant sûrement un café du starbucks beaucoup trop sucré, mais s'il commence à faire nuit, autant avoir quelqu'un avec moi.

« Tu m'aides à trouver mon chat ? Vu que tu fais des blagues horribles. Tu es habitué. » Je te regarde du coin de l’œil avant de me mettre à rire. «  Un jour je t'emmènerais dans un mission moins chiante. Faudra pas merder, parce que je suis responsable de tes actes aussi. » Responsables de ta non mise à pied si tu fais n'importe quoi. Je ne suis pas pour la violence gratuite en plus de ça, donc faudra comprendre que je te mets de côté pas forcement parce que ça me fait plaisir. Tu as juste des allures de gamin pour moi. Je rentre dans le starbucks pour prendre un café avec toi te trouvant une photo du coupable qui me fait m'inquiéter. Si seulement c'était le seul. Devoir tout garder pour moi, ne pas pouvoir réellement participer activement pour Soledad, ça me bouffe. Le chat reste le seul à pouvoir m'offrir un temps de calme avec ses ronrons à répétition. «  Il est roux... et il a pas vraiment de nom. Pas sûr que tu ai envie de hurler Minet dans la rue.  Oui je te kidnappe vraiment pour m'aider. Hésites pas à le dire si je te fais chier. » Je te regarde avec un petit air de défi et si tu oses, clairement, je vais juste terriblement rire.
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La nuit les chats sont gris [Dickson] - Lun 24 Juin - 0:15

Je me dirige vers le vestiaire, j’entends un peu de grabuge en passant devant la salle d’interrogatoire. Lopez qui hurle je sais pas trop quoi. Quelle se fasse les dents sur les tarés c’est pas une mauvaise chose. Dans les vestiaires je suis pas le seul. Je vois deux autres collègues qui se parlent de l’anniversaire de je sais pas qui. Je pose mon cul sur une chaise et je me gratte la tête. Pas hyper serein. Pas bon pour mon cœur cette connerie.

Je prends juste le temps de souffler, mais me permets pas non plus de prendre tout le temps du monde. Je remets mes vêtements de civil vite fait, puis je sors pour retrouver le capitaine à l’entrée. Les clefs dans sa main. Je me dis qu’on va pas juste causer autour de la machine à café. J'essaie de pas avoir l'air trop tendu. Surtout qui paraît que je suis un bon flic. Je hoche la tête, après une seconde, pour dire que j’apprécie le compliment, mais que j'en ferai pas toute une montagne. Surtout que je sais bien que je suis pas le plus facile du comico.

Et voilà, faut reparler du fameux chat. Qu’est pas mort mais perdu. Heureusement, finalement, parce que s’il était mort, pas sûr que je m'en sois tiré facilement. Mais bon. Il parait qu’un jour papa et moi on fera une sortie-mission qu’a un peu plus de gueule que cette recherche du chat paumé. Ouais. Je sais bien. Après, faut voir dans quoi vous décidez de m'embarquer. Je le suis à l’intérieur, le nez un peu chatouillé par l'odeur du café. Y'a pas trop de monde devant nous. Du coup, je me mets dans la file d'attente, pour mieux entendre la description du chat et entendre parler du nom de l’animal. Minet Quel nom à la con. Et dire que je vais passer ma soirée à chercher un chat roux qui se prénomme Minet. Heureusement que vous êtes mon capitaine parce que franchement, j’avais pas spécialement envie de passer ma soirée comme ça. Je soupire, avant de passer pour commander. J'vais prendre un capuccino. Et vous ? Je demande, attendant que le caissière prenne la commande et note nos noms sur le gobelet. Sûr que je connais quelques squats de chat. Vous avez pas un truc à lui que je puisse voir ? Histoire d'essayer de glaner des infos. Je demande, me doutant un peu qu'il va pas trouver la requête orthodoxe. Mais bon. À ce point-ci. Au pire. Plus on va se rapprocher plus vous allez m’entendre éternuer. Et je me marre un peu, même si y'a rien de drôle avec les allergies.


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La nuit les chats sont gris [Dickson] - Ven 2 Aoû - 21:59


C'est amusant de voir que tu ne déclines pas l'invitation. Je ne me serais pas gêné pour le faire à ta place, surtout que je ne suis pas connu pour être le plus amusant du commissariat pourtant je le suis, mais bon, je te laisse. Je n'aime toujours pas le fait d'être au-dessus des autres, le pouvoir que je peux avoir sur les petits flics du poste de police. Je suis certes toujours d'accord pour botter les fesses des petits cons qui ne suivent pas les règles, mais hors de ça, je n'aime pas qu'on soit gêné comme ça avec moi. C'est une des raisons de pourquoi j'approche personne du commissariat, mais ce soir, tu n'as pas de chance, je change mes habitudes. Tu apprendras qu'il ne faut pas faire de blague idiote avec moi, alors que j'en fais énormément. Du moins, tu peux en faire, mais pas avec le chat. C'est le seul qui n'a pas encore abandonné l'idée de passer me voir de temps en temps, enfin, dernièrement, c'est peut-être le cas. Alors je t'emmène boire un café, pour ensuite le chercher le chat, c'est aussi pour admirer ta patience légendaire. Patience et Indiana, est-ce que ça va vraiment ensemble ? « La même chose. Tu sais, tu aurais pu dire non. Je t'aurais laissé tranquille. Je rigolais pour les papiers et le kidnapping. Donc si tu veux y aller. Libre à toi. » Je soupire un peu à mon tour avant de payer nos verres. Je prends une gorgée et je me dirige vers la sortie avec mon air naturellement trop sérieux.  Je ne le suis pas tellement pourtant, ça dépend avec qui surtout. Si vous vous appelez Soledad Biaz, c'est sûr que je vais vous casser les pieds, sinon, je me moque bien du reste. « .. Quelques choses à lui ? Rien qui n'est pas dans mon appartement. Il a beaucoup trop d'objet qu'il squatte après s'être goinfré. » Je m'étonne encore qu'il ne soit pas rond comme un ballon. Je n'ai aucune idée de comment ça marche la prise de poids d'un chat, mais je suis sûr qu'il a un truc. J'espère qu'il est pas malade et en train de mourir dans un coin. Me voilà à faire la tronche à m'imaginer le pire pour minet. Fuck. Mon regard qui se pose sur toi en haussant un sourcil. « J'ai donc invité un type allergique au chat pour m'aider. Désolé Walter, Tu es vraiment maudit avec moi. » Je ne peux pas m'empêcher de rire un peu. J'ai l'impression de te pourrir la vie alors que j'aimerais vraiment pouvoir te faire confiance. Peut-être qu'un jour on partira sur un truc ensemble et je pourrais juger de moi-même ce qu'on te reproche. Le voir enfin de mes propres yeux, sans avoir à écouter les autres me raconter les choses. « Si tu veux un truc qui appartient au chat, tu m'as moi. C'est un chat. Je suis son coussin et l'esclave qui le nourrit. » Je prend la route à pied pour t'emmener trouver le chat avec moi, aucune idée de si tu voudras me suivre maintenant que je t'ai annoncé que tu es libre de faire ce que tu veux. Même si j'avoue que j'ai l'impression que même avec ça, tu vas pas oser le faire, de peur d'un retour de bâton. C'est vrai que je pourrais te trouver une mission horriblement chiante, mais je ne suis pas un salaud, pas toujours du moins.
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