AccueilAccueil  tumblr  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
FORUM FERME
Le Deal du moment : -55%
Coffret d’outils – STANLEY – ...
Voir le deal
21.99 €

hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar

 :: - ARCADIA'S SEASIDE - :: wild island :: Arabian Nights Hotel
enfant terrible
Sahar Benhadi
BLAZE : honey.moon
CREDITS : big bad wolf
FACE : emeraude toubia
DOLLARS : 1986
SACRIFICES : 784
PORTRAIT : hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar NZNW0Og
ANNEES : 36
CŒUR : inintéressé
RÉINCARNATION : bastet
TALENT(S) : contrôle des félidés - toucher solaire - psychométrie
FACTION : enfants terribles (mambo du clan)
OCCUPATION : antiquaire et dealeuse d'informations
GENÈSE : primus stade 6
TALON(S) D'ACHILLE : un goût du pouvoir trop prononcé ; les ET ; sa chair
RUNNING GUN BLUES : hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar YWI5PTP

hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar Tumblr_ng2d2yyh1G1thlfabo1_250

hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar D52dec61b9de7cf33c5bf4632a2c77724e107bcd

hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar Tumblr_pb9uwmMkp41wodb5so1_1280

hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar 9mxI
enfant terrible
hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar Empty
hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar - Dim 26 Avr - 12:49



Hop a carpet and fly to another arabian night.

@ikaar killough@sahar benhadi

www

Dans le ciel rubescent, le soleil déclinait. Les rayons carminés s’étendaient sur la ville, recouvrant Wild Island d’un voile d’ambre, lequel plongeait leur île dans un brasier glaçant. Les murs étaient teintés de rouge et d’ocre ; le sable froid des berges épousait le bitume et la terre battue des quais brillants sous la lumière du crépuscule. Malgré tous les efforts déployés pour donner de l’allure à cet amas de ruines et d’industries perdues, il manquait à leurs terres la chaleur du désert et, dans la nuit à venir, le souffle ardent de l’Egyptienne dessina des volutes.

A chacun des mouvements, le tintement de ses chaînes résonnait sous l’épais manteau noir qu’elle portait. Ses pieds nus d’ordinaire, exhibaient des talons mordorés qui lui faisaient gagner au moins dix centimètres. Apprêtée pour l’hiver - le corps frissonnant malgré tout, la Terrible attendait l’invité de prestige, en vue de lui faire découvrir quelques trésors.  

Des hommes affiliés aux deux camps patientaient autour d’elle. Armés, ou non, ils s’étaient dispersés, et guettaient d’un oeil vif l’arrivée du Souverain. A ses pieds, les félins comme toujours l’encerclaient en cortège, et l’un d’eux, au pelage de ténèbres, se frotta à ses jambes. Elle l’ignora pourtant, l’esprit tourné vers autre chose - ou plutôt vers quelqu’un, les orbes enfin rivées sur la silhouette élégante qui venait dans sa direction. La vue du teint pâle et des cheveux roux fit s’étirer ses lèvres aux reflets écarlates.

Des alliés de longue date, on pouvait dire qu’ils l’étaient. Connaissances bien avant l’accord devenu officiel, le Roi et la Mambo entretenaient leur lien de cette étrange façon. Visites occasionnelles, où se mêlaient affaires et sympathie dans un climat toujours récréatif. Elle aimait ces moments, redoubler d’attentions pour plonger avec lui hors du temps, hors de tout ; sans pour autant perdre de vue l’amitié de leurs clans respectifs et ce que - l’un comme l’autre - ils pouvaient en tirer. Du bénéfice en agréable compagnie, elle aurait été sotte de ne pas savourer leurs rencontres.

Elle s’approcha sans bruit, le visage éclairé, n’ayant d’yeux que pour lui, et stoppa sa démarche à distance raisonnable. Le menton relevé pour compenser leur différence de taille, elle joignit ses doigts fins et glissa un murmure qu’ils seraient seuls à entendre. « Tu es prêt, petit roi ? » Le feu dans les prunelles et dans la voix, le miel, elle salua ainsi le Souverain du Royaume. Le sobriquet affectueux, datant de cette époque où il n’était que prince, aurait paru trop audacieux voire dégradant aux hommes de main qui les épiaient. Il n’était rien de tout cela pourtant, au contraire bienveillant, mais ils n’avaient pas à comprendre.  
Et sans attendre de réponse, elle fit aussitôt volte-face, ouvrant la marche en présumant qu’il la suivrait. « J’ai plein de choses à te montrer ».  

Revenir en haut Aller en bas
an riocht
Ikaar Killough
BLAZE : rage
CREDITS : rage
FACE : eddie redmayne
DOLLARS : 2802
SACRIFICES : 524
PORTRAIT : hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar Fcf04a1c5c031f2fb27bfe978207e8d8
ANNEES : 34 années, mais quelle importance. Il peut etre ce qu'il veut quand il veut, n'importe quel age, n'importe quelle vie. (01/04)
CŒUR : le palpitant s'attarde trop sur les autres, le coeur des gens résonnant à l'intéreiur du sien, occultant tout ce qu'il s'y passe. Plus rien n'est transmis, tout est sourd.
RÉINCARNATION : llew llaw gyffes, littéralement signifiant celui à la main agile, dieu guerrier magicien chez les celtes.
TALENT(S) : doppelgänger: capable de se métamorphosé en n'importe qui. - bouclier: capable de se protéger des pouvoirs des autres, pas des siens. animorphose: prend l'apparence d'un aigle à volonté. - perception myocardique: capable de ressentir l'état de la vie sentimentale d'autruis, chaque battement de coeur et chaque envie. inactif: charisme ++
FACTION : An Ríocht, depuis toujours, pour toujours.
OCCUPATION : Élu roi d'an riocht suite à la mort de sa sœur. Il est également le propriétaire du Teddybeer, le pub irlandais familial de Downtown et du Douze Coups, cabaret olé d'Historial District. Dirige les affaires d'import et d'export de la famille Killough, en prime.
GENÈSE : primus / stade 6 ( 01/06/20) - découverte des souvenirs, malédiction connue.
TALON(S) D'ACHILLE : il ne sait plus trop, la famille se résumant à seulement deux âmes encore en vie, les amis annoncés comme traitre et le coeur en berne. y'a la coloc, mais c'est trop compliqué, préfère laisser tomber.
JUKEBOX : flogging molly - drunken lullabies; muse - unintended; billie eilish - bury a friend
RUNNING GUN BLUES : hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar FQCqrDYw_o
hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar 5407d76e54adaab82f0ffb923df67268

hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar E82crktg_o
hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar TF1kdYOA_o


an riocht
hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar Empty
hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar - Dim 12 Juil - 4:13



Hop a carpet and fly to another arabian night.

@ikaar killough@sahar benhadi

www

L’extérieur n’avait pas l’air des plus luxueux d’Arcadia. Et pour cause, on se trouvait après tout sur Wild Island, île où la misère était beaucoup plus présente qu’ailleurs, plus visible et plus compliqué à éradiquer. Construire un lieu pareil sur ce terrain là c’était accepter le risque que le business lui glisse des mains un jour et pourtant, cela ne semblait pas plus le déranger que ça. Pour le moment l’investissement rapportait son pesant d’or et la simplicité du bâtiment ne faisait que plaire à cette clientèle cherchant à se dépayser, à se sentir exalté par peu. Par un établissement décoré tel un speakeasy ou derrière la porte se trouvait un établissement luxueux ou la démesure était le maître mot. Vendre du rêve, voilà ce qu’ils avaient voulu faire ici et c’était plutôt réussi à en croire les murmures se répandant dans la ville. Un investissement de plus, un endroit qu’il possédait encore. De quoi asseoir un peu plus sa puissance et ses amitiés, aussi.

Bien entendu les gardes l’avaient accompagné malgré cette envie de toujours se déplacer seul, de faire comme bon lui semblait il se retrouve souvent coincé avec eux, le suivant d’un bout à l’autre de la ville dès que l'occasion se présentait. Peut-être que cette fois ils avaient raison, non pas qu’il ne fasse pas confiance à Sahar, mais peut-être qu’il devait cesser les imprudences, tout simplement. C’est la raison pour laquelle il ne les chasse pas tout de suite arrivé, les laissant l'accompagner même à l’intérieur, où il rejoint la déesse, déjà un fin sourire aux lèvres, déjà amusé.

Avant même d’être roi, Ikaar était déjà un visage connu de la mafia. Toujours près de sa soeur, toujours dans les parages, l’ombre avait su se démarquer et collaborer avec leurs membres et faire perdurer ces accords une fois avoir succédé à sa soeur, pire, il avait réussi à mener à bien cette entreprise là où sa soeur avait échoué et, il était certain de cela, ses relations avec les gens y jouait pour beaucoup. Après tout Sahar et lui avaient pris cette habitude de se retrouver, parfois, pour entretenir ces liens entre leurs mafia résonnant sur une confiance, un entente aussi professionnellement que personnelle. De moments hors des réunions barbantes et discussions au profit de divertissement et aujourd’hui ne dérogeait pas à la règle.

Une fois devant elle, elle s’approche, assez pour que cela reste respectable. Quelque chose de très amusant, si on voulait son avis, mais le sourire sur ses lèvres se fend l’espace d'un instant, quand le murmure parvint à ses oreilles et que le surnom se fait entendre. Petit prince qu’elle lui murmurre et il hait ça, il hait toujours ça. L’espace d’un instant il est replongé dans ce passé si simple et irritant à la fois de voix que personne n’écoutait, petit prince et rien d’autres qui n’avait pas son mot à dire. Des mots prononcés par une soeur qui lui donne un frisson horripilant. Il n’a pas besoin de repenser à tout ça mais ne relève pas au début, se contentant d’une moue qui suffisait malheureusement à lui prouver, à la belle, qu’elle touchait toujours dans le mille avec ce surnom si bien qu’il se voit contraint de répliquer, pour compenser. « Tu sais bien qu’il n’y a rien de petit chez moi.» Pas même son égaux, qu’il pouvait rajouter mais là encore il préfère ne pas s’attarder là-dessus, surtout avec les hommes de mains autour.

Le pas emprunté il la suit à travers les couloirs assombris, tamisant l'hôtel dans cette ambiance si particulière même dans son labyrinthe de couloirs en suivant le bruit des chaînes et des talons devant lui, les yeux sur la silhouette. « C’est à dire ? Tu ne m’as rien vraiment préciser en m’invitant à venir ici. » Et c’était amusant ce mystère, ne pas vraiment savoir ce qui l’attendait, des surprises qui ne se montrait jamais décevantes, quand elles venaient de Sahar. D’un oeil derrière lui, Ikaar a l'occasion de voir que trois  des hommes l'ont suivi, surement trop pour lui qui fait signe de la main à deux d’entre eux de déguerpir. Un c’était bien assez. Son attention se rapporte de nouveau sur Sahar, se retournant vers elle, pourtant ses pouvoirs détournent son attention au détour d’une porte ou visiblement certains s’amusaient beaucoup, à l’intérieur. Il pouvait entendre les autres en permanence, leurs désirs, leurs fantasmes et ce qu’ils vivaient, assez pour en avoir un frisson cette fois contraire au dégoût, ça, cela ne venait qu’après. « Les affaires tournent j’ai l’impression. » qu’il commente sans préciser ce qu’il voulait dire par là. Pas besoin de cela maintenant. Oublier un peu ses problèmes et essayer d’oublier ses pouvoirs autour d’un verre, deux. C’était le principal pour lui, c’est pourquoi il était là. Oublier un peu, devant une porte où elle s’était arrêtée. « On commence par quoi alors ? »
 

Revenir en haut Aller en bas
enfant terrible
Sahar Benhadi
BLAZE : honey.moon
CREDITS : big bad wolf
FACE : emeraude toubia
DOLLARS : 1986
SACRIFICES : 784
PORTRAIT : hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar NZNW0Og
ANNEES : 36
CŒUR : inintéressé
RÉINCARNATION : bastet
TALENT(S) : contrôle des félidés - toucher solaire - psychométrie
FACTION : enfants terribles (mambo du clan)
OCCUPATION : antiquaire et dealeuse d'informations
GENÈSE : primus stade 6
TALON(S) D'ACHILLE : un goût du pouvoir trop prononcé ; les ET ; sa chair
RUNNING GUN BLUES : hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar YWI5PTP

hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar Tumblr_ng2d2yyh1G1thlfabo1_250

hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar D52dec61b9de7cf33c5bf4632a2c77724e107bcd

hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar Tumblr_pb9uwmMkp41wodb5so1_1280

hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar 9mxI
enfant terrible
hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar Empty
hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar - Lun 27 Juil - 0:01



Hop a carpet and fly to another arabian night.

@ikaar killough@sahar benhadi

www

A sa remarque qui la fait sourire, la terrible ne répond rien. Quand elle se tourne, ses yeux brillent, et ses lèvres étirées sont le signe qu’elle s’en amuse encore. Peu d’hommes peuvent se targuer d’avoir sur elle cet effet là, et surtout de la voir de bonne humeur. Depuis longtemps, elle apprécie la compagnie du Roi, sa simplicité, sa désinvolture et son sens des affaires. Il est l’un des rares mâles intelligents qu’elle ne craint pas - sans trop savoir pourquoi, ni si c’est très prudent, mais leur relation s’est forgée sur cette confiance au fil du temps et ils l’ont habilement entretenue. Leurs rendez-vous sont récurrents, leurs projets ont toujours porté leur fruit et servi leur deux camps, en plus de quoi le temps passé ensemble est toujours agréable. Que demander de plus, et à quoi bon s’envenimer l’esprit avec trop de questions… ?

Une première porte est franchie, le Roi et la Mambo arpentant les couloirs devant des yeux alertes. Observés par des gardes, congédiés tour à tour, ils continuent leur progression dans l’hôtel tamisé. « Tout n'était pas terminé la dernière fois ». Elle le regarde avec malice, les orbes imprégnées de promesses. Des effluves de menthe fraîche et d’agrumes embaument l’air quand le Souverain semble distrait. Un patio qu’ils traversent, de la verdure et des fontaines jouxtant les chambres les plus chères. Sans s’attarder sur la remarque, elle acquiesce, Féline qui se targue d’avoir eu du flair et de l’audace en suggérant la construction de cet hôtel. Comment en étaient-ils venus à cette idée, déjà ? En passant du bon temps, à plaisanter et profiter loin de leurs réunions barbantes et bouffies de tensions. En évoquant l’envie et le besoin de se détendre, tout simplement, un souhait partagé que leurs deux têtes pensantes avaient transformé en business, une évidence.

« La suite royale ». Un sourcil haussé trahit l’excitation de la divine. Elle s’assure qu’il la suit toujours en montant une volée d’escaliers, puis ouvre enfin une double porte. La chambre - nommée ainsi non pas en l’honneur du Monarque mais pour son faste sans mesure, leur apparaît alors.
A la lueur des chandelles allumées, des colonnes surmontées de dorures, des mosaïques aux murs et des tentures dans le style oriental. En face du balcon, un coin détente et un lit gigantesque, de grands espaces inoccupés et même, à l’autre bout de la pièce et sous les colonnades, un bassin, peu profond aux eaux calmes et turquoises. A son extrémité, des marches en céramique et pour finir, une nouvelle porte, fermée sur d’autres surprises.

Debout sur le palier, les deux silhouettes ont tout loisir d’admirer leur chef-d’oeuvre, véritable folie que l'Égyptienne préfère encore contempler plutôt que de guetter la réaction de la tête couronnée. « Ils ont tous dit qu’il faudrait être fou pour payer une chambre à ce prix sur Wild Island ». Un éclat de fierté dans les prunelles et un sourire vainqueur sur ses lèvres écarlates, elle ajoute : « Je pense qu’Arcadia en est pleine et que c’est un pari gagné d’avance ».

Son regard se tourne alors vers un espace aménagé de coussins confortables, autour d’un narguilé. A droite, un guéridon décagonal dans le style ottoman - du noyer incrusté de nacre - sur lequel sont posés un plateau de pâtisseries arabes et une bouteille d’arak. « Un verre ? » Elle propose, sa main effleurant celle du Roi pour l’inviter à la rejoindre.
Un geste habituel entre eux, qui malgré tout, cette fois, leur laisse une sensation étrange. Le pouvoir de la belle qui s’éveille, chaleur douce et bien-être au bout de ses doigts fins, qu’elle peut sentir tiédir lentement la peau d’albâtre.
 
 

Revenir en haut Aller en bas
an riocht
Ikaar Killough
BLAZE : rage
CREDITS : rage
FACE : eddie redmayne
DOLLARS : 2802
SACRIFICES : 524
PORTRAIT : hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar Fcf04a1c5c031f2fb27bfe978207e8d8
ANNEES : 34 années, mais quelle importance. Il peut etre ce qu'il veut quand il veut, n'importe quel age, n'importe quelle vie. (01/04)
CŒUR : le palpitant s'attarde trop sur les autres, le coeur des gens résonnant à l'intéreiur du sien, occultant tout ce qu'il s'y passe. Plus rien n'est transmis, tout est sourd.
RÉINCARNATION : llew llaw gyffes, littéralement signifiant celui à la main agile, dieu guerrier magicien chez les celtes.
TALENT(S) : doppelgänger: capable de se métamorphosé en n'importe qui. - bouclier: capable de se protéger des pouvoirs des autres, pas des siens. animorphose: prend l'apparence d'un aigle à volonté. - perception myocardique: capable de ressentir l'état de la vie sentimentale d'autruis, chaque battement de coeur et chaque envie. inactif: charisme ++
FACTION : An Ríocht, depuis toujours, pour toujours.
OCCUPATION : Élu roi d'an riocht suite à la mort de sa sœur. Il est également le propriétaire du Teddybeer, le pub irlandais familial de Downtown et du Douze Coups, cabaret olé d'Historial District. Dirige les affaires d'import et d'export de la famille Killough, en prime.
GENÈSE : primus / stade 6 ( 01/06/20) - découverte des souvenirs, malédiction connue.
TALON(S) D'ACHILLE : il ne sait plus trop, la famille se résumant à seulement deux âmes encore en vie, les amis annoncés comme traitre et le coeur en berne. y'a la coloc, mais c'est trop compliqué, préfère laisser tomber.
JUKEBOX : flogging molly - drunken lullabies; muse - unintended; billie eilish - bury a friend
RUNNING GUN BLUES : hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar FQCqrDYw_o
hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar 5407d76e54adaab82f0ffb923df67268

hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar E82crktg_o
hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar TF1kdYOA_o


an riocht
hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar Empty
hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar - Lun 12 Oct - 12:42



Hop a carpet and fly to another arabian night.

@ikaar killough@sahar benhadi

www

La dernière fois qu’il était venu les travaux étaient toujours en cours effectivement, un hotel ne se construisait pas en un jour, particulièrement lorsque le luxe était au rendez-vous, la richesse des lieux visible dans les détails apportés avec soin. Une perfection détonnant avec une bonne partie de Wild Island et ses quartiers abandonnés, mais n’était-ce pas le but, faire venir du beau monde ici et redorer l’image de l’île ? Un peu, le quartier autour de l'hôtel a déjà été restauré. Faire fleurir les affaires de la région et de la sienne, voisine, restait la priorité. La tête ailleurs il observe les couloirs, les gardes qu’elle congédie sans efforts pour qu’il déguerpissent le plancher au détour des couloirs, des patios gorgés de verdure luxuriante qu’il observe, attiré par les fontaines au bruit relaxant puant la démesure, mais n’était-ce pas cela qui était fun, finalement ? S’entourer de belles choses, toujours plus et cela marchait, les gens adorent ça. Alors elle acquiesce à sa remarque, les affaires tournent les gens réservent, parce que le lieu en met plein les yeux, qu’il est plein de belles promesses.

Ca l’amuse, mains collées dans les poches, goût prononcé pour ces choses lui aussi il avait pourtant pris cette habitude de regarder les humains comme des pions, stupides, dans ce grand échiquier en les différenciant totalement des dieux, des créatures, de tout ce qui était surnaturel. Bien entendu en haut trônant les leurs, déités réincarnés pouvant se jouer de l’imbécilité humaine et sa facilité à se faire amadouer. Ils allaient adorer, rien que la “suite royale” pouvait déjà en faire chavirer plus d’un, eux qui se pensent roi du monde. L’expression de Sahar en annonçant la suite suffit à le faire sourire, visiblement très impatiente qu’il puisse enfin voir à quel point elle avait dépensé son fric - et celui du royaume - dans quelque chose d’éblouissant. « Vas-y, vends-moi du rêve darling, j’ai hâte de voir ça.» Dans l’exagération, son benjamin de quelques années la suit dans les escaliers jusqu’à la grande porte, double, annonçant la couleur avant même d’avoir franchit celle-ci.

La porte ouverte, c’est le luxe à l’état brute. Digne d’un décor de cinéma, pourtant ici tout est véritable, des dorures au marbres sur le sol c’est un palais miniature pourtant gigantesque qu’il observe tout en restant sur le pallier, les yeux se posant sur les colonnes, les lumières, le lit monstrueux et ce bassin portant le tout un cran au dessus. On oublie Wild Island, on oublie même Arcadia et la neige pouvant tomber dehors pendant des mois. Transportés complètement ailleurs, dire que c’était dépaysant était un euphémisme, et ça semble le ravir. C’était presque trop, mais c’était ça aussi, la magnificence.Peut-être qu’il fallait être fou oui, pour avoir eu une idée pareille, mais elle avait raison. Arcadia était plein de gens capable de se payer ce luxe, capable d’autant de folie, et ils allaient les faire banquer. « Peut-être.» qu’il commence, rappel à l’idée folle qu’ils avaient eu un jour de créer ce projet tous les deux même si cela semblait impossible. Ca ne l’était pas au final, ils en avaient la preuve sous les yeux. « Je pense que l’argent ne serait jamais un problème ici, ni même dans ce pays et que les gens font se l’arracher, juste pour prouver qu’ils peuvent se l’offrir.» Faire juste parce qu’ils le peuvent, lui-même était capable de folies juste pour le prouver. L'hôtel, le cabaret… Des investissements juste pour s’amuser, pour mettre un peu de piment et voir les gros poissons dépenser leur frics. C’était un superbe jeu auquel il adorait jouer, être un plus gros poissons encore, prêt à les avaler.

Fêter ça était de rigueur, il suppose. Alors lorsqu’elle propose un verre - qu’il aurait accepté même sans raison particulière - il ne peut qu’acquiescer, la main approchant la sienne ne dérangeant pas le roi parfaitement serein, près de la Mambo. Il s’en saisit sans plus y réfléchir. Pourtant cette fois ça diffère, et les yeux se fixent sur la main dans la sienne, chaude. Beaucoup trop pour que cela soit ordinaire et pourtant, jamais cela ne c’était produit avant. Intrigué il ne dit pourtant rien, pas avant que la déesse féline ne l’attire vers l’un des espaces où s’asseoir, mains se quittant le Roi se laisse tomber dans les coussins orientaux, la fameuse bouteille promise sur le guéridon non loin. Pourtant c’est les pâtisseries qui attirent son regard, gourmandise pure, lui qui n’avait plus besoin de manger, il se saisit de l’une d’entre elle qu’il croque, la fleur d’oranger parfumant la pâtisserie mielleuse, fondante.

Un soupire trahissant sa fatigue s’échappe de ses lèvres, avant qu’il ne se tourne vers elle toujours avachi. Penser à autre chose, être joyeux, il préfère commenter le décor. « Tu sais quoi ? Pour une suite royale ça manque de vert tout ça, je suis déçu. J’attendais au moins à ce que les murs aient la couleur de mes yeux.» qu’il commente, dramatique, même si il savait très bien que son statut n’avait rien à voir avec le lieu. « En vrai, j’aime beaucoup. J’ai même déjà des idées de clients à qui vendre cette chambre, les hommes d’affaires des douze coups sont près à payer n’importe quel prix pour avoir le luxe du luxe. Si y’a danse orientale au menu ils signent déjà. » Des porcs, mais ils pouvaient tellement profiter d’eux que c’était drôle, cela compensait de respirer le même air qu’eux.  « T’as fait de l’excellent boulot en tout cas.» Forcément qu’elle avait eu son mot à dire dans tout ça, peut-être même qu’elle a rendu les travailleurs fou à vouloir placer un meuble ici, puis là-bas et finalement là. A ne pas en douter, mais ça valait la peine. Il se redresse un peu et se saisit de la bouteille une fois le gâteau terminé et les doigts débarrassés du sucre, ouvrant celle-ci et servant les deux verres placés là, avant de lui confier. « A notre investissement. » qu’il déclare en levant son verre, l’eau de vie brûlant à peine dans la gorge à force de consommer de l’alcool. La boisson serait sans effet sur eux, mais cela ne retirait pas le goût. Au moins le décor restait stable et les yeux continuent d’observer la suite, la taille de celle-ci et, la porte. Pas celle par laquelle ils étaient entrés, une autre.  « La suite continue encore ? » qu’il demande, curieux.
 

Revenir en haut Aller en bas
hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar -

Revenir en haut Aller en bas

hop a carpet and fly to another arabian night. ) ikaar

 :: - ARCADIA'S SEASIDE - :: wild island :: Arabian Nights Hotel
 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» sorry about the carpet. ) daddy
» arabian nights. ) amir
» I ran away from you, that’s all I ever do. ) Ikaar
» sunburn (ikaar)
» got a secret, can you keep it? ) ikaar

Sauter vers: