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j'explose mes phalanges sur ta gueule d'ange. (ruben;pyxis)

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j'explose mes phalanges sur ta gueule d'ange. (ruben;pyxis) - Mer 11 Avr - 19:53

ruben & pyxis
luleaby
j'explose mes phalanges sur ta gueule d'ange.
Elle était là.
Assise contre ce mur tandis qu'elle crache le sang qu'elle avait dans la bouche. Elle déteste ce genre de situation, elle a même l'air particulièrement pathétique comme ça, Pyxis. Elle soupire, puis la voilà qui se relève, récupérant le cadavre de son appareil photo qui traînait là, à un mètre d'elle. Elle arrive pas à croire qu'on lui ait fait ça, qu'on ait daigné la trouver pour lui régler son compte. Elle sait qu'elle n'est pas spécialement appréciée, qu'elle a pas beaucoup d'amis, au contraire, mais quand même. Quelle belle bande de fils de pute.
Si elle suivait son instinct elle serait presque sûr de savoir qui est le créateur de toute cette mascarade. Y a qu'une ordure pour pouvoir lui envoyer des gars au cul qui lui brisent son matériel pro. Parce que ouais, pour certain c'est qu'un appareil photo, pour elle, c'est son moyen de pouvoir bouffer tous les jours.
Elle avance Pyxis, marchant d'un pas las dans les rues sombres d'Arcadia. Elle laisse ses pas la guider, sans vraiment savoir où elle se rend. Elle prend même pas la peine de remonter ses bas qui semblent plus très déterminé à se battre pour tenir. Elle paraît ridicule. Elle même le sait. Mais elle s'en fou en fait.

Elle marche, la tête vide, dans les rues de cette ville qu'elle connaît, encore et encore. Elle les voit ces gens, ces hommes qui recherchent à vampiriser des demoiselles, ces nanas, avec leurs cheveux brillant même dans la nuit et leur maquillage les sublimant, sirotant leurs verres et riant, prétendant être la proie alors qu'elles sont les chasseuses. Elle passe, devant ses ruelles où des gens se laissent aller à leur pulsion, trop impatient, trop dalleux pour pouvoir attendre. Et y a Pyxis, qui avance au rythme de la trotteuse sur sa montre, sans but, sans objectif. Elle qui aime tant, vagabonder tardivement, capturant les instants parfois futiles des individus. Ils s'y attendent pas, mais ça rend tout ça plus beau, car c'est spontanée. Parce que ouais, elle l'utilise pas que pour avoir des preuves d'infidélité et toute ces merdes là Pyxis.

Elle se faufile entre les corps tandis qu'elle pénètre dans cette épicerie. Elle vagabonde, dans les allées, ce gilet beaucoup trop long qui lui offre un look débraillé. Elle attrape la première bouteille qu'elle trouve et elle la pose sur le comptoir. Elle balance un billet froissé déclarant clairement qu'il peut garder la monnaie. Peut-être devrait-elle éviter, elle va avoir besoin de dépenser de la thune dans un nouvel appareil photo. Bordel. Cette pensée la déprime. Tellement qu'à peine ayant franchit le pas de la porte, elle ouvre la bouteille et elle mène le goulot à ses lèvres, avalant plusieurs gorgées de ce liquide ambrée qui lui brûle la gorge au fur et a mesure qu'elle avale. Pathétique vous avez dit ? Probablement le second prénom de Pyxis. Elle se lave au passage la bouche de ce goût métallique sanglant et elle finie par passer la manche de son gilet sur sa bouche pour essuyer ses lèvres. Puis c'est alors que son regard se pose sur cette bagnole, garée là en face d'elle. Elle pouffe légèrement tandis qu'une idée lui vient en tête.
Non. C'est pas le moment de faire encore des conneries. Mais c'est le moment de récupérer du fric.
Parce que c'est lui qui a envoyé ces types. Elle en est sûre. Alors Pyxis, elle s'avance, allant jusqu'à grimper sur cette bagnole. On la regarde bizarre, ou plutôt les chasseurs posent leur yeux sur son fessier qui est un peu trop bien moulé dans ce mini short. Elle s'assoit, là sur le toit de cette bagnole de luxe. Si c'était une pétasse elle pourrait passer ses clés dessus, histoire de se venger un peu. Mais autant commencer calmement. Elle est d'humeur à négocier ce soir Pyxis.

Une heure, deux heures. C'est l'temps qu'elle passe à observer les étoiles, a descendre cette bouteille et son paquet de clopes. Puis lorsqu'elle voit du coin de l'oeil la porte du club s'ouvrir, elle se redresse la petite brune. Elle le voit, qui l'observe. Elle écrase son mégot sur le toit de la bagnole, laissant une légère trace de cendre. Un coup de main dessus et ça disparaît, alors qu'est ce qu'il peut bien s'en battre les couilles. Finalement, elle attrape sa bouteille et elle se laisse glisser sur le pare-brise, avant d'arriver sur le capot de cette voiture. Elle se relève, se tenant toute droite dessus, et elle retire son sac bandoulière. Elle le laisse tomber au sol, dans lequel le cadavre de son appareil photo est. « Tu m'dois 1800balles. » dit-elle tandis qu'elle hausse un sourcil. Parce qu'elle est sûre, non, elle le sait Pyxis, que c'est lui qui est l'artiste de ce tableau. Y a que lui pour agir de manière aussi dégueulasse. Et c'est le seul qui a encore la réelle rancune de son taff. Alors elle est sûre que c'est lui, qui a demandé la destruction d'une journée entière de travail. « J'accepte les règlements par chèque, bien que je préfère l'espèce, et uniquement sous présentation d'une pièce d'identité. » Elle mène une clope à son bec, et plonge une main dans son soutient gorge pour y trouver son briquet. Elle allume sa cigarette, prend une grande bouffée et recrache celle-ci à la gueule du brun. « Et j'aurais besoin d'un paiement le plus tôt possible. Ce soir serait parfait, mais j'suis prête à attendre jusqu'à demain. »
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j'explose mes phalanges sur ta gueule d'ange. (ruben;pyxis) - Ven 13 Avr - 13:42

 j'explose mes phalanges sur ta gueule d'ange. // @Pyxis Delenikas ※※※ Lumières qui dansent et corps qui s'entremêlent. Assis dans la pénombre, un verre de brandy à la main, Ruben fixe la masse de monde qui s’agite sous les stroboscopes. Trop éméché pour chasser, il attend que les proies viennent à lui, comme un épouvantail où les corbeaux viennent se poser, ultime provocation. Il sait que son costume hors de prix et les bijoux en or attirent l’attention des filles en quête d’un monde meilleur. Il se penche vers son voisin, l’écoute lui brailler dans les oreilles et affiche un sourire mauvais. La Calavera a fait de ce club un énième fief, ils sont connus comme le loup blanc. Il s’y sent à l’aise comme un poisson dans l’eau. Il n’y a qu’en compagnie du gang qu’il se sent encore plus invincible que derrière son bureau au sommet de l’immeuble de la compagnie.
Bientôt une brune s’approche de lui, se déhanche à outrance sous ses yeux, et le mexicain ne peut s’empêcher d’effleurer ses hanches, le regard carnassier. Elle lui prend la main, l’emmène dans les toilettes. Il ne met pas longtemps à la plaquer contre les murs couverts de graffitis. Au loin la musique résonne encore mais Ruben n’entend plus que les soupirs de sa proie, qu’il salit de ses propres péchés. Elle a les yeux dilatés par la drogue ou le désir, mais il y a longtemps qu’il n’est plus en mesure de remarquer ce genre de choses. Il referme sa mâchoire de jaguar autour de ce bel oiseau de nuit, et atteint bientôt l’extase dans un grognement, sans vraiment se soucier d’elle, de ses besoins, de ses envies. Non, le monde entier tourne autour de lui, le reste n’a que peu d’importance. Il prend quand même le soin de lui rendre sa culotte, puis la quitte sans un mot après s’être renfroqué. Il n’a même pas cherché à connaître son nom. A quoi ça servirait? Il ne la reverra jamais de toutes manières. Il lui fait une fleur en lui évitant de se faire de faux espoirs.
Il retourne à la fête, se fond dans la foule d’êtres transcendés par la fête et l’alcool avant qu’elle n’arrive à le suivre. Il retrouve ses amis, leur fait savoir qu’il va rentrer, laisse quelques billets de cent dollars sur la table pour les bouteilles qu’ils ont achetées. Il quitte l’endroit sans autre forme de procès. Après tout, il a fait ce qu’il était venu faire, ça ne sert plus à rien de rester. Une fois dehors, il ferme les yeux et soupire, prend quelques secondes pour apprécier l’air frais de la nuit, bien loin de la chaleur corporelle et de l’odeur de transpiration qui règnent à l’intérieur. Ce petit moment de paix ne dure pas longtemps, car quand ses paupières s’ouvrent, c’est sur un spectacle révoltant.
L’autre garce.
Assise sur sa voiture, avec une bouteille.
D’habitude, il suffit qu’il la voit pour que son sang bouillonne, mais là c’est encore pire, car si elle a abîmé sa carrosserie, elle va passer un mauvais quart d’heure. Il la suit du regard quand elle écrase son mégot sur le toit, et ses mâchoires se serrent. Il a trop bu pour pouvoir se contrôler, pourtant c’est pas faute d’essayer. Elle connaît tous les trucs qui le mettent hors de lui. Elle sait très bien comment le pousser à bout, mais il veut pas lui faire ce plaisir, du moins pas tout de suite. Il avance d’un pas soutenu, sans la quitter des yeux, la fureur dans le regard. Avant qu’il puisse dire quoi que ce soit, elle fait tomber son sac au sol. Au bruit, il devine que c’est son appareil qui s’y trouve, et qu’il a connu de meilleurs jours. Elle lui annonce qu’il lui doit de l’argent. Il laisse échapper un rire bref et plein de sarcasme. Elle doit croire qu’il est la banque nationale ou quelque chose dans le genre. Il la laisse finir, parce qu’il est gentleman tout de même. Il reste de marbre sous le nuage de fumée qu’elle lui souffle à la tronche. « Enlèves-en déjà trois cent pour la carrosserie. On t’a jamais appris à rien poser sur une voiture, encore moins ton cul? » Ouais, Ruben éméché c’est pas beau à voir, elle a pas choisi le meilleur moment. D’ailleurs, il vient seulement de capter la manche pleine de sang, l’allure débraillée et le visage légèrement gonflé de la détective. Le temps que ça monte au cerveau, il titube un peu. « Attends, tu crois que c’est moi qui suis derrière tout ça? J’suis pas le seul qui peut pas te voir en peinture, Pyxis. » Il a pas tort, le métier de la brune, c’est de se mettre des gens à dos. Puis si elle le pense idiot, il ne l’est pas au point de tout risquer par pure vengeance, il sait qu’elle a des trucs sur lui qu’il préférerait enterrer pour de bon. La vérité c’est qu’il en serait capable, surtout s’il a bu. Si ça se trouve, c’est vraiment lui qui est à l’origine de tout ça, mais il ne s’en rappelle absolument pas, alors autant faire comme s’il n’avait rien à voir là-dedans.. La présomption d’innocence existe même pour les crevards. En tout cas, il se plaît à y croire. « Pis si c’étaient mes gars qui avaient fait ça, ils auraient pas fait le boulot à moitié. Tu serais sûrement pas là à me faire chier. » Elle fait vraiment ressortir le pire de Ruben, cette sorcière. Ca fait longtemps qu’il aurait du s’en débarrasser, comme il le fait avec tous ses problèmes. Pourtant, il ne peut s’y résoudre, parce que faute lui est d’avouer qu’il s’emmerderait beaucoup sans elle. Il faut toujours qu’ils fassent des étincelles quand ils se croisent, que ce soit pour se bouffer ou froisser les draps. La voir cloper lui a donné envie, alors il s’en allume une à son tour. Peut-être que ça suffirait à le calmer. Mais il sait qu’il a besoin de bien plus que ça.
(a) blue moon
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j'explose mes phalanges sur ta gueule d'ange. (ruben;pyxis) - Ven 20 Avr - 19:12

ruben & pyxis
luleaby
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Elle pouffe la brunette tandis qu'elle recrache encore cette satanée fumée qui lui bousille un peu plus les poumons. Et elle fait exprès d'aggraver son cas en s'appuyant simplement sur le capot, croisant les jambes et sourire hypocrite aux lèvres.« Fait pas genre ça te gène tant que ça. On sait tous les deux qu't'as beau pas supporter ma gueule, t'adore mon cul. » pyxis et son manque de tact éternel, c'est pas une suprise. C'est pyxis, avec un manque de délicatesse évident, et malgré son joli minois, dés qu'elle ouvre la bouche, c'est tout de suite moins mignon. Parce que ouais, une nana qui passe son temps à dire des insultes, y a plus glamour et elle est tout, sauf glamour la brunette. C'est peut-être ça qui fait son charme au final, qui sait ? Elle fixe le sac au sol, rien que de penser à l'état de son appareil photo, ça lui fou les nerfs à la brunette. Et si elle se contrôlait pas un minimum, elle lui enverrait probablement la bouteille dans la gueule. « Hm. » répond-t-elle. Elle l'observe, tirant une dernière latte de cette cigarette qu'elle écrase, encore, sur la carrosserie de la bagnole. Puis elle s'avance, à quelques centimètres, pour finalement se mettre à tourner autour de lui, tel un éternel prédateur, rôle qu'elle s'amuse à prendre. De toute manière, c'est toujours comme ça entre eux, celui qui prend le plus les devant, qui dominera le plus. Dans des affronts oraux, ou physique, c'est une éternelle lutte pour savoir lequel des deux aura raisons. « Vraiment ? » demande la détective en référence à cette manière bien délicate qu'il a de dire qu'elle boufferait les pissenlits par la racine. Elle termine son petit tour de prédateur tandis que là, elle se tient, bien droite, fière devant lui, du haut de ses un mètre soixante cinq, un air de défis dans le regard, juste là, à quelques centimètres. Probablement qu'il sent son haleine peut-être un peu trop alcoolisée. Faut dire qu'elle s'est descendue une demi-bouteille seule, alors ouais, c'est tout sauf l’haleine la plus fraîche qu'il soit. « Pourtant on sait très bien que tu peux plus te passer de moi. Sinon tu  m'aurais déjà réduite au silence depuis longtemps, pas vrai ? » un sourire narquois s'affiche au coin de ses lèvres tandis qu'elle recule, haussement de sourcil pour souligner l'évidence et la voilà qui regarde autour d'elle. Elle aperçoit un truc qui dépasse des poubelles de l'autre côté de la rue. « J'ai une idée. » déclare-t-elle, autre sourire qui traduit une sale idée qui vient de lui traverser l'esprit. Elle trottine, traversant la rue. Elle sait pas pourquoi ni comment quelqu'un serait désireux de se débarrasser d'un truc comme ça, ni même, outre des gens comme elle ou comme Ruben pouvaient avoir ça chez eux, mais qu'importe. Elle est pas à l'heure des enquêtes mais plutôt à celle des négociations.

Elle revient, traînant cette barre de fer derrière elle. Elle observe Ruben, haussant un sourcil, ce même sourire en coin. « On va parler ton langage maintenant si tu permets. » Et la voilà, qui de toute ces forces abat cette barre sur le pare brise de la bagnole. Un impact sur le verre, et la voilà, se retournant vers le brun tandis qu'elle tient bien fermement cette barre de fer. Les regards se perdent presque sur eux, tandis que Pyxis, elle part, d'un coup, en vrille, comme bien souvent. « Joue pas l'innocent avec moi Alvares, je sais que c'est toi qui a bousillé mon d'appareil photo. Alors donne moi une seule bonne raison de pas exploser ta putain de carrosserie. » Et la voilà, qui recommence avec ce regard là. Un truc qui montre qu'elle a les nerfs, ou peut-être qui démontre une démence certaine. Les gens les plus normaux auraient probablement peur de ce genre de regard dans lequel on peut lire une éternelle détermination, et dieu, qu'est ce qu'elle sait s'y prendre pour ce genre de merde. Pour l'instant, elle s'en prend qu'au pare brise, parce que ça se change mais il lui en faudra peu. Un mot de travers, un truc qu'elle trouve pas satisfaisant et elle explosera probablement plus. Ou raiera la carrosserie qui sait ? Elle même peut-être très inventive quand il s'agit de pourrir la vie de quelqu'un. Et peut-être qu'elle laisse son impulsivité parler un peu trop. C'est un fait sur lequel elle doit travailler, parce que si c'est pas lui, elle va avoir l'air plus que conne, et avec une autre dette sur la gueule. Elle a besoin de tout, sauf de ça. Note personnel : réfléchir et parler avant d'agir impulsivement. Ca l'aidera probablement dans pas mal de situation. Elle serre ses mains autour de cette même barre tandis qu'elle le regarde, bien déterminé à obtenir des aveux, et le fric qui va avec. Y a que lui pour faire ça. Parce qu'avant qu'il débarque dans sa vie – ou plutôt qu'elle s’immisce dans la sienne – personne n'a jamais fait ça. Rien que le faite qu'elle soit chez la Nuova Camorra. On fait pas chier les gens de ces putains d'affiliation sans une raison bien précise. Pourtant, elle est tout sauf appréciée, en petite fouteuse de merde qu'elle est, mais ça, personne le sait en dehors de la faction en elle même. Y a que lui pour faire ce genre de merde, ça Pyxis elle en est certaine. « Alors Ruben, ça t'aide à te souvenir, ou t'as besoin d'encore un peu d'aide pour raviver ta mémoire de connard ? »
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