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kiss me or kill me

 :: abandonnés
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kiss me or kill me - Jeu 18 Oct - 22:20



@Isay D. Kavinsky


La langue qui passe doucement sur les lèvres, appréciant chaque saveur, chaque arôme  du whisky sur ses papilles. La môme a pris les gouts de son père, même pour l’alcool. Peu de vodka, mais un bon whisky, pur ou non, elle y dit rarement non. Le verre de whisky coca reporté à ses lèvres, elle écoute les récits de ses amis. Certains qu’elle a connus à la fac, d’autres qu’elle sait appartenir au royaume. L’un d’eux, un peu plus âgé, avait même rencontré son père. Foutue coïncidence. Elle se demandait souvent combien de fois il était venu ici. Combien d’aller-retour il avait fait en le cachant à sa mère. Combien d’excuses il avait dû trouver pour se volatiliser. Peu importe au fond, ça ne changerait rien à la situation.

Les esprits s’échauffent, les rires raisonnent, et l’atmosphère est légère. Pendant un instant, elle se sent vraiment bien. Elle se sent elle-même. Pas de valkyrie, pas d’autre entité dans sa tête. Juste la douce Majken. La fille pleine de vie, malicieuse et taquine. « Allez, je te resserre ! » elle sort de ses pensées, un peu glauques, surtout nostalgique et fait d’abord d’un signe de tête, mais avec l’ambiance qui l’entraine, ethan qui se fait un peu plus insistant, la môme ne résiste pas bien longtemps. A quoi bon ? Autant s’amuser. Elle le regrettera même pas demain. L’un des avantages d’être une valkyrie, la gueule de bois est inexistante. Cette fois, le liquide ambré est servi pur, et tout le monde descend son verre cul sec. Les rires et les conversations reprennent de plus bel jusqu’à ce que la norvégienne n’entende la porte d’entrée. C’est par habitude qu’elle laisse la porte ouverte lorsqu’elle a des invités. Pas franchement envie qu’ils se sente pris au piège. Mais elle n’attendait personne d’autre. Mais lorsqu’elle entend la porte claquée, elle sait. Rapidement, elle lève ses fesses, pose son verre sous le regard surpris de ses amis. Et il est là, Isay, à pénétrer dans son appartement comme s’il se croyait chez lui. Mais ce soir, plus que d’habitude, ça l’agace. Parce qu’elle est pas seule, parce qu’elle connait son caractère et sait pertinemment que ça peut déraper en moins de cinq minutes. Mais les deux mains sur sa poitrine, elle bloque le passage avant qu’il n’atteigne le salon. La môme le pousse légèrement, pour le faire reculer, les sourcils froncés. « Qu’est ce que tu fous là ? Tu peux pas prévenir ? » Elle relève les yeux, le regard qui s’ancre dans le sien, et d’un seul coup, son palpitant qui s’accélère. L’organe vital qui s’excite sous le regard sombre du slave. L‘adrénaline qui s’échappe de tous ses pores, l’appréhension de se demander ce qu’il va suivre. Tout ou rien. Ils font pas  dans la demie mesure. Pas avant, pas maintenant. Sans doute jamais. Majken, elle a jamais su ce qu’elle ressentait envers cet abruti là. L’attrait pour les mauvais mecs sans doute. L’addiction pour tout ce qu’il lui faisait ressentir. Pour se sentir un peu plus vivante, juste un peu, le temps des ébats entre ses bras.




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kiss me or kill me - Lun 29 Oct - 23:23

Kiss me or kill me

He's coming in the dark night. He's coming like a bad new. No one can stop it. But you don't want to so in the end you don't try, not enough. Cause' baby your addicted as dangerous as it may be;  


La nuit est froide, noire et tombée depuis si longtemps. Avec son vent froid, elle mène les problèmes. Et les problème pour Majken Callaghan s'apparent à Isay. Le cerbère, ses yeux céruléens et sa veste en cuire était consciemment en route pour le domaine de la belle. Attirait par les rires et les relents d’alcool qui ignoraient tous de sa venu. Il n’avait pas besoin d’invitation, ni d’autorisation, petit roi dans n’importe qu’elle lieu. Chieur à temps plein. Il s’invite régulièrement chez sa sauvage sans prévention préalable, alors vraiment, au final, ne serais pas un peu de sa faute si elle se retrouvait dans cette situation. Elle aurait pu le voir venir finalement.
Cela ne l’était pas bien évidemment, mais il faut bien un coupable et Isay serait incapable de regretter son geste, même de quelque peu.
Un comportement à peu prés, normale induirait un coup de fil ou bien au moins un simple message, mais son téléphone était perdu au fond d’une de ses trop nombreuse poches. Et pour tout dire Isay préférait jouer sur l’effet de surprise que tout gâché. Alors il monte les quelques marches du péron dans le plus grand des calmes, comme s'il était chez lui, parce que pour être honnête, il était tellement de fois dans la chambre de la belle, invité tout en haut pour l’envoyé aux septièmes ciels. Il connaissait le chemin presque aussi bien que son propre appartement.
Il les entend, les rires et les discussions jouaient et comme une réaction enchaînée un sourire malveillant vient illuminer ses traits. Maitre dans son royaume et manquant toute once d’une hésitation qui lui est inconnu. Il tourne la poignée et rentre chez lui comme un mari revenant chez lui après une grosse journée, sourire et mauvaise attention en plus.
Il ne l’appelle pas, il attend en enlevant sa veste, en découvrant l’encre qui marque sa peau. Il sait que ce n’est qu’une question de seconde, qu’elle se lever et qu’elle arrivait pour le découvrir. Parce que les deux avaient ce genre de connexion, jeune fiancé il y a quelque temps. Il tourne la tête indolemment et elle est là à l’entrée du couloir, puis très vite devant lui. Demain sur son torse elle le repousse, crée une barrière et lui donne encore plus envie d’aller voir ce qu’elle veut lui cacher, de faire ce qu’elle essaie de lui interdire. Un sale gosse voilà ce qu’il était, mais cela ne semblait pas le déranger le moins du monde. Il prend ses accusations et questionnements avec un sourire. De toute façon, il savait, que même si elle était énervée à l’instant, elle finirait par céder comme elle le fait toujours. Il peut même voir une once d’excitation poindre au fonds de ses prunelles, celle qui l’avait put voir s’allumer à chaque fois qu’elle lui céder. Celle qu’il connaissait si bien maintenant. Son expression est tranquille et relaxée, par rapport au sourcil froncé et à l’agitation de la valkyrie, avec une voix suave et traînante, il répond, « C’est comme ça que tu m’accueilles chérie ? » en contrôle « Je me suit dit que je te ferais une petite surprise, ça fais longtemps j’ai du te manquer » Il souris à ces inepties, de toutes ses dents perles d’un blanc éclatant qui se révèle par le biais du pire des rictus. Ses bras trouvent naturellement le chemin de ses hanches et il la rapproche dans son embrasse, se penche jusqu’à effleurer son oreille de son souffle chaud. Il connaît ses boutons, compte bien les appuyés à chaque occasion qui se présente. « Peut-être que je pourrais rattraper le temps perdu ? Me rappeler à ton bon souvenir. » Sa voix baisse de quelques octaves parce qu’il sait l’effet. Isay, il sait l’effet qu’il félicite chez ses partenaires, il les joue tel le plus beau des instruments. Et Majken avait l’un des plus beaux gémissements. Mais il avait le temps pour ça. « Tu ne m'avais pas dit qu’il y avait du monde ce soir » sa voix monte.
Son toucher s’estompe et il s’éloigne du corps chaud de sa blonde pour ce dirigé plus loin dans l’habitat.


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kiss me or kill me - Mer 31 Oct - 15:34



@Isay D. Kavinsky


L’alcool qui se mélange au sang, la chaleur qui lui monte aux joues. Doucement, mais surement. Pas encore assez pourtant. La soirée semblait bien partie. Pas trop mal en tout cas, malgré l’insistance parfois lourde d’Ethan. Peu importe. Mais ce qui la sort de son état joyeux, c’est la porte d’entrée qui semble s’ouvrir. Sans pouvoir l’expliquer, elle sait qui sait. Elle sait que ce n’est pas n’importe quel invité surprise. C’est lui. Le seul qu’elle voit débarquer à toute heure du jour ou de la nuit. Le seul qui se pointe sans prévenir, sans être invité. son tatoué. le fiancé d’un autre temps.

Elle sait pas comment il va réagir. Elle sait pas ce qu’il va dire de toutes ces personnes présentes. Parce qu’ils font partie du royaume. Si ce n’est pas forcément marqué sur leur tronche, ça se devine largement pour certains d’entre eux. La peau typiquement irlandaise, l’accent qui va avec. Ca, combiné au gout accru d’Isay pour la provocation… Elle n’est pas certaine de ce que ça va donner. Alors elle accourt, elle veut le retenir, peut-être lui faire faire demi-tour. Elle peut toujours rêver. Est-ce qu’elle en a même réellement envie ? Pas vraiment. excepté pour éviter les problèmes. Il est déjà là, dans l’entrée, la veste ôtée, l’encre des tatouages dépassant du col de son t-shirt. Un instant figé, elle va jusqu’à lui, les deux mains plaquées sur son torse pour l’empêcher d’aller plus loin, le faire reculer juste un peu. Pas de résistance, juste un sourire qui se dessine sur ses lippes, et elle sent son agacement diminuer. Sale con. Elle est sa faiblesse. Sa gueule, son sourire, ses conneries.
L’adrénaline qu’il lui inspire.
« C’est comme ça que tu m’accueilles chérie ? Je me suis dit que je te ferais une petite surprise, ça fait longtemps j’ai dû te manquer » Un sourcil arqué, elle se demande un instant s’il se paie sa tête. Sans doute. « Je t’ai manqué, moi ? » qu’elle demande, un sourire amusé sur le coin des lèvres, sans franchement y croire. Peut-être pour le sexe. Sans doute juste pour le sexe.  Et Naturellement, y’a ses mains qui glissent ses hanches, son visage qui se rapproche. Chaque contact qui déclenche un frisson. Plus encore lorsque son souffle chaud vient caresser son cou puis le creux de son oreille. Elle sent le léger picotement dans le creux de ses reins. Celui qu’il déclenche trop rapidement, à chaque fois. Celui qu’elle a connu, pour la première fois, lors de cette soirée au Narcisse Enchainé. Cette soirée, où tout a dérapé. Payée à danser, elle s’est retrouvée à le chevaucher, le désir lui brulant les reins, la passion lui écrasant le palpitant. « Peut-être que je pourrais rattraper le temps perdu ? Me rappeler à ton bon souvenir. » « C’est pour ça que t’es là, nan ? » le murmure est lascif, et l’une de ses mains glisse jusqu’à sa gorge. Juste là, placée, à peine appuyée alors qu’elle rapproche ses lèvres. Une légère caresse, assez pour l’allumer avant de légèrement reculer son visage. La vérité, c’est qu’ils se font le même effet et qu’à trop l’allumer, elle risque de s’y bruler. Sa voix trainante, ça lui rappelle certaines soirées, certaines nuits. Réveillée au milieu de la nuit, pour froisser les draps, encore une fois. Réveillée au milieu de la nuit, pour satisfaire un désir toujours plus grand. « Tu ne m'avais pas dit qu’il y avait du monde ce soir » elle sort de ses pensées, et le slave s’éloigne, prêt à pénétrer un peu plus loin dans son appartement. Elle jure, en norvégien, comme à son habitude. Et si c’est pas dans sa langue maternelle, c’est dans celle de sa mère. « Tu ne m’avais pas dit que tu venais… » elle s’avance, la machoire crispée, le sourire forcé, figé, en appréhendant les minutes à venir. « Oh, laisse moi réfléchir… Tu l’dis jamais… » elle soupire, le rattrape alors qu’il arrive devant ses invités, tous un peu surpris de le voir débarquer. C’est vrai qu’avec sa gueule, ses tatouages apparents, il est loin de l’homme qu’ils auraient pu imaginer près de la blonde. Si seulement ils la connaissaient parfaitement. Elle et ses envies. Elle et ses démons. « Isay… tout le monde. Tout le monde… Isay. » Les sourires se font timides mais polis. Sauf ethan, un peu plus fermé que d’habitude. « Tu nous avais pas dit que tu fréquentais quelqu’un. » Parce que c’est à ça que ça ressemble : le mec qui se pointe sans frapper. Le mec qui s’avance dans l’appartement qu’il connait comme le sien. Nerveusement elle passe sa langue sur sa lèvre inférieure. « Non... enfin… oui... Bref peu importe. » Elle a pas envie de se confondre en explication, ni devant eux, ni devant isay. Oui elle le fréquente, depuis un moment. Un long moment. Mais non, ils n’ont jamais été en couple, et elle se retrouve un peu bête à devoir étaler sa vie privée pour assouvir une curiosité qu’elle commence à trouver mal placée. Elle se tourne alors vers Isay « tu veux un verre ? » elle attend pas sa réponse, elle attrape la bouteille de whisky, se serre la moitié d’un verre qu’elle descend cul sec avant de lui tendre la bouteille. Ouais, elle a au moins besoin de ça.






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kiss me or kill me - Sam 29 Déc - 14:03

Kiss me or kill me

He's coming in the dark night. He's coming like a bad new. No one can stop it. But you don't want to so in the end you don't try, not enough. Cause' baby your addicted as dangerous as it may be;  


Il arrive les mains dans les poches. Tranquille et nonchalant, son attitude habituelle. Il s’approche, s’amuse de l'effet qu'il a sur elle, qu'elle a sur lui. Cette excitation aux creux de son estomac qui revenait à caque fois. Qu'il se gardait bien de lui déclarer ou même de se l'avouer. Cela nuirait à son image ou à sa santé mentale, et personne ne voulait ça pour lui. S'il devait être honnête, il ne voulait pas ce posé sur ce qu’il ressentait pour sa blonde. Les sentiments étaient là, mais il était trop occupé à les entasser sous des couches de dénis et d’inquiétude. Ce qu’il avait ici avec Maj’ le satisfaisait et au final, c’était l’essentiel. Il la regarde de haut, lui souris avec une attitude qu’il voulait tout dire. Après tout, il venait rarement pour autre chose que se défouler, la jeune femme ne s’était donc jamais fait d’illusion sur ses intentions et ne s’en était jamais plaint non plus. Elle en redemandait même, voix fatiguée sur son répondeur à des heures impossible. Une addiction mutuelle à laquelle aucun des parties ne souhaitait mettre fin. Il rentre comme un roi dans son royaume. Puis il s’arrête pour observer la pièce d'un regard perçant, une expression. Des gens occupaient le canapé sur lesquels il pensait passait le premier round, des bouteilles dispersé sur la table en verre sur lequel il pensait passer le second round et ainsi de suite. Derrière lui, il entend Maj' jurais dans sa langue paternelle, ses jurons qu’il a entendu des centaines de fois grogner aux creux de son oreille.

Un coup d’œil dans la salle lui donne tout ce dont il a besoin de savoir sur les invités, des putains de rouquins du royaume. Peut-être que s'ils les secouaient un peu, ils chieraient des pièces d’or. Il jure alors qu’elle le présente. Pendant un instant, l’idée semble très attirante pour le brun qui n’avait pas eu de « vraie » bagarre depuis un bon moment. Et pourtant, il ne fais rien, se contente de montrer ses canines et de faire un vague mouvement de la main. Après tout ce n’était pas en tant que membre de la Bratva qu’il était venu ce soir maison simplement en tant que lui-même. Puis avec la nouvelle alliance officialisée entre les deux mafias… Il fallait mieux qu'il reste dans le rang, juste pour cette fois-là. Il suspectait aussi que Maj’ essayerait de lui botter le cul s'il venait à foutre en l’air sa soirée. Et il n’était pas venu ici pour se battre avec sa blonde, mais pour la faire gémir jusqu’à en réveiller les voisins.
Il les salue donc d’un sourire presque menaçant et d’un accent beaucoup trop prononcé pour être le sien. Cela l’amuse, et même s’il avait choisi de ne pas créer de problème, il ne pouvait s’empêcher de provoquer les plus extrémistes d’entre eux. C’était dans son sang, encré dans son caractère pour le meilleur ou pour le pire. Puis une remontrance de la part d’un des quelques représentant mâles du Royaume. Il la flaire cette senteur de jalousie qui s’élève immédiatement. Comme la peur à la truffe de cerbère, Isay s’en régale. Ce sentiment mal placé face à Majken qui semble prise aux dépourvues faces à ses propos. En même temps le russe devait bien l’avoué, sa relation avec la blonde avait bien l’air d’un couple ordinaire et pourtant, ils étaient tous bien loin de la réalité. Ils avaient été fiancé, avant de se séparer pour se retrouver en tant qu’amant. Et aujourd'hui ? Rien de plus qu’une obsession mutuelle, des corps enlacés dans des draps souillé pour se défouler. Loin des rendez-vous et des discussions à cœur ouvert sur l’oreiller. C’est pour cela qu’il manque de ricaner aux mots du rouquin. Non, il n’était pas en couple, mais cela n’empêchez pas le bulgare d’être là ou le rouquin ne pouvait qu’imaginer.

Ce petit jeu puéril, il s'en amuse beaucoup trop Isay. Alors il en remet une couche. Ses mains trouvent les hanches de la blonde alors qu’elle se saisit de la bouteille qu'elle lui tend, à moitié entamer.  «  Je préférerais boire autre chose, mais j'imagine que ça devra faire l'affaire pour l'instant » Son allusion même si déclarée dans le plus grand des calmes ne passe pas inaperçue et c'est avec satisfaction qu'il peut voir la gêne des invités. Une provocation puérile, qui en valait la peine, rien que pour voir le regard furieux de l’autre type. Cette soirée n’était pas si chiante finalement, car Majken ne ferait rien de violent avec ses amis dans la pièce. Il se recule, sait très bien à quoi ces actes ressemble.  « Mais t'inquiète pas on fera ça rien que tout les deux » Un clin d’œil et son fessier rejoint le seul canapé encore inoccupé, en face de tous ces inconnu qui le dévisage avec des yeux de merlan. Ses doigts trouvent les mains de Majken alors qu'il la tire doucement pour la faire tomber sur ses genoux. Un sourire chaleureux au visage, un regard taquin et des bras accueillants. Le fantôme de tous ses pseudos relation qu'il avait déjà eue. Une attitude facile, une illusion de relation qui fait bouillonner l’homme assis dans le canapé. Une pure chimère spécialement pour lui déplaire. Son sourire change, passe de taquin à agaçant alors qu'il le regarde droit dans les yeux. Pas une seule seconde, il cache ses intentions. "Alors t'as passé une bonne journée chérie ?" Une phrase tellement banale, mais qu'ils n'avaient pas échangé, aucun des deux parce qu'il s'en foutait au final. Mais ce soir, les statuts changeaient et rien que pour ses rouquins Isay ce qu'il pensait être une interprétation réussie.



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kiss me or kill me - Dim 6 Jan - 22:19



@Isay D. Kavinsky


Pas besoin de mots, pas besoin d’une phrase bien construite. Son seul regard suffit comme une réponse. Il est bien venu là pour ça. Il est là pour se défouler, pour la posséder, encore une fois. Il est venu pour là pour la faire soupirer, lui rappeler qu’il était là. Ne pas savoir trop souvent pour créer le manque. Mais débarquer assez régulièrement pour se rappeler à son bon souvenir, s‘imposer à sa mémoire et à son corps, raviver l’addiction.

Pas le temps de le rattraper ou de l’empêcher d’aller plus loin, Isay est déjà dans le salon, face aux têtes rousses qui lui tenaient compagnie. Mieux que quiconque, elle savait qu’en un instant, il pouvait décider que leurs têtes ne lui revenaient pas. Encore moins que d’habitude. En un instant, il pourrait faire de cette soirée un carnage. Il  pourrait se lancer dans des provocations auxquelles Ethan seraient sans aucun doute le premier à répondre. Tout s’échaufferait bien vite, et il aurait ce qu’il veut. Des poings et de la violence en pagaille. Et la valkyrie en elle ne pourrait rien faire que s’y mettre et lui rappeler qu’elle n’est pas qu’une jolie tête blonde. Certainement pas avant, encore moins maintenant.  Il sait aussi bien qu’elle, qu’elle serait capable de le foutre à terre, juste pour éviter d’aller trop loin. Mais ça voudrait dire s’exposer un peu plus, sans doute risquer quelques blessés avec.

Il n’en fait rien, reste debout, le sourire en coin. Il prépare forcément quelque chose, elle en mettrait sa main à couper. Et pendant qu’elle tente de se dépatouiller avec ses justifications, il reste là, à la regarder, amusé. Il trouve ça jouissif, elle en certaine. Il a ce regard particulier, lueur pétillante au fond des prunelles. La bouteille tendue vers lui, il la considère à peine, préfère la prise de ses hanches. Marque son territoire, joue un peu plus la possessivité et la jalousie face un Ethan agacé. «  Je préférerais boire autre chose, mais j'imagine que ça devra faire l'affaire pour l'instant » non, il n’a pas osé ?! si. Evidemment. La gêne qui s’installe, elle imagine déjà les joues de ses invités rosir et l’irritation d’Ethan s’accentuer. « Isay… » qu’elle murmure entre ses dents, la machoire serrée. Elle ose à peine se retourner, ne souhaitant que peu affronter leur regard. « Mais t'inquiète pas on fera ça rien que tout les deux » Gagné. Elle sent ses joues s’enflammer en un rien de temps. Si elles ne virent pas au rouge cramoisi, elles sont au moins teintées d’un rose bien notable. Le pire, c’est qu’elle a rien à répondre. Parce qu’il la prend et dépourvu et… parce qu’il a raison. Il ne se serait pas encombré d’une quelconque conversation s’ils n’avaient été que tous les deux. Du moins, sans doute pas plus de quarante secondes. Elle sait comment ça serait passé. Il aurait débarqué, l’aurait agrippé, et l’aurait allongé sur ce même canapé où sont ses amis. Elle jure intérieurement de s’être laissée surprendre, une énième fois, par ses conneries. Elle aurait dû le voir venir. « Garde ça pour toi, s’il te plait. » qu’elle lache encore entre ses dents. La bouteille portée à sa bouche, elle se délecte du whisky, oubliant un instant où elle est, et avec qui. Les doigts du slave qui se glisse dans sa man pour l’attirer à lui, désormais assis dans le dernier fauteuil. Un peu perturbée, la môme. Un peu décontenancé par le ménage d’Isay. Parce que c’est bien ce que c’est. Rien de sincère. Que des gens étonnamment nouveaux faits pour exaspérer leur public. Pourtant, elle atterrit bel et bien sur ses genoux, entre ses bras grands ouverts qu’il lui présente. C’est qu’il remplirait presque bien son rôle. Ce serait un coup à se faire avoir. L’une de ses mains sur sa cuisse, qu’elle serre, qu’elle écrase autant qu’elle peut, comme une manière de déverser son exaspération et sa frustration. « Alors t'as passé une bonne journée chérie ? » Que de premières fois ce soir. C’est bien le genre d’informations dont il se fout en règle générale. Le visage de la blonde qui se rapproche du creux de son oreille alors que sa main remonte de sa cuisse à sa nuque. Le geste pourrait paraitre plus possessif, peut-être aussi plus romantique. Mascarade de plus. « Tu joues à quoi ? » qu’elle murmure, lèvres pulpeuses au creux de son oreille. Mais elle n’en oublie pas ses invités, leur sourit. « Journée crevante, et sans doute pas aussi passionnante que la tienne. Et… décompression, comme tu le vois. » Le sourire d’Ethan est crispé, les deux autres commencent à ne plus être à leur aise. Et voilà qu’il jure. A voix basse, mais pas assez pour qu’elle n’entende pas. « On va peut-être pas tarder, hein ? » que lance l’une des filles. « Pourquoi ? On peut encore boire un verre. En si bonne compagnie, ça se refuse pas. » elle sent le sarcasme, et la norvégienne se crispe. Ca va mal finir. Elle le ent, à Isay, qui se retient. Qui se délecte de la situation tout en s’agaçant en même temps.« Ou on peut remettre ça à plus tard. » que coupe Majken aussitôt. Pas du genre à mettre les gens à la porte, mais elle sait qu’Isay, ça ne sera pas possible.





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kiss me or kill me - Mar 5 Mar - 16:20

VOIMAKAS.

‟ @'Majken Callaghan' & @'Isay D. Kavinsky'  „


   La vérité, une arme que le russe avait appris à manier très jeune. Qu’il avait appris à modeler, facilement. Un réflexe, une copie de la vraie maîtresse en la matière. Un outil mortel et dangereux, qui faisait des miracles. Elle ouvrait des portes, mettait fin à des vis. Et surtout elle était très subjectif, ça, c’est un fait qu’il avait appris à ses dépend.
Comme cette banalité qu’il sert à Majken, ou plutôt à ses invités. Sa blonde, il y voit claire dans son jeu. Son désintérêt doit être évident. Elle le connaît Isay et puis même les rouquins doivent s’en rendre compte au final. Ses yeux vaguent, des traits relaxés et une moue qui en disait beaucoup plus que ces mots. Mais encore une fois, l’homme en face de lui, rallume son intérêt. S'il avait état un peu plus expressif, il aurait presque ricané comme une hyène face à la frustration du roux. L’idée était bien présente dans sa tête alors qu’il s’empare des formes de la Norvégienne avec un sourire.
Il la questionne, mondain dans ses mots et dans son attitude. Des gestes presque raffinés, malgré leur mollesse et une certaine défiance. Une posture plus détendue un sourire plus provocateur que polie et des mots qui avait un principe bien plus grands que transmettre une simple information, l’amusée, le sauver de cet ennui mortel ou de ses ambitions qui le rongeait vivant. Une manière de se connecté, d’échanger ou de se distraire. Cette attitude était peut-être aussi due à l’alcool ou la drogue qui lui remplissait les veines. Dans un sens ça leur donnait un certain charme, tout du moins c’est ce que sa sœur répond, face aux injonctions de la fatale génitrice, la plus grande avait toujours su quoi dire. Contrairement à lui qui s’arrangeait pour la provoquer, de la plus à la moins subtile des manières.
Verre de whisky au bout des doigts, il règne, détendu au milieu du petit salon. Rien ne va changer ce soir au final, même si Isay fait le romantique. Roméo épris d’une Juliette à la force herculéenne, comédie stupide pour tout être assez con pour y croire. Il sait que Maj’ ne s’y fiera pas elle et qu’au final son seul but était encore et toujours unique. La voir se tord sous ses bras, l’entendre gémir, se libérer. Au-dessus ou en dessous de lui, il n’était pas très regardant quant à la manière pas de se vider. « Tu joues à quoi ? » « Faut bien que je m’occupe, non ? » Une excuse, encore une ajouté à la longue liste d’excuses pourris qu’il déblatère constamment. Une protection de plus, une énième connerie, qui marche pourtant tellement bien pour lui, pour elle. Comme l’eau tranquille, la réponse ruisselle, claire et facile. Ses lèves aux creux de son coup, miroitant la blonde. Deux forces opposées qui s’entrechoquent dans de magnifiques sérénades. « Journée crevante, et sans doute pas aussi passionnante que la tienne. Et… décompression, comme tu le vois. » Elle la continue pourtant, cette mascarade stupide qui risquerait à tout moment de l’ennuyer un peu trop. Mais l’attitude de l’homme d’en face le tiens encore en faible haleine. Il le regarde droit dans les yeux. Observateur, le cabot regarde avec régale son effet sur l’autre mâle. Combats puérils de dominance relevés par le rouquin. Gagné par le cerbère lorsque son amie lui donne un coup pas réellement discret. Le sourire de l’un et l’agacement de l’autre redouble si possible. Le malaise augmente et Isay se vautre dans ce dernier. À l’aise comme personne, un tourbillon d’injure caresse ses oreilles, une douce mélodie, une annonce d’un chaos qu’il connaît bien. Des insultes chuchotés, qui amènent à des menaces crié à plein poumons et des poings qui s’entrechoquent. Chair contre chair, comme des bêtes. Un grognement animal reste coincé au fond de sa gorge. Maj’ doit pouvoir l’entendre, logé, tout contre lui.
Mais trop tôt, beaucoup trop tôt, les rouquines sentent le danger. Les esprits qui s’échauffent entre les deux mâles. Les fiertés complètement stupides, testostérone qui enclave leurs cerveaux. Isay n’y résiste pas, comme il ne résiste pas à l’appel du verre entre ses mains qu’il finit d’une traite avant de se resservir. Goulu dans ses consommations comme à son habitude. Rien à changé, tout marché pour le mieux. Une voix s’élève pour mettre fin à la nuit tant que la soirée est ce qu’elle est. Il râle à voix haute, comme un enfant « Mais oui la nuit est jeune, resté un petit peu, on peut faire connaissance, j’ai … » Il allait dire quelque chose d’insultant « Où on peut remettre ça à plus tard. » Et elle le coupe Maj’ parce qu’elle l’a vu venir. Isay sourit et accepte l’intervention. Papier à la main, il roule tranquillement son joint avant de l’allumer. « Vous vous êtes déplacé, ne me laisser pas pourrir l’ambiance » Ses pupilles opaline et déjà un peu trop dilaté « Je promets d’être sage » il prend sa première bouffé de poison avant de la lâcher dans l’air. Cela ne lui faisait plus grand chose, mais l’habitude était rassurante et l’empêcher de passer trop souvent au niveau du dessus. Celui qui pouvait le buter en plus de l’abîmer un peu trop. La bouteille et portait à sa bouche, et il laisse le liquide se déverser pour faire son œuvre. Bientôt le sevrage allé arriver et il le savait, les doux effets de la drogue s’arrêteraient et ses obligations reviendraient au galop. Mais il ne pouvait pas se permettre de se laisser aller à sa consommation trop longtemps, ne pouvait pas assumer les dommages emmenés avec cette dernière.
 

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kiss me or kill me - Sam 25 Mai - 23:57



@Isay D. Kavinsky


Une soirée qui devait se dérouler sans encombre. Une soirée qui se voulait innocente. Juste quelques verres à la sortie des cours. Un moment de détente comme un autre. Ça l’était, jusqu’à l’arrivée d'Isay. Petit ami ? Non. Il n’en avait jamais eu le statut. Sans doute à regret pour la blonde, sans jamais l’avouer. Et pourtant, ils ne se supportaient que de certaines manières, dans le partage de la chair. Mais il avait ses habitudes. Parfois un peu trop mauvaises. Comme débouler sans s’annoncer. Ou provoquer à tout va. Ce soir, c’est un vrai spectacle qu’il leur offre. Une belle mascarade aussi, avec ses gestes faussement possessifs, faussement emmourachés. Ils auraient presque l’air d’un couple. Elle, assise sur ses genoux, retenue par des gestes tendres, des lèvres qui se perdent sur l’épiderme. Mais il n’en est rien. Qu’un jeu plaisant auquel elle se prête étrangement, alors qu’il ne l‘a initié que pour marquer son territoire. Ou pour faire enrager le rouquin, horriblement réceptif.   « Faut bien que je m’occupe, non ? » se mord l’intérieur de la joue, en retenant une réflexion. En réalité, elle n’a pas grand-chose à répondre, elle le connait par cœur. Ils tuent le temps toujours de la même façon, à coup de reins qui se rencontrent. Et elle se laisse faire, lorsqu’il y a ses lippes qui glissent dans son cou. Malgré la mascarade, ça reste un frisson agréable. Pourtant, elle peine à se détendre, à sentir ces regards, qui continuent de scruter et de s’interroger.

Et la pression monte, trop vite.  Le danger qui se sent, l’ambiance qui change. Elle aimerait éviter que ça pète, Majken. Eviter qu’Isay se mette à frapper un de ses potes. Ou alors il sait qu’elle se mettrait entre eux, et qu’ils règleraient ça entre eux, plus tard. Les filles restent plus lucides, à vouloir couper court… Les mecs comme à leur habitude, c’est autre chose. L’envie de continuer, à s’échauffer, à se mesurer l’un à l’autre. Ridicule. « Mais oui la nuit est jeune, resté un petit peu, on peut faire connaissance, j’ai … » majken le coupe sans hésitation. Elle préfère voir ses invités partir que voir cette soirée finir en massacre total. Sans doute pas au sens propre, mais même le figuré, elle s’en passerait bien. Il ne répond rien, se contente de rouler son joint, alors qu’elle lève les yeux au ciel. Il n’en loupe pas une. « Vous vous êtes déplacé, ne me laisser pas pourrir l’ambiance. Je promets d’être sage » la norvégienne hausse un sourcil, dubitative. Depuis quand reste-t-il sage ? Depuis toutes ces années, elle a appris à le connaitre. Il détecte toujours la frustration et l’agacement, sait en faire en jeu, pour continuer à titiller jusque ce que ça explose. Elle attrape alors son menton entre ses doigts, se rapproche, « pas de conneries »  Les filles semblent pourtant se détendre, presque se renfoncer dans le canapé alors qu’Ethan observe Isay d’un œil attentif, comme s’il avait trouvé une chose intéressante. Le regard est trop insistant, presque amusé pour être innocent. Pourtant, Majken ne l’a jamais connu vicieux ou provoquant. Un peu imbu de lui-même parfois, trop sûr de lui, mais rien de plus. Elle récupère la bouteille de whisky de la main d’Isay, la porte à ses lèvres à son tour alors que monsieur s’allume son doux poison. D’un geste de la têt, Ethan désigne la drogue entre ses lippes. « Et t’es sûr que tu vas pouvoir assurer avec ça ? » elle manque de s’étouffer, et les filles ont l’air tout aussi offusquées. « ethan ! » la bouteille posée au pied du fauteuil, elle s’échappe de l’étreinte du slave pour se diriger Ethan. « c’est bon, vous voulez le faire concours de celui qui a la plus grosse ? Tu bouges. On se verra plus tard. » elle le pensait un peu plus intelligent, au moins plus mature ou moins impulsif. Moins apte à tomber dans ce genre de conneries. Un regard désolé envers les filles et elle repose ses iris sur le rouquin. « Tu m’as entendu, j’vais pas me répéter. » et pourtant, elle ne se voit pas non plus faire usage de la force. Pas pour ça. Mais lorsqu’il se lève, elle sent bien que ce n’est pas à elle qu’il veut faire face, et que même s’il se rapproche, se retrouve plus proche d’elle, c’est pour un peu mieux chercher Isay. Pourtant, elle se décale pour aller voir les filles qui ont fini par se lever, et se diriger vers la porte, espérant que leur ami fera la même chose. Des excuses bafouillées quant à la tournure de la soirée, une promesse de remettre ça un autre jour, sans doute à l’extérieur. Les sourires sont compréhensifs bien qu’un peu gênés. Elle se retourne, et soupire, un peu blasée, de voir qu’au lieu de se préparer, tout ne fait qu’empirer.






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