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« Only the fire of life can melt the chains of death. »

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« Only the fire of life can melt the chains of death. » - Mar 25 Déc - 12:41


   


« Only the fire of life can melt the chains of death. »


Le briefing est étrange. Dans sa veste en cuir, István a l’impression d’être un homme venant d’un autre monde. Il est pensif. Comme s’il y avait un être à l’intérieur qui grandissait petit à petit, grignotant sa personnalité, le Russe s’interroge. Il observe autour de lui. Les chaises sont prises depuis un moment. La petite salle du poste semble bien insuffisant pour la foule. Le russe observe encore chacun des visages, alors qu’il s’appuie sur le mur – à défaut de pouvoir s’asseoir –. Des visages lui sont vaguement familiers. Étrange. Ce ne sont pas ses collègues habituels. Les habitués sont là aussi. C’est étrange. Rapidement, les discussions cessent. Gros silence, presque gênant. Un grand ponte du commissariat central entre.

« Clark Kent est mort cette nuit. » dit-il, avec froideur. Il essuie ses lunettes. « Notre collègue est mort, et M. Dragovic est le commanditaire. Nous le savons tous. » Il pose violemment ses mains contre son pupitre. « Aujourd’hui, on va arrêter Vesemir Dragovic, l’ancien homme d’affaire. Il a perdu la protection de la Bratva. Il les a trahi. C’est l’occasion. Messieurs ! Mesdames ! En tenue ! » Les applaudissements se font entendre. Le policier a l’impression d’être de retour dans un vestiaire de sport. L’entraîneur a donné son speech. C’est l’heure. « István. Un mot. » Les hommes se motivent. Le Russe s’approche.

Ils s’écartent dans une petite pièce annexe. C’est un ancien bureau de sergent. « Aujourd’hui, on se venge. Il ne repart pas avec des menottes. Suis-je clair ? » István le regarde silencieusement. « Il a pris un des nôtres. La Bratva va aussi vouloir le tuer. C’est un traître. Vous vous en chargez. Je connais vos méthodes, vos vieilles méthodes. Aujourd’hui, je compte sur vous. » Istvan lève le regard. « Pour Clark. » répond t’il.

****


Vesemir Dragovic est une infâme crapule. Toujours il a vécu pour le fric. Le problème est sa fortune. Il a engagé une véritable fortune. La police sonne le glas. Gyrophares très fort, une pluie de véhicule se dirige vers l’hôtel particulier. István est dans un véhicule de tête avec les forces d’élites de la police. La radio grésille. « Dragovic a de nombreux hommes, et il s’est retranché au dernier étage. » . Ce sera difficile.

Les véhicules se garent violemment. Le russe sort du véhicule. La police fait la circulation. Ils empêchent les civils d’avancer. István enfile son gilet par balle, et s’équipe. Il avance doucement vers le hall. Les premiers policiers contrôlent déjà les lieux. Ils vont avancer étage par étage. Gênant. Le Russe a une mission. C’est une course contre la montre. Il avance vers les escaliers. Avec prudence.
© Frimelda, sur une proposition de © Blork
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« Only the fire of life can melt the chains of death. » - Mer 26 Déc - 23:41

ISTVAN + EMILIA
« Only the fire of life can melt the chains of death. »


Récupérer des informations.  C’est la mission principale. La Bratva a traité avec un homme qui est menacé aujourd’hui par la police. Clairement il détient bien trop de choses sur nous, noms d’agents, noms d’infiltrés. Bref, je ne vous fais pas de dessins mais clairement on serait dans la merde si les flics tombaient sur ce genre de documents. Des papiers qui doivent briller. Des papiers ou une clé USB, personne ne sait vraiment comment il garde ses informations, il est fort possible qu’il est tout sur une clé et en double des classeurs remplis d’informations planqués dans un coffre fort. Donc autant vous dire que l’infiltration ne va pas être facile. Je rassemble mes idées, je me concentre, je n’ai pas le droit à l’erreur, je n’ai pas le droit d’être blessée, de mourir encore moins. Je dois juste récupérer tous les documents et peut-être que je pourrais me faire disparaître aussi de cette liste que la police aimerait sans doute avoir. Est-ce qu’elle paierait cher pour savoir qui fait quoi dans l’organisation de la mafia ? Sans nuls doutes. Peut-être que je prendrais le risque de faire une copie avec de le remettre à mon supérieur. Toujours assurer ses arrières, les slaves m’ont appris cela, ne fait confiance à personne et toujours avoir un moyen de pression. Je crois que je vais me défendre de cette façon. Je ne peux pas repartir sans cette liste, aussi bien pour moi que pour la bratva.

Vesemir Dragovic est un homme d’affaire qui a longtemps bossé pour nous. Corrompu jusqu’à la moelle cet enfoiré nous a trahi pour du fric. Le fric cette monnaie qui fait tourner le monde et qui le détruit petit à petit. Il détruit les gens, détruit la Terre, impossible de l’arrêter, il offre à ses propriétaires une soif de pouvoir inexplicable, on en veut toujours plus, on devient autant accroc au fric qu’à la drogue.  

Tenue en noir de rigueur. Moulante. Mes cheveux sont rassemblés en un chignon au sommet de ma tête. Une ceinture est là pour tenir armes et outils en cas de besoin. Je ne sais pas vraiment encore comment je vais réussir à m’infiltrer. Je sais que l’homme en question possède pas mal de sbires. Je dois pouvoir entrer dans sa suite. Le coffre se trouve là, l’ordinateur sans doute aussi. Je me lance.

Je me faufile à l’arrière de l’hôtel dans les ruelles. Il y a un escalier de secours, je devrais pouvoir monter jusqu’à l’une des fenêtres. Je tente. Je grimpe jusqu’à la fenêtre qui m’intéresse. Je regarde, il y a deux hommes dans un salon, ils se tiennent à côté de ce qui doit être Vesemir Dragovic dans un costume haut de gamme. Je longe le côté pour regarder à la fenêtre suivante. Bingo. Bureau. Seulement la porte n’est pas totalement fermée. Je vais devoir être le plus discret possible. Je bidouille la fenêtre pour la faire coulisser vers le haut sans faire de bruit. Je me glisse à l’intérieur avec une certaine agilité. Je referme la fenêtre. Pas de bruit, la conversation perdure dans une langue étrangère. Je m’active de poser ma clé usb espion sur l’ordinateur. Elle s’allume et lance le programme. Elle va récupérer les documents et les supprimer. Parfait. Maintenant je tâte les quelques tableaux. J’en trouve un. Je le fais coulisser bingo. Il me faut un moment pour pirater le code mais j’ouvre le coffre. Les documents sont là dans une enveloppe fermée. Je la prends. Je vérifie le contenu, parfait. Je récupère la clé puis je me dirige vers la fenêtre pour redescendre et là, une descente de police. Je reste figée à entendre les sirènes. J’entends les deux hommes s’activer dans la pièce d’à côté. Je lance l’enveloppe qui atterrie plus bas dans la ruelle. C’est là que les choses se corsent. L’un des sbires déboule dans le bureau. Il sort une arme, il ne tarde pas à faire feu, je passe de l’autre côté. Un nouveau coup de feu. Je ne m’attends pas à la suite, je viens d’éviter deux balles mais la troisième, elle vient de Vesemir en personne, posté à l’autre fenêtre. Elle se loge dans mon ventre, la douleur est forte, même celle que j’ai reçu dans mon épaule ne faisait pas aussi mal. Je m’écroule dans l’escalier. Je chute d’un étage dans les marches en acier. Je tente de me relever, j’entends d’autres coups de feu mais ils s’arrêtent rapidement, je suppose que les flics sont lus importants qu’une quelconque espionne. Je fais quelques pas… avant de chuter à nouveau dans une cacophonie de bruit de ferraille. Ma chute s’arrière au dernier niveau de l’escalier. Tout monde corps me fait mal, j’ai en plus dû me cogner la tête… elle aussi me fait mal. Je sens le sang, je sens la mort. Parce que c’est elle qui m’attend.

 


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« Only the fire of life can melt the chains of death. » - Ven 18 Jan - 0:10


   


« Only the fire of life can melt the chains of death. »


La mission, c’est sacré.

Le premier étage est vide. István, équipé avec sa tenue d’intervention, avance prudemment. L’arme est hors de son holster, le doigt tricote doucement avec la gâchette. Pourtant, il s’amuse de sa prudence. Il ne connaît pas l’immeuble. Die Hard est un mauvais nanar, et il n’est surtout pas John Mclain. Il a des chaussures. Il avance pourtant sûrement. Il monte les escaliers, et il évite soigneusement les ascenseurs. Quelques gardes disparaissent au gré de sa progression. Il marque son ascension jusqu’à qu’il puisse vaincre le terrible tueur de flic. Étrangement, au fond de lui, István ne détestait pas ce tueur de flic. Au contraire. Il était seulement happé par les règles qui se transmettaient d’insigne en insigne. Il devait le tuer. C’était la loi. On ne touche pas les flics.

Il se glissa lentement vers les derniers étages. Son arme était chargée, prête à l’usage. Néanmoins, un coup de feu attira son attention. Brusquement, il s’ôta de sa trajectoire comme par réflexe. Maudit réflexe. Ce n’était pas sur lui qu’on tirait. Il grimpa pourtant vérifier la cible des tirs, par conscience professionnelle sans doute.

Ses yeux firent le tour de sa tête. Comment était-ce possible ? Il perdit son calme. Il voyait Emilia. Son amour. Son amante. Son tout. Elle était à terre. Son sang fit un bond alors qu’on le repéra. Il tira avec son arme avant de se glisser par la fenêtre. Il fonça vers les escaliers, escaladant légèrement la façade. Il se laissa tomber vers la première marche, couvrant sa fuite avec son arme. Il descendit vite voir sa Princesse.

« EMILIA PUTAIN » cria t-il. Il avait peur pour elle. Il se précipita pour l’attraper dans ses bras. Il agrippa sa radio et commanda immédiatement une ambulance. Il la tenait dans ses bras. Qu’est-ce qu’il pouvait faire ?  Il attendait. Il réfléchissait. IL rassembla ses affaires et il l’attrapa soudainement dans ses bras pour descendre. Au diable sa mission. Dans ses bras, elle était en sécurité. Rapidement, il descendit les marches. Il croisa fatalement les équipes d’intervention. Il accompagna finalement Emilia jusqu’à l’ambulance où un médecin l’attendait. Il refusa de quitter le véhicule. Il tenait fermement sa main, l’embrassant à de multiple reprise en attendant la panacée. Ils devaient la sauver. Que ferait-il sinon..

Et sans le savoir, Istvan s’était pourtant mis une cible sur la tête. Vesemir Dragovic n’était pas connu pour son sens de la miséricorde. Un nouveau flic avait atteint le top de sa liste : Istvan. Et à l’hopital, il serait en danger.
© Frimelda, sur une proposition de © Blork
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« Only the fire of life can melt the chains of death. » - Sam 2 Fév - 0:14

ISTVAN + EMILIA
« Only the fire of life can melt the chains of death. »



Encore une balle. Décidemment, je passe mon temps à me faire tirer dessus. L’épaule… maintenant le ventre. Il ne fait plus tellement bon d’être torpedo à la Bratva. Les tueurs se font tuer. Le monde est à l’envers. Il faut dire que rien ne s’est passé comme prévu. Ce salopard m’a grillé et sans doute à cause de l’arrivée de la police.

La balle se loge dans mon ventre. La douleur me coupe le souffle. Je sens mon hémoglobine qui s’écoule, je perds mon liquide vital bien plus vite que la balle qui m’avait blessé l’épaule. Mes mains pressent la blessure. Rien à faire, je commence déjà à avoir la tête qui tourne. Je tente de fuir par les escaliers de secours. J’entends un ou deux cous de feu qui ricochent sur le fer de l’escaliers. Et puis je trébuche, je glisse, je ne sais pas vraiment, je sens déjà la vie qui me quitte et mes jambes ne me portent plus. Je m’écroule. Je n’ai pas réellement conscience de la chute. J’ai l’impression de tomber dans un nuage froid, gelé. Il est rempli de piques, il est rempli de couteaux qui me poignardent tous un peu plus à chaque seconde.

Le froid mordant de l’extérieur n’arrange sans doute pas la situation. Je chute dans un monde à mi-chemin entre la vie et la mort. Et je n’arrive pas vraiment à lutter. Je me sens faible, dénuée de toute vie. Celle-ci m’abandonne. Je me noie. La sensation est similaire à celle d’un noyé coincé sous une couche de glace. Mon inconscient tape, mon esprit veut se battre mais il est bloqué par le corps qui lui coule, lourdement.

Une voix me ramène à la surface. La glace se brise et j’ai l’impression de sentir un peu d’air venir remplir mes poumons. Istvan. Je peine à ouvrir les yeux, pourtant, je le sens, je l’entends. Il est là. Alors c’était lui les flics ? C’est lui qui est de corvée pour arrêter l’un des pires truands ? Il faut croire. Je n’arrive pas à espérer, je n’arrive pas à être heureuse de sa présence. Trop de faiblesse. Les émotions ont fui. Juste la peur et la résignation semblent ne pas vouloir me quitter. Mais où est ma force de caractère ? Ma passion ? Si je meurs… Mon esprit m’envoie alors une photo d’Astrid. Ma sœur. Elle ne peut pas rester seule, je ne peux pas le permettre. Oh… la force, elle semble revenir un peu. Mais en vérité, c’est sans doute l’adrénaline qui envahit mon organisme pour me ramener un peu de temps à la vie. Un peu de temps seulement. Je continue à me vider de mon sang.

J’ouvre légèrement les yeux, pour les refermer presque immédiatement. Des lumières aveuglantes m’éblouies. J’entends un claquement, des voix en écho, quelque chose de chaud me tient la main…  Tout est trop fort, agressif, mon esprit tente de se défendre. Je perds à nouveau connaissance.

Quand à nouveau mon esprit tente de reprendre le dessus, j’entends des voix inconnues. La lumière est toujours trop forte. L’agitation est désagréable. Les voix agressives. J’ai envie de vomir, la douleur est trop forte, je ne sais même pas comment j’arrive à respirer. Chaque inspiration est affreuse. Je repars rapidement dans le coaltare.

Je ne sais pas combien de temps il se passe. Cela ne me semble pas vraiment long. Juste comme de dormir. L’inconscience.  Je me sens tellement lourde, ankylosée. Comme enfoncée dans le matelas peu confortable du lit qui m’accueille. Des bipes sont au rythme des battements de mon cœur. Cela en devient presque insupportable. La pièce semble trop calme. J’ai une certaine pression au niveau du ventre, ce n’est plus douloureux mais c’est présent, c’est là. Je tente de déglutir, c’est difficile quand on a un masque à oxygène, je reçois trop d’oxygène, c’est perturbant, autant que de ne pas en avoir. Avant d’ouvrir les yeux, ma main se lève pour retirer le masque… Et de ma bouche, c’est un furon qui sort en premier. « - Fais chier bordel » Ma voix est éteinte, enraillée. « - Il me le payera cet enfoiré » Alors doucement j’ouvre les yeux.


 


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« Only the fire of life can melt the chains of death. » - Sam 2 Fév - 19:46


   


« Only the fire of life can melt the chains of death. »


István est paniqué. C’est toujours le cas lorsque la belle jeune femme est en danger. Freyr se tait, mais le policier bouillonne. IL ne sait pas vraiment comment réagir. Il n’est pas paisible. La violence du choc amène à une certaine accalmie. La tempête de violence s’est stoppée. Il la posa dans l’ambulance, et grimpa pour tenir sa main. Un médecin s’embarqua à bord. Il place immédiatement la machine à oxygène sur sa tête. Elle tombe dans un profond sommeil jusqu’à l’hôpital. Finalement, la voiture fait un léger détour sur les ordres d’ István. Le policier se méfie immédiatement de la contre-attaque de Vesemir, notamment si elle lui a piqué un objet de valeur.

Elle n’est pas opérée. Pas le temps. István refuse, et réfute cette idée. Elle doit bien connaître un Dieu ou une Déesse qui la remettra sur pied aussi facilement. Il sourit. Il tient sa main alors qu’ils désinfectent sa plaie. István jette un regard rapide à la fenêtre. Elle est amochée, et il le sent : ils viennent. Il caresse doucement la crosse de son arme. Rapidement, un S.U/V s’arrête brutalement devant l’hôpital devant les yeux d’ István qui se dirige doucement vers Emilia. Elle ouvre les yeux. Enfin. Il souffle, embrassant son front pour la rassurer. Elle répond par un juron. C’était Emilia. Il lui prend chaleureusement la main, caressant le dos de celle-ci, conscient pourtant qu’il devait se dépêcher.

« Tu peux marcher ? » demande t-il, espérant que la jeune femme soit solide. Il sait qu’elle est forte, probablement plus que lui. Pourtant, il est stressé. Si ce Vesemir débarque en tirant sur tout ce qui bouge, ce sera un bain de sang et une balle perdue pourrait pénétrer la belle peau d’Emilia. Pour le moment, c’est exclu. Doucement, il caresse sa joue. Il hésite à mobiliser son talent pour éveiller ses sensations et son corps. Il renonce rapidement à cette idée, laissant la jeune femme à ses songes les plus délicats. Pourtant, rapidement, du fracas est audible à l’étage. István sourit doucement, en lui glissant son arme sous la couverture. Il embrasse doucement sa joue avant de reculer vers l’angle mort de la porte. La porte s’ouvre brusquement. Un géant pénétre à l’intérieur. Il est semblable à un ours, le crane rasé avec une carrure aussi épaisse qu’un grizzli. Pourtant, István n’en démord pas. Caché derrière lui, il apparaît soudainement en frappant sa virilité. L’ours se tord en deux, offrant sa tête à István qui l’appatit contre l’armoire. Ours 0. István 1. Son collègue, plus fin, sort brutalement son arme de poing. Il la pointe sur István qui lui tord le poignet par un mouvement d’autodéfense. Il ne peut viser, et encore moins tirer. Le policier peut alors frapper la jugulaire de l’homme avec puissance, l’empêchant de respirer. Il tombe à genoux, laissant à István le soin de le frapper. L’affrontement est terminé. István se dirige vers Emilia.

« On doit vraiment partir. » dit-il en récupérant l’arme au sol. Il pose des vêtements vers Emilia, disposé à l’aider à s’habiller si elle en avait besoin. Et dans le pire des cas, il y avait un fauteuil roulant. Mais pour l’heure, l’important était de fuir.
© Frimelda, sur une proposition de © Blork
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