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Tatoue-moi [pv - Marcus Esposito]

 :: - ARCADIA - :: little italy
calavera
Aina Summers
BLAZE : Epic
CREDITS : Epic
FACE : Imogen Poots
DOLLARS : 2554
SACRIFICES : 265
PORTRAIT : Tatoue-moi [pv - Marcus Esposito] Bovp
ANNEES : 305 - 31 ans
CŒUR : Elle aime les coeurs encore chauds et bien juteux
RÉINCARNATION : Oupyr
TALENT(S) : Hypnose et caméléon
FACTION : Calavera
TALON(S) D'ACHILLE : Le soleil, l'ennui et la solitude
JUKEBOX : Girls Just Want To Have Fun - Cyndi Lauper
RUNNING GUN BLUES : Tatoue-moi [pv - Marcus Esposito] Kz3b
- On mord pas les gens !
- Ah bon ? Hmm, je suis sûre que si.
calavera
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Tatoue-moi [pv - Marcus Esposito] - Dim 18 Oct - 15:15


       



D
epuis quelques jours, la vieille oupyr s’était trouvée un nouveau hobby. Ses hobbies avaient, généralement, plus des allures de lubies qui lui prenaient une partie de son temps et disparaissaient du jour au lendemain. La dernière fois, elle s’était mise en tête d’adopter un chien, mais aucun des canidés croisés dans la rue ne voulait d’elle. Ceux qui ne fuyaient pas en la voyant approcher, finissaient par lui montrer les crocs et Aina n’appréciait pas ça. Elle grognait toujours plus fort qu’eux et leur prouvait, d’un retroussement de babines animal, qu’elle aussi, elle pouvait mordre.

Évidemment, elle avait aussi eu sa période chats, mais les choses ne s’étaient pas mieux déroulées avec les félins. À croire que le règne animal entier ne voulait pas d’elle ! Ce qui ne l’arrêterait pas. La prochaine fois, elle trouverait un autre compagnon à embêter.

Néanmoins, ces derniers temps, sa nouvelle passion prenait des allures étranges et la blonde passait quelques minutes accrochée aux vitrines, le nez collé au verre, pour admirer cet art qui lui était inconnu. Les tatouages. La blonde aimait le dessin. Tous ceux qui devaient supporter ses lettres calligraphiées comme un enfant de 6 ans le savaient : Aina adorait dessiner. Elle prenait plus de temps à faire des petits dessins, sur le papier, qu’à tracer les lettres. Son écriture avait la tremblote, parsemée de fautes et de mots donnés dans leur écriture la plus simple. Cependant, ses dessins, eux, avaient de la précision, une âme enfantine certes, mais ils étaient faits avec soin.

Alors l’anglaise était fascinée par les tatouages qu’elle admirait sur les bras des passants, les jambes, les épaules et même le visage. Elle ne manquait pas d’embêter de total inconnus pour leur demander des précisions sur ces beaux dessins. Évidemment, la blonde n’avait pas encore compris de quelle manière ils étaient faits sur la peau, pourquoi ils ne disparaissaient pas en frottant un peu. Oui, elle avait essayé de frotter le tatouage de quelqu’un et s’en était sortie avec quelques insultes dont elle ne se souvenait pas. L’oupyr avait une mémoire quelque peu sélective.

À force de soûler tout le monde, comme à son habitude, Aina avait fini par comprendre que les tatouage étaient faits dans des salons spéciaux. Il lui avait fallu apprendre par cœur la manière de l’écrire pour pouvoir reconnaître, dans la rue, les bonnes devantures. Il lui aurait été possible, sinon, de se ramener dans un salon de thé pour réclamer un tatouage.

Oui, Aina voulait se faire tatouer.

Un grand sourire aux lèvres, alors que l’arrivée de l’hiver lui permettait de sortir plus tôt, la blonde poussa la porte du salon de tatouage et passa la tête à l’intérieur. Elle se gorgea de l’odeur, des quelques bruits qui retentissaient à l’intérieur et se glissa dans le salon. À la main, elle tenait un marqueur noir qu’elle avait trouvé quelque part, ou volé, la différence était minime, pour elle. Marqueur qu’elle brandit haut au-dessus de sa tête, comme un trésor inestimable ou un trophée qu’elle se devait de montrer au monde entier.

Coucouuuu ! s’annonça-t-elle, dans sa discrétion habituelle. Moi aussi, je veux un beau dessin !


Aina regarda partout, à la recherche de sa prochaine victime… euh… de son prochain interlocuteur, plutôt. Et de son prochain ami, ça, ce n’était pas elle qui allait en douter. La blonde n’avait que des amis, elle. Parce que c’était ainsi que les choses devaient être pour les humaines normales, non ? Pas vraiment, mais il ne fallait pas lui dire. Aina avait besoin de parler à quelqu’un, tout le temps, et de sortir tout aussi souvent. C’était plus facile à faire quand on semait des amis partout en ville.

J’ai pu faire le bras gauche toute seule, comme une grande, mais j’ai essayé sur l’autre, c’est impossible !


Fière d’elle, la blonde remonta les manches de son pull et dévoila deux bras blancs, dont l’un était parsemé de petits dessins enfantins à base de cœurs, arc-en-ciels noirs et têtes d’animaux simplistes. Il y avait quelques bonhommes bâtons, aussi, et une belle fleur plus détaillée que le reste, avec des pétales serrés les uns contre les autres, comme une rose à moitié éclose. La blancheur du bras droit était salie par une grosse tache noire rayée furieusement. Aina était droitière, en même temps.
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nuova camorra
Marcus Esposito
BLAZE : kitsune
CREDITS : OOOLYMPIA
FACE : Daniel Sharman
DOLLARS : 1829
SACRIFICES : 24
PORTRAIT : Tatoue-moi [pv - Marcus Esposito] 726996tumblroc032mX5QK1tvdu5mo3250
ANNEES : 31 ans
CŒUR : célibataire fiancé à Jules. Un mariage arrangé
RÉINCARNATION : cerbère, le chien à trois têtes féroce.
TALENT(S) : flair affuté - odorat beaucoup plus fort que la normale. Marcus peut sentir des odeurs comme un chien. C'est parfois insupportable car certains parfums, mets ou odeurs corporels sont insupportables. nyctalope - peut voir dans l'obscurité la plus totale. C'était très utile quand Cerbère était dans le fin fond des enfers sans lumière.
FACTION : nuova camorra, il faut obéir
OCCUPATION : tatoueur, musicien et chanteur
GENÈSE : Il sait qu'il est Cerbère
TALON(S) D'ACHILLE : Sa future femme, sa loyauté sans faille qui le met dans le pétrin
nuova camorra
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Tatoue-moi [pv - Marcus Esposito] - Lun 16 Nov - 21:59

C’était typiquement le genre de journée que Marcus détestait, il le sentait bien. Il serait bien resté au fin fond de son lit à gratter sa guitare comme un imbécile. Il était tout simplement ridicule. Il se redressa dans son lit, se massa la nuque. Il ne pouvait pas rester ici et espérer que le temps passerait, c’était ridicule, oui ridicule souffla une voix. Il grogna de dépit, espérant que cet après-midi serait différent des autres. Les voix semblaient en avoir décidé autrement. Il s’enfonça dans son lit. Il savait que s’il entendait une voix, cela voulait dire que les autres suivraient. Il ne comprenait pas ce qui se passait. La peur mordait son ventre, menaçant de le rendre fou. Il en aurait presque le cœur brisé à ce rythme-là. Marcus n’était pas d’un tempérament mélancolique d’habitude, ce n’était pas lui, vraiment pas. Il était un peu plus énergique. Il se redressa, refusant de se laisser abattre. Il alla se faire une cafetière napolitaine, laissant l’odeur du café chatouiller son nez et chassa son humeur étrange.

Les voix s’agitèrent. L’odeur du café était plus fort qu’avant sa réincarnation, mais il aimait toujours cela, cela le rendait heureux. Il en oubliait presque que sa vie à Arcadia n’était pas le genre de vie dont il rêvait, mais il n’avait pas le choix d’obéir, vraiment pas. Il daigna même se faire une tartine avant de se doucher et de se décider à se glisser dans son salon de tatouage. C’était supposé être un gain-pain pour entendre les rumeurs pour la mafia. Il avait l’impression que cela marchait moins bien. Il devrait mieux tendre l’oreille et sillonner mieux les bars. Il était un peu avachi sur sa tablette de dessin quand il entendit un bruit. Il redressa la tête, alors que la clochette de son magasin venait de sonner. Presque ridicule pour un mafieux de mettre une clochette, n’est-ce pas ? Car Marcus pouvait sortir n’importe quelle bêtise, être un simple collaborateur de la nuova camorra, en Italie il avait été un mafieux. Malgré le fait qu’il n’avait pu accueillir de dieu en son sein. Maintenant qu’il avait un monstre en lui, c’était différent. Son regard bleu foncé se posa sur une blonde qui semblait étrangement heureuse.

Il s’en méfia aussitôt. Une drôle sensation courut le long son dos, il le sentit, c’était une créature. Que venait foutre une créature dans sa boutique ? Il savait que la ville en était peuplée, comme bien des choses, mais il s’en tenait loin. Chose encore plus étrange, l’inconnue brandissait un marqueur noir comme un trophée. Coucou ? Ils étaient potes ? Marcus plissa les yeux. « On se connaît ? » Il était habituellement poli avec les clients, mais elle n’était typiquement pas le genre de cliente qu’il avait habituellement. Qu’est-ce qu’était encore que ce bordel ? Était-ce un test de la mafia ? Oui, il avait l’habitude de tests tordus qui pouvait donner le tournis. Le genre qu’on se disait que c’était impossible de faire, mais que c’était vrai. Mais qu’est-ce qu’elle lui chantait ? Les voix s’agitèrent et Marcus tenta de rester concentré et courtois alors qu’elle parla de bras gauche et remonta ses manches. L’italien poussa un long sifflement d’étonnement en voyant le genre de dessin enfantin sur son bras. « Et ben, t’as consommé quoi ? Non sérieusement ? » Il la regarda droit dans les yeux.

Il s’était même un peu penché pour tenter de voir son regard clair et si elle avait pris une quelconque drogue. Elle avait dû en prendre pour être dans un tel état de délire, forcément. « T’es quoi ? Je le sens. » Il ne prenait pas de pincette, l’attaquant de front car elle l’intriguait malgré son côté bizarre. Marcus la détailla discrètement, songeur. Les voix ne l’aimaient pas cette fille et elles débattaient de comment la mettre dehors. L’une d’elles disait que cela valait la peine de regarder ce genre de spectacle. Marcus les ignora. « Tu sais, le tatouage ça ne part pas. Ton dessin partira, un jour. » Parce que bon, c’était indélébile, cela ne partirait pas facilement. Il attrapa une lingette humide et désinfectante dans son paquet spécial et lui tendit. « Essaie d’effacer, mais ça ne partira pas ainsi. » Il en avait des clients jetés, mais là, elle semblait très bien perchée. Cela ne l’empêchait pas de rester sérieux, sans sourire.
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calavera
Aina Summers
BLAZE : Epic
CREDITS : Epic
FACE : Imogen Poots
DOLLARS : 2554
SACRIFICES : 265
PORTRAIT : Tatoue-moi [pv - Marcus Esposito] Bovp
ANNEES : 305 - 31 ans
CŒUR : Elle aime les coeurs encore chauds et bien juteux
RÉINCARNATION : Oupyr
TALENT(S) : Hypnose et caméléon
FACTION : Calavera
TALON(S) D'ACHILLE : Le soleil, l'ennui et la solitude
JUKEBOX : Girls Just Want To Have Fun - Cyndi Lauper
RUNNING GUN BLUES : Tatoue-moi [pv - Marcus Esposito] Kz3b
- On mord pas les gens !
- Ah bon ? Hmm, je suis sûre que si.
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Tatoue-moi [pv - Marcus Esposito] - Ven 27 Nov - 11:25


       



L
a blonde voulait son tatouage. Elle ne partirait pas du salon tant que le tatoueur ne lui avait pas dessiné une jolie chose sur le bras. C’était ainsi et ça ne changerait pas. Elle pouvait être plus têtue que la plus têtue des mules, Aina. Il allait, généralement, plus vite d’accéder à ses désirs et de lui donner ce qu’elle voulait pour, enfin, avoir la paix. Ou presque. Parce qu’elle ne comptait pas non plus partir sans avoir discuté avec le tatoueur. Maintenant qu’elle avait mis la main sur un potentiel ami prêt à lui répondre, elle n’allait pas le laisser filer de si tôt.

Elle se pointait, donc, dans le salon comme si elle était chez elle, puisque la blonde se croyait chez elle absolument partout en ville. Il fallait préciser que son colocataire lui avait toujours appris que les portes étaient faites pour être ouvertes, sinon il n’y aurait pas de porte. Une logique toute à lui, qu’elle ne comprenait pas toujours, mais Aina se contentait d’appliquer ce qu’on lui disait. Se prendre la tête sur ce genre de subtilités n’était franchement pas au programme.

Aina se présenta dans toute sa subtilité : avec ses grosses chaussures d’homme trop grandes et pas attachées qui traînaient sur le sol, son sourire d’ingénue un peu bête et ses exigences d’enfant trop gâtée qui a l’habitude de tout recevoir. Ce qui était loin de la vérité. En donner l’impression, en tout cas, pouvait plus ou moins influencer son interlocuteur, qu’elle fixait sans détour de ses grands yeux bleus tout aussi vivants que morts. S’ils virevoltaient dans tous les sens, incapables de se poser quelque part, ses pupilles noires restaient inchangées.

Puisqu’il plissait les yeux pour l’agresser, la blonde fit de même. Elle ne vit pratiquement plus rien, les yeux réduits à des fentes sombres, mais elle tint la position une poignée de secondes, le temps pour elle de trouver une solution. Elle venait en toute amitié, sans agresser personne, et c’était ainsi qu’on l’accueillait ! La mine ronchon de son interlocuteur lui donnait très envie de lui enfoncer un doigt dans les côtes ou lui tirer les joues, pour voir s’il comptait grogner encore longtemps.

Moi, c’est Aina ! répondit-elle, en retrouvant son grand sourire. Aina Summers ! Maintenant, on se connaît, oui, oui.


Un nom ne suffisait largement pas, mais la blonde avait sa propre définition des connaissances, de l’amitié et des ennemis. Elle se contentait, généralement, de classer les personnes en trois catégories : ceux qu’elle croisait dans la rue sans s’en inquiéter, ceux à qui elle parlait et ceux qui osaient la menacer. Une dernière catégorie dans laquelle il ne valait mieux pas être rangé, pour ne pas affronter l’oupyr, bien cachée derrière ses airs de gamine surexcitée.

Consommé quoi ? De quoi ? Sérieusement quoi ?


La blonde papillonna des cils, sans comprendre ce qu’il lui demandait. Si elle avait bien une réponse à lui donner, une petite voix, au fond d’elle, lui disait de ne pas le faire. Il ne semblait déjà pas beaucoup l’aimer, alors si elle lui avouait qu’elle buvait du sang… Il valait mieux garder le silence et se demander si ce n’était pas lui, finalement, qui avait un petit problème au cerveau.

Je pue ? (Aina, puisqu’elle avait déjà les bras levés pour montrer ses dessins, pencha la tête pour glisser le nez vers l’épaule et sentir ce qu’il sentait.) Non, je trouve pas.


Aina n’était pas certaine d’être bien propre, en vérité, mais elle avait été plus sale, dans sa vie, et s’arrêtait souvent à cette comparaison pour juger si elle était « présentable » ou non. Elle ne sentait pas les égouts et le sang, alors tout allait bien, non ?

Ça partira ?


Elle releva, sur le brun, des yeux de chien battu qui vient de comprendre le pire drame de sa vie. Pour une raison un peu simpliste, la blonde pensait que ses dessins étaient très jolis et tiendraient une bonne partie de sa vie. Après tout, les dessins qu’elle faisait sur des feuilles ne pouvaient pas être effacés, à moins de broyer la feuille. Et personne n’avait le droit de lui broyer les bras.

Mais…


Fut le seul mot de protestation qu’elle eut le temps de prononcer, alors que l’autre lui tendait une lingette humide. Aina était totalement perdue, dans cette histoire, et ne comprenait pas ce qu’il attendait d’elle. C’était pourtant clair, ce qu’elle lui demandait : elle voulait un dessin sur son bras droit, parce qu’elle s’était loupée. Pourquoi ne se contentait-il pas de le lui donner ?

Mais je ne veux pas l’effacer ! s’énerva-t-elle un peu, en gonflant les joues. Je veux un dessin, là ! Un beau dessin.


Elle s’empara de la lingette pour la balancer derrière elle et la remplacer, entre les doigts du tatoueur, par son marqueur noir. Puis elle tendit le bras et le fixa droit dans les yeux. Là, elle ne pouvait pas être plus claire, tout de même !
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