BLAZE : thinkky CREDITS : (c) alcuna licenza. ♥ / anaphore (sign) / tweek (icones) FACE : Sonia Ben Ammar DOLLARS : 2280 SACRIFICES : 533 PORTRAIT : ANNEES : (vingt-une années) obscurcissent le jugement et les pupilles de la gamine. CŒUR : (Célibataire), aucune bague au doigt, aucune menotte aux poignets, bien trop indépendante pour se laisser emporter dans une histoire. RÉINCARNATION : (Ma’at / Maât), déesse de l’ordre, de la vérité, de l’équilibre et de la justice. Contraire de l’Isfet. TALENT(S) : (pesée du coeur) ACTIF - (plumes de Ma'at) ACTIF - (balance de Ma'at) INACTIF - (perception karmique) ACTIF FACTION : (Factionless), trop jeune pour ces conneries, trop conne pour s’y attarder aussi. Elle n’a que faire des jeux de mafias en tant qu’humaine, et la déesse cherche quant à elle à réguler les vices. Balance déséquilibrée qui ne lui sied guère. OCCUPATION : (danseuse et jeune chorégraphe), elle se rêve étoile, brillant parmi les astres, éblouissant les spectateurs de sa grâce et de son élégance. GENÈSE : (Primus), stade 5
Blood moon (Yasmin) - Ven 7 Juin - 12:04
Infos:
Concernant l'époque: la bataille est celle de -47. La Bataille du Nil oppose l'empire romain conduit par César aux Egyptiens, sur le delta du Nil. Elle se soldera par la victoire de ces premiers, et le rapprochement entre les derniers pharaons de la dysnastie des Ptolémée et de César. Il y a peu d'infos donc il se peut qu'il soit compliqué d'être 100% précis et consistant avec la réalité historique.
Concernant le personnage: Naphret de son nom est égyptienne pure. De par son statut "divin", elle sert dans l'armée de défense, usant de ses capacités de reconnaissance pour guider au mieux les siens. De stade 6, elle sh'armonise bien avec Ma'at, possède 2 pouvoirs en plus de la perception karmique: le vol, de par ses ailes, et la nécromancie (peut ramener les morts à la vie pour une durée déterminée. Plus elle connait la personne, plus celle-ci sera ramenée avec sa conscience et ses souvenirs. Ainsi, une fois le pouvoir épuisé, elle vit une seconde mort bien plus cruelle).
Blood moon
Living in a thunderstorm
Les guerres s’enchaînent, les batailles aussi. L’ichor teinte les étendues sablonneuses de carmin. Le regard posé sur les environs se veut calme, prend simplement la mesure du chaos qui s’étend devant elle. Ma’at reste immobile, les ailes déployées sur le haut de sa colline. Son hôte semble attendre aussi, mais quoi ? Le massacre fait rage à quelques dizaines de mètres, les troupes égyptiennes s’accrochent avec les romains, envahisseurs dont la tête se trouve être Iulius Caesar, celui qui deviendra l’un des plus grands hommes politiques romains dans les mémoires lointaines. Pour l’heure, le delta du Nil se retrouve souillé par les morts, Anubis passant auprès de tous pour leur assurer un passage devant la balance. Cœur pesé en fonction de leurs actions, bien que la déesse savait qu’aucun n’obtiendrait le repos, par le sang qu’ils ont fait couler.
Les iris détaillent les âmes, cherchent les divinités parmi les mortels. Auras dévoilées sous les prunelles, conscience avancée pour l’humaine qui l’abrite. Grâce à elle, grâce à ses indications, elle peut guider les humains contre d’autres, et garder les divers réincarnés contre elle et ses alliés. Puissance nécessaire pour les faire tomber, dans laquelle elle se pare. Ma’at n’aime pas ces romains qui se prennent pour supérieurs à tous. Et en tant que divinité relative à l’équilibre, à l’ordre divin comme moral, elle peut deviner l’issue de ce comportement. Cela se retournera contre eux dans les années à venir.
Sur le terrain, pour le moment, ils sont en train de perdre en revanche. Les égyptiens ne peuvent contenir la fougue des romains, de ces êtres battant le sable. Ils ont choisi un bon moment pour attaquer, quand les forces sont dispersées, que les ordres ne tombent plus, que la chaîne de commandement s’est brisée. Dans un soupir, les longues ailes se déploient, et elle s’envole, traversant les cieux sous le soleil brûlant. Quelques cris lui parviennent, quand elle survole les troupes, notamment ennemies. Néanmoins, elle se sait à l’abri, tant qu’elle évite les engins étranges engins de siège), et les boulets qu’ils envoient de façon régulière. A côté de cela, aucune lance ne peut la toucher tant qu’elle reste aussi haut…
Et elle cherche celle qui l’a accompagnée en cette terrible journée. Les prunelles scrutent, s’attardent sur les silhouettes. Une femme sur un champ de bataille, ce doit être repérable… C’est ce que certains pensent, disent. Cependant, une fois couverts de sang, tous se ressemblent. Il lui faut donc suivre l’aura, jusqu’à percevoir la silhouette, les traits. Entamant une descente, incapable de définir l’état de l’autre pour l’instant, sa voix perce les environs : « Ouadjet ?! »