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enfant terrible
Caleb A. Anderson
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FACE : Anouar Toubali
DOLLARS : 1622
SACRIFICES : 27
PORTRAIT : Remember who you are  1605384721-moodboard
ANNEES : 33 ans
CŒUR : Célibataire
RÉINCARNATION : Bès (Egyptian God)
FACTION : Bokor chez les Enfants Terribles
OCCUPATION : Conservateur à l"Arcadia Museum
GENÈSE : Primus
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Remember who you are - Dim 15 Nov - 21:15

remember who you are@Winston Maccarthy & Caleb A. AndersonLe 10 novembre 2020, à l'arcadia museum,Il se promène dans le musée, comme s’il était le propriétaire des lieux. Il porte son regard expert sur chaque œuvre, s’amusant à voir les différences entre les originaux et les pâles copies qu’ils pouvaient voir. Certaines œuvres étaient bien entendu authentiques, mais pour d'autres, bien plus précieuses, il était hors de question de risquer un accident fâcheux. Il remarque de la poussière sur les plantes artificielles qui ornent le couloir et se fait la réflexion d’en toucher quelques mot à madame Garcia, la femme de ménage. Il était certain de se faire traiter de quelques noms d’oiseaux hispaniques, mais il fallait bien que le travail soit bien fait.

Son excursion l’emmène dans la section dédiée à l’art tribal. Il fallait qu’il étoffe cette collection, depuis bien trop longtemps défraîchi. Non pas que les œuvres soient “moches” ou non intéressantes, mais les visiteurs commençaient à avoir l’habitude de les voir. Il y avait bien quelques pièces intéressantes sur le marché, comme des masques tribaux atypiques, mais il doutait du réel intérêt des visiteurs pour ce genre d’art. Un masque reste un masque, enfin c’est ce que pense le citoyen lambda qui reste un pur américain peut enclin à découvrir les autres cultures que la sienne.

Même si Caleb a pratiquement toujours vécu à Arcadia, mais il a toujours eu le plaisir de se cultiver, d’apprendre. D’autant plus qu’il ne connaît pas réellement ses origines, du moins il les a oubliées. Tout cela à développer chez lui un besoin de savoir qui l'a poussé aujourd’hui à être le conservateur de ce musée. Ce n’est pas une mauvaise chose en soit au final que de ne pas être purement américain.

En passant dans la salle dédiée à l’art du peuple Yoruba, un grand groupe éthnique d’Afrique présent principalement au Nigeria mais aussi au Bénin et dans d’autres régions du continent africain, il a le plaisir de croiser un visiteur. L’homme semble contempler la statue d’une divinité, l’orisha de la foudre et du tonnerre. La petite statuette mesure environ un quarantaine de centimètres et représente les courbes d’une femme à la poitrine proéminante et tombante. Elle porte une énorme coiffe sur la tête, semblable à un énorme papillon. (image). Sur l’étiquette d’explication on y lit la date de fabrication de l'œuvre ainsi que le nom de la divinité et ses principales caractéristiques. Le visiteur afro-américain à la haute stature semble la lire avec beaucoup d’attention. Caleb se pose naturellement à côté de lui et se décide à entamer la conversation.

“Bonjour, vous vous intéressez à l’art Yoruba ? Il faut dire que cette pièce est intéressante. Vous connaissez un peu leur culture ?”

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Winston MacCarthy
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PORTRAIT : Remember who you are  BJltPo
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TALENT(S) : Il ne ressent pas la douleur
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Remember who you are - Mer 25 Nov - 15:42


Remember who you are
Winston n’était pas un férue d’histoire… pour dire la vérité c’était plutôt l’inverse. Il s’en fichait comme de sa première chemise. De bien des manières, il était l’amércain lambda préférant avoir un nouveau hamburger au Mcdo du coin que de visiter un musée …. Cependant, depuis l’éclair tout n’était pas pareil… Il y avait des choses qui étaient différentes. Déjà, il ne ressentait plus la douleur. Ensuite il lui arrivait de juste être con… On appelle un chat, un chat … et lui il pouvait juste devenir con et inconscient d’un coup comme ça …. Enfin, il pouvait parler, comprendre, lire, écrire, des langues qu’il ne savait même pas exister.

Et c’était pour cela qu’il venait de temps en temps au musée. Souvent les étiquettes avaient écrit la traduction de ce qu’on pouvait lire sur une oeuvre, ou alors il y avait plusieurs langues et il se mettait au défi de comprendre les étiquettes. Si d’abord il avait essayé des langues simples, comme le français ou l’espagnol… bien vite il avait essayé des langues de moins en moins connus. Comme des langues africains, des langues sud américaines … il avait même essayer les langues inventés …

C’était dur de se dire s’il était effrayé par ce qu’il pouvait faire, et l’impact que cela avait sur lui… ou si au contraire ça lui plaisait. Il n’avait jamais été bon en histoire, mais en langue vivantes non plus …. Et ne parlons même pas de la philosophie qui lui sortait par les yeux …. Alors ce nouveau … don ? Ou particularité ? Ou qu’importe le nom à donner à cette étrange faculté qu’il avait, avait de quoi le rendre heureux… même s’il ne comprenait pas comme c’était possible.

Sa soeur Lisa avait émis l’hypothèse que l’éclair avait peut être booster son cerveau et que maintenant il se souvenait de tout ce qu’il avait appris sur les langues. C’était une hypothèse qui avait déjà eu lieu. Après un choc certaines personnes pouvaient lire ou parler une langue parce qu’il l’avait « appris » malgré lui… Mais Winston savait qu’il n’avait jamais appris le Language des signes pourtant il le connaissait maintenant …

Il était tellement perdu dans ses réflexions qu’il n’entendit pas l’homme se mettre à ses côtés. Et il dû cligner plusieurs fois des yeux pour comprendre ce qu’il était en train de lui chanter. Quoi ? Il observa la statue qu’il « observait » sans y penser… Winston était … aucune proche d’un homme comprenant l’art, et encore moins l’art vieux, mais il n’avait pas envie de le dire en ces termes à son acolyte du moment.

- Bonjour. Ce n’est pas tant que je mis intéresse qu’elle était devant mes yeux. En quoi est elle intéressant ? Je ne connais pas du tout la culture…

Il mit sa main derrière son cou, légèrement gêné d’être tout simplement … là… comme s’il était une tâche sur une toile blanche, un grain de sable dans un bol de riz, et autres métaphores exprimant le fait qu’il n’était pas à sa place.

- Je suis … plus intéressé par les étiquettes que par les oeuvres. J’y cherche des erreurs.

Il pouvait le dire.. il n’allait pas lui demander de lui sortir son diplôme de linguiste là tout de suite? (Diplôme qu’il n’avait pas alors il ne pouvait pas lui donner). Il lâcha son cou pour présenter sa main à l’inconnu. Commençant par le début, cela serait plus efficace.

- Je me présente je suis Winston. Je flâne souvent dans le musée dernièrement.


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Remember who you are - Jeu 26 Nov - 10:44

remember who you are@Winston Maccarthy & Caleb A. AndersonLe 10 novembre 2020, à l'arcadia museum,L’homme ne comprend pas en quoi cette statuette peut être intéressante et cela mine quelque peu Caleb. Lui qui pensait avoir affaire à un homme de culture il se retrouvait face à un énième bado venu là par erreur. Qu'à cela ne tienne il lui ferait la classe, souhaitant qu’il sorte de la pièce moins idiot que quand il y es rentré.

“Il s’agit de Shango, l’orisha de la foudre et du tonnerre. Une divinité qui c’est quelque peu éparpillé dans le globe. En Amérique latine et dans les Caraïbes, elle s’appelle Jakuta. Au Brésil elle est associée à la religion catholique et plus précisément à Saint Jean-Baptiste, l’annonciateur de Jésus de Nazareth, loin de son culte de base ou même de ses attributs divins vous en conviendrez. C’est en quelque sorte un magnifique exemple d’adaptabilité, loin de disparaître face au christianisme, la divinité c’est faite associée à une autre, ne devenant qu’un. La culture Yoruba a alors fait son petit bonhomme de chemin loin du Nigeria. Oh bien sûr c’est dans de triste circonstance, il n’empêche que c’est admirable.”

Caleb aime l’histoire avec un grand “H” mais traité du sujet de la “traite des noirs” et de l’esclavagisme n’est pas la partie favorite d’un historien. Il affiche toutefois un sourire satisfait sur son explication de la statuette, bien que le sujet ait quelque peu dévié, il aurait pu aborder la technique de fabrication, sans doute que cela aurait plus intéressé son interlocuteur. Il s’apprêtait à en parler mais son invité en décida autrement.

L’homme avoue s’amuser à chercher des erreurs sur les étiquettes plutôt que de réellement chercher à s’instruire. C’est un coup dans l’eau pour Caleb, mais il voyait toutefois l’embarras de cet homme qu’il essayait d’instruire et il se fit la réflexion qu’il avait sans doute eu une mauvaise intention. On ne peut sans doute pas remplir une coupe qui est déjà bien pleine.

L’homme se décide à se présenter tendant une main amicale envers Caleb qui la saisit aimablement.

“Enchanté Winston, je m’appelle Caleb et je suis le conservateur de ce musée. Je suis ravi que vous veniez nous rendre visite mais je suis curieux, avez-vous repéré quelques coquilles sur nos étiquettes ?”

Voilà un fait que le conservateur trouve amusant, du moins jusqu’à ce que Winston fait véritablement mention d’une erreur sur une œuvre d’une autre pièce. Quelque peu honteux, il demande à l’homme de le conduire jusqu’à son erreur. Il lui faudrait la vérifier avec quelques spécialistes, bien que vu le sérieux de son interlocuteur il ne doute pas de sa véritable faute.

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Remember who you are - Mar 8 Déc - 14:14


Remember who you are
Winston avait cette façon bien à lui d’appréhender les choses, et de les comprendre. Il ne pouvait pas emmagasiner autant de connaissances que la plupart des gens. La plupart du temps, les informations passaient sur lui comme de l’eau d’un cascade et ne revenait pas en mémoire. Pourtant, quand il vit le regard de son interlocuteur, il se fit qu’il ferait mieux de faire un effort.

Sans être le plus malin des hommes, Winston avait au moins le mérite d’être emphatique, et il pouvait sentir que l’intérêt sur cette statue, non partagé, était importante pour l’homme. Il n’était pas le genre à faire souffrir un homme pour rien, alors il accepta de connecter ses deux neurones pour essayer de comprendre.

- C’est donne une divinité qui s’est adapté à son histoire ?

Il ne savait pas comment poser la question … mais il était athée. Pour lui, la bible avait adapté l’histoire à son envie pour le faire devenir « sien ». S’il y a eu une catastrophe c’est dieu le responsable. Là, de ce qu’il en avait comprit, la divinité avait surtout suivit le mouvement de l’histoire pour s’adapter à là où elle se trouve. Une fois la présentation faite, Winston avait déjà moins l’impression d’être coincé entre un prof d’histoire et son manuel… Rappelons le, il n’avait jamais aimé l’école, et ça n’allait pas commencer avec l’homme.

- le conservateur du musée ? Vous devez être sacrément intelligent alors. Je n’ai jamais réussi à comprendre l’histoire en classe, ça arrive j’imagine.

Il pensait aux affinités. Winston, cela avait toujours était la biologie. Il n’était pas infirmier pour rien à l’armée. Il comprenait les corps, et c’était déjà suffisant pour lui.

- Il y en a quelques unes. Mais je pense que c’était pour coller plus à une traduction plus poétique que de véritable erreur. Sauf pour celle prés de la sortie.

Il s’approcha pour montrer une plaque. Cette plaque venant d’Afrique avait une écriture étrange dessus. Winston ne connaissait pas le nom de l’écriture, peut être phénicien ? Il en savait rien, mais il montra la traduction qui avait été faite sur la petite pancarte.

- il est écrit sur la pancarte que c’est un poème, qui parle de la fin du monde. Alors qu’en réalité, le poème traite du coucher de soleil. « La fin d’un monde annoncé par l’arrive de la noirceur ». Ils parlent donc du fait d’aller dormir, et non pas mourir.

HRP - je ne sais pas si ça te va une histoire comme ça, je l’ai eu peu fait au pif, n’hésite pas à me dire si ça va pas.



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Remember who you are - Sam 12 Déc - 11:55

remember who you are@Winston Maccarthy & Caleb A. AndersonLe 10 novembre 2020, à l'arcadia museum,Winston semblait impressionné de discuter en personne avec le conservateur du musée, il prêta même à Caleb une intelligence hors norme. Le petit homme se sentit soudain important. Il ne lui fallait toutefois pas succomber à la flatterie. Il n’était qu’un homme, enfin plus ou moins, mais il n’était pas la récurrence d’une divinité divinement intelligente, comme on pourrait s’y attendre d’une récurrence d’Athéna, symbole de la stratégie de guerre. Le sentiment de contentement fait vite place au sentiment de honte quand le visiteur fait remarquer un bon nombre de coquilles. Si au début il ne fait mention que de traduction ajustée de manière plus poétique, chose très commune au final, il se ratrappe rapidement en parlant d’une erreur près de la sortie.

Curieux et anxieux, de sentiment contradictoire déclencheur de catastrophe à venir, il suit son curieux visiteur jusqu’à la sortie. S’approchant d’une plaque, reproduisant le texte d’un poème phénicien, trouvé sur l’île de Chypre, Winston explique qu’il y a une erreur d’interprétation.

“Il est écrit sur la pancarte que c’est un poème, qui parle de la fin du monde. Alors qu’en réalité, le poème traite du coucher de soleil. « La fin d’un monde annoncé par l'arrivée de la noirceur ». Ils parlent donc du fait d’aller dormir, et non pas mourir.”

Caleb en reste pantois. Winston était loin du visage commun des universitaires et de leur style de vie. Pourtant ne venait-il pas de faire la démonstration d’une connaissance incroyable ?

Le phénicien est une langue morte, parlé dans l’ancien “Pays de Canaan”, sur les côtes du Liban. Cette langue est à l’origine de l’hébreu et il est clair que son curieux visiteur ne semble pas plus faire partie de cette ethnie que Caleb être français. Sur l’île de Chypre, origine du poème qui a été retrouvé, le phénicien côtoyait de près le grec ce qui a fait quelque peu évoluer la langue. Nous ne connaissons pas grand chose du phénicien en réalité, quelques auteurs grecs ou latins font mention de cette langue punique et se sont acharnés à traduire les œuvres phéniciennes faisant perdre les textes originaux. C’est grâce à ces œuvres parfois hybrides, grec-punique, que l’on est parvenu à reconstituer l’alphabet carthaginois. Savoir si cet alphabet est juste est une question sur laquelle les linguistes se battent depuis presque des siècles.

Le fait est que toute l’histoire de cette langue rend encore plus impressionnantes les capacités de traducteurs de Winston. Plusieurs questions brûlent la langue du nain, mais il faut savoir attendre, analyser la situation. Si son curieux visiteurs est loin de ressembler aux érudits habituels il se peut qu’il en soit hein, mais n’avait-il pas dit auparavant qu’il n’avait “jamais réussi à comprendre l’histoire en classe” ?

Seul un féru d’histoire pouvait s’être intéressé au phénicien au point de traduire sans livre, ni cahier, un poème affiché dans un musée. L’intuition de Caleb lui chuchotait à l’oreille que la solution était tout autre, moins compréhensible et pragmatique que d’habitude. Avoir un don, c’est extraordinaire et parfois on en vient à penser qu’il a été offert par quelqu’un ou quelque chose. N’est-ce pas là l’essence des religions ?

Mais si les gens savaient qu’il était possible d’avoir un don, offert par un être qui vous habite, qu’il fallait sans doute mieux regarder en soi que vers le ciel ? C’est quelque peu ironique de penser que les humains pensent plus à projeter leur conscience vers les nuages insipides que vers leur propre cœur qui renferme un pouvoir bien plus grand que celui de refléter le bleu de l’océan.

Petit à petit, l’idée fait son chemin et Caleb se demande si Winston n’est pas une récurrence d’une quelconque divinité savante. Pourtant même en le regardant attentivement il ne voit rien. Il avait entendu parler de ça aussi, quelques un des Enfants Terribles mentionnent l'arrivée de récurrence plus “faible”, moins visibles, plus difficilement détectables. Peut-être Caleb en a-t-il une devant lui, mais si c’est le cas, lui-même en a-t-il conscience ?

“Je suis impressionné. Vous avez toujours eu ce talent pour les langues ? Il est peu commun de réussir une traduction comme celle que vous avez du faire de ce poème. C’est remarquable, tout bonnement remarquable.”

Caleb s’attends à des explications peu clairs et évasives, si Winston est une récurrence comme le suppose le conservateur, il y a des chances qu’il ne sache pas véritablement comment expliquer cette particularité . Comme le nain avait été incapable à l’époque d’expliquer sa manie d’adolescent à faire des sculpture d’argile représentant une vieille divinité égyptienne. Toutefois il y avait des chances que ce ne soit pas son seul don et Caleb se félicite de porter sur lui une de ses précieuses statuette inhibitrice.

“Cela vous dérangerait d’exercer vos talents pour le musée ? J’aurais parfois besoin d’une petite aide supplémentaire sur les traductions.”

Mieux vaut pour lui qu’il garde un oeil sur Winston, au cas où.
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Remember who you are - Dim 13 Déc - 18:39


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Si Winston n’avait pas de mal à dire qu’il se trompe, il semblerait que ce n’était pas le gars de son interlocuteur. Il sembla prendre très personnellement une erreur… les erreurs arrivent à tout le monde, même au meilleur… et que celui qui n’a jamais fait d’erreur lève la main. Personne ? Donc, tout le monde faisait des erreurs, et ce n’était pas la première ni la dernière fois qu’une personne en fera une. Il s’en voulait cependant de voir l’homme être anxieux à cause de ses paroles.

Pour Winston, les mots étaient claires. Ils signifiaient ce qu’ils voulaient dire. Un peu comme si tout se mélanger et former la phrase dans sa tête sans qu’il ne puisse l’éviter. Winston savait qu’il avait raison et ne pouvait décemment pas dire pourquoi ni comment il le sait. Winston ne pouvait pas savoir toutes les pensées de l’homme sur son « cas ».

Il ne pouvait pas savoir qu’il venait d’être analysé de la plus cohérente des manières par l’homme, et qu’il en avait déduit ce que lui ignorer encore. Il sourit doucement quand il dit être impressionné …. Lui ne l’était pas. Cela l’agaçait plus qu’autre chose de ne plus avoir le contrôle sur la plupart des choses.

Que cela soit ses actes inconsidérés, que cela soit son manque de douleur, que cela soit les langues qu’il ne devraient pas connaître, c’était tout plein de choses dont il n’avait, en réalité, pas main mise dessus, et il n’aimait pas plus ça que de se faire tabasser au détour d’un bar.

- Je …. Non … j’ai eu … accident …

Il ne savait pas comment on pouvait parler poliment et simplement du fait de s’être pris un éclair en pleine gueule sans avoir eu aucune séquelle…. Se prendre un éclair, on pouvait en survivre, mais avec des problèmes assez grand… neuro logiquement parlant … ou même avec des cicatrices qui reflètent le courant de l’éclair dans les veines. Lui il s’était pris un éclair,  avec comme témoin une petite colonie d’enfant de 12 à 14 ans et sa soeur, et il n’avait tout simplement rien eu….

Il reporta son attention sur l’homme et lui ressortit assez bêtement les excuses que les médecins avaient trouvées pour son cas.

- Il y a des années, je me suis pris un éclair. Depuis, je peux comprendre la plupart des langues. Les médecins pensent que l’éclair à fait fonctionner mon cerveau et qu’il m’a permit de me souvenir et d’acquérir toutes les règles de langues que j’ai entendu ou appris au cours de ma vie.

Cette idée pouvait être bonne, cette idée aurait pu être la véritable réponse. Après tout …c’était un « déjà-vu »… il y a plein de personnes qui ont eu des AVC et ensuite on eu, en plus des soucis normaux dû à un AVC, des choses diverses. Ce n’était donc pas impossible. Cela arrive … bien plus souvent que ce que l’on pense. Cependant, cette excuse ne pouvait pas être la bonne avec Winston … parce qu’il pouvait promettre sur la tête de qui il voulait que JAMAIS Oh grand jamais il n’avait appris la langue sur la stèle. Jamais.

- Je peux le faire sans soucis. Cela me permettra de revenir et en plus j’ai du temps souvent.

Fin pas réellement entre sa soeur à surveiller, son amie à surveiller, ses usagers à surveiller, mais il pouvait bien mettre du temps de côté pour son pote le conservateur de musée. Que ce don qui lui pourrait la vie autant que l’autre serve au moins à quelqu’un de temps en temps.

- Il faudra me dire comment tu veux mettre en place cette aide, j’imagine que je ne pourrais pas ramener du travail à la maison ça serait bizarre.

Et il n’avait aucune envie d’avoir un objet qui pourrait valoir énormément avec lui, même si c’est pour le traduire, connaissant sa nouvelle habitude à faire n’importe quoi.

HRP - contente que ça t'aille alors  Remember who you are  723123735  Remember who you are  723123735  Remember who you are  723123735



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Remember who you are - Mar 15 Déc - 20:55

remember who you are@Winston Maccarthy & Caleb A. AndersonLe 10 novembre 2020, à l'arcadia museum,Caleb écoute avec attention son curieux visiteur. Ces explications sont aussi flous qu’il le pensait voir même un peu plus. Il ne décèle pourtant aucun mensonge, juste un discours appris sur le bout des doigts, un texte de médecin. Winston à été électrocuté par un éclair, rien que ça. Il en serait ressorti avec comme seul séquelle une capacité linguistique innée. C’est assez étonnant pour paraître divin, tout en sachant qu’elle instrument à été utilisé. La foudre, c’est tout l’attribut d’un dieu. Le conservateur se promet de se renseigner sur ce phénomène d’électrocution. Il reste toutefois persuadé que son étrange visiteur est bel et bien une récurrence.

Ce dernier ne refuse d’ailleurs pas son invitation pour du travail, bien au contraire il demande la manière de procéder. Le conservateur se fait une joie de lui expliquer la marche à suivre. Étant donné que Winston le tutoie, Caleb décide d’en faire de même.

“Si tu veux bien me donner ton numéro je t’appellerais au besoin. Tu viendras ici et je te montrerais soit des photos des œuvres à traduire, soit tu verras les œuvres de tes propres yeux dans les archives du musée. En ce qui concerne les photos, tu peux les emmener chez toi sans souci pour les étudier plus attentivement.”

Le nain ne veut toutefois pas en rester là. Il se doit d’évaluer Winston. Sur la maîtrise de ce don évident mais également savoir s’il n’en possède pas d’autre et s’il n’a pas déjà été approché par des gens peu recommandables. Bien entendu d’un point de vue extérieur, Caleb pouvait faire partie de ces personnes. Toutefois il ne se considérait pas comme tel, il se voyait toujours comme un sauveur, plus précisément comme un protecteur. Pour lui les Enfants Terribles sont comme sa seconde famille et il a accepté sa divinité intérieure. Il est donc normal pour lui de protéger les gens qui sont de son panthéon, de sa famille et par extension de sa mafia.

“Ton don ne concerne pas que le phénicien n’est-ce pas ? Je suppose que tu peux traduire d’autres langues. Il y a une limite ou tu peux tout traduire ? Je suppose que ça doit être un peu déroutant. Te prendre un éclair et devenir un super linguiste, sans doute l’un des plus grands des Etats-Unis, c’est pas commun. Tu dois te sentir bien différent des autres, presque anormal. Rassures-toi je ne te jugerais pas là-dessus. Bien au contraire.”

Caleb prend son temps, mâche ses mots. Il ne doit pas faire peur à Winston. Ne pas paraître trop étrange, surtout que l’accident semble frais pour lui. Il a du mal à en parler sans recracher le jargon médical qu’on avait posé sur lui. Un diagnostic humain sur un événement divin. De la rationalisation. L’humain semble être l’être qui en a le plus besoin. Rationaliser tous les événements qu’il peut rencontrer face à lui.

“Je sais ce que c’est qu’être différent. Le regard des autres, la perte de son identité, la peur de ce que l’on pourrait devenir. Ce n’est pas des choses faciles à gérer, bien au contraire.”

Il a conscience que ses paroles sont à double sens, mais il doute que Winston saisisse la nuance. Pour lui il devait parler de son nanisme qui en réalité est dû à sa nature divine, mais ça seul les siens le savent. Seule sa “famille” est au courant.

“Sache simplement que je suis là si tu as besoin de parler de tes particularités. Celle que tu as aujourd’hui et qui sait peut-être celles à venir.”
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Remember who you are - Jeu 28 Jan - 20:33


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Winston avait de quoi ne plus comprends. Sa tête lui disait de courir à l’opposé, mais ses pieds restaient cloués sur le sol. En réalité, montrer à un homme, même un inconnu, qui n’était pas aussi bête que ce que l’on pense, aurait eu de quoi rentre vantard tous les hommes. Mais Winston savait qu’il avait eu ce « pouvoir » pour une raison qui le dépasse. Une raison qui n’était pas du à l’acharnement, ou au désir, mais bel et bien à un hasard venu de nulle part.

Alors, il ne pouvait se vanter. Et il ne pouvait se sentir méritant… et être là, à étaler son savoir comme s’il lui appartenait le mettait mal à l’aise. C’était pour ça qu’il avait envie de partir de l’autre sens… et c’était aussi la raison qui l’obligeait à rester ici. Il sentait qu’il pouvait le dire. Il sentait qu’il n’allait pas être disséqué, ou observer. Peut être que l’homme comprendrait ? Il ne pouvait en être sur, mais c’était en tout cas l’impression qu’il avait.

Caleb chercha dans ses poches, il savait qu’il avait quelque part un stylo, et quelque part ailleurs une carte de sa sœur. Dessus, il n’aura qu’à noter son numéro de téléphone. D’ailleurs, il réussi à mettre la main dessus en touchant ses fesses. Sortant la carte et en y écrivant rapidement dessus son numéro de téléphone. Il n’avait pas son téléphone sur lui. Ou alors dans une de ses poches, mais pour le bien du rp oublions. Il tendit le papier à l’homme.

- Voici mon numéro de téléphone. Il y a aussi le numéro de ma sœur, mais il ne te servira à rien. Sauf si je disparais et que tu as vraiment besoin de me contacter mais ça ne risque pas d’arriver ça …

Winston tutoyait rapidement. C’était un fait qu’il avait remarqué de nombreuses fois. Pour lui le vouvoiement, et le tutoiement d’ailleurs, n’avait aucun rapport avec le respect que l’on donne à une personne. On va dire, en faisant un exemple concret, qu’il vouvoierait la reine d’Angleterre, mais qu’il n’a aucun respect pour elle et s’en tamponne le coquillard d’elle. Il voyait plus le vouvoiement comme un signe de hiérarchie. Or là, il proposait son aide en tant que nouvel ami, pas en tant qu’employé. Ce qui change tout, n’est ce pas ? Winston réfléchit.

- je peux tout traduire. Absolument tout. Même des langues qui n’existent pas comme le Navy, tu sais la langue d’Avatar de James Cameron, ou celle du seigneur des anneaux. J’arrive à les comprendre aussi.

Le morse aussi, le langage des signes, tout ce qui était une « langue » dans le sens très large du terme, et qui pouvait servir comme communication. Il était presque sur de pouvoir lire le quipu… or, personne encore n’avait réussi à décrypter le Quipu, et il n’avait pas envie d’être celui qui le fasse.

- En effet, je me sens souvent… étrange. C’est plus que quand j’utilise trop souvent cette capacité, par exemple pour lire un texte, j’en perds mon anglais. La langue que tout le monde connait. Des fois, je suis sur d’utiliser un mot dans une langue mais c’est en faite une autre. Je n’ai pas les connaissances. Pour te dire simplement, je pense que tu peux me mettre un texte de n’importe quelle langue sous le nez, je serais le lire, mais je ne serais pas te dire qui elle est.

Il avait l’impression que l’homme comprenait réellement ce qui lui était arrivé, qu’il « voyait » et ça l’aidait à se détendre. Il n’était plus un homme vantard, mais un homme avec une .. pathologie qui faisait qu’il donnait l’impression de se vanter. C’était déjà mieux que tout à l’heure.

- Toi aussi tu as un pet au casque alors ?

Demanda t il tout simplement alors qu’il disait comprendre. Il était tellement en train de parler de son mental, de mental en général, que la question sorti toute seule. Il ne disait pas « pet au casque » pour être méchant. La dyslexie était pour lui un pet au casque. C’était plus une « image » de ce qu’il se passe dans la tête des gens. Un trou, qui faisait que les informations n’étaient pas analysées comme les autres. Il ne pensait pas du tout au côté physique des choses.

- A l’avenir ? Tu penses que je risque d’avoir pire que ça ?

Il ne pouvait pas, ni ne voulait d’ailleurs, imaginer ce qui pourrait être pire que ça. Il n’avait pas encore compris que son inconscience chronique était son hybris, ni que son insensibilité à la douleur venait de quelque chose de vraiment casser à lui… Une chose à la fois. Un pied après l’autre.




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