Evènement // A new dawn is rising

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Mondanités, mondanités, foutraques mondanités. Toujours pas vu le bout de barbiche d'Aurelio, par contre je remarque l'avanie superbe de "Jan" face à una de los Niños Terribles. Cela ne fait qu'ajouter une couche de stress à mon sandwich de merdes à gérer. Nappage goûtu s'il en est...
Je tends mon don vers l'invisible. Je tente de distinguer le fil rouge entre les escarpins et les souliers vernis. Cet agglutinement de populace qui bourdonne sans discontinuer me fiche presque la migraine. A défaut, j'essaie de suivre le conversation...

Brusque mouvement de foule.
Y a du grabuge. Il flotte comme un relent de traquenard dans l'air. Ça pue la diversion. J'échange une oeillade appuyée avec le Commandante et sa jolie garde-du-corps et profite du remue-ménage pour me frayer un chemin dans le ventre de Tawn Hall...

Résumé des actions de Tadeo:

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Retard.

Il existe des choses que l’on ne peut contrôler, principalement les personnes autour de nous. Et lorsque ces dernières possèdent des personnes en elle, cela s’avère encore plus complexe à gérer. En bref, on m’a imposé à la dernière minute, cruelle fatalité, un accouchement difficile. A peine le temps de sortir de la chambre d’hôpital, de me précipiter dans le bureau pour enfiler chemise et pantalon -tant pis, je la boutonnerai bien en chemin, et ferai du mieux possible le nœud de cravate- que je me jette vers la Mairie, enfourchant mon fidèle vélo.

Foule.

Le discours est d’ors et déjà passé, naturellement. Quant au chaos ambiant, il semble déjà avoir éclot, si habitué au terreau fertile d’Arcadia, il ne lui en fallait que peu pour se répandre. Dès lors, profitant de la confusion et de la masse humaine, je me faufile entre les êtres, cherchant du coin de l’œil des visages connus, des amarres sur lesquelles je pourrais me reposer. En vain.

Improvisation.

Tout ce que je sais, c’est qu’ils sont là, mes alliés. Quelque part, à m’attendre, à me chercher. En vrai, cependant, je n’ai pas besoin d’eux comme eux n’ont pas besoin de moi. Il faut que je flaire, que je piste les émotions en quête de stresse, d’anxiété ou, au contraire, de trop grand calme. Cependant, être seul me met dans une position de coupable idéal bien que mon alibi soit en béton (et en placenta).

Coupe.

Alors que j’ouvre les vannes de ma magie et que je cherche toujours du regard un potentielle allié, je m’empare d’une flûte de mousseux et me met à faire parler le dieu en moi, plutôt que l’humain, afin que Quetzalcóatl trouve les émotions les moins adaptées à ce lieu. Le flot empathique trouble aussitôt mon esprit. Je me sens comme un chien policier dans un champ de coca, prêt à aboyer à chaque ombre suspecte.
Et bordel, où sont @Alejandro Flores et @Tadeo Hierra ?

Inquiétude.

Que je transmets à travers mon téléphone, m’excusant platement auprès d’eux de mon retard.

Spoiler:

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A new dawn is rising

La démocratie est le pire système qui existe, à l'exclusion de tous les autres

J'aperçus un mince filet électrique se détacher dans l'air. Curieux ça. Il ne venait pas de moi, ou alors j'avais largué une caisse. Mais je m'en serai rendu compte. Non. Et puis, il se dirigeai vers une autre salle. Alors qu'un début d'activité se dégageait un peu plus loin, je m'excusai auprès des personnes avec qui je parlais, prétextant un besoin d'aller aux toilettes. Je fis néanmoins un signe à @Delilah Sulwyn. L'aide d'un autre panthéon ne pourrait pas forcément être une mauvaise chose. Je fis de même avec @Isaac R. Meridian, en espérant que le messager ne le voit.

Je filai donc, suivant le filet électrique, l'attrapant au passage et l'enroulant autour de mon poing à mesure que je progressai. Chance pour moi, tout le monde se mettait à regarder de l'autre côté. Parfait ! Je ne devais pas trainer par contre. J'allais sans doute au devant de grosses emmerdes, aussi, autant essayer de limiter la casse au maximum.

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~ « Le temps, bruyant, lent, passait
Au rythme des coupes avalées.
Dans son costume aux nuances de jais,
Les gestes, le dragon les épiait.
Autant ses frères qui dansaient parmi les patriciens,
Autant celle qui hypnotisait, sa mère.
Et parfois, des inconnus, aux poches pleines de biens.
Cette soirée, en un écrin, résumait notre ère.

Il y avait eu dans cette soirée une langueur infinie, un vertigineux trou noir temporel qui semblait de ne pas en finir.
Jusqu’à ce que.
Dans cette noyade inaliénable vers le paroxysme de l’ennui, je n’avais eu d’autre choix que d’exécuter mon travail, mes ordres ; la surveillance des uns, l’analyse des autres. Alors, ballet des yeux et de la langue, je m’étais faufilé, souvent vers le buffet afin de récolter quelques gouttes de nectar pétillant et de petits-fours croquants, parfois dans la foule, autour des hommes qui palabraient et cachaient leur ennui derrière des tirades alambiqués et des platitudes écorchées. J’en saluai quelques uns que je connaissais, dont l’homme à la barbe tressée {Hadrien}, si peu reconnaissable dans cet accoutrement, mais qui semblait toujours endosser son rôle de prophète vu les silhouettes à qui il parlait, et mes frères dissimulés qui m’accompagnaient dans cette chorégraphie humaine ; nous nous échangeâmes souvent des regards afin de se rassurer, ou de communiquer.
Mes mains s’étaient baladées, bien naturellement, entre quelques mots sans valeur, afin de récolter des butins tout aussi onéreux. D’un serveur grisonnant {Vitali}, mon larcin fut froid et de forme absconse que je reconnus aussitôt comme un tire-bouchon ; de femmes à l’air sévère {Aura & Delilah}, ce fut quelque chose de plus doux, plus commode, dont j’aurais usage si jamais je venais à me grimer ; d'un charmant jeune homme {Isaac} dont je ne pourrais sans doute ouvrir son cœur, une clef. D’autres encore perdirent des objets et, malgré moi, je me retrouvai avec un GSM dont je ne connaissais pas la propriété.

Oups.

Sentinelles en alerte, gargouilles en détresse.
Les colosses de chair ne pouvaient agir.
Mais les enfants, jamais, ne pouvaient fléchir,
Surtout lorsque c’est une Mère {Sahar} que l’on agresse.

Jusqu'à ce que le devoir m'impose que je vienne à son aide.

Spoiler:

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C’est rêver en couleurs que d’espérer le calme à Arcadia, comme en témoigne le bordel qui ne tarde pas à émerger. Les voix s’élèvent et la tension suffit à faire perdre le nord aux pensées de Juniper. Des voix, interceptées pèle-mêles, s’imposent à elle, sans faire de sens. Ses doigts se serrent sur le pied de sa coupe de vin pour ne pas a laisser tomber, alors qu’elle zig zag pour s’évader de ce lieu anxiogène. Mais brusquement, elle s’arrête. Son regard fixé sur le mur, les sourcils froncés, elle est obnubilée - ou plutôt choquée - par le spectacle qui s’offre à elle. Des souvenirs revécu, probablement : une lame rougeâtre, qui s’éloigne d’une chaire sanglante. Un corps de cochon, qu’elle essaie de se faire croire, même si l’aura de la scène est beaucoup plus sinistre. De l’arme, le sang tombe par goûtes. Le poing plié devant sa bouche, elle retient la nausée et regarde d’un oeil suspicieux, presque qu’angoissé, les gens autour d’elle. Puis, cette pensée qui s’est fondue aux siennes la guide instinctivement vers là où elle pourrait trouver des réponses à ses questions. Ou est-ce un piège ? Peu importe, Juniper, pâle comme un drap, s’empresse de quitter la pièce.

Spoiler:

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a new dawn is rising

L'homme à la barbe fournie avait répondu aux paroles de l'avocate pessimiste. Et ses mots ne l'ébranlèrent pas, au contraire même, ils firent écho à d'autres dans son esprit fragile : cet homme ne savait donc pas que la violence appelait la violence ? Et qu'il en était ainsi de même pour le chaos ? Chaos is a ladder aurait été une merveilleuse réponse et représentation de cette pensée sur les violences qui ne vont qu'en s'empirant à force de réponses offensives des deux camps qui s'opposent mais elle la garda pour elle. Branwen qui sommeillait n'aurait pu qu'approuver. Cette dernière s'éveilla d'ailleurs à l'appel de ralliement du bûcheron, attentive. Puis le dieu nordique au marteau s'éloigna avant de faire signe à la blonde de le suivre. Sa curiosité piquée à vif Delilah se rapprocha de l'homme qui pensait en avoir terminé avec lui pour la soirée. La galloise ne remarqua pas que, dans la distance qu'elle avait parcouru quelque chose lui fut enlevé, dérobé, volé par @Ianto Lloyd. Son rouge à lèvre préféré, quelle poisse.

Ses iris claires se posent sur le fil que l'homme tient enroulé autour de son poing. Qu'était-ce cela ? À quoi était-ce relié ? La salle était simplement sous surveillance right ? Lançant des regards inquiets sur le reste des convives trop occupés par la bagarre qui avait lieu à l'extérieur, la blonde hésitait à poursuivre sur ce chemin ... Elle finit par disparaître avec @Hadrien Einarsson dans une nouvelle salle.

Résumé:

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Chaos.

Sidéral. Dans mon esprit. Dans mes pensées. Dans mes émotions. La langueur, l’apathie, l’ennui de tous, de chacun, présents ici, qui s’égarent dans leurs propres méandres que j’espionne me frappent peu à peu, m’imprègnent et me rendent hagard, comme assommé par la fatigue lancinante ressentie par les individus une flûte à la main. Je soupire, tentant de reprendre mes esprits, une raison qui m’est propre tout en continuant à chercher des indices, à renifler le moindre frétillement dans la traînée psychique qui m’enivre et couvre toute la pièce.

Fils.
Électriques.

Sensation désagréable qui me parcourt l’échine, comme si certaines personnes semblaient reliées à l’élément céleste, aux foudres s’abattant des cieux, retenus ici dans des câbles incertains. Je le sens dans l’air, dans leurs émotions, comme une électricité statique empathique, collant une à une chacun des sentiments, formant un amalgame encore plus inquiétant et incompréhensible.

Pulsant.

Comme du courant. J’en frissonne, d’autant plus que je ne saisis ni l’origine de ces images, ni leurs sens. Et l’incompréhension s’avère mon pire ennemi. Je soupire. Malheureusement, instinctivement, j’inspire juste après une énième bouffée d’air, plus grande, une immense rasade chargée des souvenirs proches, des pensées, des émotions incarnées. Car mon pouvoir se fait plus précis (et plus pénible) à mesure que je l’utilise. Et je le vois.

Couteau.

Clair et net. J’essaie, dans la foule, de remonter à contre-courant de cette piste. Mais je ne reçois désormais que des signaux flous, mélangés avec ceux d’autres personnes ; d’incroyables marasmes indigestes, crachés et mixés par cette foule légèrement enivrées. Il faut que cela cesse, je ne peux plus m’infliger cette peine, d’autant que je ne trouverais rien de plus, ni personne.

Soupir.

Je m’éloigne de la masse humaine, main sur mon téléphone pour masquer ma solitude et paraître anodin. J’en profite pour informer mes chefs de la situation, des quelques broutilles Ô combien inutiles récupérées tout en veillant à ce que personne ne mire par dessus mon épaule.

« Nous ne sommes pas les seuls à être au courant qu’il se trame quelque chose. J’ai eu l’image d’un couteau et de courants électriques. Ca ne sert pas à grand-chose, désolé, envoyé-je à Flores. »

Par le hasard de mes pas, je me suis éloigné du bar, me rendant à l’opposé de la salle, de plèbe assemblée. Il y a juste à côté de moi une porte, que personne ne surveille, qui s’ouvre sur un enfer de câblage. Sans demander mon reste, profitant de l’accalmie, je me faufile ainsi sous l’estrade où sont branchés micros et projecteurs et qui sait, peut-être une bombe.

Spoiler:

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A new dawn is rising

La démocratie est le pire système qui existe, à l'exclusion de tous les autres

Je fus surpris de voir ma nouvelle alliée s'emparer directement de plusieurs documents. Moi qui craignais que quelque chose qui manque n'attire l'attention. Bon, ne traînons pas plus. Mais, juste avant de partir, je revins sur mes pas et fis une chose qui me parut du coup essentielle. De chacun des pistolets présents dans la salle, je retirai les chargeurs et les fourrai dans mes poches intérieures. Si quelque chose venait à dégénérer, je devais être capable de me défendre. J'en passai deux d'ailleurs à la jeune femme, histoire qu'elle m'aide à les dissimuler. Elle attirerait moins l'attention que moi et on la soupçonnerait moins d'en porter.

Nous retournâmes dans la grande salle le plus vite et le plus discrètement possible. Il fallait maintenant nous refondre dans la foule, histoire de ne pas éveiller le moindre soupçon. J'attrapai deux verres au premier serveur qui passait par là, en donnait un à ma partenaire, pris deux petits fours et réitérai mon geste. Avant de lui murmurer.

Maintenant, faites exactement comme si nous n'avions fait que discuter de notre côté. On va se diriger vers la sortie, au cas où cette bombe viendrait à... vous voyez.

Je vidai mon verre d'une traite et avalai le morceau de boustifaille d'un coup et déclarai.

Au fait. Moi c'est Hadrien. Et vous ?

**The Third Eye**

a new dawn is rising

intrigue évènement août 2019

AOUT 2019.

Les paroles, les échanges ont continué dans la salle principale, une bonne partie de la soirée. Personne ne se doutait de ce qui se passait en coulisses, de la bombe désamorcée par la Calavera, de leur tentative, échouée mais louable, de vouloir prévenir toutes les personnes présentes pour éviter les dommages collatéraux. Peut-être qu’ils pourront en tirer une certaine gloire…

Tous ceux éparpillés aux quatre coins de la Mairie finissent par se retrouver dans la première salle, salle principale, dans un soupir de soulagement, la tête pleine d’interrogations. Pour l’instant, ils espèrent tous pouvoir souffler, retourner dans leur quartier, et faire le point sur la situation.

**

Essayez de fuir, et vos démons vous rattraperont…

L’aura étouffante envahit la pièce, les récurrences de stade 6 sont les premières à la percevoir. Juste avant l’explosion. Un pan de mur qui s’effondre, un nuage de poussière et aucun dommage collatéral. Onze personnes se dévoilent, une jeune femme en premier plan, un masque vénitien dissimulant ses traits. Seul son sourire apparaît, alors qu’elle s’approche, pose une main sur l’épaule du Maire. Personne ne bouge, personne n’a le temps de réagir. « Vous aimez me mettre des bâtons dans les roues. » Tension exacerbée, la lame apparaît entre ses doigts, sous la lumière pâle du hall principal. « Heureusement que vous ne serez bientôt plus un problème. » Sourire carnassier, et le poignard glisse sur la gorge de Warren Thompson. Gerbe de sang, et le corps s’écroule dans la foulée. Les assassins, les médecins dans la foule le savent. Il est mort. Une certitude, que cette inconnue a effacé de la surface de la Terre le bon Maire d’Arcadia.

« L'ère du Chaos ne fait que commencer. »

L’étreinte glaçante et brûlante s’attaque soudainement aux récurrences, épargnant tous les autres. Champ de bataille en devenir, pour la demi-heure suivante… Les esprits s’embrouillent, s’échauffent sous les regards des arrivants, titans jusqu’ici retenus prisonniers, premiers vaincus libérés.

Ils restent, immobiles, jusqu’à ce qu’un signal leur parvienne, et qu’ils disparaissent dans les tréfonds d’Arcadia…

// FIN DE LA SAISON 2 \\

INFORMATIONS EN VRAC

(+) L’intrigue touche à sa fin.

(+) En résumé : une bombe a été désamorcée par la Calavera, la NC a obtenu des informations sur un groupuscule qui avait préparé et infiltré la Mairie (ils connaissent leur signe de ralliement), Hadrien a trouvé un artefact, Delilah en est ressortie avec de faux papiers d’identité récupérés sur la table des gardes.

(+) Tout ceci a été orchestré par Khaos dans l’optique de montrer qu’il est toujours présent. Ceux étant présents à la Bratva et chez les E.T lorsqu’Ophelia a été blessée peuvent la reconnaître.

(+) Khaos est accompagné des titans prisonniers, qu’il a libérés. L’aura de ceux-ci est si semblable à celle des humains que seules les récurrences avancées (stade 5 et 6) peuvent les repérer.

(+) Une petite surprise est « offerte » par Khaos, un avant-goût pour les récurrences présentes. Il est possible de voir son stade 7 être déclenché :smirk:

. (pour la durée de l’intrigue / les trente minutes restantes dans le jeu, c’est donc EPHEMERE lolilol

). Deux moyens pour cela :
- Si votre personnage est de stade 6, vous pouvez décider de lui voir être imposé ce stade 7 ou non, à votre convenance.
- Si votre personnage est de stade inférieur, vous pouvez tirer le dé « final de l’intrigue » (dans le flood) si vous souhaitez avoir une chance d’imposer le stade 7 à votre personnage de façon éphémère. Il s’agit d’un dé de 2 faces : 1 (votre personnage passe stade 7) et 2 (votre personnage ne passe pas stade 7)

Par la suite, une fois le stade 7 acté, votre personnage fera face à deux choix (il vous faudra tirer le même dé "final de l'intrigue") : 1. la divinité garde toute sa tête, et votre personnage peut attaquer les nouveaux arrivants/fuir. OU 2. la déité est gangrénée par Khaos, et votre personnage se rallie donc, pour la durée de son stade 7, à Khaos, et se dresse contre les siens.

(+) Qu’est-cequeçafaitlestade7 ? Le dieu/la déesse se réveille, un troisième don se réveille, et les précédents gagnent en force et utilisations multiples et diverses. Les contrecoups sont aussi moindres, puisque votre personnage devient... Immortel. Pour pas longtemps certes mais un peu.

(+) Ceci n’est absolument pas obligatoire, si vous ne souhaitez pas faire expérimenter cela à votre personnage I love you

.

(+) L’après-stade 7 : les souvenirs du moment restent, un état de fatigue intense s’empare de votre personnage, vous pouvez pousser le vice jusqu’à l’empêcher d’utiliser ses pouvoirs pour les jours à venir, etc…

(+) Khaos est plus dangereux que jamais, et vient de le prouver à tous. Jusqu’où ira-t-il pour s’assurer de sa main-mise sur le monde ?

(+) Les dieux ne sont plus à l’abri, les mafias et les citoyens non plus. Le surnaturel s’empare d’Arcadia, et l’épée de Damoclès suspendue au-dessus de vos têtes peut désormais s’abattre à n’importe quel moment…

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Nous voilà de retour dans la salle principale, victorieux et en pleine séance d'autosatisfaction. J'attrape une bouteille de champagne laissée au buffet et me remplis une flûte avec un demi-sourire d'amusement en cherchant Aurelio, vaguement, des yeux.

Une pression brutale s'abat dans la pièce. J'ai l'échine qui craque et frissonne d'inconfort. Je tourne la tête vers l'estrade, inconsciemment... Avant d'être soufflé par l'explosion d'un mur. Je me redresse, couvert de gravas, des entailles sur le visage et les mains.

Joder, il y avait plusieurs bombes !

Jan, Gaby, Aurélio.... Je farfouille du regard la foule affolée quand une voix féminine et glaciale s'élève dans les airs. J'assiste, hébété, à la mise à mort du maire, agneau sacrificiel jeté en pâture aux spectateurs.
Je trouve enfin Flores, Gabriela n'est pas loin mais l'état du Commandante m'empêche de vérifier si elle va bien. Puta Madre ! Il a l'air en pleine transe. Je l'attrape par les épaules pour le secouer.

- Commandante ! Oh ! Commandante ! Je ne sais même pas si il a conscience que je suis là. JAN, BORDEL !

La gifle part toute seule, par réflexe. Je vais peut-être le regretter : celui qui pose enfin son regard sur moi n'est pas Alejandro Flores.

Résumé:

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À peine a-t-il commencé à marcher dans les couloirs que quelque chose le dérange. Il le sent, au fond ses entrailles, son dieu gigote un peu trop à son goût, griffe les parois de son estomac au point de lui donner la gerbe. Il n’en dit rien à Gabriela, essaye de garder son sourire qui perd en lumière au fil de leurs pas.
Arrivant dans la salle principale, le calme a l’air d’avoir repris ses aises et très vite, le commandante a les yeux qui trainent : certains de ses hommes sont encore là, ça le rassure. Tournant la tête à la recherche des petits fours restantS, ses doigts se referment plus fermement contre ceux de Gaby et la rapprochent de lui avant même que l’explosion ne survient. Autour de son cou, sous la chemise, la clochette vibre trop fort, lui tinte dans les oreilles comme un carillon qu’il est le seul à entendre. Le pan de mur est soufflé quelques instants après, Jan a juste le temps d’attraper la hanche de la jeune femme pour la nicher contre lui et la protéger de toute sa carcasse. Instinct de survie, instinct de protection, comme un frère le ferait. Une voix s’élève, Ah Puch continue de griffer son ventre, de vouloir sortir sa tête comme un gosse qui sort de l’école et a hâte de retrouver ses copains. Le commandante doit y mettre toute sa force pour bloquer son dieu qui normalement, n’arrive que lorsque lui dort. Il ne comprend pas, n'a pas le temps pour ça.
- Gabriela…
C’est murmuré du bout des lèvres alors qu’il ne réussit pas à la lâcher, par peur qu’elle se soit reçue quelque chose, qu'elle soit blessée. Et quand il relève enfin les yeux, c’est pour assister à la mise à mort du maire. En bonne et due forme, ces hijos de puta savent y faire, c'est un fait. Les yeux écarquillés, les mots se font plus lisibles dans son esprit et la poigne autour de sa Gabriela se fait plus douce, se détend. La voix est là, plus forte, alors que sous le tissu, son pendentif ne cesse de chauffer à blanc. Gabriela est lâchée, il n’entend plus grand chose autour de lui, c’est un brouhaha uniforme et seule la voix continue de se faire entendre. Elle s’insinue comme un venin, lui fait oublier tout le reste. Le dos se relève, les bras sont comme vide d’énergie, la voix est là, toujours là… Alejandro Flores n’a plus rien d’humain.
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C'est comme se réveiller d'un long sommeil, les épaules roulent légèrement pour se détendre, le menton se lève, les prunelles sont sombres alors que le rictus apparait. Le corps n'a pas changé et pourtant, la physionomie a l'air différente, plus froide, plus décharnée, moins séduisante et rayonnante. Comme si le dieu avait pris ses quartiers et mis Flores à la porte sans attendre son accord. Contre ses épaules, il sent les doigts d'un petit cogno, et la baffe qui arrive le fait rire comme un gosse qui n'en a rien a faire.
- Écarte toi.
Les doigts se relèvent en une fraction de seconde, empoignent la gorge du petit dieu alors que ses propres prunelles se parent d'un voile rouge écarlate. C'est si bon de se sentir enfin lui. Ça fait tellement du bien que le sourire ne disparait pas alors que déjà le don s'insinue dans les veines de @Tadeo Hierra pour les transformer en cocotte minute. Jamais un vassal n'avait été jusqu'à là, jamais il n'avait réussi à reprendre les rênes comme aujourd'hui avec le petit Jan. Ça lui plait tellement qu'il prend quelques secondes de plus avec le sargento pour voir jusqu'où le tout petit corps du disciple tiendra. Ah Puch sent son propre rythme cardiaque ralentir au même moment, le froid s'immiscer en lui alors que le feu brûle dans les veines de Hierra, que l'hémorragie embrase son être. Oui, c'est si bon de sentir la Mort s'emparer des deux êtres en même temps, bourreau et victime. Le dieu Maya s'en délecte.
- Tu peux crier si tu veux...
Ah Puch étouffe un rire, les crocs sortis comme un félin prêt à chiquer. Il fini par lâcher la gorge de Tadeo et laisse le corps tomber au sol. 15secondes, ça n'a duré que 15secondes, mais ça suffit pour faire des dégâts sur le sargento. Le voile rouge disparait, le dieu de la Mort retrouve la vue et il se tourne vers la droite, à la recherche d'un autre pantin avec qui jouer. Ça fait des milliers d'année qu'il attendait ça et la voix qui s'est insinuée en lui comme un doux parfum de folie, n'a fait qu'accentuer son envie de n'appartenir qu'à lui. Au feu la Calavera.

Spoiler:

**The Third Eye**

Le membre 'Alejandro Flores' a effectué l'action suivante : ALEA JACTA EST

'Final de l'intrigue' : 2

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- Écarte toi.
- Humpf !

La poigne de fer s'abat sur ma gorge. Mes veines gonflent, dilatées par une chaleur brusque et sans pitié. Mon sang boue, bulle, fait péter certains vaisseaux trop faible pour canaliser la lave en fusion. Mes yeux s'embuent d'un voile rouge, quelque chose de poisseux me coule dans le cou. J'ai les narines qui collent et la bave aux lèvres. La douleur est terrible et pourtant délicieuse.
C'est risible d'avoir une érection dans un moment pareil.

- Tu peux crier si tu veux...
- .......Te.. f'rais.... pas.. s'plaisir......... que je parviens à articuler avant de tourner de l’œil.

A l'orée de ma conscience, je perçois la pression qui diminue sur ma glotte, les soubresauts de mon corps désarticulé qui choit au sol. C'est l'heure de mourir et de passer le relais, j'imagine. Minable et impuissant d'un bout à l'autre de cette vie.

Debout.
Tiens te voilà, toi...
DEBOUT !
Passe à la prochaine incarnation, j'en ai ma claque.
DEBOUT, MISÉRABLE MORTEL !
J'ai des projets dans cette vie! Tu ne mourras pas aujourd'hui !
Fais chier....

Mes yeux s'ouvrent en grand. Ma cervelle pétille d'une multitude de connexions nouvelles. Autant de voies vers de multiples possibles.

Je guiderais ta main, contente-toi de rester debout.

Pour toute réponse, je me hisse sur mes deux jambes, quittant le sol empoissé par mon propre sang.

Tu dois ramener les tiens chez eux...
TU LE PEUX...

- Ouais, ben avant, va falloir ramener l'au't connard à la raison ! que je fais en crachant par terre.

Et nous ne sommes pas armés pour se faire Ekahau et moi.

- GABY ! Que je gronde en la cherchant des yeux. T'es toujours toi ?

Résumé:

**Aura Sciarra**

Le sable coulait le long du sablier, les secondes se firent minutes, puis heures. Les contacts multiples permettaient à Aura d’en savoir plus sur les personnes présentes, notamment au sein de la Mairie. On sous-estimait souvent l’importance des informations dans un monde aussi politisé que celui d’Arcadia. L’italienne avait toujours pris le temps de fouiller, d’apprendre, de savoir. C’était sa lance de guerre, pour mieux savoir qui éliminer en cas de bataille. Si simple de trouver la tête pensante pour la détruire…

En revanche, elle ne perçut que peu les mouvements des autres mafieux. Oh, évidemment, le départ de Flores dans les étages ne lui avait pas échappé, tout comme celui de sa protégée. Juniper semblait comme possédée un instant, mais Aura s’en moquait. La gamine saurait se démerder, ou elle l’appellerait à l’aide. Ce serait juste un bon moment pour tester ses capacités en combat réel. Si combat il y avait.

Les petits fours et le champagne glissaient dans la gorge, les sourires de façade restaient sur les traits, tandis que l’esprit vagabondait par instants. Elle capta le retour progressive de ceux s’étant perdus dans les étages, et elle s’apprêta à les rejoindre, quand une explosion sourde la fit se stopper net. Aucune odeur de poudre, rien qui ne laissait transparaître une quelconque bombe. Pouvoir ? Les pupilles se posèrent sur les arrivants, et il ne fallut pas longtemps pour qu’Hécate murmure dans le creux de son oreille. Titans prisonniers, et son cher grand-père… Aura sur ses gardes, observant le corps ballant du Maire heurter le sol. Mort. Il était mort, avant même que quiconque puisse réagir. Mais où étaient les gardes, les vigiles en ces lieux ? Elle les avait vus en rentrant, pourquoi avaient-ils… Disparu ?

L’esprit s’embrouillait un instant, juste au moment où un pic glacial lui transperça le crâne. Ecoeurement, le corps lâcha, le souffle se fit court. Douleur intense traversant les organes, sans aucune exception, jusqu’à ce la lucidité lui revienne. Les iris grisâtres s’étaient parées de bleues, preuve de l’abandon de l’humanité. Conscience entièrement contrôlée par une Hécate des plus maléfiques, par l’influence d’un Khaos toujours souriant dans un coin. Les âmes se pliaient à sa volonté…

Un regard sur les environs lui permit de saisir la situation, tout comme l’aura assombrie d’Ah Puch. Bien. Sans aucun souci, le corps se mouva sous l’impulsion de sa nouvelle propriétaire. Après tout, depuis plusieurs mois, elle en avait pris l’habitude… Stade de conscience suffisamment élevée pour que le changement se fasse aussi facilement.

Les doigts glissèrent jusqu’à son oreille, décrochèrent la petite faux décorative offerte par Clemens, nom qui se perdait de plus en plus dans les affres de la mémoire humaine. Aura ne savait pas ce que l’objet, pourtant anodin, renfermait. Hécate l’avait senti, elle. Quelques secondes plus tard, et une faux similaire à celle visible sur les représentations de la Mort se tenait avec sa main. Presque aussi haute qu’elle, lame brillante… Pourtant, aucune trace de sang ne pouvait la tâcher. La divinité se rapprocha d’Ah Puch, et la voix étrangement calme s’éleva dans un murmure. « Bloquons les issues. » Avant de déchaîner les enfers.

Spoiler:

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A new dawn is rising

La démocratie est le pire système qui existe, à l'exclusion de tous les autres

Alors que je pensai réussir à finir la soirée et m'éclipser une bonne fois pour toute de ce bourbier, une explosion retentit. Je fus soufflé, me tenant par chance de l'autre côté de la pièce, mais tout de même projeté contre le mur. Ma tête percuta le béton et se mit à tourner dans tous les sens. Je ne compris pas tout ce qui fut dit ni fait par les nouveaux arrivants. La seule phrase que je compris totalement fut celle annonçant le début de l'ère du chaos. Et cela, je ne pus le supporter.

Une puissance m'envahit subitement. Elle se déversa tel un torrent retenu par un barrage qui venait d'être pulvérisé. Chacune de mes fibres ressentit cet afflux d'énergie, de fureur et de rage qui venait d'être libéré. Je me redressai, me tenant droit au milieu du désastre et regardant tout le monde s'agiter dedans. Un profond mépris m'envahit. Ils n'étaient que des vers, des misérables indignes de l'attention que nous pouvions leur porter. Nous les inspirions, nous les protégions, nous les aidions, mais ils ne faisaient que se plaindre, se complaire dans leurs méfaits, se pervertir dans leurs vices et y engouffrer tous ceux qui les entouraient. Et je voulais les aider ? Vermines ! Vous ne méritez que mourir ! Et les survivants devraient nous craindre pour les prochains siècles.

Des câbles électriques, des lampes qui pendaient, des fils et des prises éclatées, des arcs électriques jaillirent et vinrent rejoindre mes bras. Des vents violents se mirent à souffler dans la pièce. Des éclairs frappèrent le bâtiment, de plus en plus puissants, brisant murs et fenêtres sur leur passage. Mes bras, mes yeux et mes jambes devinrent bleus, absorbant l'énergie électrique qui emplissait l'air, captant les éclairs d'un simple mouvement. J'en attrapai un au vol, le tenant fermement dans ma main. J'étais son maître. J'étais son père. Et aujourd'hui, il allait accomplir ma volonté.

Bande de larves... Vous vous pavanez ici alors que vous ne faites qu'écraser vos semblables et piétiner les plus faibles. Vous ne méritez rien d'autre que la mort.

D'un geste rageur, je jetai l'éclair contre un mur. Celui-ci vola en éclat, et des arcs électriques frappèrent plusieurs personnes qui se trouvaient non loin, les envoyant au sol.

Jeg er mester over torden og lyn ! Jeg er denne verdens beskytter ! Jeg er Thor !

Traduction du danois:

Invité

Gabriela ne me répond pas, elle semble abasourdie par ce dont elle est témoin. Elle est proche d'Alejandro, je le sais bien. Le voir écrasé et dominé par son dieu doit la bouleverser. En une poignée de secondes, l'Inframonde a investi nos vies.

- De puta madre...

Il faut que je réunisse les troupes, que je sauve les meubles. Tout ça me fait terriblement suer. J'ai les os concassés comme du poivre dans un putain de moulin. J'aurais pu tout bazarder et de me tirer de ce trou en solo. Au lieu de cela, j'attrape la main d'une Gabi en état de choc et je nous faufile entre les convives affolés, en quête d'Aurelio.
Je ne tarde pas à le trouver.

- Aurelio ! que je lui balance en lui confiant la main de Gabi, toujours hébétée. J'ai un plan pour sortir de ce merdier, mais faut que tu me suives sans discuter. Je vais attraper le Commandante. Reste à portée : quand je serais à son contact. Il faudra que tu me touches, sans lâcher la main de Gab'. Je peux nous téléporter hors d'ici. Il faut qu'on soit tous reliés pour que ça marche ! Entendido ?

J'attends son hochement de tête de compréhension pour tourner les talons et me diriger vers Ah Puch. Une inspiration. J'aimerais foutrement être ailleurs. Tellement, foutrement. Il faut être taré pour retourner au front après une première déculotté de somation.

C’est une belle connerie.
Mais tu es un provocateur, un agitateur, un roublard...
Et un pauvre con.
Un sale con,
plus tenace que la plus mauvaise des herbes.
Parfois, la meilleure feinte nécessite une once de frontalité.
Le Roi du Metnal doit être renvoyé au Xibalba.
Dis ça à mes côtes....

Je crache un glaviot sanglant avant de me lancer à l'assaut. Galopant littéralement vers la Mort. Il a le dos tourné, trop appesanti sur la tâche ardue de faire bouillir les veines d'un pauvre mortel (Qui se vide par tous les pores. Détail. Victime lambda parmi les anonymes.) Je lui saute littéralement sur le râble et m'agrippe à son cou avec toute la force qu'il me reste.

- MAINTENANT !!!!

Hurlement à destination de mes compadres. Lorsque je perçois la poigne d'Aurelio qui tire sur ma veste, je mobilise toute ma pensée vers l'idée d'un "chez nous".

Si t'es pas en carton,
c'est le moment de me le prouver, Dieu des Voyageurs !
Je demeure ton allié,
mais souviens-toi également que je suis ton maître.
Mes nouilles sur ton nez, ouais !
Ramène nous au bercail !

La poussière des chemins s'élève et tourbillonne autour du groupe de calaveros. Et soudain, les vent se lèvent ne laissant que le vide derrière eux.

Sortie de l'Event de @Gabriela Jimenez, @Aurelio Nava et @Tadeo Hierra avec Ah Puch/Alejandro

Résumé & remerciements:

Invité

A new danw is rising

Ambiance étrangement étouffante, Sybille porte sa main à sa gorge comme gênée, comme un gaz qui rend possession de ses poumons et l'empêchent de respirer. Elle tousse, jette un dernier regard à Aura. l'explosion propulse le corps de Sybille en arrière, elle glisse sur le sol et se protège le visage et la nuque jusqu'à ce que le silence revienne.. La jeune femme se relève finalement difficilement, parcourue de tremblements et d'une sensation désagréable. Alors elle se retourne pour découvrir ce pan de mur abattu, les silhouettes qui se dessinent dans la poussière mettent la déesse de la vengeance sur ses gardes. Les regards tournés vers les onze, le meurtre sanglant arrive comme un coup de tonnerre et ce qui devait être un mémorial tourne au chaos. Sybille fronces les sourcils, regrette de ne pas avoir pris une arme avec elle.

Et ça lui prend soudainement à la tête, les synapses explosent, l'humaine s'efface quand les ailes se déploient finalement. Et la déesse de la vengeance au maximum de sa puissance souffre de sa transformation. Elle se plie en deux, genoux au sol, les os du dos craquent et les plumes extirpées du dos forment finalement de larges ailes blanches aux taches rougies de son propre sang humain. Némésis se redresse, comme si elle ne souffrait plus de la métamorphose. Khaos est de retour et la déesse ne peut le laisser de nouveau semer la discorde. Elle remarque d'autres dieux au maximum de leur éveil, l'humaine n'est plus, seule la déesse reste. Le temps d'évacuer les autres d'abord, les larges ailes frappent l'air avec violence pour la faire décoller et prendre du recul sur ce qu'il se passe, où se trouvent donc ces onze intrus? La scène vue d'en haut ressemble déjà à un vaste massacre. Hécate est là, elle ne fait rien, elle semble avoir la conscience possédée et Némésis n'est guère étonnée. Khaos s'est insufflé dans leurs esprits à leur insu et les lieux sont alors agités d'une guerre qui lui échappe déjà. Némésis reste concentrée, les portes se referment sur l'amas de foule qui tente de sortir. Les éclairs jaillissent, un dieu du tonnerre commence à faire de lourds dégâts et un bon nombre de victimes.

Ses pieds rejoignent le sol, perçoit la folie vengeresse d'un dieu qui n'aurait pas dû agir de cette manière, Thor dieu protecteur de la terre, s'en retourne contre elle dans une frénésie meurtrière. De l'ichor sacrifié, un morceau de verre qu'elle attrape ouvre la paume et le sang d'or répandu entre les débris ouvrent le passage des enfers. Trois âmes vengeresses à cet homme s'extirpent du sol, Némésis leur ordonne d'attaquer d'un geste de la main tandis que la blessure se referme. Telles les furies de Némésis, elles se déplacent rapidement jusqu'à agripper le corps du dieu du Tonnerre et ne le lâcheront que quand justice sera accomplie.

DESIGN ϟ VOCIVUS

Citation :: + Sybille est restée dans la salle principale, a écouté les discussions sans être tranquille et avec l'horrible pressentiment que quelque chose se prépare.
+ L'explosion la repousse, elle observe la scène impuissante
+ Sous l'emprise de son stade 7, ses ailes réapparaissent et l'humaine s'efface
+ Némésis a toute sa conscience et prend d'abord du recul pour analyser la scène
+Elle repère Hadrien et les dégâts qu'il cause décide de l'attaquer (ça a été vu avec le joueur HRP)
+Némésis utilise son dernier don, des âmes vengeresses propres à lui l'attaquent férocement

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