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Des talons dans la nuit. Corps vendu

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Des talons dans la nuit. Corps vendu - Dim 13 Oct - 21:36

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@" Lucjan Gédéon"
Claquement des talons sur le bitume. Hanches qui se balancent astucieusement sous le long manteau au fil des corps. Tête qui se tient bien droite. Peau offerte par moment aux regards. C'es ma Dame qui tient les rênes ce soir. Pas de honte non. Elle aime trop séduire, profiter des corps. Alors c'est venu comme une évidence des années de cela. Et si Elle pouvait profiter de ça pour avoir des sous pour survivre ? Alors elle l'a fait.. Aujourd'hui avec la protection de Jan la personnalité pourrait stopper tous ceci, mais c'est un peu sa drogue à Elle. Et puis ma Dame ne craint rien. L'Autre est là. Il joue le garde du corps si cela tourne mal.. Mais l'exercice est complexe aujourd'hui. Molly ne veut plus être tenu à l'écart de quoi que ce soit. Plus jamais. Alors la gamine est là, petite conscience, attentive, légèrement timide. Tous ceci n'est pas son monde.

La lumière des lampadaire créée son ombre. Celle des rares voitures qui passent la fait devenir grossière. Mais ma Dame ne se décourage pas. Elle sait que l'une d'elle va s'arrêter ou peut être même un des rares passants. Certains sont fiers, d'autres ont hontes. Mais ils ont tous faim. Un raclement de gorge, des pas qui s'approche. Un demi tour parfaitement calculé, le regard qui brûle se pose sur l'homme qui semble vouloir se fondre dans la pénombre environnante. Oui mon chou ? Des mots bredouillés. Cela agrandit le sourire qui colle sur les lèvres de ma Dame. Ce n'est plus Molly nan.. Pas ce soir.
Des mots sont échangés. Ma Dame tente de le rassuré pour que son futur client arrête de jeter des coups d’œil inquiet autour de lui. Alors que son bras allait passer autour de celui de son client un bruit de pas se fait entendre. Rapidement, l'homme se défait de son toucher, et s'éloigne. Un soupir agacé traverse les lèvres de ma Dame, ses yeux se tournent vers la silhouette qui s'avance vers eux. Faussement agacée, elle regarde l'homme de haut en bas, les bras posés sur ses hanches. Et bien merci. Vous lui avez fait peur.. Pas de tutoiement pour Elle. Non trop polie pour ceci. L'Autre lui ricane. Il faudra que tu trouves un autre pigeon.. Nouveau regard vers celui qui lui fait face. Il n'y a pas de soucis la dessus..chuchote t-elle. Molly elle se tait, pas bien à sa place. Et peut être curieuse de ce qu'il va se passer.


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Lucjan Gédéon
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Des talons dans la nuit. Corps vendu - Mar 29 Oct - 8:14


La tête légèrement penchée vers l’avant. Le dos si peu courbé. De loin, on pourrait s’y méprendre avec Atlas, le titan condamné à porter le poids du globe terrestre sur ses épaules. Fardeau en béton armé qui s’enfonce sur les os du géant de glace. Son pas ne se veut pas pour autant trainant, mais c’est tout comme. Il avance au ralenti. Comme englué dans des marécages. Comme attrapé par des phalanges invisibles tout droit sorties d’une flaque de sables mouvants. Pourtant il ne s’arrête pas. Il accepte la punition divine. Celle de rester en vie. Celles de continuer à avancer. Pas pour lui, non. Pour elle. Un jour. Toujours. C’est ce qu’ils se sont promis. Jadis. Il y a tellement d’années de cela. C’était peut-être bien dans une autre vie. Celle où elle souriait encore. Celle où il y avait encore de la place pour eux au pluriel.

Visite compliquée, comme toutes les précédentes. Comme toutes celles encore à venir. Amina voit, mais ne perçoit pas. Entend, mais n’écoute pas. Avale, mais ne mange pas. Amina respire, et il est bien là tout ce qu’elle fait. Fardeau au moins aussi lourd à porter que celui de ce mari toujours éperdument amoureux et qui s’efforce de garder espoir. Qui vient lui rendre visite jour après jour et ce sans relâche. Peu importe les circonstances atténuantes. Peu importe les dommages collatéraux.

Parfois il lui fait la lecture. À d’autres moments il se contente de lui tenir la main, regardant ensemble à travers une fenêtre sans âme qui n’a pas grand-chose à leur apporter. Au début il avait cru l’état de transe passager. Ils l’avaient tous cru. Espéré aussi. Mais le temps passe et n’efface pas. Le souvenir reste, comme éternellement brûlé dans une rétine qui a depuis longtemps oublié comment se refermer. Ses fonctions vitales sont stables. Son corps est en parfaite santé. Il lutte. Il se maintient en vie. À défaut d’un esprit qui se veut hanté, il est bien obligé de se battre pour deux. Lucjan a tenté de l’aider. De l’encourager. De la renforcer. Il n’a fait que s’y brûler les ailes. Il n’a pas pour autant abandonné. À de rares occasions il lui arrive encore d’apposer ses mains. D’absorber ce qu’elle daigne bien lui léguer.
Ce soir encore, il rentre bredouille. Vidé du peu d’énergie qu’il avait réussi à emmagasiner. À force de trainer dans l’hôpital, on a fini par le stigmatiser. S’il ne peut aider sa femme, au moins peut-il apporter soulagement à d’autres patients. Peut-il rendre le sourire à d’autres parents. Alors il prend, bien plus qu’il ne devrait. Tout comme il donne, bien plus qu’il n’a encore en stock. Il en ressort épuisé, éreinté. Ce n’est pas grave. Les choses n’arrivent pas par hasard, n’est-ce pas ? Si Amina n’est pas prête à se réveiller, peut-être est-ce tout simplement parce qu’on a encore besoin de lui ici ?

Des mots viennent interrompre ses pensées. Son pas prend halte tandis que son regard se pose sur la demoiselle qui lui fait face. Elle le dévisage. Le juge autant qu’elle le jauge. Posée ainsi sur des talons bien trop haut, enroulée dans une fourrure bien trop fausse. La position de ses mains sur des hanches dévoilées. La provocation facile. L’envie d’attirer l’attention qui flirte avec le besoin d’obtenir gain de cause. Lucjan connait. Lucjan reconnaît. Les femmes de petite vertu courent les rues et ruelles sombres par ici. Mais la clientèle se fait soit rare, soit assoiffée de plus. Alors les coups tombent. Alors les mots blessent. Que ce soit de par le haut de la pyramide économique ou par en bas, le résultat en reste sensiblement pareil. Ses talents de thaumaturge sont souvent mis à contribution de ce business. Par le passé il avait eu l’utopiste idée de pouvoir ainsi les dissuader de recommencer. Mais à force de voir et revoir les mêmes visages et les mêmes blessures défiler, les bulles ont fini par éclater. Il n’est pas triste pour elle, après tout c’est son choix. Elle semble se porter assez bien. Mais toute apparence se veut tôt ou tard trompeuse, et il n’est guère bon d’insister.

- « Combien avez-vous perdu? »

Il sait. Ce qu’elle fait. Ce qu’elle veut. Qu’il ne pourra rien lui apporter si ce n’est la finalité de son gain. Il n’a pas envie de discuter. Il n’a pas envie de se faire harceler. C’est ce qu’elle fera. C’est ce qu’elles font tous. Parfois par choix. Souvent par obligation. S’il peut en protéger ne serait-ce qu’une seule l’espace d’un instant …

Il sort un portefeuille de cuir amoché de la poche intérieur de sa veste. En l’ouvrant il tombe en premier sur la photo qui lui arrache systématiquement un sourire. Dayanara dans les bras de sa maman. Toutes deux éblouissant l’œil de la caméra de par l’éclat de leur joie. Ils l’avaient pris avec un vieil appareil aujourd’hui vintage. Il faisait beau ce jour-là.
C’était il y a bien longtemps de cela.

- « Vous n’avez qu’à prendre ce que j’ai. »

Et il lui tend quelques billets verts sans réelle valeur si ce n’est celle du marché. Cela ne suffira probablement pas, mais il est là tout ce qu’il a. L’argent n’a jamais été une de ses priorités, peu importe ce qu’en a décidé la société.



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Des talons dans la nuit. Corps vendu - Sam 9 Nov - 19:00

Des talons dans la nuit. Corps vendu
Il est calme. Et ma Dame ne s'y attendait absolument pas. A cette heure si, les éméchés et les violents courent dans la rue.. Eux l'aurait déjà insulté ou profiter de la situation.. Mais pas cet homme. Non lui semble juste désireux de réparer son « erreur », et sort déjà son porte monnaie. La tête bascule légèrement sur le côté, alors qu'Elle l'observe. Charmant, l'âge aide toujours à embellir les hommes. Mais elle devine une tristesse sourde dans son regard, alourdissant son corps. Vieille douleur qui n'a pas encore été pansé.. Ma Dame a maintenant l'habitude de lire certaines choses chez les gens. Après tous parfois les filles de joie recueillent bien des douloureux secrets, des larmes.. Gardienne des larmes et des regrets. Lentement, Elle s'approche. L'Autre lui est étrangement tranquille. Pour une fois Il ne hurle pas au danger, faisant confiance en l'analyse de son amie et la sienne..

Il ne semble pas attendre de savoir ce qu'Elle aurait pu toucher avec cette passe. Déjà il a sorti de jolis billets verts de son porte feuille. Avec assurance sa main se referme sur les papiers, les froissent un peu plus pour les faire rentrer dans la poche de son manteau. Vous êtes sure de ne pas vouloir en profiter.. Cela peut être tous ce que vous voulez.. Elle entraperçoit la photo, légèrement éclairé par les lampadaires.. Quelle dommage, il semblait intéressant mais peut être que.. Un peu de challenge ne l'a jamais effrayé.. Et puis il a l'air si triste..
Sa tête observe ce qui l'entoure, laisse un pli torde sa bouche puis se tourne vers l'homme.. Ce serait-il trop demander de faire un bout de chemin avec vous ? Je crois que je vais m'arrêter là pour ce soir.. On ne sait jamais sur quoi on peut tomber la nuit.. Derrière l'Autre aboie un rire, mais ne dis rien. Il est curieux de savoir ce que tous ceci va donner. Dans ses bras, la gamine dort toujours..


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Des talons dans la nuit. Corps vendu - Mar 10 Déc - 8:57


Elle ne rechigne pas face à cet élan de solidarité. Elle se saisit des billets verts à l’image de la langue furtive et collante d’un reptile. Elle enroule ses phalanges parfaitement entretenues autour de l’incarnation même du mercantile facile et se l’approprie sans autre préliminaires. Certaines auraient poliment refusé cet acte de charité déplacé. D’autres auraient insisté pour réclamer plus. que ce soit matériel ou moindre. Elles se seraient collées à lui. elles auraient eu des gestes désapprouvés envers sa personne. Elles n’auraient pas compris le sens réel de l’échange.
Ceci contrairement à la jeune femme qui lui fait face et semble s’amuser de la situation. Il l’intrigue. Il la nargue. Faux samaritain ou baratineur sacrément doué? Entre le cœur et la raison, le doute raisonnable s’invite dans la danse.

Lucjan la devine peser le pour et le contre. Comparer ce qui est à ce qui n’est pas, ce qui l’est peut-être et ce qui serait intéressant à débattre. Il se sent comme un objet de vitrine faisant l’objet d’une première évaluation. Il ne s’en vexe pas pour autant. Après tout, n’est-ce pas ainsi que la plupart de ces demoiselles sont perçues au quotidien ? Il accepte de porter son fardeau l’espace de quelques instants. Un de plus, un de moins ; il n’est plus à cela prêt. Ses épaules finiront bien par céder un jour. Peut-être bien ce soir. Ou peut-être pas. Seul le temps le dira. Cette variante invariable qui vague et divague au gré de ses seules envies. Seule constante qu’il est irrévocablement impossible d’influencer, quand bien même un don temporel venait à titiller les doigts de quelconque récurrence. Aurait-il recours à cette magie obscure si l’offre venait à se présenter à lui ? Là encore, il y avait sujet à moult débats.

Des mots viennent rompre le silence de sa proposition. Elle s’apprête à claquer des dents après la facilité, lorsqu’elle finit par ravaler d’autres inepties. Peut-être a-t-elle deviné que l’alliance à sa main gauche n’est pas là que pour faire jolie. Peut-être a-t-elle compris le sous-entendu de sa redevance. Ou peut-être nul de tout cela et rien qu’un fructueux fruit du hasard. Ou encore rien de tout cela et une fourbe partie de manipulation qui s’enchaîne. Gagner la confiance pour mieux pouvoir la corrompre. Pour savourer davantage sa mise à mort. Était-ce seulement important ? Et qui était-il pour juger de la véracité d’une première impression ? Peut-être bien que cette demoiselle était en quête de plus. Qu’elle avait déterminé qu’il ferait une parfaite distraction pour la soirée. Mais il persistait une possibilité non-négligeable d’une demande réelle et d’une pause bienvenue. Là encore, il n’avait ni l’envie ni le courage de s’adonner à la combativité. Il était fatigué. Il était las. La journée avait été difficile. La soirée pointait vers une sensation pénible et avait entrouvert une porte vers des idées noires. Avait-il vraiment envie d’emprunter ce chemin ? Allait-il finir par céder à la fatalité d’une telle facilité aberrante ? Sans aucune connotation péjorative bien sûr, vu qu’aucune décision n’était facile à prendre sur l’échelle du déclin.

- « Non. Bien sûr que non. »

Le premier mot était sorti un peu à l’arrache. Mais aussi indépendamment de sa volonté. Comme si sa bouche s’était exprimée dans l’empressement de dépasser son esprit mal en point.
Il lui offrit un ersatz de sourire ainsi que son avant-bras gauche.

- « Je vous accompagne volontiers. »

Sans ambiguïté. Sans ambivalence. À la vue de tous et ce sans cacher son visage derrière la honte et la culpabilité. Il ne passerait pas la route à scruter les moindres coins et recoins d’ombre. Ni à se préoccuper de quelconque mauvaise langue qui pourrait rapporter à la hiérarchie cette fâcheuse tendance qu’il avait de porter une confiance aveugle même au plus infâmes des malfrats. L’était-elle ? Sans le moindre doute.

- « Je vous proposerais bien un café, mais vous venez de me dépouiller. »

Rajoute-t-il d’un ton léger et quelque peu amusé. Il ne buvait pas de café. Jamais.

- « Où allez-vous ? »

Il aurait pu utiliser le nous, mais cela équivaudrait à entrouvrir une opportunité trop flagrante. Il ne comptait pas la ramener chez lui. Elle n’en avait clairement pas besoin. Il acceptait néanmoins de partager un moment de complicité avec cette étrange inconnue. Le hasard et le destin étaient parfois, souvent même, étroitement liés. Il se demandait vaguement lequel des deux avait pris le dessus cette nuit.



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Des talons dans la nuit. Corps vendu - Jeu 26 Déc - 19:37

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Cet homme va se briser. C'est inévitable. Une lueur de tristesse vient briller un instant dans ses yeux sombres, avant de disparaître rapidement. Ma Dame, plus que ses autres amis n'a jamais aimé la pitié. Elle ne fera pas l’offense de montrer ceci à l'homme. Non c'est plus de la compassion, de la compréhension. Ils en ont croisés des hommes, des femmes brisés. Par leur vie chaotique, par leur passé, leur famille.. Celui-ci semble faire parti  de cette dernière catégorie. Elle ne sait pas quand cela se passera mais espère qu'il aura quelqu'un pour le soutenir.. Pas un mauvais bougre cet homme là. Il ne mérite pas de s’effondrer seul. Un sourire taquin vient de nouveau étirer les lèvres de la demoiselle. Si elle peut le divertir un peu.. Autant tenter le coup.

Bien sur sans grande surprise la réponse à sa proposition est négative. Mais ma Dame ne s'en offusque pas. Elle aime les défis et compte bien ne pas baisser les bras. Et puis tous ne semble pas perdu quand il accepte de l'accompagner. Avec un grand sourire, son bras s'enroule autour du sien. La scène doit sembler bien décaler, Elle aux habits bien trop court et lui qui a tous de l'homme respectable.. Qu'importe, Elle n'a pas honte de ce qu'Elle doit faire pour garantir la survie à Molly.. Et puis si elle peut allier l'utile à l'agréable.. A quelques exceptions prêt.

Alors qu'ils se mettent en route, leur pas claquant dans la nuit, un léger rire vient lui secouer les épaules. Quelle attention de votre part. Je n'en demande pas t'en. Pour vous remercier de cette exquise ballade nocturne nous pouvons nous arrêter boire quelque chose. Je ne sais pas ce que vous aimez.. Molly a émergé, discrète ne se sentant pas encore assez à l'aise pour intervenir. Le nuit, ce genre de nuit, c'est les moments de ma Dame. Coutume adoptée depuis si longtemps.. C'est à partir de ce moment là qu'elle a découvert que bien des hommes pouvaient être des bêtes, ou n'avoir aucuns scrupules à user d'une gamine.. Elle ne sait pas quoi lui dire, que faire pour la destination finale. La rue est la maison, depuis trop longtemps. Le petit appartement que lui a trouvé Jan, la brune n'y est presque pas allé. Pas assez à l'aise, pas sa place selon elle. D'un côté ma Dame pourrait donné le change , et si il faut réellement y aller et bien ils repartiront après pour aller à leur planque du moment. Voilà tous. Ne t'inquiète pas chérie.. Je n'ai pas dis mon dernier mot. Il m'intrigue cette homme. Les rues deviennent plus éclairées, plus animées. Elle sent les regards sur eux mais n'en a que cure. Sa posture reste droite, son regard franc. Pas de honte. Si je puis me permettre quel est votre prénom ?


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