C'est qu'il mord l'animal! Je lui fait un sourire carnassier avant de tirer le corps contre moi violemment, faisant éclater les boutons de la chemise, tandis que le sari se voit réduis en textile inutile, suivi bientôt par le soutien gorge arraché à la poitrine. Envol de vêtements en perdition.

Je griffe le dos de la créature, et il me mord, comme un combat animal qui n'a d'origine que l'importance du désir, le trop plein d'envie.
Le manque furieux heurtent nos deux corps comme des aimants séparés depuis trop longtemps.

Au point de rupture, je grogne: "Tu as ce qu'il faut? sinon je t'empale sans sommation."

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En un temps torridement court, ma chemise se retrouve aussi arrachée que son sari et nos vêtements se retrouvent tous par terre, en prime, j'ai plusieurs marques brûlante d'amour dans le dos et elle se retrouve avec une jolie morsure sur l'épaule.

Une menace sort de ses lèvres, douce, enivrante. Je ne résiste pas.

Dans un élan, j'attrape la Déesse par la taille et la jette sur le lit.

"Avec toi, j'en aurai jamais assez, sois en sure."

Je reste debout, à la contempler nue. Je m'avance vers elle avant d'honorer mon adage.



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La bouche s'empare de mes lèvres basses, et un sourire se dessine sur mon visage. Je pousse un soupir de soulagement: Depuis le temps que j’attends ça!

J'enfile mes doigts contre les cheveux de Sheitan (quelque chose qu'on a en commun avec la petite, les cheveux...), et avance la hanche contre la langue brulante du satyre. Pas de doute, il sait ce qu'il fait!

Je grogne d'impatience et de désir, et finis par ordonner, les mains enroulées dans les cheveux:

"Si tu ne viens pas en moi dans les cinq secondes qui suivent, je t'arrache la tête!"

Exigeante? Un peu!


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"Quelle impatience..."

Sa menace est parfaitement sérieuse, appuyée par le fait que ma tête soit littéralement entre ses mains qui n'ont rien de délicat, fini de jouer. Ses yeux sont devenus noirs de danger pur, je n'ai aucun autre choix que d'obéir et je me surprend un peu à aimer cela.

Je m'allonge alors de tout mon long sur ce corps si désirable, attrape sur la table de nuit ce dont j'ai besoin avant de la mettre. Mon regard se perd dans deux yeux ardents à la lumière étrange, quelques secondes, avant de la posséder.


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La créature obéit, et sous l'étreinte finale je crie de plaisir. Vraiment oui, il me plaisait beaucoup, ce bel homme!

Mes mains une seconde avant si pressées se firent douces, et j'enlaçais les hanches actives pour m'allier avec leur rythme, cajolant de caresses les épaules, la nuque, puis les cheveux, embrassant et mordillant tour à tour la peau agréable de mon partenaire.

Les frissons délicieux crispent les muscles en plein effort, et j'enveloppe les lippes attirantes par les miennes.

Finalement, la prédatrice est en proie contre les assauts de désir, et, dans un tressaillement, se laisse emporter par le plaisir.


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Je pose le septième sachet éventré sur la table de chevet. Je suis en nage et mon cœur bat trop vite. Sans concession aucune, cette nuit me fait oublier absolument toutes les autres.

Après notre dernière étreinte, Durga s'est effondrée sous moi, à plat ventre contre le lit. L'image hautement érotique me fait sourire. En guise de pause, je me lève et ouvre la porte pour récupérer la bouteille de champagne qui nous attendait sagement, je ne veux pas que Preeti revienne tout de suite.

"Je pense qu'on se connaît assez maintenant. Du coup, qui es-tu au juste ?"


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Mon corps est comblé. Je reste un moment le ventre à plat, écoutant chaque sensation épidermique chanter les louanges de Sheitan.

L'homme ramène la bouteille et je me redresse instantanément: Rien ne vaux de l'or pour compléter la nuit de ma première sortie!

Des présentations? Après tout ça? J'éclate de rire, avant de glisser mes prunelles sur le corps nu de mon compagnon nocturne, avant de détailler:

"Je suis la déesse hindoue de la justice saine, de la paix et des Mères, protectrice des royaumes des dieux et destructrice de démons. Fait attention à toi! Et toi, qui es tu?"


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Encore sous les vagues orgasmiques, je m'installe sur le lit et je passe ma main dans le dos de Durga. Même corps parfait, esprit différent.

Elle se présente alors avec précision et cela me fait sourire autant que je ressens à nouveau un frisson d'excitation pur.

"Enchanté. Je ne suis qu'un Satyre pour ma part. Mon hôte m'a nommé Sheitan. Rien de bien important comparé à toi."

Je nous serre deux grands verre et en tend un à la perfection à mes côtés avant de trinquer avec elle. Le sourire au beau fixe, l'esprit en phase avec le corps.

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