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La tempestad y la calma (Clemens & Maria)

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La tempestad y la calma (Clemens & Maria) - Lun 8 Oct - 10:03



La tempestad y la calma

 
 Clemens ϟ Maria Magdalena .


Ménage fait, l'appartement brille comme le Pacifique en plein soleil. Le chat observe l'encens fumer avec curiosité, essaye de monter sur la table une fois, deux fois trois fois avant que ça ne décourage la jeune femme qui finit par éteindre le business. Cala était tout mignon tout craintif en arrivant, maintenant il se prend pour un tigre du Bengale. Elle le gronde mais il est en pleine crise d'adolescence le petit alors il n'écoute pas ce qu'elle dit.Contrairement à elle qui obéi au doigt à à l'oeil de Jan, dès qu'il lui demande quelque chose ; mais Jan n'est pas là pour lui dire quoi faire après le ménage alors elle veut en profiter pour sortir, aller soigner cette vilaine plaie sur sa joue qui brûle encore parce qu'elle ne s'en est pas occupée tout de suite. Maria se prépare, passe de conchita a bomba latina, elle a repris le sport, elle a un bon coach alors elle s'autorise les jolies robes. Un coup de brosse pour dompter la tignasse et la jeune femme quitte la maison après avoir menacé le chaton de pas avoir ses friandises préférés s'il a mis le bordel pendant son absence. C'est Clemens qu'elle va voir, parce que ça fait un moment et parce qu'elle a besoin de lui. Elle connaît le chemin qui mène à sa maison, à vrai dire c'est le seul qu'elle connaisse sans se perdre au moins une fois.

L'arrivée devant la porte d'entre se fait discrète, enfin arrivée, soulagée d'y être après une marche épuisante. Elle sent une amélioration depuis la veille, mais a l'impression d'avoir été trop vivement secouée. Maria ne se demande pas d'où cela vient, à vrai dire elle vient surtout pour guérir cette blessure à sa joue, une entaille nette, rougie, qu'elle pense être de la faute au chaton sans avoir de souvenirs de l'avoir à ce point énervé. Après avoir sonné, attendu, Clemens ouvre enfin la porte, elle lui adresse un large sourire, toujours contente de le voir même si c'est un garçon étrange. Il reste son sauveur, son ange gardien. « Holà mi cielo » qu'elle fait, puis ne se gêne pas pour aller le prendre dans ses bras. Marques d'affections, normales chez Maria qui n'a jamais réellement pu exprimer son attachement à ses proches jusqu'à être arrivée à Arcadia ; Les bras entourant sa nuque, elle colle un baiser sur sa joue et le relâche juste après même si elle voudrait simplement se laisser aller jusqu'à ce qu'il ait soigné cette vilaine marque cachée par un gros pansement. Parce que c'est son sauveur, elle l'aime du fond du cœur sans savoir ce que lui pense réellement d'elle ; elle est collante et chiante certes, mais elle reste respectueuse.

«  Besoin de ton aide » elle dit en anglais, toujours à pratiquer un peu plus cette langue qu'elle n'a jamais voulu apprendre parce que c'est ceux qui parlent cette langue qui avaient aucune pitié pour la mule qu'elle était. Elle pointe du doigt le pansement sur sa joue et ne cherche pas plus loin, s'invite chez lui, comme elle a souvent eu l'habitude de le faire sans même savoir s'il est occupée, ou si éventuellement il préfère la recevoir plus tard. Elle lui remet alors entre les mains une boite de cookies encore tout chauds qu'elle a fait elle-même (et dont la moitié est resté à la maison en attendant sagement le retour de Jan). « Non tout manger ahora, hay mucha azucar. » c'est très sucré, elle le prévient, non pas qu'il ait besoin de faire attention mais trop de sucre c'est aps bon pour la santé a dit son coach sportif. Elle parle dans uUn mélange des deux langues, c'est sa manière de communiquer maintenant, dès qu'elle a un doute elle passe en espagnol. Mais Clemens est le gringo le plus cool de la planète alors il la comprend.




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Clemens Jones
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PORTRAIT : La tempestad y la calma (Clemens & Maria) Cc31d3d79d157666ee2d064c7650fbf6
ANNEES : 31 ans, mais un vrai visage de gamin.
CŒUR : en couple, mortel éprit de la divinité à laquelle il s'est lié.
RÉINCARNATION : simple mortel doté d'un pouvoir de guérison.
TALENT(S) : prophète aux mains salvatrices, adoucissant les maux et collectionnant les blessures. Son sang précieux, drogue certain, guérit les blessures et tue les dieux.
FACTION : sans faction, ancien calavaurien
OCCUPATION : depuis qu'il a quitté la calavera on le retrouve sur twitch pour occuper ses journées. Il espère pouvoir se faire engager par le journal de la ville comme photographe, mais pour ça il faudrait qu'il sorte un peu plus de chez lui.
GENÈSE : conscient depuis l'enfance d'être doté de pouvoirs surnaturels, il connait l'existence des dieux depuis son arrivée à Arcadia.
TALON(S) D'ACHILLE : la solitude, le rejet. Aura.
JUKEBOX : way out there - lord huron // the dark side - muse
RUNNING GUN BLUES : La tempestad y la calma (Clemens & Maria) 1cGY3IWT_o
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La tempestad y la calma (Clemens & Maria) - Dim 14 Oct - 17:08

guiding light.

Pure hearts stumble in my hands, they crumble Fragile and stripped to the core I can't hurt you anymore Touch like strangers detached I can't feel you anymore The sunshine trapped in our hearts It could rise again But I'm lost, crushed, cold and confused With no guiding light left inside





C’est le soleil qui finit par avoir raison de son sommeil, les rayons solaires passant enfin devant sa fenêtre suffisant pour réveiller l’oiseau de nuit.  Il était midi passé depuis longtemps déjà, mais cela n’avait peut l’air ni de l’inquiéter, ni de le surprendre. A dire vrai le voir debout avant cette heure fatidique était extraordinaire, le trentenaire passait le plus clair de ses nuits dans les rues d’Arcadia plutôt que dans l’appartement délabré lui servant servant de dortoir. Ce ne sont pas les voisins qui s’en plaindront, un locataire aussi discret ne posait pas de problèmes aux trois autres familles partageant l’ancienne maison réaménagée en différents studios tous plus petits les un que les autres. On pouvait tout entendre, tout savoir des voisins rien qu’en tendant l’oreilles à travers ces murs de papiers. Il ne dérangeait personne le bougre, faisait du bruit uniquement lorsque sa porte avait le malheur de rester coincée et ne recevait jamais personne chez lui. De quoi presque agacé la voisine du dessus, reine des ragots, qui n’avait rien à cancaner sur le dos du gringo vivant au dessous de chez elle. Enfin éveillé les bruits ambiants parviennent enfin à ses oreilles. Les voitures qui dévalent la rue comme un fond sonore et les voisins du dessus, gamins hurlants et grand-mère réprimandant comme à son habitude les garnements devant se mettre à table. Ça sent les tamales, chose suffisante pour éveiller son estomac qui gronde.

Appelé par un estomac en furie il se lève enfin de son lit pour rejoindre le coin cuisine où l’attendent ses céréales. Pas de lait en vue dans le frigo, parce qu’il oublie toujours d’en acheter les courses n’étant pas sa spécialité tout comme la cuisine. Faut dire que Clemens, il n’est absolument pas à l’aise dans la supérette du coin comme dans l’hypermarché du quartier, se retrouver au milieu des gens gens banaux était tout sauf agréable pour lui. C’est avec parcimonie qu’il picore ses cap’n crunch quasiment un à un. Plus vite ils seraient terminés et plus vite il devrait y retourner, et rien que cette perspective suffisait à calmer son entrain. Bientot, sa routine fu complètement en place. Douche prise, il s’affale sur le canapé et ouvre son ordinateur où il lance immédiatement Netflix et reprend là où il s’était arrêté dans sa série. Ce n’est que trois épisodes plus tard qu’il se fait interrompre dans son binge watching par la sonnette. Qui cela pouvait être. Il n’avait ni commandé de nourriture, n’attendait aucun colis amazon… Tenté de regarder par la fenêtre il se ravise, s’épargnant le ridicule de la situation. Après tout une très, très petite poignée de personne seraient capable de sonner à sa porte. Deux, à vrai dire. L’un qui ne venait plus depuis des semaines déjà et l’autre… L’autre qui semblait toujours retrouver son chemin malheureusement dans ce dédale de rue.

S’armant de courage, Clemens fini par se lever et s’approcher de la porte. Dans le judas, c’est la silhouette féminine de Maria qui se dessine… Et merde. Le blond souffle, finissant pas céder. Elle devait bien savoir que si il n’était pas avec la Çalavera il se trouvait ici. Avec la djinn, faire le mort n’allait servir à rien il avait déjà essayé et elle était revenue quelques heures plus tard, cherchant toujours à contacter son “sauver” comme elle disait. Il leur épargné ce cirque en ouvrant la porte, tombant nez à nez avec la salvadorienne et le surnom absolument stupide qu’elle lui donnait et qu’il détestait. Mon ciel, depuis quand cela pouvait se rapporter à lui ? Depuis quand lui donner un surnom autre que El rubio était acceptable ? Il n’a rien d’un ciel, rien d’un sauveur et le fait qu’elle n’abandonne, ni l’un ni l’autre, suffisait à l’agacer. « Holà Maria. » Qu’il soupire, pas très à l’aise à l’idée qu’elle soit, encore, chez lui. Il remarque le pansement sur sa joue brièvement, avant qu’elle ne se permette encore pire qu’un surnom, en venant l’enlacer. Ça aussi il n’arrivait pas à s’y faire, le contact humain le dégoutant dès qu’il n’en était pas à l’origine. Se laisser faire demandait un gros effort au thaumaturge, priant pour qu’elle le relache le plus vite possible. Ce qu’elle fait, non sans poser sa main dans sa nuque et poser une bise sur sa joue, ce qui le fait frémir de peur, de rage, de ce que vous voulez. La marque de tendresse complètement oublié par le blond qui n’y voit qu’une violation de son territoire. Il a déjà essayé de lui faire comprendre qu’il n’aime pas ça mais à chaque fois il se heurte à son incompréhension. Parce qu’elle veut bien faire Maria, elle veut toujours bien faire… Et lui ne la comprend pas non plus, pourquoi elle essayait de bien faire les choses, avec lui. Peut-être qu’il lui  a sauvé la vie. Que la cicatrice qu’ils partageaient prouvait cela, mais elle ne lui devait rien du tout. C’était juste son rôle, juste son travail… Maria n’avait en aucun cas besoin de lui rendre la pareille. C’est là qu’elle désigne, avec son anglais encore bancal et chantant de son accent, le pansement sur sa joue.

Lorsqu’elle s’éloigne enfin, la parole revient au gringo qui ferme la porte derrière elle. « Tu t’es fais ça comment ? » Autant dire qu’il ne pariait peu sur une bagarre de rue ou une mission qui a mal tourné, on parlait de Maria après tout. Le plus dangereux qu’elle fasse dans la journée c’est surement préparer un repas avec un couteau trop aiguisé. Il était donc curieux d’entendre son explication. Comment une personne au quotidien ordinaire arrivait à se blessure la joue… Le chat, peut-être ? Ses hypothèses prennent fin lorsqu’il se retrouve avec, entre les pattes une boîte au contenu réchauffant ses phalanges. Elle a cuisiné quelque chose pour lui ? Quelque chose de sucré même, puisqu’elle l’explique dans un mélange d’anglais et d’espagnol qu’il doit l'avouer, est quand-même adorable. Elle faisait des efforts pour apprendre la langue la plus commune ici et il ne pouvait que se montrer admiratif de sa progression en si peu de temps.

Lorsqu’il ouvre la boîte, c’est l'arôme des cookies qui se dérobe, les gâteaux encore chauds au chocolat partiellement fondu qu’il observe, un peu perdu. Pourquoi elle faisait ça, à la fin ? Pourquoi être gentille, pourquoi lui.. faire des gâteaux ? A sa gentillesse il ne sait jamais trop quoi répondre. Ils ne se devaient rien, bordel. « Merci beaucoup. On dit “ Ne mange pas tout maintenant, il y a beaucoup de sucre.” » Il explique la traduction en anglais, détachant les syllabes pour l’aider à mieux comprendre les nouveaux mots, les nouvelles tournures de phrases qu’elle devra adopter si elle veut tant se mêler à la foule ici.  Il prend un des cookies dans lequel il croque une bonne bouchée avant de le reposer, lui et le restant de la boite sur le comptoir de la cuisine. « Ils sont très bon. Gracias. » Le chocolat, le sucre, il lui fallait très peu pour être aux anges et surtout, pour apaiser la bête. Un peu de nourriture et Clemens était toujours beaucoup plus calme, l’appel de l’estomac étant souvent son point faible. Un peu plus détendu, il lui demande. « Tu me montres ta joue ? Tu mejilla ? » Lui aussi parlait dans ce mélange pour l’aider à apprendre tout en essayant de se faire comprendre en anglais. Il désigne sa propre joue, préférant la laisser se dépatouiller avec son pansement plutôt que de lui retirer. En aucun cas il avait l’intention de lui faire mal, même comme ça.  Qui pourrait la blesser de toute façon, elle respirait la bonté, la charité. Personne n’était assez cruel pour faire une chose pareille, si ?


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La tempestad y la calma (Clemens & Maria) - Mar 16 Oct - 10:19



La tempestad y la calma

 
 Clemens ϟ Maria Magdalena .


Rejet du contact physique, elle le sait Maria qu'il n'est pas très tactile, mais il n'imagine pas à quel point elle ne sait pas comment faire pour lui montrer sa dévotion autre que par des gestes affectueux. Il s'y fera qu'elle se dit, parce qu'elle ressentira une grande frustration si elle ne peut pas s'exprimer librement. L'étreinte est courte, le baiser déposé est chaste, elle y met des limites. Il lui demande pour sa blessure, elle se pince les lèvres et hausse les épaules, est ce vraiment important ? Non pas vraiment, elle est encore debout, elle ne se vide pas de son sang, cet épisode sera vite passé. Elle le suit alors qu'il découvre les cookies vient sucrer l'amertume à coup de gâteaux fait maison – c'est toujours la meilleure solution. Il a l'air content au moins pour cela, ce qui étire un large sourire sur son visage, illumine un peu sa mine fatiguée. Elle reste sage, elle a eu son quota nounours, et garde ses distances maintenant. IL la corrige, en anglais, elle retient, c'est de cette manière qu'elle apprend, à force de conseils et de corrections. ; Elle bouge les lèvres après lui, révise, imprime, son cerveau a beaucoup de capacités, ce qui fait qu'elle n'aura pas de mal à ne plus refaire l'erreur.

Un avantage peut être, elle ignore si cela vient du fait qu'elle soit Djinn ou si c'est tout simplement elle, en ayant tendance à s'oublier derrière ses doigts magiques. Quelques mots de vocabulaire en plus dans son dictionnaire, elle progresse vite et cela la rassure parce qu'elle est quand même capable de communiquer malgré ses fautes. Elle y met beaucoup de volonté, parle Anglais à chaque fois qu'elle le peut, à chaque fois qu'elle se sent à l'aise. Et les autres qui n'ont pas l'espagnol dans la bouche depuis leur naissance semblent apprécier cet effort. La Salvadorena n'avait aucun intérêt à parler anglais chez elle, et jamais elle n'avait envisagé de se retrouver aussi loin de chez elle soudainement. La vie change, elle doit s'adapter à cela, elle l'a déjà fait. Il aime bien ses cookies, ce qui rassure la petite pâtissière en elle qui a mis tout son cœur pour faire plaisir à ses deux héros qui lui ont épargné la vie ce jour là alors qu'ils ne la connaissaient pas. La jeune femme en attrape un, dans l'envie d'en manger un à son tour parce qu'elle ne les a pas encore goûtés. Elle pose son derrière dans le divan et Clemens lui demande de montrer sa joue, en lui donnant la traduction. « Ma joue » qu'elle répète en désignant aussi la peau accidenté, nouveau mot dans son dictionnaire. Lui montrer, oui parce qu'elle est aussi venue pour ça. Elle sourit, laisse le gâteau sur ses genoux et retire le pansement en tirant doucement dessus. Elle grimace, c'est presque aussi douloureux que l'épilation à la cire chez l'esthéticienne. Coupure à vif, qui a du mal à cicatriser, elle soupire doucement et le laisse user de ses mains magiques pour la soigner.

« comment ça va? » Volonté de changer de sujet, du moins de ne pas parler de cette coupure, après elle aura disparu, ce sera de l'histoire ancienne. En attendant elle n'a pas envie de dire que c'est Jan qui lui a fait ça, même si elle le méritait parce qu'elle n'a pas été assez attentive, parce qu'elle n'a pas satisfait les attentes de son maître. Il lui a donné une leçon, elle l'a compris, elle n'a pas refait l'erreur. Maria fouille dans son téléphone pour lui montrer des photos du chaton qu'elle a ramené à Jan, Cala, il le connaît déjà, mais elle le prend toujours en photo et en vidéo quand il fait des choses étranges et marrantes. « Mira » La video du chat en train de bouffer ses lacets, on peut en trouver partout sur youtube, mais là il s'agit de Cala. Elle étouffe un rire, elle a beau l'avoir vu cinquante fois cela la fait toujours autant rire.




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La tempestad y la calma (Clemens & Maria) - Sam 20 Oct - 6:19

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Les cookies posés sur le comptoir elle se sert aussi avant d’atteindre son canapé où elle s'assoit, cherchant à répéter son mot, avant de s’atteler à la tâche: montrer sa blessure. Clemens la regarde décoller le pansement de sa joue en se retenant de grimacer lui aussi. Ce n’était pas agréable du tout comme sensation, particulièrement quand la blessure en dessous, encore fraîche comme celle-ci, ne se soignait pas bien. Elle n’avait pas répondu à sa question d’ailleurs. Un silence qui taraude l’esprit du thaumaturge, qui fini par s’asseoir à côté d’elle. Ca aussi il déteste, mais se retient un commentaire, ou de soupirer. C’était l’utilisation première d’un canapé, s’asseoir dessus, avec d’autres gens pour parler ou se coller devant la télé…. Pas s’affaler dessus, allongé comme un phoque dessus. Le prophète se concentre plutôt sur la joue abîmée par quelque chose d'extrêmement coupant, vu la longueur de la marque qu’il observe, penchant légèrement sa tête sur le côté pour l’observer. Peut-être que c’était de la curiosité pure, plutôt qu’une examination médicale. En soit il savait très bien qu’il allait la guérir… Le gallois cherchait tout simplement ce qui aurait pu causer ça.  « C’est pas très joli. » qu’il murmure, histoire d’occuper le silence qui s’était installé durant son observation. Son autre main rejoint sa joue, essayant de la poser sans lui faire de mal, il laisse ses pouvoirs faire le reste, réparer à coup de picotement léger ce qui a été abîmé. Quand il eut fini il décolle simplement ses mains, observe son travail pour être certain que tout avait disparu.

A sa question il hausse les épaules, ne sachant trop quoi dire. Bien, mal, quelle importance de toute manière le monde ne changerait pas pour autant. Dans les limbes, au milieu des deux états il ne sait pas trop où il se trouve. Dans un néant, ni bon ni mauvais, mais il finit par donner la réponse habituelle. Celle que quasiment toute la planète utilise, qu’ils soient au bord du gouffre comme de l’autre côté du spectrome. « Ca va bien, et toi ? Tu as l’air d’avoir une vie..mouvementée en ce moment, pour t’être fait ça. » Il pouvait parler, lui, avec ses nouvelles blessures...Mais il n’était pas ménagère, c’était normal qu’il ait les mains tuméfiées et des écorchures un peu partout. Pour elle, ça ne l’était pas et il ne l’a pas sauvé pour qu’elle se fasse du mal pour rien maintenant. Si Maria fouille dans son téléphone, elle l’invite à regarder ce qu’il s’y passait. En se penchant un peu plus près, il peut observer l’écran du téléphone où se dandine Cala, le chat récupéré par la Djinn et le capitano. Clemens en avait déjà fait la connaissance, quelques temps plus tôt mais ne cherchait pas trop à s’approcher de l’animal, malgré sa grande curiosité les quelques fois où il a croisé le chaton. S’il se plaisait à apporter de l’attention à la boule de poil  blanche en lui grattant la tête, il ne s’attardait guère plus, par peur de s’attacher à l’animal qui n’était pas le sien. Il a toujours rêvé d’avoir un animal mais n’en a jamais eu l’occasion durant l’enfance. Maintenant qu’il était adulte, c’était plus la peur de perdre ce à quoi il tient qui le retenait de faire quoi que ce soit. D’adopter un animal, comme d’adopter les autres. Pourtant lorsqu’il décroche ses yeux du téléphone pour l’observer, elle rit de bon cœur, aux éclats face à ce chat qui n’en faisait qu’à sa tête avec les lacets de chaussures et il n’arrive plus à lui en vouloir pour le reste. C’était peut-être ça qui était rafraîchissant, avec elle. Sa nature si légère, peu incommodé par ce monde sinistre dans lequel elle se retrouvait et son bon fond en faisait quelqu’un de presque agréable à supporter et impossible à détester. Il s’en veut un peu de la fixer, mais elle ne doit pas remarquer grand chose trop occupée à observer Cala sur l’écran de son téléphone, ce qu’il finit par faire de nouveau lui aussi. « Il est mignon quand-même. » qu’il finit par avouer pour lui faire plaisir. De ne pas toujours être dans le négatif avec elle, histoire que cette lueur de bonne humeur qu’elle dépose partout où elle se tend ne s’éteigne pas. Ce serait triste. Le monde serait plus triste, sans ça. « Il grandit vite en tout cas, j’ai l’impression. Non ? » De petit chaton il avait déjà bien poussé, pour une si petite chose. Là où il n’avançait pas toujours droit lorsqu’il était vraiment bébé, maintenant c’était une fusée cherchant à faire idioties sur idioties visiblement sans manquer de la faire rire, sans manquer d’attendrir les autres non plus. Il lui fallait peut-être un chat à lui aussi.


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La tempestad y la calma (Clemens & Maria) - Dim 4 Nov - 18:41



La tempestad y la calma

 
 Clemens ϟ Maria Magdalena .


Sujet non abordé, comme elle l'a voulu, parce que de toute façon tout était de sa faute. Maria est un mauvais Djinn, elle a conscience de l'avoir déçu, en paye les conséquences. Pas de tristesse à avoir, cela a toujours été ainsi, et Maria s'en contente du moment qu'elle bénéficie d'une protection. C'est le cas, elle a sa chambre, un toit, de la nourriture et puis elle a Clemens qui du bout de ses doigts lui permet d'effacer la bavure. Chaleur qui se diffuse sous l'épiderme, restructure les fibres de la peau, na laisse pas la moindre trace sur son visage. Et lorsqu'il l'a fini sa main se porte à sa joue, savourer cette peau lisse sans plus la moindre aspérité, sans plus de rougeurs. Clemens est magique, lui aussi, ils ont cela en commun tous les deux, magiques sans pour autant être des dieux. Et puis Cala devient le sujet numéro un de la conversation après la petite vidéo qui est une parmi mille autre qui saturent l'espace de son téléphone. Il est le prétexte pour égayer un peu plus leurs retrouvailles, parce que Clemens ne doit pas être le buvard de ses tourments, il ne doit pas être la personne qu'elle vient voir uniquement pour se faire soigner, elle le respecte beaucoup trop pour cela. Des remarques de Clemens d'un hochement de la tête positif, oui il grandit ce petit, et il émane tellement de douceur qu'à lui tout seul il corrompt les cœurs les plus durs d'Arcadia. ; Vile créature. « C'est un fripon ce chat! » Elle ajoute quand la vidéo est terminée. Maria range son téléphone dans la poche de son jean, écran trop gros pour sa petite poche, il dépasse et puis  repose son attention sur Clemens. Il est très peu expressif Clemens, contrairement à elle qui donne l'impression d'étaler son énergie sur les murs comme de la pâte à tartiner. Et puis son regard se pose sur quelques éléments de son salon, bien entendu elle est déjà venue ici, le silence revient, et son sourire reste collé à sa figure. Parce que Maria n'a pas le droit d'être triste, ni de montrer ses émotions, elle prend sur elle et même si le geste de Jan lui a serré le cœur elle essaye de ne pas y penser. ; Elle n'a pas envie de rentrer tut de suite mais n'ose pas le dire de manière explicite ni demander à Clemens si elle peut rester un peu chez lui, le temps de réfléchir. Il pourrait peut être lui changer les idées ?

« J'aimerais sortir, tu aurais pas un endroit chouette à me montrer? » l'espagnol utilisé, parce que la phrase est trop longue et qu'elle craint de trop faire de fautes en lui demandait quelque chose qui lui serait fort utile au vu de la situation. Clemens pourrait l'emmener oui, la faire sortir, comme le font les jeunes. «  Une fête ? On pourrait peut être aller danser, s'amuser? » se laisser porter par la folie collective, regroupement de masse qui vise à laisser à la porte ce que l'on est pour n'exister que par les mouvements, l'âme annihilée par l'alcool et l'euphorie. Elle ne connaît pas ce genre d'endroits à Arcadia, qui de mieux qu'un résident pour trouver là où il faut aller ? Quelqu'un en qui elle a confiance pour éviter que les gringos s'en prennent à une bomba latina comme elle quand elle s'enflamme sur le dancefloor. Ce serait l'occasion, que Clemens se déride, lui qui n'a pas toujours l'air ravi de la voir, après la bacchata de sa vie il deviendra son meilleur ami, elle s'en fait la promesse. «  Tu sais danser hein Cielo ? Sinon je peux t'apprendre, je suis très bon professeur! » Il leur suffira simplement de rester dans le quartier de Delray pour éviter les ennuis, très peu pour elle avec tout ce qu'il se passe ces temps-ci, elle ne veut surtout pas risquer de voir une seule goutte de sang. C'est que ces histoires de mafia elle en a sa claque depuis qu'ils lui ont ouvert le ventre, l'inconscience de Maria est né de cet événement ; besoin de respirer, besoin de vivre comme des personnes tout à fait normales. Pas de dieux, pas de prophètes, pas de Djinn.




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JUKEBOX : way out there - lord huron // the dark side - muse
RUNNING GUN BLUES : La tempestad y la calma (Clemens & Maria) 1cGY3IWT_o
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SEEK AND DESTROY
maldwyn jones I
ψ
ONE EYED HOUND
gamze hale
ψ
THE DARK SIDE
maldwyn jones II
ψ
WICKED ONES
aura sciarra I
ψ
GUIDING LIGHT
maria magdalena asturies
ψ
AFTER ALL
aura sciarra II
ψ
THE DAWN WILL COME
maldwyn jones III
ψ
FAMILIA
alejandro flores
ψ
OUT OF MY MIND
aura sciarra III
ψ
THE MEPHISTOPHELES OF LOS ANGELES
aura sciarra IV
ψ
CHERRY BLOSSOM
aura sciarra V (ft. gus)
ψ
champion
maldwyn jones IV


(+ en apesanteur)
( + salvame)



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La tempestad y la calma (Clemens & Maria) - Mar 27 Nov - 15:42

guiding light.

Pure hearts stumble in my hands, they crumble Fragile and stripped to the core I can't hurt you anymore Touch like strangers detached I can't feel you anymore The sunshine trapped in our hearts It could rise again But I'm lost, crushed, cold and confused With no guiding light left inside




Elle n’avait pas l’air de vouloir lui expliquer ce qu’il s’est passé pour qu’elle se retrouve avec cette balafre sur la joue. En conclusion, ce n’était pas un vulgaire accident qui en était la cause puisqu’elle fuyait toute tentative de discussion à ce sujet. Clemens rumine, préfère jouer le jeu et suivre le fils de la conversation pour le moment plutôt que d’insister. Elle lui dira en temps voulut, si c’était important. Sinon.. C’est qu’elle juge que ce ne sont pas ses oignons, et c’est peut-être le cas.. Mais la curiosité le ronge, l’envie de savoir primant souvent sur la raison du curieux prophète. Il ravale ses questions, les yeux se tournant vers l’écran de téléphone et la vidéo de Cala, nouvelle mascotte de la mafia mexicaine. Si les autres mafias finissent par savoir ça bonjour la crédibilité des mexicos...Mais tant pis, franchement. Ils se ratrappaient sur leur cruauté.. Et leurs meurtres de masse. Une chose est certaine c’est qu’au moins, le chaton réveille les coeurs.. Et les choses sont un peu plus douces, depuis qu’il est entré dans la vie des mafieux. Un fripon comme elle le disait, ça c’était clair, vu la vidéo. « On dirait oui, tu ne dois pas trop t’ennuyer avec une boule de poils qui court partout. » Ca devait être le bazar complet chez Alejandro, si le chat qu’ils avaient en commun, la Djinn et lui, passait son temps à faire n’importe quoi dans la résidence du duo. Une chose est certaine au moins, ils ne manquaient pas de choses à faire. Surveiller l’animal devait déjà être une bonne occupation pour eux.  « J’aimerais bien avoir un chat aussi, un jour. » Il avoue enfin son désir de lui aussi avoir un animal de compagnie, chose qu’il ne partage jamais avec les autres. Pour quoi faire de toute façon, ce n’est pas comme si cela intéresse qui que ce soit. Pourtant dans la conversation, cela paraissait naturel, ou en tout cas humain à avouer. ça n’allait pas le tuer de révéler une information personnelle comme celle de bien aimer les chats, quand-même, surtout pas à Maria. S’il y a bien une personne en plus à qui il pouvait faire confiance, que ce soit pour des broutilles ou des choses plus importantes, elle devait en faire partie… Après tout elle lui devait la vie.

La conversation change tout d’un coup de sujet lorsqu’elle range son téléphone, exprimant son désir..de sortir. Sortir pour quoi faire, c’est la première question qui taraude l’esprit du blond, qui fixe la djinn, incertain de comprendre où elle voulait en venir avec son idée de sortir « Euh… peut-être ? » L’espagnol suit naturellement le sien, l’accent américain s’accrochant peut-être un peu sur ses mots quand il ne faisait pas attention, mais il ne réalise pas trop presque inquiet de ce qu’elle mijotait. Danser, s’amuser.. Le genre de programme journalier pour Clemens, s’était bien connu n’est-ce pas ? Soudainement, il se sentait stupide. Si le prophète arrivait à maintenir un semblant de vie sociale, à regarder les même séries que le commun des mortels de son âge ou en allant en soirée pour observer les autres… Il ne participe jamais. Gêné, il observe ses mains un instant avant d’avouer. « J’ai jamais dansé de ma vie, en fait. » Quelque chose d’anodin pour elle était complètement inconnu pour lui. Danser, chanter. Ce sont des choses qu’il ne fait jamais, se permettant de fredonner dans le cocon de son appartement de temps à autre, mais c'est tout. Pas envie de déranger ou plutôt, peur d’être vu ou entendu, c’est quelque chose qui n’a jamais été nécessaire à sa vie et dont il a toujours fait abstraction, en tout cas depuis qu’il a dépassé le stade de l’enfance. Il se souvient, plus jeune, il aurait bien aimé apprendre à jouer de la musique mais dans son cas, comme celui des autres gamins placés en foyer, ce n’était pas une option. En grandissant il a perdu cette envie, “trop tard” pour apprendre maintenant, encore moins à son âge puisque les trente-trois ans frapperont bientôt à sa porte. Pourtant, il décide de faire un effort. Pas pour s’améliorer en temps qu’humain, pas par envie de danser, mais juste pour ne pas la vexer une nouvelle fois en si peu de temps. A force, sa mauvaise humeur allait déteindre sur la djinn et éteindre cette flamme de bonté et de lumière qu’elle véhiculait par sa simple présence. Le genre de truc qui fini par l’avoir à l'usure, tout simplement parce qu’il avait du mal à la blesser. Blasé par ses propres choix il soupire, finissant par s’avouer vaincu. « … Mais je veux bien essayer, même si je risque de ne pas être très doué. Voir ridicule. »  Non à la réflexion, il était certain qu’il allait paraître ridicule, aucun doute là-dessus. « Après tout je suis un blanc-bec, on est réputé pour être des planches à pain et ne pas savoir danser du tout, sois indulgente avec moi. »  Un cliché vérifié, en tout cas de ce qu’il a pu observer en temps que simple spectateur. Pas de doute pour lui qu’il est dans la catégorie des fils de fer qui ne savent absolument pas ce qu’ils font, mais tant pis. Ce n’est pas comme s’il prévoyait de réitérer l’opération un jour dans sa vie. C’était histoire de se ratrapper, une fois… Il retrouverait netflix plus tard, dans la soirée. Sur ce il se lève,  s’armant de courage en énonçant leurs options. « Y’a des clubs de salsas, y’a des boîtes même si je doute que ce soit ouvert à cet heures-ci.. Y’a la fête du quartier, à trois blocs d’ici. Pour sur ils seront entrain de danser avec la musique à fond sur la plaza… Tu choisis, du moment qu’on reste sur notre territoire… » Ce n’était effectivement pas le moment de traîner ailleurs, même si lui, pouvait passer pour un citoyen ordinaire si on oubliait ses cicatrices ou en tout cas, pour tout sauf un membre de la Calavera… Se balader avec une djinn salvadorienne, c’était peut-être pas l’idée du siècle en plein quartier Bratva par exemple. Il se dirige sans trop se presser vers le porte manteau ou sa seule et unique veste trône, l’enfilant comme un rien malgré le poids du vêtement sur ses épaules, habitué. C’était quand elle voulait, où elle voulait. Il pouvait bien faire cet effort là..pour quelques heures.



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La tempestad y la calma (Clemens & Maria) - Mer 28 Nov - 9:08



La tempestad y la calma

 
 Clemens ϟ Maria Magdalena .


Clemens respecte son envie de garder le silence sur la balafre, il n'est pas idiot, elle a bien compris qu'il sait qu'elle cherche à éviter le sujet. Elle n'a pas envie de dire que Jan se montre parfois violent, parce que Jan est son maître, qu'elle ne désire pas faire de commérages à son sujet. Elle lui doit la vie, comme à Clemens, tous les deux ont été très courageux pour la sauver alors qu'elle était réellement sur le point de mourir. Elle enregistre que Clemens a toujours voulu avoir un chat, ça fera un joli cadeau pour son anniversaire. Ce sera un secret, elle pourra retourner à la SPA en trouver un sympa pour lui. En attendant la proposition qu'elle lui fait au départ semble le laisser un peu sceptique, il avoue ne pas savoir danser, ce n'est en rien un problème pour Maria qui appréciera le lui apprendre au contraire ! Parfois c'est même bien plus sympa de danser en l'apprenant avec quelqu'un plutôt que de danser avec quelqu'un d'expérimenté qui a parfois tendance à en faire trop pour essayer d’impressionner. « Je suis sure que tu t'en sortiras très bien ! » Maria se lève à son tour, enfile de nouveau sa veste, le visage rayonnant, elle qui adore aller danser elle n'avait pas imaginé que son héros l'y emmène un jour. C'est que ça n'a pas l'air d'être le genre de chose qu'il aime faire, elle apprécie qu'il soit assez ouvert d'esprit pour accepter et lui laisser une chance de lui montrer. Une fois dehors, Maria  cherche la plaza où les gens dansent avec la musique a fond, souvent il s'agit de danses latines, une chance pour elle, ce sera d'autant plus sympa et d'autant plus facile. Ce sera plus facile pour apprendre à Clemens en partant sur quelque chose d'assez facile et basique. Après le secret c'est de garder le rythme, elle lui révélera toutes les petites techniques pour qu'il soit le plus à l'aise possible. Et comme indiqué plus tôt, trois blocs plus tard c'est sur la plaza que se trouent des gens en train de danser, au hasard, sur des notes a caractère hispaniques et familières.

Motivation en flèche, Maria attrape la main de Clemens et l’entraîne sur la piste. « Garde d'abord le rythme dans la tête » Une main sur son épaule où elle tape le rythme comme une indication, elle guide l'une des siennes à sa taille  « Plus ce rythme sera naturel plus tu te sentiras à l'aise, d'accord ? On va commencer par des pas tout simples je vais mener !» Un deux, trois, pas plus, elle les lui montre une fois, deux fois, au ralenti et quand il parvient à enregistrer, elle le fait aller un poil plus vite tout en tapotant le rythme sur son épaule. « C'est de la pratique, il n'y a aucun secret, il n'y a pas de blanc bec raide non plus ! » Joli sourire à l'adresse de son cavalier pour qu'il se détende un peu. Le temps qu'il enregistre ces premiers pas elle lui en montrera d'autres après. Ils arrivent à se caler sur la musique, petit à petit, l'incite à ne plus regarder ses pieds en se rapprochant de lui et à changer de direction pour lui montrer qu'avec ces trois pas là ils peuvent faire plein de choses. Elle lui montre alors, le fait tourner sur lui même dans un petit rire et ils reprennent la position initiale. Un deux trois, ce même rythme toujours, les mêmes pas, juste la direction qui change. Et quand elle le sent s'habituer petit à petit, elle le laisse mener la danse, le fait de manière progressive, qu'il ne s'en rende même pas compte. Elle espère que ça lui plaît, qu'il se sent porté par la musique et qu'il arrive à détendre ses muscles, relâcher un peu son corps. Maria sait danser depuis très longtemps, elle sait s'adapter sans le moindre problème. Sa main petit à petit cesse de taper le rythme, que ça ait moins l'air mécanique, laisse toi aller maintenant, la danse n'est pas un protocole. Elle s'amuse elle aussi, n'en témoigne le large sourire sur ses lèvres, après ces quelques faits qui l'on attristé, ça lui met du baume au cœur, et elle espère qu'elle pourra l'emmener danser encore à d'autres moments. Il deviendra le meilleur danseur Americano. «  Ça va ? » Elle s'empresse de demander, qu'il n'hésite pas à poser des questions, à lui demander.



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Clemens Jones
BLAZE : rage
CREDITS : ava/aes: rage / gif: aura♥ / code signa: solosands
FACE : ansel elgort
DOLLARS : 3091
SACRIFICES : 635
PORTRAIT : La tempestad y la calma (Clemens & Maria) Cc31d3d79d157666ee2d064c7650fbf6
ANNEES : 31 ans, mais un vrai visage de gamin.
CŒUR : en couple, mortel éprit de la divinité à laquelle il s'est lié.
RÉINCARNATION : simple mortel doté d'un pouvoir de guérison.
TALENT(S) : prophète aux mains salvatrices, adoucissant les maux et collectionnant les blessures. Son sang précieux, drogue certain, guérit les blessures et tue les dieux.
FACTION : sans faction, ancien calavaurien
OCCUPATION : depuis qu'il a quitté la calavera on le retrouve sur twitch pour occuper ses journées. Il espère pouvoir se faire engager par le journal de la ville comme photographe, mais pour ça il faudrait qu'il sorte un peu plus de chez lui.
GENÈSE : conscient depuis l'enfance d'être doté de pouvoirs surnaturels, il connait l'existence des dieux depuis son arrivée à Arcadia.
TALON(S) D'ACHILLE : la solitude, le rejet. Aura.
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La tempestad y la calma (Clemens & Maria) - Mar 11 Déc - 15:29

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Si Maria avait foi en lui… Ce n’était pas du tout son cas. Visiblement, elle ne percevait des autres que leur bon coté, se noyait dans l’insouciance, comme si, finalement, Arcadia n’avait pas encore réussi à atteindre ses os. C’était peut-être le cas. FInalement, cela faisait très peu de temps qu’elle était ici, quasiment libre, à la découverte d’un monde jusque là lui étant inconnu. C’était assez étrange de la voir s’habituer à tout ça, doucement. A trouver son chemin dans les rues de la ville, visiblement, puisqu’elle était arrivée devant sa porte plus d’une fois, ou à essayer de se mettre à jour avec la langue locale, mot après mot. Clemens aurait préféré être le seul professeur. Celui qui lui apprend la carte du quartier et le vocabulaire du pays, plutôt qu’elle inverse les rôles en proposant d’aller danser. C’était lui qui allait devenir l’élève, quelque chose qu’il redoutait déjà, avant même qu’ils n’est quittés son appartement. Voilà pourquoi il se lève vite, avant qu’il ne puisse changer d’avis comme si, debout, il n’avait plus le droit de faire demi-tour. La djinn l’imite, se levant également. Trop tard pour renoncer, ils enfilent chacun leurs vestes avant de sortir de chez lui, pour rejoindre la place du quartier. C’était souvent jour de fêtes et il doit bien l’avouer, Clemens n’y mettait jamais les pieds. Ce n’est pas faute de voir des affiches dans la rue et d’y retrouver des visages familiers, la calavera s’étalant dans les veines de Delray Hollow. La mafia faisait battre le quartier, permettait aux habitants de vivre, aux bâtiments d’être rénovés parfois et d’être détruit, aussi, mais reconstruit par la suite. Peu importe l’odeur de brûlé et peu importe l’aspect vétuste des murs, peu importe au final que ce quartier soit le plus pauvre de la ville. Il est riche en couleur et en âme, ça, même quelqu’un d’aussi rabat-joie que Clemens Jones ne pouvait pas le retirer aux habitants du quartier. Surtout pas lorsque la musique se fait entendre alors qu’ils arrivent à destination.

Pas le temps d’observer pourtant les gens réunits, pas le temps de voir si ses voisins étaient là ou s’il reconnaissait l’épicier du bout de la rue au milieu des autres. Une main saisit déjà la sienne, le répit inexistant, la Djinn l’entrainant déjà vers l'amas de gens déjà en train de danser sur le rythme latin. En place, elle pose sa main sur son épaule, tapotant le rythme de la musique sur celle-ci comme un guide qu’il tente d’écouter, se concentrant là-dessus plutôt que sur l’anxiété s’emparant de lui. Il aurait jamais dû lui dire oui, il aurait dû rester chez devant Netflix quitte à faire semblant d’être mort s’il le fallait. Mais non. Il était là, main sur sa taille posée par la créature visiblement totalement à l’aise avec leur environnement. Impatiente de lui montrer, mais finalement pédagogue avec lui tout de même. Il hoche la tête et se concentre sur leurs pieds, partie finalement primordiale dans cet “art” de danser. Bêtement il répète ce qu’elle dit, la suit, et finalement comprend la mécanique basique. Un tu fais si, deux tu fais ça, trois c’est encore autre chose. Il fallait juste retenir un minimum, mais comme elle le disait, il allait finir par être plus à l’aise, quand ce sera devenu plus habituel. C’est idiot, que ça lui fasse plaisir à la Djinn. Pourtant quand il relève le nez vers elle, elle sourit et c’est ce qui compte au final. Le blond se détend un peu, lorsqu’il n’a plus trop besoin de réfléchir pour bouger. Regarder ses pieds ne devient plus une option de toute façon puisqu’elle se rapproche, l’empêchant de baisser les yeux sans tomber sur autre-chose que l’asphalt. Super. Il regarde autour d’eux et peut-être que finalement ils ne faisaient plus aussi tâche qu’avant, même s’il était visiblement la seule personne quasiment translucide du coin. Peu importe, s’il avait l’air idiot ça en valait la peine. Parce qu’elle le fait tourner sur lui-même et rit. Parce qu’au final, c’est pas si terrible de danser. En tout cas, pas avec Maria. Il finit par sourire lui aussi, s’autorise à ne plus trop penser à ce que les autres peuvent penser, c’était pas le plus important. « Je suppose, oui ? Je ne t’ai pas encore écrasé les pieds, donc je vois ça comme une réussite ? Et toi ? » est-ce que je ne suis pas trop un boulet qu’il se retient de demander, certain qu’elle allait dire que non quoi qu’il arrive. Un peu plus à l’aise, cette fois c’est lui qui l’incite à tourner sur elle-même, parce qu’il n’y avait pas de raison que ce soit le seul. « J’imagine que tu devais souvent aller danser quand tu étais chez toi, non ? » Son intérêt devait bien venir de quelque part et pas certain que ce soit soirée dansante à la Calavera tous les soirs, ou il avait oublié le mémo. Cela devait venir du Salvador sans doute possible, terre beaucoup plus au sud où là-bas, cela devait être comme une seconde nature, danser. En tout cas, c’est ce qu’il imagine.



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La tempestad y la calma (Clemens & Maria) - Sam 15 Déc - 7:26



La tempestad y la calma

 
 Clemens ϟ Maria Magdalena .


Il s'y fait plutôt bien, elle perçoit ses muscles se décrisper et c'est sans user de magie qu'elle lui arrache un sourire. Il a un joli sourire Clemens, elle est contente qu'il puisse un peu oublier ce qu'il se passe autour, Maria les a déjà oublié depuis bien longtemps. A vrai dire quand elle danse, elle a tendance à se foutre pas mal de ce qu'on pense d'elle, c'est comme ça qu'elle a réussi à prendre confiance en elle et à progresser. Pas écrasé les pieds, en effet, elle étouffe un rire à cette remarque, ses chaussures se portent bien parce qu'il est aussi très bon élève et qu'il a mit suffisamment du sien pour écouter ses consignes. Et Maria oublie ses petits tracas, elle n'a pas très bonne mémoire de toute façon ce qui fait d'elle un Djinn très peu qualitatif. Elle sourit encore, même quand il lui parle du Salvador parce que bien qu'il lui soit arrivé de mauvaises choses là bas sa mémoire a tendance à ne trier que le bon. Il ne s'agit pas d’insouciance, juste une philosophie de vie; car si elle était une personne triste jamais elle n'aurait pu survivre jusque là, jamais elle n'aurait pu danser et avoir une vie de calme désormais.   «  J'étais très petite quand j'ai quitté le Salvador, j'ai appris au Mexique! Mon père adoptif organisait souvent des soirées et je m'y suis glissée, j'adorais ça! » C'état le temps de son adolescence, de ses premières cuites, mais elle a adoré danser, elle apprenait avec les femmes des Narcos et leurs tenues affriolantes, parfois certaines étaient un parfait cliché de femme entretenue, plus on voyait que leurs seins étaient refais plus cela était signe de fortune. Un monde souvent basé sur l'apparence, elle a été surprise de ne pas le retrouver ici alors qu'il s'agit aussi de mafias. San doute parce que toute personne gagnant un minimum de salaire peut vivre correctement, dans certains quartiers là où elle était soit il y avait très très riches soit il y avait des très pauvres. Les juste milieu se trouvent dans les grandes villes, et encore...

Maria n'y retournerait pour rien au monde, même si la météo lui ressemblait plus dans le sud, ici elle se fait des amis, elle évolue, elle est respectée, protégée. Et parce qu'il y a Clemens et Jan les deux hommes qui lui ont sauvé la vie, si ce n'est pas merveilleux ça! Maria laisse Clemens guider la danse maintenant qu'elle sent qu'il commence à s'habituer, elle prend plaisir à danser avec lui parce qu'elle a la fierté de dire que c'est elle qui lui a appris. Pour un débutant c'est vraiment un bon début, elle se promet de lui apprendre d'autres choses à l'avenir, l'emmener dans différents endroits, lui montrer les différentes danses latines. Les mains se lient et se délient, elle revient vers lui, glisse un bras à son épaule, s'éloigne, revient, tout ceci au rythme de la musique.   « Tu as toujours été à Arcadia ? C'est une ville qui te plait ?  L'espagnol encore sur la langue, pas encore bien à l'aise avec l'anglais pour le parler sans fourcher la langue et sans que cela ne lui fasse mal aux zygomatiques. Elle a toujours voulu en savoir plus sur Clemens, il a une aura mystérieuse, il lui donne l'impression a priori qu'il n'est pas quelqu'un qui se confie facilement. Avec elle ses secrets seront bien gardés, pas besoin de voeux pour sceller sa bouche. « J'espère que tu ne comptes pas partir » Un joli sourire, il lui manquerait beaucoup Clemens s'il venait à s'en aller, elle serait obligée de faire garde alternée avec Jan.



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La tempestad y la calma (Clemens & Maria) - Mer 2 Jan - 1:33

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Finalement, la salvadorienne a grandi au Mexique, loin de sa terre natale. En soit Clemens ne savait pas grand chose de son passé, n’a pas cherché à savoir malgré sa curiosité légendaire. Demander aux autres, en apprendre sur leurs origines c’était laisser la possibilité à l’autre de rendre la pareille. De devoir répondre à des questions auxquelles il n’a pas envie de répondre. Alors il les évite comme la peste les questions - même si cette fois c’était de sa faute - et  arrache des informations ça et là, enregistre et reconstitue le fils conducteur, la suite logique des choses. Mexique, père adoptif, danse. Des renseignements qu’il accepte en hochant la tête, explication suffisante à son goût, pour le moment. Ça lui coule dans les veines, c’est ça qui était à retenir. Elle a commencé plus jeune et continue visiblement avec l’âge adulte.

Si elle le laisse guider elle se permet de changer un peu la donne, bouge, s’amuse. C’est le principale vraiment, qu’elle s’amuse. Qu’elle oublie finalement la raison de sa venue chez lui, cette marque que lui n’oublie pas vraiment même si la danse est entrainante, même s’il sourit un peu, lui aussi, jusqu’à ce qu’elle évoque Arcadia, et ce qu’il pensait de la ville. Il l’a longtemps détesté cette ville et continue un peu de le faire, il ne va pas mentir. Si sa colère maintenant il a arrêté de la passer en donnant des coups dans les poubelles d’Elysium Heights et qu’il a apprit à simplement regarder où il marche sur les trottoirs, on ne peut pas dire que ce soit l’amour fou encore. Les murs sont froids, le soleil uniquement présent lorsque l’été tombe et le bruit incessant. Il en veut encore un peu à son cousin de lui avoir parlé. De lui avoir indiqué où il vivait, où Maldwyn vivait. De l’avoir entraîné à venir ici tout ça pour quoi. Tout ça pour ne pas obtenir ce qu’il désire, le renvoyer dans ces limbes où il ne sait ni quoi faire, ni où aller. Un mystère dont il tente d’échapper, cherche un but à accomplir, des choses à faire. Il trouve refuge à la Calavera et devient leur soigneur…. Voilà le but de sa vie, sa fin. Alors Arcadia il a beau ne pas l’aimer, il n’y a rien d’autre qui l’attend ailleurs. Pas de meilleur ending pour cette histoire qu’on qualifierait d’autres chose que happy. Ce serait pire ailleurs, voilà ce qu’il retient. Voilà ce que ses mots confirment.

Ailleurs, pas de Calavera pour le loger, pas de cousin avec qui brouiller du noir, de Lise avec qui parler. Pas d’Alejandro à essayer d’impressionner, ni de Maria à sauver. Pas de frère avec lequel il ne savait pas encore parler. Pas de...pas de Elle, à qui penser. Peut-être que c’est eux qui font que cette ville, il la tolère plus. Eux qui font qu’après tout ici, c’était beaucoup mieux qu’ailleurs. Une sentimentalité qu’avouer ferait plus de mal que de bien. Parce que le jour où ils l'abandonneront, ce qui, l le savait, était inévitable, il n’aurait véritablement plus rien. Il se doit bien de lui répondre, après tout c’est lui qui a commencé. « Ça fait quatre ans environ. On ne peut pas dire que j’aime cette ville...» Il comment, hausse les épaules malgré sa main sur celle-ci. « Je ne compte pas partir pour autant. » Il précise rapidement, histoire que ce soit bien clair. Dans son explication il se permet de la faire tourner encore une fois sur elle-même, parce que c’était amusant, au final, même si l’idée d’être si proche l’un de l’autre était encore compliqué pour lui, pas forcément à l’aise avec ça. « Je n’ai pas grand chose hormis les gens qui sont ici. Alors c’est pas envisageable, partir. » Même s’il en a parfois envie, même si sa colère envers le monde et envers cette ville lui donne parfois envie de claquer la porte de sa voiture et quitter la ville sans regarder dans le rétro. « Toi tu as Alejandro et Cala maintenant, j’imagine que c’est là que tu vas te poser aussi. » Et à en voir la musique qui résonne et les visages autour d’eux, le quartier haut en couleur et le sourire sur son visage elle a trouvé un endroit qui lui correspond bien, avec des gens chaleureux pour la plupart qui l’appréciait comme elle était. Étrange rayon de soleil dans la ville sombre et personne, pas même lui, pas même Alejandro, n’avait le droit de briser cela.


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La tempestad y la calma (Clemens & Maria) - Ven 18 Jan - 8:20



La tempestad y la calma

 
 Clemens ϟ Maria Magdalena .


Maria écoute les aveux de Clemens, se demande encore quelle est son histoire, pourquoi est il aussi renfermé. Elle aimerait qu'il se confie, mais n'ose pas lui poser la question. En tout cas, c'est un soulagement de savoir qu'il ne désire pas s'en aller, parce qu'elle a déjà du mal à avoir des amis, alors si il s'en va !! Elle acquiesce du menton quand il lui retourne la question, effectivement elle est bien ici, elle profite du capitalisme à outrance, elle qui a toujours rêvé de vivre là où les stars sont. Ou comme dans les films américains il suffit de sortir de chez soi pour trouver une boutique de fringues ou un mcdonalds. Qu'on ne lui parle pas de la valeur des choses, Maria a eu un début de vie relativement difficile, maintenant elle aimerait juste se laisser porter par le cours du temps avec facilité. Elle se voit bien vieillir ici, à condition d'obtenir des papiers puisqu'elle est clandestine et qu'elle a peur tous les jours que la police ne l'arrête et ne la renvoie au Salvador. Elle aime son pays natal, mais là-bas il y a trop de mauvais souvenirs qu'elle ne pourrait pas rester dans un endroit qui lui évoque tout ceci. Profondément traumatisée par son enlèvement, par ces fois là où elle avait la pression sur les épaules en tenant la main d'un dealer avec dans son cartable barbie plusieurs sachets de coke. Non, ici elle n'a pas de mauvais souvenirs, au contraire, elle s'en créée des bien. Elle a été sauvée, au Mexique on l'aurait laissée mourir et agoniser avec cette drogue qui se répand dans le ventre. Elle a un lit, des draps propres, qui sentent bon la fleur de tiaré, elle a une brosse à cheveux, elle peut choisir ses vêtements, elle a de la nourriture qui ne la rend pas malade, un toi étanche. Et oui, il y a Jan, Cala et Clemens aussi, ses trois amis. « J'ai toujours voulu vivre comme une gringos » Elle avoue, et laisse échapper un rire, parce qu'elle le dit comme si c'était mal mais en vérité elle se sent bien mieux depuis qu'elle est ici.

En tant que Djinn, elle ne se sent pas réellement oppressée, sauf quand Jan lui demande de ne pas parler, sans doute lui a t-il déjà demandé d'oublier certaines choses et cela créée des dysfonctionnements dans ses souvenirs. C'est comme afficher un puzzle avec des pièces en moins qui cachent un élément essentiel. Elle continue de danser, parce qu'elle a besoin de se lâcher ce soir et que Clemens fait cet effort. « Tu danses bien !! » C'est vrai, il n'est pas le meilleur partenaire qu'il a eu, mais elle prend beaucoup de plaisir à danser avec lui, parce qu'elle voit ses efforts et cela paye. «  Un peu d’entraînement et tu seras le bailarín le plus cool d'Arcadia!! »

Elle le taquine, mais elle le pense aussi, si toutefois ça lui dit de recommencer, elle sera ravie de lui faire la leçon pour qu'il puisse séduire les américaines et gagner en charisme. Ça lui fait penser à ce jeu qu'elle a découvert, “les smisi,...Smis....Sims” pas certaine que ça se dit comme ça, elle se contente de montrer la boite quand elle veut jouer sur l'ordinateur. Mais le principe est d'avoir un personnage et le faire évoluer. Elle imagine la jauge d'apprentissage à mesure qu'il danse avec elle et après il se déchaînera sur la piste avec des gestes bizarres. Elle se mord les lèvres, essaye de en pas y penser parce que ce serait vraiment trop drôle. Elle s'arrête de danser, se demande si elle a le droit de se confier à lui concernant Jan, ou si c'est trahir le maître. Maria l'invite à rejoindre le comptoir improvisé et lui offre une tequila. «  C'est lui qui m'a fait ça, il m'a posé une question j'ai mal répondu. Je le mérite!!! Mais je ne m'y attendais pas. » En parlant de la vilaine coupure qu'il a soigné, elle ne désire pas avoir peur de Jan



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sans faction
Clemens Jones
BLAZE : rage
CREDITS : ava/aes: rage / gif: aura♥ / code signa: solosands
FACE : ansel elgort
DOLLARS : 3091
SACRIFICES : 635
PORTRAIT : La tempestad y la calma (Clemens & Maria) Cc31d3d79d157666ee2d064c7650fbf6
ANNEES : 31 ans, mais un vrai visage de gamin.
CŒUR : en couple, mortel éprit de la divinité à laquelle il s'est lié.
RÉINCARNATION : simple mortel doté d'un pouvoir de guérison.
TALENT(S) : prophète aux mains salvatrices, adoucissant les maux et collectionnant les blessures. Son sang précieux, drogue certain, guérit les blessures et tue les dieux.
FACTION : sans faction, ancien calavaurien
OCCUPATION : depuis qu'il a quitté la calavera on le retrouve sur twitch pour occuper ses journées. Il espère pouvoir se faire engager par le journal de la ville comme photographe, mais pour ça il faudrait qu'il sorte un peu plus de chez lui.
GENÈSE : conscient depuis l'enfance d'être doté de pouvoirs surnaturels, il connait l'existence des dieux depuis son arrivée à Arcadia.
TALON(S) D'ACHILLE : la solitude, le rejet. Aura.
JUKEBOX : way out there - lord huron // the dark side - muse
RUNNING GUN BLUES : La tempestad y la calma (Clemens & Maria) 1cGY3IWT_o
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SEEK AND DESTROY
maldwyn jones I
ψ
ONE EYED HOUND
gamze hale
ψ
THE DARK SIDE
maldwyn jones II
ψ
WICKED ONES
aura sciarra I
ψ
GUIDING LIGHT
maria magdalena asturies
ψ
AFTER ALL
aura sciarra II
ψ
THE DAWN WILL COME
maldwyn jones III
ψ
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alejandro flores
ψ
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aura sciarra III
ψ
THE MEPHISTOPHELES OF LOS ANGELES
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ψ
champion
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La tempestad y la calma (Clemens & Maria) - Lun 4 Fév - 11:28

guiding light.

Pure hearts stumble in my hands, they crumble Fragile and stripped to the core I can't hurt you anymore Touch like strangers detached I can't feel you anymore The sunshine trapped in our hearts It could rise again But I'm lost, crushed, cold and confused With no guiding light left inside





Toujours voulu vivre comme une gringo. Un terme étonnement large, selon lui. Il a beau être un gringo lui, il se rend bien compte que, même de ce côté de la frontière, cela ne veut pas dire grand chose en soi. Gringo et dans la misère c’est possible aussi. Ce qui est différent au final, c’est la culture, c’est les gens et le temps dehors qui varient vraiment. Elle parlait sûrement de passer son temps sur instagram, boire des starbucks et manger au chipotle en disant que c’est de la cuisine mexicaine alors que c’est tout sauf ça. Ça, c’est typiquement gringo. Typiquement valley-girl, au teint auto-bronzé et à la voix irritante. Heureusement qu’elle n’est pas comme ça. Que même si elle se pose des questions sur sa silhouette, preuve que la société lui atteignait déjà les méninges, elle n’était pas comme ça.  

Comme lui n’aura jamais rien de mexicain. Rien de latin, même si il connaît la langue même si il est tous les jours plongé dans leur culture. Y’a qu’à voir comment il bouge, y’a qu’à voir comment il vit. Il a jamais vraiment trouvé sa place. Ni chez les gringos à la vie immaculée ni ailleurs. L'incertitude comme bannière et l'exclusion comme adversaire, c’est un combat qu’il a cessé de battre. Calavera comme maître, place trouvée. Il ne cherche pas à faire partie de la famille, parce que ça sert plus à rien. Il est là, simplement, invisible au final à ceux qui l’apprécient. Y’a que Maria au final, pour qui il sait. Il sait qu’elle l’aime bien, puisqu’elle vient le voir, puisqu’elle lui fait des cookies. Mais il avait sa vie sous les doigts. C’est lui qui porte sa cicatrice, lapin éventré pour en sortir la drogue ingérée. Résultat biaisé, du coup. Maria lui doit, alors elle rend. Avec de la nourriture, avec des conversations et une invitation à danser, fiasco à observer de loin il imagine même si elle le complimente.  «  Je suis pas certain, mais merci. » Au moins elle essayait de le détendre. De rendre ça plus plaisant et ça l’est devenu. Même s’il ne fait jamais ça et n’est pas forcément certain de recommencer un jour. Pas envie de se ridiculiser, surement.

Elle s’arrête soudainement, confession au bord des lèvres qui fini par déborder. C’était bien Alejandro, le coupable de la blessure. Les doutes sont écartés et c’est la déception qui les remplacent. Celle de l’avoir imaginé capable d’être bon, gentil quand il a fallu la sauver. Quand il l'appeler son frère. Pourtant la cruauté le ratrappe au point de s’en prendre à sa propre protégée. Le pire dans tout ça, c’est qu’elle en porte la responsabilité. «  Je sais que c’est lui. » Qui était capable de couper si férocement la peau, incision quasi chirurgicale, précise, plus tranchante qu’un scalpel dans la peau de la djinn. Qui aurait osé faire ça, déjà. C’était de condamner à mort, le courroux* du dieu Maya certain de s’abattre sur votre tête. Il fallait être fou. «  Je ne vois pas en quoi tu le mérites. Il n’a pas à lever la main sur toi pour une question mal répondue. » Il ne faut pas l’abîmer Maria. Pas la briser, la lumière. Pourtant il a osé. Elle reviendra surement le voir avec de nouvelles blessures, un jour. Elle dira qu’elle est tombée encore, ou qu’elle ne s’en souvient plus. Mais hors de question qu’il laisse faire ça, le thaumaturge aux nerfs irrités. Il lui en veut, à Jan. Ils ne l’ont pas sauvé pour qu’il lui fasse du mal, pour qu’il lui retourne la tête de la sorte. Elle ne mérite pas ça. pas du tout même. La moutarde est déjà dans les sinus et l’envie de danser morte avec la révélation. «  On devrait rentrer, tu crois pas ? » Ce n’est même pas qu’il y croit, c’est qu’il veut. C’était assez d’interaction au milieu d’autres humains pour lui, peut-être. Est-ce qu’il était judicieux de la ramener chez elle, chez Jan, tout de suite… Peut-être pas. Ils auraient l'occasion de flâner un peu. De discuter.  Mais la possibilité que ça recommence l’irrite, le blond. Alors il ne peut s’empêcher finalement. Clemens, qui avait déjà amorcé un pas s'arrête net, se tourne vers elle. « Si jamais il te fait de nouveau du mal, tu viens chez moi. Qu’il soit trois heures du matin ou non, tu viens. » Proposition sérieuse, iris dans les siennes. Il n’aime pas forcément avoir du monde chez lui mais il ferait l’effort pour être certain qu’elle aille bien. Quitte à partager son canapé, quitte à s’asseoir sur le parquet ou à lui laisser sa chambre. Du moment que Maria va bien c’est pas grave. Du moment que la lumière qui pétille à l’intérieur ne meurt pas, tout irait bien.



* haha, courROUX  



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