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pretty much alive ( hedda )

 :: - ARCADIA - :: historic district
sans faction
Clemens Jones
BLAZE : rage
CREDITS : ava/aes: rage / gif: aura♥ / code signa: solosands
FACE : ansel elgort
DOLLARS : 3091
SACRIFICES : 635
PORTRAIT : pretty much alive ( hedda )  Cc31d3d79d157666ee2d064c7650fbf6
ANNEES : 31 ans, mais un vrai visage de gamin.
CŒUR : en couple, mortel éprit de la divinité à laquelle il s'est lié.
RÉINCARNATION : simple mortel doté d'un pouvoir de guérison.
TALENT(S) : prophète aux mains salvatrices, adoucissant les maux et collectionnant les blessures. Son sang précieux, drogue certain, guérit les blessures et tue les dieux.
FACTION : sans faction, ancien calavaurien
OCCUPATION : depuis qu'il a quitté la calavera on le retrouve sur twitch pour occuper ses journées. Il espère pouvoir se faire engager par le journal de la ville comme photographe, mais pour ça il faudrait qu'il sorte un peu plus de chez lui.
GENÈSE : conscient depuis l'enfance d'être doté de pouvoirs surnaturels, il connait l'existence des dieux depuis son arrivée à Arcadia.
TALON(S) D'ACHILLE : la solitude, le rejet. Aura.
JUKEBOX : way out there - lord huron // the dark side - muse
RUNNING GUN BLUES : pretty much alive ( hedda )  1cGY3IWT_o
pretty much alive ( hedda )  KMOwnXEJ_o
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pretty much alive ( hedda )  B2777c0879bfa482419317ed586a779f

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THE DARK SIDE
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pretty much alive ( hedda ) - Dim 12 Juil - 4:38

pretty much alive


Straight out the casket, rising up Open up your eyes, can't you see me What the fuck is this madness Pick up my bones Erase my name from off the tombstones Alive and kicking Breathin' the air Call out my name punk And I'll be there

ft. @Hedda Muharib



C’était comme un squelette dans le placard.
Pire, même. Des morts il y en avait eu dans cette maison, dans le sous-sol précisément. Il le savait, nier était inutile. Pourtant l’impression devant cette porte d’un placard à balais sans histoire était bien pire que celle du sous-sol où tout était fait pour torturer ceux tombant entre les mains de sa petite amie. C’était pire.

A l’intérieur pourtant il n’y avait rien de visiblement étrange. Des boîtes en carton, simples. Des décorations de noël dans un bac en plastique et des objets dont ils ne savaient simplement pas quoi faire, attendant la fin des travaux à un endroit ou autre de la maison. Du bordel des plus honnête, pas de cadavre, pas d’arme du crime, pas de même de preuves compromettante et pourtant une boite attire toujours le regard du blond, lorsqu’il est forcé de rentrer à l’intérieur. Une simple boite cartonnée où se trouvait à l’intérieur une simple chaussure.

Des mois que c’était arrivé et pourtant il n’arrivait pas vraiment à s’en remettre.
La culpabilité de s’éteignait pas, l’impression d’avoir échoué toujours présente, dévastatrice, pour tout thaumaturge. Et ce n’était pas la première fois qu’il perdait contre la faucheuse. A chaque fois la barre était un peu plus haute. A chaque fois, il en souffrait un peu plus comme si les échecs s’accumulaient à chaque fois et devenant ce fardeau dont se défaire semblait impossible. Pourtant il était heureux. Pourtant, il avait tout à l’heure actuelle, mais cette porte de placard et cette boite.. Il devait à tout prix les éviter. Faire comme si de rien n’était, continuer à vivre. Cela semblait la meilleure option au début, puis la culpabilité a commencé à grandir encore plus. Parce qu’il faisait semblant de n’avoir jamais rien vu. Parce qu’il ignorait complètement cette femme désormais, et quelque part, cela ne faisait qu’agiter un peu plus ce mal-être associé avec les gens qu’il ne pouvait sauver. Incapable de s’en détacher, jamais vraiment.

Alors il s’était décidé à trouver sa tombe au moins. Trouver un endroit où se recueillir, s’excuser, mettre un nom sur ce visage dont il ne souvient malheureusement trop bien, alimentant ses cauchemars. Pourtant personne ne semblait avoir été retrouvé mort ce soir là, d'après les recherches fournies par Aura qui n’avait pas réussi à mettre la main sur elle. C’est l qu’il avait eu l’idée de demander à Jan. Avec son odorat, peut-être était-il capable de lui donner le moindre indice pour résoudre le mystère.. Et c’était le cas. Un indice sous la forme d’un prénom et d’une adresse. Une identification formelle, sans plus de fioriture. “C’est la copine d’un ami.” qu’il avait simplement dit. Une erreur peut-être, une coïncidence beaucoup trop élevée pour que ce soit la vérité. Forcément les choses ne pouvaient pas être aussi roses, si évidentes et simple. Elle ne pouvait pas être en vie.


Devant la porte de l’appartement, il ne sait pas trop ce qu’on doit faire. Sonner, surement. Une bonne idée, qu’il s’empresse de faire mais regrette instantanément. Elle n’a pas besoin qu’on la dérange cette pauvre personne. Forcément il y avait erreur. Forcément cela ne pouvait pas être elle. La main sur son sac s’assure que le bien qu’il doit lui rendre est toujours là, comme si il avait peur qu’il ne s’envole, que tout ne soit qu’un profond délire de son imagination et qu’il se réveille dans l’instant. Pourtant quand la porte s’ouvre, ce n’est aps un rêve. La figure est là, si ressemblante, mais changée. Sans le visage tuméfié, avec des cheveux plus court aussi, mais elle lui ressemblait tellement que le prophète ne peut s’empêcher d’avoir un peu d’espoir. Timidement, il questionne. « Hedda Muharib, c’est ça ?»  qu’il demande. On ne sait jamais, il pouvait avoir fait erreur même si cela semblait peu possible. Ce n’était même pas possible. C’était elle.

Et il ne peut se retenir. Quand il s’approche ce n’est pas pour poignarder comme il le faisait si souvent. Pas cette fois. Cette fois les bras se nouent autour de ses épaules dans une brève accolade. Un soulagement dans la voix. « Tu es vivante.» qu’il souffle, sans même y croire avant qu’il ne se recule. Simplement rassuré.
Respirant enfin.



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Hedda Muharib
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ANNEES : 25 ans
CŒUR : liée à Eskel
RÉINCARNATION : Valkyrie
FACTION : Obscuri
GENÈSE : créature stade 3
TALON(S) D'ACHILLE : les yeux sombres du loup, les porte-manteaux aussi
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pretty much alive ( hedda ) - Dim 12 Juil - 17:43

pretty much alive


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ft. @Clemens Jones



Les yeux encore embués de sommeil, une marque de coussin sur le visage, Hedda s'extirpa du canapé. Elle était seule dans l'appartement aujourd'hui, Eskel travaillait mais elle non. Désœuvrée, plus qu'elle ne voulait l'admettre, la jeune femme s'était retrouver à somnoler jusqu'à s'endormir presque.
Ses nuits lui donnaient un peu plus de repos, mais parfois, même avec les bras d'Eskel, il y avait trop d'ombres, trop de ténèbres. Hedda se retenait de pleurer, blottie contre le torse puissant de l'homme à ses côtés, écoutant son coeur comme un pèlerin écouterait prière. Ce n'était pas que cela l'apaisait, juste que cela la faisait vivre. Et quand la jeune femme s'endormait enfin, elle sanglotait vraiment.
Les nuits comme cela étaient rares mais présentes, Hedda en portait les stigmates jusque de longs jours bien après, quelque chose dans les yeux qui ne partait pas sauf que...
Sauf que pour Elle, Eskel était là.
Au bureau aussi, quand la fatigue était trop grande, Hedda se laissait aller à quelques minutes de siestes. Chez Ikaros, la jeune femme savait ne rien risquer. Le travail, l'appartement plus encore, la brune apprenait à faire confiance à ses sanctuaires.

Aujourd'hui, elle était en congés, aujourd'hui elle était chez elle. Chez eux. La présence d'Eskel se lisait partout dans un langage qu'Hedda comprenait, par des petites touches contre sa présence à elle. Et voir cela, c'était sentir à nouveau les bras de l'homme dans leur étreinte réconfortante. Des choses mauvaises arrivaient, des choses dont on ne guérissaient pas, mais cela n'empêchait pas de vivre encore, de vivre après.
De vivre.
Et Vivre, cela signifiait être bien aussi.

Elle ouvrit la porte sans même remarquer qu'elle n'avait pas pris soin de remettre la chaînette de sécurité en place. Devant elle, un homme. Un homme qui aurait pu être un enfant peut-être, quelque chose dans les traits du visage, dans la posture, mais il s'agissait bien d'un adulte pourtant. Il murmura son nom.

”Oui?” répondit Hedda, sur la défensive. ”Je peux vous aid...” Elle ne termina pas sa phrase.
Des bras sur elle, des bras pour lui tenir les épaules, l'empêcher de bouger. Cela n'était pas le geste de Clemens bien sûr, mais le corps de la jeune femme interprétait les événements par la mémoire traumatique, non la logique pure, la sensation, l'observation.
On l'empêchait de bouger. Les mots que Clemens murmura, Hedda ne pu véritablement les entendre. La peur rendait sourd, la peur rendait idiot.
Elle repoussa le garçon et les gestes tremblants dans ses bras à elle empêchèrent  sûrement Clem de heurter trop violemment le mur.

“Me touchez pas! Qu'est-ce que vous me voulez, qui vous a donné mon adresse?!”

Elle tempêtait, elle haletait, le corps déséquilibré sous sa propre colère au point que la jeune femme devait se tenir au chambranle de la porte, prête à tomber.

”Vous n'êtes pas eux pourtant, vous n'avez pas leur accent, ni leur visage...”

Elle recula, perdue. Elle recula jusqu'au canapé à nouveau, attrapant le coussin qui s'y trouvait, le serrant contre elle avec aucune autre émotion que le désespoir. Quelque chose de trop grand, de trop profond qu'Hedda ne voulait ressentir....



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pretty much alive ( hedda ) - Dim 12 Juil - 18:28

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Peut-être que ce n’était pas une bonne idée tout simplement.
Cependant, il s’était montré incapable de se retenir. Certains diraient que c’est bon signe, symbole de sa compassion pour les autres qui revenait doucement, laissant filer la colère comme un lointain souvenir. Cela voulait aussi dire qu’il ne réfléchissait pas trop. En tout cas pas davantage. Un inconnu qui vous serre dans ses bras devant la porte de votre appartement ce n’était pas forcément des plus agréable et oui, il pouvait comprendre la façon dont il a été poussé, si fort qu’il heurte le mur sans toutefois se casser le crâne contre celui-ci, mais assez pour le toucher.

Merde. Lui faire peur n’a jamais été dans ses attentions.  Il ne manquerait plus que son copain arrive et que Clemens se retrouve déchiqueté en petits morceaux. Il est soupe au lait il paraît, d’après Jan qui avait, un peu, prévenu Clemens. Au cas où. « Je suis désolé je. Je ne veux pas te faire peur promis, ni te faire du mal. j’ai cru pendant tout ce temps que tu étais morte et je. » C’était difficile à expliquer. encore plus difficile quand, il imaginait, tout le couloir pouvait entendre ce qu’ils disent à l’heure actuelle. Alors il ne dit rien de plus qu’un.  « C’est un ami d’Eskel, qui me l’a donné.»C’était bien ça le nom du mec non ? Eskel, comme le witcher, dans le jeu éponyme. une façon simple pour l’amateur de jeu vidéo de se souvenir du prénom sortant de l’ordinaire. Bien entendu il ne s’appelait pas Kévin, c’était trop simple.

Quand il ose se décoller du mur, il suit la jeune femme à l’intérieur, poussant la porte derrière eux sans pleinement la fermer. On sait jamais si il fallait faire une sortie rapide, il aurait le chemin libre. A l’intérieur il observe un peu la décoration, les meubles. Tout en l’écoutant parler, curieux. Pour qui le prenait-elle ? Il s’apprête à demander mais réalise au même instant. Il avait parlé de sa mort, elle cherchait donc à sa voir si il était l’un de ses agresseurs, c’est ça. Loin de lui l’idée. Jamais, il ne ferait ça. En s’approchant d’elle il se content de s’asseoir par terre un peu plus loin. « Non non non je. Je suis pas un de ceux qui t’on fait du mal. » qu’il commence, essayant de savoir où il pouvait commencer son histoire sans trop en dire. Sans trop faire peur. « je t’ai trouvé dans la rue. J’ai essayé de te sauver mais.. mais j’ai pas réussi. Et tu étais morte. » qu’il confie, et le fait d’en parler suffisait à faire trembler le corps, aussi fébrilement que la personne en face de lui.

Brisés par cet évènement chacun à leur manière, l’anxiété du thaumaturge remonte et les mots, très vite, se transforment en demi-sanglots. « J’ai essayé de te sauver je le jure. J’ai tout fait pour te sauver et j’ai pas réussi je suis désolé. Si désolé. » cette fois les larmes sont là, qu’il essuie du revers de sa manche. C’était la pire chose pour lui, échoué à sauver une vie mais contrairement à sa soeur, contrairement à son père il avait le pouvoir de s’excuser face à elle. Le pouvoir de lui dire les mots et ça changeait tout, ou presque. Parce qu’il a échoué mais son erreur a été réparée cette fois. Peut-être même qu’il ne l’a pas aider en vain, peut-être que sans son intervention elle ne serait simplement plus, qui sait. Qu’est-ce qui lui était arrivé. Il reste silencieux un moment avant de fouiller dans son sac, retirant de là un paquet emballé dans du papier journal qu’il ouvre. « J’ai essayé de rassembler tes affaires. Mais j’ai eu si peur d’une voiture de flic que je suis parti en courant et j’avais ça encore dans les mains. Je voulais pas te laisser seule je te promets. je voulais tellement te sauver. Est-ce que tu peux me pardonner ? » la voix se serre dans la gorge. Elle n’était pas forcée d’accepter, ni son excuse ni récupérer son bien, preuve qu’il était bien là. Preuve qu’il avait essayé.
En vain.



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pretty much alive ( hedda ) - Mer 15 Juil - 16:45

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Un silence se posa alors de la même manière que la neige en venait à recouvrir le monde parfois. De longues secondes, Hedda ne parla pas. Près d'elle, le garçon s'approchait, prudent, et de ses yeux sombres la jeune femme l'observait, consciente de tous les os du corps qu'elle pourrait lui briser s'il faisait encore un pas de plus, un geste de plus.
”J'étais morte” lâcha-t-elle finalement. ”Ils ont utilisé la branche d'un arbre pour me battre avec mais cela faisait tellement mal que je pensais qu'il s'agissait de fer ou de métal.”

Et puis brusquement, Hedda se rendit compte d'une chose : cet homme l'avait donc vu avec sa jupe à moitié relevée. Le rouge lui monta aux joues, ses mains tremblèrent un peu tandis que dans un geste fantôme, elle s'assurait que son jean lui couvrait bien les jambes, là, maintenant.  Il y avait un paquet dans les mains de Clemens, quelque chose que Hedda ne voulait pas ouvrir mais le garçon s'en chargea pour elle.  Elle se leva du canapé, chancelante, mais refusa de prendre la chaussure. Pas tout de suite, pas maintenant...
La chaussure, sa chaussure.

”Vous êtes venu...vous êtes vraiment venu?” Et qu'il était dire de ne pas se laisser aller aux sanglots. ”Je criais et je hurlais, j'appelais à l'aide. Personne venait et eux, ils m'entouraient. Ca les faisait bien rire tout ça. C'est comme un écho, un acouphène dont je ne peux pas me débarrasser et qui m'attend dans chaque coin d'ombre, chaque bout de silence. Même mourir n'a pas été un apaisement, juste un néant.” Des mots durs, peut-être trop.

Les yeux d'Hedda brillaient désormais, mais la jeune femme refusait les larmes. Une dureté était en elle, se logeant entre son apparence même ou ce que l'on pouvait entrevoir de son esprit. Quelque chose qui rendait l'espace presque trop exigu même pour le souvenir de la Valkyrie... De cette dureté, tout pouvait naître : la folie comme le pardon, le chaos comme l'abandon. Il y avait des ténèbres qui n'avaient pas d'importance peut-être mais étaient là simplement, propres à des vies et des regards. Ces ténèbres là, Hedda en portait un peu mais un peu, cela était déjà trop...

”Merci.” Le mot claqua dans la pièce, étrange, incongru. ”Merci d'être venu et de ne pas m'avoir laissée seule même s'il était trop tard.”

Et puis, comme si l'on venait de couper le fil l'aidant à tenir debout, Hedda s'effondra. Une limite avait été franchie et, bien que forte peut-être, la jeune femme ne pouvait pas faire plus. Plus d'effort, plus de dignité...parfois, on pouvait avoir besoin de tomber.
Elle soupira, de cela aussi Hedda avait besoin.

”Je...vais faire du café.” Des gestes simples, des actions simples. La jeune femme se releva, de la brume encore dans le regard, et alla dans la cuisine sortir deux tasses tout en enclenchant la machine.

”Tu as parlé d'un ami d'Eskel...pas un collègue de travail?” Non, car en ce cas il aurait parlé d'un ami à elle également, non? ”Tu...te souviens de quelque chose d'autre de cette nuit là?” Car Hedda voulait des pistes, des indices. Elle revint, portant une tasse dans chaque main et les déposant sur la table basse. ”Je.... je ne sais pas où j'ai rangé le sucre par contre. Ni le lait. Ni la crème.

Placard. Placard et frigo, mais la jeune femme peinait à réfléchir, encore sous le choc de cette rencontre.  Enfin, et seulement enfin, hedda se saisit de la chaussure.

”Je...ne sais même pas comment elle a pu se détacher de mon pied. C'est idiot...”


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pretty much alive ( hedda ) - Ven 14 Aoû - 21:37

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ft. @Hedda Muharib


Les mots sont comme des poignards s’enfonçant dans les plaies, dans chacune d’entre elles. Ils sont le rappel de son échec, de sa défaite face à la mort et de son incompétence. C’est le fléau des thaumaturge, ne pas réussir à faire assez, échouer, se retrouver face à la mort sans être capable de la vaincre. Ils étaient fait pour sauver, pour ramener le plus mourrant à la vie, mais lorsqu’ils échouent c’est une petite partie de leur santé mentale qui flotte au loin. Ils se perdent, deviennent rapidement complètement fou, obsédé plus encore par la vie, et la maintenir même quand tout espoir est perdu, même quand il n’y a plus rien à faire jusqu’à l’épuisement, jusqu’à la mort. Le peu de soleil illuminant son visage se détériore avec les mots, la culpabilité rongeant le thaumaturge, enfonçant l’homme dans une spirale de tourmente, comme elle l’était. C’était de sa faute si elle était morte. De sa faute si elle était devenue une créature. Il aurait pu la sauver. Il aurait dû la sauver. Au moins elle ne se serait pas réveillée seule. Au moins il ne l’aurait pas abandonné comme un lâche comme il avait pu le faire. De l’avoir laissé, de lui avoir fait peur. Cela n’avait jamais été son intention bien entendu.

Assis par terre en tailleur, il avait cet air un peu plus juvénile encore, loin d’avoir l’air d’un ancien mafieux du groupe le plus sanguinaire d’Arcadia alors qu’il déballait l’objet emporté avec lui. C’était le seul indice à son sujet, tout ce qu’il restait, hormis son visage qui hante sa mémoire et ses yeux ouverts qui n'observent plus rien. Et elle continue avec les mots qui détruisent, comme si il n’avait pas passé assez de temps à s’en vouloir lui-même. Les genoux bougent et se replient contre lui tenu par les mains s'agrippant avec un peu trop de force dans la chair. La tête, elle, s’enfonce pour ne pas la voir, ne pas la regarder. Et il répète encore ses excuses. Désolé, si désolé de l’avoir abandonné.

Même si elle elle le remerciait cela n’avait pas d’importance. Échec, échec, échec qu’il se rappelle. Un sauveur de pacotille qui ne répond donc rien, car oui il était en retard, et elle semblait lui en tenir rigueur. Debout, elle se dirige vers la cuisine. Du café, il en avait besoin aussi et ne refuserait pas une tasse si elle lui était proposée.

Quand elle le questionne il se décide enfin à répondre, le blondinet qui sort la tête de son étaux. «Non, c’est un détective. Il est… très doué dans ce qu’il fait. Il a ŕeussi à dire que.. que tu étais vivante. Je pensais retrouver une tombe.» mais non, heureusement. Il l’observe à distance, comme si en regardant il pourrait voir ce qui l’abrite même si c’était impossible. « Je ne me souviens de rien non… ils n’étaient plus là depuis longtemps. Je pense.» pourtant il aurait aimé qu’ils soient encore dans les parages ces connards. Ils seraient morts, eux aussi. Torturé par le thaumaturge, tué, quitte à le faire sombrer dans la folie. L’esprit vengeur, la douceur du visage cachant finalement les horreurs commises. Peut-être pas un meurtrier, mais un bourreau oui.

« Je bois mon café noir, ne t’en fais pas.» qu’il murmure. Finalement il relâche ses jambes quand elle revient, cette fois-ci récupérant l’artefact entre ses doigts. « Je ne sais pas non plus. Je crois que tu as essayé de les fuir, peut-être.» C’était l’explication la plus logique, mais il n’en savait rien.

« Je suis attiré par les gens qui souffrent. Je.. peux sentir quand ça va pas, un truc comme ça. C’est comme ça que je t’ai trouvé. » qu’il commence, justifiant ses actes non pas d’un homme morbide qui avait fuit au lieu d’appeler la police… même si c’était un peu cela. en réalité c’était beaucoup trop compliqué. «Je peux guérir les gens en posant mes mains sur eux. Mais tu avais une hémorragie interne si grave que je. J’ai rien pu faire. Sinon on mourrait tous les deux. J’ai essayé de te retrouver mais aucun signe de quelqu’un morte dans le parc ce soir là...tu as complètement disparu. mais j’avais pas la force de te chercher. J’avais si peur que les coupables soient venus te reprendre je. Je voulais pas me dire ça. C’est déjà si compliqué. » Durant des mois il avait porté le fardeau de sa mort comme le deuil d’un proche, la mort toujours aussi cruelle pour les thaumaturge et la culpabilité implacable, destructrice, avait ravagé autant le corps que l’esprit. « Je vais faire, reste tranquille. » qu’il lui demande en se levant, lorsque la machine a cessé de faire du bruit. Il se dirige dans la cuisine et récupère les deux tasses, revenant près d’elle, tout en lui tendant le récipient une fois à son niveau. « Je peux chercher le sucre et le lait si tu en veux avec. »

Aider, c’est ce qu’il savait faire de mieux, ce pourquoi il était né. L’aide dans les gênes, l’aide comme but ultime il allait sûrement mourir ainsi, comme ses semblables, emporté par cet altruisme maladif. Cette envie de toujours bien faire, d’aider. Même maintenant il avait envie de s’approcher, de poser une main sur son bras pour apaiser ses maux. Pour aller l’esprit lourd, rien que quelque minute. Retirer le mal et ne laisser que la lumière. «Si tu ne te sens pas bien je peux te venir en aide.» qu’il souffle. «SI je peux faire quoi que ce soit pour toi.» qu’il se montre utile, cette fois.



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pretty much alive ( hedda ) - Mer 19 Aoû - 17:36

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”C'est que je me suis bien débrouillée, non? Si j'ai essayé de les fuir...” Une question timide, horrible. Des mots qui se cognaient à ses pensées, l'odeur du café lui chatouilla le visage tandis qu'elle contemplait les deux tasses.
Elle avait laissé Clemens parler, ne réagissant que maintenant, dans un calme étrange après toutes les révélations.
Devant elle, le jeune homme proposait de chercher du lait, du sucre, quelque chose, n'importe quoi. Hedda songea à proposer les tablettes de chocolat dans un des placards mais ne pu formuler le souhait d'aller les chercher. Peut-être pas tout de suite, peut-être pas maintenant.
La jeune femme secoua la tête négativement.
Attiré par les gens qui souffrent, avait dit Clemens. Hedda ne prenait conscience de cette phrase que maintenant : elle avait donc souffert, ceci n'était pas son imagination. Elle avait souffert parce que ces hommes lui avaient fait mal, lui avaient fait ce qu'elle ne voulait pas et c'était ça qui était pas bien : faire souffrir les autres.
Un inconnu la regardait droit dans les yeux et, comme chacun des hommes et des femmes qui peuplaient la vie d'Hedda à présent, lui confirmait qu'elle avait été la victime, non la cause de l'attaque.
Celle qui avait souffert.
Hémorragie interne, rajouta le garçon. Elle avait saigné de tant de façons cette nuit là...

Tu as fait beaucoup déjà en me ramenant ma chaussure. Merci...”

Perdue dans ses propres traumatismes, Hedda pouvait ériger bien des barrières face aux gens désirant l'aider. Même Eskel avait à faire face à des murailles par trop grandes parfois, quand bien même l'homme trouvait toujours le moyen de se faufiler jusqu'à elle, de l'atteindre et de la consoler. Sauf qu'il y avait encore des mots et du poison dans les pensées d'Hedda, cette petite voix méchante qui lui soufflait qu'elle le manipulait en se faisant passer pour une victime alors même qu'elle avait aguiché ces hommes.
Clemens avait été là pour voir, là pour sentir. Il apportait le regrd extérieur capable de faire taire la voix.

”Guérir les gens...ça doit être un pouvoir difficile.” Elle le croyait, ne remettait pas sa parole en cause. ”Il y a...quelque chose en moi désormais. C'est ce qui m'a fait revenir à la vie et je ne peux plus tomber malade.” Mais Clemens ne parlait pas de l'aider avec un simple rhume bien sûr.
”Je ne sais pas comment je me sens, et je suis gangrenée par tout ça en vérité alors non, tu te mettrais trop en danger à faire quelque chose. Je sais que parfois je me sens bien, que ces moments sont nombreux car il y a quelqu'un avec moi, des amis aussi.”

D'un mouvement du bras, la jeune femme désigna l'appartement. Sur une chaise, une chemise d'Eskel avait été jetée à la va vite, Hedda ne savait plus pourquoi. Il y avait plus de choses en général, plus de choses que dans son petit appart où elle avait vécu seule. Malgré tout quelque chose restait tendu dans le visage de la Valkyrie, mais elle acceptait la peur de la même manière qu'elle acceptait de la combattre. Sa vie n'était pas terminée malgré la douleur, une douleur qui ne partirait jamais vraiment non plus, se fondant en elle pour la redéfinir hélas. Cette même douleur qui avait attiré l'esprit de la Valkyrie également...

”Mais...si jamais tu trouves une piste quelconque pour les coupables, ça m'aiderait beaucoup.” Et si quelque chose dans les yeux d'Hedda se fit soudain d'ombre et d'acier, le sourire qui lui fendit le visage rappelait la jeune fille d'avant tout cela. Un contraste étrange qu'elle-même ne savait manier, cette dureté qu'elle pouvait avoir et par le même temps, le souvenir de ce qu'elle avait été.

Elle se leva finalement, allant elle-même chercher le chocolat qui lui avait traversé l'esprit quelques instants auparavant. ”Sers toi, moi je vais pas me gêner”
La jeune femme attrapa la chemise sur la chaise aussi, l'enfilant comme une veste d'intérieure et le café qu'elle but ensuite avait le parfum des baisers d'Eskel parfois.

”Je ne suis pas encore retournée dans ce parc... Un jour j'essayerai. Revoir l'endroit, pas pour me faire mal mais parce que c'est...nécessaire. Certaines choses le sont. “



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ANNEES : 31 ans, mais un vrai visage de gamin.
CŒUR : en couple, mortel éprit de la divinité à laquelle il s'est lié.
RÉINCARNATION : simple mortel doté d'un pouvoir de guérison.
TALENT(S) : prophète aux mains salvatrices, adoucissant les maux et collectionnant les blessures. Son sang précieux, drogue certain, guérit les blessures et tue les dieux.
FACTION : sans faction, ancien calavaurien
OCCUPATION : depuis qu'il a quitté la calavera on le retrouve sur twitch pour occuper ses journées. Il espère pouvoir se faire engager par le journal de la ville comme photographe, mais pour ça il faudrait qu'il sorte un peu plus de chez lui.
GENÈSE : conscient depuis l'enfance d'être doté de pouvoirs surnaturels, il connait l'existence des dieux depuis son arrivée à Arcadia.
TALON(S) D'ACHILLE : la solitude, le rejet. Aura.
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pretty much alive ( hedda ) - Mer 14 Oct - 23:12

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Il n’a jamais été très doué, avec les gens.
C’est un fait qu’il ne cache pas, qu’il ne dément pas non plus même si au fil des mois, il a eu tendance à s’améliorer avec les autres. Un miracle qu’il réussisse à ne pas dire trop de bétise, acquiesçant vivement. « Bien entendu ! C’est très très bien même, tu t’es très bien débrouillée je suis certain. » qu’il confirme, même si il ne pouvait pas savoir les détails de l'attaque, il fallait juste rassurer, quitte à mentir ou enjoliver la réalité pour apaiser la conscience.

Au sucre et lait elle dit non, alors il reste en place, grande tige qui tentait de se faire toute petite dans l’appartement en s’asseyant de nouveau sur le sol puisqu’elle n’avait pas besoin qu’il bouge, le tapis confortable finalement et l’envie de se recroqueviller dans un coin primant sur le reste. Aider, faire pour les autres. Il tente, toujours, mais face à une situation où il se sent inutile il lui est impossible de ne pas largement culpabiliser. Guérir les gens, pouvoir difficile d’après elle. Il était surtout source de tourment il avait découvert, et cause de sa propre perte, aussi, dans la finalité. Il acquiesce sans rien dire de plus, d’accord finalement avec cette difficulté, tant dans ses réussites que ses échecs. Mais au final,  peut-être, qu’il avait réussi. Peut-être qu’il n’avait pas aider pour rien, peut-être que la créature qui l’habite, description maladroite faite par quelqu’un ignorant tout de ce monde avant sa mort il suppose, avait eu le temps d'intervenir finalement grâce au temps qu’il lui avait peut-être fait gagner. Dans la finalité, elle était de nouveau vivante, entière. Et c’est ce qui compte le plus. A ses mots il secoue la tête. « Je ne crains rien, si jamais tu as besoin d’aide. J’ai.. guéris beaucoup de chose d’un coup, avant toi. J’étais épuisé. Depuis je suis un peu au repos forcé. Mon corps est guéri, mes pouvoirs se sont renforcés, aussi. Si jamais tu as besoin d’aide.. Je peux être là. » Il a déjà échoué une fois il ne recommencerait pas, quand bien même c’était dangereux pour lui comme elle le soulignait, le danger pour sa personne balayer. Bien qu’il est des choses à perdre désormais, Clemens semblait conserver ce sentiment de fatalité par rapport à ce qu’il est. Ce qu’il avait souligné à Aura plus d’une fois quand elle protestait qu’il la soigne. Il était né pour être ainsi, éponge à blessures jusqu’à son épuisement fatidique.

Elle désigne l’appartement, parle de ces gens là pour elle et il observe autour d’eux, un peu plus en détail. Sur une des chaises au comptoir de la cuisine une chemise bien trop grande pour lui appartenir, dans laquelle il nagerait lui aussi malgré sa taille de géant. Un homme donc, qui vivait ici. C’était quelque peu rassurant, il note. C’est qu’elle n’avait pas peur de tout le monde comme elle avait pu avoir peur de lui. Après tout, il restait un inconnu et elle pouvait, voir devait se méfier de lui. L’important au final, c’est qu’elle ne soit pas seule, qu’elle est d’autres gens pour la soutenir. la solitude, c’était le pire après un traumatisme, il note. Il sait. « je suis content que tu sois entouré en tout cas. Cela aide énormément, il paraît. » il marque une pause, avant de continuer. « Si je trouve quelque chose je te le ferais savoir immédiatement bien sur. Je ne suis juste..Pas capable de… D’aider autrement. » Pas comme Jan pouvait le faire avec son flaire, pas comme Aura était capable d’espionner la totalité de la ville. Pas un grand talent hormis celui d’être présent, d’essayer.

Elle se lève et va dans la cuisine, ouvrant un placard précis et en ressort un emballage métallique qu’il reconnaît de loin, lui si friand de bonbons et sucreries qu’elle apporte, non sans récupérer le vêtement sur la chaise qu’elle enfile - définitivement ne lui appartenant pas, elle devait être au gars, Eskel, dont Jan avait parlé - avant de s'asseoir sur le canapé de nouveau, et de lui offrir la possibilité de manger, lui aussi. Le chocolat, un souvenir d’un livre, d’un film ou l’on disait que le chocolat pouvait aider à apaiser la peur, remonter le moral tel de la magie.  Il ne se prive pas non plus tel qu'elle l’indiquait, coupant un carré dans lequel il mord avec beaucoup plus de retenue qu’il ne l’aurait dans son propre foyer, toute petite bouchée prise, pour en profiter plus avec son café. « Cela aide, il parait, oui. J’y suis aller, moi...Je sais pas. Je voulais juste des réponses. Ma copine a fini par me dire d’arrêter parce que tu n’allais pas apparaitre par magie, ce qui était le cas. Au moins elle m’a aidé à rester sain d’esprit. » Aura n’était pas capable de trouver son esprit, un fait dont il n’allait pas parler directement et ouvertement, mais maintenant qu’elle était face à elle c’était facile de comprendre pourquoi Aura ne voyait jamais son fantôme, nul part. Elle n’était simplement pas morte.

Cela devait être difficile pour l’italienne, il se dit, souvent. Culpabilisant sur les émotions le parcourant, de sa peur, à sa peine qu’elle était capable de ressentir et qui l’inquiétait, il le savait. C’était le soucis lié à leur lien, elle était capable de l’entendre dans les mauvais moment, capable de savoir où le retrouver, mais difficilement comment l’aider. Une bien difficile place. Clemens croque un autre bout de chocolat, préférant parler de choses moins tristes. « Elle sera contente de savoir que tu es en vie. » qu’il commente, malgré le chocolat dans sa bouche. Au moins Clemens arrêtera de se sentir mal, soulageant au moins leur vie quotidienne de ce poid maintenant qu’il connaissait la vérité, qu’il était prêt à l’affronter.  

« Si jamais tu as envie d’apprendre à te battre elle peut surement te donner quelques conseils. Elle m’a laminé, en m’apprenant le combat rapproché. » dans des situations bien compliquées qu’il n’exposera pas, bien entendu. « Mais avec la force que t’as à mon avis maintenant tu peux réduire en bouillie le moindre connard. Tu fais mal. » qu’il s’amuse, même si oui il avait encore un arrière gout du mur qu’il s’était pris. C’était pas grave, il n’allait pas en pleurer et avait souffert bien plus, ce n’était rien. « L’offre tiens tout de même, en tout cas. On se connait pas, mais je veux m’assurer que tu ailles mieux, bien. Je te dois au moins ça, à défaut d’avoir pu faire plus pour toi. » a défaut de l’avoir sauvée. « Même si c’est juste passer à la maison manger du gâteau au chocolat, par exemple. Même si je ne te force à rien bien entendu. Je m’inquiète simplement. » qu’il souffle, le café de nouveau porté aux lèvres.



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pretty much alive ( hedda ) - Jeu 22 Oct - 21:27

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Très bien débrouillée alors que pourtant elle en était morte? Oui, peut-être et après tout, pourquoi pas? L'idée avait peut-être quelque chose de sombre, de sacrilège sauf qu'Hedda voulait y croire.
Ses yeux sombres restaient posés sur Clemens au fur et à mesure d'autres mots, d'autres phrases. Silencieuse lorsqu'il le fallait, elle tâchait de répondre en prenant soin à ne pas couper la parole. Clemens parlait vite, Clemens parlait beaucoup, Hedda ne pu s'empêcher de penser à un oiseau minuscule battant des ailes à un rythme effréné quand bien même l'homme sur le canapé n'avait pas la même envergure qu'un petit colibri.
Finalement, ce fut elle qui bougea, ramenant à la fois le chocolat et la chemise d'Eskel. A présent vêtue du vêtement, un certain poid semblait enlevé des épaules de la jeune femme.

Hedda paraissait plus calme, allant jusqu'à redresser la tête, les épaules. Cela était ainsi : lorsque la jeune femme portait quelque chose d'Eskel, sa propre posture s'en trouvait améliorée jusqu'à montrer un autre visage d'elle. Une image plus sereine, plus autre chose aussi, et cela n'était pas que le visage, cela était le corps entier.

”Merci...” Les pouvoirs du jeune homme étaient-ils semblable à ceux d'Anatoli? La jeune femme n'osa pas poser la question, craignant que cela soit impoli de demander ainsi.
Elle ne cilla pas tandis que Clemens avouait être retourné au parc. Son seul geste fut de pencher la tête légèrement sur le côté, regard voilé vers une nuit qu'elle ne voulait pas revoir, pas revivre.

”En ce cas j'y retournerai, pas pour des questions, pas pour des réponses mais...” Encore une fois, la jeune femme ne parvint pas à finir sa phrase.
Elle soupira, se passant une main sur le visage. Inspirer, expirer. Elle était Hedda et un peu plus que cela car la chemise d'Eskel lui semblait comme l'armure étincelante d'une Valkyrie.

”Mais pour voir l'endroit où je suis morte et où j'ai changé.” Un sourire étrange se dessina sur ses traits. ” Je ne suis plus morte maintenant.”

La jeune femme hocha la tête. ”Pardon pour le mur, c'était une réaction instinctive, idiote. J'essaye d'en avoir moins, de réfléchir plus mais pas trop non plus, pour pas que mes pensées perdent les pédales elles aussi. Mais j'ai rien contre apprendre un bon coup de pieds retourné.”

La perspective d'un gateau au chocolat était intéressante elle aussi, et que Clemens parle d'une présence féminine avec sa petite amie rassurait la jeune femme. Celle-ci finit par tendre la main vers le thaumaturge, sauf que dans la grande manche du vêtement, les doigts dépassaient à peine.

”On est amis alors, Clemens?”

Et cela était un test, pour elle, pour lui. Que quelqu'un ailleurs qu'à Ikaros puisse se montrer capable de lui serrer la main tout en sachant que la jeune fille avait été un cadavre un jour. Dégradé, le corps d'Hedda l'avait été de bien trop de manières...

”Je vais mieux, tu sais? J'ai un peu peur de dire cette phrase comme si ça voulait dire qu'on pouvait ne plus me prendre au sérieux sauf que c'est vrai. Il y aura toujours des nuits où je ne dormirai pas je suppose mais je ne suis plus seule. Je suis amoureuse aussi et je parle certainement trop mais... c'est sympa de se l'entendre dire à haute voix, que l'on aime quelqu'un. Simplement comme ça.”

Et, croquant un nouveau carré de chocolat, Hedda ne put s'empêcher de pouffer de rire.

”Désolé, c'est mon côté fille de la campagne. Merci de m'écouter en tout cas... je refais un café?”



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