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we're going back to the future (siobhan)

 :: - ARCADIA'S SEASIDE - :: the bay
number 4
Pace Adimari
BLAZE : rage
CREDITS : ava/aes: rage & gif : jules ♥
FACE : tom hardy
DOLLARS : 2377
SACRIFICES : 151
PORTRAIT : we're going back to the future (siobhan) Tumblr_inline_o4l7qe0oLU1qd6myy_500
ANNEES : 38 années
CŒUR : la forêt s'est heurtée au brasier, la rouquine dans les pensées.
RÉINCARNATION : Héphaïstos, dieu du feu et de la forge.
TALENT(S) : technokinésie; pyrokinésie; croque-mitaine.
FACTION : ancien de la camorra, mafia quittée et neutralité arborée le temps de calmer l'esprit et trouver la paix.
OCCUPATION : sous-gérant du silver arrow, ancien militaire cannonier-mécano de deux guerres..
GENÈSE : primus / stade 5
TALON(S) D'ACHILLE : sa crédulité.
JUKEBOX : johnny cash - god's gonna cut you down.
RUNNING GUN BLUES :

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we're going back to the future (siobhan) D9b9night shift
sybille I
ψ
satisfaction
nemesis & héphaïstos
ψ
running up that hill
aislinn & pace

number 4
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we're going back to the future (siobhan) - Mar 3 Nov - 22:04



we're going back to the future

@Siobhán Kearney@Pace Adimari

www


Pas vraiment son élément,
c’est le moins que l’on puisse dire. Pourtant, à quelques semaines de l’arrivée du bébé, quelques jours même qui sait, c’était l’heure des derniers préparatifs, des meubles à trouver des bibelots à trouver pour aménager aussi le restant du logis. Une maison partagée prouvant que ces derniers mois, beaucoup de choses avaient évoluées. Impossible pour lui de s’imaginer au milieu de stands tous plus mal organisés les uns que les autres, entassés d’objets en tout genre. Des antiquités qu’il juge comme tout compagnon le ferait, au hasard, appuyant les dire de l’herboriste sans vraiment comprendre la différence qu’un bateau en bois pourrait faire dans la chambre de leur fils Le nez se dirige vers les miroirs, lourds, ornés, dans lequel il pouvait voir son reflet du coin de l’oeil. Un bref regard, anodin, qui s’était intensifié. Fixé sur son image, un long moment à se détailler,parce qu’il n’arrivait simplement pas à arrêter. étrange, mais sans conséquence, qu’il imagine, lorsque Siobhan l’interpelle et le sort de sa spirale, les deux reprenant leur chemin comme si de rien n’était.

C’était le matin,
il était tôt, très tôt même et pourtant de la cuisine se dégageait déjà une odeur de cuisine. Le petit déjeuner était en cours de préparation, le gâteau venait de sortir du four. Le glaçage était dans son bol, mélangé avec maladresse par la benjamine présentement assise sur un des sièges du comptoir tandis que l’homme à côté d’elle, son frère aîné revenu à la maison pour le week-end, observait le chef pâtissier.  Enfin, leur père. « Papa, tu crois pas qu’on pourrait aller juste à Walmart acheter un gâteau comme tout le monde ? » Que soupire Elio, du haut de ses vingt-deux ans. Exaspéré par son père il lève les yeux au ciel quand celui-ci secoue la tête. « Mon poussin, tu sais bien que c’est bourré de produit chimiques ces trucs là, tu veux empoisonner ta famille c’est ça ? Et puis le gluten ! Très mauvais idée le gluten. » l’italien s'exclame, l’italien répondant à celui de son fils comme ils le faisaient souvent> Comme si leurs origines restait malgré le gaélique aussi parlé dans cette maison. Un mélange des cultures qui pourtant fonctionnait bien à en croire les marmots dont les photos ornent les murs du salon et l’alliance au doigt du dieu grec qui s’affaire à découper les étages du gâteau au chocolat - sans gluten - pour les quinze ans du puîné.  « Tu vas nous empoisonner si ton truc est pas cuit » que l’ainée continue, bien décidé à embêter son père. En temps normal, on aurait dit tel père, tel fils. Pourtant ce n'était pas un temps normal, puisque le dieu ne fait que répondre un sourire, trop calme, pour être lui-même. « Veux-tu que je vérifie la cuisson de tes sourcils aussi ou ça va aller ? Parce que je vais me faire un plaisir. » qu'il claironne, trop serein, trop guilleret pour correspondre à son caractère habituel.
Trop sautillant.

Pas normal.
Ce n'était pas la seule chose anormale se déroulant aujourd'hui.
Ils n’en avaient juste aucune idée
 

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poison ivy
Siobhán Kearney
BLAZE : honey.moon ou le chat
CREDITS : all souls (ava) bandersnatch et jenesaispas (aes profil)
FACE : jessica chastain
DOLLARS : 2271
SACRIFICES : 4327
PORTRAIT : we're going back to the future (siobhan) Tumblr-ofm3vt-Hh9-L1vdr7syo8-250
ANNEES : l'apparence figée dans ses quarante et une années (sept. 78)
CŒUR : doucement réchauffé par le dieu forgeron qui en a relancé la mécanique
RÉINCARNATION : airmed, déesse irlandaise des plantes médicinales ; guérisseuse, empoisonneuse, enchanteresse
TALENT(S) : phytokinésie / contrôle des toxines--par le toucher / connexion végétale / superphysionomie / vérité oculaire
FACTION : an riocht, de retour à la maison
OCCUPATION : ma petite entreprise ne connaît pas la crise ; herboriste - fleuriste - fabricante de cosmétiques - produit des substances divines (propriétaire d'Emerald Garden & l’Élixir) ; supervise la production de nectar à la distillerie
GENÈSE : (primus) stade 7 ; essence retrouvée dans cette vie pour protéger le ventre qui s'arrondit de jour en jour
TALON(S) D'ACHILLE : la tarte au citron - ses enfants - les feux de forêt
JUKEBOX : The Cinematic Orchestra - Arrival of The Birds & Transformation | John Tavener - Funeral Canticle
RUNNING GUN BLUES :
we're going back to the future (siobhan) U7zg

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we're going back to the future (siobhan) R9QyQbM we're going back to the future (siobhan) PG00EUa
'Cause I wanna touch you baby, and I wanna feel you too. I wanna see the sunrise on your sins just me and you ; light it up, on the run, let's make love tonight. Make it up, fall in love, try.

we're going back to the future (siobhan) JcCnDZF
« Spending time with you showed me what I've been missing in my life. I have to thank you for giving me the greatest gift ever. I'm scared but If someone asks me, i think i'll answer that the rest of my life looks like you. » ღ pinterest

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we're going back to the future (siobhan) Meabh
« I know it hurts, it’s hard to breathe sometimes. These nights are long, you’ve lost the will to fight ; your heart’s a bird without the wings to fly. But you are not alone, I’ve been here the whole time singing you a song. I will carry you » ღ pinterest

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we're going back to the future (siobhan) Lf98YmB we're going back to the future (siobhan) 6Fc9J6t
S.K.
la cité des mâles veille sur le quartier des lunes ; elles veulent y faire leur place et doivent y bouffer du bitume ; de peines, de vaines, tenaces, elles brillent d'audace ; s'enflamment, un flegme, qui brûle ; si belles. bien plus qu'au soleil.

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ANGER AND TEARS
Is that all that's left us after hating all these years? In a house full of anger and a heart full of tears

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« They say mother earth is breathing with each wave that finds the shore ; her soul rises in the evening for to open twilight's door ; her eyes are the stars in heaven watching o'er us all the while, and her heart it is in Ireland, deep within the Emerald Isle. »

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we're going back to the future (siobhan) DFIEDNB
[size=8]Help me out here. All my words are falling short and there's so much I want to say. Please forgive me ღ kearney-killough


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POISON IVY
They used to call me Poison, like I was Poison Ivy. 'Cause I was filled with poison, but blessed with beauty and rage

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EMERALD GARDEN


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we're going back to the future (siobhan) - Jeu 5 Nov - 17:56

we’re going back to the future.

@pace adimari@SIOBHÁN KEARNEY

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situation RP:


octobre 2035


De bon matin, ce sont des odeurs de cuisine qui réveillent l’Enchanteresse. Du chocolat, des oeufs et des tartines, mélange des origines, de leurs repas d’ici et de ces petits déjeuners européens, dont certains membres de la famille ont gardé l’habitude. Une famille nouvellement recomposée, songe-t-elle, aux traditions déjà ancrées, aux projets qui se multiplient à toute vitesse, la pensée faisant naître un sourire à ses lèvres. Plus de joie et de hâte qui l’animent que de doutes et de peur, ses compagnons habituels… L'herboriste se sent reposée, sereine, malgré l’arrivée imminente du nouveau-né.
Bien loin de se douter que cette paix intérieure ne durera pas au delà du réveil.


Un pied glissé hors du lit, les yeux céruléens rencontrent un rayon de lumière. L’esprit encore embrumé par sa nuit de sommeil, Siobhan observe les grains de poussière et leur ballet sempiternel, avant de s’attarder sur les murs de la chambre. Dans la pénombre, elle sait déjà, avant de se lever, que quelque chose n’est pas normal .

Premier réflexe matinal, elle se rapproche de la fenêtre, écarte les rideaux pour inonder la pièce de ce soleil d'automne ; pâle et glacé.


Un choc.


Elle ferme les yeux une seconde. Les rouvre en tâchant d’aligner ses derniers souvenirs.

Mais rien ne correspond.

Ce n’est pas dans ce lit qu’elle s’est couchée hier.
Plus rien n’est à sa place.
Les murs de la maison lui semblent familiers mais ce n’est pas sa chambre.
Tous les meubles ont changé.
Les affaires disposées soigneusement ont totalement disparu, à quelques exceptions.
Sur la table de nuit, son livre de chevet et le bateau de bois rapporté du marché, se sont évaporés comme tout le reste.


L’angoisse commence à poindre alors, et avec elle, le besoin de trouver des repères :
- l’empreinte de l’italien de son côté du lit, des vêtements censés être à lui… - mais parfaitement pliés, ce qui la fait douter.
- son ventre rebondi, toujours là lui aussi, bien que son poids à porter lui confère l’impression d’avoir mangé des briques la veille…
Il est plus rond, peut-être ? Plus gros, en vérité, preuve en est du rictus hébété que son reflet dans le miroir renvoie à la divine. Quelques mots affolés lui échappent en gaélique, et, après avoir couvert son corps d’un peignoir en satin - jamais vu de sa vie - la future mère se précipite en dehors de la chambre.

Sa course ralentit à mesure qu’elle s’avance. Dans le vaste couloir, elle reconnaît pour de bon sa maison sur la baie, même si l’espace aménagé et le décor ne sont pas ceux qu’elle connait. La prudence est de mise lorsqu’elle entend des conversations emmêlées en italien ; la langue à peine apprise pour pouvoir prendre part aux discussions de l’Olympien et de son fils, qu’elle semble pourtant parfaitement maîtriser…
Au milieu de ces voix, enfin un timbre rassurant qu’elle reconnaît : celui de son amant.

« Pace ? », elle demande, le ton bien trop fluet pour se faire entendre, au beau milieu des échanges animés… et de ces rires d’enfants.

Interpelée, la Belladone pénètre enfin dans le salon. Pour l’y accueillir, deux canidés enthousiastes - là encore, différents. Plus de poils et de bave, ne peut-elle s’empêcher de penser, une grimace dégoûtée déformant son visage.
Malgré tout, elle se laisse renifler.


Ce sont deux bras qui l'entourent ensuite, des pas qu’elle n’a pas entendu venir ; une silhouette aussi haute que la sienne, arrivée dans son dos, qui la contourne et fourre son nez dans le creux de son cou. « Ca va ? », s’enquiert le joli cœur adolescent, complice et tendre avec sa mère, aux petits soins surtout depuis qu’elle est enceinte.

Un moment de flottement.

Les poumons de Siobhan se gonflent d’air, tandis qu’elle dévisage l’enfant. Ses yeux à elle, les traits de Pace et de son propre frère. Elle ne sait quoi répondre, quoi penser. Si ce n’est qu’elle devient folle, peut-être ? C’est alors qu’une bouille ronde traverse le salon et s’accroche à ses jambes, la gratifiant du plus beau nom du monde : maman.
Par dessus son gros ventre, elle ne peut même pas distinguer la fillette.

« Viens Enat, tu t’es même pas débarbouillée ». C’est son frère qui la prend dans ses bras, sérieux et calme, déterminé et responsable. « Je veux finir mon exposé avant d’entamer les costumes », dit-il, en essuyant les doigts tout sales de la gamine et son sourire de confiture. Puis son minois se tord en un rictus mi-amusé, mi-sidéré, présageant une information spéciale dans la suite de son discours : « Au fait, papa fait un gâteau… Vous avez parié un truc ? »

A quelques mètres, elle peut voir en effet le brasier qui s’affaire aux fourneaux. Avec lui, un jeune homme et une chevelure rousse qui lui tournent le dos. Encore deux inconnus.


« Oh seigneur, mes gants ! ». L'exclamation est immédiate, et couvre tous les bruits de la maison. L'Empoisonneuse retire sa main, abandonnant les petits doigts potelés qui s'étaient glissés dans les siens, par habitude. « Quoi, tes gants ? T'en as plus besoin... », affirme alors l'adolescent aux cheveux roux, la mine sceptique et les sourcils froncés.


De cet ahuri qui n'a pas quitté son visage depuis qu'elle est sortie du lit, l'irlandaise contemple ses phalanges, diaphanes comme de coutume, et pourtant réhaussées d'un éclat rutilant. Une alliance qui scintille.

Elle regarde son fils, puis le brasier au loin.

« Je crois que je vais m'évanouir ».

Dieu bénisse Poltronesofà, l'herboriste se laisse mollement tomber dans un fauteuil en cuir.  

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