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hell'come home #mattërá

 :: abandonnés
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forces de l'ordre
Matthew Snape
BLAZE : Sev'
CREDITS : Hannibal (vava) + siren charms (sign)
FACE : Jake Gyllenhaal
DOLLARS : 3950
SACRIFICES : 370
ANNEES : 38 ans.
CŒUR : Célibataire.
RÉINCARNATION : Siegfried du panthéon Nordique.
TALENT(S) : L'appel du héro - Ne jamais lâcher prise
FACTION : Les Forces de l'Ordre.
OCCUPATION : Capitaine de l'ACPD.
RUNNING GUN BLUES :
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{ MATSTRID }
Attrape moi si tu veux, mais ne peut pas celui qui le veut. Astre tentateur malgré toi, telle est à jamais ta loi. Condamné à te chasser, dans la nuit tu m'a échappée.
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hell'come home #mattërá - Jeu 28 Nov - 0:22

Hell'Come

My heart is like a haunted house, there's things in there that scratch about. They make their music in the night, and in the day they give me such a fright




Cela faisait une bonne petite semaine que le capitaine de police Matthew Snape était fausse en couple avec Saëra. Une petite combine, un plan machiavélique qu'ils avaient mit en place le temps d'un repas faussement organisé par leur amie en commun pour les mettre en couple. Ils avaient donc décidés de jouer le jeux, mais de façon tellement intense qu'ils voulaient mettre la pauvre Irène dans l’embarras de la situation. D'après les premiers échos de ce premier repas et des retrouvailles, tout c'était bien passé suivant le plan mit en place par le faux couple et le suçon avait fait des émules. Comme quoi, rien ne valait mieux qu'un support visuel plutôt que des mots dans ce genre de situations. Ils avaient donc suivis le plan, s'envoyant de faux messages d'amour, de désir, il devait bien l'avouer, il se prenait au jeux. Elle avait autant de répondant que lui et sous les mots doux, ils pouvaient lire les piques et autres méchancetés qu'ils pouvaient s'envoyer.

Une semaine après, ils avait décidés d'un soir ou elle pourrait venir. S'ils voulaient que tout soit parfait, il fallait qu'elle connaisse un minimum l'appartement du capitaine, si Irène devait venir à un dîner et ce serait forcément le cas, il fallait que Saëra sache ou trouver quoi dans l'appartement pour feindre la vérité. Elle allait donc faire le repas et Matthew quitta le poste un peu plus tôt pour aller faire les courses qu'elle lui avait donnée à faire et surtout faire un bon coup de ménage. Cela faisait un moment qu'il ne l'avait pas fait et il ne voulait pas se prendre de remarques, même si dans les faits, elle allait en faire. L'appartement, ou loft en l’occurrence fut remis à neuf en quelques heures. Le bois, élément essentiel de son environnement était propre et la cuisine implacable. Les chambres bien faites et la sale de bain nickel. Il n'aurait pas imaginé faire autant d'effort pour une fausse petite amie de passage.

L'entrée donnait directement sur le salon, salle a mangée et cuisine ouverte. Il y avait une grande baie vitrée qui donnait sur un balcon qui était assez grand. Un escalier menait aux deux chambres et à la salle de bain. Ce n'était pas immense, mais il y avait de grands espaces et surtout beaucoup de luminosité. Il eu à peine le temps de prendre une douche et se changer en un simple jean et une chemise blanche qu'elle était déjà la. Parfum et déodorant et le voilà qui ouvre la porte à la jeune femme tout en regardant l'heure à sa montre.

« Parfaitement à l'heure à ce que je vois! Quel plaisir de te revoir! Tu es parfaitement ravissante Saërá. »

Il la fit entrer et referma la porte derrière elle.

« Bienvenue chez moi... nous? Tu as l'air parfaitement heureuse de venir ici. J'imagine que tu as déjà de nombreux plans diaboliques ? »

Il lui fit simplement la bise comme une personne civilisée. Ils avaient beau jouer aux apparences, il n'allait pas non plus trop en faire lorsqu'ils n'étaient que tous les deux.



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hell'come home #mattërá - Jeu 28 Nov - 15:39

Hell'Come

You hit me once, I hit you back. You gave a kick I gave a slap. You smashed a plate over my head, then I set fire to our bed


Il y avait une semaine maintenant que la jeune femme avait vendu son âme au diable. Si ce n’était lui, c’était au moins l’un de ses larbins à la recherche de ses cornes. Accepter d’être un pion dans le plan machiavélique pour remettre Irène à sa place – gentiment bien évidemment – définitivement, ne s’avérait pas être de tout repos. Peut-être même était-ce pire de jouer les faux-couples que d’en être réellement un. Il y avait un tas de paramètres à prendre en compte. A commencer par ce téléphone qui ne cessait de vibrer au fin fond de sa poche : si c’était d’un agacement sans fin, elle n’avait en revanche aucune aptitude à simuler son amusement face aux sms qui lui étaient envoyés. Matthew Snape, aka Servilius à ses heures perdues, s’avérait être un divertissement sans fin, et surtout, son imagination était débordante. Un simple message destiné à prendre de ses nouvelles s’achevait avec une langoureuse déclaration subtile et une pique encore plus sous-jacente. Y répondre était tout aussi délectable, et le sourire porté sur ses lèvres n’était jamais feint. Rien que cela suffisait à faire jubiler leur victime qui ne pouvait que se réjouir d’avoir réunie deux âmes dont elle était persuadée depuis le début qu’elles avaient tout pour s’entendre. Tout ? Peut-être ne fallait-il pas exagérer non plus. Le second paramètre était un peu moins agréable, cependant, la jeune actrice n’en montrait jamais rien : le contact. Très important, il était indispensable sitôt que Snape et elle se voyaient : de petits baisers à baiser langoureux, de taquineries tactiles à câlins improvisés… Tout était bon pour faire croire à leur histoire et surtout à la passion qui était censée en ressortir. Même en cela ils étaient doués. C’était effarant en toute sincérité. Cependant, cela fonctionnait : Irène croyait dur comme fer à leur histoire, aussi la chute ne serait-elle que plus savoureuse. Ce fut sur cette pensée que la jeune femme déposa son dernier petit os dans la boîte prévue à cet effet, achevant sa tâche de rangement. Journée terminée, elle n’eut plus qu’à remettre ses notes à son mentor avant d’ôter sa blouse et de récupérer ses affaires… tombant sur Irène dans la foulée. « Alooors ? On va se faire un peu de shopping ? » Le fameux rituel de fin de journée lorsqu’elle se terminait bien plus tôt qu’à l’accoutumée. Enfilant sa veste en cuir par dessus son petit pull blanc, elle déclina d’un signe de tête avec un air sincèrement désolé – et il l’était. Qui refuserait une journée shopping franchement ? – « Désolée, je passe la journée avec Matthew aujourd’hui… On a prévu de se faire un week-end en amoureux… Une autre fois peut-être ? » Et une autre fois aurait sans aucun doute la même réponse. Elle était bonne pour le shopping en ligne. Aucun doute, le gros point négatif de leur fausse relation était là, pointé du doigt. Adieu séances thérapeutiques de dépenses d’argent ! Hélas, pas d’air réellement déçu sur le faciès d’Irène : elle était réellement heureuse pour ses protégés. La peste soit des entremetteuses ! Un signe de main, puis cette dernière sur le volant pour achever les derniers préparatifs de sa journée à venir.

Il avait été convenu qu’elle passerait effectivement la journée avec le responsable du bien-être de son compte en banque, et ce, à des fins purement stratégiques. Elle devait connaître l’appartement dans lequel il vivait, s’en imprégner totalement et être capable de s’y repérer presque les yeux fermés. En échange, elle cuisinait. Raison pour laquelle elle achevait d’acheter les derniers ingrédients essentiels à sa mission. Elle avait d’ores et déjà envoyé une liste à son faux petit-ami, cela étant, elle ne lui faisait pas encore assez confiance pour trouver une viande d’excellente qualité ou même des légumes frais. Cela, elle préférait encore s’en charger. Une fois la mission accomplie, un dernier petit tour chez elle pour prendre une douche et changer de tenue, troquant la tenue citadine pour quelque chose d’un poil plus décontracté, non moins habillé et surtout, ne la faisant pas passer pour une lycéenne, puisque tel était plus ou moins le reproche fait. Un mot pour sa colocataire au feutre noir accompagné d’un smiley amusant avant d’attraper son petit sac de voyage dans lequel se trouvait l’indispensable pour faire croire à un début de ménage en couple. Elle avait réussi à prendre quelques unes de ses affaires favorites pour appuyer la fausse réalité, à contrecœur évidemment, avant de reprendre le volant de son SUV noir pour se rendre à l’adresse indiquée. CORNUCOPIA DISTRICT… Le capitaine de l’ACPD était-il un grand écolo ? Elle était curieuse de le savoir. Se garant finalement sur une place libre, elle prit la direction de l’immeuble avec ses affaires, sonnant finalement à l’appartement indiqué.

Accueillie par son hôte, elle prit le temps de l’observer un instant avant d’hausser un léger sourcil sous son compliment. Louche, c’était louche. Un compliment n’était jamais gratuit ou cachait un mauvais tour. « Merci ? Est-ce que tu peux me prendre ça ? » Laissa t’elle finalement couler, lui tendant les derniers sacs de courses. « Si tu peux mettre la viande au frais rapidement, ce sera super. J’espère que tu aimes le veau. » Auquel cas, tant pis pour lui. Pénétrant enfin dans l’antre du Héros dont l’aura éclatante lui était visible, elle posa son sac à l’entrée avant d’enlever sa veste et de défaire ses chaussures pour terminer pieds nus, laissant le voile de sa longue robe couvrir ces derniers et amorçant une légère visite. « Waouh. C’est… lumineux ici. » Elle n’eut pas le temps d’en dire guère plus, ni même de répondre à sa remarque que déjà la bise était déposée sur sa joue, ne lui laissant que le temps de la recevoir et non de l’esquiver, ce qu’elle aurait fait si elle l’avait vue venir. Au lieu de cela, elle s’avança dans l’appartement, prenant le temps d’observer l’endroit, observant la décoration et la disposition des meubles qui pouvaient en dire un peu plus sur le propriétaire. « J’aime beaucoup. » Un regard pour la cuisine et un coup de foudre sans doute immédiat : il y avait de l’espace pour travailler, et pour quelqu’un comme elle aimant cuisiner, c’était sans conteste presque le paradis. « Si tu m’épouses maintenant, je te promets des petits plats jusqu’à la fin de tes jours, et des poignées d’amour dignes d’un flic bien portant. » Une boutade, avant qu’elle ne se dirige vers les baies vitrées et n’ait le plaisir d’observer la vue. « Tu connais le show on a échangé nos maisons ? C’est un nouveau concept que je viens d’inventer, je te file les clés de mon appart, et tu me laisses le tien. » La nuit ici, devait être tout simplement magnifique. Continuant le tour du propriétaire, ses prunelles ne purent que se porter sur l’étage. « J’imagine que c’est là-haut que toi et moi on fait plus ample connaissance ? » Un pied sur la marche d’escalier, invitant son hôte à la suivre et achever la première visite de l’endroit, remontant légèrement le long voile de sa robe pour ne pas marcher dessus. Portes fermées il ne tenait qu’à lui de l’inviter dans « leur » chambre.


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hell'come home #mattërá - Jeu 28 Nov - 17:02

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Il ne pouvait plus reculer maintenant, elle était la et ce jusqu'au moment ou elle voudrait partir. Il faisait entrer la démone dans son petit paradis de tranquillité, a voir comment tout cela ce terminerait. Il attrapa le sac de course qu'elle lui tendit et après lui avoir montré son affection tout a fait non-sincère, alla mettre le tout dans le frigidaire pendant qu'elle se déshabillait et visitait le premier étage.

« Rares sont les aliments que je n'aime pas ! Cela m'ira donc très bien ! »

De ce qu'il pouvait entendre, elle semblait apprécier ce qu'elle voyait. Comme elle le disait, avec les baies vitrées et les fenêtres traversantes, cela rendait la pièce très lumineuse. C'était un point fort lorsqu'il avait acheté ici quelques années plus tôt. Bien entendu, il y avait eu de très gros travaux comme la mezzanine au dessus d'eux. Elle lui avoua même que si il l'épousait maintenant, elle rendrait son mari heureux pour le restant de sa vie a base de bons petits plats et d'un physique digne d'un flic. Elle lui proposa même de faire un nouveau concept de s'échanger son appartement. Il haussa les épaules en revenant vers elle.

« Tu passe du mariage a l'échange d'appartement, je suis perdu. Je t'ai dis que je voulais que tu me surprenne pour ta demande de mariage tu as oubliée ? En tout cas content qu'il te plaise. »

C'était déjà un bon point ou un mauvais. Si elle s'y plaisait trop, il reviendrait bien trop souvent ! Le premier étage fait a la va vite, voila qu'elle voulait voir l'étage a présent. Il ne doutait pas une seule seconde qu'elle ne pouvait pas tomber sous le charme de la salle de bain avec la douche a l'italienne, la baignoire, mais aussi la penderie.

« Tu imagine mal, mais va y monde ! Apres toi. »

En haut des marches, il y avait le bureau qui faisait aussi office de chambre d'ami. Il donnait directement sur le bas et le salon. Une belle mezzanine toujours en parquet. Il y avait ensuite trois portes. Une pour les toilettes, l'autre pour la salle d'eau et enfin la chambre.

« A la base, c'était un grand espace ouvert. Pas très accueillant. J'ai préféré cloisonner un minimum. Fais comme chez toi... chérie. »

Raillerie et la voila qui ouvre la porte menant a la chambre.



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hell'come home #mattërá - Jeu 28 Nov - 17:56

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Ses prunelles n’avaient de cesse de papillonner dans l’appartement, sans qu’elle n’ose toutefois réellement investir de sa présence celui-ci. Discrète, elle ne se permettait que d’observer délicatement, sans insister sur les divers objets. Elle s’était presque attendue à un environnement typiquement masculin, mais tout semblait plutôt neutre, figé, sans doute en attente d’une personne digne d’allier ses goûts à ceux de l’homme. « Parfait ! » Laissa t’elle entendre distraitement, sans doute n’avait-elle pas réellement écouté son hôte à mesure qu’elle s’avançait sur la pointe des pieds, comme elle avait prit l’habitude de le faire. Indispensable quelque part dans sa tâche de voleuse. Toutefois, sa tête blonde s’attarda d’avantage sur la cuisine, qui ne lui tardait que trop de découvrir et d’investir totalement. Evidemment, de ce qu’elle pouvait constater, il manquait indubitablement certaines choses, ou peut-être n’étaient-elles pas rangées dans un endroit pratique. Elle découvrirait cela bien assez tôt, et aurait sans doute à cœur de désordonner le rangement de son amoureux pour permettre à ses paumes de trouver rapidement ce qu’elle souhaitait. Après tout, s’ils étaient supposés vivre ensembles et qu’elle était supposée cuisiner… il fallait que ce soit SON endroit à elle. Le laisser entendre à voix haute toutefois… non, elle le ferait bien plus tard, lorsqu’elle commencerait à mettre son bazar. Tournant sa silhouette vers Matthew, elle eut l’audace de laisser glisser son index le long de sa barbe, taquine. « J’avais espéré que tu avais oublié. Comment faire en sorte que tu me glisses la bague au doigt… Hmmm. Que je réfléchisse. » Ou pas. Elle estimait toujours que c’était à l’homme de faire sa demande. Sans doute conservait-elle ce petit côté romantique malgré elle, et traditionnel. Aussi s’éloigna t’elle doucement, caressant du bout des phalanges le canapé sur lequel malgré elle, elle aurait aimé voir un plaid chaud pour les soirées d’hiver qui s’annonçait. Secouant la tête, elle s’évertua à refouler les idées d’installation. Elle n’était pas chez elle, pas même pour de faux, et ses plaids étaient très bien chez elle, pas ques… Si. Il fallait absolument qu’elle en rapporte un. C’était l’indispensable d’une femme lorsque son amant rentrait tard.

Soufflant un rire sous sa remarque, elle ne put que tourner un visage espiègle vers lui, avant de prendre une petite mine abattue. « Vraiment ? Quel dommage ! » Un sourire amusé, avant qu’elle ne monte enfin, suivie de près par son faux amant, observant la première chambre avec intérêt, elle n’y resta pourtant pas longtemps avant d’ouvrir la seconde porte. Toilettes. Oui, indispensable. Il fallait qu’elle y loge une boîte. Pas nécessairement vide, mais significative de son installation et suffisamment convaincante pour qu’Irène comprenne qu’elle vivait avec l’homme. Les petits détails… La salle de bain eut l’audace de lui soutirer un gémissement de plaisir, alors qu’elle imaginait déjà ce qu’elle pouvait y placer. A côté, sa propre salle de bain faisait presque pitié avec juste sa baignoire. « Mon cœur, j’espère que tu me rejoins dans la douche ou la baignoire chaque fois que j’y suis, sinon je serai terriblement déçue… » Soupira t’elle à en fendre le cœur. « Quoi que. Je ne sais pas ce que je pourrai préférer le plus. Le plaisir que tu es censé me procurer, ou la jouissance de profiter d’un endroit pareil. » Un clin d’œil, avant de s’extirper rapidement de la salle de bain. « J’ai le droit de faire exprès de me tâcher pendant que je cuisine pour profiter d’un long bain brûlant ? » Qui ne tente rien n’a rien après tout. Continuant sa lancée, elle posa sa main sur la dernière porte. La chambre qui était censée être la leur. Un regard pour l’homme. « Mais qu’est-ce qui se cache derrière la porte numéro trois… » Un tour de poignet, et voilà qu’elle entre. C’était sans conteste la pièce qu’elle toucherait le moins. Pas tant qu’elle ne le méritait pas, mais parce qu’il s’agissait de la pièce la plus intime de la maison, celle où elle ne se sentait pas le droit de s’incruster. Et pourtant, elle y pénétra, sans ouvrir les placards mais s’asseyant sur le lit, testant ainsi le matelas avant de prendre une pose plus décontractée, charmeuse peut-être. « Je dors toujours du côté de la fenêtre, et je ne porte pas de pyjama. Je ne ronfle pas, je ne parle pas dans mon sommeil, et je ne bave pas. » Roulement d’yeux. « J’aime dormir contre toi et j’ai tendance à te prendre pour un oreiller. J’aime faire l’amour le matin et je déteste être en dessous. S’il te faut du graveleux pour tes collègues, je te laisse gérer, mais je n’aime pas être attachée. » Prunelles qui se ferment un instant avant qu’elle ne se laisse totalement tomber en arrière sur le matelas. « Ton loft est splendide, mais ne t’inquiète pas, je ne viendrais pas squatter pour autant. » Se redresse légèrement, avant de poser une main sur sa paume. « Sauf si tu te sens terriblement seul et que tu me laisses profiter de ta cuisine et de ta salle de bain. » Faciès taquin, avant qu’elle ne se lève finalement du lit pour sortir de la chambre.


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hell'come home #mattërá - Jeu 28 Nov - 18:34

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Oh il n'oubliait rien le capitaine ! Surtout la demande de mariage que la jeune femme devait lui faire et non pas l'inverse. Il ne croyait pas assez en l'amour pour se marier. Durant ses débuts a la police, le nombre d'appels qu'il avait reçu a cause de couples mariés l'avait dissuadé de ce genre de procédés.

« Il te faudrait au moins un miracle divin pour que je puisse te supplier de m'épouser. Au moins ! »

Et c'était peu dire ! Saëra était vraiment espiègle et cherchait a le déconcerter ou tout simplement entrait pleinement dans le rôle qu'elle avait. Matthew se demandait comment elle réagirait si lui aussi rentrait véritablement dans son personnage, cela pourrait être assez drôle de la voir perdre le contrôle en un sens. Mais ils n'en étaient pas encore la et ils firent rapidement le tour de la mezzanine ouverte avant qu'elle ne tombe sur la salle de bain et cela fit son petit effet. Pour commencer, lui faire miroiter quelque chose, pour finalement se raviser. Bien entendu qu'elle prendrait plus son pied toute seule a profiter de la pièce.

« Tu serais surprise que cet endroit est encore vierge de toutes... les images que tu pouvais fantasmer il y a un instant. Tout comme l'appartement a vrai dire. Je ne ramene jamais personne ici. Et si tu es si bonne cuisinière que tu le dis, ton chéri fera la vaisselle pendant que tu prendra un bain et peu être sera t'il assez généreux pour te montrer ou sont les bombes de bain et pourquoi pas t'offrir un massage des pieds, mais la, c'est que le repas serait divin. »

Lui aussi pouvait jouer et c'était ça qui était beau entre les deux. Toujours en train de se tirer l'un sur l'autre. Ce fut finalement au tour de la pièce maîtresse. la chambre. Saëra rentra, s'installa sur le lit et lui annoncé tout ce qu'il avait a savoir sur elle. Il imprima tout ca dans sa mémoire.

« Mince, moi qui préfere faire l'amour avant de dormir, c'est dommage ! Je garderais pour moi cette fausse relation. Mes collègues n'ont pas a savoir quoi que ce soit sur ma vie privée. Si tu veux passer au post, pas de soucis, mais ils n'auront pas plus de détails que la tenue que tu porteras et ton doux prénom. »

Elle n'aimas pas être attachée... elle n'était décidément pas faite pour lui ! Dans tous les cas, elle semblait réjouit de cet appartement et fit encore son petit numéro avant de sortir de la chambre, passant devant Matthew qui mit sa main a la poche pour attraper son portable qui vibrait. Le boulot encore.

« Contre un bon repas, je suis prêt a supporter ta présence dans mon loft. Fais comme chez toi je reviens dans cinq minutes. »

Il fila répondre au téléphone et dix minutes plus tard, il réapparu. Encore de mauvaises nouvelles et ca pouvait ce voir sur son visage, mais il allait tenter d'oublier la sordide histoire. Il se dirigea vers le petit poêle a bois et commença a allumer un feu pour réchauffer le loft pour la nuit.

« Alors dis moi, as tu dis a Irène que tu venais ce soir ? Elle devait avoir des étoiles dans les yeux non ? »

Il ne savait pas trop ou elle était, mais elle devait bien l'entendre depuis sa position. Il en profita pour allumer de l'encens.


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hell'come home #mattërá - Jeu 28 Nov - 19:16

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Levant ses prunelles au ciel, elle n’eut pas à attendre longtemps avant de rétorquer à sa réplique, non sans un sourire espiègle venant frôler ses lèvres une fois encore dépourvues d’artifice. « Je suis certaine que ça peut s’arranger ! Et après, tu seras coincé avec moi pour l’éternité ! Parce que je ne signerai jamais de papiers de divorce ! » Un rire faussement machiavélique s’extirpant de sa gorge avant qu’il ne se transforme en réel rire. Elle était ainsi Saërá, depuis son enfance, incapable de rester trop longtemps sérieuse, évanouissant celui-là sous un rire le plus souvent communicatif. Avait-elle jamais subi la colère de ses parents ? Jamais trop longtemps. Douce, acidulée, piquante, jusqu’à ce qu’elle se trouve un ennemi. Matthew Snape était encore loin d’être un réel antagoniste. Il était agaçant par moment, toutefois, depuis leur dîner, elle voyait en lui un compagnon de jeu. Il avait fait ses preuves, et plus d’une fois. Peut-être était-ce pour cela qu’elle ne pouvait s’empêcher de le taquiner et de flirter en même temps, consciente que les choses n’iraient pas plus loin. Elles ne pouvaient pas aller plus loin que les véritables baisers échangés pour leur comédie. Elle appréciait de l’asticoter sur le sujet le plus houleux de leur fausse relation, de lui susurrer les envies tangibles qu’elle lui retirait aussitôt. La salle de bain pour débuter, allez savoir où elle terminerait. Un regard plein de surprise, alors qu’elle se tourne vers lui. « Non ? Tu veux dire que personne n’a jamais utilisé cette salle de bain pour se laver ? Mince alors ! Qu'attendons-nous pour la baptiser ? » Voilà qu’elle se glisse sur la pointe des pieds pour humer sa fragrance. « Mais comment fais-tu alors pour masquer aussi bien l’odeur d’un corps aussi dégoûtant ? Tu te rapproches de plus en plus de Servilo Snape ! » Un rire, avant de reprendre son sérieux. « Je suis la première que tu ramènes chez toi ? » Un haussement de sourcil, en attente d’une réponse avant de reprendre son air espiègle. « Deal ? Je te prends au mot méfie-toi. » Une main tendue pour marquer le départ du défi, l’entendement. Jamais personne n’était repartie écœuré de sa cuisine, c’était sa passion. Elle aurait put intégrer une école de cuisine, mais elle n’aimait pas se presser pour un art aussi savoureux, et par dessus tout, elle ne cuisinait que pour ceux qu’elle appréciait. Pour Snape, elle ferait un effort.

Un sourire amusé, avant qu’elle ne se relève doucement, séparant la distance qui les séparait d’un air lascif, se glissant sur la pointe des pieds pour glisser ses lèvres contre son oreille. « J’aime faire l’amour à toute heure, mais plus tôt la journée commence… » Le flirt, une fois encore, quoi que l’on frôlait dangereusement la séduction, alors que le lobe de l’oreille se glissait dangereusement entre les lèvres de la jeune femme. Elle avait beau n’avoir eu qu’un homme dans sa vie, elle n’avait jamais précisé le temps de la relation, ni l’état de cette dernière, et encore moins comment s’était déroulée son aventure avec une femme. Un virevoltement, avant qu’elle n’éclate de rire. « Je peux éventuellement passer au poste pour te déposer ton déjeuner, si cela peut renforcer l’illusion que nous sommes ensembles. » Elle n’en ajouta guère plus, ce n’était pas utile. C’était Irène qu’il fallait convaincre, pas le monde entier. Aussi reprit-elle le sens inverse de son arrivée, n’émettant aucun bruit pour ne pas déranger l’appel téléphonique, laissant le policier à son travail. Aucun des deux n’était à l’abri de devoir laisser l’autre, et ils le savaient pertinemment. Raison pour laquelle elle se dirigea vers la cuisine, commençant d’ores et déjà à appréhender le fonctionnement de cette dernière. Il ne lui fallut pas longtemps pour trouver plus ou moins les ustensiles qu’elle désirait, alors que déjà elle s’attaquait à préparer un dessert digne de ce nom. Il était tôt, mais les bons repas se préparent tôt, d’autant plus si elle souhaitait investir la salle de bain. Elle avait opté pour un dessert plus ou moins glacé, suivant la fiche de sa recette avec une certaine attention, prenant plaisir à chantonner tout en commençant à répartir ses ingrédients. Elle avait revêtu son tablier habituel, emporté pour l’occasion, et remonté ses cheveux dorés en un chignon lâche. Ce fut la voix de son compagnon qui l’extirpa de ses pensées tandis qu’elle cassait les œufs. « Je lui ai dit qu’on passait le week-end ensembles. A ce propos, tu me dois environ 200$ de shopping. Elle est vraiment persuadée qu’on est fait l’un pour l’autre. » Une petite plaisanterie, avant de reprendre sa confection. « Où est-ce que tu ranges ton sucre ? »


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hell'come home #mattërá - Jeu 28 Nov - 20:07

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My heart is like a haunted house, there's things in there that scratch about. They make their music in the night, and in the day they give me such a fright



Qu'elle idée que de se retrouver bloqué avec elle pour l'éternité. Il y avait des enfers bien plus doux qu'une vie passée avec elle, il en était certain ! Dans tous les cas, il ferait en sorte de décliner son offre de mariage si elle venait a être proposée. Si elle venait a se mettre a genoux, il serait surement capable de faire son mâle alpha pour défaire sa braguette et lui offrir autre chose que son doigt. Ca le dégouttait lui même de penser ainsi, mais il fallait bien faire preuve de plus de malice qu'elle et la, il partait dans le graveleux a n'en point douter. Elle lui fit une nouvelle remarque sur le fait que son appartement était encore vierge de toutes autres présences... a caractère pas très catholiques. Bien entendu, elle fit sa peste en jouant sur les mots dans la salle de bain, venant le sentir pour constater qu'il ne semblait pas sentir si mauvais que ca.

« J'ai déjà invité des personnes, ne te sens pas pousser des ailes, mais ce n'était pas pour les mettre dans mon lit. Et tu ne feras pas exception. »

Il lui caressa la joue du bout des doigts avant de taper dans la main de la jeune femme. Le deal était donc bien lancé. Elle aurait droit a la salle de bain et a ses douceurs si elle mettait l'estomac du capitaine de bonne humeur. Dans la chambre, elle semble prendre plaisir a faire monter la tension, bien qu'elle donne ses préférences, elle se joue légèrement de lui et vint même a lui susurrer a l'oreille qu'elle aime le faire toute la journée, mais que plus elle commençait top... mieux c'était ?

« Tes mots sonnent bien doux a mes oreilles, mais cela ne m'a l'air que poudre d'artifices. Tu veux juste te jouer de moi et de l'idée de l'homme que je suis... mais je prendrais bien volontiers les repas du midi ! Quoi de plus délectable que le repas empoisonné de sa douce petite amie ? »

O oui, il avait peur du poison, du laxatif qu'elle pourrait placer pour lui faire passer une journée bien pourrie. Ils quittèrent la chambre et les belles paroles de la douce s'envolent avec l'appel du boulot et les affaires toutes plus horribles les unes que les autres. Il revient quelques minutes plus tard, fait partir un feu et revient vers la blonde qui avait enfilée un tablier et commencée a préparer un dessert d’après ce qu'il pouvait voir avec les ingrédients.

« Vous allez me ruiner mademoiselle Løseth ! Je veux bien faire don de ma carte si ce sont des vêtements qui resteront ici pour faire illusion. Histoire que vous ne puissiez pas trop les porte non plus, quoi de pire qu'un cadeau dont on ne peut pas profiter ? Heureux qu'elle le croit, sa chute sera plus douloureuse encore. »

Le plan marchait a la perfection, il était heureux.

« Tout le week-end ? Vais-je y survivre ? Le sucre est dans le placard au dessus de la machine a expresso. Que prépare tu ? Ou sont mes bonnes manières. Tu veux boire quelque chose ? De l'aide ? »

Il se lève et replie ses manches de chemise jusqu'au coude avant de se sortir une bière, attendant une réponse de la jeune femme.



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hell'come home #mattërá - Jeu 28 Nov - 20:32

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You hit me once, I hit you back. You gave a kick I gave a slap. You smashed a plate over my head, then I set fire to our bed


Le mariage. Elle pouvait bien plaisanter avec une éventuelle demande, elle n’était elle-même pas prête à réellement se faire passer la bague au doigt. Elle n’avait de cesse de le répéter à ses parents, et pour cause. Après le mariage venait automatiquement les enfants. Pour sûr, elle en voulait. Deux, pas plus. Elle voulait pouvoir leur inculquer des valeurs, leur apprendre à faire des gâteaux, leur raconter des histoires comme son père le faisait pour elle. Elle voulait pouvoir choisir des vêtements pour eux et nouer une réelle complicité. Mais pas maintenant. Elle s’estimait encore trop jeune pour cela. Et avec le mariage venait les responsabilités en surplus. Imaginons un instant monsieur Snape dans le rôle du marié. Combien d’années de bonheur avant qu’ils ne s’écharpent parce qu’elle faisait partie malgré elle de la Bratva ? Combien de temps avant qu’il ne se rende compte qu’elle n’était pas tout à fait la gentille petite anthropologue qu’il avait un jour qualifié de lycéenne ? Il l’avait prise pour une autre, et il n’avait pas tout à fait tort dans son raisonnement. Elle n’était jamais ce qu’elle prétendait être, quand bien même l’eut elle voulut. Alors le mariage… Non, ce n’était vraiment pas pour maintenant. La demande n’arriverait jamais, quand bien même les plaisanteries à ce sujet fluctuaient grandement depuis quelques temps. Aussi la remarque fut elle accueillie avec un sourire franc. « Que le ciel soit loué, encore heureux ! » Il n’y avait pas besoin d’en ajouter plus. Tous deux savaient pertinemment pourquoi. Et pourtant, il y avait malgré tout cette alchimie, liée sans aucun doute au jeu. Leur rôle leur collait à la peau, et plus l’image paraissait naturelle, meilleur était le jeu d’acteur. « Oh chéri… Bien sûr que je me joue de toi… Ça ne veut pas forcément dire que ce n’est pas vrai. » Un petit souffle de rire, avant qu’elle ne lui déboutonne un bouton de sa chemise, sciemment, joueuse. « Moi ? Empoisonner tes repas au poste ? Je sais que tu adorerais me passer les menottes, mais je vais passer ce tour. » Les menottes ? Non, elle n’y tenait vraiment pas. Elle ne souhaitait pas s’habituer à la sensation de ces bracelets de métal sur sa peau. Sa deuxième vie savait parfaitement pourquoi.

Aussi, le laissant à ses occupations, entreprit-elle les siennes avant qu’il ne lui revienne. Lui laisser sa carte ? En voilà une bonne idée ! « Hmm. Ca dépend, est-ce que je peux les récupérer après notre rupture, et sans avoir à te les rembourser ? » Un sourire amusé, avant qu’elle ne plante ses prunelles dans les siennes. « Je trouverai toujours un moyen de les porter quoi qu’il en soit. Ou je peux faire bien pire… » Acquiesçant enfin, elle eut toutefois un petit temps de flottement, de silence, alors qu’elle était en train de battre les œufs. « Est-ce que tu penses qu’elle pourrait avoir raison ? » L’idée était totalement incongrue, et pourtant, ils étaient là, à jouer les couples heureux. Il ne leur manquait que cette réelle alchimie. Et pourtant, sa mère l’avait une fois prévenue : l’amour, ça se cultive. Un dodelinement de tête négatif. « Non, oublie. » Délaissant son fouet, elle sortit le sucre du placard, ainsi que quelques autres choses dont elle pourrait éventuellement avoir besoin. « N’importe, sers moi ce que tu veux. Et ouste ! Hors de ma cuisine. Je te vois venir petit serpent sournois ! Tu veux m’aider pour que je ne puisse pas prétendre pouvoir utiliser la salle de bain vu que tu auras participé à la préparation ! » Le regard étrécit, et le fouet pointé vers l’homme, avant qu’elle ne puisse une fois de plus conserver son sérieux. « Profite de ton repos, je gère le reste. Je l’aurai mon bain moussant et mon massage des pieds. D’ailleurs, tu comptes faire ce massage pendant que je serai dans l’eau ou après ? »


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Matthew Snape
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CREDITS : Hannibal (vava) + siren charms (sign)
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SACRIFICES : 370
ANNEES : 38 ans.
CŒUR : Célibataire.
RÉINCARNATION : Siegfried du panthéon Nordique.
TALENT(S) : L'appel du héro - Ne jamais lâcher prise
FACTION : Les Forces de l'Ordre.
OCCUPATION : Capitaine de l'ACPD.
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Attrape moi si tu veux, mais ne peut pas celui qui le veut. Astre tentateur malgré toi, telle est à jamais ta loi. Condamné à te chasser, dans la nuit tu m'a échappée.
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hell'come home #mattërá - Ven 29 Nov - 1:17

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Il avait invité le loup dans la bergerie et étrangement ce dernier semblait bien s'y plaire et s'y projetait bien pour y vivre quelques nuits voir même toute sa vie. Oui, Matthew avait eu de la chance de pouvoir se l'offrir ce petit bijoux qui n'en était pas vraiment un au tout début. Quelques années de travaux et enfin il pouvait en profiter. Le prêt immobilier allait encore courir sur sept à huit ans, mais il en profitait pleinement. C'était son chez sois, un endroit ou il se sentait en sécurité, ou il pouvait se laisser aller. Au quatrième et dernier étage d'un immeuble lui offrant une certaine sécurité au vu de la hauteur et une vue assez imprenable. Non, il était bien et la jeune femme aussi, bien qu'elle continuait de se jouer de lui, parlant sans pour autant agir, bien qu'elle s'amusait à déboutonner juste un seul cran de la chemise du propriétaire pour sûrement enflammer la situation et prouver qu'elle était capable de faire plus que de parler. Il préfère ne rien répondre, souriant simplement tout en imaginant le capitaine en train de passer les menottes à Saëra.

« Dommage, tu loupe quelque chose, ma technique de passage de menotte est exemplaire, je suis certain que tu pourrais même prendre plaisir sous mes doigts. »

Oui, il pouvait également jouer, mais elle ne semblait pas avoir ce tempérament de dominée, non, c'était plutôt tout le contraire, mais l'expérience lui avait bien montré que ce que les gens montraient n'était pas forcément ce qu'ils étaient une fois dans l'intimité. Après un coup de fil fortement désagréable, il rejoignit la blonde qui était déjà en train de préparer le repas. Le sujet du shopping fut mit sur le tapis et elle semblait avoir des idées pour la suite, encore une fois.

« Pourquoi pas, tout dépend de ce que c'est et si nous nous en sortons en un seul morceau de cette histoire. »

Il se demandait de quoi elle pouvait bien parler, de faire pire, mais la connaissant, ça ne pouvait que le mettre dans l’embarras ou tenter de le mettre dans une situation délicate. Néanmoins, il était joueur et pour faire que la situation soit le plus réaliste possible, il était prêt à lui faire ce... cadeau? De toute façon, ce ne serait certainement pas lui qui les porteraient. Alors qu'elle battait les œufs, elle posa une question énigmatique avant de rapidement rebrousser chemin. Ça ne lui ressemblait pas à la demoiselle et pourtant le capitaine fronça les sourcils. Il se leva et se dirigea vers le frigo d'ou il sortit deux bières avec un sourire après toutes les tirades de la jeune femme qui ne voulait plus le voir. Profiter qu'elle face tout et se reposer? Impossible pour lui. Il décapsula la bière, se mit dans le dos de la jeune femme et tout en se colant à elle déposa la bière au niveau de la main libre de Saëra.

« Qu'Irène puisse avoir raison sur le fait que je sois le meilleur capitaine qu'elle connaisse? Que je puisse avoir un fessier de 9/10? Qu'on face un joli faux-couple ? Ou parle tu de l'attrait et de la tension sexuelle qu'il y aurait possiblement entre nous? »

Il le lui avait murmuré, ces derniers mots; soufflant dans son cou dénudé avant de se décoller, sa main libre effleurant la robe de la demoiselle un peu en dessous de ses fesses pour finalement sortir de la cuisine.

« Comme tu voudras pour le massage, je ne voudrais pas que tu pense que je veuille profiter de ta faiblesse dans le bain vois tu! »

Souriant, il monta quelques minutes, une petite attention pour la blonde, il installa quelques bougies ainsi que les bombes moussants bien en vu avant de redescendre avec son mac et quelques dossiers. Il s'installa sur un fauteuil en face du poêle à bois, et avec sur le côté une vue vers son invité qui préparait le repas. Il se mit à travailler sur quelques dossiers tout en lançant une playlist de musique douce sur spotify. Il se plongea corps et âme dans son travail, perdant le fil du temps, n'entant possiblement pas la personne qui était en train de s'activer un peu plus loin même s'il lui lançait quelques regards de temps à autre pour voir si elle s'en sortait et ne mettait pas le feu à la cuisine.



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hell'come home #mattërá - Ven 29 Nov - 16:20

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Elle aurait pu prétendre à un endroit pareil : entre son travail, son héritage ou même le fruit de son métier secondaire… Oui, elle pourrait s’acheter un endroit pareil et y couler des jours – et surtout des nuits – heureux. Il ne manquerait qu’une seule chose pour que l’endroit soit parfait : une piscine extérieure dans laquelle les étoiles viendrait se refléter la nuit. Un miroir dans lequel se laisser porter, nager dans ce ciel trop lointain. L’attrait pour les ténèbres était tangible, nécessaire, et ce depuis son enfance. La fenêtre de son actuelle chambre donnant sur l’issue de secours était suffisante pour qu’elle puisse plonger ses prunelles de glace vers le haut, mais le calme n’y était pas pour autant. Elle ne pouvait ignorer l’appel qui l’obligeait depuis enfant à s’extirper de son lit pour murmurer aux étoiles, elle ne pouvait le faire à quatre ans, onze ans plus tard, elle en était toujours incapable. Elle se savait liée à ces abimes, sans pouvoir mettre le doigt sur qui elle était réellement. Avec un lieu de vie pareil, elle pourrait passer des heures sur le balcon à observer les étoiles, les apprendre par cœur sans être dérangée. Cependant, c’aurait été presque suspect de s’offrir ce type de lieu. Ses larcins n’étaient jamais tout à fait pour elle, et le résultat des ventes allait souvent aux trois-quarts à des associations ou des orphelinats. Une attention qu’elle entretenait et ne tenait pas à cesser. Qu’arriverait-il à toutes ces pauvres âmes si elle cessait brusquement ses dons généreux ? Elle ne tenait pas à le savoir. Certains volent pour s’enrichir, d’autres pour de bonnes causes. Saërá faisait indubitablement partie des deux catégories et cela ne l’empêchait pas de dormir. En revanche, se faire passer des menottes n’était pas dans ses projets, que ce soit pour payer son crime ou même s’amuser. Elle ne voulait pas de ce bijou sur ses poignets. Jamais. Il voulait l’attacher ? Qu’il opte plutôt pour des liens en soie. « Essaie toujours, mais je te certifie que si tu le fais, je m’assurerai que tu ne puisses jamais avoir d’enfant biologique. » Au moins les choses étaient-elles claires et posées. Un sourire teinté de toute l’ironie avant qu’elle ne le quitte, ses phalanges caressant le tissu de sa chemise blanche après s’être assurée de le soustraire d’une attitude trop sérieuse ou tout simplement d’impliquer un fausse attitude dans son esprit.

Ne s’inquiétant nullement du coup de téléphone – après tout, ce n’était pas ses affaires – elle ne put que savourer la perspective de jouir de cette cuisine sous presque tous les plans. S’amusant à chercher les choses, secouant doucement la tête pour se promettre de bouger certaines autres choses des placards et tiroirs où elles se trouvaient. A peu de choses près, l’endroit était fonctionnel. Un sourire sous la remarque de cette nouvelle conversation, et un amusement certain sur les choses qu’ils étaient prêts à faire pour s’assurer d’une victoire écrasante. Il envisageait sérieusement de lui laisser sa carte bancaire. Quel homme ferait cela ? Mais surtout, quel homme donnerait sciemment son argent à une fausse petite-amie contre… rien ? Pis de pis… POUR QUELLE RAISON SNAPE LUI ACCORDERAIT CETTE FAVEUR ? Ils n’avaient de cesse de s’envoyer ces piques, continuellement après tout. Une fois leur but atteint, ils redeviendraient comme avant. Cessant de faire ce qu’elle était en train de faire, elle planta ses prunelles dans les siennes, avant de lever un doigt. « Petit un, il n’y a aucune raison que nous ne finissions pas en un seul morceau après cette histoire. Petit deux, tu es inconscient si tu me laisses ta carte… Je ne vais pas te prendre ton argent Matthew, ce serait du vol quelque part si tu ne peux pas en profiter. Maintenant… Si tu tiens vraiment à ce que l’illusion soit parfaite… Tu peux toujours venir avec moi faire du shopping, et éventuellement m’offrir quelque chose, comme un couple normal le ferait. Cependant, petit trois : si tu m’achètes quelque chose, tu auras quelque chose en retour afin d’équilibrer les comptes. Je ne profiterai pas de toi de la sorte. On est d’accord mon cœur ? » Trois doigts s’étaient levés à mesure de son monologue. « Oh et petit quatre ! Ton quelque chose ne sera pas en rapport avec le sexe, sinon ça ressemblerait à de la prostitution. »

Reprenant son activité, elle ne put toutefois s’empêcher de s’interroger. Avec le défi d’Irène, ils s’étaient rapprochés, ils s’autorisaient des choses qu’ils n’auraient jamais accepté en temps réel. Question tangible, dont la réponse l’effrayait, mais qui ne semblait nullement avoir le même effet sur son adversaire permanent. Elle le sentit dans son dos, se collant à elle et lui laissant la perspective de se reposer un instant contre lui, de sentir son être contre le sien. Elle le savait bien taillé, et inconsciemment, son corps répondit au sien, quand ses lèvres laissèrent un petit rire sortir sous ses mots. « Tu t’avances de beaucoup, et Irène n’a pas le monopole de la note sur ton séant… C’est une moyenne qui réunit le vote de tout le monde, sauf moi. » Puis un souffle brûlant à mesure qu’il souffle contre sa peau, s’attire une ferveur qu’elle ne se connaissait pas tandis qu’elle laisse son corps lui répondre un instant. Un jeu dangereux. Elle le lui avait déjà signifié. Un déglutissement finalement alors qu’il s’éloigne, non sans jouer avec elle comme elle le fait le plus souvent avec lui. Le regard trouble, elle comprend qu’elle a une partie de la réponse qu’elle se pose. Si elle lui cède, ils perdront tous deux parce qu’Irène aura vu juste quelque part. Pas complètement, mais une partie. Pourtant, ses lèvres s’affranchissent de nouveau de son sourire, alors qu’elle repousse l’idée loin d’elle. Ca n’arrivera pas.

« Oh mais tu profiterais indéniablement de la situation, ne dis pas le contraire. » Laissa t’elle entendre avant de continuer son dessert, sans se douter un seul instant de ce qu’il était en train d’entreprendre pour elle à l’étage. La musique s’installa doucement dans cette étrange ambiance, l’incitant à fredonner tandis qu’elle achevait une partie de son repas et en entamait une autre, sage et concentrée sur sa tâche, Parfois, un pas de danse, mais le plus souvent, des notes s’égarant sur sa langue, jusqu’à ce qu’elle glisse tout ce dont elle n’avait plus besoin dans le lave-vaisselle et ne laisse le four se charger de la suite. Silencieuse, une assiette en main, elle s’était avancée à pas de velours vers son faux petit-ami, se glissant derrière lui tout en posant une main sur son épaule qui dériva vers un second bouton de sa chemise qu’elle déboutonna, pour passer sa main en dessous. Consciente du danger certes, mais pas moins joueuse, avant qu’elle ne dépose un baiser sur la joue de l’homme. « L’apéritif est prêt mon amour… » Souffla t’elle à son oreille avant d’ôter brusquement sa main et de lui présenter l’assiette avec plusieurs petits amuse-gueules dessus. « Goûte-moi ça et dis m’en des nouvelles. »  Ordonna t’elle tout en posant son plat sur la table basse, retournant à la cuisine pour aller chercher la bière qu’elle n’avait pas une fois touchée pendant son travail. « Et lâche tes dossiers maintenant ! Le travail est terminé ! »


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hell'come home #mattërá - Sam 30 Nov - 19:18

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Il allait y réfléchir à deux fois s'il voulait jouer à ce petit jeu avec elle. Elle semblait bien sauvage sous ses traits de gentille petite demoiselle, mais si elle appliquait à la lettre ce qu'elle venait de dire, alors le pauvre Capitaine terminerait sa vie sans descendances. Cela ne le dérangeait pas à l'heure actuelle, n'ayant pas de projets du genre pour aujourd'hui, il doutait qu'il fonde un jour une famille. Il déglutit et ne reparla plus de ce genre de choses, histoire de rester loin de cette douleur si intense qu'elle fait plier les plus forts des hommes, même les héros. Revenant plus tard en bas tout en lançant le feu, la conservation suit son court, comme toujours entre eux. Un match de ping-pong qui semblait choquer la blonde vu l'effet qu'il venait de faire. Oui, il était prêt à faire des concessions, faire un cadeau à quelqu'un qui allait partager son quotidien d'une façon plus ou moins importante. Néanmoins elle ne voyait pas cela du même œil que lui et le prouva en quatre points, quatre doigts levés qui le firent sourire.

« Ce ne seraient que des cadeaux. Les jeunes couples ne s'en couvrent ils pas? Vivre d’amour et d'eau fraîche, mais aussi de faire plaisir, de bien des manières. Alors oui, cela pourrait être des échanges de cadeaux. Pour ce qui est de vous accompagner, quel supplice mon amour! Vous voir essayer toutes ces tenues sans pouvoir en profiter sur le moment pour vous rejoindre dans la cabine, ce serait... trop désagréable. »

Un sourire au coin des lèvres, il se joue d'elle à son tour en se glissant derrière elle tout en jouant à son petit jeu et répondant à sa question qui en disait long sur ce qui pouvait bien trottait dans l'esprit de la demoiselle, comme le sien également. Elle botta en touche comme qui dirait, il lui avait offert la possibilité de le faire de tout manière.

« C'est quand même une sacrée note, avouons le. »

Neuf sur dix, c'était assez intense. Même un zéro lui donnerait une bonne moyenne de base. Il fit mine de pas entendre ce qu'elle disait, sifflotant tout en montant en haut pour aller ensuite s'installer au coin du feu pour travailler pendant que la demoiselle s'occupait du repas. Ca faisait presque cliché, il ne manquait plus qu'il allume la télévision pour regarder un match du foot us et tout irait à la perfection. Elle revint vers lui quelques temps plus tard, le faisant presque sursauter par le contact de sa main sur son épaule s'il ne l'avait pas sentit venir au dernier moment. Elle passa sa main sous sa chemise et déboutonna encore un bouton de sa chemise. Elle aimait ça on dirait, s'amuser à déshabiller autrui. Elle était parfaitement dans son rôle et déposa une assiette bien remplie pour l'apéro. Affamé, il ferma son ordinateur, rangea les dossiers dans sa sacoche et mit le tout à l'entrée avant de revenir s'installer en même temps que Saëra.

« Tu as l'intention de m'enlever un bouton jusqu'à ce que la chemise tombe toute seule? On a fait mieux niveau originalité pour me la retirer! »

Il trinque avec elle et goûte. Il fit une mine assez surprise, presque dégoûté, voir si ça pouvait passer pour la comédie, mais finalement se ravisa.

« Je ne peux pas dire que c'est dégueulasse. Non, c'est vraiment très bon bravo. Ca me fait mal de le dire, mais tu sais y faire, tu as au moins gagnée le droit de faire couler l'eau. C'est quoi? »

Il était curieux. C'était un bon apéro, c'était important.

« Alors, j'aurais une proposition à faire pour... montrer que l'on apprend à se connaître et pas que... physiquement. Vu toutes les remarques que tu balances sur mon nom de famille, on pourrait possiblement regarder le film dont il est tiré? »

Quelle erreur, ce n'était pas juste... un film. Mais toute une saga.


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hell'come home #mattërá - Sam 30 Nov - 20:08

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Tout en suivant la fiche de sa recette, elle prit la peine de réfléchir à leur situation, de la soupeser sous bien des angles. Cuisiner, réfléchir et répondre du tac au tac à son faux compagnon était parfaitement dans ses cordes. Elle aurait sans doute même pu ajouter jouer avec le chat ou le chien pour faire bonne mesure, mais il n’y avait tout simplement aucun animal de compagnie dans la maison. Elle aurait pourtant parfaitement imaginé son hôte avec un canidé. Pas le genre roquet infernal, mais molosse prêt à défendre son maître et se laisser acheter par la jeune blonde. Sa réflexion vint à la contrarier intérieurement. Une semaine seulement, et elle commençait sincèrement à douter du bien fondé de leur vendetta. Pour sûr, elle souhaitait la mener à bien. En revanche, son instinct lui criait haut et fort qu’elle allait se faire avoir à un moment donné dans cette histoire. Pas de manière négative et dangereuse, mais redoutablement ambiguë. Elle ne pouvait pas se mentir trop longtemps en prétendant que leur relation n’évoluerait pas d’un iota, elle était en train de changer. Elle appréciait de le taquiner d’une manière plus libertine et il y répondait. Il y répondait avec trop de facilité et sans jamais l’arrêter ou la repousser dans ses retranchements. Le fouet qui s’arrête pour marquer son désaccord finalement, puis reprend énergiquement tandis qu’elle secoue la tête. « Mais tu oublies que nous ne sommes pas un couple. Ce ne sont que des objets, mais l’important, ce n’est pas l’objet en lui-même, c’est l’intention. Si demain tu m’offres un bouquet de fleurs, sciemment et sans le public attitré à notre… mise en scène, comment dois-je le prendre ? » Ses prunelles qui se relèvent vers les siennes, s’y noient un instant avant de reprendre. « Pas que je n’apprécierais pas, et j’aime les roses noires et blanches, pas les rouges ni les roses, et encore moins les jaunes. » Puis un sourire, sous sa réplique taquine. « Alors tu es du genre à t’incruster dans la cabine… J’hésite… t’emmener et te faire miroiter mille supplices… ou ne pas t’emmener du tout et t’envoyer des photos pour te foutre encore plus la rage… » Un petit rire, avant qu’il ne coupe court à toute envie de plaisanter, ramenant au premier plan tout ce qui pouvait la pousser à s’interroger. Secouant la tête, elle ne rétorqua rien de plus, préférant s’occuper l’esprit en cuisinant. Excellente thérapie soit dit en passant.

Un temps qui défile, les minutes qui s’égrènent à mesure qu’elle s’active, jusqu’à enfin se glisser derrière lui, s’attarder sur sa peau. Elle pouvait sentir l’impact de ses muscles sous ses phalanges, un détail qui pouvait avoir son intérêt si l’on venait un jour à lui demander comment l’homme était physiquement. Quelques poils sous sa caresse, rien qui ne soit dérangeant. Elle aimait la virilité, elle pouvait le reconnaître publiquement. La tirade lui extirpa un sourire amusé, qu’elle cacha sous une gorgée de bière avant de daigner répondre. « Je teste une théorie. » Puis, secouant la tête, elle s’approcha une nouvelle fois de lui pour en défaire un troisième. « J’en suis persuadée, mais personne ne le fait comme moi, avoue-le. » Un petit rire soufflé, avant qu’elle ne prenne place dans le canapé, laissant son hôte goûter les petits fours. Sa mine lui attira un regard sombre avant qu’il ne laisse tomber le masque. « Couler l’eau c’est tout ? Goûtes-en un autre. » Ordonna t’elle une fois encore avant d’elle-même en prendre un. « Ce ne sont que des petits fours fait maison, mais je ne te laisserai pas la recette, tu risquerais de te l’approprier la prochaine fois que tu inviteras une femme ici. » Fausse jalousie. Elle ne l’a jamais été. Mais pour leur faux couple, elle était prête à jouer les créatures jalouses et possessives, attachiante. Une nouvelle gorgée avant qu’elle ne se fige, lui lançant une œillade amusée. « Tu es au courant qu’il y a huit films en tout ? Et que tu ne peux pas regarder le premier sans regarder ensuite les autres ? » L’amusement sur ses traits, avant qu’elle ne reprenne finalement cette gorgée manquée. « Tout ça pour passer du temps ensembles. Tu vois, je savais que je t’avais tapé dans l’œil. » Un rire, puis un petit four glissé entre ses lèvres. Il n’y avait pas à dire, elle était douée.



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hell'come home #mattërá - Sam 30 Nov - 20:57

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Elle marquait un point sur ce qu'elle venait de dire. Oui, ils n'étaient pas vraiment un couple et cela pourrait porter à confusion s'il venait à lui faire des cadeaux rien qu'entres eux. Cela devait donc être visible, pour tout le monde et surtout Irène. Sa tête fit un oui lentement, sa main passant dans sa barbe, réfléchissant à tout cela.

« Oui, pour une fois tu as raison et je note, un magnifique bouquet de roses jaune à ton bureau! Mais oui, il faut que ce soit bien visible, je dirais un duo de pull totalement pourris spécial noël qu'on porterait ensemble à la prochaine soirée avec Irène. Ce serait parfait! Et pour la cabine, je pense que les deux idées sont terribles. N'avions nous pas dit pas de photo? Je ne veux pas que mes yeux pleurent sous l'horreur vois tu. »

L'horreur, il en doutait fortement, mais autant jouer le jeu. Il laissa la jeune femme à la cuisine, à faire ce repas qui pourrait lui valoir un bain gratuit dans son nouvel appartement de substitution pour quelques événements. Il travailla un bon moment, se pencha sur des dossiers internes, pas d'enquêtes à la maison, c'était sa loi. Il pouvait bien faire de l'administratif, cela ne lui posait pas de problèmes, ça l'occupait et ça lui permettait de mieux faire son travail une fois au poste de police. Elle revint finalement pour le faire arrêter, l'apéro étant prêt, le reste devait être en train de cuire ici et la. Elle s'amusait encore de lui à déboutonner sa chemise et continua avec un autre après la remarque du capitaine de police.

« Une théorie? Je suis curieux d'apprendre quelle genre de théorie tu tente de prouver ici et maintenant. On voit que tu sais y faire oui. Tu ne dois vraiment pas aimer les tenues à boutons. »

Il l'a voyait souvent en robe ou tenue du genre. Sa blouse blanche était souvent ouverte même si lorsqu'elle travaillait, il lui semblait qu'elle était fermée, pour sûrement éviter de salir ses affaires. Sa comédie fonctionne et elle lui ordonna presque d'en prendre un autre pour le punir ou pour qu'il fonde sous le bon goût des petits fours. Il rigola à la remarque d'emmener d'autres jeunes femmes ici pour les charmer.

« Ne t'inquiète pas, si j'invite véritablement quelqu'un ici, elle ne sera pas la pour goûter les petits fours dont j'aurais volé la recette! »

C'était dit, mais il ne pouvait nier qu'ils étaient bons. Saëra du forcément capter la surprise sur le regard de Matthew lorsqu'elle lui confirma qu'il y avait... beaucoup trop de films! Il fit presque la grimace!

« Mon dieu! Il y en a autant que ça? Ok ouai, je ne m'attendais pas à autant. Crois pas que je sois comme ça non plus. Enfin, s'il se trouve que tu sois talentueuse pour masser les nuques meurtries pendant le temps du films, je ne dirais pas non, ce sera au moins utile! »

Il termine sa bière qu'il avait déjà entamé depuis un moment et se lève pour aller en chercher une autre. Il laisse sa main et son doigt remonter le long de la cuisse de la jeune femme avant qu'il n'aille au frigo.

« Alors chérie, que nous as tu préparé pour le dîner? »

Il profita de l'éloignement pour reboutonner sa chemise, juste pour embêter la blonde sur le canapé.


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hell'come home #mattërá - Sam 30 Nov - 21:42

Hell'Come

You hit me once, I hit you back. You gave a kick I gave a slap. You smashed a plate over my head, then I set fire to our bed


Elle tiqua sous sa réplique, avant d’étrécir lentement ses prunelles de glace. Pour une fois ? Ce n’était pas la première fois qu’elle avait raison. A bien y réfléchir, elle pouvait même se montrer très raisonnable et en être la voix mélodieuse à bien des égards. Elle ne rétorqua rien pour les roses en revanches, s’il venait à lui porter les roses qu’elle aimait, elle envisagerait alors sérieusement de se poser des questions sur son attitude. Cela dit, elle devrait de même faire un redoutable effort pour ne pas balancer les dites roses à la poubelle. Au mieux pouvait-elle toujours prétexter de les emmener chez elle avant de les jeter dans la benne à ordures, et problème résolu. Quoi que… à bien y songer. « Si tu m’offres des roses jaunes, j’en arriverai forcément à la conclusion que tu vas voir ailleurs. Ce sera l’occasion de faire une scène et de te quitter avec de très gros sanglots. Il faut dire que je suis follement amoureuse de toi après tout. » Une grimace sous son aveu, mais aussi pour l’horrible idée qu’il vient d’avoir. « Tu parles de ces horribles pulls avec des couleurs criardes et qui grattent affreusement ? Tu me tues Matthew, je vais devoir me faire violence pour ne pas pleurer de porter cette horreur. » Et elle était on ne peut plus sincère. Toutefois, elle balaya vite l’idée dans un recoin de sa tête. Ils n’étaient pas encore à Noël, ils avaient largement de quoi réfléchir avant, jusqu’à ce qu’il lui soutire un rire franc. « C’est vrai, pas de photos… Donc, tu vas être obligé de supporter les milles supplices. » Et les dieux savaient qu’elle pouvait se montrer très inventive, aussi le taquina t’elle d’un tirage de langue en bonne et due forme avant de reprendre son activité.

Minuterie en route, elle s’extirpe de la cuisine, pas tout à fait à contrecœur. Une pause ne pourrait que lui faire du bien. Elle ne s’attarda pas à tenter de lire les dossiers de son hôte, une fois encore, ce n’était nullement ses affaires, et elle savait quand respecter l’intimité de quelqu’un. S’il souhaitait un jour lui parler d’une enquête pour avoir un œil neuf – ce dont elle doutait sincèrement – elle écouterait avec attention avant de répondre. Mais ils n’étaient pas assez proches pour cela, et ils ne travaillaient pas tout à fait dans la même cour. Elle avait bien plus l’habitude de travailler avec le FBI pour les enquêtes les plus fastidieuses, ce qui lui permettait même d’aller sur le terrain de temps en temps. Généralement à la découverte du cadavre. Des mises en scènes pas jolies, elle en avait vu un paquet, mais c’était sans conteste dans le laboratoire qu’elle préférait se trouver. Jouant de nouveau avec son faux petit ami, elle haussa doucement les épaules sans réellement avoir l’envie de lui répondre. Elle n’aspirait qu’à tester l’homme après tout. « C’est ma théorie, donc, je ne t’en parlerai pas. Et détrompe-toi, j’adore les vêtements à bouton. Estime toi heureux que je ne me sois pas attaquée au pantalon en premier. » Un sourire taquin pour une gorgée de bière, avant qu’elle n’attrape l’élastique destinée à retenir sa chevelure pendant qu’elle cuisinait. Elle détestait avoir les cheveux attachés, raison pour laquelle elle tira dessus pour les libérer, passant ses phalanges dedans pour pouvoir leur redonner leur volume initial avant de planter de nouveau ses prunelles dans celles de son partenaire. « J’espère bien. Du peu que je connais de toi, outre ton aptitude à te montrer terriblement méchant avec moi, tu as l’air de quelqu’un de bien, ça me ferait mal que tu termines ta vie seul. Quand cette comédie sera terminée Matthew, trouve quelqu’un et surtout, ne la lâche pas d’accord ? » Elle était sérieuse. Il avait l’air du mec idéal, quoi que trop porté sur son travail. « Sinon, je ne te quitte pas du tout et tu devras me supporter jusqu’à ce que tu finisses dans la tombe. » Espièglerie dans ses pupilles sans qu’elle ne daigne laisser un rire franchir ses lèvres cette fois-ci.

Le rire fut pour bien plus tard, lorsqu’elle ne put qu’acquiescer sous son choc. « Rassures-toi, les films son bon enfant au début, c’est à partir du quatrième que le tableau s’assombrit un peu. Et je peux faire l’effort de masser ta nuque endolorie. Tu vois ? Au résultat, tu enlèveras ta chemise quand même, il suffisait juste de faire preuve d’une inception éveillée. Que je suis douée, je m’étonne encore moi-même ! » Un rire, coupé sitôt qu’il porta ses phalanges sur sa cuisse, s’attirant un regard surpris, sans qu’elle ne daigne repousser celles-ci toutefois. A chacun son tour, c’était de bonne guerre, mais un soupir alanguie sur ses lèvres. « Si tu espères accéder à ma dentelle, il faudra te montrer plus convaincant que la dernière fois. » Elle se souvenait parfaitement de la caresse et de l’effleurement plus audacieux qu’il avait osé. Elle l’avait arrêté une fois, mais elle ne pouvait nier qu’il avait remué quelque chose. Ce serait mentir que de prétendre qu’elle ne désirait pas qu’il retente cette aventure, juste pour qu’elle puisse constater de ce qu’elle ferait par la suite. Le laissant partir, elle ne put que lui répondre distraitement. « Un enfant. » Une pause. « En croûte. Avec pomme de terres en accompagnement. » La tête qui se tourne vers lui, l’amusement sur ses lèvres alors qu’elle constate les boutons de nouveau en place. Message passé et un signe de tête compris. Théorie menée à terme.


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Matthew Snape
BLAZE : Sev'
CREDITS : Hannibal (vava) + siren charms (sign)
FACE : Jake Gyllenhaal
DOLLARS : 3950
SACRIFICES : 370
ANNEES : 38 ans.
CŒUR : Célibataire.
RÉINCARNATION : Siegfried du panthéon Nordique.
TALENT(S) : L'appel du héro - Ne jamais lâcher prise
FACTION : Les Forces de l'Ordre.
OCCUPATION : Capitaine de l'ACPD.
RUNNING GUN BLUES :
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Attrape moi si tu veux, mais ne peut pas celui qui le veut. Astre tentateur malgré toi, telle est à jamais ta loi. Condamné à te chasser, dans la nuit tu m'a échappée.
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hell'come home #mattërá - Sam 30 Nov - 23:36

Hell'Come

My heart is like a haunted house, there's things in there that scratch about. They make their music in the night, and in the day they give me such a fright



Il avait entendu parlé de cette histoire de couleurs qui avaient une signification pour les fleurs ou tout autres choses il ne savait plus. Le jaune cocu, pourquoi avait il choisis le jaune hein? Autant l’embêter et faire passer des messages, ça ne pouvait que rendre les choses plus intéressantes pour la suite des événements ! Il ne put s'empêcher de sourire à sa réponse tout de même, c'était très prometteur.

« Je n'en doute pas, je pourrais presque le faire pour que l'on puisse dissiper le malentendu et montrer que notre amour est plus fort que l'incompréhension sur la signification florale! Et oui, ces pulls la effectivement! Bien kitch, indémodable, je suis sur que le vert t'irait à merveille! »

Ou pas du tout, une telle horreurs! Il avait presque envie de vomir, enfin façon de parler bien entendu. Il s'imaginait déjà, la prenant par les bras, le couple parfait devant Irène qui serait tellement fière d'elle et de son sens du flaire. Franchement, pour trois raté, une réussite, c'était pas très bon statistiquement parlant. Il penche légèrement la tête alors qu'elle lui dit qu'il devrait subir le supplice du miroitement de ses tenues et des essayages dans la cabine ou tout du moins à l'extérieur.

« Je te met au défis de tenter une telle chose. Les photos pourraient êtres finalement moins dangereuses... »

Sourire malicieux, il laisse entendre bien des choses avant de partir loin d'elle, le travail avant le plaisir ou plutôt le repas en l’occurrence. Elle revint plus tard une fois tout préparé, jouant des boutons de Matthew avant de lui faire goûter ses petites créations maisons. Il fallait avouer qu'elle ferait des heureux si elle en faisait plus souvent! Sûrement pas ceux au régime, car ils appelaient tous à revenir pour goûter autre chose.

« Cela aurait été de mauvais goût de directement te mettre à genoux devant moi... ou est le romantisme dans notre couple dis moi? »

Il laissa sa bouchée de petit four en suspension dans les airs lorsqu'elle lui dit de s'accrocher à celle qui lui plairait ou que Saëra deviendrait finalement véritablement sa femme jusqu'à la fin de ses jours. C'était surprenant, de pouvoir avoir une idée aussi précise de l'enfer en imaginant sa vie avec elle.

« Ça me coupe presque l'appétit de penser à une telle chose. Je vivrais pas vieux avec toi! Et très sincèrement, je préfère ne pas m'accrocher, ce n'est pas mon genre. Je laisse venir, qui sait, j'en trouverais une sans m'en rendre compte, elle sera jalouse de nous et voudra se trouver à ta place. Qui sait. »

Il venait de se faire avoir par lui même, mais bon, ça pourrait être une bonne chose de prendre un peu de culture.

« Et bien, il va me falloir une bonne bouteille pour me faire tenir, mais je note pour le massage et je sais que ça te fera plaisir que cette fichue chemise tombe. Il n'y a rien de bien grandiose en dessous tu sais. »

Il était conscient de son charme, mais il était toujours à la recherche du mieux. Bien s'habiller, prendre soin de sois. Il ne se sentait pas non plus l'âme d'un charmeur ou quelque chose de ce goût la. Allant chercher une nouvelle bière, il s'amusa lui aussi avec la blonde qui le catégorisa de gamin tout en lui rappelant que s'il voulait voir de la dentelle, il allait devoir être plus convainquant. Un sourire aux lèvres, il attrapa sa bière, reboutonna sa chemise et revint au salon. Il posa sa boisson sur la table basse et posa un genoux sur le canapé, juste entre les cuisses de la demoiselle, la retenant avec sa robe.

« Convainquant dans quel sens? »

Il se rapproche d'elle, le regard bien encré dans ceux de la blonde, il se penche vers son visage, laisse une certaine distance entre eux tandis que sa main caresser la cheville de Saëra, remontant le long de son genoux pendant que son visage se rapproche inexorablement de celui de la belle, tout devenait plus intense.

« En me montrant plus... intéressé? Plus avenant...? »

Il y glissa un soupçon d'envie, de désir, de sensualité au fur et à mesure que ses doigts remontaient. La cuisse, il sentait le souffle de la demoiselle sur lui et dans un dernier mouvement, il se retire aussi vite qu'il était arrivé, remettant une bûche dans le poêle, reprenant sa bière.

« Je crois ne pas en avoir mangé encore, ou probablement quand j'étais plus petit. Je dois dire que ces amuses bouches... m'ont mit en appétit. »

Il était bien souriant le salop.


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hell'come home #mattërá - Dim 1 Déc - 0:30

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« Si tu m’offres des roses jaunes, je verse du laxatif dans ton café. Je suis sérieuse hein ! » L’était-elle ? Allez savoir. N’était-elle capable de tout ? Jusqu’à présent, le capitaine s’en était toujours bien tiré, ne s’accordant que de ridicules surnoms ou des paroles aussi narquoises que les faibles rictus qu’elle se plaisait à lui adresser. En une semaine pourtant, rien de tout cela n’avait eu lieu, remplacé par les sourires mielleux et les regards pétillants. Peut-être fallait-il rectifier le tir. « Notre amour, notre amour… A t’entendre, on pourrait presque croire… Non, rien. » Elle ne pouvait que faire fausse route. Bien sûr qu’ils allaient se séparer. Il y avait un tas de paramètres allant en ce sens. Faisant mine de réprimer une nausée, elle ne put s’empêcher de laisser échapper un petit gloussement manifestant ce qu’elle ne pouvait que penser de l’idée. « Je désapprouve to-ta-le-ment ! Je ne vais pas tenir deux minutes dans cette immondice ! » Ce n’était pas même de l’exagération. Elle n’offrirait pas même ce genre de pull à son pire ennemi, c’était… décrédibilisant au possible. Levant doucement la tête de son plat à ses propos, elle ne put que laisser une mine surprise prendre possession de son visage sous sa mise au défi. « Tu es conscient que tu pourrais le regretter ? Mais d’accord, je relève. Tu vas morfler mon bichon. » Souffla t’elle non sans lui envoyer un clin d’œil. Une fois n’est pas coutume, une dose de danger pour pimenter les choses. Et ils n’en étaient qu’à la première semaine… S’il fallait jouer la comédie pendant des mois, ils risquaient de s’en mordre les doigts à un moment, plus qu’une certitude, c’était bien une promesse implicite.

« Qui a dit que je me mettrai à genoux ? » Souffla t’elle entre deux gorgées. Déboutonner son pantalon ne voulait pas forcément dire… ce qu’il sous-entendait indéniablement. « Oh tu veux du romantisme ? Je déboutonnerai le prochain bouton avec tout l’amour dont je dispose à tout égard. » Autrement dit… le bouton risquait de finir totalement arraché. Romantique, elle ne l’était pas. Passionnée, sensuelle, séductrice… C’était indéniablement dans ses cordes. Peut-être avait-elle ce côté fleur bleue quelque part, mais jusqu’alors, jamais elle n’avait eu l’occasion de s’en servir. Déboutonner le second bouton comme elle l’avait fait et caresser son épiderme avec curiosité était de très loin ce qu’elle pouvait faire de mieux avec une note de douceur et d’intérêt profondément sincère. S’il voulait du romantisme, mieux valait qu’il se trouve une véritable lady en la matière, et qu’il la conserve autant que possible. « C’est peut-être bien le but ? Comme ça, je récupère ton loft suite à ton décès et à moi la belle vie ! » Nouvelle gorgée, puis un haussement de sourcil. « Jalouse de nous ? Tu me fais presque mal au cœur pour elle. Aucune autre femme ne pourra jamais égaler notre couple. Je suis inégalable mon cœur. » Sourire de triomphe et petite note imbue d’elle-même, ou auto-dérision plus raisonnablement. « Si tu ouvres une bouteille de vin et que je dois la partager avec toi, il faudra que tu m’appelles un taxi pour que je puisse rentrer chez moi. » Une bière, plus une bouteille de vin pour le repas, plus une autre bouteille de vin pour le film… Elle avait beau tenir l’alcool, elle ne possédait pas de super pouvoir qui laisserait à zéro un test d’alcoolémie si elle se faisait pincer. « Et pour avoir eu un avant-gout de ce qu’il y a sous cette chemise, crois-moi, même moi tu me fais rêver. » Franchise quand tu nous tiens. Elle n’allait pas mentir à ce sujet, de toute évidence, cela ne lui aurait rien rapporté de le faire, alors pourquoi même essayer ? Passant une main dans sa chevelure suite à son départ, elle n’eut que l’audace de laisser échapper un soupir inaudible, avant de se positionner autrement dans le canapé, jusqu’à ce qu’il revienne et ne la tienne prisonnière, l’obligeant à lever ses prunelles de glace vers les siennes, s’y noyant un instant mais sans jamais y succomber totalement. Un loupé cardiaque sous sa paume, alors qu’elle gère sa respiration pour ne pas dévoiler le trouble. Loin de se laisser démonter pourtant, voilà que ses phalanges gauches glissent le long de la chemise, du haut vers le bas, avant qu’elle ne lève la tête vers la sienne, pourrait presque frôler ses lèvres si elle achevait d’amoindrir la séparation. « Essaie le naturel, il finit toujours par revenir au galop à ce qu’il paraît. » Alors qu’il glisse le long de sa cuisse, elle arrive à la ceinture, et là s’achève la montée de sang, chacun relâchant l’autre, et la belle reprend une respiration normale, repoussant une nouvelle fois sa chevelure blonde en arrière avant de se mordre la lèvre inférieure. Quelques secondes, avant qu’elle ne retrouve un sourire mélancolique. « C’était un plat que ma grand-mère faisait chaque fois que l’un de ses petits-enfants n’était pas sage. » Le regard qui se perd un instant, avant qu’elle ne daigne raconter l’histoire. « Je suis fille unique, mais j’ai beaucoup de cousins et de cousines. Quand on se retrouve en famille au Svalbard, nous sommes nombreux, et les bêtises arrivent très vite. De fait, le plus garnement de nous tous était sur sa mauvaise liste, et quand elle nous servait ce plat, généralement, il manquait toujours le plus vilain d’entre nous. Je crois que j’ai été dévorée deux fois. C’est plus tard que nous avons compris qu’elle ne faisait ce plat que lorsque le cousin et sa famille rentraient chez lui, ce qui nous laissait croire qu’elle l’avait vraiment cuisiné. » Un rire, avant qu’elle ne se lève pour aller vérifier la cuisson du dit plat. « Depuis, c’est resté. Il doit y avoir un autre nom, mais je trouve que c’est plus amusant de le présenter comme ça. » Une dernière gorgée de sa bière avant qu’elle ne jette la bouteille dans la poubelle attitrée. « Si tu veux bien mettre la table, je vais sortir le vilain garnement du four. »


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hell'come home #mattërá - Dim 1 Déc - 1:53

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Elle était véritablement à prendre avec des pincettes. Il acquiesça avec un regard suspicieux, du laxatif, la réponse à tous ses problèmes quand elle voulait lui faire du mal de façon vicieuse. Il devrait faire attention, de toute façon, il savait à quoi s'en tenir avec elle sur bien des points. Les menottes, les couleurs des fleurs, les petits secrets entre eux. Oui, il parlait de leur amour ou tout du moins, de ce faux amour qui l'amusait tant. Jouer la comédie lui permettait de sentir de la normalité le temps d'un moment avec elle.

« Croire que je suis un bon comédien? N'est-ce pas!? »

Oui, il l'était. L'amour, ce n'était pas pour lui, l'attachement, la vie de couple. Il avait cette vision de la vie bien différente. On pouvait aimer certes, mais il y aurait toujours le désir, celui que même si l'on aime, ne pourra jamais être comblé totalement, car il y aura toujours d'autres tentations ici et la. Ne pas succomber pouvait être une preuve d'amour, mais cela pouvait aussi être un venin dans les veines du couple, créant de la jalousie ou un manque de confiance en sois et en son compagnon. Il était déçu qu'elle ne veuille pas du pull, il pouvait comprendre, ce n'était pas au goût de tout le monde mais quand même! Ça dégageait la classe du mauvais goût! Un sourire aux lèvres, il préfère commentait la suite.

« Je sais pas qui morflera le plus... je te ferais essayer mes supers pulls de noël sans rien en dessous et on ira ensuite chanter devant les portes des maisons! La belle vie! Ou l'enfer perpétuel à voir pour qui. »

L'histoire des boutons. Remettrait il une autre chemise à la prochaine rencontre? Probablement pas, histoire de voir sa réaction et en rire, même s'il y avait les pointes, les piques entres eux, il ne désirait pas que ça s'aggrave, ils avaient une chance d'avoir une relation unique basée sur un plan machiavélique. Autant profiter de cette expérience pour se faire une véritable relation complice, des souvenir à réutiliser dans quelques mois, années, vu que si tout allait bien, ils n'avaient semble t'il pas l'intention de quitter la ville et leur boulot respectif. Suite à la phrase de la jeune femme, il porte sa main libre à ses boutons de chemise, presque appeuré, choqué par ses propos.

« Je sens que je vais être choqué par ce que tu vas me faire. Moi qui suis si pur et innocent surtout. »

Oui oui vous avez bien entendu! Ils se jouaient de la situation depuis toujours, depuis une semaine et c'était plutôt agréable surtout au vu de ce qui ce passait actuellement.

« Il ne faut jamais dire jamais, il y a toujours mieux dans ce monde tu sais! Je peux aussi boire la bouteille de vin tout seul il n'y a pas de soucis! Mais le taxi est une bonne idée, comme ça demain matin tu reviens avec les croissants, je suis sur que je pourrais moi aussi être de bonne humeur au réveil! Oh... je le sais que je suis ton fantasme. Cesse de me le répéter, tu te fais du mal. »

Il avait du culot. Surtout dire ça avant ce qu'il allait faire à la jeune femme. Ce qui était pour le moins étonnant, c'était qu'elle jouait parfaitement la comédie, si bien que le corps de l'homme réagissait également. Voulait il plus? Aller plus loin? Il ne laissa rien paraître, se retirant avant que cela ne dépasse une ligne qu'ils ne pourraient plus revoir après. Comme si le jeux devenait réalité et la, cela pouvait devenir dangereux. Elle avait raison, chasser le naturel et il revient au galop, mais Matthew connaît ses limites et se retire, soupirant silencieusement lorsqu'il est de dos à la jeune femme qui poursuit la conversation comme si de rien n'était. Le mordillage de lèvre fut découvert, puis elle poursuivit avec son histoire.

« J'adore ce genre d'histoires de familles. C'est toujours bon de se remémorer ce genre de moment plus tard. »

Il resta songeur un moment, sa famille était toujours la, mais le contact se perdait petit à petit depuis longtemps. Finalement elle lui demanda de mettre la table tandis qu'elle préparait le plat et il se leva tout en prenant l’assiette vide et alla vers l'îlot centrale ou il déposa l'assiete dans l'évier, le lave vaisselle fonctionnant. Il mit la nappe sur la table, les couverts tout en regardant la jeune femme tout découper. Il alla chercher une bouteille de vin rouge et alla même jusqu'à allumer une bougie.

« On croirait presque le petit ami parfait. Je m'étonnerais toujours. Alors voyons voir si tu as le droit à ce bain et ce massage. En tout cas ça commence bien, ça sent bon. »


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hell'come home #mattërá - Dim 1 Déc - 2:38

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You hit me once, I hit you back. You gave a kick I gave a slap. You smashed a plate over my head, then I set fire to our bed


Ce regard suspicieux était d’une intense satisfaction, lui soutirant un faciès sincèrement amusé avant qu’elle ne roule des yeux. « Heureusement, si tu ne l’étais pas, je ne me serai jamais lancé dans cette aventure avec toi. Tu aurais tout fait foirer en moins de cinq minutes. » Et c’aurait été sans aucun doute bien dommage. Irène méritait ce qui allait lui tomber sur la tête. Elle serait choquée d’une telle alliance, déçue sans aucun doute de voir que là encore, elle avait fait fausse-route. Pourtant, Saërá lui avait déjà fait remarqué plus d’une fois qu’elle n’avait besoin de personne pour se défaire de son célibat. Elle était jolie, elle le savait parfaitement, sans jamais trop en jouer, ni même tomber dans les mêmes travers que Narcisse. Elle était amusante mais sérieuse lorsqu’il le fallait. Elle n’était pas jalouse, ni même possessive, et n’entrevoyait pas de brider son partenaire avec mille règles impossibles à tenir. Elle pouvait être la petite amie idéale si elle laissait une chance à qui que ce soit, mais jamais ne le faisait : le prétexte officiel était le manque de temps, la raison officieuse était qu’elle n’avait pas trouvé qui que ce soit capable de faire battre son palpitant avec une féroce vigueur. Pourtant, dans cette étrange mise en scène, elle avait trouvé un partenaire de crime idéal, et contre toute attente, elle lui offrait ce temps qu’elle refusait catégoriquement à un réel partenaire potentiel. Il la surprenait là où elle l’attendait le moins, et jamais elle n’avait autant ri que depuis qu’elle se trouvait en sa compagnie. C’était insupportable de trouver un alter-égo là où on ne l’attendait tout simplement pas. Prenant une mine affreusement choquée, elle posa sa main sur sa poitrine tout en rétorquant à sa réplique si joliment menée. « Sans rien en dessous ? Mais… Cela voudrait dire que tu me verrais toute nue pendant l’essayage ! C’est terriblement inconvenant ! » Non, il n’irait pas jusque là, elle s’en doutait, il était trop respectueux pour cela. Ce qui n’empêchait pas de coller pourtant quelques images dans la tête pour perturber l’autre. « Je risque d’avoir froid, tu comptes faire quelque chose pour me réchauffer ? » Quant à chanter… Mieux valait ne rien répondre à cela. Elle chantait bien, mais il y avait toujours beaucoup mieux à écouter. Elle se défendait, sans plus. La musique ne faisait pas partie de ses talents.

Un rire, qui s’accentue plus encore sous le geste qu’il ose se permettre. « Quoi ? Tu ne veux pas de mon romantisme ? » Elle même n’en voudrait pas. Elle n’en ajouta pas plus cependant, préférant secouer négativement la tête. « Non non, je t’assure. Elle ne pourra pas m’égaler. Faire mieux peut-être, mais il te manquera toujours un petit quelque chose que je possède et qui rend notre couple… spécial. Et je gage que ce sera mon talent inné pour te chercher des poux. » C’était même plus que certain si l’on y réfléchissais bien. Elle ne se permettait pas encore de le séduire assez, une autre le ferait bien mieux qu’elle. La complicité, il n’aurait aucun mal à réussir à l’instaurer avec une autre compagne. Mais cette propension à le taquiner sous tous les angles ? Il n’y avait qu’elle qui y parviendrait, sa franchise lui permettant de s’attaquer à toutes les coutures sans jamais céder le moindre bout de terrain, et sans craintes de s’attirer ses foudres. Ils avaient bien trop mal débutés leur relation pour qu’elle se soucie d’y revenir un jour. Arriverait ce qui arriverait, elle composerait avec. Même lui avait l’audace de la surprendre. « Parce que je dois revenir demain ? » Laissa t’elle entendre, prenant une mine effarée quand la surprise transparaissait réellement dans sa question. Elle n’avait pas supposé les choses de cette façon. Elle avait évoqué un week-end pour Irène, mais en ce qui les concernait réellement, elle n’avait pas prévu de pourrir le capitaine durant les deux autres journées à venir. Elle avait prévu de rester tranquillement chez elle, ou même d’aller chez ses parents pour monter son cheval. « Tu n’es pas mon fantasme, si tu l’étais, tu n’aurais qu’une barbe de trois jours, pas une barbe de nain. Regarde, bientôt on pourra faire des tresses dedans ! » Non, il ne représentait pas un fantasme. Un désir tangible, c’était probable, à mesure qu’ils jouaient. Elle ne lui avait pourtant pas menti lors de leur premier rendez-vous imposé : son esprit ne le voyait pas comme un potentiel amant, parce qu’ils étaient bien trop lancés dans leurs railleries. Une semaine plus tard, ses pensées traitresses voyaient l’homme sous un nouvel angle, pour la simple raison qu’ils devenaient trop proches. Un baiser chaste entrainait trop souvent un baiser langoureux. Son corps réagissait naturellement parce qu’elle ne ressentait pas de dégoût. Ce soir, il était en train de se languir de ce auquel elle l’avait malgré elle habitué. L’avouer serait franchir une limite qu’ils s’étaient imposés naturellement. Revenant à l’instant présent, elle tenta d’oublier le jeu malsain auquel ils étaient en train de se livrer, confessant une vieille histoire. Elle aimait ses grands-parents et ses cousins, mais il y avait longtemps qu’elle ne les avait pas vu. Peut-être devrait-elle changer cela pour le prochain Noël, après tout, elle était curieuse de savoir si sa grand-mère entretenait certaines traditions. L’enfant en croûte n’était qu’une de celles-là, mais toutes étaient affreuses pour des enfants.

Se concentrant sur sa nouvelle tâche, elle esquiva soigneusement le regard du presque quarantenaire – car oui, elle connaissait parfaitement son âge, on le lui avait longuement rabâché ces derniers jours – découpant le rôti entouré d’une pâte feuilletée maison qu’elle avait préparé la veille. Quelques tranches, pas plus, avant de transporter le plat au centre de la table, marquant une mine amusée pour la bougie. « Tu me sors le grand jeu ? » Laissa t’elle entendre avant d’aller chercher le second plat, plus petit, ajoutant quelques touches de persil frais sur les rondelles de pommes de terre soigneusement découpées. « Si on en croit les rumeurs, je suis déjà séduite… » Un petit rire, avant qu’elle l’invite à s’installer pendant qu’elle sert généreusement son assiette, puis la sienne. « Je ne doute pas une seconde que c’est toi qui va aller me préparer ce bain moussant. »


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Il pensait véritablement être bon comédien ou tout du moins, laisser derrière lui ses tracas et problèmes pour montrer une facette de lui ou tout va bien dans le meilleur des mondes. En son sens, c'était ainsi qu'un leader se devait de faire, montrer l'exemple aux autres, ne pas se laisser abattre devant eux, toujours être positif et avancer le premier. Tel Siegfried qui était sur le devant sur les champs de batailles, Matthew faisait de même dans la vie de tous les jours. Elle pouvait donc être heureuse la demoiselle, il était le parfait faux petit ami. Il avait de toute manière l'habitude de déformer légèrement la réalité durant des interrogatoires, alors ça ? C'était presque une partie de plaisir et oui, s'en était une. Il ricana gentiment à la question de la cabine, du pull qui gratte sur le peau nue de la demoiselle et le fait de la réchauffer.

« Je détournerais le regard ou pas. Histoire que ce soit assez embarrassant autant pour toi que pour moi. Quoi que te voir embarrassé serait bien plus délectable ! Une fessée devrait te réchauffer et te donner des couleurs. »

Il avait un sourire tout à fait espiègle le policier. Il avait du mal à imaginer une scène pareil au jour d'aujourd'hui,  c'était tout à fait irréel en l'état et même si cela arrivait, il doutait que cela arrive de la sorte. Voulant préserver ses boutons, sa pudeur et sa chasteté, il s'amusait de la situation avec elle. En fait, c'était une véritable cours de récréation maintenant qu'ils jouaient la comédie tous les deux. Son romantisme semblait être assez spéciale, ça l’intéressait presque de voir ce qu'il en était, mais pas pour le moment, il avait peur de voir.

« J'ai peur que ton romantisme ruine ma garde robe. Oui tu marque un point, elle ne pourrait pas être plus fatigante que toi et ça, c'est un point important. Elle ne pourra pas autant me remettre en question que toi aussi, c'est vrai. Mais au moins, s'il n'y a pas plus chiante, je suis sauvé ! Si elles étaient toutes aussi... épuisantes que toi, ce serait peine perdue. Je n'ose imaginer si l'on faisait la chose, je perdrais clairement en vivacité après et me sentirait véritablement vieux à être autant épuisé. »

Il acquiesça pour lui même. Déjà que psychologiquement c'était éreintant, alors physiquement en plus de tout ça ? Elle le mettrait à terre direct. Ou pas. Il y avait un monde entre elle et lui avant que cela n'arrive et que quelqu'un l'épuise autant physiquement. Elle semble tout à fait choquée sur le fait de devoir revenir le lendemain, si elle prenait un taxi, elle devrait bien revenir récupérer sa voiture non ?

« Tu peux aussi rester dormir, mais si tu ne rentre pas avec ta voiture, il faudra bien venir la chercher le lendemain non ? Je m'étais fait à l'idée que ce serait tout le week-end, mais si tu m'offre autant de répits, je ne pourrais que saluer ta grande bonté d'âme ! Avoue tu as pas prit ton doudou, tu peux pas dormir sans lui. »

Il se caressa la barbe aux dires de la jeune femme sur sa barbe qui n'était pas si grande que ça non plus. Il allait au barbier très régulièrement pour garder une taille qui lui plaise et qui soit professionnel en son sens. Si elle est bien taillée, tout va bien. Petit jeu terminé, histoire pour détourner l'attention et les voilà qui passent à table. Sortir le grand jeu ? Peu être pas, mais tant qu'à faire illusion, autant qu'elle soit réelle et ça le sortait de ses tristes soirées à manger devant la télévision.

« Si tu savais, je ne sors que le petit jeux la, pour te ménager. Attention les chevilles quand même, j'ai dis que je ferais la vaisselle pendant que tu pourrais possiblement prendre le bain, rien n'est encore gagné hein. Non mais. »

Il attend que tout soit prêt, souhaite un bon appétit et commence à manger. C'était assez fascinant un plat comme celui la. La croûte, la viande, tout cuit en même temps. Les légumes aussi étaient bons. Il fallait bien l'avouer, c'était un plat qui sortait de l'ordinaire et qui était bon. Il reste néanmoins interdit, fait des têtes de gars surpris, légèrement écœuré, il joue de sa fourchette et de son couteau, retourne la viande, boit du vin, un petit moment comme ça, se sachant surveillé par la blonde en face de lui.

« Bon franchement, c'est délicieux. Ca me fait mal de le dire, mais bravo, tu as du talent. Ma note actuelle se situe actuellement entre le sept et le huit. C'est une belle découverte. Si le désert est aussi bon, je pense que tu va avoir droit à ton bain et ton massage. »

Elle avait du talent, il ne pouvait le nier.

« Ou as tu appris à cuisiner ? »


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Un regard vers le ciel, la mine indiquant plus que clairement qu’elle ne croyait pas un mot de tout ce qu’il venait de déblatérer. « Comme si j’allais te croire. » Souffla t’elle non sans secouer la tête sous l’amusement et le désespoir, avant de finalement relever totalement la tête, prenant un air inspiré. « Qu’est-ce qui te fait croire que je pourrai être gênée devant toi ? » Souffla t’elle avec amusement. Avait-elle de quoi être gênée ? Pas le moins du monde. Elle possédait des formes là où il fallait, et elle était tout en muscle en raison de l’art martial qu’elle pratiquait depuis un moment déjà, sans parler du jogging matinal. Elle prenait soin d’elle et tout son être l’en remerciait pour cela. Alors de quoi devrait-elle être embarrassée ? Se retrouver en sous-vêtements devant lui n’allait pas la faire tomber dans les pommes, ce serait comme si elle portait un maillot de bain. Se retrouver nue en revanche devant un homme qui n’était pas le sien n’arriverait jamais. Il y avait des limites au manque de pudeur. De nouveau les yeux qui roulent dans ses orbites. « J’ai passé l’âge de prendre des fessées. » Et jamais personne ne s’était risqué à lui en coller une maintenant adulte. Elle n’était pas assez soumise pour cela, et il y avait fort à gager qu’il connaitrait le retour s’il osait tenter l’expérience. S’il attendait d’elle une compagne qui répondrait amen à toutes ses tentatives, il se fourrait lamentablement le doigt dans l’œil.

Un rire amusé sous sa nouvelle réplique. Elle-même s’inquiéterait sincèrement si elle devenait un jour romantique au possible. Au moins était-elle consciente que ce genre d’attitude n’était pas dans ses gènes. Pas encore, peut-être jamais. « Je ne suis pas fatigante, c’est juste toi qui est terriblement vieux. » Souffla t’elle avec amusement, avant de pencher la tête sur le côté. « Comment ça je te remets en question ? » Qu’avait-elle encore fait ? Elle qui tâchait de demeurer de son côté de la barrière, voilà qu’il l’accusait presque de secouer son quotidien. Puis un rire, avant qu’elle ne laisse glisser un regard espiègle vers lui. « La chose ? » Finalement, un éclat de rire. Voilà qui était drôlement tourné. « Viens tu d’envisager l’espace d’un instant que toi et moi, on se jette l’un sur l’autre pour faire… la chose ? » Des guillemets pour accentuer la dénomination particulière et déjà se moque de lui. Si elle envisageait les choses sous cet angle, elle n’entrevoyait pas la fin. Remuant doucement la tête pour chasser cette idée, elle revint à lui, non sans un sourire flottant sur ses lèvres roses.

Pourtant, c’est le silence qui pointe le bout de son nez alors qu’elle se fait attentive, écoute la proposition. « Je pourrai aussi éventuellement dormir ici, mais te déranger n’est pas mon but. Si tu as des choses à faire ce week-end, je me sentirais assez mal de t’en priver, surtout pour une mise en scène. » Haussement d’épaules, avant qu’elle ne coule son regard dans le sien sous sa pique. « Tu veux le remplacer ? Je te préviens, je suis affreusement câline avec lui. » Qui cherche trouve. Et les deux oiseaux s’étaient trouvés depuis bien longtemps, ils n’avaient juste jamais exploré cette partie là dans leurs moqueries respectives. Revenant à la table, le repas servi, elle souffla doucement. « Je crois que le pire dans l’histoire, c’est que tu ne feras même pas la vaisselle vu que tu as une machine pour le faire. Doooonc, je peux t’engager pour faire couler mon bain. » Laissa t’elle entendre avant de se glisser à table, désertant le faciès de son faux petit ami pour son assiette, savourant ce met qu’elle connaissait depuis son enfance, ne relevant ses prunelles que sous sa réplique, comme quoi, elle ne passait pas son temps à le surveiller. De toute manière, elle savait d’ores et déjà que c’était bon. Elle avait préparé ce plat trop souvent et l’améliorant sans cesse pour le remettre en question. Arborant toutefois une mine sévère sous ses propos, elle s’accorda une gorgée de vin. « Si j’avais du voter pour tes fesse, j’aurai mis un quatre. » Langue tirée, avant qu’elle ne reprenne une tranche de pomme de terre entre ses lèvres. « Et mon dessert est à tomber par terre, mais comme tu es de mauvaise foi, tu ne voudras pas l’avouer. » Petit coup de pied sous la table, qui ne risquait pas de lui faire bien mal, puisqu’elle était pieds nus, alors que déjà, termine son assiette. « Je te ressers ? » Déjà levée, en bonne hôtesse, avant qu’elle n’hausse de nouveau les épaules. « Mes grands-parents. » Il n’y avait rien de plus à en dire en toute sincérité.


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Il se mit à réfléchir. Qu'est ce qui pourrait la mettre mal à l'aise hein ? Il y avait tant de choses, c'était certain ça ne pouvait que la mettre mal à l'aise dans un tel endroit.

« Je ferais sûrement ce qui serait le plus gênant c'est certain et forcément que tu serais mal à l'aise. Un espace clos, rien sur toi, moi. Ça a toujours quelque chose de gênant ce genre d'affaire, surtout pour des inconnus tels que nous dans ce domaine. »

Et par domaine, il parlait forcément de la nudité ou presque nudité. Même si lui même n'avait pas peur de se dévêtir, il n'en restait pas moins que ça restait gênant d'être le seul à poil dans la pièce, comme si on sortait forcément du décors. De toute façon, dans une cabine de boutique de vêtements, ce n'était pas forcément l'endroit le plus agréable du coin et surtout il y avait des gens pour se faire des idées et juger. D'après elle, elle avait passée l'âge de la fessée. Il n'y avait pas d'âge pour qu'une vilaine fille prenne sa fessée, ou un garçon soit dit en passant, il en fallait pour tous les genres. Mais encore une fois, comme pour les menottes, il n'en rajouta pas plus, cela pourrait se terminer par un écrasement des parties génitales une nouvelle fois et franchement, ce n'était pas enviable.

« Non, non, avec tous tes piques et attaques, tu m'épuise et tu peux aussi me remettre en question. Est-ce la bonne attitude ? Dois-je être plus chiant encore ? Puis-je être encore plus chiant et me surpasser ? Oui, effectivement, l'idée est passée par la, mes pires cauchemars ! Manquerait plus que tu adore ça et que tu me vide de toute vie. »

Il passa sa main sur sa gorge. Oui, il se joue d'elle comme elle se joue de lui. L'idée faisait forcément écho pour les deux personnes qui jouaient à un jeu bien trop dangereux pour qu'ils se laissent aller une seule fois. Ils en avaient eu la preuve quelques instants plus tôt, sur le canapé, ça avait faillit dérapé ou tout du moins, ils avaient joués parfaitement la comédie et d'après ce qu'il avait ressentit et vu, il aurait pu y avoir plus et ça, cela devenait trop dangereux de son point de vu. Si le fictif devenait réel, le plan ne marcherait pas et Irène aurait probablement gagnée sur toute la ligne. Impensable ! Autre sujet de discutions, nouvelles piques, nouvelles idées. Au moins, il ne s'ennuyait pas avec elle, ca avait du bon en un sens.

« J'ai des dossiers à traiter, rien de bien glorieux, mais aussi aller acheter un sapin de Noël. Rien de grandiose en un sens, pour une fois que je peux souffler, je vais en profiter. »

Premier Décembre, il était temps de faire le bon achat ! Il avait de la place et il adorait la période de Noël.

« Je ne doute pas que même avec ton doudou tu te collerais à moi. On dit que je suis une véritable bouillotte. Oh, dans le mile ! Mais je ne voudrais pas... que tu sois déçu de ne pas te faire ton bain toi même et tout et tout. »

Et oui, détournement de situations et puis quoi encore, elle voulait qu'il aille lui brosser le dos tant qu'il y était ? Il frotterait fort en tout cas. Il donne une note provisoire et forcément, elle n'aime pas, c'est pas assez haut, pourtant, il trouve que c'est bien pour le moment ! Tirage de langue, petit coup de pied sous la table, c'est l'amour fou entre eux deux.

« Tu peux parler, tu es tout autant de mauvaise foi que moi apparemment ! On verra bien si je tombe véritablement par terre ! Oui avec plaisir, merci beaucoup chérie. »

Il appui sur le chérie une nouvelle fois et accepte d'en reprendre encore un peu. Il se ressert du vin et s'arrête au dessus de celui de la jeune femme pour voir si elle en veut d'autres.

« Si je ressers, c'est ou le taxi, ou l'enfer dans le loft du paradis »

Un sourire aux lèvres avant qu'il ne commence à débarrasser après le plat qui lui avait déjà bien remplit le ventre.


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Un sourire amusé, et voilà qu’elle repousse une mèche de cheveux blonds en arrière, non sans couler son regard dans le sien, féline. « Sans vouloir avoir le dernier mot, imaginons une situation telle que celle-ci, je ne resterai pas nue bien longtemps. Je ferai en sorte que tu me rejoignes rapidement en tenue d’Adam. De nous deux, je ne sais pas qui pourrai bien être le plus gêné. » Peut-être le serait-ils tous deux, c’était plus que probable. Et aux vues des derniers évènements, il y avait fort à parier que la nudité serait loin d’être le souci principal d’une telle exiguïté : trop joueurs, ils finiraient par succomber à ce dont ils ne voulaient surtout pas, et pas une seconde la blonde ne se fit d’illusions, elle serait la première à flancher. « Mais prions toutes les étoiles de l’univers pour qu’une telle chose n’arrive jamais. Je vois assez de scènes de crimes affreuses, je ne voudrais pas rajouter une nouvelle horreur à mon palmarès. » Nouvelle pique et déjà clôture ce débat. Cela dit, le défi n’était pourtant pas mis de côté pour autant. Elle allait se montrer très imaginative pour le faire sortir de ses gonds et lui refuser toutes les faveurs du monde. Il ne faisait pas un pli qu’il allait regretter de venir faire du shopping avec elle. Rares sont les choses affriolantes chez les messieurs dans les magasins… En revanche, pour ces dames, il existe un bon nombre de boutiques destinées à subjuguer un peu plus la plastique d’une créature féminine et fournir mille idées détournées à ces messieurs. Les conséquences ? Elle saurait les assumer en temps et en heure, mais pour l’instant T, elle n’avait aucun doute sur le fait qu’elle allait grandement s’amuser.

« Toutes mes piques et mes attaques ? Tu es généralement le premier à lancer les hostilités, j’agis en légitime défense. Si tu veux vivre un peu plus vieux, assure-toi plutôt de t’attirer mes faveurs. » De toute évidence, cela finirait par arriver. Ils ne ressortiraient pas indemnes de cette expérience, et jamais plus ils ne pourraient repartir sur les mêmes bases que lors de leur première rencontre, à moins de vouloir mettre un terme définitif à leur complicité naissante. Il suffisait pour cela de faire indéniablement mal à l’autre. Hélas, Saërá n’était pas mauvaise, elle n’avait pas mauvais fond. Elle pouvait se montrer rancunière, mais rien de plus. Si leur amitié devait prendre fin, ce serait à lui de faire en sorte qu’elle le voit comme un ennemi. Pourtant, un instant, elle laissa son regard se troubler sous son aveu. Venait-il vraiment de confesser la pensée ? Un silence quand une réponse aurait du être relancée illico. Elle y avait songé aussi lorsqu’ils s’étaient lancés silencieusement ce défi sur le canapé. Ce n’était qu’une envie, une curiosité passagère. Est-ce que cela changerait réellement les choses s’ils cédaient à cette impulsion ? C’était un risque. Mais déjà elle secoue la tête avant de retrouver son sourire amusé. « Alors quoi, je suis si terrible que ça dans tes fantasmes ? » Un petit rire, avant de jouer avec sa chevelure pour la relancer une nouvelle fois en arrière. « Je pourrai tout autant me plaindre de toi ! Tu n’es peut-être pas aussi doué que je l’imagine. » Il n’y avait qu’une seule façon de le vérifier. Ou alors, elle pouvait retrouver ses amantes et les interroger.

Un sapin de Noël… Elle n’avait pas demandé à sa colocataire si elle voulait qu’elles en prennent un. Elle appréciait la période hivernale, mais était-ce le cas de l’autre blonde ? Il faudrait qu’elle lui envoie un sms à l’occasion pour le lui demander. De toute manière, elle n’échapperait pas à la fournée de gâteaux et de chocolats. « Eh bien, si tu veux bien de moi, je peux t’accompagner pour le sapin. Je ne sais pas si ma coloc’ en veut un, mais ça peut me permettre de faire des repérages. En échange, je peux te faire des sablés et du pain d’épice. » Allait-elle l’acheter sans arrêt avec la nourriture ? ll y avait de grande chance. C’était là l’un de ses atouts, mais surtout le seul qu’il lui connaissait. Mais déjà il passe à autre chose, et c’est avec une mine faussement choquée qu’elle se permet de lui répondre. « Je vois clair dans ton jeu. Tu veux des câlins ! On se sent seul monsieur Snape ? » Un rire, tandis qu’elle se redresse pour le resservir, non sans lui adresser un air taquin. De mauvaise foi ? Elle ? Evidemment. Et tandis qu’elle dépose une tranche de rôti dans son assiette, voilà qu’elle se penche légèrement sur lui, dépose un baiser sur sa tempe non sans passer ses phalanges libres dans sa chevelure brune. Il voulait jouer ? Il savait pourtant qu’elle n’hésiterait pas une seconde à surenchérir encore et toujours plus. Elle finit toutefois par acquiescer sous la proposition. « Va pour l’enfer dans le loft du paradis. » Souffla t’elle tout en s’asseyant de nouveau en face de lui, s’accordant une gorgée. « Tu ramènes le dessert ? »


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Il rigola de bon cœur.

« Je pense que nous serions tous les deux gênés dans ce genre de situations avouons le nous! Je comprend, évitons tous les deux de faire d'autres cauchemars. »

Oui, éviter de se donner des idées et des envies qui n'avaient pas leurs places dans une telle situation. Ils ne devaient point flancher et continuer de jouer la comédie, mais ils y prenaient goût tous les deux, depuis une semaine à se lancer des piques, mais surtout à jouer le jeune couple bien de folie. Ils partent sur autre chose, le fait de survivre à la jeune femme, aux attaques proférées et il hausse les épaules à la tirade.

« Oh, tu n'es pas en reste pour prendre les devants! Mais je note, je pense que je pourrais faire des efforts pour quelques années de vie en plus. Elle est déjà assez courte comme ça. »

Et il avait déjà assez d'ennemies comme ça! Autant profiter de l'occasion pour en retirer une possible, même si ce n'était pas le cas, tout cela n'était que joutes verbales et tacles bons enfants. Il tapote du doigt sur la table suite à la question de la blonde. Si terrible que ça hein? Oh, pas le moins du monde, mais il ne pouvait point dire ce genre de choses aussi ouvertement, sinon ce serait avouer sa faiblesse et offrir une victoire sur un plateau d'argent à la jeune femme. Elle ose même lui faire un compliment ou pas en fait, il ne sait trop comment le prendre.

« Pas si terrible que ça non, mais pas loin. Tu avais vraiment des penchants très louches. Pour ce qui est de mes aptitudes en la matière, je terrais mes propos. De toute façon, à quoi bon, tout le monde sait que je suis un amant passionné qui te tient éveillée toute la nuit non? »

Le peuple savait, ou en tout cas, le peuple savait ce que eux voulaient qu'ils sachent. Vérité ou pas, ils mettaient la fausse information à leur avantage. Il lui proposa de rester si elle préférait. Après tout, Irène savait qu'ils passeraient le week end ensemble et il n'avait pas tant de choses à faire hormis quelques petites choses. Ils pourraient en profiter pour faire plus amples connaissances dans des lieux divers.

« Parfait! Avec du chocolat chaud et tout pour que ça face bien Noël. Sois contente, tu es la première avec qui je vais décorer mon appartement pour Noël. J'espère que tu es prête à passer une après midi mouvementée! Et si tu es sage on ira t'acheter un pull. Ou quelque chose en souvenir de ce week-end, on va bluffer Irène tu vas voir. »

Il ricane.

« Tu ne peux pas savoir combien je me sens seul quand tu ne me prend pas dans tes bras chérie. »

elle joue et lui offre un baiser sur la tempe avant d'accepter le week-end à ses côtés dans l'enfer du paradis tandis qu'il allait chercher le dessert. Il apporta tout ce qu'il fallait et il avait presque des étoiles dans les yeux.

« Je pense que ta note va remonter à 9 avec ce dessert. »

Il avait la dent sucrée et la, elle allait largement le combler!

« J'irais préparer le lit d'ami pendant ton bain. J'ai trop peur que tu veuille me tripoter durant la nuit. »


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hell'come home #mattërá - Dim 1 Déc - 20:16

Hell'Come

You hit me once, I hit you back. You gave a kick I gave a slap. You smashed a plate over my head, then I set fire to our bed


Secouant négativement la tête, la jeune femme manifesta une négation on ne peut plus marquée. Avait-il oublié son horrible franchise ? « Hin hin. Pas d’accord. Je n’ai pas honte de mon corps et si un jour tu dois me voir en sous-vêtements, je ne pourrai pas m’en offusquer. Si tu veux me voir nue en revanche, j’espère qu’il y aura une meilleure raison qu’un jeu dans une cabine. » Haussement de sourcils, ils se mentent. Elle l’a suffisamment observé pour deviner une silhouette agréable à la vue. Des cauchemars, elle doutait d’en faire à son égard, des rêves plutôt déplaisants pour la suite des évènements en revanche… Il n’y avait pas de doute, il pouvait y en avoir. Son propre corps était prêt à la trahir pour une attention dont elle était privée pour ce week-end, et qui reviendrait une fois la semaine prête à débuter. C’était injuste d’être soumise à ce genre de problématique. Peut-être mettaient-ils trop de cœur à la tâche, et un peu trop de piment dans tout le reste. C’était le problème de leur mise en scène : elle était bien trop passionnée pour ne pas laisser de traces. Des marques qui resteraient avec certainement des questions en suspens, toutes commençant par « Et si ? ». Elle ne voulait pas avoir ce genre d’interrogations en tête. Elle n’aimait pas rester sans réponses. Et si devait un jour devenir une réalité pour ne pas avoir de regrets. Toutefois, elle s’accorde le temps de la réflexion, de peser le pour et le contre avant de lancer l’idée, d’avancer les arguments en faveur d’une telle folie. S’ils ne tentaient pas l’expérience, au moins devaient ils s’accorder à se répondre sans détour, sans mensonge et sans aucune retenue. « C’est parce que je sens quand tu vas attaquer, alors je prends les devants. » Souffla t’elle non sans un petit rictus amusé. « Et tu fais bien, sinon tu vas morfler pour le reste de ta misérable vie. » Et pour appuyer le tout, cet horrible ricanement parodique de sorcière, avant qu’il ne se transforme en véritable. L’auto-dérision, c’est fatal pour la crédibilité.

« Mes penchants louches ? » Une mine effarée, et voilà qu’elle se penche en avant, non sans l’accuser d’une fourchette, une arme terrible pour ceux qui savent s’en servir. « Mais qu’est-ce que tu me fais faire dans ton imaginaire ? » Elle recule et secoue la tête. « Non, non je ne veux pas le savoir, je suis certaine que c’est dégoûtant et que ça va me rester en tête ! » Voilà qu’elle ferme les yeux avant de réprimer un frisson et une grimace, pour mieux les rouvrir ensuite, retrouvant son air habituel, amusé et taquin. « Oh tu sais, moi je ne crois que ce que je vois. » Haussement d’épaules et changement de sujet. Mieux valait ne pas approfondir le sujet, elle ne saurait pas détourner la vérité. « Il faudra que je fasse des courses alors, et que je trouve des emporte-pièces pour les sablés. Eeet… je passe mon tour pour le pull. Quoi que. Est-ce que c’est dans l’optique de finir avec moi dans la cabine pour que tu sois terriblement gêné ? Parce que là, je peux réviser ma réponse. » L’humeur joueuse, et ses phalanges qui redescendent sur sa nuque, ses ongles jouant avec sa peau, sans qu’elle ne puisse rétorquer quoi que ce soit à cette réplique. Parfois, mieux vaut se taire et regagner sa place, savourer une gorgée de vin et ne rien imaginer de plus.

« Je vise le 10 si ça ne te dérange pas. » Vint-elle souffler non sans se lever pour passer entre ses bras, de sorte à se retrouver dos à lui. « C’est un Charme de Circé… » Laissa t’elle entendre tout en glissant le couteau entre les phalanges de son compagnon, le guidant pour qu’il le découpe parfaitement et dépose les parts dans l’assiette, avant de se tourner pour passer ses bras autour de sa nuque. « Il n’y a pas une femme dans ma famille qui n’ait pas fait ce dessert à son amoureux. C’est presque une tradition. » Vint-elle souffler contre ses lèvres, avant de lui dérober un rapide baiser pour mieux s’échapper ensuite. « Le baiser c’est la cerise sur le gâteau ! » Souffla t’elle tout en retrouvant sa place, lui adressant une œillade taquine pour mieux attraper sa cuillère. « Tu ferais mieux de fermer ta porte à clé dans ce cas, qui sait ? Je suis peut-être somnambule et je pourrai me rendre dans ton lit par inadvertance ! » Somnambule, elle ne l’était pas, cependant, il y avait fort à parier qu’elle ne dormirait pas cette nuit, ni une autre.


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Matthew Snape
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CREDITS : Hannibal (vava) + siren charms (sign)
FACE : Jake Gyllenhaal
DOLLARS : 3950
SACRIFICES : 370
ANNEES : 38 ans.
CŒUR : Célibataire.
RÉINCARNATION : Siegfried du panthéon Nordique.
TALENT(S) : L'appel du héro - Ne jamais lâcher prise
FACTION : Les Forces de l'Ordre.
OCCUPATION : Capitaine de l'ACPD.
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Attrape moi si tu veux, mais ne peut pas celui qui le veut. Astre tentateur malgré toi, telle est à jamais ta loi. Condamné à te chasser, dans la nuit tu m'a échappée.
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hell'come home #mattërá - Dim 1 Déc - 21:54

Hell'Come

My heart is like a haunted house, there's things in there that scratch about. They make their music in the night, and in the day they give me such a fright



Elle avait raison en un sens. Qu'il y avait quand même meilleurs moyens ou moment pour se retrouver ainsi dévêtus qu'une simple cabine d’essayage.

« Il n'est pas question d'avoir honte de son corps, plus une situation étrange et pas forcément agréable, mais je suis d'accord. Il y a quand même meilleurs moment pour en profiter. »

Discussion close, pas besoin d'en dire plus sur ce sujet, il semblerait que tous les deux comprennent que ce genre de petits jeux pouvaient êtres vraiment dangereux pour eux. Elle semble prendre la confiance elle même, comme si elle pouvait autant le fatiguer que ça, mais c'était admirable, ils s'amusaient maintenant, c'était intéressant.  

« Tu ne vois en moi qu'un homme horrible je suis choqué! Même pas peur. »

Oui, il avait eu de drôle d'idées, ou plutôt son esprit avait imaginé que la jeune femme avait des penchants étranges et parfois dérangeant. Il ne jugeait pas, chacun avec sa vie privée, mais voilà qu'il avait ce genre de pensée et ça le faisait frissonner d’effrois. Elle semble toute aussi dégoutté et se ravise. Elle aussi ne veut pas savoir.

« Non non, ce n'est pas moi qui faisait des choses louches, mais plutôt toi qui avait des demandes... étranges. Pourquoi une aubergine franchement? »

Il mettait de l'huile sur le feu et franchement ça le faisait bien rire. Elle ne croyait que ce qu'elle voyait. En l’occurrence, il faudrait le subir, mais il préféra ne répondre que par un clin d’œil. Cela pouvait être prit de différentes façons, mais il préférait laisser cela à l'imagination de la demoiselle qui déjà partait sur d'autres sujets.

« Nous ferons ça dans ce cas! Oh chérie... je pense que tu peux réviser ta réponse oui. »

Un nouveau clin d’œil, oui, ils jouaient avec le feu et la blonde monta encore d'un cran et s'approchant de lui, se mettant entre lui et le gâteau pour l'aider à le découper. Tout contre elle, il la laisse le guider sans émettre d’oppositions, sûrement à cause du couteau entre ses doigts. Elle lui donne le nom, sert les part et se retourne dans un jeu qui s'embrase avec un baiser rapide en guise de cerise sur le gâteau. Elle... jouait avec le feu entre une fois et ce qui était traitre, c'était que ça marchait!

« Je ne remonterais pas ta note sur le simple fait que tu utilise ton corps pour tenter de me corrompre! Que c'est mal connaître le policier que je suis. »

Il passa furtivement sa langue sur ses lèvres. Parce qu'il a apprécié? Ou parce que le dessert lui donne envie? Qui sait? Ils gouttent et c'est délicieux. Il n'avait pas forcément déjà mangé cela, le nom lui disait rien, mais c'était un délice en bouche et il lâcha un soupir de plaisir.

« Oh, je n'ai malheureusement pas de serrures, mais après elle tel dessert, tu peux bien faire ce que tu veux de moi... »

Il ferme les yeux et en prend encore. Il l'avait dit qu'il avait la dent sucrée.

« Je t'offre un neuf tu as réussis. Les femmes de ta famille doivent tenir leurs hommes avec la nourriture c'est certain. »

Reservit deux fois, il en restait assez pour au moins... la fin de soirée. Il finit son verre de vin et se redressa.

« Tu me laisse cinq minutes? Tu as amplement mérité ton bain. »

Clin d'oeil et il monte, sortant une serviette pour l'invitée, allume les bougies qu'il dispose un peu partout autour de la baignoire, faisant couler l'eau chaude tout en regardant les bombes moussantes. Elle allait passer un moment de rêve la Saëra, elle l'avait bien mérité et il ne pouvait pas le contester.




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