INTRIGUE + take off the mask

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take off the mask

season one, episode two

Elle grommelle, la fille de l'eau. Elle ne cesse de grommeler. Pas que l'évènement en soit la dérangeait. Elles avaient eu l'habitude, les filles du gouverneur - dîners d'ambassade, galas de charité. De la poudre aux yeux, du luxe et des paillettes. Tout ça, elle s'y était faite. Ce qui la dérangeait, c'était d'avoir le sentiment que, déjà, l'étoffe se tendait sur son ventre toujours plat - et elle malmenait nerveusement le pauvre tissu, à tenter, désespérément, de dissimuler la vérité.
Ses soeurs n'étaient pas au courant, Lyra n'était pas au courant, et il ne faudrait pas longtemps avant que ces dernières ne comprennent qu'elle ne servait d'hôte à la prochaine génération d'Alien.
Et elle n'en grommelle que plus.
Mais heureusement, il y a Lyra, et elle n'en demande pas plus. Elle se moque du cadre idyllique, se moque des jardins superbes et des chandeliers qui illuminent les allées. Et de toute manière, elle brille suffisamment pour éclairer leur chemin. Merveille de technologie que l'union entre fibre optique et organza. Elle attrape le bras de sa soeur, juste avant de passer la porte du manoir, et lui offre une moue d'enfant capricieux. 'Croft, tu m'attaches le masque? Je sens déjà que ce truc va m'emmerder.' Sans même attendre de réponse de la part de sa soeur, elle lui glisse l'objet entre les mains, et pivote impatiemment. Et ne peut que contempler la foule masquée qui glisse déjà sur le marbre du manoir. Elle hait les masques et les faux semblants. La mer ne se dissimule pas. 'On sait toutes les deux que ce n'est pas qu'une célébration innocente, hein? Ils sont tous impliqués. Tous les groupes.'
Mais elle ne s'attarde pas sur la réflexion. Elle repère une silhouette et une démarche qu'elle serait capable d'identifier partout, même masqué (@Saturno Bellandi) - pour avoir étudié des heures durant toutes les méthodes envisageables pour le tuer. Et sans plus attendre, elle prend sa soeur par le bras et l'entraîne à l'intérieur, loin du caporegime. 'Viens, on va prendre un verre là-bas. Superbe, la veste. Toujours agréable de voir un homme de goût.' Le compliment, lâché sans transition, est destiné à @Khan Farrukh, invité dont elle ignore tout - et elle s'en moque.
Et elle se souvient brusquement. Avec Alien Revenant qui squattait son utérus, pas de champagne. Et c'était tout de suite beaucoup moins marrant, et elle lâche un chapelet de jurons en arabe.
Saleté de soirée.
Saleté d'Alien.

(c) DΛNDELION

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take off the mask

everyone

Fantôme de l'opéra squelettique – moitié du visage bouffée par un masque blanc qui ne parvenait nullement à dissimuler la pourriture tatouée rongeant sa peau – Ska évoluait au milieu d'une foule en liesse. Champagne ocre, lustres scintillants, tentures de velours ; le décor poussait aux excès épicuriens, à l'interdit savoureux. S'il n'avait pas tenu à son bras la plus belle femme qu'Arcadia ait porté en son sein, nul doute qu'il se serait nourri de cette opulence jusqu'à s'en faire éclater le ventre. Tout brillait si fort. Jusqu'aux convives eux-mêmes, les doigts cerclées de pierres précieuses, fortune accrochée à leurs cous graciles, déployée dans leurs plus tendres apparats : Scarlet ne savait plus où donner de la tête. Aussi reporta-t-il sa pleine attention à sa compagne d'une vie, Evie.

« Je sais que tu ne voulais pas venir, mais admets qu'on se croirait dans un film là. Ça brille de partout. », s'exclama Ska, incapable de retenir la pensée fleurissant sous son crâne rasé. Distrait par le visage angélique de sa jumelle, il pointa de sa main libre le masque en dentelle noire qui soulignait ses yeux de chat. « Tu sais, ça te va vraiment bien. ». Pas peu fier l'énergumène, puisqu'il était celui à l'avoir choisi pour elle. Il relâcha son coude pour déployer un bras destiné à lui montrer l'ensemble des possibilités. « Tu veux un truc ? Danse, alcool, créature volage pour égayer ta soirée ? ». Insouciant de savoir s'il parlait trop fort ou s'il allait heurter quelque sensibilité farouche, il ne pensait même pas qu'il pourrait cogner dans un autre à force de s'étaler, comme si le lieu lui appartenait. Il exsudait juste une joie violente, qu'il espérait contagieuse.

Code by Silver Lungs

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INTRIGUE

hail to the masquerade

Il y a quelque chose de dérangeant dans le fait d’être là, d’observer l’amusement dans les prunelles sombres de sa compagnie qui enfile fièrement ce masque de renard. Les fioritures de ce genre ne sont clairement pas faites pour lui, bien plus brut de décoffrage, mais il ne peut nier que le malin a choisi là l’animal idéal. Tout mauvais moment de la soirée. En réunissant tous les mafieux de la ville cela ne pouvait qu’imploser ou exploser dans un grand fracas, et pour sûr, Maksim aurait préféré se trouver loin de tout ça. « Parce que tu as l’intention de bien te tenir et laisser les autres faire ? Ça m’étonne de toi. ». Taquinerie. Dans sa bouderie exponentielle, Maks tente bien de faire de l’humour ironique, toujours aussi piquant dans sa façon d’être car ne sachant pas encore vraiment ce qu’il est aux yeux du brun. Il ne sait pour ainsi dire même pas ce qu’il est supposé être, totalement dépassé par les évènements et surtout incroyablement en train de réaliser qu’il n’y a pas eu une fois, mais deux… Voire trois ? Tandis qu’il se perd machinalement dans ses rêveries, ignorant alors que le belliqueux a bien failli lui octroyer une claque sur la fesse gauche puis la fesse droite, ils sont déjà à l’intérieur du manoir à observer la foule mondaine s’entasser et s’empiffrer d’ores et déjà des bulles et autres mets raffinés. Et si nous allions voir s’ils proposent de la bière, hm … ? Les yeux vairons tombent en plein sur les obsidiennes qui se fondent avec la couleur sombre du masque quand ses propres prunelles ressortent bien malgré lui. « J’ai soif. » qu’il rétorque, comme une évidence soudaine au flot de ses pensées désorganisées. « Bonne idée. » qu’il ajoute alors pour ne pas passer pour un rabat-joie. Effleurant la veste de costume d’@Aksel Beliakov du bout des doigts couverts de cuir, il prend la direction du bar, l’autre main dans la poche de son pantalon sombre. Si Aksel est on ne peut plus amusé, Maksim lui ne peut s’empêcher de penser qu’il va bien arriver une catastrophe ce soir… Et il espère bien ne pas avoir à se retrouver au beau milieu de cette catastrophe, ou pire en être la cause. Il ne se souvient que trop bien de l’incident avec Rae, et pour une raison qu’il ignore, il n’est pas réellement prompt à montrer en public de quoi il est capable, même Aksel ne sait encore… Rien. Au mieux soupçonne. La voix du brun rayonne d’ailleurs à quelques pas du blond, à l’intention de @Clarence Birdwhistell qu’il ne connait ni d’Eve ni d’Adam. Jetant un coup d’œil au torpedo, il se surprend à se demander s’il allait complimenter tout et tout le monde de cette manière. « Bonsoir. Vous savez s’ils ont de la bière ? ». On ne referait pas Fraser, toujours aussi galant… Toujours aussi… Perspicace et surtout toujours… Incroyablement authentique.

Résumé:

AVENGEDINCHAINS

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shit bugger arse tit
Fuck fuck fuckity fuck

Sa perruque brune lui tient chaud, songe-t-elle maintenant qu’il est trop tard pour l’ôter. Elle aurait dû écouter pour une fois les voix qui l’entouraient, ne serait-ce que parce que certaines annonçaient les complications. Mais trop tard, il va falloir faire avec.
Dire qu’elle aurait pu être une bonne courtisane et se pointer aux côtés de Fiona. Mais non, Sin n’en a fait qu’à sa tête et s’est présentée en tailleur turquoise et blanc, un masque de corbeau sur le tarin, qui dissimulait les yeux et le nez de la prétendue brune pour la soirée. En éclaireuse, histoire de s’assurer que ça ne va pas devenir problématique.

Alors, voyons si les croupes trahissent l’individu..., s’amuse-t-elle, tête inclinée sur le côté, à repérer ses connaissances non pas à la silhouette ou la stature, mais simplement aux miches.
Le pire dans tout ça, c’est peut-être que celle qui se veut éclaireuse pour sa Souveraine prend un malin plaisir à mater des culs plus ou moins bien moulés par des costumes ou des robes de soirée. N’est pas Sinead Reed qui veut...

Elle repère des boucles rousses, des postérieurs sympathiques et avec, des silhouettes et des gestuelles familières, çà son croque-mort favori, là la cousine de la Reine, flanquée probablement d’un chien de garde (l’aura lui dit quelque chose, mais elle maintient la distance). Lorsque Sinead se met en mouvement, c’est pour rejoindre les Wyrm, et plus particulièrement son porte-bonheur préféré.
Elle s’immisce entre le duo et d’une voix un brin autoritaire, casse l’ambiance : « on se concentre, Luckycharm, c’est pas le moment de relâcher la garde. On a une idée d’où est la Cour ? » Autrement dit, ceux qui doivent accompagner la Souveraine, ducs et autres hauts-gradés. C’est qu’elle commence à redouter que la trêve ne soit pas respectée par tout le monde.

Résumé:

Invité

L’apparat va à ses charmes. Embellit la fatale dont les courbes se parent de noir, gambette se devinant sous l’ouverture d’un fendu presque aussi indécent que son décolleté. Sobre dans une élégance qui n’appartient qu’à elle, Evie flirtant avec le politiquement incorrect tout en restant dans les délices de la bienséance. Créature solitaire sans grand amour pour les soirées mondaines, féline qui ne chasse d’ordinaire pas dans ces terrains-là, elle s’est laissé traîner hors de sa tanière par son frère. Enfonce ses ongles dans le bras qui s’accroche à elle par crainte de le voir disparaître. Les pupilles s’acclimatent, parcourent l’assemblée, le décor presque irréel qui se pose devant elle. Malgré le petit truc bizarre qui lui tortille dans le ventre, Evie doit bien l’admettre, c’est beau comme un décor de film. Trop beau peut-être, à se dire que l’horloge sonnera les douze coups de minuit, tout ce beau monde se changera en souris ou en poussière. L’allégresse de son frère colle un joli sourire sur ses lèvres rosées. Charmée, mais pas encore touchée par la ferveur grignotant son jumeau. « - Je l’admet. » Et ça lui arrache presque la langue de le faire.
Ses doigts se portent presque instinctivement à son masque, comme pour le remettre en place. Gênée par cette chose qui lui gratte le nez et bousille sa vue. Quelle idée à la con, comme si un si petit truc pouvait être suffisant pour la planquer. Refuser le privilège de choisir à son petit frère, mission impossible, alors elle a laissé faire. Rire de cristal échappant les lippes à l’enfilade de question, les doigts se serrent plus fort contre le bras, attirent le corps trépignant contre le sien. « - Calme toi Ska, on dirait un vrai gamin. Tu vas éborgner quelqu’un… » Et si seulement... Un peu d’animation dans ce joli monde. A défaut, la voleuse porte son attention sur un serveur passant avec un plateau de champagne, puis sur le bar. « - De quoi faire passer tout ça. L’ambiance sera certainement moins guindée avec quelques verres dans le nez… » Tout va toujours mieux avec quelques verres dans le nez. Et de tirer son agité de cadet pour qu’il la suive en direction du bar. Parcours du combattant en perspective. Foutus talons. A peine le temps d’esquisser un pas que le duo se détache sous la volonté d’une nouvelle arrivante. Détachée de son frère par la contrainte, un pli de frustration affaisse les lèvres d’Evie.
« - Difficile de se concentrer dans ce genre d'endroit... Pas vrai Sin ? » Mutine la jumelle, sous-entendu glissé avec malice, le petit manège de la brune repéré d'un vague coup d'oeil. Chacun sa technique pour reconnaître l'autre après tout.

Résumé:

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Damariss et le gratin d'Arcadia

Take off the mask

Si elle voulait amortir le prix de sa robe, elle allait devoir se gaver pour les deux prochaines années au buffet généreusement garni mis à disposition par la Nuova.

Calculant combien d'arancini elle devait manger toutes les 3 minutes pour entrer dans ses frais, tout en dégustant des canapés au saumon, elle sirotait du champagne à intervalles réguliers, promenant son regard sur la décoration fastueuse.

Délaissant avec tristesse le bar, si seulement elle avait pu prendre un sac plus grand sans pourrir son groove impérial, elle aurait embarqué une bouteille, elle se tourna vers la foule croissante des invités.

Concrètement, elle n'avait rien à faire ici.

Elle ne connaissait pas les visages des membres des diverses mafias, exceptés certains membres de la Calavera, mais de là à les reconnaître avec leurs masques et les 3 grammes d'alcool dans le sang qu'elle espérait avoir d'ici la fin de la soirée...

Officiellement en reconnaissance et débusquage de secrets, elle était surtout venue profiter du buffet.
Ils n'avaient même pas voulu faire passer la facture de sa robe en frais professionnels.

Les pingres.

Une moue irritée sur la partie de son visage non dissimulée par le masque en dentelle noire tombante qu'elle avait dérobé au club du très cher capitano (@Bael Mendoza), elle n'allait pas payer pour un masque en plus, elle finit son verre d'une rasade agacée.

Cette stupide perruque grattait en plus.

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AVENGEDINCHAINS

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Who the f are these people?

Take off the mask

Les rues d’Arcadia sont souvent trompeuses et le sens de l’orientation ne fait pas partie intégrante des qualités d’Archie. Il n’était donc pas sûr de comment il avait atterri à un tel endroit mais il était là, posé contre un mur, les yeux rivés sur google maps en espérant retrouver son chemin.

C’est alors qu’il l’avait vue, elle, la fille qui lui avait volé ses dix dollars sans une once de remords, sortant d’un uber. Elle était déguisée, elle portait un masque à la A Cinderella Story et une robe qui semblait trop chère pour elle et pourtant, Archie l’avait reconnue sans problème.

C’était une occasion qu’il ne pouvait se permettre de rater, mais il ne savait pas comment entrer dans ce manoir qui semblait accueillir un bal masqué. La chance semblait pourtant être de son côté ce soir-là, puisqu’en faisant le tour de la bâtisse, il tomba nez à nez avec un serveur qui fumait une cigarette tranquillement. Ni une ni deux, il se glissa derrière lui, passa son bras sous sa gorge et l’étrangla juste assez pour qu’il s’endorme momentanément.

Il enfila ses vêtements, et maintenant répondant au doux nom de Roberto, s’introduit dans le manoir.

Spoiler:

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AVENGEDINCHAINS

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it's a place for people to get wild for the night.
Fuck being polite

« Madame, il n'est pas permis de fumer ici, je vous prierais de...
– Sois mignon et ferme ta gueule, gringo. »

Intronisation exemplaire, presque sans faute pour la Doña. Certes, elle avait abandonné ses entêtements meurtriers au bon vouloir de son commandante, mais ce n'était pas pour autant qu'elle allait tenir sa langue face à ces blancs-becs qui ne manquaient pas de parader dans leurs costumes neufs. Rictus figé sur les lippes, instrument de torture plus qu'extrait des moindres compassions, elle se fraie sans mal un chemin à travers la foule qui s'écarte sur le passage de la harpie qui tempête en espagnol, éructe et aubade la piétaille comme on oserait plus le faire. Narguant, défiant ceux qui la dévisagent avec réserve, comme s'ils craignaient que la chienne ne morde. Pas que ce soit inenvisageable. Mama jurant ô combien avec ces ornementations et cet apparat, faste éphémère puisqu'il s'agit de témoigner de quelques puissances. Par les manières, miraculeusement dignes, mais pour les siens seulement par son urbanité passagère ; de cet arceau séraphique qui retient l'amas de boucle, la tignasse d'ordinaire liée par quelques foulards des plus chamarés. De cet accoutrement qu'on trouverait quasi grotesque à l'avoir contemplé jusqu'en ses morts, petites et grandes. Minois ombragé d'un loup simpliste, elle n'ignore pourtant pas que nombreux savent - elle ne sera jamais étrangère en ces lieux, nulle anonyme en ces terres. Ils sont nombreux à s'amasser au précipice avec ces passions immortelles, lucarnes illuminées du faste morbide : c'est pour mieux la voir mourir qu'ils s'approchent, lépidoptères cannibales, se rapprochant pour mieux s'immoler en ses ires, avant qu'elle ne détourne les yeux ; c'est le scandale là-bas, du même tourment qui disloqua ses chairs et fit d'elle une madone quand elle n'était que gorgone. Harpie délicieuse qu'elle admoneste sans fureur, de ces tendresses nauséabondes par leurs élans funestes.

« Divina, je pensais que tu avais promis de te tenir. »

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― take off the mask. ―

life is a masquerade. (intrigue)

⊰ ♬ ⊱

j'ai changé. j'ai changé et je dois vivre avec ça. aussi bien physiquement - des prunelles dorées que je cache à l'aide de lentilles bleutés -, que mentalement. pas vraiment homme mais pas vraiment bête non plus. un lycan félin qui pourrait devenir furibond à tout instant. je sais. j'ai conscience que je pourrais devenir dangereux. il faut que je m'adapte à ma nouvelle situation. aussi, j'ai peur pour keith ainsi que pour tout le reste des individus qui me tiennent à cœur. je ne désire aucunement créer un autre accident. pas alors que je suis allé trop loin. aussi, je ne suis guère enjoué quand keith annonce qu'il m'emmène à un bal masqué. je n'ai pas envie de m'amuser. plus maintenant. pire encore si les personnalités présentes sont des adeptes de la mondanité. je préfère encore les boîtes de nuit que les soirées chics. néanmoins, j'ai essayé de faire le nécessaire pour être présentable, vêtu d'un costard immaculé, d'une chemise bleu et d'une cravate jaune, assorti avec un masque de chaîne voilant à peine ma face. ce n'est rien, mais c'est déjà ça. finalement, je rejoins l'homme dans la voiture avant d'arriver sur les lieux où se déroule la réception. je reste inquiet, silencieux. pas sûr que j'aille m'amuser à cette fête. mais il est trop tard pour faire demi-tour, poussé par mon ami qui considère l'événement comme un moyen pour aller mieux. un instant je réfléchis. je devrais lui dire. absolument tout lui dire. mais non. je serre encore et toujours la mâchoire. ≪ - je vais essayer de faire de mon mieux. ≫ répondis-je alors à mon hébergeur tout en affichant un sourire timide. ≪ - mais je crois que boire de l'alcool n'est pas vraiment raisonnable. ≫ rajoutais-je en secouant la tête. c'était certainement à cause de l'ivresse que je m'étais complètement perdu. je ne comptais pas me laisser bouffer, ce soir aussi. seulement essayer de disparaître du paysage tout en scrutant les têtes qui erraient en ce milieu. essayer de les imiter pour mieux se fondre dans la masse et ne pas me faire remarquer. pourvu que le temps passe vite. je devais partir sans faire de dégât. sans que rien ni personne ne reconnaisse mon état.

h.-s.:

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take off the mask

everyone

Elle l'admettait.

Une victoire, et pas des moindres pour l'enjoué. Une victoire soulignée d'un rire léger, qui plus est, véritable ronronnement au creux de ses oreilles. « - Calme toi Ska, on dirait un vrai gamin. Tu vas éborgner quelqu’un… ». Ses doigts s'aggripèrent à la manche de son costume et il laissa Evie rapprocher sa carcasse de sa silhouette gracile. En profita même pour se pencher vers elle, et de murmurer, conspirateur contre sa joue d'opale. « Et ça te plairait, hein ? ». Aucun reproche dissimulé, simplement une évidence. Si tous deux aimaient le chaos, Evie l'adorait. Mais déjà son attention se dispersait, la pupille attirée par l'éclat des bulles. « - De quoi faire passer tout ça. L’ambiance sera certainement moins guindée avec quelques verres dans le nez… ». La décision lui plaisait ; elle leur promettait une soirée délicieuse – boire gratos et dé-guinder quelques pingouins en mal de pouvoir, que demander de plus ? « Va pour une cuite ! ». Plan avorté au bout du deuxième pas : le bar s'éloignait soudain derrière l'ombre d'une brune drapée de bleu. « on se concentre, Luckycharm, c’est pas le moment de relâcher la garde. On a une idée d’où est la Cour ? ». Oh, shit. L'inconnue prenait soudain des allures de rouquine adorée, un poil trop angoissée. « - Difficile de se concentrer dans ce genre d'endroit... Pas vrai Sin ? ». Et il n'était visiblement pas le seul à avoir reconnu la courtisane.

« En parlant de créature volage... », roucoula Ska de sa voix grave, « Sin, mon petit pêché mignon, tu crains qu'un des invités ne mette un peu d'ambiance indésirée ? ». Ska y avait pensé, mais s'en foutait. Que les emmerdes se mettent à tomber du ciel ; il profiterait de la confusion pour fouiller les poches délaissées. Du moins, s'en foutait si Fiona restait hors d'atteinte. « J'crois pas qu'ils soient déjà arrivés, mais on se joindra à eux quand ils feront leur entrée, si ça peut te rassurer. ». Du moins, il tenterait de convaincre Evie et agirait en conséquence – c'était lui le porte-bonheur du Royaume, elle, se mêlait beaucoup moins aux affaires de la Reine.

Clin d’œil adressé à sa sœur, il donna une petite tape sur le bras de Sinead. « T'en fais pas, j'suis en veine en ce moment. ». Véridique ; la chance semblait de retour depuis trois jours. De quoi épargner quelques débordements pour ceux qui se trouveraient à proximité de son corps tatoué. « Allez, suis le mouvement, j'suis sûre que tu peux stresser et boire en même temps. ». Après tout, elle pouvait bien stresser et mater.

Code by Silver Lungs

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AODHA

Take off the mask

Tout ce qu’elle déteste. Elle a mieux à faire, pourtant elle est là. Dans cette robe noire, serrée et pas vraiment dans ses habitudes vestimentaires. Aodha ne cherche même plus à se poser des questions, à se demander ce qu’elle fait au milieu de tous ces pingouins. Il y a des auras qui percent de tous les côtés, autant dire qu’un génocide divin n’aurait pas meilleure place qu’ici même, ce soir. Elle soupire. Dans son coin et bien vite direction le bar en n’hésitant pas à bousculer quelques silhouettes pour atteindre son objectif. Elle s’en fiche, elle n’est pas coutumière de ce genre de petites fêtes. Son attitude fera tâche et alors ? Sa longue chevelure blonde est relâchée, son visage couvert d’un masque aux allures de corbeau, quitte à se cacher autant clairement citer sa divinité et se donner l’air de rien. Le comptoir du bar la sauve du naufrage alors qu’elle signale sa présence d’un geste de la main, commandant ce machin étrange et coloré qu’il semble servir à toutes les pimbeches du coin. Pourquoi pas, autant se fondre dans la masse et partir dans une heure. Son œil dérive à droite et à gauche. Elle ne cherche pas à savoir qui est qui, ça ne l’intéresse pas. Elle sait que la frangine est là. L’aura brille un peu plus. La proximité qui fait des étincelles et une sensation étrange dans le cœur. Les autres ? Des silhouettes rien de plus. L’attraction du soir ne l’intéresse pas, son côté flic ne supporte toujours pas que ça se soit terminé comme ça alors qu’elle n’enquêtait pas dessus. Et l’étalage pédant rital c’est pas sa came. Aodha, elle fait son devoir d’idiote du royaume. Veille à ce que la présence éventuelle de la reine se passe sans embûche. Que rien ne veille mettre en danger la fragile stabilité. Enfin, ce n’est pas comme si elle y pouvait quelque chose au final.

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CODAGE PAR AMIANTE

Invité

INTRIGUE + take off the mask

Legends never die. When the world is calling you. Can you hear them screaming out your name ? Legends never die. They become a part of you. Every time you bleed for reaching greatness. Relentless you survive. They never lose hope when everything's cold. And the fighting's near. It's deep in their bones they'll run into smoke. When the fire is fierce. Oh, pick yourself up, ‘cause. Legends never die

« Une chance pour moi que ma maladresse fasse bien les choses alors. » Malgré les masques, Silas peut voir les yeux de l'inconnue se perdre sur son corps. S'il reste impassible à cette attention, l'entité en son sein est quant à elle particulièrement fière. « La chance se provoque. » Souvent par des alcooliques qui ne tiennent pas en place sans remuer dans tous les sens au milieu d'une assemblée.

« Permettez-moi de vous offrir un verre que je n'ai pas payé, monsieur... ? » Le capo se saisit de la coupe tendue. Il trinque avec son interlocutrice, plus par réflexe que par véritablement politesse, avant de se balancer une première lampée au fond du gosier. « Salvatore. » Il ne lui demande pas son nom en retour. Je m'en carre le cul bien comme il faut. Ce soir, le gaillard à la chevelure dorée n'est pas là pour faire bonne impression ni pour retourner la première pimbêche à portée. Il ne souhaite qu'une chose : voir repartir tous les convives entiers. Ensuite seulement, songera t-il à tenter à nouveau l'impossible en retrouvant la fille du Don, qu'il croit avoir deviné au bar. « Je ne sais pas comment vous faites. Je ne tiendrai jamais toute la soirée avec un masque comme le vôtre. » Banalité balancée, il cherche un moyen de se délester calmement de ce poids en s'affichant quelconque ; un effort qui en coûte autant à l'humain qu'au Titan.

Il lève alors le bras en direction de la récurrence d'Artémis afin de capter son attention. Il n'a pas pu lui parler avant le début de la réception et souhaite corriger ça au plus vite. Doublon s'il peut lui refourguer la dinde en attente de fourrage.

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code by bat'phanie

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intrigue

Screaming the name of a foreigner's God, the purest expression of grief

 erveryone 

Heureusement (ou pas, Divi aurait bien aimé que cela finisse en bataille générale), l'homme n'a pas l'air plus frustré que ça. Il parait même... Amorphe. La latina ne sait pas comment réagir, la condition de légume de son homologue l'a tout de suite calmé.
Oh. Sa robe est touchée aussi, Divina aurait préféré la voir éclaboussée de sang, à la place, une trace pitoyablement humide rend sa robe un peu plus foncée. L'homme lui tend un mouchoir en tissus que la brune lui arrache presque des mains ; mais le méfait ne s’effacera pas aussi facilement.
Elle frotte sa robe un peu paresseusement quand elle reconnaît sa mère approcher, ignoblement belle dans sa robe tissée d'or. Divina oublie un instant ce qu'elle faisait, en totale admiration devant celle qui lui a donné la vie.
La latina rend précipitamment le bout de tissus à son homologue, et se raidit. Elle se savait belle, mais rien à côté du charme divin de Trinidad.
- Je n'ai rien fais. Il m'a presque foncé dessus ! un peu de mauvaise foi n'a jamais fait de mal. - Mais il y a une saleté de gringa qui porte la même robe.

DESIGN ϟ VOCIVUS

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take off the mask

La fille de la Nuit lisse une dernière fois sa robe, se demandant si c’était le bon choix. Volumineuse ou non. Flashy ou sobre. Courte ou longue. Mais ça fera l’affaire, bien que ce soir, elle e sente quelque peu ridicule à côté de sa frangine. « Tout t’emmerde dernièrement. Tu devrais baiser un coup. » elle se pince les lèvres, se retient de ne pas rire en réajustant son masque et attrape celui que Nerissa lui tend. « Arrête de gigoter. » Elle le noue dans sa chevelure brune, la recoiffe doucement avant de revenir devant elle. « Je sais. C’est rarement innocent. La Nuova parade. Mais ce rassemblement… J’sais pas. J’sais pas si ça annonce le meilleur ou le pire. » Parce que Lyra, elle croit rarement aux histoires qui finissent bien. Elle ne croit que peu aux grandes soirées censées affichés un bonheur parfait. Elle en a trop fait.
Et elles ressemblent à toutes les autres, même si la touche de la Nuova reste apparente : l’ancienneté, le luxe, la classe. Leurs talons claquent sur le sol au fur et à mesure qu’elles avancent. Les princesses des milles et une nuit, au milieu de la population d’Arcadia. Et Il est là. Dans toute sa splendeur. A en imposer même le visage caché. Mais ce regard. Ces yeux azurs, perçants, ce regard quasi glacial, elle pourrait le reconnaitre entre tous. Parce que c’est toujours le même effet qu’il lui fait depuis dix ans. Elle peut pas s’empêcher de sourire, et inconsciemment, elle attrape Nessie par le bras, pour la tirer un peu plus dans la direction de l’italien, mais elle semble la tirer dans la direction opposée. « T’es sérieuse ? » C’est à peine si elle entend ce qu’elle dit. La cadette lève les yeux au ciel, en se demandant comment ça va se passer quand ils vont se retrouver face à face. Parce que ça finira par arriver, elle le sait. Tôt ou tard. En dix ans, y’a pas une fois où elle les a réellement tenu écarté l’un de l’autre. Elle finit cependant par tourner brièvement la tête vers l’inconnu à qui le compliment est adressé, mais c’est bien rapidement qu’elle capte de nouveau le regard de Saturno, le voyant avancé vers elle. « T’es malade ? » demande-t-elle en attrapant une coupe de champagne. Un bref instant elle tourne la tête, sourcil arqué, en désignant le champagne. « En temps normal elle serait éjà vide. Bois le, tu vas en avoir besoin. » la jordanienne tourne de nouveau la tête, en voyant que saturno n’est qu’à un pas ou deux des frangines. C’est d’une traite que lyra finit sa coupe avant d’avancer légèrement pour venir déposer ses lèvres à la naissance de la machoire de l’italien –seule zone encore accessible- en se foutant bien de leur proximité trop prononcée. « J’imagine que t’as amené ta plante verte transformée en baleineau ? » Pourtant, elle ne se recule pas plus. Elle reste là, presque collée à lui, en priant pour que Nessie ne fasse pas… du Nessie.

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Invité

TAKE OFF THE MASK

TOPIC COMMUN

There's a maniac out in front of me. Got an angel on my shoulder, and Mestopheles but mama raised me good, mama raised me right. Mama said, "Do what you want, say prayers at night,"And I'm saying them, 'cause I'm so devout. 'Til the love runs out, 'til the love runs out, yeah.

Le teint halé, je regrette déjà le retour à la réalité. Douloureux et au goût amer, il fallait bien connaître la crasse d'Arcadia pour se délecter un peu plus d'horizons meilleurs, car lointains. Les histoires acculées, et cette mascarade planifiée, je n'avais pas le goût de m'y pointer. Parce qu'une crasse dans un palais ne perd pas de son ignominie et que ce faste dégoulinant d'huile d'olive me fait regretter la plus mauvaise des shepherd's pie. Tant pis, j'ajuste ma cravate, enfile la veste de costard aux traits et lames du Royaume et visse la chevalière aux motifs de Claddagh à mon doigt. La pointe désormais tournée vers mon myocarde enchaîné de la plus volontaire et débonnaire des manières, je sais que le détail est suffisamment discret pour que personne ne se doute de rien. Les fastes aveuglants me déroutent et manquent de me perdre dans leur tourbillons envoûtants. Râleur et surtout, à cran, j'ajuste ce masque ridicule qui vient habiller mon visage dépourvu de moustache. L'air adulescent lorsque les stigmates sont dissimulés par les divers jeux d'ombres, je vois que la fête a déjà commencé. Au moins auraient-ils pu attendre la véritable reine d'Arcadia -à moins que ce ne soit pas celle que l'on croit, et qu'elle soit déjà là. Alors que les portes du manoir sont ouvertes, je m'engouffre et traverse la foule, prêt à préparer l'arrivée de la reine du Royaume. J'attrape alors un des pingouins par le col, l'air menaçant et la mâchoire avancée. Alors que je le toise, l'oeillade finit par s'égarer. Malgré le masque, le bleu électrique de sa robe accroche mon regard et je discerne ses courbes que je connaissais par coeur, à force de les avoir dessinées. @Aislinn O'Reilly. Je déglutis, préparé à la voir au bras de @Torben Rawne, l'autre homme à la moustache (@Alejandro Flores) m'intrigue et l'air béat se mue en un air menaçant, mauvais. Je grogne et relâche le malheureux, qui s'empresse de retourner à son service. Bras croisés, sourcils froncés, je grommelle en gaélique. Cette histoire de masque m'énerve déjà, et dire que le spectacle ne fait que commencer. Agacé, je tourne sur moi-même, trépigne et c'est d'un regard amusé que je m'attarde sur la robe high-tech (@Nerissa al Khayzuran). Interloqué, je ne m'intéresse pas encore à qui la porte, cherchant à trouver des fils sur lesquels tirer si quelqu'un, par hasard, aurait besoin d'un divertissement supplémentaire.

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take off the mask

C'est le bordel. Clairement, on est bien chez les ritals. Y'a de tout et de rien, des coupes de champagnes renversées et des donzelles qui retirent leur vestes en mode "regardez moi, je pue le mâle" (@silas salvatore). Ça se bouscule, ça rigole et @Aislinn O'Reilly qui n'a pas envie de taper causette avec son capitano préféré. Je ne vais pas rester ici avec mon jus de raisin et les doigts qui picotent à tenir la chandelle entre le blond (@torben rawne) et la rouquine.
"Je t'abandonne quelques minutes" (heures) "je crois avoir reconnu quelqu'un qui a l'air.... de ne pas s'amuser" . Car @Damariss D. Noble, malgré son masque et sa perruque, une descente comme ça, y'a qu'à la Cala que ça peut exister. "Fais attention à toi." Murmure discret mais qu'@Aislinn O'reilly n'a pas du manquer.

Quelques pas plus tard, un renard attrape un nouveau verre, toujours de raisin, et débute sa parade. "Jolie descente, je peux vous accompagner ?" Verre de raisin montré en l'air, léger sourire sous le masque. Au pire, @Damariss D. Noble m'envoie bouler sans me reconnaitre, au mieux elle rentre dans le jeu. Joa a dit pas de bêtise, je fais encore mieux, je continue mon casting.

Spoiler:

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take off the mask

ft. des gens

>

À distance, tu jettes un regard à @Annalisa Fjalarsdottir pour t’assurer que tout aille bien de son côté. Ce soir, t’es un peu plus protecteur qu’à l’habitude, bien que t’essaies de te convaincre que tout va bien se passer – pour elle, essentiellement.
Un soupir se perd quand tu poses ton attention sur le bar. Ton tour ne tardera pas ; heureusement, pour toi qui s’impatiente déjà à l’idée de retrouver ta douce. Quand le garçon te fait signe, tu commandes deux coupes de champagne. Au même moment, une voix inconnue (@Aksel Beliakov) attire ton attention et, les prunelles interrogatrice, tu tournes la tête vers sa source, un mince sourire aux lèvres. « Ah, merci. », commences-tu, empreint d’une fausse modestie. « Le vôtre est très original, en tout cas. », que tu te permets d’ajouter en désignant d’un geste de menton le masque de renard noir porté par l’autre homme.
Dès que le barman dépose les deux coupes sur le comptoir, tu sors une liasse de billets de la poche interne de ton veston. T’en glisses deux de vingt dollars à l’intention de l’homme qui t’a servi, en guise de pourboire ; de grosses coupures pour ne plus avoir à te prendre la tête avec ces convenances plus tard.

Du coin de l’œil, tu remarques finalement celui qui l’accompagne (@Maksim Fraser). Ce sont des spécimens assez classes, tu t’amuses à essayer de deviner de quelle mafia ils sont issus. Leur voix ne te dit rien, alors le Royaume n’est pas une option. « Je ne sais pas ce que vous buvez normalement, mais si j’ai bien entendu, la personne avant moi a demandé une IPA à l’orange et au basilic, et elle n’est pas partie les mains vides. » ; un haussement d’épaule alors que tu te demandes encore et toujours l’intérêt des bières avec des saveurs du genre. Bref. Tu rapproches les deux coupes vers toi, mais elles restent encore un moment bien posées sur la surface.
Tes iris dévisagent les deux hommes, curieuses de leur identité. « Alors, comment sentez-vous cette soirée ? », tes mots se terminent sur un rire vague qui porte en lui quelque chose de cynique. Si ton inquiétude première est la sûreté d’Annalisa, ta personnalité naturelle laisse ta curiosité anticipatrice commencer

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Spoiler:

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Pétasse.

Première pensée. Loin d'être regrettée. Mouchoir rendu, j'avise la femme venue aux côtés de la... Ne pas répéter le mot, Samuel. Le monde n'a pas à subir ta mauvaise humeur. Je me crispe sur le pommeau, la gueule qui se tire un peu plus vers le bas.

Ridicule.

Je secoue la tête, soufflé, avec à la fois amertume et désintérêt total. Les gamines, ce n'est pas mon affaire.

Madame.

Adressé à la dame (@Trinidad Vivas) que je ne connais strictement pas non plus, de manière bien plus poli et vais pour m'éloigner, canne claquant contre le sol, main libre avec le mouchoir, avant de le foutre en poche d'un geste rageur. Où sont les toilettes, dans ce maudit lieu ? Arrêt, interrogation auprès d'un groupe tout aussi masqué que le reste.

Excusez-moi de vous interrompre... Sauriez-vous m'indiquer où sont les toilettes ?

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take off the mask

season one, episode two

La porte de la cabine claque pour la seconde fois quand @Yuliya Vassilieva le pousse jusqu’aux lavabos, son sourire complice décalqué sur ses propres traits. Dos au grand miroir horizontal, l’Arlequin de la Nuova Camorra s’affaire à repositionner son nœud papillon en dévorant du regard son acolyte. Cette dernière arrange les derniers détails de sa robe pourpre de ses mains gantées, qu’elle amène au coin des lèvres d’Alfonso pour dissimuler au mieux les dernières traces de leur échange, sans grand succès. Ils ne s’éloignent l’un de l’autre que lorsque l’intimité du lieu est dérangée, sous le regard gêné d’une intruse que le consigliere ne prend pas le temps d’analyser. « Mesdames, je ne vous dérange pas plus. », se prononce-t-il en premier, son masque intégral à nouveau sur le visage. « Ce fut un plaisir, Vassilieva. », conclue-t-il en s’inclinant une dernière fois devant la sortie des toilettes pour femmes.

Son long manteau noir brodé dont il n’a pas enfilé les manches virevolte au gré de ses mouvements. Du couloir de l’étage, l’italien admire la foule se former en quête de costumes susceptibles de retenir son attention de la même manière que le fait le sien. Les verres à pied sont à chaque recoin de la grande pièce, sur chaque plateau des serveurs. Lui qui a fait voyager les meilleurs alcools de son bar jusqu’à Elysium Height ne peut que s’en réjouir. Il remarque d’abord @Julius Gates près du bar, puis @Alcide Bellandi et la grimace reconnaissable de @Silas Salvatore, à moitié dissimulée derrière son masque. Il a déjà échangé plus tôt dans la soirée au sujet des préparatifs et de la sécurité des lieux avec le boss et le gamin. Peut-être qu’il rejoindra Julius plus tard. Pour l’instant, il veut s’amuser, et ce n’est certainement pas l’un de ces trois-là qu’il réussira à décoincer ou même déshabiller. Et croyez-le, le consigliere a déjà essayé maintes fois.

Peu satisfait de sa vue globale sur les invités, il décide finalement de se mêler à eux, en passant par les sœurs al Khayzuran qu’il embrasserait bien si son masque le lui permettait et si Bellandi deuxième du nom n’accaparait pas déjà l’attention de sa protégée. Tant pis, il attrape seulement le bout des doigts de la plus âgée, @Nerissa al Khayzuran pour les poser sur les lèvres de son masque. « Splendide, pour ne pas changer », lâche-t-il avant qu’un homme (@Samuel Harvey) se pointe pour demander les toilettes. « Il y en a au premier étage, deuxième porte par les escaliers de gauche. » Finalement, il remarque la canne et ne peut s’empêcher de penser à la sienne, qu'il a sûrement abandonné dans le coffre de sa voiture. « Et dans le couloir à votre droite. Tout au fond, troisième porte à gauche, vous ne pouvez pas les manquer. »

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(c) DΛNDELION

Invité

le monde est un théâtre d’ombres,
un bal masqué, une nuit de carnaval

Les convives débarquent, font comme chez eux, à grappiller champagne et apéricubes de luxe. La mascarade ne fait que commencer et chacun (excepté quelques introvertis cramponnés au bar) semble y trouver son compte. Derrière son masque vénitien qui ne lui couvre même pas le nez, Alcide observe ce presque beau monde. Difficile de différencier les alliés des ennemis en sourdine. Il faut se fier aux auras, aux chevelures ou aux accents. Y en a une sacrée panoplie, et certains lui tapent déjà sur le système.

Evidemment, un incontournable caporegime domine la foule (@Silas Salvatore). Le Bellandi l’observe être pris d’assaut par une louve (@Echo Nightingale), mais la clameur a raison de sa curiosité et il n’entend que dalle. Peu adepte des films muets, il détache son regard, pour croiser celui de @Saturno Bellandi. Triple merde. L’aîné répond au salut par un haussement d’épaules. Fort heureusement, le cadet se détourne, son héritier au bras, bien au chaud dans le ventre de Nicola. Cette vision d’une famille Bellandi ne lui inspire qu’un goût de gerbe pure, qu’il chasse en jetant la fin de sa flûte sur un serveur de passage (@Archer Wu ?).

Puisque tout le monde débarque sauf les chefs de mafias, il abandonne temporairement ses fonctions. L’appel de la demoiselle est plus fort que tout, et on ne changera pas Zeus, d’ailleurs incapable de discerner sa fille (@Calliope Bartolli) dans cette marée haute couture. Mais avant de courtiser ces dames, il lui faut de quoi les abreuver... Un regard au serveur éclaboussé (Archer), et un soupir déterminé. « Fais pas cette gueule, c’est moi qui te paie, je te rappelle. Apporte-moi deux coupes. Presto. »

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Chaque silhouette est potentiellement dangereuse, que regard est potentiellement quelqu'un qu'elle ne désire pas démasquer. Elle observe l'ensemble de la salle en attendant que @Clarence birdwhistell est allé chercher de quoi boire pour eux deux. Annalisa est la dans un coin, elle attend et tente de sourire à ceux qui passent devant elle et qui l'observe. Tous doivent se demander qui est qui et la concernant elle est heureuse de pouvoir faire effet nouvelle peau, nouvelle identité. Elle cherche @Aislinn O'Reilly du regard et ce dernier arrivé à repérer quelques silhouettes familières allant du charisme de @Alcide bellandi jusqu'à ce que son regard retrouve Clarence en compagnie de ce qui semblait être @Aksel Beliakov et @Maksim Fraser loin d'etre ceux qu'elle aime le moins, elle ne voulait pas qu'ils sachent qu'elle était ici. Alors elle s'enfonce dans la foule, Clarence la retrouverait sans doute. Elle s'éloigne un peu dans un besoin d'avoir une vie d'ensemble et un point de sortie, il l'a retrouverait vite et l'aurait directement en visu une fois revenu là mais tant qu'à faire autant éviter de croiser des deux colperes. La danse lui coûterait cher. Mais elle voulait vivre cela avec Clarence et emmerder le système juste cette nuit.

Elle finit par trouver Aislinn, son sourire s'agrandit alors enfin et elle se précipite vers elle. Elle dévoile son identité à son amie, malgré sa perruque, sous le masque le visage était le même. Et elle était donc accompagnée de cet homme, était ce lui l'heureux élu ? @Torben Rawne « Bonsoir! Je suis Annalisa ! Je suis ravie de pouvoir enfin faire votre connaissance !! Des filleuls, vite.

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Take the mask off
(Fuck fuck fuckity fuck)

Les Wyrm ne se laissent pas duper par le déguisement choisi par la déesse et la reconnaissent aisément. Sin ne s’en émeut pas, c’est elle qui s’est approchée et a choisi de se dévoiler au duo familier. « - Difficile de se concentrer dans ce genre d'endroit... Pas vrai Sin ? » À la salutation complice d’Eve, Sinead esquisse un sourire en coin classique et hoche la tête : « Je découvre tous les avantages des masques, mais toutes ces tenues me font presque tourner la tête. », concède-t-elle, avant de hocher de nouveau le bec noir à l’hypothèse du tatoué, qui la qualifie de créature volage : « « Sin, mon petit pêché mignon, tu crains qu'un des invités ne mette un peu d'ambiance indésirée ? »

Il est logique qu’elle redoute le pire. C’est que la soirée accueille son pesant d’âmes et qu’il faudrait un rien pour que la soirée tourne au drame. Alors lorsque le leprechaun lui promet de rejoindre les côtés de Fiona à l’arrivée du cortège, oui, on peut dire qu’un poids s’écarte. D’autant plus que Wyrm mâle renchérit : « T'en fais pas, j'suis en veine en ce moment. - Faut pas me dire ça, tu sais : un peu plus et je te réquisitionne pour des balades supplémentaires. » Elle ponctue la menace légère par une tape sur l’épaule et se laisse entraîner vers le bar, ne luttant pas vraiment pour être convaincue.

En passant juste à côté d’un colosse brun masqué, elle reconnaît son Duc préféré et lui pince mesquinement la fesse gauche (pas trop fort, et de façon imperceptible pour qui n’est pas concerné) avant d’arriver au bar. Le hasard (l’intuition) attire son regard sur une silhouette de noir vêtue et elle reconnaît sans mal l’âme sœur guerrière. Captant son attention, voilà la brune-d’un-soir qui fait signe à la réincarnation de Morrigan de les rejoindre. En attendant, elle commande, deux whisky secs, et tend le deuxième verre à Aodha en commentant, à son adresse et celle des Wyrm : « Ça nous fait quand même un énorme nez ce masque, non ?, et de poursuivre, T’as repéré un autre corbac, Ao, ou bien quelqu’un a voulu faire l’originale ? » Une gorgée et elle reprend, songeuse : « J’sais plus, vous vous connaissez tous les trois ? » Et de se rendre compte qu’elle a mis en présence deux cambrioleurs et une policière... Woupsie ? Heureusement que les intérêts du Royaume sont au cœur de la soirée.

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Invité

INTRIGUE

A little party never killed nobody

L'idée d'un bal...? Très peu pour moi. Ce n'est pas mon genre, mettre des robes cela n'a jamais été mon fort. Pourtant ce n'est pas vraiment pour m'amuser que j'y vais, rien de plaisant dans ce qui va se dérouler ce soir. La reine est de sortie, conviée à cette petite sauterie déguisée. Pourquoi faire ce genre de soirée ? Pourquoi vouloir la paix maintenant ? C'est toujours tendue et j'ai toujours un peu peur de ce qui pourrait arriver. Ma reine n'est pas seulement une supérieure, c'est une amie de longue date, Fiona est ce qui se rapproche le plus d'une grande soeur, d'une famille aujourd'hui alors que tout ceux que j'avais ont disparu. On se voue corps et âme aux Royaumes. Je sais que je mourrais pour lui.

Je survivrais à le petite sauterie. Je me trouve une robe, le manoir est bourrée de robe rétro oubliée depuis des années. J'en déniche une que je fais nettoyer à l'avance. J'ai vu une photo sur laquelle ma mère la portait, une robe qui doit dater du début du siècle dernier peut-être, très bien conservée. Traditions familiales. Elle est bleue, la couleur ressort avec mes cheveux brun et ma peau légèrement halée. Je me maquille en conséquence, je trouve un masque qui ira parfaitement. Je laisse mes cheveux presque détachés, ils ondulent longuement dans mon dos. Ils cachent cet objet que j'ai calé entre mes deux omoplates, une épée ancienne que j'aime manier, sûrement un penchant qui me vient de Belisama, forgeronne des guerriers. Et puis dans ma pochette je cale un briquet, il faut toujours en avoir un... notamment quand on manie le feu.

J'ai commandé un chauffeur pour me rendre sur place. Rapidement j'arrive sur les lieux. J'arrive juste avant Fiona, je vérifie que tout soit ok, ma robe bleue est censée l'aider à me repérer, elle sait comment je serais vêtue et masquée, pas de surprise. J'entre à l'intérieur du manoir mais je reste vers l'entrée de la salle de réception, de loin de je reconnais Ned, ses yeux perdue sur une autre chevelure rousse que notre reine. Je tente de repérer Sin, je crois la repérer vers le bar... tout semble pour le moment ok, mais on n'est jamais trop prudents. J'attrape une coupe de champagne et je fais mine d'adorer cette soirée, Fiona ne devrait plus tellement tarder.

Actions & Tenue:

AVENGEDINCHAINS

Invité

A n’en point douter, la demoiselle ne serait que bonheur devant un peu d’agitation. Violence soumise et en sommeil sous le tissu d’une robe de soirée, avoir l’air civilisée et jouer le jeu, comme chacun dans cette salle trop immense. Trop plein de monde. Trop de trop, partout, à lui en coller le tournis. Ska acquiesce, approuve son programme pour ce début de soirée, et elle ne se fait pas prier. S’écarte malgré elle de son frère et de la nouvelle arrivante, conversation royale qui ne la concerne pas vraiment. Ou du moins, elle se borne à le penser. Sujet du Royaume sans vraiment y appartenir, cul entre deux chaises pour la jolie blonde qui en pousse presque un soupire. Vrai les tenues font tourner la tête, un point pour Reed. Et un sourire de plus sur les lèvres de la Wyrm.
Bar déjà pris d’assaut par la gente masculine, Evie s’y accoude avec la décontraction de ceux qui ne se sentent bien que là où la possibilité de s’enivrer est accessible. Tapote des ongles sur le comptoir tout en jetant un regard à l’assemblée sans parvenir à y reconnaître une âme familière. Ce qu’elle peut détester ces foutus masques, et ça l’agace. De ne pas savoir. C’est elle qui porte le masque d’habitude, elle qui fait le show et les autres qui grelotent et se questionnent sur son identité, pas l’inverse. Whisky pour elle aussi, sans artifices, pour mieux faire passer la pilule guindée qui lui reste en travers du gosier.
La blonde se raidit malgré elle, tend la main pour attraper l’avant-bras de Ska, le plus discrètement du monde. Voleuse mal à l’aise en présence d’une inconnue, jamais rassurée en plein bain de foule. « - Je ne crois pas… Evie. Bel ensemble. » Ses doigts libre désignent la tenue aussi sobre que la sienne de la nouvelle arrivante. Viennent ensuite attraper le verre qu’elle vide d’une traite. Et de un. Mal de tête en préparation. Carbonise la trachée et le ventre, mais c’était l’idée. Désinhibe aussi, mais trop tôt pour le dire et pour que ça fasse vraiment effet. Un petit geste de l’index en direction du barmaid, pour que le second verre arrive en renfort. « - Pas très à l’aise on dirait, hein ? » Ca se voit, se sent presque que l’amie de Sinead n’est pas dans son élément. Point commun, ça fera quelqu’un avec discuter si le calme reste plat. Elle espère presque que la Reine et sa Cour, arriveront rapidement, qu’il soit temps de ramener Ska à la maison. Elle craint, Evie, pour son porte bonheur de frère et l’influence que les autres peuvent avoir sur lui.

Résumé:

Invité

L'indication est donné et je suis quelque peu plus ravi que quelques secondes auparavant. Parce que la réponse aurait pu être "aucune idée monsieur." Au lieu de ça, un sourire poli vient à m'habiller la face.

Merci bien, c'est fort aimable.

Signe de tête pour accompagner les mots, prêt à repartir déjà. Les indications en tête, je dépasse la foule et me sens déjà moins oppressé. Je nettoie un peu ce fichu champagne et je pense bien me rentrer. Assez vu comme ça, le monde n'a pas besoin de connaître mon existence. Porte poussée, un lavabo d'emprunté, pour fiche de l'eau sur le mouchoir et frotter le crime avec. Manquerait plus que ça colle.

Résumé:

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