INTRIGUE + take off the mask

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Damariss D. Noble a écrit:

Damariss et le gratin d'Arcadia

Take off the mask

Est-ce qu'elle venait vraiment de voir une invité pincer les fesses d'un autre ? (@Sinead Reed )

Fallait croire que oui.

Moyen original d'engager une conversation mais pas l'événement le plus bizarre qu'elle verrait de la soirée.

De ce qu'elle entendait, de tels accents ne s'inventaient pas, des membres de la Calavera mettaient déjà le bordel. Avec une élégance ravageuse, toujours, (@Trinidad Vivas , @Divina Rodriguez), mais de quoi froisser de l'italien guindé.

En parlant d'accent chaleureux, l'un d'entre eux l'aborda. Ôtant son regard à la foule, elle dévisagea le masque de renard roux lui faisant face. (@Alejandro Flores)

Oh. Le capitano au sourire éblouissant de la Calavera. Elle l'avait reconnu principalement à cette caractéristique, les sourires aussi fréquents, faux ou sincères, rares chez les latinos.

« Avec plaisir. », elle leva légèrement sa flûte désormais vide en guise de salut, sourire amusé aux lèvres.

De toutes les personnes présentes, tomber sur une presque connaissance était fortuit, et une avec de si nombreux secrets ?

« Surprise de vous trouver seul ici. » Pas vraiment. L'absence du Patron ne la surprenait pas, l'absence de jeune femme à son bras, si.

Balayant de nouveau brièvement la salle du regard, tentant de trouver un sens au léger chaos s'installant, elle poursuivit.

« Y a-t-il des personnes qui devraient particulièrement attirer mon attention ici ? »

Professionnellement, ou... plus personnellement, elle n'était pas difficile.

Spoiler:

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AVENGEDINCHAINS

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Refourguer sa garde à un collègue est subitement devenu urgent, en recevant l'invitation de Monsieur Gates. L'opulence de l'événement, le fait que tout le monde en parle a suffi à attirer le psychiatre au sein du manoir. Peu importe son cruel manque d'intérêt envers les enjeux politiques dissimulés derrière le bal. Détaché des mafias, ce soir, Dante ne répond qu'à son attrait pour les belles choses. Il ne sait également contenir son enthousiasme lorsqu'il s'agit de sortir l'un de ses plus beaux costumes, de ceux portés avec une fierté non négligeable. Goûts jugés légendaires par lui même - et souvent incompris - l'Amadori s'est paré de ses plus beaux atours. Le fushia fleuri de sa veste et de son pantalon parfaitement coupés lui ravissent la rétine dès que son regard s'y porte. Et c'est qu'il s'admire sans vergogne, avant d'arriver aux portes de la bâtisse. Le loup attaché derrière sa crinière soigneusement domptée, d'un noir d'encre aux reliefs argentés camouflant les cernes des dernières journées de travail, les prunelles azurées scintillent aux lueurs de la réception.

Une main distraitement glissée dans la poche de son pantalon, Dante ne tarde pas à venir dérober une flûte de champagne, contournant la demoiselle qui se tient devant les boissons (@Damariss D. Noble). Le regard ne manque de s'attarder sur le masque de l'individu qui se tient en face d'elle, renard inévitable dans la foule (@Alejandro Flores ) qui arrache l'esquisse d'un sourire en coin au psychiatre. Et les prunelles poursuivent leur course, se posant tour à tour sur les invités qui déambulent dans la salle. Il finit par le repérer. De bleu nuit vêtu, l'homme est facilement reconnaissable, et le magma s'éveille dans ses veines. Raison principale de sa présence en ces lieux, c'est vers @Julius Gates que l'Amadori se dirige, tant appliqué à feindre la nonchalance qu'il ne reconnaît pas @Echo Nightingale lorsqu'il la frôle.

« Sacrée réception. » Se postant aux côtés de Julius, l'air de rien, toisant la foule à son instar.

Spoiler:

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INTRIGUE

A little party never killed nobody

C’est Clarence qui m’a convaincu. Je n’étais pas sûre d’avoir ma place dans ce genre de soirée. Je ne fais nullement partie de l’élite. Je ne sais pas encore comment je vais trouver mes marques. L’idée que la soirée puisse être agréable me plait, je vais voir du monde, retrouver des connaissances et peut-être réussir à penser à être chose que ma lamentable vie. Ce soir je peux être une nouvelle personne, quelqu’un d’autre, l’espace d’un moment, juste une soirée, profiter un peu. Ce n’est pas un crime.

Pour l’occasion j’ai parcouru toute la ville. J’ai cherché une robe adéquate, quelque chose qui ne fasse pas trop tchip, je n’ai pas les mêmes revenus que ceux qui reçoivent mais je peux être à la hauteur vestimentairement parlant. C’est dans une friperie que je trouve ma perle rare. Son prix était encore cher… trop cher… alors j’irais sans doute la rendre après la soirée. C’est un peu comme une location. Une robe au style ancien, un côté un peu divin sur les bords, parfaite pour une mascarade, parfaite pour un bal. Ce sera mon tout premier et je veux être à la hauteur. Une fois prête m’appelle un taxi, c’est plus simple et puis je pourrais profiter du champagne.

Lorsque j’arrive, je me retrouve mêlée à un tas de monde, c’est assez impressionnant, on voit clairement que je découvre ce genre de milieu, j’aurais envie de tout toucher. Je me tiens cependant à carreau, je marche prudemment pour ne pas tomber, avec une telle robe, un faux-pas est vite arrivé. Une fois dans la salle de réception, je cherche Clarence du regard, je ne devrais pas avoir trop du mal à le trouver, il est grand et je connais son masque. Je crois l’avoir repéré au bar. Je m’avance et je ne me trompe pas, mon ami est là et je me sens étrangement moins seule et impressionnée. Je me positionne à côté de lui, je m’accouche au bar comme si de rien n’était et j’attends de voir s’il me reconnait. Peut-être que les fleurs dans mes cheveux l’aideront à deviner… ou peut-être mon regard amusé qui persiste sous mon masque et mon pincement de lèvres pour éviter de rire. On me sert du champagne, impeccable, la soirée va débuter.

Actions & Tenue:

AVENGEDINCHAINS

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We're lost in a masquerade - take off the mask

L’idée qui est venue d’elle-même et le voilà. Engoncé dans un costume étouffant, noir comme l’âme de ceux qu’il va rencontrer ce soir. Voiture louée pour l’occasion et il va chercher la blonde. Forcée, dette. Sublime pourtant. Il lui ouvre la portière et sourit en la complimentant sur sa tenue alors qu’il l’aide à s’installer. Presque galant. Jeu facile. Il fait le tour et reprend le volant, jusqu’au lieu de la soirée. Il entend déjà, le bourdonnement des voix, voit les mouvements, se demande s’il n’est pas encore temps de faire demi-tour. Mais non. Il sourit à sa compagne et quitte le véhicule pour prendre sa main alors qu’elle sort, laissant les clés avant de prendre son masque. Amusé déjà de se glisser parmi tous ces gens, inconnus ou trop connus, ceux qu’il veut voir et ceux qu’il refuse de voir, dans l’anonymat le plus total. Il voit déjà le regard noir d’Alcide si celui-ci le reconnait. Sourire de gamin impertinent aux lèvres, il noue le masque derrière sa tête. Il a pris un masque entier, visage figé qui cachera parfaitement les traits reconnaissables. Il offre son bras à sa compagne et l’entraîne vers l’entrée. Beaucoup de gens se pressent déjà dans la salle principale, il en fait rapidement le tour. Un peu après les autres, couple saisissant, il s’amuse de voir certains regards tournés vers eux. Ingibjord attirant les regards. Il ne peut nier qu’elle est sublime ce soir. Rien que pour la voir ainsi, il est content d’être passé. Retenant un rire malin, il s’avance dans la foule, se dirigeant vers le bar. « Tu veux quelque chose ? » Il se rapproche d’elle pour parler, n’ayant pas besoin de se faire encore plus remarquer. Les groupes se forment et il reconnait certains visages, certaines courbes. Comme celle de son frère, roi de l’assistance. Une grimace cette fois, cachée derrière le masque et il se met un peu à l’écart pour observer de loin les formes mouvantes. Il regarde Inge ensuite et sourit bien qu’elle ne puisse pas le voir. Malgré lui, son regard dérive pourtant alors qu’il aperçoit une brune vers le bar. Incapable de détacher le regard. Familière, le visage dissimulé par le masque qui laisse pourtant passer des yeux qu’il connait plutôt bien. Un sourire alors que la soirée se révèle un peu plus amusante – mais que son but initial s’envole légèrement face à la vision qui apparaît.

RESUME:

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INTRIGUE

masquerade time

Le temps d'un soir. S'admirer dans la glace. Enfiler un sourire de surface, que le plus grand masque ne pourrait renier. Le regard charbonneux, longuement maquillé en ayant conscience que les masques finiraient par tomber. La blondeur abandonnée au profit du noir corbeau – une expérience capillaire qui était supposée durée un mois selon l'emballage du produit utilisé. Aurore devenue Blanche-Neige, qu'elle idée de merde. La soirée qui venait célébrer la victoire des mafias, des divinités. Elle y allait par obligation, seule, sa grand-mère faisant le déplacement séparément. Aucune envie, elle fut dévorée par le doute jusqu'au dernier instant. Glissant autours de son cou l'amulette, comme pour se persuader qu'elle n'allait pas y passer. La robe était dans des tons sombres. Elle était loin, la gosse blonde et ses robes colorées dans l'espoir de se détacher. La bitch en robe rouge. Ce soir, elle était l'associée. Le monde était déjà conséquent, oppressant. Pas une mafia, ni même deux, mais toutes les mafias étaient réunies ce soir dans un dangereux jeu. La paix ? La trêve ? Elle en riait déjà. Un soupçon d'hypocrisie, et la soirée de l'année semblait être nommée le club des faux culs. L'endroit respirait l'argent, la grandeur d'une époque, qui ne saurait imaginer la pire chute. Le coeur serré, elle traversait la foule. Il était fort aisé de remarquer les grands membres de cette mafia, tandis qu'elle, cherchait désespérément un cœur qu'elle pourrait côtoyer sans avoir envie de l'étriper au cours de la soirée. Déambulant, saluant vaguement, et remarquant rapidement les individus à éviter, comme monsieur Salvatore. Le choix capillaire n'était pas une cachette, mais une envie inexplicable : un caprice, sans doute. Remarquant Julius, qui avait ce charisme très particulier, dû à son âge et à son masque assez peu efficace. L'humaine entama une marche dans sa direction pour le saluer, tandis qu'un homme, devança la gamine. La brune du soir, fit face à un individu dans un costume violet, flashy, absolument immonde : Dante. Bordel, que foutait-il là ? Il était trop tard, trop tard pour repartir, mais aussi, pour changer de route. Le sourire ne chuta pas, le conservant en préservant un contrôle de la situation. « Dante, toi ici ? Que le monde est petit. » Un petit air narquois au bord des lèvres en détournant le regard vers Julius. @Dante Amadori « Julius, tu es toujours aussi élégant, cela m'épate à chaque fois. » (@Julius Gates)

Résumé:

AVENGEDINCHAINS

**Siobhán Kearney**

take off the mask.

sujet commun.

Tout son corps se raidit lorsqu’elle s’immobilise aux côtés du mexicain (@Alejandro Flores). Elle ne l’a revu qu’une fois depuis le soir de l’agression, et sa présence a quelque chose de dérangeant depuis. Elle n’aime pas l’idée que les rôles se soient inversés pour une fois et qu’il l’ait vue dans cet état. Pourtant, elle vient délibérément de s’élancer à sa rencontre, et la discussion semble inévitable. Sous le masque, elle sourit à peine au compliment qu’il souffle sans la contempler de face. Les lèvres pleines demeurent scellées, elle ne sait quoi répondre. « Ça a l’air d’aller mieux... » La divine hausse légèrement ses épaules guindées, et murmure un oui ferme et succinct. Elle cherche les mots pour relancer la conversation mais rien ne lui vient. Tandis qu’elle pivote légèrement pour s’assurer que @Torben Rawne est toujours auprès d’elle, le Capitano finit par s’échapper. Son cœur s’étreint au conseil qu’il lui donne avant de disparaître, et elle se contente de le regarder filer.

Lippes écarlates amarrées au bord de la coupe de champagne, l’herboriste s’attarde sur les silhouettes agglutinées au cœur de la salle et celles en retrait. Elle démasque certaines identités en dépit des camouflages, notamment celles d’@Alcide Bellandi et de son chien fou (@Silas Salvatore). La prestance et la morgue italiennes à l’honneur pour ces hôtes répugnés.
Plus loin, elle reconnaît son amie et nouvelle associée (@Hazel Anarson), dans les drapés pastels qu’elle lui a montrés quelques jours avant le bal. Les orbes azurées se posent aussitôt sur une robe jumelle sans trop s’y attarder (celle de @Divina Rodriguez). Elles reviennent à la douce islandaise qui semble absorbée par le charme d’un total inconnu, puis s’égarent sur l’amas d’auras divines qui se bousculent à l’entrée de la pièce.

Lui, le Dieu guérisseur et son sauveur (@Keith MacLean), elle le devine à sa carrure ainsi qu’à sa démarche particulière. Elle se sent attirée quand leurs regards se croisent, sentiment indescriptible qu’elle ressent depuis qu’il l’a soignée. Elle s’apprête à le rejoindre et saisit le bras de son garde du corps ; mais l’œillade qu’elle détourne un instant se perd dans le vide quand elle croit la reposer sur le portrait de sa cible. MacLean s’est envolé, et la vision qui l’accroche finalement fait s’accélérer les battements de son cœur.

La stature imposante érigée en retrait, son promis (@Éamonn McNamara) hante les lieux comme elle s’y attendait. Sa posture agitée en dit long sur le déplaisir et la tension qui l’animent à l’idée de passer ici le reste de la soirée. Il lui arrache un sourire sincère et amusé qu’elle ne sait réprimer, pas plus que l’envie désormais terrible de le rejoindre un instant. Les pans de sa robe soulevés d’une main, elle délaisse le bras de Rawne avec l’intention de s’approcher du mafieux l’air de rien, louvoyant entre les plateaux de victuailles et les invités. A quelques mètres à peine de l’objectif viscéral, c’est une amie méconnaissable (@Annalisa Fjalarsdottir) qui l’intercepte dans sa course aux allures de balade.

« Bonsoir ! Je suis Annalisa ! Je suis ravie de pouvoir enfin faire votre connaissance !! » A peine l’a-t-elle embrassée pour la saluer qu’Anna lance les hostilités. Un sourire éclatant à l’attention du celte, qu’elle prend visiblement pour l’Élu de son cœur. « Tu es là ». Prise au dépourvue, l’herboriste cherche à éviter le piège de la situation cocasse, et cherche par tous les moyens à détourner l’attention ; son palpitant s’affole car elle sait d’avance que ses tentatives seront probablement toutes inutiles. Elle connaît trop bien la déesse de la Terre pour savoir qu'elle n'abandonnera pas si facilement. « Il n’est pas avec toi ? ». Elle sait qu’elle comprendra, mais se refuse à évoquer Clarence à haute voix par crainte de les afficher alors qu’ils sont censés rester discrets.

Embarrassée, elle pivote légèrement et avale une gorgée du liquide pétillant, avant d’accrocher amoureusement le regard océan (celui d’@Éamonn McNamara) . Le sien est rempli de promesses, et trahit son envie fougueuse de le rejoindre.

Spoiler:

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take off the mask

season 1 - episode two.

Je regarde les invités arriver. Les robes hautes coutures défilés. On pourrait nourrir un quart de la planète avec toutes ses paillettes, vraiment. C’est assez impressionnant. Je n’ai jamais été fan de prestige, je suis plutôt de nature modeste, j’enfile de belles parures lorsqu’il le faut, pour une comédie bien ficelée, impeccablement rodée. Ce soir c’est exactement ce qui se passe, c’est de la comédie, un show pour le petit peuple, on sort l’argenterie pour éblouir tout le monde. C’est vraiment l’idée, on trouve un faux prétexte pour réunir les grosses têtes de la ville et nous voilà au manoir en train de siroter des verres d’alcool financer par la Nuova Camorra.

J’en suis là, accoudée au bar, mes yeux papillonnants sur les invités, je tente de percer à jour les masques, ce n’est pas une tâche aisée. Je me fais alors abordée par une charmante blondinette. La conversation aurait pu aller plus loin mai je suis un peu distraite. Au loin je perçois un homme qui me semble relativement familier, un masque de hibou sur les yeux. Sa démarche m’est familière mais je le perds rapidement dans la foule et il ne semble même pas m’avoir aperçu, des illusions, elles sont partout dans cette ville. J’avais proposé à Keith, mais sa réponse laissait entendre qu’il n’était pas vraiment partant pour ce genre de soirée. Tant pis. Je tente de me reconcentrer sur la divine jeune femme qui me parle mais à nouveau je me perds dans la foule. Je reperds quelqu’un qui tente d’attirer mon attention. Il ne me fait pas plus de dix secondes pour le reconnaître, il semble être en charmante compagnie et je me demande encore ce que veut @Silas Salvatore. Je lève les yeux au plafond, même avec mon masque il doit s’en rendre compte. Je prends mon verre à moitié plein et avant de m’éclipser je me tourne vers la jeune demoiselle. « - Le devoir m’appelle, veuillez m’excuser » Et quel devoir, Silas, je me demande ce qu’il veut. Je traverse une partie de la foule et c’est là que je crois reconnaître @Alcide Bellandi, mon père. Je m’arrête en chemin alors que je l’entends pester sur un serveur, on ne le changera pas. « - Très belle soirée Papa, il semblerait que tout se passe bien pour l’instant… » je laisse mes mots en suspens, lui laissant entendre que je surveille un peu ce qui se passe, je ne l’importune pas plus, je l’embrasse sur la joue avant de le laisser. Je rejoins alors Silas et une invitée, une mystérieuse blonde avec qui la conversation ne bat pas de son plein, charmant. Je souris à la jeune femme ( @Echo Nightingale ). « - S’il vous a fait une proposition indécente, excusez-le, il a parfois du mal à se tenir » Je souris malicieusement à mon ami. Silas peut être persévérant dans la séduction, je le sais mais il n’en reste pas loin un excellent soldat et un bon ami. « - Alors, tu t’amuses j’espère ? » Je m’adresse à Silas cette fois. Je sais que ce n’est pas son fort ce genre de soirée, avec l’effet de mon whisky, je sens que je vais commencer à m’amuser un peu plus, bien que mes yeux naviguent toujours vers mon père maintenant que je l’ai repéré dans la foule.

Spoiler:

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Après ma plaisanterie, je sirote doucement mon verre. Inutile de trop en dire ou de trop en faire. Je ne suis pas venu pour me faire remarquer. Et je sais qu’Aislinn préférerait sans aucun doute être accompagnée par quelqu’un d’autre, alors inutile d’essayer de remplacer celui qui est déjà tombé sous son charme même simplement pour lui changer les idées en plaisantant. Je ne suis là que pour le travail. Je suis déjà assailli de partout d’émotions qui se percutent violemment au plus profond de mon âme. Tant de gens. Tant de haine, de rancœur, d’envie. Tant d’amour et d’affection. De curiosité. De plaisir. Tant de tout. Je me sens nauséeux, le cœur au bord des lèvres. Combien y-a-t-il de personnes dans les environs ? Beaucoup trop. Je ressens des émotions déjà caressées du bout des doigts. Personnes connues sous les masques. Tant de divin et de puissance que je sens l’ambiance rester électrique. Il y a beaucoup de ressentiment. Où donc Aislinn a-t-elle voulu se rendre, ce soir ? C’est la merde. Je sens, devant toutes ces âmes en plus ou moins bon état, que la situation peut passer de compliquée et tendue à totalement chaotique.

Au loin, j’aperçois une silhouette que je crois reconnaître, et dont le contact visuel plus prolongé vers Aislinn me confirme. Ned.

De ce que j’ai compris, mon prédecesseur. L’homme à qui je devais ma situation présente. Et qui compliquait la soirée. Car si Fiona avait raison, et avec tous les sentiments que je lisais chez Aislinn, il apportait une difficulté supplémentaire à mon travail de ce soir. Je savais que le job ne serait pas facile en l’acceptant. L’homme à moustache que j’identifie comme celui du fast food vue son aura finit par s’éloigner. Il connaît Aislinn. J’ai l’impression que ma mission connaît un peu tout le « beau monde » de cette soirée. Une rouquine nous saute alors dessus et se présente comme « Annalisa », et elle est « enchantée » de faire ma ( ?) connaissance. Je reste un rien surpris de cette apparition aussi bienveillante qu’impromptue. Mais vu le bouillonnement d’émotions et de curiosité qui est le sien, je me demande si elle ne me confond pas avec quelqu’un d’autre. Je ne la connais pas, j’en suis sûr.

| Eh bien euh… De même ! Je m’appelle Torben. Enchanté. |

Aislinn n’aurait jamais parlé de moi. J’en suis sûr. Je pense donc qu’il y a méprise. Balayant la salle du regard pour masquer ma gêne alors qu’@Aislinn O'Reilly parle brièvement avec @Annalisa Fjalarsdottir, je constate en reconnaissant de loin deux personnes connues que non seulement l’endroit est un repaire de mafieux, mais aussi de voleurs et d’enflures d’envergure. Parfait. Ca promet. Je me retourne vers les deux dames, et m’excuse d’un signe de tête poli.

| Mesdames, veuillez m’excuser, j’en ai pour une minute. |

Regard plus appuyé sur Aislinn en mode « faites ce que vous voulez… Mais en vue ». Et m’éloigne. On surveille mieux à distance. Faisant mine de chercher quelqu’un, je ne perds jamais Aislinn de vue mais la laisse respirer à quelques mètres de distance. Je prends un nouveau verre sur un plateau, mais ce n’est que pour paraître normal. Je n’y touche pas, et continue de surveiller. Il va se passer quelque chose. Je le sens dans mes tripes.

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Who the f are these people?

Take off the mask

Archer n’avait peut-être pas bien pensé ce plan diabolique de s’incruster à une soirée mondaine. A peine arrivé qu’il se faisait déjà engueulé par ce qui semblait être le chef des serveurs qui lui avait remis un plateau garni de petit fours divers entre les mains. Il devait avouer en avoir grignoter quelques-uns sur le chemin de la cuisine à la salle de réception, puis avait alors pris son rôle à cœur et était passé entre les gens, offrant petits fours après petits fours.

Ce à quoi il ne s’était vraiment pas préparé était la douche gazeuse qu’il avait reçu de la part d’un des convives, qui s’était avéré être l’hôte de la soirée (@Alcide Bellandi). Son instinct premier avait été un geste de recul brusque et une grosse envie de s’entrainer au jet de petits fours. Cependant, voyant que l’homme en question était apparemment le boss du game et qu’il n’avait vraiment pas envie de mourir, il en décida autrement.

« Tout de suite, Monsieur », les expériences désastreuses en tant que serveur dans le restaurant d’une de ses grand-mères payaient enfin.

Il fit donc un aller-retour express vers le bar où il remplit son plateau de coupes qu’il distribua ensuite. Passant en premier par l’homme qui les avait commandées, puis par différentes personnes qu’ils ne connaissait pas dont un homme blond qu’il ne sentait vraiment pas (@Maksim Fraser), deux hommes qui discutaient tranquillement (@Julius Gates & @Dante Amadori) avant de finalement poser ses yeux sur celle qui l’intéressait vraiment (@Damariss D. Noble) et l’homme qui l’accompagnait à présent (@Alejandro Flores). Il se dirigea ainsi vers le couple et plongea ses yeux dans ceux de la jeune femme.

« Je vous en sers un autre ? » dit-il avec son plus beau sourire.

Spoiler:

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AVENGEDINCHAINS

Invité

take off the mask

Julius • tout le monde

Alors que j'ai réussi à attraper une coupe de champagne, les invités se sont de plus en plus nombreux dans la pièce. Le monde qui se rassemble laisse montrer la débauche de luxe que les gens se disent titulaires.

A l'autre bout de la pièce, je retourne la salutation à @Alcide Bellandi d'une levée légère du verre. Si je le salue, je ne vais toutefois pas le rejoindre. Il a sûrement d'autres choses à faire. Et puis, si jamais il veut me dire quelques mots, je ne doute pas un instant qu'il saura me trouver ou envoyer un messager.

J'ai tout juste le temps d'apercevoir du coin de l'oeil @Alfonso Brazzi (en même temps qui cela peut-il être d'autres ? Il n'y a que la réincarnation de Dionysos qui peut être aussi lui.) que je suis approché par un invité. Ce n'est que lorsque j'entends sa voix que je parviens à trouver l'identité de la personne. @Dante Amadori.

-Je ne le partage pas car je suis certain que les vraies festivités ne sont pas encore arrivées.

Avec la présence d'autant de mafiosos dans le coin, c'est une certitude. Reste à voir sous quelle forme cela va prendre. Une bataille ? Cela ne manquerait sûrement pas de charmes !

-En tout cas, je dois dire que votre tenue ne manque pas de panache, Monsieur Amadori.

C'est le moins qu'on puisse dire. Celle-ci n'est absolument pas dans mes goûts habituels. Pourtant, je n'ai pas la moindre envie de le critiquer ouvertement. Encore une fois, je ne parviens pas à comprendre qu'il s'agit d'une forme de manifestation de ma paternité divine qui savoure simplement d'avoir son fils à ses côtés.

-Je suis ravi de voir que vous êtes venu.

En effet, au moins, je suis certain d'avoir de la bonne compagnie. Je n'ai pas de problème de sociabilisation mais je préfère amplement passer la soirée en une compagnie fort appréciable comme celle de Dante.

Je n'ai pas le temps d'en dire davantage que j'ai l'agréable surprise de voir @Pandora Ioannis. Cette surprise en est vraiment une car je n'étais nullement au courant que Pandora connaissait Mr Amadori.

-Pandora ! C'est une agréable surprise que de te voir ici ! Tu es resplendissante.

J'adresse un sourire aux deux jeunes gens.

-Je ne savais pas que vous vous connaissiez ! Je ne peux qu'approuver que le monde est petit !

Alors qu'un serveur passe (@Archer Wu), je m'empare avec une aisance deux coupes que je donne aux plus jeunes.

-Je ne peux que vous conseillez le champagne. Il est des plus divins.

Pour le coup, je m'avance un peu puisque je ne suis pas sensible à l'alcool. Mais je vois mal les hôtes servir du champagne de mauvaise qualité.

-Je suis curieux de savoir comment tu as rencontré Mr Amadori, Pandora.

D'un geste inconsciemment paternel, je pose la main sur l'épaule de l'homme.

-En tout cas, pour ma part, je ne regrette absolument pas de l'avoir rencontré. C'est un excellent collaborateur !

Fiche codée par NyxBanana

Spoiler:

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TAKE OFF THE MASK

TOPIC COMMUN

There's a maniac out in front of me. Got an angel on my shoulder, and Mestopheles but mama raised me good, mama raised me right. Mama said, "Do what you want, say prayers at night,"And I'm saying them, 'cause I'm so devout. 'Til the love runs out, 'til the love runs out, yeah.

Concentré sur la technologie de la robe de @Nerissa al Khayzuran, je ne remarque sans doute pas que c'est sur son décolleté que mon oeillade s'attarde le plus. Probablement parce que son balcon était le seul semblant de havre de paix que je trouvais dans les parages. Agacé de voir Siobhàn (@Aislinn O'Reilly) aux bras de multiples prétendants, je m'occupe, me perds et grogne. Je fais ce que je sais faire de mieux, c'est-à-dire, boire dans la flasque à l'intérieur de ma veste, de l'eau (de vie). Le léger pincement à ma fesse gauche est alors la seule chose qui me ramène aux joyeusetés, factices, du moment. Le sursaut est bref, mesuré dans la surprise autant que possible, alors que je grogne en direction du suspect. La démarche est singulière, malgré les artifices et tentatives pour se dissimuler. La suspecte. @Sinead Reed. Un large sourire carnassier se peint sur mes lèvres tandis que cette dernière se sauve vers le bar. Je me vengerai. En parcourant de nouveau la salle du regard, c'est naturellement que je recroise celui de Siobhàn et que les heurs s'apaisent peu à peu. Alors qu'elle s'avance, j'épouse ses pas pour réduire la distance, jusqu'à ce qu'une autre femme ne vienne s'interposer (@Annalisa Fjalarsdottir). Son nouveau gardien la quitte, et d'un signe discret de la tête, je lui exprime une reconnaissance, sincère bien que secrète (@Torben Rawne). A mon tour, je m'approche, nerveux et les poings serrés. Tant que la Reine n'est pas là. Plus je m'approche, et plus son parfum se distingue et m'enivre par ses effluves envoûtants. Bien vite, l'oeillade est troublée par la vision du Don. @Alcide Bellandi. Je tais bien vite la confusion pour la paix commandée aux souvenirs brûlants, aussi passionnés que doux, que la Belladone inspire. Je me racle délicatement la gorge et surplombe son amie rousse d'un air menaçant. « O'Reilly ? » Le regard se veut dur, impassible et froid. Chose aisée pour ce que je devine être son amie mais la mascarade s'effondre aussitôt face à Siobhàn. « Un mot. » Quelques secondes sur ses lèvres pleines, je finis par tendre mon bras. « Is fada liom uaim thú. » Sans gêne aucune, dans la langue de nos ancêtres et que très peu comprenaient -voire même personne, le murmure sonne. Inaudible, ou presque, je toise l'homme à la moustache (@Alejandro Flores) et mon poing se serre à nouveau. Alors que je m'apprête à la ravir aux yeux de son homologue blond, je continue à fixer le mexicain, sans ciller. « J'crois que quelqu'un te cherche, gligín fionn. » L'oeil mauvais, l'affront est lancé. Je fais un signe de tête vif dans le vide. Arrogant et impoli, je la fixe dans le seul but de la voir partir.

Made by Neon Demon

résumé:

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mascarade

topic commun

« Sommes-nous en carnaval pour que les hommes se permettent une si ridicule mascarade? »

Populo encaqué au sein du palace, fourmilière criade, armada des pontes qui se panachent avec ceux qui ne sont rien. Invisibles dérobés pour un soir à leur fatum courbatu de calvaires quotidiens. Khan s'emborve un temps de cette rutilance temporaire quitte à faire sa reine de Saba aux relents grotesques, lui, plus habitué à ceux de sa cambuse miteuse et au parterre de sa clientèle passable qu'à celles des fastueuses réceptions. Des caboches qu'il entrevoit, nul ne lui revient de près comme de loi. En ces lieux, il pourrait bien se prétendre fils d'un maharaja de l'ancien joyaux de la Couronne que nul ne viendrait à le figurer en vulgaire tapin de parking alors fagoté d'ostentatoires sur le moment. Pourtant diapré de ses flambants atours chacun semble trouver partenaire de rhétorique à sa dissemblable thébaïde qu'il abrite à l'angle du buffet sous l'offensive des affamés. Nonobstant le labre qui se soustrait de la clameur jusqu'à son audition d'une femme parée d'ivoire et d'une fraîcheur qui fait plaisir à voir (@Hazel Anarson) qui gagne son égide accompagné de spiritueux bienvenue qu'il accueille du bout de la pogne sans broncher.

« Nul besoin de gnôle pour parfaire la vôtre qui se suffit à elle-même. » diable en fait-il trop, ignorant les convenances de ces saturnales mais suffisamment rôdé pour flatter le râble de ceux qui se présente. « Mais merci. »

Demi-sourire en coin en guise de gratitude de l'extirper de cette solitude, la coupe sucrée grimpe une seconde aux lippes du mignon qui va plus avant dans les présentations vers l'inexplorée. « Khan. » Le labre n'ayant jamais vraiment pu s'arracher à cette accent oriental acidulé, les cohortes de la main sont tendues à l'anonyme amorçant le colloque avec la nouvelle rencontrée. Dans son dos une louange sur ses frusques flirtent avec ses esgourdes sans qu'il n'est le temps de retrouver sa propriétaire dans la nuée, préférant retourner son attention sur sa nouvelle compagnie.

« Ne leur dites pas que je me suis ruiné pour la veste, je m'en voudrais de causer quelques malaises parmi ces richards s'ils apprennent qu'ils côtoient un pouilleux comme moi. » La raillerie est lâchée dans l'air, un peu trop fort, en espérant qu'elle survive à la gauloiserie de sa comparse qu'il mire du coin de l'oeil, pas confiant par sa plaisanterie quoique bien plus naturelle que l'air bon chic qu'il tend à se donner depuis le début.

(c) DΛNDELION

hj:

Invité

-

take off the mask

@Damariss D. Noble me remet une identité aussi rapidement que je l'ai reconnu avec sa flute de champagne. La talent chez la Calavera, ce n'est visiblement pas les déguisements. "Surprise de vous trouver seul ici. " qu'elle me sert la chica, sans ménagement. "C'est pour mieux repartir accompagné." que je lui répond avec la même simplicité. Même si entre nous, je ne suis pas ici pour trouver femme à mon héritier. La mission donnée par Costilla reste ma priorité, tout comme cambrioler le buffet et les petits fours.

Léger murmure de @Damariss D. Noble, qui visiblement se pose les mêmes questions que moi. Qui dans cette salle est réellement intéressant ? Personne. Qui est dangereux ? Tout le monde "Mis à part moi, peut-être le grand gaillard vers Bellandi..." @Silas Salvatore et son torse bombé, je t'ai en ligne de mire. Peut-être est ce à cause de notre rang respectif ? Tous les deux aux côtés de nos patrons, à conseiller et à suivre.
"Ou alors...." Dérangé par un inconnu @Archer Wu qui fait du gringue à Dama vu le regard qu'il lui lance, je décline rapidement sa proposition en lui montrant mon verre de jus de fruits à peine entamé. L'heure n'est pas l'alcool, il faut rester concentré.

Surtout sur ce tronc massif ("@Éamonn McNamara" ) qui débarque vers @Aislinn O'Reilly. Vu la carrure - qu'il est difficile d'oublier - je parie sur le Duc d'An Ríoch, déjà vu trainant autour des fleurs de Roukie. Pire qu'une reine des abeilles, autour d'elle, un petit groupe s'est amassé. Nul besoin de plus de moucherons autour d'elle, Aislinn a de quoi être occupé pour le reste de la soirée.
J'aurais pu vriller mes yeux ailleurs et m'intéresser au ballet de petits fours et des nouvelles arrivées. Oui, j'aurais pû. Mais quand quelqu'un comme @Éamonn McNamara vous regarde avec une telle intensité, ça pose des questions bien plus intéressantes : qu'ai-je fais pour mériter une telle attention ?
"Miss Noble...Ça vous dirait d'aller saluer nos chers confrères d'An Ríoch ? Ou je vous laisse en compagnie du serveur ?" Que je demande à @Damariss D. Noble. Ce soir, la neutralité gagne toute la salle alors, qu'importe les mauvaises relations en journée, cette nuit, les masques vont tombés.

Spoiler:

Invité

AODHA

Take off the mask

La vitesse à laquelle le liquide de son verre disparait est comparable à cette patience qui lui échappe. Une heure c’est peut-être même trop. Torture pour le royaume, elle n’attend que de voir la reine débarquer dans son coin. Voir que tout se passe bien pour mieux rentrer au manoir et oublier tout ça. Idée stupide que de décider de s’impliquer un peu plus dans de telles affaires, elle est bien mieux de l’autre côté de la ligne. Soirée exception, instant d’égarement, on ne la reprendra sûrement plus pour toutes ces choses-là. Elle voit les gens, les dieux et les créatures qui se mêlent. Les auras qui se toisent un peu. Se croisent ou s’évitent. Les regards de certains, les manies d’autres. C’est un passetemps comme un autre. Elle ne reconnait pas vraiment. Aodha, on va le dire, ne le cherche pas non plus. Trop ancrée à faire la gueule dans son coin et à vider son verre. Jusqu’à l’inévitable. L’évidence même de l’atmosphère qui se tend, d’un regard en sa direction, corbeau guerrier qui la prie d’approcher. Et l’Aodha qui obéit bien sagement, verre vidée et appelée par le feu dans un autre déjà tendue. « Le pire c’est la robe. » Qu’elle dit en la remettant correctement. Pas la plus féminine des guerrières. Pas pour ça en tout cas. « Elle a senti le guet-apens, elle a étrangement disparu. Je la hais. Elle le paiera. » La troisième aurait été une aide précise. Sin sauve la mort de la noyade, elle compte s’y accrocher un peu. Une heure ça passe vite après tout avec elle. Souvent trop même. Elle dépose les lèvres contre son verre, se brûle volontiers la gorge au whisky offert par la sœur, un regard vers les deux masqués de plus, ça ne lui dit rien comme ça, peut-être qu’elle les a aperçus dans un pub des docks par le passé. Ou pas. « Aodha. Sympa ta robe. » Deux filles qui parlent chiffons, putain ça ne s’arrange pas. Mais elle pense à autre chose, un petit instant et elle a le droit, en le disant. « Disons que je ne suis pas du genre à me mêler aux gens, alors c’est un peu trop pour moi. » Elle hausse les épaules, ne tardant pas à vider son verre et le reposer sur le comptoir. Son cul se pose sur l’un des tabourets dans un soupire. « Mais bon il faut bien quelqu’un pour chaperonner Sin, sinon dans deux minutes qui sait où elle sera ou avec qui. » Elle ose le sourire. La taquinerie éphémère, relâchement d’un instant. Elle fumerait bien une clope, c’est sûrement non-fumeur ici et puis de toute façon elle a oublié son paquet. Où le mettre avec une telle tenue.

Spoiler:

CODAGE PAR AMIANTE

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take off the mask

ft. des gens

>

Du coin de l’œil, tu captes la présence féminine (@Iris Thornblood) qui s’installe à tes côté. Délaissant ta conversation avec les deux inconnus (@Maksim Fraser, @Aksel Beliakov), tu te retournes pour lui accorder l’attention qu’elle demande. C’est en la dévisageant que tu reconnais la douceur du regard d’Iris et la rondeur agréable de ses traits. Heureux, mais non pas moins surpris de la voir ici, un franc sourire soulève tes pommettes alors que tu poses sur elle un regard presque paternel. « Cette robe te va à ravir. », commences-tu en redressant mieux ta posture, « Je suis content que tu ais décidé de venir, Iris. J’ai quelqu’un à te présenter. », la fierté dans ton regard, tu espères sincèrement qu’Iris et Anna puissent s’entendre, elles sont si douces toutes les deux.
C’est quand tu tournes la tête pour veiller à nouveau sur ta copine que tu captes quelque chose qui te plaît beaucoup moins : l’ombre menaçante du McNamara (@Éamonn McNamara ). Son visage est caché, mais tu reconnaîtrais ce corps parmi tant d’autres; c’est qu’en vérité, il n’était pas bien désagréable à mater. Tu ne sais pas ce qu’il se dit, mais c’est de mauvais augure, si bien que tu t’empresses de prendre les deux coupes que tu tends à Iris, les sourcils froncés. « Tiens ça et suis-moi. », ordonnes-tu d’une voix semi-énervée avant de franchir à grandes enjambées le chemin qui sépare le bar du quatuor.

Malgré les kilos de muscles qui font la différence entre toi et Ned, tu veux, par ton regard et ta posture fière, tenter de te montrer plus imposant que l’insolant. « Toujours aussi agréable, McNamara. », commences-tu d’une voix qui pince, qui se moque. Tu t’arrêtes face à lui, comme un mur entre lui et Annalisa dont tu sens le malaise. Il fut un temps où tu l’avais en estime, ce duc qui, selon toi, n’a que le corps pour compenser l’absence de tête, mais les choses ont changées. « C’est toujours plus facile d’agir en bâtard sous le couvert d’un masque. » Tu hausses les épaules, roulant des yeux de merlan frit. « Je ne sais pas ce que tu lui as dit ou fait , mais serais-tu capable de le refaire, là-maintenant, sans ton masque ? Je peux l’enlever à ta place si c’est trop d’effort pour toi. »
Brièvement, tu regardes Aislinn : « what the fuck, Ais ??? », tes iris semblent-elles demander.

(c) DΛNDELION

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Invité

INTRIGUE

hail to the masquerade

Il y a de ces soirs qui ne se ratent pas. Que nul ne voudrait manquer. Il y a de ces soirs où le chaos est difficilement malléable, où il ferait un mal si monstrueux que le monde pourrait bien valser entre deux. Vélès, divin des plus anciens, c’est ce qu’il a été amené à lire dans les livres mais du malin il ne sait que peu de choses, juste que son second don se sentirait fort à l’étroit s’il devait malencontreusement avoir à s’exprimer. C’est en retard qu’il pénètre à l’intérieur du manoir, lame glissée sous un pan de son costume, il n’a pu se résoudre à laisser ce genre d’objet sagement lové au creux de son appartement de haut standing. D’aucun dirait qu’Aleksandr est à l’image de son frère : adorable pour certains, désagréable pour d’autres. Qu’on ne s’y méprenne, le jumeau tente d’être plus souvent catégorisé dans la deuxième partie. Il n’a que faire des hypocrites et des racontars juste bons à laver des slips sales ou lécher le sol qu’il foule de ses chaussures lustrées. Le plateau de champagne s’avance d’ailleurs sur son passage qu’il châtie le serveur d’un simple signe de la main. Gosse de riche dans toute sa splendeur. Désagréable, on disait. Le masque qui orne son visage est des plus simpliste, à l’image d’aucun animal, aucune particularité réellement définie si ce n’est cette couleur blanche ironique de pureté. Tout ce qu’il n’est pas, mais si sang devait couler ce soir, ça ressort mieux sur l’immaculé que l’obscur. Ce n’est qu’une question de goût et de savoir.

De sa silhouette élancée, il déambule mains dans les poches de son plein gré. Entre les corps qui s’échaudent et les joues qui s’empourprent déjà d’alcool. Milieu de mafieux dont lui est l’un des fiers éléments de la Rougeoyante Bratva. La froide. Assassin des ombres qui observe délicatement les visages soignés, pouponnés et camouflés derrière ces masques qu’on les a forcé à porter. Nul besoin de communiquer pour savoir qu’il est là. Là où Chaos peut arriver, son frère (@Aksel Beliakov) est toujours là. Lui aussi, c’est le cas. En silence, Aleks tente de reconnaître les visages dissimulés, une attitude ou une silhouette, mais nulle ne revient vraiment fouetter sa mémoire. La masse est bien trop grande pour ne pouvoir s’adonner à pareil jeu et espérer gagner. @Dante Amadori serait-il ici ? Probablement. Pour l’heure, l’odieux s’avance à proximité d’un coin stratégique, de quoi avoir un point de vue sur une bonne partie de la fête. C’est néanmoins sans compter sur le plateau de petites douceurs qui lui passent sous le nez et qu’il embarque au passage. « Ne vous embarrassez donc pas avec ça, mon brave. » qu’il articule en s’adossant nonchalamment (mais de manière élégante, toujours) au mur.

Résumé:

AVENGEDINCHAINS

Invité

take off the mask

everyone

Pya trépignait d'impatience. Carne électrisée par une excitation naïve, comme seules les premières fois pouvaient en provoquer. En cette divine soirée, se tenait son premier bal masqué – son premier bal, tout court après réflexion. Une soirée qu'elle chérirait probablement jusqu'à son dernier souffle. Et dont elle se délectait déjà, paupières écarquillées sous l'impulsion émerveillée, prunelles frivoles et gourmandes, à voyager, à fouiller le décor cuivré, à avaler la moindre des dorures. Tout resplendissait. Surtout les autres, que les masques plaçaient tous sur un pied d'égalité.

Elle crocheta le coude de Gaby avec son bras et leva le bout de son nez vers son amie, un sourire éclatant sur les lèvres. « Je ne sais pas où regarder, il y a tellement de belles choses ici... ». Engouement suivi d'un petit merci, soufflé timidement. Pya désirait venir à cet événement depuis qu'elle avait intercepté un petit carton d'invitation au quartier général de la Calavera, néanmoins, elle n'avait pas osé en faire la demande auprès de Joaquin. Parce qu'elle ne voulait pas obliger quelqu'un à l'accompagner, parce qu'elle ne voulait pas s'imposer encore, ni déranger avec de telles futilités. Mais Gaby, sublime rose rouge, lui en avait parlé, avait remarqué l'envie dans ses iris mordorés, et s'était occupée de tout. De la robe bustier qui lui ceignait la taille aux escarpins carmins, en passant par la poussière de fée qui parsemait sa poitrine, ses clavicules et ses traits délicats. Le masque, toutefois, relevait de son propre choix. Crâne de la Calavera, crâne de cette mort qui ne l'atteignait pas. « Ne me lâche pas, s'il te plaît, ou je risque de tomber. », ajouta-t-elle dans un murmure amusé, Bambi incertaine, perchée sur ses nouvelles chaussures.

Et voguons sur cette effervescence passive, tant que nous le pouvons.

Code by Silver Lungs

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Invité

INTRIGUE

hail to the masquerade

Le renard prend un risque en foulant le sol de ce manoir. Nul ne sait vraiment ce qui le prend à en pousser les portes. L’attrait de la folie ? L’attrait de la nourriture chic ? Ou le fait que derrière les masques tout esprit tordu peut s’y trouver ? Il ne sait pas vraiment ce qu’il fait là, risquant de croiser des divinités du panthéon qu’il exècre. Oh, le beau diable exècre bien des divinités et bien des récurrences, pourquoi alors se jeter dans la gueule grande ouverte du loup ? Probablement parce qu’il espère parvenir à se faire oublier dans la masse, sûrement. A moins que cela ne soit que dans la simple idée de venir voir quelle zizanie pourrait bien être semée, et pas forcément par lui. Les billes d’émeraudes repèrent les êtres dans la même vaine que lui en un battement de cil. Il le sent. Les renards se sentent entre eux comme les chiens de récurrences, à la différence près peut-être que les autres renards à neuf queues sont toujours ces putainsde lumineux. A l’image de Feliks. Ah, son cher @Feliks Murtagh, sans doute est-il dans la foule lui aussi, déguisé sous les traits d’un autre, à l’image de Cael qui, sans avoir troqué ses yeux verts a rappetissé légèrement sa taille et pris exemple sur un mannequin plutôt sexy qu’il a aperçu dans un magazine. La guêpe demeure prévoyante malgré son aura de Nogitsune qui doit probablement auréoler autour de sa carcasse athlétique – il n’aurait tout de même pas eu l’audace de se faire passer un petit vieux. C’est donc sous les traits d’un blondinets qu’il avance dans la foule en prenant soin de ne pas les toucher. Il ne voudrait pas poser ses pattes sur des torchons divins. Tout aurait d’ailleurs pu se dérouler à merveille durant les premières secondes si, légèrement agressé par le brouaha, il n’avait pas levé les yeux et trébuché sur @Julius Gates, se rattrapant de justesse à ce dernier et tombant nez à nez avec… @Dante Amadori en personne. Putain de merde. Tel un chat pris d’un relent de nausée, il plisse le nez en se redressant et s’assurant faussement que ledit @Julius Gates n’ait rien (car en réalité il s’en fiche comme de sa première tâche de renard dans le dos). « Je suis navré, je n’ai pas fait attention où j’allais. ». Et visiblement j’aurais mieux fait de m’étouffer, qu’il voudrait bien ajouter à l’attention d’Amadori, mais ce serait griller sa couverture d’entrée de jeu, même si, au fond… Cael doute que Dante ne finisse pas par le reconnaître, d’une certaine manière.

Résumé:

AVENGEDINCHAINS

**The Third Eye**

take off the mask

season 1 - episode two.

ceci n'est pas une intervention pnj 'classique' dans le sens où ce n'est pas un rp qui va impacter la suite des évènements What a Face

~~ce post-là il arrive très vite~~
mais c'est important, donc merci de lire et d'en tenir compte s'il vous plaît I love you

on a pu que se rendre compte du fait que certains d'entre vous postent très très vite - sérieux, vous êtes flash, je crois que certains atteignent déjà cinq réponses ici What a Face

et regardez, trois pages en trois jours? :smirk:

votre enthousiasme nous fait vraiment chaud au coeur, et ça nous fait plaisir que vous soyez aussi motivés que nous yamlove

maaaaaaaais (parce qu'il y a toujours un mais)

on a aussi remarqué que certaines étoiles filantes vont trop vite pour d'autres qui n'ont pas forcément autant de temps pour rp, ou dont les persos sont impliqués dans des conversations avec des gens qui n'ont pas forcément autant de temps pour rp (etc etc etc et ainsi de suite), et que donc lesdites étoiles filantes n'attendent parfois même pas de réaction de leur homologue pour poster de nouveau et répondre à quelqu'un d'autre pweese

et c'est vraiment dommage, parce que dans la vraie vie personne ne ferait ça :smirk:

alors oui, on sait que des fois on est impatients et on meurt d'envie de répondre de nouveau et franchement ça nous fait plaisir, parce que ça veut dire que vous êtes motivés I love you

mais d'un autre côté, c'est aussi le risque de perdre en chemin certaines personnes qui ont un peu moins de temps et du coup pourraient profiter un peu moins de l'intrigue, et c'est dommage pweese

et du coup, certains se font doubler, leurs réponses sont obsolètes, et ça leur gâche un peu le plaisir pweese

alors voilà, on ne vous restreint pas, on ne vous freine pas, on ne vous bride pas, faites-vous plaisir, mais prenez votre temps I love you

interagissez avec le plus de gens possible, vous êtes masqués, vous avec de quoi créer de nouveaux liens du tonnerre, donc profitez de l'occasion I love you

impliquez les persos qui sont seuls à la soirée, c'est plus sympa pour tout le monde, et ça prouve votre bel esprit de communauté I love you

et n'oubliez pas que si vous voulez rp avec un special someone dans ce cadre et contexte, sans vous préoccuper des autres participants et donc rp plus vite, vous pouvez aussi créer des rp privés dans cette catégorie - bien que ceux-ci ne soient pas prix en compte dans l'intrigue/les interventions pnj I love you

ET RALENTISSEZ
PARCE QUE NOUS ON PREND EN COMPTE VOS RP DANS LES POSTS DU PNJ
ET VOUS ALLEZ TROP VITE
PENSEZ A LA SANTE MENTALE DE VOTRE STAFF, THX

donc voilà, du love, prenez votre temps, intégrez les autres, jouez le jeu :smirk:

et n'oubliez pas qu'en postant ici, vous avez accepté de remettre votre sort entre nos mains... sorry not sorry

(et petit plus rigolo: les serveurs et serveuses sont essentiellement des satyres et des ménades undercover, bien que ce ne soit pas le cas de tous)

on espère qu'on aura pas besoin d'intervenir de nouveau à ce sujet, on vous aime les chatons :smirk:

~~deux nouvelles réponses pendant que ce message était tapé fhjhekfh~~

(third eye micdrop)
(third eye out motherofgodz

)

Invité

Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il y a du monde ici. Tu n'es pas sûr d'être à ton aise. Après tout, tu aimais ton travail de médecin sans frontière, parce que justement tu n'avais pas à assister à toutes ces soirées de charités idiotes qui sont là pour se faire mousser plus que pour aider qui que ce soit. Toi, t'as toujours préféré les actions aux vaines paroles. Alors, ici t'as l'impression de ne pas être à ta place. Tu prends sur toi, parce que tu ne veux pas laisser @Ganya Rohais se débrouiller seul. Ton idée ne semble pas avoir le succès escompté. Tu ne t'attendais pas à ce qu'il saute de joie à l'idée de se retrouver dans un bal masqué, mais tu aurais aimé un peu plus d'enthousiasme de sa part. Tu lui souris quand il te dit que l'alcool n'est pas une bonne idée pour lui. ≪ Pour toi, peut-être pas, mais il me faut au moins ça si je veux survivre à tout ça. ≫ tu désignes la foule d'un geste de la main. Non, les mondanités ce n'est vraiment pas ton truc. Tu lui souris, mais ton sourire se fane rapidement. Son expression change et il disparaît se précipitant à travers la foule. ≪ Eh attend! ≫ tu cherches à le rattraper. Seulement, trop concentré à ta tâche, tu ne vois pas la jeune femme entrer dans ton champ de vision et tu lui rentres dedans. Dans une habile pirouette, tu tentes de ne pas faire trop de dégâts et le liquide dorée de sa coupe se déverse sur tes chaussures. Tu le mérites, presque. mais il y a beaucoup de monde et tu le perds en cours de route. ≪ Je vous prie de m'excuser, j'essayai de retrouver mon ami... ≫ tu lèves les yeux et dépité, tu te rends compte que tu as perdu Ganya de vue. Tu soupires et reporte ton attention vers la jeune femme. ≪ Je ne faisais pas vraiment attention ≫ tu passes une main dans ta nuque, un peu gêné. ≪ Veuillez accepté que je vous offre un nouveau verre pour me faire pardonner. ≫ tu ne veux pas qu'elle te prenne pour un goujat.

HJ:

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take off the mask

everyone

« La chance se provoque. ». Echo se retint de rouler les yeux ; ses traits figés disparaissaient peut-être derrière un masque imposant, mais les prunelles céruléennes continuaient de se distinguer et la dernière chose qu'elle souhaitait, c'était bien froisser l'ego mâle de celui qui récitait des putains de citations de biscuit chinois. Pas avant qu'elle sache si elle pouvait en tirer un truc.

Le champagne changea de main, les coupes s'inclinèrent, politesse hypocrite d'un côté comme de l'autre. Mais enfin, tomba l'inanité lorsque se révéla le nom. « Salvatore. ». Bingo. Les syllabes italiennes familières, pour les avoir déjà croisées lors de son enquête sur Bellandi. Un membre de la Nuova Camorra, et pas n'importe quel trou du cul, si elle si fiait au comportement dédaigneux. Un maigre sourire retroussa ses lèvres. Game on. Une aubaine qu'il ne lui demande pas de décliner son identité, une opportunité qu'il souhaite encore échanger quelques banalités sans consistance. « Je ne sais pas comment vous faites. Je ne tiendrai jamais toute la soirée avec un masque comme le vôtre. ». Non, son plus grand défi ne résidait pas dans le masque, mais dans le fait de le supporter, lui. Le gamin suintait l'arrogance, la vanité à outrance. Et peut-être pouvait-elle s'en servir contre son hôte. « Et je ne tiendrais jamais toute une vie à la botte d'un autre, plus faible que moi. », susurra-t-elle, voix mielleuse, « Visiblement, chacun a son propre combat à mener. ». Façon peu subtile de souligner que peu importe à quel point le Salvatore souhaitait se sentir important, il ne l'était pas autant que le don. Ne le serait peut-être jamais. N'en éprouvait-il aucun ressentiment ? N'avait-il donc aucune ambition ?

Visiblement, l'ambition du soir se révélait plus simple : attirer l'attention d'une demoiselle quelconque accoudée au bar. Tandis qu'elle se retournait pour découvrir qui l'avait frôlée (@Dante Amadori), cette dernière en profita pour s'approcher d'eux. Son attention reportée sur la nouvelle arrivée, son corps se paralysa. Merde. Même le masque ne parvenait pas à dissimuler l'aura époustouflante de Calli. Personne ne doit savoir qu'Echo Nightingale est venue ce soir. Pensée fugitive, qu'une autre renversa. Faisons-lui comprendre. « - S’il vous a fait une proposition indécente, excusez-le, il a parfois du mal à se tenir ». Un mince sourire teinta ses lèvres, tandis qu'elle rétorquait, malicieuse : « Aucune indécence, Calli, sinon toute l'assemblée en aurait été avertie. ». Jetant un coup d’œil au Salvatore immobile, elle se présenta brièvement – faussement : « Je vois que nous avons des connaissances communes. Je suis Claire, une amie à cette beauté. ». Prunelles de nouveau tournées vers la blonde, elle ne fit aucun signe susceptible de la trahir, se contenta de la dévisager en souriant. Soutiens-moi, Calli, il ne doit pas savoir qui je suis. Mais le regard de son amie, tandis qu'elle prenait des nouvelles du colosse, dérivait, se soustrayait à eux. Se fixait sur... Alcide Bellandi, reconnaissable entre tous. Echo lui tourna aussitôt le dos, poings serrés, sourire figé. L'infâme raison de sa présence en ce lieu repérée.

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Sorry I'm late, I did not wanted to come.

TOPIC COMMUN

La portière se claque, quelques insultes sifflées par dessus le véhicule, des mots aussi doux qu’une giclée d’acide au visage. Elle donne un coup de coude au bras qui vient s’agripper au sien, visé pile entre les côtes. Il ne flanche pas, grimace à peine du geste et l’entraîne quand même.

Pavanée comme une dinde de Noël, aux côtés d’un homme qu’elle méprise. Il n’y a pas pire comme humiliation que de devoir marcher en duo bien synchronisé, serrer des paumes huileuse de ces messieurs et feinter de pouffer de rire avec les autres volailles. Et vas y que je te présente à un associé qui regarde un peu trop dans ton décolleté. Et vas y que je t’éloigne mine de rien du bar pour éviter un énième scandale. Un colis encombrant de faux semblant passé de main en main, alors pourquoi porter un masque par dessus une façade. Les mots qui sortent de force de sa bouche se double de pensées contraires, des insultes et des sourires sarcastiques qu’elle ne peut que garder pour elle. Elle aimerait provoquer un petit carnage des familles, là, tout de suite. Une recette de punch maison renforcée en fer et repeindre cette décoration tapageuse digne du fantôme de l’opéra. C’est son côté tragédie, à Vasilisa. Elle aimerait lui faire bouffer son alliance à ce chaperon qui la traîne comme une vulgaire escort. « Tu mets la main sous la moindre robe ce soir et je te jure que ça sera la dernière chose que tu toucheras. » Qu’elle murmure à son oreille dans un sourire en se penchant sur son épaule pour prendre une pose de diva pour une photo. Elle n’est pas jalouse, elle a dépassé ce stade depuis bien longtemps. Juste un petit jeu de menace en l'air et de vengeance avortée. Profaner le cadavre d'un mariage déjà mort.

Il est prit dans une conversation et elle n'a pas d'autre choix que de rester plantée là au milieu de la foule, ce bras toujours ferme sur le sien qui la condamne à l'ennui mortel. Le regard perdu sur les convives qui se pose au hasard des belles tenues. Il lui semble reconnaître un visage (@Ashara al Kathlan), une femme qu'elle avait déjà croisée dans son magasin préféré. Quelques mots échangés par dessus les étalages de lingerie, des banalités pourtant sincères entre les deux femmes. Elle tente de lever la main pour lui faire un signe, son regard croisant le sien avant qu'elle ne disparaisse parmi les autres convives. Vasilisa aime cette ambiance mais la préfère dans d'autres circonstances. Une soirée après la première d'un opéra, bien loin de tous ces vautours et ces divinités pétant plus haut que leur cul. Son regard se pose sur une femme (@Aislinn O'Reilly) sans trop savoir pourquoi, peut-être la teinte de ses cheveux ou sa robe. Mais ce sont des bribes de mots qui lui font tourner la tête dans une autre direction. « [...]je m'en voudrais de causer quelques malaises parmi ces richards s'ils apprennent qu'ils côtoient un pouilleux comme moi. » (@Khan Farrukh) Que devrait-elle dire pour son compte ! C'est qu'elle commençait à crever la dalle et la soif à force de faire la potiche pour Mr. Le premier besoin serait difficile à satisfaire dans une soirée aussi bondée, sauf si elle arrivait à coincer un amuse-gueule dans un coin, un coup de dents suffirait. Peut-être ce type à l'air un peu palot et sa silhouette dégingandée (@Ganya Rohais) mais s'il avait l'air si malaisé qui sait s'il n'était pas plein de maladies. Elle était en détox, Vasilisa. Plus de sang d'alcooliques, plus de gens de petites vies ou de vieux en fin de vie. Alors il ne restait plus que la soif. Et ce n'était pas les convives autour d'elle se ruant sur les coupes de champagne (@Lyra al Khayzuran) qui allaient lui faire oublier son désarroi. Elle tire sur le bras mais il s'agrippe un peu plus fort. « Quoi tu veux me suivre aux toilettes maintenant ? » Qu'elle siffle entre ses dents. Elle se dégage d'un geste en inclinant la tête légèrement pour s'excuser de quitter la conversation. Je vous laisse bande de connards je vais me bourrer la gueule pour oublier, qu'elle pense. « Veuillez m'excusez, je dois me repoudrer le nez. » Qu'elle dit.

Sa main se tend vers un plateau de coupes de champagne mais en vain, le serveur bifurquant au dernier moment (@Archer Wu) pour les offrir à deux autres convives (@Damariss D. Noble @Alejandro Flores). Elle serre les dents, rageant intérieurement en cherchant du regard d'autres verres pleins sur lesquels refermer ses griffes. Si elle n'obtenait pas de l'alcool maintenant elle allait finir par s'abreuver à la source, et pas sûr que ça fasse joli au milieu de la fête. Son regard prédateur se pose sur une coupe au bord du comptoir. Si elle était à quelqu'un c'était trop tard, ses doigts se refermant sur le crystal alors qu'elle retire son masque de son autre main en échappant un soupire de joie. Elle n'avait que faire d'être mal élevée, que faire de cacher son visage derrière un masque intégral qui lui donnait trop chaud et qu'elle soupçonnait avait été choisit pour l'empêcher de parler ou de boire. Elle peut voir son mari de loin lui jeter des regards colériques par dessus l'épaule de son interlocuteur. Elle lève sa coupe à son égard. Fuck you. Des mots muets formés du bout des lèvres. Puis c'est un choc qui en fait sauter l'alcool de son verre, manquant de lui faire lâcher prise. Quelqu'un (@Keith MacLean) vient de lui rentrer dans le dos sans raisons. « Putain ! » Qu'elle lâche malgré-elle en se tournant vers le malotru. Un peu plus et elle renversait son verre sur sa robe Chanel. « Je vous prie de m'excuser, j'essayai de retrouver mon ami... » Elle observe l'homme de haut en bas sans vergogne. « Je ne faisais pas vraiment attention » Oui, ça elle l'avait remarqué. « Veuillez accepter que je vous offre un nouveau verre pour me faire pardonner. » A ces mots son regard s'illumina. Posant sa coupe de champagne à moitié vide sur le comptoir elle s'approcha de l'inconnu. « Un seul verre, vous êtes sûr ? Autant boire jusqu'à plus soif et laisser les affaires aux gens ennuyants. » Elle lui adresse un sourire carnassier, son bras se collant légèrement contre le sien.

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résumé:

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INTRIGUE

masquerade time

Une engueulade. Encore une. Tommy qui s’est énervé parce que la môme a insisté. Avec ses yeux d’enfant, son regard émerveillé, son envie de découvrir le monde et celle de faire son entrée. Mais le celte y voit une occasion de se faire bouffer. De se noyer au milieu de la foule et de la gente masculine. Une énième tentation qui le mettrait hors de lui. Tommy, adorable mais dangereux Tommy. Le paradoxe. L’amour de sa vie. Et pourtant, l’envie de découvrir le monde la fait papillonner. Parfois. Il voulait pas venir l’irlandais. Le Royaume dans le sang, la Calavera dans la tête, et les autres qu’il emmerde profondément. Pas pour lui qu’il a dit. La déception. Avant de tomber sur Pya. Sa douce Pya.
Les mêmes étincelles qui virevoltaient au fond de ses prunelles. La curiosité, l’excitation d’une môme le soir de Noël. L’envie de s’envoler et rêver.

Une soirée entre filles, peu importe l’avis de Tommy. Une soirée sous les étoiles, à se prendre pour ce qu’elles ne sont pas. Qui sait, ce qu’elles pourraient devenir. Et comme pour se faire pardonner, c’est une robe qu’il lui a acheté. Une robe rouge, presque grenat, qui ferait ressortir son teint qu’il avait fini par lacher. Des excuses à mi-mot pour se soulager malgré l’angoisse oppressante. Gabriela fera taire les voix le temps d’une soirée. Parce que ce soir c’est elle et Pya face au beau monde. Elle serre un peu plus le bras de son amie contre son propre corps avant de lever la tête à son tour. Ca scintille dans tous les coins, ça brille à chaque regard. « C’est sur que ça change… » souffle-t-elle avant de lui offrir un sourire entendu. Pas besoin de la remercier, elles se rendent service mutuellement au fond. Gaby serait jamais venue seule, et l’idée lui trottait dans la tête depuis qu’elle avait entendu les clients parler. L’avantage d’être barmaid et d’en entendre de tous les côtés. Et Pya, il ne lui avait pas fallu longtemps pour la convaincre. Seulement lui souffler qu'elle s'occupait de tout. Comme un remerciement déguisé d'avoir cédé.
Les talons claquent sur le sol trop propre du manoir alors qu’elle lache un soupir, comme pour se donner un peu de courage. « Promis. A condition que tu ne me laisses pas descendre le champagne. Ou tu m’accompagnes. » Parce que Gabriela, elle avait l’habitude pendant un temps de défiler, danser sur des talons aussi haut. Pour attiser le désir, les piéger, un par un, pour que les billets soient plus gros. Et pour tenir le coup, elle avait élu la tequila pour meilleure amie. Ce soir, les démons pourraient revenir trop vite. « Tu reconnais des gens ? » elle se sent perdue la môme au milieu de tous ces masques, alors elle s’accroche à Pya, comme à une bouée de sauvetage.

Résumé:

AVENGEDINCHAINS

Invité

Honnêtement, c’est une connerie. Le masque pour commencer. Bellandi pensait à quoi quand il a envoyé le projet en prod ? Ça gratte, ça colle à la peau, ça empêche de respirer, ça réduit la vision, ça rend plus vulnérable et ridicule. Il pensera à lui en toucher un mot à leur prochaine entrevue. Est-ce que la Calavera invite toute la ville au moindre sacrifice ? Non, parce que ça prendrait trop sur le budget et parce que ça ne se fait pas. Les gringos n’ont jamais su bien faire les choses quand il s’agit de sacrifice humain. C’est tout ce qui intéresse Joaquin ici. Pas les mondanités, le champagne qu’il peut se payer sans se trimballer avec ce masque et surtout, cette foule de gens qui réveille ses sens, le fait se crisper et reculer dans un coin de la salle principale. Il pourrait se mélanger aux autres. Mais il a envoyé des membres de la Calavera faire ça, essayer de récupérer quelques informations si possible. Histoire que la soirée ne serve pas qu'à débaucher ses hommes. Lui attend autre chose. Vengeance qui a un goût amer, qui ne ramènera pas les morts. Mais qui a le mérite d’être un véritable catharsis. Aller, un bon point pour Bellandi.

Spoiler:

Invité

under the mask

saison une, épisode deux

Charognards Voraces. Foule qui oppresse déjà. Fanatique d'une solitude qu'elle ne touche désormais que dans le sommeil profond. Inconscient, seul compagnon de fortune qu'elle apprécie. Regard qui s'aventure déjà dans la foule, cherche des oeillades connues. Premiers pas sous le masque. Identité à peine dissimulée. Cheveux de feu qui trahissent. Flammes jusqu'aux lèvres, bouche avide de conversations lointaines. Rouge, du rouge jusqu'à la terre mère. Couvre la chasteté décérébrée. Or, perles dorées qui flagellent les joues, sous la façade. Détails jusqu'à la décoration à même l'épiderme. Nombreuses heures à redécouvrir son enveloppe, préparation nécessaire pour une soirée de prestige aux airs de trêve. Inspiration. Bleu de @Mairead Breachnach. Azur qui l'attire. Expiration. Corbeau de @Aodha Ó'Súilleabháin. Noir qu'elle identifie. Inspiration. Visage partiel de @Scarlet Wyrm. Chance qu'elle associe. Expiration. Elle distingue des partenaires dissimulés qui divaguent. Des sourires déjà enchaînés à l'alcool. Elle se demande ce que les murs de ces lieux lui réservent. Pas qui chavirent comme son navire. Elimination des regards alentours. « Bonsoir May. » Surnom qui dissimule. « Tout va bien ? » Être sûre. Être droite. Et surtout, être vigilante. Ennemis qui peuvent encore surgir de l'ombre, elle le sait. « Je suppose que tout le monde est déjà là. » Supposition, oui. Oeillades, encore, papillonner des cils pour observer les masques. Eviter l'appréhension. Observation du hall, un moment. « J'ai aperçu... » Vrilles sous les côtes. Le Loup est là. Aucun doute possible. Démarche imprimée sous les paupières. Bruits des talons vénéneux dans ses veines. @Oksana Aleksandrova. Carnassière suivie de son ombre. Cacophonie, tambourinent les ventricules, s'entrechoquent les synapses tandis qu'elle se fustige pour échapper au courroux infernal. Poigne invisible qui lui enserre déjà la gorge lorsque la Bête vient à toiser la Proie. Se détourner pour fuir. « J'ai aperçu notre petit bataillon au bar. J'espère qu'aucun d'entre eux ne finira par vomir sur les mauvaises chaussures. » Car elle sait. Quelque chose se prépare, ici. L'instinct le promet comme une hérésie.

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